À propos de cette mission : Le Conseil Canadien pour l’Afrique est fier d’annoncer l’organisation d’une mission à Kigali, eau Rwanda du 10 au 13 février 2013. Organisée en collaboration avec le Rwandan Development Board, le Haut-Commissariat du Rwanda au Canada et le Ministère des Relations Internationales, de la Francophonie et du Commerce Extérieur du Québec (MRI-FCE), cette mission représente une occasion unique de découvrir les nombreuses occasions d’affaires dans un pays en pleine croissance économique et ce, dans de nombreux secteurs notamment : Cette mission se veut une occasion unique de rayonner et faire connaître votre entreprise ou institution en contribuant positivement au processus de croissance économique du pays. Durant cette mission, vous serez en mesure de vous familiariser avec la culture des affaires propre au pays et de rencontrer de potentiels partenaires d’affaires. Cette mission s’adresse à tous ceux et celles qui s’intéressent aux opportunités d’affaires qu’offre le Rwanda; aux entreprises québécoises et canadiennes, aux consultants, aux investisseurs et aux institutions financières, ainsi qu’aux institutions d’enseignement et de formation. Durant les nombreuses activités prévues lors de cette mission économique au Rwanda, vous aurez la chance d’assister à divers séminaires ainsi qu’à des rencontres officielles et d’échanger avec les principaux décideurs et opérateurs économiques, grâce aux rencontres individuelles organisées.
Infrastructure (Bâtiments, travaux publics, énergie, environnement, assainissement) Éducation et formation technique et professionnelle
Agriculture
Énergie Tourisme TIC Construction et immobilier Services financiers Santé
Pourquoi participer à cette mission : Connaître les priorités et les projets des grandes institutions internationales qui sont très présentes au Rwanda Pour bénéficier d’un grand nombre de rencontres en un court laps de temps Pour rencontrer les décideurs Établir des liens institutionnels Parce qu’il est important d’être là où les décisions se prennent et qu’il est important d’être connu par les décideurs locaux
Tout cela en bénéficiant d’un encadrement hors pair.
ÉCONOMIE DU RWANDA Rapport sur la situation économique du Rwanda Le Rwanda a réalisé des progrès spectaculaires en termes de développement depuis le génocide et la guerre civile de 1994. Il consolide aujourd’hui ses acquis sur le plan du développement social et de l’accélération de la croissance, en veillant à ce qu’ils soient largement partagés de manière à atténuer les risques d’érosion de la stabilité politique et sociale qu’il a chèrement conquise. L’un de ses objectifs fondamentaux est d’assurer un développement inclusif et de fournir des services équitables, efficaces et favorables aux pauvres, tout en promouvant le développement local dans un cadre de bonne gouvernance. Le Rwanda est également soucieux d’accroître la participation et l’autonomisation des citoyens, ainsi que la transparence et la responsabilité (du sommet à la base et vice versa). Cette démarche de promotion d’une politique et d’une gouvernance inclusives et stables semble porter ses fruits. Le pays est en paix, et est l’un des plus stables du continent. Économie et développement Les objectifs de développement du Rwanda à long terme sont ancrés dans sa « Vision 2020 », dont l’ambition est de transformer son économie à faible revenu fondée sur l’activité agricole en une économie de services basée sur le savoir. Elle prévoit une croissance réelle de 8 % par an, et se donne pour cela : i) d’approfondir les réformes, notamment pour le climat des affaires ; ii) d’investir dans les grandes infrastructures (électricité, transports, TIC) ; iii) d’accroître le niveau de productivité agricole ; et iv) d’investir dans le renforcement des compétences nécessaires à la modernisation de l’économie. Dans le contexte de cette vision à long terme, la stratégie de développement économique et de réduction de la pauvreté définie par le gouvernement accorde le plus haut degré de priorité à une accélération de la croissance dans l’optique de la création d’emplois et du développement des exportations. Cette stratégie s’articule autour de trois programmes-phares stratégiques : Le premier programme-phare (axé sur la croissance) vise à assurer des gains de productivité dans l’ensemble de l’économie. Son objectif est de transformer ainsi l’économie rwandaise pour qu’elle ne repose plus autant sur l’agriculture de subsistance mais davantage sur l’agriculture commerciale, ainsi que l’activité manufacturière et les services. Le deuxième programme-phare (« Vision 2020 ») vise à assurer une croissance partagée en créant des opportu-
