CCIGinfo no 5-2012

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MENSUEL No 5

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DU COPIEUR À LA GED

Juin 2012

Bulletin d’information de la Chambre de commerce, d’industrie et des services de Genève

infoPOLITIQUE

Mission Afrique du Sud

infoSPONSOR

Epargne-logement, politique étrangère, institutions de droit public: autant de sujets au cœur des débats dans la perspective des votations du 17 juin.

La CCIG co-organise une mission en Afrique du Sud, pays susceptible d’offrir aux entreprises suisses d’excellentes perspectives d’investissement.

Le Comptoir Immobilier met les pieds dans le PAV afin de mieux informer les entreprises sur les enjeux du projet, à l’occasion d’un prochain débat public.

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SOMMAIRE 2

ÉDITORIAL Un Bureau renforcé au service de l’économie genevoise

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infoPOLITIQUE Votations du 17 juin: Efficience et souplesse en maîtres-mots

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infoCOMMERCE INTERNATIONAL - Mission économique suisse en Afrique du Sud - Opportunités d’investissements à Taïwan - L’art de bien négocier

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infoENTREPRISE L’efficacité énergétique passe aussi par la recherche du meilleur tarif

6

infoPARTENAIRES - Optimisez votre deuxième pilier en l’adaptant à vos besoins - Les investissements directs dans les énergies renouvelables

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infoSPONSORS - Le Comptoir Immobilier met les pieds dans le PAV - Un nouveau défi pour le groupe GSMN

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infoAGENDA - Midis de la Chambre des 21 juin et 5 juillet 2012 - Compte rendu: Midi du 24 mai 2012 - Les normes comptables au Petit déjeuner des PME et start-up - En 2013, soyez partenaire de la CCIG!

Organisez votre séminaire d’entreprise avec la CCIG

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Formation en Management durable

Une réflexion globale pour soutenir l’action des entreprises Soutenue depuis trois ans par la CCIG, la formation en Management durable de la Haute école de gestion de Genève (HEG) et des Hautes études commerciales de l’Université de Genève (HEC) permet d’acquérir les outils pratiques nécessaires à une gestion profitable de l’entreprise, tout en respectant les exigences du développement durable. Explications avec deux personnalités de la HEG, membres de la Direction de ce Diplôme d’études avancées, Andrea Baranzini, professeur, et Paolo Baracchini, chargé de cours.

Les étudiants de la formation en Management durable, représentants de la diversité économique genevoise.

Loin d’une simple démarche écologiste, comme souvent imaginé, le développement durable concilie trois piliers: le progrès économique, la justice sociale et la préservation de l’environnement. L’idée n’est pas neuve mais elle entre officiellement dans nos mœurs, il y a tout juste vingt ans, en juin 1992, à l’issue du Sommet de la terre de Rio. Depuis, les Agendas 21 locaux et les bonnes pratiques se multiplient et réalisent aussi bien que possible cet équilibre précaire. Chantre de cette difficile combinaison, le Diplôme d’études avancées (DAS) en Management durable, lancé conjointement par la Haute école de gestion de Genève (HEG) et les Hautes études commerciales de l’Université de Genève (HEC), est une formation continue qui ouvre à ses participants des pistes insoupçonnées

dans la gestion des entreprises qu’ils représentent. L’idée consiste, avant tout, à «adopter une démarche globale et à bien la structurer», explique Andrea Baranzini. Ce changement intellectuel permettra de mieux connaître son entreprise et de la faire mieux fonctionner parce qu’elle sera mieux gérée. «Le succès n’est pas que financier; il est également économique, environnemental et social», poursuit le professeur. Originale, l’approche s’articule autour de douze modules d’enseignement, mais il arrive que des étudiants choisissent de n’en suivre qu’une partie, en fonction de la spécificité de leurs besoins, comme par exemple la gestion de la diversité ou de la discrimination, l’organisation de la réorientation professionnelle, ou encore l’évaluation de la qualité d’un service de catering.

Rentabilité durable En général, les participants aux cours viennent du milieu professionnel et « se répartissent en trois catégories : les idéalistes, les réalistes et les sceptiques », explique Andrea Baranzini. Mais, au final, « tous entrevoient les horizons ouverts par la formation dans la gestion d’entreprise, poursuit Paolo Baracchini. Au-delà de la culture spécifique d’une entreprise, qui doit être conservée, ils trouvent une évidence et saisissent les outils qui leur permettent de mieux comprendre leur environnement professionnel et de l’améliorer : ces nouvelles compétences contribuent à une rentabilité supplémentaire de l’entreprise, à travers l’amélioration de la productivité, la réduction des dysfonctionnements et des coûts, et une meilleure intégration dans la région. »

Si elle paraît évidente, cette évolution ne coule pas toujours de source. Et la grande force du DAS est de proposer, dans chaque module, des aspects conceptuels et des outils pratiques pour sa mise en œuvre concrète dans l’entreprise. Les deux derniers modules sur l’audit permettent, enfin, de savoir si une entreprise est durable et comment des changements peuvent être proposés et mis en œuvre. Ainsi, chaque participant évalue les forces et les faiblesses de son entreprise et remet son rapport qui servira de base de travail. La durabilité peut ainsi devenir un enjeu stratégique, par exemple lorsque des détracteurs décident d’attaquer la réputation d’une entreprise sur sa faiblesse en termes de durabilité. «Les risques sont bien présents, commente Paolo Baracchini. Mais, si l’entreprise met en place une approche solide vers la durabilité, on pourra parler de rentabilité. Les trois dimensions du développement durable auront été respectées et représenteront la valeur économique de l’entreprise.» Et Andrea Baranzini d’ajouter: «Cette tendance est dans l’air du temps et permet de devancer la législation!». Soutien de la CCIG Pour la CCIG, ce DAS est essentiel pour les entreprises et leurs impératifs d’efficacité, d’autant plus à l’heure des crises économiques et financières. Outre un soutien financier de 15000 francs à la formation, la CCIG décerne, depuis 2011, un prix d’excellence au candidat qui réalise la meilleure moyenne générale. Un symbole fort pour une discipline en plein

