LA NOTICE
#Bleue - Florence HINCKEL
De cape et de mots
SYROS
Flore VESCO, DIDIER JEUNESSE
L’été des pas perdus - Rachel HAUSFATER, FLAMMARION
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Dans les branches Emmanuelle MAISONNEUVE, GRAINE 2
L’Apache aux yeux bleus Christel MOUCHARD, FLAMMARION
OBJECTIFS DU JEU Développer la rédaction et la synthèse.
MOTS CROISÉS
JEU - FEV CAVIARDAGE
« Maître Corbeau, sur un arbre perché, Tenait en son bec un fromage. Maître Renard, par l’odeur alléché, Lui tint à peu près ce langage : Et bonjour, Monsieur du Corbeau. » « Maître Corbeau, sur un arbre perché, Tenait en son bec un fromage. Maître Renard, par l’odeur alléché, Lui tint à peu près ce langage : Et bonjour, Monsieur du Corbeau. » Nous avons caviardé le premier paragraphe de la fable Le corbeau et le renard, c’est-à-dire que nous avons supprimé des mots, mais pas n’importe lesquels, le texte a encore un sens. Un groupe ou une personne caviarde les textes proposés ci-dessous. Lisez les textes issus des caviardages à l’autre moitié du groupe ou à une autre personne qui devra deviner de quel titre provient ce caviardage. Il est conseillé de ne supprimer que certains types de mots comme les adjectifs, les noms propres ou les adverbes afin de garder le sens du texte original.
Date :
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Dans les branches
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Emmanuelle MAISONNEUVE
Prénom :
GRAINE 2
Nom : Classe :
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« Quand enfin je lâche le sac, je suis vidé de mes forces. Je pose mes mains à plat sur mes genoux, et je continue à regarder le vide. Et alors seulement, je commence à réfléchir. Quand je regarde le réveil, il affiche quatorze heures quarante-sept. Je vais et je viens à pas de loup dans ma chambre, j’évite de penser au désastre qui me pend au nez. Je m’habille et je vais à la fenêtre, je l’ouvre en grand et je m’accoude. Le ciel est lourd, chargé de menaces. J’enfile un blouson, des baskets trop petites qui traînaient dans mon placard, j’attrape mon sac à dos. Je jette un dernier regard à ma chambre, à mes posters, à tout mon fourbu sur mon bureau, à mes jeux vidéo entassés partout, et je
CAVIARDAGE
saute par la fenêtre. » (p. 64)
Date :
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Prénom :
De cape et de mots
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Flore VESCO DIDIER JEUNESSE
Nom : Classe :
CAVIARDAGE
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« Dehors, elle s’arrêta quelques secondes, savourant l’air frais sur son visage. Puis, avant que les oies aient le temps de la pincer, ou le palefrenier de la bousculer, elle repartit au pas pressé des petites gens. Elle parvint ainsi à l’entrée du palais. Un large escalier menait à un hall encombré de pots de peinture. Serine le monta vaillamment et continua son chemin en essayant d’avoir l’air à l’aise au milieu de tous ces tapis, lambris, tapisseries et bimbeloterie. Tout l’étage bruissait du va-et-vient des domestiques en grande livrée. Elle enfila une multitude de couloirs, les chemises serrées contre sa poitrine, les yeux grands ouverts, dans l’espoir de trouver des chambrières. » (p. 16)
Date :
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Prénom :
#Bleue
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Florence HINCKEL SYROS
Nom : Classe :
CAVIARDAGE
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« Les habitants de la ville étaient si attachés à cet édifice qu’ils ont signé pétition sur pétition, il y a une cinquantaine d’années de cela, pour sauver ce vestige antique. Aujourd’hui, cette lutte paraît dépassée. On pense désormais que le progrès est l’unique clé de notre bonheur et de notre évolution, et les gens trouvent maintenant ce pont super moche. L’est-il vraiment ? Je ne parviens pas à me forger une opinion. Les pieds bien ancrés sur le pont, au bord de la canalisation asséchée, je tremble pour Astrid qui ne frissonne même pas. Elle est debout sur le parapet, une seule main posée contre le socle de pierre, et esquisse des pas de danse pour me faire peur. Elle y parvient à merveille. » (p. 35)
Date :
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L'Apache aux yeux bleus
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Prénom :
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Christel MOUCHARD
Nom :
FLAMMARION
Classe :
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« Ils avancèrent toute la nuit, puis le jour suivant et encore une autre nuit. Enfin, au matin du troisième jour, un changement dans le paysage avertit Herman que la fin du voyage était proche ; dès les premières lueurs de l’aube se dressaient sur l’horizon des sortes de grosses mottes d’où montaient des rubans de fumée. Des mottes innombrables, comme des meules de foin. Ils s’en approchèrent lentement. C’étaient des huttes rondes faites de branches et de peaux de bêtes. Un campement. Des gens en sortirent en poussant des cris – des cris de joie. Il y avait des hommes mais aussi des femmes et des enfants. Tous avaient les cheveux noirs et longs, le visage sale, des bandeaux autour du front, de la peau de daim autour des jambes. »
CAVIARDAGE
(p. 24)
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Prénom :
L’été des pas perdus
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Rachel HAUSFATER FLAMMARION
Nom : Classe :
CAVIARDAGE
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« Au lever, je ne l’ai pas trouvé installé dans la cuisine à siroter sa énième tasse de café en écoutant la radio. Je suis allée sur le balcon, mais là non plus il n’était pas en train de disperser des miettes pour les sales pigeons, arroser ses fleurs multicolores, regarder les nuages passer et les saluer. Je me suis dirigée vers le salon : personne dans le fauteuil où il aime tant lire personne sur le canapé en face de la télé, personne devant l’ordinateur muet. Salle de bains vide, toilettes désertes… il ne reste plus que sa chambre, dont la porte est fermée. Mais il se lève toujours aux aurores, avec les poules, comme il dit, même si ça fait belle lurette qu’il n’a pas vu de poules… sauf toi, ma poulette, me taquine-t-il gentiment. » (p. 44)