Briller par son excellence automne 2015

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INITIATIVE DE

Briller par son ÉDITION AUTOMNE 2015

Faites-vous vraiment le travail qui vous convient?

Numéro de convention de la poste-publications 40037621


TA B L E D E S M AT I È R E S

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Mot du directeur général Faites-vous vraiment le travail qui vous convient?

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Signature Pivot Centre-du-Québec

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À la CDEVR (CLD) Présidence au nouveau conseil d’administration de la CDEVR (CLD) Journée Carrière Régionale Mission économique en France Dîner d’économie sociale

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À la une Mission réorientation!

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Nouvelles entreprises Cute’titude Boulangerie Soucy

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Mentorat pour entrepreneurs Dans l’oeil du mentor : une soirée riche en émotions pour les lauréats de la première édition

Développement durable Virage vers des procédés de finition sur bois et métal à faible impact environnemental

Légende des programmes d’aide reçus par les entreprises : FDEÉS Fonds de développement des

entreprises d’économie sociale

FJP Fonds Jeunes Promoteurs

Futurpreneur Canada (anciennement FCJE) FLI Fonds local d’investissement STA Soutien au travail autonome AT Aide technique M Mentorat pour entrepreneurs

Le bulletin trimestriel Briller par son Excellence est entièrement rédigé et conçu par la Corporation de développement économique de Victoriaville et sa région (CLD). Il est distribué dans toutes les entreprises manufacturières, de distribution et de services aux entreprises sur le territoire ainsi qu’aux partenaires économiques. Les renseignements contenus dans les pages du bulletin visent non seulement à informer les lecteurs sur les derniers événements économiques, mais aussi à faciliter le réseautage entre entreprises. 747, boulevard Pierre-Roux Est Victoriaville (Québec) G6T 1S7 Téléphone : 819 758-3172 Site Internet : www.cdevr.ca Courriel : cdevr@cdevr.ca

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Mot du directeur général FAITES-VOUS VRAIMENT LE TRAVAIL QUI VOUS CONVIENT? Question angoissante pour certains, stimulante pour d’autres, mais à laquelle la plupart d’entre nous sont confrontés tôt ou tard au cours de sa vie. Les récents résultats de l’enquête concernant le bien-être au travail concluent qu’il y a deux fois plus de travailleurs désabusés et démotivés par leur emploi que de gens qui adorent ce qu’ils font. Étant donné que l’on passe pratiquement la moitié de sa vie au travail, eh oui!, il est primordial de s’épanouir dans ce que l’on fait! Voici quatre signes qui vous indiqueront si vous avez choisi la bonne carrière1. 1. VOUS AIMEZ VENIR AU TRAVAIL Presque... tous les jours, vous arrivez au bureau avec le sourire et une attitude positive. Vous appréciez vos tâches et vous avez envie de vous perfectionner dans ce que vous faites. Vous participez à la vie en communauté au bureau et prenez souvent des initiatives. 2. VOUS APPRÉCIEZ VOS COLLÈGUES Quand vous faites un métier qui vous passionne, il y a des chances que vous vous trouviez avec des gens tout aussi allumés que vous et qui partagent votre enthousiasme. La motivation des employés est le meilleur moteur des entreprises! À l’inverse, moins vous vous entendez avec vos collègues et plus il sera difficile de vous épanouir au travail. 3. VOUS VOYEZ À LONG TERME Vous n’êtes sans doute pas à la place qui vous convient si vous vous contentez de faire le minimum nécessaire au quotidien pour justifier votre paie. Si vous avez au contraire envie d’en faire toujours plus, de vous surpasser, vous renseigner et de prendre des initiatives, c’est que votre travail vous motive. 4. VOUS NE PENSEZ PAS QU’À L’ARGENT Vous aurez beau gagner beaucoup d’argent, si vous passez votre vie à un poste qui ne vous plaît pas, vous n’aurez finalement rien gagné. Quelle que soit la somme qui figure sur votre chèque, le manque d’intérêt pour vos tâches ou de flexibilité dans vos horaires finira par vous lasser et vous démotiver vraiment. 1