Contact : s.bernhard@ccig.ch Consultez notre site régulièrement mis à jour

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2 Juin 2012

No 5 suite de la page 1

Un Bureau renforcé au service de l’économie genevoise Le 27 avril dernier, la CCIG annonçait la démission de son président, François Naef. Ce départ survient dans une conjoncture économique difficile pour l’entreprise de biopharmaceutique qu’il représente. Passionné par l’innovation et les questions d’aménagement du territoire, ardent défenseur d’une fiscalité mesurée, François Naef a instigué et soutenu de nombreux projets d’envergure de la Chambre. Mentionnons, pour ne citer que les plus connus, le projet GVAcube «une constitution urbaine pour Genève», la réforme fiscale en faveur des familles (LIPP) et le développement de la dimension internationale de la CCIG. L’engagement et le sens des responsabilités exemplaires de François Naef ont été reconnus par l’ensemble des membres du Conseil de la Chambre. Si une démission n’est pas, en soi, un événement heureux, elle fait néanmoins partie de la vie de toute entreprise. Elle peut être en outre une opportunité de repenser le fonctionnement de son organe dirigeant. Pendant les trois semaines de vacance, le Bureau de la CCIG s’est donc attelé à la tâche de rénover son fonctionnement. Il ressort de cette réflexion un Bureau renforcé à plus d’un titre. Ainsi, le nouveau président, Jean-Bernard Rondeau, secrétaire général de Maus Frères SA, est appuyé de deux vice-présidents: Antonietta Frangi, membre de la Direction de I. Frangi SA et nouvelle venue dans le Bureau, se fera la porte-parole du commerce, tandis que Juan Carlos Torres, directeur général de Vacheron Constantin, représentera le secteur de l’horlogerie. Pierre Poncet, associé senior chez Bordier & Cie, reste en charge de la trésorerie. Claude Membrez, directeur général de Palexpo SA, et Patrick Schriber, directeur général de DuPont de Nemours International SA, viennent consolider le Bureau. Ils représentent deux autres secteurs, d’une part le tourisme, l’hôtellerie et la restauration, d’autre part l’industrie. Enfin, Marc Van Hove, administrateur-délégué chez Atar Roto Presse SA, et Jacques Jeannerat, directeur de la CCIG, conservent leur fonction actuelle au sein du Bureau. La CCIG est donc plus que jamais parée à défendre les conditions cadre, ferments essentiels d’une économie prospère.

ÉDITORIAL

JACQUES JEANNERAT Directeur

développement. Nathalie Hardyn, directrice adjointe, estime que cette formation «répond à une volonté de plus en plus marquée des entreprises de mettre en harmonie leur gestion avec les principes du développement durable». Elle-même est membre du comité scientifique du DAS et anime l’un des modules, une «expérience d’autant plus passionnante» qu’elle

commence à être reproduite un peu partout en Suisse, notamment à Saint-Gall. Autre réalisation, en collaboration avec le Service cantonal de développement durable et la HEG, les Rencontres du Management durable permettent des échanges d’expériences concrètes et sont d’ores et déjà très prisées après seulement quelques mois d’existence.

Deux anciens du Diplôme d’études avancées en Management durable racontent leur expéricence: Antoni Gori, Banque cantonale vaudoise, qui a reçu le Prix de la CCIG en 2011, et Véronique Ruppert Schmitt, DuPont.

Antoni Gori Responsable management développement «BCV»

Que représente pour vous le prix de la CCIG? D'un point de vue symbolique, ce prix m'a beaucoup touché, car je crois au Management durable et à son application dans la gouvernance d'entreprise. Je suis persuadé que le Management durable peut créer de réelles opportunités pour repenser les modèles économiques tant en termes de rentabilité que de durabilité. Le Management durable est-il réellement applicable? Je crois qu’il est possible de concilier rentabilité et durabilité. Cependant, une action réfléchie et applicable sur le terrain ne peut être durable que si elle s’inscrit dans la stratégie d’entreprise et tient compte des contraintes qui lui sont liées, notamment au plan économique.

En ce qui concerne la BCV, il est intéressant de relever que sa mission est de contribuer au développement de toutes les branches de l’économie privée, au financement des tâches des collectivités et des corporations publiques et de satisfaire aux besoins du crédit hypothécaire du canton. En outre, la notion de développement durable a été introduite en 2007 dans la Loi organisant la BCV. Cette décision a notamment conduit à la publication, tous les deux ans, d’un rapport RSE, qui décrit les actions de la Banque dans ce domaine. Véronique Ruppert Schmitt DuPont - Marketing Communications Manager, Global Sustainability, Renewables

Qu’avez-vous retiré de la formation? Aujourd’hui, c’est toujours un enrichissement incroyable, un vrai coup d’envoi dans le développement durable, la rencontre avec des personnes extraordinaires et positives, qui apprécient aussi de travailler dans ce domaine très dynamique et global. La formation reste toujours source d’inspiration. L’approche «développement durable» est pour moi surtout une approche analytique, de compréhension globale et de dialogue

on à E Une sessio

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Cours Cours de direction d’entreprise eprise

