cetimenews 5 mai - juin.2006

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ilHWll'CoMHAlU Programme National de Mise à Niveau:

Partenariat Tuniso-Français fc |cetim

Les défis de la prochaine étape Au vu d'une décennie marquée par la conduite et l'impulsion du secteur industriel à travers la création d'un environnement propi­ ce à la diversification et à la dynamisation du tissu industriel afin de hisser les entreprises perfectibles et performantes aux standards internationaux, les résultats enregistrés dans ce domaine sont encourageants et de nature à stimuler encore plus les investisseurs à explorer toutes les voies susceptibles de lui conférer de la valeur ajoutée en technologie et en emplois. Ce stimulus est, d'autant plus, dicté par l'imminence de l'échéan­ ce d'ouverture des frontières avec l'Union Européenne et les objectifs nationaux fixés en terme de compétitivité et d'employabilité. La nouvelle étape du processus de mise à niveau s'annonce donc, cruciale, voire délicate et incite tous les opérateurs écono­ miques à redoubler d'efforts pour assurer l'intégration de notre économie à l'échelle mondiale et pourquoi pas, rattraper le temps perdu pour figurer, demain, au rang des pays industrialisés. Misant sur la richesse de notre pays en « capital » humain, les pouvoirs publics ont choisi d'investir dans l'édification de la Société du savoir et des connaissances. Les efforts déployés à cet effet, ont touché toutes les structures de base et les infrastructures permettant le renforcement du potentiel humain à travers les dif­ férents programmes instaurés (qualité. Coaching, innovation,... Le secteur privé, en tant que levier déterminant pour assurer cette mutation, se doit de saisir les opportunités qui lui sont offertes par l'assainissement de l'environnement industriel et ce, en libérant l'initiative pour la création d'entreprises opérant dans les créneaux à haute valeur ajoutée qui font appel à l'intelligence et à l'imma­ tériel et qui sont de nature à dynamiser encore plus le secteur industriel en lui conférant plus d'efficacité et d'efficience. Notre pays, qui a fait le choix de promouvoir la Société du savoir, a, de ce fait, aménagé les pré-requis en développant l'utilisation des NTIC, en incitant les investissements immatériels visant à améliorer le taux d'encadrement dans les entreprises, et en assu­ rant un enseignement diversifié et adapté en permanence aux nou­ velles mutations technologiques. Notons, par ailleurs, l'engagement progressif des autorités dans le processus de libéralisation totale du secteur des services et de l'atout majeur dont il dispose de par la qualification de nos res­ sources humaines qui présentent un gisement capital pour les investisseurs nationaux et étrangers.

A l'occasion de la célébration des 40 ans du CETIM France (1966-2006), un congrès exceptionnel «horizons mécaniques» s'est déroulé sous le haut patronage de M. François Loos, ministre français délégué à l'industrie, les 28 et 29 Juin 2006 à Senlis. Au cours de cette manifestation, il a été procédé par les deux directeurs généraux M. Philippe Choderlos de Laclos et M. Férid Herelli à la signature d'une convention bilatérale de coopération et de partenariat entre les deux Centres tunisien et français en pré­ sence de M. Béchir Boujday, Vice Président de la Fédération Nationale de la Mécanique. L'objet de cette convention est de consolider les relations exis­ tantes entre les deux institutions et de mettre en oeuvre des actions communes de partenariat et de coopération.

De G. à D. : M. D. Richet - M. B. Boujday M. P. de Laclos - M. F. Herelli - M. C. Barile Les domaines de coopération concernent plus particulièrement les prestations de service, d'assistance technique, de conseil et de formation. A ce titre, et afin de favoriser l'assistance mutuelle, les deux centres ont convenu d'organiser des rencontres périodiques avec les industriels et d'être présents dans les salons et événements inter­ nationaux d'intérêt stratégique, se déroulant aussi bien en France qu'en Tunisie et dans d'autres pays africains ou au Moyen Orient. Knit,,