Rendez-vous aux pages 6 et 7, vous y trouverez une foule de renseignements concernant le changement de carrière et le retour aux études.   AUTOMNE CHARGÉ À LA CDEVR (CLD) Tout d’abord, nos deux commissaires industriels, Annabelle Guay et Richard Croteau, ont effectué une mission économique en Europe à la mi-octobre, et ce, dans le but d’y rencontrer plusieurs entreprises prêtes à s’installer en Amérique du Nord. Aussi, c’est le 20 octobre dernier qu’avait lieu la première édition du concours Dans l’œil du mentor, organisé par la cellule de mentorat de la Corporation. Vous trouverez un résumé de la soirée ainsi que des photos des lauréats à la rubrique page 10. De plus, le 5 novembre se tenait la 6e édition de l’activité réseautage du Pôle d’économie sociale du Centre-du-Québec, organisée conjointement avec la CDEVR (CLD), et tenue chez Pivot CDQ. Pour conclure ce mot, j’aimerais vous faire part que dernièrement, j’ai reçu le prix Carrière exceptionnelle remis par l’Association des professionnels en développement économique. C’est très émouvant de recevoir de ses pairs une telle reconnaissance et je ne peux que me sentir honoré de ce prix. Si je vous en parle, c’est pour me faire l’avocat du diable concernant le sujet de ce bulletin. Je suis un privilégié du travail… J’ai eu la chance de travailler avec bonheur (presque) tous les jours, je me suis entouré de collègues tout aussi passionnés que moi, j’ai été visionnaire plus souvent qu’à mon tour pour une multitude de projets, et même si l’argent a son importance, je ne l’ai jamais laissé guider mes choix. Je vous souhaite d’avoir cette même flamme qui m’anime toujours autant, pour ce métier que j’ai choisi il y a déjà plus de 40 ans!

http://www.droit-inc.com/article13109-Avez-vous-la-job-qui-vous-convient

Si vous ne vous reconnaissez dans aucune de ces affirmations, il est peut-être temps de passer à l’action et de faire autre chose!

René Thivierge, directeur général


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Signature

PIVOT CENTRE-DU-QUÉBEC, à l’écoute des besoins des entreprises Connaissez-vous l’organisme communautaire Pivot Centre-du-Québec (CDQ)? Il a pour mission de favoriser le rétablissement et l’insertion sociale des personnes vivant avec un trouble sévère de santé mentale en leur offrant des activités de travail et d’apprentissage dans un cadre adapté. Situé sur le territoire de la MRC d’Arthabaska, ce point de service, auparavant connu sous le nom de l’Atelier transitoire d’intégration communautaire (A.T.I.C.), existe sous sa forme actuelle depuis 2013. Pivot CDQ, c’est un service de réadaptation psychosociale en santé mentale qui s’apparente à une PME. « Dans l’atelier, les participants s’adonnent à diverses tâches manuelles qui ne nécessitent ni formation ou équipements spécialisés, et ils travaillent en moyenne 15 heures par semaine, réparties sur trois jours. L’objectif est de maintenir un équilibre et une routine de vie et non pas de mettre une pression quelconque », explique la directrice de l’organisme, Christine Boisvert. Situé au 30-B, rue de l’Artisan à Victoriaville (anciennement Imprimerie Hébert), Pivot CDQ occupe de grands locaux dotés également d’un débarcadère pour la livraison, facilitant ainsi l’accès pour le chargement et le déchargement du matériel, et permettant de recevoir plus de contrats et de travailleurs participants. Pour Mme Boisvert, les entreprises sont les partenaires indispensables de Pivot CDQ. « L’organisme, qui compte deux points de service, dont un à Drummondville, est financé par le CIUSSS. Toutefois, les contrats de sous-traitance avec l’entreprise privée représentent un pourcentage élevé du budget de fonctionnement de celui-ci et permettent la réalisation de la mission. En collaborant avec Pivot CDQ, tout le monde y gagne! » De nombreux services sont offerts tels que : emballage, assemblage, ensachage, étiquetage, envois postaux, pliage, scellage et mise en boîte. « Vous produisez des pièces, mais un de vos clients désire qu’elles soient assemblées? Peu importe la quantité, pourvu que cela n’exige pas de grosses machineries, nous pouvons emballer ou réemballer vos produits, tout en suivant vos indications », spécifie le responsable du service aux entreprises, Carl Desharnais. Pivot CDQ se présente comme une solution économique pour votre entreprise, en permettant de libérer vos employés de certaines tâches, de façon à rentabiliser plus efficacement leur travail,