«executive» pour chefs d’entreprises ou cadres dirigeants

Zahi Haddad

■ INFORMATIONS www.sustainablemanagement.ch

Paroles d’étudiants

LE: F O R M U LE L E FO E L LE N O U V EL YON ! LY ML

Les formations

À ces égards, Andrea Baranzini et Paolo Baracchini sont très heureux d’avoir été, en quelque sorte, des précurseurs dans le domaine du développement durable en entreprise et d’avoir bâti un pôle de compétences solide et fort d’une réflexion globale. ■

Une formation de type «executive MBA» en français, qui mise sur la qualité et l’ouverture. z Qualité des intervenants: les meilleurs spécialistes et animateurs. z Ouverture vers une des meilleures Business Schools européennes: nes: EMLLY YON. 28 jours en 7 sessions de 4 jours entre le 27 août 2012 et le 13 juin 2013

et, de ce fait, participative. Des actions qui s’inscrivent dans un programme d’amélioration dans le temps. Plus directement, la formation m’a permis de réajuster et d’accélérer ma carrière dans ce domaine et de donner une autre dimension à mon travail. Comment votre entreprise a-t-elle évalué votre démarche par rapport à son propre fonctionnement? L’intérêt spécifique de DuPont pour cette formation est venu pendant mon travail de diplôme, pour lequel j’ai développé une méthodologie et un plan d’engagement des parties prenantes non commerciales. Depuis, nous réutilisons constamment cette méthodologie dans notre travail de positionnement et de communication dans nos marchés clefs. Initialement, je me suis lancée seule dans cette formation et ma direction m’a aidée avec un arrangement travail/vie personnelle. À la remise du diplôme, elle m’a remboursé spontanément 50% des frais du cours. Récemment, j’ai pu reprendre un rôle global pour notre positionnement et notre communication en développement durable, en plus de mon rôle de Marketing Communications Manager EMEA. Propos recueillis par Zahi Haddad

ac ac acad ca ad a d

Académie A cadémie administrateurs des s adm ministrateurs de sociétés é étés Séminaires destinés aux administrateurs souhaitant professionnaliser leur action, mieux comprendre leur rôle, découvrir et échanger les bonnes pratiques du métier. Les fondamentaux: 13-15 juin ou 24-26 octobre 2012 Les enjeux et défis: 9-11 janvier 2013

Renseignements sur www .crpm.ch ou au 02 1 34 13 1 53 ou par mail à executive@crpm.ch executive@crpm.ch Renseignements www.crpm.ch 021 341 31


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Juin 2012

infoPOLITIQUE V O TAT IO N S

Votations du 17 juin

Efficience et souplesse en maîtres-mots C’est un menu copieux qui s’annonce pour les votations du 17 juin : trois objets fédéraux et quatre cantonaux, sur des thématiques pour le moins variées, seront soumis à la population. Arrêt sur trois de ces sujets. Epargne-logement

Institutions de droit public

Oui à une seconde chance

Compétence, transparence et efficacité

Le 11 mars 2012, le peuple et les cantons alémaniques ont refusé l’initiative populaire fédérale sur l’épargne-logement. Toutefois, les Genevois l’ont acceptée par 53.5% des voix. Nous disposons aujourd’hui d’une seconde chance et il convient de se mobiliser! En effet, le Conseil fédéral n’avait pas souhaité soumettre au peuple, le même dimanche, les deux initiatives lancées voici plus de trois ans sur le même sujet. L’initiative sur laquelle nous voterons le 17 juin contient les propositions suivantes:

• Introduction obligatoire pour les cantons de l’épargne-logement. • Déductibilité annuelle maximale de l’impôt sur la fortune et sur le revenu de CHF 20000 pour un couple et CHF 10000 pour une personne seule, pour une période maximale de 10 ans. • Obligation du dépôt sur un compte d’épargne-logement agréé par l’Etat. • Obligation d’affecter cette épargne à l’acquisition du premier logement uniquement. Ainsi, cette seconde initiative est bien plus conforme à l’obligation d’harmonisation fiscale inter-cantonale et plus restrictive quant aux sommes déductibles. La majorité des Genevois qui souhaite favoriser l’accession à la propriété ne s’est pas trompée en choisissant

l’épargne-logement. En aidant les locataires à lever l’importante barrière de la constitution de 20% de fonds propres, l’épargne-logement est extrêmement efficace. Cela pourrait même être l’unique moyen d’y parvenir pour bon nombre d’entre eux si, comme on nous le promet, la libération des fonds du 2e pilier ne sera plus possible pour accéder à la propriété et ce, en raison de l’impérative nécessité de recapitaliser les caisses de pension. Votez OUI et faites voter OUI à l’épargne-logement www.epargne-logement-Oui.ch Christophe Aumeunier Secrétaire général Chambre genevoise immobilière (CGI)

Gagner en efficacité, telle est l’ambition affichée par la Loi sur l’organisation des institutions de droit public qui est soumise à votation le 17 juin. Foin des conseils pléthoriques où trop de Don Salluste somnolent en écoutant les jetons de présence tomber dans leur escarcelle ! Le respect des contribuables passe par une gestion transparente, économe et compétente des institutions de droit public. Cette volonté de rendre plus professionnelle la gestion de ces institu-

Traités internationaux

Ne pas asphyxier ni paralyser la démocratie Une expression fiable de la volonté populaire ne peut faire l’économie d’une information complète, intelligible et claire sur chaque sujet soumis à votation. Depuis des années, nombreux sont ceux qui s’inquiètent de la prolifération des objets sur lesquels le peuple doit se prononcer lors de chaque opération électorale. Le citoyen n’est plus à même de voter en connaissance de cause. Dans ce contexte, dire que l’initiative déposée par

l’ASIN viendrait aggraver la situation est un euphémisme. Concrètement, qu’impliquerait l’adoption de cette initiative? Quelque 500 traités internationaux sont conclus annuellement par la Suisse. Si l’initiative passait, huit à dix votations supplémentaires devraient être organisées chaque année, traitant essentiellement de sujets très complexes ou techniques. Il est illusoire d’imaginer que la population disposerait des informations nécessaires à un vote éclairé sur ces sujets!