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Programme National de la Qualité Dans le cadre du Programme National de la Qualité (PNQ) el des efforts visant à doter le tissu industriel de méthodes modernes de management, le PMI et le PNQ ont lancé, depuis 2005, des actions d'assistance pour la promotion des systèmes de management au profit des entreprises indus­ trielles et de services liés à l'industrie. Ces actions viennent d'être consolidées par une campagne de sensibilisation des­ tinée particulièrement aux entreprises du secteur des IME. Pour toucher le plus grand nombre d'entreprises du secteur, il a été décidé d'organiser des séminaires de sensibilisation itinérants à leur profit et ce à travers tout le territoire. Ces séminaires porteront sur les différents référentiels de mana­ gement et s'appuieront sur des exemples concrets issus du secteur dans les différents pôles d'intérêt tels que : * la mécanique et la mécano-soudure * la plasturgie * le matériel électrique * l'électronique * la fonderie * et la sous-traitance automobile. Ces séminaires toucheront en première étape les régions de Ben Arous, Bizerte, Nabeul, Sfax et Zaghouan et sont pro­ grammés pour le mois de spetembre 2006. L'objectif de ces actions de sensibilisation est de promouvoir l'adhésion des entreprises au PNQ. Le CETIME, en tant qu'acteur oeuvrant pour la promotion du secteur des IME, participe activement à cette campagne en collaboration avec le PMI et l'UGPNQ. Le PMI mobilisera à cet effet des experts seniors locaux et internationaux ayant pratiqué la mise en œuvre de systèmes de management de la qualité, de l'environnemental et de la sécurité (ou QSE intégré) au sein des IME. Contact. Mme A. OUMAYA BEN AMARA - poste 1456

Programme National de M i s e à N i v e a u S i t u a t i o n a u 3 0 Avril 2 0 0 6 Les adhésions des entreprises du secteur IME au programme de Mise à Niveau sont de 453, parmi lesquelles 277 projets ont été approuvés par le COPIL au 30 avril 2006. A signaler que 140 dossiers sont traités par le CETIME, soit un taux de participation de 50,5 %. La répartition par sous secteur des dossiers approuvés se présente comme suit:

Programme National de Coaching : Le CETIME adhère activement au Programme National de Coaching (PNC), instauré depuis le mois d'avril 2005 par le Ministère de l'Industrie, de l'Energie et des PME à travers le Programme de Modernisation Industrielle « PMI » et destiné aux PME afin de les soutenir à renforcer leur compétitivité pour affronter les défis d'inté­ gration à l'éeonomie mondiale. Ce programme qui s'étale sur trois ans (de 2005 à 2007) vise l'assis­ tance de 400 PME industrielles et de services liés à l'industrie dont 70 relevant du secteur des IME. L'objectif de ce programme étant d'inciter les industriels à engager des actions immatérielles leur per­ mettant d'intégrer les nouvelles techniques d'amélioration de pro­ ductivité et de management. Les actions menées par le CETIME dans le cadre de ce programme sont réparties sur les trois plans arrêtés par le PMI (POAI, POA2, et POA3). Elles permettent aux entreprises du secteur de bénéficier, en plus des Consultants du Centre, d'expertises nationales et internatio­ nales. A fin juin 2006, vingt entreprises relevant du secteur IME ont pris part à ce programme. Les adhésions à ces actions de « coaching » sont réparties comme suit : Intitulé de l'action POA1 Organisation industrielle

Expert mobilisé

Etat d'avancement

07

Local + International

70%

03

International

30%

Gestion des coûts

02

Local + International

30%

Mise en place d'un système de « GPAO »

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Renforcement du volet «conception POA2 produit »

POA3

Nbre d'adhésions

(en cours de négociation)