de bénéficier d’un service de sous-traitance qui respecte les budgets et les délais de chacun, d’obtenir un travail de qualité et un service personnalisé. Si une des tâches que vous désirez nous confier ne se retrouve pas dans notre liste, pas de problème, chez Pivot CDQ, on vous offre un service personnalisé », rajoute Mme Boisvert. Celle-ci cite d’ailleurs en exemple une imprimerie qui leur avait confié la tâche d’une insertion d’un manuel d’instruction pour l’installation d’une fenêtre neuve. Après vérification, le client a réalisé que la colle de certains lots présentait une non-conformité. Pivot CDQ a donc procédé au contrôle qualité de la colle de centaines de pochettes en testant leur produit sur l’ensemble des fenêtres de l’organisme. Aussi, depuis peu, l’organisme offre un tout nouveau service, celui d’assemblage de chutes d’érable pour les producteurs acéricoles de la région. L’assemblage standard comprend la coupe de la tubulure pour la chute à la longueur désirée, l’insertion du chalumeau à l’une des extrémités et la pose d’un T bouchon à l’autre. Le tarif pour ce travail est de 0,08 ¢ pour chaque chute assemblée. « Nous sommes polyvalents et à l’écoute des besoins des entreprises, nos travailleurs participants savent répondre aux attentes en exécutant un travail de qualité, tout en respectant les échéanciers », termine la directrice générale de l’organisme.

30-B, rue de l’Artisan Victoriaville (Québec) G6P 7E4 Téléphone : 819 604-3745 Courriel : developpement@pivotcdq.org Site Internet : www.pivot-cdq.org


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À la CDEVR (CLD) PRÉSIDENCE AU NOUVEAU CONSEIL D’ADMINISTRATION DE LA CDEVR (CLD) En fin septembre, le nouveau conseil d’administration de la CDEVR (CLD) a élu son président. C’est le maire par intérim de la Ville de Victoriaville, M. Christian Lettre, qui occupe maintenant ce poste. Rappelons que le conseil est composé de : Martin Vaudreuil, vice-président et délégué industriel, propriétaire des Fibres Vaudreuil à Warwick Lionel Fréchette, secrétaire-trésorier et délégué municipal, maire de Sainte-Hélène-de-Chester et préfet de la MRC d’Arthabaska Antoine Tardif, délégué municipal, maire de Daveluyville Harold Poisson, délégué municipal, maire de Saint-Rosaire Yannick Gardner, délégué industriel, président-directeur général des Aciers Solider à Victoriaville Gilles Lafontaine, délégué de la Corporation d’initiative industrielle de Victoriaville et conseiller municipal Virginie Bonura, déléguée commerciale, présidente de la Chambre de commerce et d’industrie des Bois-Francs et de l’Érable Steve Leriche, délégué touristique, directeur général de l’Hôtel Le Victorin

JOURNÉE CARRIÈRE RÉGIONALE L’événement annuel Journée Carrière Régionale, organisé par la Commission scolaire des Bois-Francs et le Cégep de Victoriaville, a eu lieu le 4 novembre 2015. Au cours de cette journée, les élèves de quatrième et cinquième secondaires des écoles publiques de la région, ainsi que du Collège Clarétain, ont eu l’occasion de rencontrer des représentants de nombreux programmes d’études professionnelles, collégiales et universitaires. Afin de stimuler l’entrepreneuriat chez les jeunes, Johanne Therrien, de la Corporation de développement économique de Victoriaville et sa région (CLD), et Jean-François Girard, de la SADC Arthabaska-Érable, ont animé l’atelier intitulé « As-tu la boss des affaires? », auquel ont participé une trentaine d’élèves. Dans le cadre de cet atelier, les animateurs ont présenté aux jeunes le métier d’entrepreneur. Entre autres, il a été question des avantages d’être entrepreneur et des étapes de démarrage d’une entreprise. L’atelier s’est conclu avec le témoignage d’un entrepreneur de Victoriaville, M. David Pellerin, propriétaire de Services Probe.