Laisser cette responsabilité aux autorités fédérales élues est la meilleure réponse démocratique. Il ne faut pas se leurrer sur le réel objectif de cette initiative lancée par «l’Action pour une Suisse indépendante et neutre»: isoler la Suisse, notamment de l’Union européenne. Quelle que soit notre conviction sur le sujet, le moyen adopté n’est pas le bon et péjorerait à l’évidence notre tissu économique. Moult traités internationaux verraient leur entrée en vigueur être fortement retardée et la

position de nos négociateurs, dont l’habileté a souvent été relevée, serait grandement fragilisée par l’épée de Damoclès du scrutin obligatoire. En Suisse, le peuple a la parole, par le biais du référendum obligatoire et facultatif. Les garde-fous existent pour que la volonté populaire soit respectée. «Trop d’impôt tue l’impôt», dit l’adage. Sa possible transposition à la démocratie directe ne fait aucun doute. Pour éviter d’asphyxier notre démocratie, un NON à l’initiative de l’ASIN s’impose.

tions paraétatiques n’est pas une lubie d’élus. Elle s’inscrit dans le processus de bonne gouvernance des entités publiques. La Loi se fonde ainsi sur les recommandations convergentes de l’OCDE et du Conseil fédéral et répond aux critiques formulées par le rapport de la Cour des comptes sur les rémunérations de ces entités. Elle peut, par ailleurs, s’appuyer sur l’exemple concret de l’Hospice général qui, au début des années 2000, a réduit son Conseil d’administration de 17 à 8 membres. Depuis lors, l’Hospice a cessé de défrayer la chronique et son Conseil d’administration, responsabilisé et valorisé, a assumé son rôle sans aucune perte de contrôle démocratique. Le moment est venu de mettre fin au régime des privilèges octroyés aux militants pour services rendus. Les prébendes dont ils bénéficient n’ont plus lieu d’être. Il ne suffit pas d’être membre d’un parti politique pour être légitimé à présider aux destinées d’entreprises publiques telles que les TPG ou SIG. Seule la compétence de ceux qui auront pour mission de veiller à l’utilisation optimale de dizaines de millions d’argent public doit être retenue. C’est ce que propose cette loi, qui doit sans retenue être approuvée. OUI à une meilleure organisation de nos institutions publiques!


4 Juin 2012

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Compte rendu de séminaire

infoCOMMERCE INTERNATIONAL

Mission économique suisse en Afrique du Sud À la suite de la séance d’information du 4 mai dernier, le programme de la mission économique suisse en Afrique du Sud a été dévoilé. Cette mission, organisée par la CCIG en collaboration avec l’OPI et l’Osec et en partenariat avec le SABC (Swiss-African Business Circle), aura lieu du 22 au 26 octobre 2012. Conduite par le président du Conseil d’Etat, Pierre-François Unger, elle fera étape à Pretoria, Johannesburg et Cape Town. Le programme de chaque escale comptera des rencontres avec des représentants de ministères du gouvernement sud-africain, des visites

d’entreprises, des réceptions dans les consulats suisses, des entrevues avec des Chambres de commerce locales et des associations professionnelles, ainsi que des meetings one-to-one. Les membres de la délégation auront également le loisir de participer à des conférences données par des experts locaux, qui présenteront l’Afrique du Sud sous ses aspects sociaux, légaux et culturels, afin d’assurer la création d’un terrain favorable aux futures relations d’affaires. Les principaux secteurs d’activité, qui seront à l’honneur de cette délégation, sont les cleantech, les

technologies de l’information et de la communication, l’ingénierie et la manufacture industrielles et les biotechnologies. La participation à ce voyage d’affaires est également ouverte aux entrepreneurs d’autres domaines. ■ ■ PROGRAMME ET INSCRIPTIONS www.ccig.ch (rubrique «Agenda»)

Opportunités d’investissements à Taïwan Le 27 avril dernier, quinze délégués taïwanais, conduits par des représentants de la Chinese International Economic Cooperation Association (CIECA), sont venus à la CCIG présenter les atouts de leur île à des entrepreneurs de la région lémanique. Après une introduction par Philippe Meyer, membre de la Direction de la CCIG, et par le chef de la délégation, Mu-Piao Shih, Senior Vice President Chunghwa Telecom, Maxime Marini, de Logitech, a présenté les avantages pour une entreprise suisse à s’implanter à Taïwan en prenant exemple sur le passé de Logitech, qui a dû sa survie à son implantation dans cette île. San-Wei Sun, de Chunghwa Telecom, a ensuite évoqué la rapidité du développement des technologies de l’information et de la communication à Taïwan et l’essor du domaine de l’informatique virtuelle, le Cloud Computing. Enfin, Wen-Juei Chen, du Transportation

Department of New Taipei City, a expliqué que le fort accroissement de la population de Taipei a obligé les responsables de la ville à repenser et réorganiser les zones urbaines ainsi qu’à agrandir le réseau des transports publics. Les trois orateurs ont également fourni aux entrepreneurs présents à cette réunion des informations indispensables pour assurer la bonne tenue de relations d’affaires avec des entreprises taïwanaises. Une belle réussite, qui s’est terminée sur l’invitation de la CIECA aux représentants des PME genevoises à se rendre à Taïwan en 2013. ■