nités économiques pour les plus pauvres. Il a trois composantes : i) travaux publics ; ii) enveloppes de crédit ; et iii) appui direct. Le troisième programme-phare (axé sur la gouvernance) cherche à renforcer la gouvernance sur le plan à la fois politique et économique, et à développer les institutions et les capacités de l’État. Il envisage toute une série de réformes pour renforcer les institutions et capacités du secteur public, et englobe aussi les éléments nécessaires à l’établissement d’un environnement porteur pour les affaires, notamment le renforcement des systèmes de justice commerciale, les cadres administratifs et réglementaires, et la promotion de principes de bonne gouvernance d’entreprise. Le gouvernement reconnaît également le rôle essentiel joué par le secteur privé pour accélérer la croissance et réduire la pauvreté, et c’est pour cela qu’il recherche à présent des moyens novateurs pour financer son développement en débordant du cadre des partenaires et instruments traditionnels. Il a donc engagé des réformes en vue d’améliorer le climat des affaires et de réduire le coût de l’activité économique. Après s’être classé en tête des pays réformateurs dans l’édition 2010 du rapport Doing Business, le Rwanda a figuré l’année suivante parmi les dix économies affichant les progrès les plus marqués ; en 2012, il occupe la troisième place en Afrique en ce qui concerne la facilité de faire des affaires. Au cours des deux dernières années, le Rwanda a atteint des performances de croissance remarquablement élevées. Le taux de croissance du PIB réel est monté à 7,2 % en 2010 et 8,6 % en 2011, après avoir chuté à 4,1 % en 2009. La production non marchande, et notamment le secteur des services et celui du bâtiment, s’est envolée en se conjuguant à l’essor du secteur minier. Le maintien de taux de croissance élevés dans les services et le bâtiment découle largement de la politique budgétaire expansionniste que mène le gouvernement depuis 2006 et que les importants flux d’aide étrangère contribuent à financer. En 2011, la croissance du secteur industriel a dépassé celle des services en raison de la forte progression enregistrée dans le secteur minier et le bâtiment. La production dans le secteur minier a en outre bénéficié des cours record affichés par les matières premières minérales sur les marchés mondiaux. Même si son importance s’amenuise, l’agriculture est toujours un pilier de l’économie rwandaise. Au cours des cinq dernières années, le secteur agricole a contribué à 35 % du PIB, à 73 % des emplois (selon la dernière enquête auprès des ménages de 2010/11) et à 45 % des recettes d’exportation. Les pressions inflationnistes sont réapparues en 2011 en raison de la hausse des prix alimentaires mondiaux et des flambées pétrolières ; de même que dans les pays voisins, les produits alimentaires et énergétiques ont été les
principaux moteurs de l’inflation au Rwanda. Les prix alimentaires (qui représentent 35 % du panier des ménages) ont connu une hausse record de 15,5 % en février 2012, contre une baisse de 2,7 % en décembre 2010, tandis que l’inflation progressait également dans l’énergie. En raison de ces facteurs, le taux d’inflation non corrigé, qui avait enregistré des niveaux historiquement bas au dernier trimestre de 2010 (0,2 % en décembre 2010), a connu une hausse quasiment ininterrompue en 2011 et atteint ses niveaux les plus élevés depuis la mi-2009. L’inflation de base est montée jusqu’à 9 % en septembre 2011 et s’est maintenue par la suite à des taux élevés. Afin de contenir les pressions inflationnistes, la Banque nationale du Rwanda (BNR) — la banque centrale du pays — a commencé à relever ses taux directeurs en octobre 2011. Cependant, le taux d’escompte, élément clé de la politique monétaire, n’a été augmenté que de 100 points de base à 7 %, ce qui correspond à un chiffre négatif en termes réels. L’inflation de base n’a commencé à se replier qu’en février 2012, après que le gouvernement a réduit les taxes sur les combustibles pour la seconde fois en janvier 2012 afin d’empêcher que les pressions s’exerçant sur les prix des produits énergétiques ne s’étendent au reste de l’économie. Le Rwanda demeure très tributaire de l’aide financière de ses partenaires au développement. Environ 40 % du budget du Rwanda est financé par l’aide extérieure, ce qui représente à peu près 11 % du PIB en 2010/11. Cette situation place le pays dans une situation de vulnérabilité en cas de réduction de cette aide et compte tenu notamment des politiques d’assainissement des finances publiques conduites dans nombre de ses pays donateurs, dans le contexte en particulier de la crise des dettes souveraines dans la zone euro. Par ailleurs, les recettes de l’État sont parmi les plus basses des pays de toute l’Afrique de l’Est. Même si elles ont atteint un niveau inhabituel en 2010/11 — 14 % du PIB — grâce à une hausse des impôts directs et des taxes indirectes, ces recettes ont été rattrapées par des dépenses supérieures aux prévisions dans toutes les catégories (à l’exception des dépenses d’équipement financées au moyen de fonds extérieurs), ce qui a abouti à une aggravation du déficit à 3,8 % du PIB, contre 0,5 % en 2009/10. Enfin, sachant que les échanges du Rwanda sont de plus en plus orientés vers ses partenaires de la Communauté d’Afrique de l’Est, les pertes qui en découlent au niveau de la perception des droits de douane internationaux sont destinées à perdurer et cette évolution dans la structure des recettes doit être prise en compte dans les prochains efforts d’assainissement des finances publiques.