David Pellerin, Johanne Therrien et Jean-François Girard


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MISSION ÉCONOMIQUE EN FRANCE Du 13 au 23 octobre dernier, les deux commissaires industriels de la CDEVR (CLD), Annabelle Guay et Richard Croteau, ont participé à une mission économique dans la région CentreVal de Loire (Orléans), en France.

Les commissaires industriels Annabelle Guay et Richard Croteau

Ils y ont rencontré une quarantaine d’entrepreneurs désireux de s’installer en Amérique du Nord. Cette tournée s’est effectuée, en partie, avec M. Dominique Boutaud, un entrepreneur d’Orléans qui a choisi Victoriaville, en 2013, comme terre d’accueil pour son entreprise Zéodratation+Plus Canada. Les différentes visites réalisées lors de ce séjour ont permis à nos commissaires de faire valoir les services offerts par la CDEVR (CLD) et les outils performants mis en place pour bien les accueillir. Quelques projets porteurs se sont démarqués du lot par leur côté original, leur potentiel et leur complémentarité avec notre tissu industriel. À suivre…

DÎNER D’ÉCONOMIE SOCIALE C’est le 5 novembre dernier que se tenait le dîner réseautage du Pôle d’économie sociale du Centre-du-Québec sur le territoire de la MRC d’Arthabaska. Organisée en collaboration avec la Corporation de développement économique de Victoriaville et sa région (CLD), cette activité, tenue chez Pivot Centre-du-Québec, a permis à près de 40 personnes, élus municipaux, partenaires locaux et régionaux, et représentants d’entreprises d’économie sociale, de se rencontrer et d’échanger. Carl Desharnais et Christine Boisvert de Pivot CDQ, Johanne Therrien de la CDEVR (CLD), Chantal Tardif et André Nadeau du Pôle d’économie sociale Centre-du-Québec

Le Pôle d’économie sociale en a profité pour informer les participants sur le projet ARRIM’ÂGE EMPLOI; celui-ci étant destiné à favoriser la relation entre les personnes retraitées à la recherche d’un emploi et les employeurs du Centre-du-Québec.


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À la une

MISSION RÉORIENTATION! Ça y est, votre décision est prise : vous réorientez votre carrière ou vous retournez aux études. Voici maintenant la marche à suivre pour faire de ces projets une réussite. RÉORIENTATION DE CARRIÈRE Un changement de carrière, ça se prépare. Au lieu de vous presser et de sauter des étapes, allez-y pas à pas pour bien orchestrer le processus. Il faut une bonne dose de réflexion avant de pouvoir passer à l’action! RÉFLÉCHISSEZ Une période d’introspection de quelques semaines ou quelques mois est nécessaire pour choisir sa nouvelle carrière et déterminer quelles compétences utiles on possède déjà. À cette étape, il est trop tôt pour quitter son emploi actuel. « Il faut toutefois commencer à s’en détacher », ajoute la psychosociologue Monique Soucy. Par exemple, si vous voulez vous lancer en affaires, il faudra dire adieu à la sécurité d’emploi. Besoin d’un guide à cette étape? Vous pouvez faire appel à un conseiller d’orientation. INFORMEZ-VOUS Il est important de se renseigner sur la réalité du métier visé pour dissiper toute fausse perception. « Par exemple, un fleuriste n’est pas qu’un artiste. C’est aussi le propriétaire d’un commerce, donc un homme ou une femme d’affaires », illustre Mme Soucy. Si vous devez retourner aux études, il faudra planifier vos finances pour ne pas en sortir déplumé. De plus, il est utile de se renseigner sur les conditions de travail et les salaires dans le milieu qui vous intéresse. Une bonne recherche inclut de 15 à 20 employeurs. COMMUNIQUEZ AVEC VOTRE ENTOURAGE Parlez de votre décision à votre famille et à vos amis. Leur opinion pourrait vous aider à préciser votre projet. Il se pourrait aussi qu’un de vos proches connaisse une personne capable de faciliter votre transition de carrière. RÉGLEZ LES FORMALITÉS Si votre changement de carrière exige des études ou des stages, inscrivez-vous sans tarder. Réécrivez votre CV en mettant en valeur votre formation, vos compétences et vos réalisations liées au domaine visé. Par exemple, un ancien représentant commercial qui se réoriente en relation d’aide misera notamment sur ses aptitudes en communication. PASSEZ À L’ATTAQUE Comment? Tout d’abord, il faut envoyer des CV aux employeurs qui vous intéressent, puis les relancer dix jours plus tard. Il est aussi important de vous préparer à leur expliquer pourquoi vous changez de carrière. http://www.jobboom.com/carriere/changer-de-carriere-en-cinq-etapes/


