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TEMOIGNAGES
PIOLAT Annie et VAUCLAIR Jacques, Réussir ses études de psychologie, Nouvelle édition revue et Augmentée., Louvain-la-Neuve, De Boeck Supérieur, 2020, xii+371 p. Salle de Sciences sociales : 15(02) PIO Ce manuel propose un aperçu didactique du fonctionnement universitaire et des compétences requises pour réussir en psychologie. Un grand classique.
TISSERON Serge, Journal d’un psychanalyste, Paris, Calmann-Lévy, Ramsay, 2003, 64 p. BU salle de lecture : 159.964 TIS Ce journal intime, sous forme de bande dessinée, ne prétend pas révéler les secrets de quelques cures particulières, mais s’appuie sur des cures imaginaires issues de la vie quotidienne pour approcher la vérité (toute crue) de toute cure. Et l’humour, sur ce chemin, est un précieux allié !
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Témoignages
DU PASQUIER Judith, Nos inquiétudes = Our troubles, Abacaris films éd, 2012. Vidéothèque : SB Nos. "Impossible de raconter une psychanalyse. Six personnes prennent ici le risque d’en parler. Des morceaux de la vie passent, déchiquetés, re-tricotés. Les figures du psychanalyste rôdent, invisibles et silencieuses. « La séance, c’est un espace hors du temps, hors du temps balisé. Votre parole prend toute la place et vous ne trichez pas avec votre parole. Les mots ont ici une valeur qu’ils n’ont nulle part ailleurs. » (Source : jaquette) FAIVRE-JUSSIAUX Michèle, La salle d’attente de mon psychanalyste, Érès, 2008. Salle de Sciences sociales : 159.964.29 FAI. La salle d’attente du psychanalyste participe incontestablement au dispositif de cure. A travers de courtes séquences écrites à la première personne, l’auteur montre en quoi consiste une analyse et de quelle façon les menus événements de la salle d’attente renvoient au transfert établi avec l’analyste. TISSERON Serge, Les oreilles sales, Paris, Les empêcheurs de penser en rond Le Seuil (coll. « Les empêcheurs de penser en rond »), 2002, 48 p. BU salle de lecture : 159.964 TIS La bande dessinée donne aux postures et aux mimiques autant d’importance qu’aux textes. Elle s’impose ici comme un moyen privilégié de réflexion sur le corps dans tous ses états, y compris là d’où Freud fit tout pour le chasser : la séance de psychanalyse.
YHUEL Isabelle, Le citronnier a pris: quand mettre fin à une psychanalyse ?, J.-C. Lattès, 2011. Salle de Sciences sociales : 159.964 YHU. L’auteure s’interroge sur la fin réelle d’une psychanalyse à partir de sa propre expérience. En effet, à l’annonce de la mort de celle qui fut sa psychanalyste, elle s’aperçoit que le travail entamé n’était peut-être pas tout à fait terminé.