Contact. M. M. HAJJl - poste 1433

Contribution du CETIME au programme National 21 - 21

De nouveaux thèmes au profit des stagiaires Le CETIME a arrêté pour l'an 2006, en concertation avec la pro­ fession et les industriels du secteur des IME, un programme riche et diversifié au profit des diplômés de l'enseignement supérieur qui consolide son apport permanent visant à contribuer à l'effort national en matière d'emploi, et ce, à travers les mécanismes ins­ taurés par l'Etat et financés par le Fond National de l'Emploi « 21-21 ». A cet effet, huit projets de formation sont programmés pour le deuxième semestre 2006', dont quatre nouvellement conçus. La date de démarrage de ces sessions de formation est prévue pour le mois de septembre 2006. * Les nouveaux thèmes conçus sont : * L'informatique industrielle * L'électricité industrielle * Les contrôleurs qualité * La conception, le dessin et la fabrication assistés par ordinateur (CAO - DAO - PAO)

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Contact. MM. F. M'RABET/H. postes 143211446

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Les participants qui prendront part à ces sessions de formation seront au nombre de 100. Contact. M. A. AMRI - poste 1437


Z&^QJMLQ™ Maîtrise de l'Energie Efficacité énergétique La Tunisie doit faire face à une conjoncture économique délicate caractérisée par une hausse des prix des sources d'énergie, en particulier le pétrole, et une évolution assez rapide de la consommation associée à une baisse sensible des ressources nationales. Cette situation préoccupante, nécessite par conséquent la mise en place de stratégies d'actions fiables. L'une de ces actions prises face à ce déficit énergétique s'articule autour de la prospection et de l'exploitation des sources énergétiques de substitution. Dans ce cadre, les différents acteurs économiques natio­ naux ont convenu de bien coordonner leurs actions pour puiser dans les créneaux de développement de modèles moins consommateurs d'énergie alliant à la fois efficacité et respect de l'équilibre socio-économique du pays. Ces efforts, déployés au profit de la recherche dans le domaine de l'énergie, devront être consolidés pour répondre aux objectifs fixés par le Programme présiden­ tiel pour un développement durable et une meilleure qua­ lité de vie. A cet effet, et afin d'instaurer une structure d'homologa­ tion des chauffe-eau solaires, dans le cadre du program­ me Pro sol - Tunisie qui vise à étendre les capteurs d'énergie solaire (CES) dans le secteur résidentiel de 50.000 m2 en 2002 à 500.000m2 à l'horizon 2009, le CETIME se prête à apporter sa contribution pour la mise

en place et le démarrage de cette structure dans les meilleures conditions. Parallèlement et en guise de contribution au programme de maîtrise de l'énergie, le CETIME ne cesse de multi­ plier et de diversifier les actions visant à promouvoir l'uti­ lisation rationnelle de l'énergie. Les principales actions menées sont les suivantes : . 1. Formation en utilisation rationnelle de l'énergie : Animation de plusieurs séminaires de formation et de sen­ sibilisation en inter et intra entreprises, dans le domaine de l'optimisation des coûts énergétiques, au profit des cadres et des techniciens des entreprises industrielles (2 séminaires en inter et 5 à 6 actions de formation en intra par an). De même, le CETIME participe à l'animation de séminaires et de journées techniques en économie d'énergie organisés par d'autres institutions (ANME, AFNDT, ...). 2. Etiquetage énergétique des appareils électrodomestiques: Dans le cadre du programme national de maîtrise de l'énergie et avec la contribution de l'ANME, le CETIME a mis en place.un laboratoire accrédité de classification énergétique des réfrigérateurs et congélateurs. Ce labora­ toire a permis de tester 162 appareils et de réaliser la clas­ sification énergétique de 138.

Transport frigorifique Vérification et contrôles des équipements isothermes et/ou frigorifiques utilisés dans le transport sous température contrôlée des denrées périssables. Le froid est l'un des moyens de pré­ server les qualités organoleptiques, sanitaires et nutritionnelles des pro­ duits. La chaîne du froid regroupe l'ensemble des étapes successives que suit le produit depuis la fabrication jusqu'à la remise au consommateur ou à l'utilisateur final, au cours des­ quelles le produit doit être maintenu à la température exigée. Le respect de la chaîne du froid permet notamment de ralentir le développement micro­ bien. L'élévation de températures pro­ voquée par la rupture de la chaîne du froid provoque la reprise de l'activité bactérienne et peut conduire à la dégradation des aliments. Le trans­ port frigorifique constitue sans nul doute un maillon essentiel de cette chaîne du froid, dont la finalité est de fournir au consommateur des produits avec toutes garanties de sécurité et de

mologation des carrosseries iso­ thermes et/ou frigorifiques à tempéra­ tures dirigées que la Tunisie devrait mettre en place à l'instar des 39 pays signataires de l'Accord relatif au transport des denrées périssables et aux engins spéciaux à utiliser pour ce transport (ATP).