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RETOUR AUX ÉTUDES ON SE RENSEIGNE SUR LES FORMATIONS On fait le tour des différents programmes d’études menant au métier de nos rêves, puis on s’informe sur la durée de la formation et les conditions d’admission. On appelle directement dans les centres de formation, collèges ou universités, et on parle avec les responsables des programmes. On demande si les diplômés se placent bien, qui sont les employeurs, etc. On fait ensuite des choix selon notre situation. Marie Guylaine, qui s’est réorientée alors qu’elle avait deux enfants, plus de conjoint et pas d’emploi, a jugé qu’il n’était pas réaliste de retourner sur les bancs d’école deux ou trois ans pour apprendre la photographie. « J’ai choisi d’apprendre le métier avec un maître photographe, en oeuvrant à ses côtés comme apprentie. » Johanne ne pouvait pas non plus se permettre d’étudier trois ans pour devenir policière, avec deux ados en garde partagée. « J’ai trouvé une formation de cinq mois dans le domaine qui m’attirait. J’ai complété une attestation d’études collégiales en sûreté aéroportuaire; c’était parfait pour moi! » « La formation est l’étape la plus ardue », souligne Josée Beaulieu. On court pour aller mener les enfants à la garderie avant de se rendre à l’école et à la fin de la journée, ce n’est pas fini, il faut étudier. C’est épuisant physiquement et intellectuellement. Il est donc important d’être bien organisé et de persévérer. La formation est un moment difficile. Il faut accepter de faire des erreurs et

il faut accepter la critique, en plus d’avoir à se rebâtir une crédibilité dans un domaine, alors qu’on en a une dans une autre carrière.   DES TRUCS POUR PLANIFIER UN RETOUR AUX ÉTUDES Déléguer certaines de nos responsabilités à nos proches (conjoint, parents, amis) afin d’avoir plus de temps; Prendre un congé sans solde de notre emploi actuel; Réduire notre temps de travail à trois jours par semaine pour pouvoir étudier à temps partiel; Étudier à temps plein en acceptant un petit boulot à temps partiel; Vérifier auprès de son conseiller financier si on peut utiliser nos REER pour financer nos études, avec le régime d’encouragement à l’éducation permanente, le REEP; http://www.cra-arc.gc.ca/tx/ndvdls/tpcs/rrsp-reer/llp-reep/menu-fra.html

Demander des prêts et bourses si on a un petit salaire ou pas de revenu; S’informer auprès de notre CLE; Emploi-Québec offre parfois une aide financière pour les études, surtout si on reçoit de l’assurance-emploi. http://www.coupdepouce.com/bien-dans-ma-tete/travail/est-ce-le-temps-de-changerde-carriere/a/34155/4

Et si la réorientation que vous envisagez est de devenir votre propre patron, alors ne tardez plus et communiquez avec les professionnels de la CDEVR (CLD). Ceux-ci pourront certainement vous éclairer sur les moyens mis à votre disposition pour réaliser le projet de VOTRE vie!