Compte rendu de séminaire

L’art de bien négocier La CCIG a organisé, en collaboration avec l’International University Geneva, un séminaire le 10 mai 2012 pendant lequel le professeur Claude Cellich, co-auteur de l’ouvrage «Practical Solutions to Global Business Negotiations*», a présenté les règles et les solutions pratiques de la négociation internationale et interculturelle. L’élément le plus crucial de toute négociation est la phase de planification. Etre préparé est probablement le meilleur investissement qu’un négociateur puisse faire avant d’entrer en tractations. C’est après cette étape de préparation que les partenaires détermineront leurs besoins réels et s’efforceront d’élucider les motifs de désaccords pour aboutir à la mise en œuvre d’un accord. Il est essentiel que chaque partie adopte un style coopératif et une vision à long terme. Au moment de conclure une transaction, il ne faut en effet pas oublier que les négociations fondées sur la confiance et le fair-play peuvent par la suite amener de nouvelles affaires et valoir des recommandations. L’établissement d’une relation de travail avec l’autre est la base pour entamer une négo-

ciation. Dans de nombreuses régions du monde d’ailleurs, s’il n’y a pas de relation interpersonnelle entre les parties, aucune négociation n’est possible. Il est conseillé, dans ce type de cultures, de planifier plus de concessions car celles-ci sont considérées comme une part importante des négociations. L’approche axée sur le contact diffère en quelque sorte du modèle traditionnel où la négociation des stratégies concurrentielles et les tactiques sont censées bénéficier à une partie au détriment de l’autre. En adaptant leurs pratiques de négociation, les dirigeants d’entreprises peuvent s’attendre à obtenir des résultats qui ne seront pas seulement mutuellement bénéfiques, mais qui pourront également résister à la pression de la concurrence sur le long terme. ■

* Pour en savoir plus sur les règles de la négociation internationale, la CCIG (tél. 022 819 91 11) propose à la vente le livre «Practical Solutions to Global Business Negotiations», pour la somme de 30 francs.


5 No 5

Juin 2012

infoENTREPRISE Publi-rédactionnel

L’efficacité énergétique passe aussi par la recherche du meilleur tarif Face à la consommation croissante d’énergies, liée en partie à l’augmentation de la population, SIG a choisi, depuis plusieurs années, d’encourager et d’accompagner les économies d’énergies pour consommer moins et mieux. Elle a réalisé et mis en marché un ensemble de solutions énergétiques pour ses clients : services d’efficience énergétique, éco21, écoclimat, SIG Vitale. SIG s’est aussi attachée à revoir la structure des tarifs d’électricité pour ses clients au bénéfice d’un tarif PRO (basse et moyenne tensions) et consommant plus de 30 000 kWh par an. En effet, bien que les tarifs d’électricité aient baissé de 14 % depuis 2000, les dépenses énergétiques restent, pour les entreprises, l’un des postes de coûts importants. Il était donc nécessaire d’intervenir dans ce domaine aussi. Mais sur quelle composante ?

Pour mémoire, le prix de l’électricité se compose de quatre postes : • l’énergie que le client a choisie, le prix du kWh • l’utilisation du réseau, soit le transport de l’électricité jusqu’à Genève + l’exploitation du réseau • la redevance due à l’Etat et aux Communes pour l’utilisation du domaine public • le supplément fédéral pour le développement des énergies renouvelables et la protection des eaux.

Les taxes étant fixées par la loi, SIG n’a pas de prise sur elles. En revanche, sur les composantes énergies et utilisation du réseau, SIG peut proposer des instruments à ses clients, pour leur permettre de choisir de consommer l’électricité de manière plus responsable. Comment consommer l’électricité au meilleur moment pour optimiser ses coûts ? Sur 24 heures, les prix d’utilisation du réseau se répartissent entre les heures pleines et les heures douces. Durant les heures pleines, la demande est importante. Les infrastructures de réseau doivent supporter un trafic accru d’électrons au point d’entraîner parfois une cer-

taine congestion. Pour lever ces congestions, des investissements additionnels sont nécessaires. Les heures de pointe représentent par conséquent des coûts élevés tant pour le distributeur que pour le consommateur. Pour les heures douces, c’est le mécanisme inverse, le tarif est donc plus intéressant. Il faut donc inciter le client à adapter sa façon de consommer aux heures de la journée pour répartir les charges sur le réseau, lisser les pointes de puissance et diminuer ainsi les coûts liés. Pour ce faire, une idée « simple » et efficace : développer la structure tarifaire du poste « utilisation du réseau ».

Ainsi, depuis 2011, les plages horaires été/hiver ont été adaptées, les tranches d’heures douces ont été allongées, et celles des heures pleines entre 9 h et 15 h subdivisées en 3 ou 5 périodes (selon le profil du client). Chaque période possède son propre tarif. En fin d’année, sur la base des données effectives de consommation du client, SIG applique le tarif le plus avantageux pour l’utilisation du réseau. Ce concept tarifaire, unique en Suisse, présente plusieurs avantages. Il offre au client une plus grande flexibilité dans la gestion des pointes de puissance. Il lui permet de mieux maîtriser sa

consommation d’électricité et les coûts liés. Il contribue donc à réduire d’autant sa facture. Si, en plus, l’entreprise adapte sa manière de consommer, elle peut réaliser une économie d’environ 5 % par rapport au tarif « double période » classique. Cette approche originale prouve que l’efficience énergétique concerne non seulement le moins et le mieux consommer, mais aussi le meilleur prix. ■

Plus d’informations sur www.sig-ge.ch, rubrique SIG au quotidien – Mes factures


6 Juin 2012

No 5

infoPARTENAIRES

Les investissements directs dans les énergies renouvelables

Comptes rendus de séminaires

Optimisez votre deuxième pilier en l’adaptant à vos besoins Améliorer les prestations de prévoyance pour ses collaborateurs, tout en faisant du sur mesure, est possible. Forte d’une approche innovante, Notenstein Banque Privée SA l’a démontré à l’occasion du séminaire organisé le 24 avril dernier à la CCIG. Il règne comme une atmosphère de cours du soir en ce 24 avril à la CCIG. Jacques-Alexis de Wolff, responsable prévoyance Suisse romande chez Notenstein Banque Privée SA, explique quelques subtilités de la prévoyance à un auditoire captivé. Et tout acquis à comprendre les solutions qui s’offrent aux indépendants, chefs d’entreprise et cadres supérieurs qui souhaitent maintenir le niveau de leur revenu au moment de la retraite.