qualité. Le contrôle de la qualité des caisses et des équipements isothermes et/ou fri­ gorifiques utilisés dans le transport de ces produits est l'un des moyens, à même de garantir le respect de la chaîne de froid. A ce titre, le CETIME vient de signer une convention avec la Fédération Nationale de la Mécanique visant principalement l'élaboration des pro­ jets de procédures de vérification, de contrôle et de classification de ces équipements ainsi que les modes opé­ ratoires d'essais de vérification et de contrôle. Ces procédures constitue­ ront à terme la base du système d'ho­

La mise en place de ce système d'ho­ mologation et l'adhésion à cet accord permettront : * d'éviter que des enceintes, fabri­ quées localement ou importées et déclassées en Europe circulent libre­ ment sur le territoire tunisien, * d'améliorer les conditions de conservation de la qualité des denrées périssables au cours de leur transport, notamment pendant les échanges internationaux. Il faut par conséquent développer le commerce des denrées périssables en améliorant la qualité des caisses isothermes et/ou frigori­ fiques fabriquées localement ce qui est de nature à ouvrir des marchés à l'export aux dizaines d'entreprises tunisiennes fabricant ces produits. *


Coopération Japonaise

Partenariat Tuniso-Français Suite page 1 Aussi, il a été convenu de promouvoir des actions spécifiques en renforcement des capacités du CETIME à travers les pôles spécialisés en analyse de défaillance, expertise, veille technologique... ainsi que la promotion du centre de docu­ mentation et d'information. Une place de choix sera consacrée à la participation conjoin­ te et le montage des dossiers européens dans le cadre des pro­ jets de recherche - développement d'intérêts communs. 11 est à rappeler que le CET1M (France) fait partie d'un important réseau de Centres Techniques industriels qui prend en compte les besoins collectifs de plus de 40 professions de la mécanique. Ce réseau est composé de près de 7000 entreprises. Le CETIM a créé 8 Laboratoires en commun avec le CNRS. des Universités et des Ecoles d'ingénieurs. 11 joue, de ce fait,

Photo [irise en souvenir de la collaboration entre le CETIME et la J1CA Dans le cadre de la collaboration entre le CETIME et l'Agence Japonaise de Coopération Internationale (J1CA), le CETIME a été honoré par la visite de Monsieur MACHIDA, nouveau Représentant de cette agence, le mardi 20 juin 2006. A cette occasion, une séance de travail a été tenue entre Monsieur MACHIDA et le Directeur Général du CETIME. Elle a porté sur les perspectives de développement des relations de coopération entre les deux institutions. un rôle important d'interface entre la recherche publique et l'industrie, dont le rapprochement devient de plus en plus indispensable et ce à travers les pôles de compétitivité qui sont dédiés à la mécanique, ce qui est de nature à doter les PMI d'un secteur donné, des facteurs de compétitivité sus­ ceptibles d'améliorer et de maintenir de façon efficace les énergies et de faciliter l'accès des PME à des ressources coûteuses mais indispensables.

A l'issue de cette rencontre. Monsieur MACHIDA a effectué une visite aux laboratoires du Centre et a pris connaissance des moyens dont il dispose pour concourir à hisser le niveau de la compétitivité de l'entreprise tunisienne. A signaler qu'une équipe d'experts seniors japonais effectue actuellement, avec des cadres du CETIME, des activités visant la promotion de la productivité des entreprises tuni­ siennes.