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Nouvelles entreprises CUTE’TITUDE :

des vêtements conçus pour être à la fois confortables et séduisants, autant à la maison, au bureau, que pour une sortie DES CRÉATIFS À VOTRE DISPOSITION POUR VOS

CONCOURS FACEBOOK Augmentez vos fans et fidélisez votre auditoire. Contactez-nous!

Cute’titude est une entreprise québécoise de vêtements pour femmes qui s’inspire de la beauté d’être une femme, selon la vision de la designer, soit : force, créativité, joie, rayonnement, persévérance, grâce, élégance et authenticité. Porter la marque Cute’titude, c’est adopter l’attitude de la femme forte, tout en étant séduisante, adorable et cute. La designer et propriétaire, Catherine Rouillard, veille à ce que les tissus sobres, égayés par un ou plusieurs accents de couleurs, s’allient à chaque pièce de vêtements afin d’évoquer les côtés « cute et attitude ». Pour elle, assumer son côté cute, c’est une attitude qui permet de se sentir exceptionnelle, courageuse, rebelle, persévérante, décidée et révolutionnaire. Tant qu’à déplacer des montagnes au travail, à la maison ou dans notre quotidien, pourquoi ne pas le faire avec élégance, en se sentant séduisante, adorable et… cute? », explique celle-ci. Diplômée en arts visuels/design de présentation, Catherine Rouillard a choisi d’exprimer sa créativité dans la confection de vêtements. C’est à l’école Fibrelle de Sherbrooke qu’elle a perfectionné sa technique, en suivant une formation de haute couture. Elle prend plaisir à dessiner, découper, assembler et allier couleurs et textures afin de nous partager sa vision de la beauté d’être une femme.

Robe Cupcake

Jupe Kouign-Amann

Dans le respect de ses valeurs, la propriétaire favorise l’achat de produits locaux. Ainsi, la majorité des tissus qu’elle utilise sont fabriqués au Québec.

LUCE LAVERTU-MARTEL luce.lavertu@vertisoftpme.com 819.751.6660 x 2433

Vous pouvez désormais vous procurer les vêtements de la designer sur le site Web de l’entreprise au www.cutetitude.ca (vous devez allouer cinq à six jours pour recevoir votre commande), ainsi qu’aux endroits suivants : Boutique pour Dames au 130, rue Notre-Dame Est à Victoriaville, à la Cascaderie, située au 407, boulevard Marie-Victorin à Kingsey Falls, et depuis peu, à la boutique Belle et Rebelle au 48, rue Wellington Nord à Sherbrooke. STA Téléphone : 819 740-3966 Courriel : info@cutetitude.ca Site Internet : www.cutetitude.ca


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BOULANGERIE SOUCY,

une nouvelle boulangerie-pâtisserie à Daveluyville repas pour mes quatre frères et je me suis découvert une vraie passion pour la cuisine », explique le copropriétaire et boulanger. Suite à cette expérience auprès des siens, Louis a poursuivi ses études en boulangerie-pâtisserie, ainsi qu’un stage à la Boulangerie Lemieux de Princeville, et par la suite, il a travaillé durant sept ans à la Boucherie Côté de Sainte-Eulalie. Maintenant, il réalisera un de ses rêves en ouvrant, début décembre 2015, la Boulangerie Soucy. La Boulangerie Soucy ouvrira officiellement ses portes au début du mois de décembre

Une toute nouvelle boulangerie-pâtisserie ouvrira ses portes sous peu à Daveluyville. Située au cœur du village, près des écoles et du parc industriel, la Boulangerie Soucy, propriété de Louis Soucy, Pascale Bergeron et Lauraine Morissette, offrira de nombreux produits. En plus d’une grande variété de pains et de pâtisseries telles que pâtés, tartes, biscuits et gâteaux de toutes sortes, les gens pourront également s’y procurer des mets préparés à emporter, de même que des charcuteries maison et commerciales. Sur place, il y aura aussi un comptoir de fromages fins, ainsi qu’une section petits péchés , comprenant fudges , sucres à la crème et chocolats fins. Pour Louis Soucy, la fibre entrepreneuriale a germé dès l’âge de 12 ans. Ma mère s’est retrouvée alitée suite à un accident de la route et le processus de guérison a été assez long. Afin d’aider ma famille à traverser cette épreuve, j’ai commencé à préparer les