Concept des deux caisses de pension

Caisse cadre

COLLECTIVITÉ • Couverture des risques et sécurité • Taux d'intérêt minimal • Choix rente ou capital • Stratégie collective

Caisse de base

INDIVIDUALITÉ • Choix de la stratégie de placement (risque ajusté au rendement) • Optimisation fiscale (épargne/rachats) • Retrait du capital à la retraite (rente possible) • Stratégie orientée sur la création de valeur

Modèle de gestion de fortune pour la part surobligatoire

Solution individuelle Notenstein: chaque assuré choisit sa stratégie

exemple des obligations bien notées en francs suisses, ou pour une plus grande prise de risque si elle le souhaite.

Source: Notenstein Banque Privée SA

En plus de la caisse existante dans une entreprise, il est ainsi envisageable de créer une caisse cadre permettant d’optimiser la prévoyance selon les besoins de chaque assuré. «Mais, comment ça marche?», dirait le journaliste scientifique Michel Chevalley. Il est tout d’abord nécessaire de choisir, au sein de l’entreprise, les personnes susceptibles de bénéficier de cette démarche. Elles seront sélectionnées en fonction de l’âge, de l’ancienneté, de la situation hiérarchique, etc. Et le type de risque couvert devra également être déterminé, qu’il s’agisse par exemple de décès ou d’invalidité. Enfin, contrairement à une caisse de pension conventionnelle où la stratégie d’investissement est identique pour tous les assurés, chaque personne choisit parmi un éventail de stratégies celle qui convient le mieux à ses besoins. Elle pourra opter pour la prudence, avec par

Centrales photovoltaïques et investissements dans une énergie verte et d’avenir étaient au menu du séminaire organisé, le 3 mai dernier à la CCIG, avec la société PrimeEnergy Cleantech SA.

taires en vue du préfinancement d’une retraite anticipée.

En temps de crise et d’incertitude liée à l’avenir de nos retraites, Si cette amélioration de la couverNotenstein Banque Privée SA, en ture sociale a un coût certain, on collaboration avec diverses fondaobtient, au registre des avantages, tions collectives, fait office de préla possibilité de racheter des années curseur sur ce marché si spécifique intéressantes au plan fiscal et de et attrayant.■ faire des placements complémenZahi Haddad

Thomas Bisig, membre du Conseil d’administration, Andrès Taracido, directeur, et Laurin Faeh, président et fondateur, de PrimeEnergy Cleantech SA.

Propre, fiable et illimitée, l’énergie solaire nous emmène vers une nouvelle révolution majeure à l’échelle planétaire. En plus, elle est gratuite et représente le parfait produit d’investissement pour Andrès Taracido, directeur de PrimeEnergy Cleantech SA, qui a ouvert le séminaire avec conviction et dynamisme. Avant de lancer un véritable pingpong oratoire avec Laurin Faeh, président et fondateur de PrimeEnergy Cleantech SA. Ce dernier a rappelé que, depuis 2005, PrimeEnergy a constitué en Europe, et particulièrement en Allemagne, un portefeuille de 17 centrales solaires photovoltaïques d’une puissance totale de 4,25 mégawatts et valant plus de seize millions d’euros, qu’elle se limite à financer et exploiter. Quelque 5000 foyers sont ainsi approvisionnés en énergie verte. «Notre objectif est d’atteindre les 100 mégawatts d’ici cinq ans et d’alimenter 120000 foyers», rebondit Andrès Taracido, avant de repas-

ser la parole à son fervent alter ego qui décrit l’avenir en Suisse: «Si la Suisse balbutie encore dans ce domaine, la halle St-Jacques et les toits de l’UBS à Bâle vont prochainement accueillir des centrales photovoltaïques. Quant à Genève, grâce à ses dispositions anti-nucléaires, c’est le canton le plus en avance, avec une part de production d’énergies renouvelables égale à 10%, loin devant la moyenne nationale à 0,1% ». Mais l’essentiel pour PrimeEnergy se trouve ailleurs puisque la société est particulièrement présente en Allemagne, où elle a profité de la loi relative aux énergies renouvelables, dite EEG. Rapidement copiée dans d’autres pays européens, cette loi fait la part belle à ces énergies, en demandant que leur production et consommation augmentent rapidement. Les Allemands devront ainsi passer de 21% en 2012 à 35% en 2020, puis 50% en 2030. À l’heure où le bilan énergétique européen et mondial de l’énergie solaire progresse très rapidement, avec une croissance annuelle dépassant les 40% depuis 2007, PrimeEnergy invite les entreprises genevoises à souscrire à son émission obligataire afin de soutenir la «technologie du futur» et de diminuer la dépendance à l’égard des combustibles fossiles ainsi que l’empreinte carbone de l’humanité. ■ Zahi Haddad

votre potentiel ? discerne d’emblée une banque qui travailler avec attrayant de N’est-ce pas