Evénements La Biennale Internationale des Nouvelles Technologies dans l'Industrie et les Services *Jj Le CETIME participera, en marge de l'exposition biennale Professionnelle des Nouvelles Technologies dans l'industrie et les services « MIC EXPO et SIMSI », au symposium International organisé à cet effet, au profit des professionnels de la Mesure, de l'Instrumentation, du Contrôle qualité et de la Maintenance, tous secteurs confondus : (Industrie, Services, Qualité, GMAO, GPAO) qui aura lieu du 09 au 12 novembre 2006 au C1FCO - La Charguia. Ce symposium traitera des questions d'actualité et réunira des pro­ fessionnels et des experts marquants au bénéfice des entreprises participantes. Vu l'importance majeure que revêt une telle manifestation pour le développement de relations de partenariat aux niveaux maghrébin et euro-méditerranéen, le CETIME incite vivement les entreprises du secteur des 1MB à participer activement à cette manifestation.

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N.B. : MIC EXPO et SIMSI sont organisés par Expo Services Tunisie.

la Maintenance et la Maîtrise des Risques Pd.lcih « n H k W j . - l

Un symposium international sur la Maintenance et la Maîtrise des Risques aura lieu à Rabat (Maroc) du 02 au 04 novembre 2006. Ce symposium sera organisé dans le cadre des acti­ vités du Centre d'Excellence en Maintenance Assistée par les Technologies de l'Information et de la Communication « Cematic » par l'Ecole Nationale de l'Industrie Minérale de Rabat (Maroc) en collaboration avec l'Université de Valenciennes et du Hainaut Cambrésis (France) et Polytech Mons (Belgique) et avec l'appui du Réseau International de la Maîtrise des Risques et Maintenance «REFERANCE». Ce colloque a pour objectif d'apporter aux partici­ pants des idées nouvelles sur la fonction mainte­ nance pour évaluer et améliorer la Sûreté de Fonctionnement, la Productivité, la Qualité et la Rentabilité de leur entreprise ou organisme. Il y a lieu de signaler qu'un cadre supérieur du CETIME fera partie du Comité d'honneur de ce symposium international.


TSOÎffl@D@M}^( FAVI : Une Fonderie modèle pour le développement durable FAVI est une Fonderie employant entre 500 et 600 employés, spécialisée dans la fonderie sous pression des pièces techniques en alliages cuivreux. Leader dans son domaine, elle est implantée en Picardie, à Hallencourt, en zone rurale, la société FAVI a, depuis les années 80, adopté un solide bon sens collectif basé sur le poten­ tiel « intelligence collective » et des principes d'engagement

Système (QSE) Qualité Sécurité - Environnement qui est inspiré de deux croyances majeurs. La première étant « l'amour » de ses clients internes comme externes et se décline en trois volets : * Le respect des délais promis * La connaissance des désirs des clients * La réactivité pour assister les clients en cas de problème constaté ou potentiel. Le deuxième axe sur lequel

rie européenne à avoir été certi­ fiée ISO 14001 * En 2000 : la première entre­ prise française à avoir été certi­ fiée OHSAS 18001 * En 2002 : la première entre­ prise française à avoir été certi­ fiée QSE (en conformité avec quatre référentiels : ISO 9001 V2000.TS 16949. ISO 14001). La philosophie avancée par FAVI est de « faire toujours plus et mieux pour moins cher, pour chacun de ses clients ».

et de dévouement de l'en­ semble du personnel envers le métier exercé et envers les clients. Le personnel de l'entreprise étant animé d'un formidable sens de responsabilité, n'épargne aucun effort pour être performant et contribuer au bonheur de l'entreprise. La société Favi adopte un

repose la politique Qualité de l'entreprise est d'ordre moral et se résume dans la croyance que « chacun doit chercher son bonheur à travers le bonheur de son client. Ces valeurs partagées par le personnel de Favi et leur volon­ té de progrès permanent et continu leur ont permis d'être: * En 1997 : le première fonde-

Il y lieu de noter par ailleurs, la flexibilité organisationnelle de l'entreprise qui est une devise importante pour favoriser l'en­ gagement de tous., les opéra­ teurs avant les responsables. pour plus d'informations, connectez vous au site de l'entreprise www.favi.com