Connaissant Louis depuis de nombreuses années, c’est avec confiance que Lauraine Morissette a décidé de se joindre à ce nouveau projet. Jeune retraitée de l’entreprise familiale dans le secteur du bois, Mme Morissette fera bénéficier ses partenaires d’affaires de son expertise en comptabilité, en plus de s’adonner à sa propre passion, la confection de chocolats fins. La troisième associée, Pascale Bergeron, travaille avec Louis Soucy depuis quatre ans à la Boucherie Côté où elle s’occupait du département des mets cuisinés à emporter. Ayant été propriétaire d’une résidence pour aînés, donc habituée de préparer des repas diversifiés et nourrissants, ce poste lui convenait parfaitement. Elle a aussi travaillé sur des chantiers dans le Nord-du-Québec, dans la préparation des repas et des collations pour les travailleurs. C’est donc animée d’une passion commune et d’un savoir-faire issus d’une grande expérience que l’équipe de promoteurs accueillera la population dans ses nouveaux locaux, dès le début décembre. 98, 7e Avenue Daveluyville (Québec) G0Z 1C0 Téléphone : 819 367-2474

FLI - FJP - STA

ÉVÉNEMENT À NE PAS MANQUER - CONFÉRENCE DE DANIÈLE HENKEL Le 18 février 2016, à l’occasion de la 5e année de collaboration dans la promotion de l’immigration auprès de la communauté des affaires et des différents acteurs, Accès travail, la CDEVR (CLD) et Emploi-Québec, ont invité nulle autre que la célèbre femme d’affaires, Mme Danièle Henkel, qui nous parlera de l’apport économique de l’immigration pour le développement de nos PME locales. Originaire du Maroc, Mme Henkel nous entretiendra, en toute connaissance de cause, de la plus-value que peuvent apporter aux entreprises les personnes formées à l’étranger : innovation, productivité, ouverture de marchés, etc.


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Mentorat pour entrepreneurs UNE SOIRÉE RICHE EN ÉMOTIONS POUR LES LAURÉATS DE LA PREMIÈRE ÉDITION Le 20 octobre dernier avait lieu, à la Place DANS L’OEIL DU MENTOR 4213, la première édition de l’événement Dans l’œil du mentor, organisé par la cellule de mentorat pour entrepreneurs de la CDEVR (CLD). Lors de cette soirée, cinq entrepreneurs de la MRC d’Arthabaska ont présenté leur entreprise respective aux dragons-mentors, et ce, devant une centaine de personnes. Ces cinq finalistes se sont partagé 5 000 $ en bourses, dont 1 000 $ de la CDEVR (CLD), pour le prix Coup de cœur du public. « Ce concours permet, entre autres, de démystifier le rôle du mentorat auprès des entrepreneurs, d’offrir l’opportunité à nos finalistes de faire connaître leurs produits et services, en plus de stimuler la fibre entrepreneuriale des personnes présentes »,

souligne la coordonnatrice de la cellule de mentorat, Mme Julie Laroche. Les participants disposaient de huit minutes pour faire valoir les qualités avant-gardistes de leur entreprise. Suite à leur présentation, suivait une période de questions des quatre dragonsmentors, soit Mme Johanne Allison dite la coach, MM. Yves Marchand, le réfléchi, Serge Bourgeois, l’analyste, et Antoine Baril, l’efficace. La cellule de mentorat existe depuis 2004, et celle-ci a permis d’accompagner plus de 150 entreprises. Ce service d’accompagnement, offert gratuitement à tous les entrepreneurs de Victoriaville et sa région comptant une à cinq années d’expérience, fonctionne avec une inscription, sur une base volontaire, motivée par le goût de réussir. Le service de mentorat vous intéresse, ou encore, vous aimeriez offrir vos services en tant que mentor? Communiquez sans plus tarder avec Mme Julie Laroche, au jlaroche@cdevr.ca.