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7 No 5

Juin 2012

Un nouveau dĂŠfi pour le groupe GSMN

infoSPONSORS

Le Comptoir Immobilier met les pieds dans le PAV Praille-Acacias-Vernets (PAV) est un projet dont le processus va se dĂŠrouler sur plusieurs dĂŠcennies. MĂŞme si le PAV n’en est qu’à ses prĂŠmices, notamment sur le plan financier, le renouvellement du secteur est en route. L’image directrice de la zone et les actions menĂŠes par l’Etat en tĂŠmoignent. Le dialogue entre les diffĂŠrents protagonistes doit s’engager afin de rĂŠpondre aux craintes et apporter les ĂŠlĂŠments de rĂŠponses aux entreprises concernĂŠes. Ă€ cet ĂŠgard, le Comptoir Immobilier apporte sa pierre Ă l’Êdifice et organise un dĂŠbat public au mois de septembre. besoins, accompagne et conseille les dirigeants de ces sociĂŠtĂŠs en leur apportant des solutions concrètes et sur-mesure.Âť Table ronde du 27 septembre 2012, de 8h Ă 10h Jeudi 27 septembre prochain, le Comptoir Immobilier organise une table ronde durant laquelle tous les sujets brĂťlants seront abordĂŠs. Dernières mises Ă jour du projet, prochains caps Ă franchir et ĂŠbauches de solutions: des informations cruciales seront dĂŠvoilĂŠes lors de cet ĂŠvĂŠnement. Cinq acteurs du PAV, Michel Balestra (Association Praille-Grosselin), Yann Borgstedt (Association des entreprises du quartier de l’Etoile),

Š Comptoir Immobilier

Le Comptoir Immobilier, accompagnateur du projet PAV Directeur gĂŠnĂŠral du Comptoir Immobilier, Philippe Moeschinger connaĂŽt bien les enjeux du PAV. Et pour cause. Ayant dirigĂŠ la FTI pendant quinze annĂŠes et ce, jusqu’en 2011, il dispose des connaissances nĂŠcessaires Ă un accompagnement efficace des entreprises face aux nouvelles donnes territoriales et immobilières qui touchent ce pĂŠrimètre. ÂŤLes entreprises situĂŠes dans le PAV doivent pouvoir s’appuyer sur un partenaire d’expĂŠrience, connaissant les spĂŠcificitĂŠs et les problĂŠmatiques, commente Philippe Moeschinger. Le Comptoir Immobilier est Ă l’Êcoute de leurs

Denis Picard (CitroĂŤn), Nathalie Luyet Girardet (directrice des missions opĂŠrationnelles au DCTI) et Philippe Moeschinger (Comptoir Immobilier) dĂŠbattront et tenteront de rĂŠpondre aux craintes et aux interrogations de l’assemblĂŠe. Une date Ă noter dans les agendas! Cet ĂŠvĂŠnement, pour lequel les prĂŠinscriptions sont ouvertes sur le site www.ccig.ch, rubrique Agenda, se tiendra Ă Genève. â– Le Comptoir Immobilier en bref Avec presque deux siècles d’expĂŠrience, le Comptoir Immobilier s’affirme comme un acteur incontournable de l’immobilier et compte plus de 150 collaborateurs au service de sa clientèle, rĂŠpartis dans ses six agences romandes. Le Comptoir Immobilier intervient et accompagne dans de multiples domaines: GĂŠrance, PPE, Ventes, Etudes & DĂŠveloppements, Immobilier d’entreprise, Locations commerciales et rĂŠsidentielles.

COMPTOIR IMMOBILIER SA Alexandre Sizonenko 022 319 88 75 Cours de Rive 7 - CP 3753 1211 Genève 3 www.comptoir-immo.ch

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Le cancer du sein est la tumeur maligne la plus frÊquente chez la femme. Il n’est donc pas Êtonnant que ce cancer ait fait l’objet de multiples Êtudes et Êvaluations pour amÊliorer les stratÊgies diagnostiques et thÊrapeutiques.

Genolier Swiss Medical Network SA (GSMN) est le 2ème rÊseau de cliniques privÊes en Suisse.

Chaque gain qui amĂŠliore la survie des patientes, aussi petit soit-il, aboutit Ă des rĂŠsultats considĂŠrables. Toutes les ĂŠtudes scientifiques ont dĂŠmontrĂŠ que le taux de survie, mais ĂŠgalement la qualitĂŠ de vie, ĂŠtaient dĂŠterminĂŠs par le niveau du groupe multidisciplinaire ainsi que par le nombre de patientes prises en charge. La SociĂŠtĂŠ Suisse de SĂŠnologie et la Ligue Suisse contre le Cancer, Ă l’instar d’autres sociĂŠtĂŠs nationales et internationales (European Society of Mastology), ont ĂŠmis des critères très stricts et contraignants pour l’obtention du Label ÂŤCentre du SeinÂť. La Direction du GSMN (Genolier Swiss Medical Network) a mis sur pied un groupe de travail pour prĂŠparer cette accrĂŠditation officielle, qui se fera dans le cadre d’un rĂŠseau des cliniques romandes du Groupe. Cette lourde tâche est coordonnĂŠe administrativement et mĂŠdicalement par des mĂŠdecins et professeurs de la Clinique de Genolier et de la Clinique GĂŠnĂŠrale de Fribourg, ainsi que par la Direction du Groupe.