Ils ont dit du CETIME ! Dans le cadre d'un projet de partena­ riat Tuniso-Canadien, la société Canado-Tunisienne des Industries agroalimentaires a fait part de sa reconnaissance au CETIME pour sa célérité et son apport en matière d'as­ sistance technique et ce, à l'issue d'une intervention d'évaluation effec­

tuée sur une chaîne de transformation de tomates en jus, située actuellement au Canada et qui sera prochainement réimplantée en Tunisie. Le partenaire promoteur tunisien, a bien voulu exprimer sa gratitude quant à la colla­ boration du CETIME et la réussite de ladite mission d'évaluation qui a per­

Normalisation Projets de normes tunisiennes soumis à l'enquête publique L'enquête publique N° 254 émise par 1TNNORPI pour la période allant du 10/06/2006 au 09/08/2006 présente une liste de projets de normes tunisiennes relatives à la commission technique CT40 « Véhicules routiers et équipements pour automo­ bile (52 projets de normes) ». Ces projets de normes traitent principalement des dispositifs de freinage, des vitrages de sécurité, des connecteurs, des composants de systèmes de combustible gaz naturel comprimé (GNC), pneumatiques, écrous, filtres à air, etc.

mis de cerner l'aspect technique du projet (réinstallation et optimisation de son exploitation). Il a par ailleurs, manifesté sa volonté de continuer sa collaboration avec le CETIME en lui confiant plusieurs missions de contrôle technique, de maintenance et de formation.

La bibliothèque du CETIME vient d'être enrichie par une documentation riche et actuelle relative aux nouveautés techno­ logiques du secteur mécanique. Dans ce cadre, nos partenaires et entreprises intéressés ainsi que les professionnels et les étudiants sont invités à consul­ ter ces ouvrages sur notre site web à l'adresse suivante : \ r

www.cetime.md.tn


WËWUm §TT QK]^©[MSifMrD®[Ml Le Marquage CE Le marquage CE est un véritable passeport pour la libre circulation des produits sur l'es­ pace économique européen. Pour pouvoir être vendus sur l'ensemble « ■ ■ * ^ B S . du marché européen, soit auprès de 450 M a r q u a g e _ g Q ^ ; j^ millions de consommateurs, de nom0^^!^&r breux produits, à usage du grand public comme des professionnels, doivent porter le marquage CE. Garantie de sécurité pour les utilisateurs et les consommateurs, le marquage CE est le symbole visuel qui atteste que le produit est conforme aux exigences essentielles de sécurité d'une ou plusieurs directives. Les directives comportent des exigences essentielles définissant des résultats à atteindre ou les risques à traiter ; cependant, elles ne proposent pas de solutions techniques. Les normes harmonisées sont là pour aider le fabricant dans sa démarche de conformité puisqu'elles traduisent les exigences des directives en spécifications techniques, détaillées et reconnues. L'utilisation des normes harmonisées pour la conception de vos produits simplifie la démarche de mise en conformité de ceuxci et atteste de votre adhésion aux exigences de la directive. C'est pourquoi les produits conformes aux normes harmonisées sont présumés conformes aux directives. Toutefois, c'est au fabricant d'identifier les normes pertinentes pour son produit au regard de la directive. Dans tous les cas, le marquage CE est apposé par le fabricant qui prend la responsabilité de déclarer la conformité de ses pro­ duits aux exigences de la (ou des) directive(s).

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Un m ê m e produit peut être couvert par plusieurs directives. Certaines directives couvrent d e s risques horizon­ taux (risques lies à l'électricité basse tension, à la compatibilité électromagnétique, h la pression). Les a u t r e s couvrent d e s catégories de produits qui peuvent ê t r e très ou beaucoup plus ciblées c o m m e les dispositifs médicaux, les b a t e a u x d e plaisance, les jouets