Choisis parmi 20 entreprises inscrites, les cinq finalistes sont tous repartis avec une bourse :

Mmes Nancy et Julie Godbout O2 SOLEIL 600, boul. Jutras Est à Victoriaville, # 90 819 604-7227 1 000 $

Mme Audrey Mailloux et M. Jérôme Ouellet ÉCLAIRAGE 5e DIMENSION 346, rue des Écoles à Victoriaville 819 460-2891 1 150 $

Mmes Thérèse Ferland et Joanie Vaillancourt KDANSE 64, rue St-Cyr à Victoriaville, local 5 819 604-0751 2 400 $ (dont le prix Coup de coeur)

M. David Pellerin SERVICES PROBE 205, Avenue Pie X à Victoriaville 819 604-1171 250 $

Mme Marie-Ève Goyer et M. Frédéric Vincent VALORIX 37, rue de l’Hôtel-de-Ville à Warwick 819 352-6156 200 $

Les lauréats en compagnie des dragonsmentors et de la coordonnatrice de la cellule de mentorat, Mme Julie Laroche


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Développement durable VIRAGE VERS DES PROCÉDÉS DE FINITION SUR BOIS ET MÉTAL À FAIBLE IMPACT ENVIRONNEMENTAL Le 15 octobre dernier, l’EQMBO-Entreprises, en collaboration avec la CDEVR (CLD) et la Ville de Victoriaville, a organisé un déjeuner-conférence portant sur les procédés de finition industrielle à faible impact environnemental. Les entreprises font face à des exigences de plus en plus sévères quant aux émissions atmosphériques et doivent se tourner vers des technologies qui émettent moins de contaminants dans l’air. Non seulement ce virage vert permet à l’entreprise de demeurer réglementaire et réduire son impact sur l’environnement, mais cela peut aussi avoir des effets positifs sur la santé et la sécurité des travailleurs, de même que sur l’image corporative de l’entreprise, pouvant également créer des débouchés sur de nouveaux marchés. C’est justement à ce niveau que l’EQMBO-Entreprises, qui est un centre collégial de transfert technologique, peut aider des entreprises de l’industrie du bois et de l’ameublement. L’équipe de spécialistes est en mesure d’accompagner une entreprise pour analyser les méthodes de finition, réaliser de la recherche appliquée pour tester un produit ou un procédé, ainsi que d’effectuer pub bancs trousse d’essai avantages horizontale_Mise en page 1 15-03-12 15:36 Page1 des dans leur nouveau laboratoire de recherche pour la finition et le séchage à faible impact environnemental.

Les produits de finition à base d’eau ont aujourd’hui démontré leur efficacité et durabilité, et les méthodes de travail sont désormais connues et maîtrisées. Ces produits ont pour avantage d’améliorer la qualité de l’air, de réduire la ventilation et le bruit dans les aires de finition (ce qui se traduit par une économie d’énergie). Par ailleurs, ils requièrent des équipements de séchage efficace pour accélérer le processus d’évaporation de l’eau. Le centre de recherche de l’EQMBO-Entreprises est outillé pour appliquer des finitions à base d’eau et en poudre; il possède plusieurs équipements de séchage pour ces produits et évidemment, de nombreux outils pour effectuer le contrôle de la qualité. Finalement, en faisant affaire avec EQMBO-Entreprises, les entreprises peuvent bénéficier du crédit d’impôt pour adaptation technologique du gouvernement du Québec. Ce crédit représente 32 % du total des frais d’intervention; voilà un incitatif additionnel à considérer! 765, rue Notre-Dame Est Victoriaville (Québec) G6P 4B3 Téléphone : 819 758-8219 Site Internet : www.eqmbo-entreprises.com

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Briller

par son entrepreneuriat

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