La Clinique de Genolier a des atouts majeurs puisqu’elle rĂŠunit sous le mĂŞme toit une unitĂŠ de radiodiagnostic de premier plan, un bloc opĂŠratoire dernier cri dotĂŠ d’une salle d’opĂŠration dĂŠdiĂŠe Ă la radiothĂŠrapie intra-opĂŠratoire, une unitĂŠ d’oncologie ambulatoire qui a fait ses preuves, ainsi qu’un centre de radiothĂŠrapie moderne. En ce qui concerne les compĂŠtences thĂŠrapeutiques, toutes les spĂŠcialitĂŠs mĂŠdicales et paramĂŠdicales sont reprĂŠsentĂŠes, y compris par le biais d’infirmières spĂŠcialisĂŠes en oncologie et sĂŠnologie. La route est certes encore longue, le travail ne manque pas, mais l’Êquipe en place est enthousiaste et mettra toute son ĂŠnergie pour aboutir. â–

Dr P. A. Brioschi GynĂŠcologue FMH, F.a. en oncologie gynĂŠcologique SecrĂŠtariat 022 366 94 06 - www.gsmn.ch

Ĺ? Ĺ? B^[ S ^dc Pdg 4c Pc b D]X b [ T A^PSb c Ta Tb c d]T Ă?SX c X ^] [ X \X c Ă?T b Td[ T\T]c ! $ TgT\_[ PX a Tb ;Tb STa ]X Ta b A^PSb c Ta b b ^]c SX b _^]X Q[ Tb _^da [ { 4da ^_T Tc [ { 0b X T ?a ^U X c Ti ST e^c a T STa ]X Ă?a T RWP]RT _^da ST\P]STa d] Tb b PX Tc STeT]X a d] STb WTda Tdg Ă?[ db Ç PR`dĂ?a X a d] \^a RTPd ST [ { 7X b c ^X a T


8 Juin 2012

No 5

infoAGENDA

Midis de la Chambre des 21 juin et 5 juillet

Choix des normes comptables et conseils pratiques pour présenter les comptes

Venez assister aux présentations des entreprises suivantes: Jeudi 21 juin 2012

Bulletin d’information de la CCIG. Paraît 10 fois par an, 3200 exemplaires Responsable d’édition: Zahi Haddad Rédaction: Fabienne Delachaux, Zahi Haddad, Pascale Roch-Gigandet et Géraldine Siegenthaler

Vendredi 29 juin de 8 h15 à 10 h - CCIG, bd du Théâtre 4, Genève Organisés par le Service de la promotion économique du Canton de Genève et ses partenaires, dont la CCIG, les Petits déjeuners des

Dès 12 h - CCIG, bd du Théâtre 4, Genève

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PME et des start-up ont pour objectif de former et d’informer les entrepreneurs, mais aussi de favoriser le réseautage. ■

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Votre entreprise s’est récemment établie à Genève? Vous développez un nouveau produit ou service? Vous désirez mettre en avant votre «marque»? Alors associez votre image à la Chambre de commerce, d’industrie et des services de Genève pendant un an! Organisation dynamique et reconnue dans la communauté économique genevoise, la

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CCIG vous offre, à travers ses nombreuses activités, son réseau unique et ses supports de communication, la possibilité de mieux vous faire connaître. Découvrez ses formules de partenariat, réunies sous l’enseigne «Ensemble pour mieux réussir». ■

4, boulevard du Théâtre - 1204 Genève Adresse postale Case postale 5039 - 1211 Genève 11 Tél. 022 819 91 11 - Fax 022 819 91 00

■ INFORMATIONS Philippe Meyer, tél. 022 891 91 11

Compte rendu RÉUSSIR DANS UN MONDE QUI ÉVOLUE

Midi de la Chambre du 24 mai 2012 Losinger Marazzi SA est un des leaders du développement immobilier et des métiers de l’Entreprise Totale et Générale. Elle propose des solutions globales et innovantes en matière de financement, de conception et de réalisation. L’entreprise a engagé une démarche de Développement durable structurée et 80% des projets réalisés en 2011 ont été certifiés. Elle compte 800 collaborateurs et réalise un chiffre d’affaire de près de 800 MCHF. www.losinger-marazzi.ch Aura Ressources Humaines SA est une agence de placement temporaire et fixe. Située à Genève, derrière la poste du Mont-Blanc, cette agence apporte son expertise et répond aux besoins en personnel dans différents domaines d’activité, notamment dans le secteur tertiaire et les services, la construction, les technologies industrielles ainsi que le médical et l’hôtellerie. www.aurajob.ch Créée en avril 2011 en tant qu’entreprise de dépannage informatique à Versoix, Gigantit est une entreprise de conseils informatiques certifiée Partenaire Microsoft. Son groupe de consultation offre un conseil sur les stratégies commerciales en ligne et sur l’utilisation avantageuse des technologies de l’information dans l’environnement Microsoft. www.gigantit.webnode.fr Sponsors

Co-sponsors

Contact center genevois, Piramedia SA fête ses 35 ans d’existence cette année. Sa permanence téléphonique permet de recevoir et gérer les appels de ses clients 24h/24. Le call center propose également un service de domiciliation d’adresse, l’analyse de la gestion de l’accueil téléphonique et de l’accueil en face à face ainsi que l’animation de sessions de formation. www.piramedia.ch Bertrand Reich réalise des projets, principalement dans l’immobilier. Bien implanté dans la réalité genevoise, administrateur de sociétés immobilières de droit public ou de droit privé, avocat au Barreau et juge assesseur auprès de la Chambre d’appel en matière de baux et loyers, il s’est spécialisé dans l’accompagnement de projets immobiliers et dans la résolution de situations complexes. www.gdmr.ch Le Domaine de la Devinière se trouve au cœur du Mandement à Satigny, la plus grande commune viticole de Suisse, où il cultive 13,5 ha sous le label Bio Suisse. L’encépagement est à l’image du vignoble genevois, avec 17 variétés différentes, et le développement durable comme la qualité sont au centre de ses préoccupations. Il vend 80% de sa production aux distributeurs locaux, à la clientèle privée et sur les marchés de détail genevois. www.la-deviniere.ch Partenaires

2012

Bachelors et Masters en Gestion d’Entreprise, en Relations Internationales et en Média et Communication

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