EXEMPLE : Pour pouvoir assurer la mise sur le marché de son produit, le fabricant d'une machine d'électro-érosion destinée à l'usinage de formes complexes en métal telles que des moules (pour bottes de ski, casques,...) devra s'assurer que sa machine répond aux exigences essentielles de 3 directives : - à la directive 98/37/CE relative aux machines, pour la prise en compte principalement du risque mécanique d'écrasement, de coincement ou de cisaillement des doigts et mains, lié au dépla­ cement du bac et de la tête d'usinage ; - à la directive 73/23/CEE relative aux matériels électriques basse tension, pour limiter les risques électriques, notamment d'électrocution au niveau du système de transport de l'électro­ de et de la zone d'usinage ; - à la directive 89/336/CEE relative à la compatibilité électro­ magnétique, pour les aspects tant «émission» liés à la présence d'un générateur de haute fréquence qu'»immunité» pour la commande électronique. Le marquage CE apposé par le fabricant sur cette machine attes­ te alors de la conformité aux 3 directives. (A suivre au prochain numéro)

L'innovation, une démarche stratégique pour l'entreprise Dans un environnement marqué par la mondialisation, l'innovation est aujour­ d'hui le véritable moteur de l'économie. Pour garantir leur pérennité, les entreprises doivent réfléchir à 1'obsolescence rapide de leurs produits et lancer sur le marché, bien avant leurs concurrents, la nouveauté capable de séduire le consommateur. Le processus d'innovation Contrairement à de nombreux autres pro­ cessus, le processus d'innovation ne peut pas être géré par un seul service. Il concerne toute l'entreprise et doit être initié et soute­ nu par la direction tout comme la politique qualité. L'innovation est une politique d'en­ treprise dont le garant est le dirigeant. Ce dernier doit mettre en place l'organisation qui gérera la maîtrise de ce processus. Quels sont les principaux acteurs? Toute l'entreprise est concernée et plus par­ ticulièrement le marketing, le bureau d'étude et la propriété industrielle. Pour être un acteur de l'innovation, le marketing doit se projeter dans l'avenir et détecter les tendances fortes qui peuvent faire évoluer ses produits. Il examinera en particulier les besoins non ou mal identifiés. Il doit mettre en évidence les points clés attendus par le marché. Avant même de débuter la concep­ tion, il bâtira sa gamme de produits et sa communication à partir de ces points clés. Le bureau d'étude, quant à lui, détient le côté technologique du processus d'innova­ tion, il estime ce que ça coûte et ce que l'on pourrait faire à partir des évolutions tech­ nologiques récentes. Le chef de l'entrepri­ se accordera les moyens nécessaires au bureau d'étude pour explorer les technolo­ gies nouvelles et inscrire cette action de

prospective dans une réflexion stratégique. Tout comme le marketing, le bureau d'étu­ de doit être ouvert, curieux et avide de savoir afin de pousser l'innovation. Le troisième acteur capital dans le proces­ sus d'innovation est le service de propriété industrielle, or il se trouve que peu d'entre­ prises disposent d'un service de propriété industrielle. Ceci explique que souvent le réflexe « protection » n'existe pas. Ou alors, quand il intervient, c'est plus à la fin du processus que dans la phase d'analyse qui doit précéder tout développement. Comme signalé, le marketing, le bureau d'étude et la propriété industrielle sont des passages incontournables pour innover. L'innovation s'appuie sur des méthodes: L'innovation est l'aboutissement d'un pro­ cessus qui s'appuie sur un certain nombre de méthodes et d'outils. A la base, il faut des connaissances. L'entreprise doit réunir et analyser des informations sur les régle­ mentations, les technologies émergeantes ou non maîtrisées, le contexte du marché et la connaissance technique des produits concurrents. Il faut scruter l'environnement pour détecter les menaces ou opportunités technologiques qui peuvent avoir une inci­ dence sur votre métier. La veille technolo­ gique et plus généralement l'intelligence économique sont des éléments essentiels pour l'entreprise. Cette collecte d'informa­ tions doit eue ciblée et Structurée, Pour juger de la pertinence de l'innovation, il existe des outils appropriés pour faire cette analyse tels que les panels qui suivent la vente des produits de grande consomma­ tion (Nielsen, GFK...). Des tests « consommateur » sont également préconi­