Calendrier FÉVRIER 2013 Dim
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9 Soirée Départ de Montréal
10 Soirée– Arrivée à Kigali Briefing
11 Programme
12 Programme
13 Programme
14 Retour vers Montréal
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Programme préliminaire Temps 21h00
Dimanche 10 février
Arrivée à Kigali Installation à l’hôtel Briefing avec le Rwandan Development Board
Lundi 11 février
09h00
Séminaire « Comment faire affaires avec le Rwanda »
13h00
Déjeuner (à confirmer)
15h00
Rencontres individuelles
Mardi 12 février
09h00
Rencontres individuelles
12h00
Rencontre avec la Chambre de Commerce et d’Industrie (à confirmer)
14h00
Rencontres individuelles
19h00
Réception à la résidence officielle du Canada Mercredi 13 février Journée consacrée aux rencontres individuelles et visites de projets
17h00
Séance de Debriefing
Jeudi 14 février
Journée consacrée aux rencontres individuelles et visites de projets Ou Possibilités de visites touristiques Départ vers le Canada
Frais de participation Les frais de participation sont de 1800 $ pour les membres de CCAfrique et de 2300 $ pour les non‐membres. Ces frais couvrent la préparation du programme, l’organisation de rencontres individuelles, certains repas et transports locaux, les réceptions et les événements de réseautage. Politique d’annulation : Les annulations reçues après le 31 Janvier 2013 seront assujetties à des frais d’administration de 25 % (plus taxes) basés sur les frais d’inscription. Les annulations reçues 48 heures ou moins avant le début de la mission ne seront pas remboursées.
Arrangements de voyage Les participants à la mission sont responsables de l’organisation de leur voyage y compris les vols, l’hébergement, les visas d’affaires, l’assurance santé et les précautions requises (vaccins, etc.). CCAfrique vous suggère d’incorporer à vos plans de voyages une assurance santé internationale et une assurance voyage de haute qualité. CCAfrique recommande fortement les services de notre agence de voyages partenaire, Oasis Voyage. Veuillez contacter Bouchra Majdouline (514) 842-5959 et mentionnez-lui que vous voyagez dans le cadre d’une mission de CCAfrique pour bénéficier de nos tarifs préférentiels! Prenez note que les citoyens canadiens ont besoin d’un visa pour entrer au Rwanda. La demande peut se faire facilement en ligne ou directement au Haut-Commissariat à Ottawa. Pour plus d’informations, veuillez visiter le site web du Haut-Commissariat du Rwanda au Canada en cliquant ici.
Inscription Nom: Adresse pour la facturation: Tél.: Télécopieur: Nom du délégué: Position: Courriel: Site web: Secteur(s) d’activité: Contact en cas d’urgence: Inscription
MEMBRE
1 800 $
NON-MEMBRE
2 300 $
Option de paiement Sous-Total: TPS+TVQ=14.5%: Total: POLITIQUE D’ANNULATION
En cas d’empêchement, une personne substitue peut assister, sans frais supplémentaires avec un avis au préalable. CCAfrique ne rembourse pas lors d’annulations. CCAfrique offrira aux personnes inscrites qui seront incapables d’assister à l’évènement toutes documentations informatives disponibles. CCAfrique a le droit de modifier le programme de la conférence, sans préavis, y compris les conférenciers, les sujets ou la date de l’événement
Paiement—Chèque Carte de crédit:Visa Mastercard No. de Carte de crédit: Date d’exp.: Signature: Envoyer par Fax au (514) 387-5480 ou par courriel à leonie.perron@ccafrica.ca. Pour plus d’informations contactez Léonie Perron, Chargée de Projets (514) 451-9232
Profil de l’organisation Veuillez insérer ici un profil de votre organisation (100-150 mots).
Objectifs de la mission a) Décrivez les objectifs que vous poursuivez en participant à cette mission:
b) Donnez des exemples de compagnies, institutions et agences gouvernementales que vous aimeriez rencontrer dans le cadre de la mission :
c) Quelles sont les compagnies, institutions et personnes qui devraient être invitées aux événements tenus dans le cadre de la mission (noms des personnes et coordonnées) :