sés et menés par des organismes spécialisés et permettent de vérifier, au niveau du concept ou du prototype, le degré d'accep­ tation de l'innovation. Ettéctuer un « benchmarking » Les produits de la concurrence doivent être analysés techniquement et évalués. Ce « benchmarking » examinera leurs forces et leurs faiblesses. Il permettra de définir les avantages concurrentiels qui devront être développés dans votre produit. Ce n'est qu'après avoir pris en main toutes ces données que l'on pourra élaborer une stratégie d'innovation. Votre entreprise est-elle prête pour inno­ ver? Comme on l'a vu, l'innovation n'est pas un fait du hasard. C'est véritablement une cul­ ture d'entreprise, impulsée par la direction et relayée par l'ensemble des unités, A ce titre, et pour assurer la pérennité de ['entre­ prise; il faut penser que la compétition est de plus en plus vaste et que vos compéti­ teurs sont peut être aujourd'hui inconnus, c'est la raison pour laquelle il faut constam­ ment veiller à son portefeuille de produits. Si l'on manque de temps, il est toujours possible de rechercher des conseils à l'ex­ térieur disposant d'une neutralité certaine pour faire évoluer son organisation et pré­ parer sa stratégie qui se travaille et se peau­ fine dans la durée. En innovation, la meilleure des stratégies est l'attaque.... A condition qu'elle soit mûrement réfléchie et bien ciblée. Extrait de l'article de Monsieur Vital Parise, paru dans la revue « Technologies Internationales n° 98 ».


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DOSSIER ENERGIE

Il ya de l'électricité dans les vagues IM première centrale utilisant l'énergie de la houle sera installée cet été au Portugal. Les côtes européennes pourraient bien être habi­ tées, dans un avenir proche, de milliers d'énormes serpents mécaniques ondulant à la surface des eaux. Objectifs: récupérer l'énergie des vagues pour produire de l'électricité. La première «ferme houlomotrice» du monde verra le jour dès cet été, dans le nord du Portugal. Trois «serpents» produi­

ront jusqu'à 2,25 mégawatts/heure, de quoi éclai­ rer 1500 foyers. Ces boudins flottants de 150 mètres de long, baptisés Pelamis, sont composés de quatre segments tubulaires reliés par des modules articulés. Les mouvement imprimés par les vagues activent des moteurs hydrauliques, qui eux-mêmes vont actionner des générateurs élec­ triques. Les kilowatts ainsi produits sont transpor­ tés à travers un câble sous-marin. Si les trois premiers Pelamis donnent entière satis­ faction, ils seront rejoints dans les années à venir par 27 autres pour former une ferme d'une capa­ cité de 22,5 mégawatts. Deux projets du même type sont à l'étude en Ecosse et en Angleterre; et Océan Power Delivery, la société écossaise qui a développé le système espère réduire les coûts de production pour devenir compétitive par rapport aux autres énergies renouvelables d'ici à 2010. Source: Sciences et Avenir -juin 2006

Qu'est ce que le courant électrique Au XIX siècle, Ampère, Faraday et Maxwell observent de nombreuses propriétés des courants électriques et les assemblent dans un cadre cohérent qui englobe le magnétisme, puis la lumière. Mais la nature de ces courants reste inconnue. C'est la théo­ rie atomique de la matière, après la découverte de l'élec­ tron en 1897, qui révèle que le courant consiste en un déplacement de petits grains. Selon le milieu, ces grains sont de différentes sortes. Dans les métaux, les porteurs d'électricité sont des élec­ trons, dont la charge élec­ trique est négative d'après les équations de Maxwell écrites en 1879 : le courant d'élec­ tricité circule en sens contrai­ re des électrons (transporter

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de la charge positive dans un sens équivaut à transporter de la char­ ge négative dans le sens opposé). La conductivité d'un métal n'est pas ajustable : le nombre d'électrons susceptibles de conduire le courant ne dépend que de la nature chimique des atomes métal­ liques. Dans l'eau de mer, en revanche, les porteurs de charges sont des ions, des atomes auxquels on a enlevé ou ajouté des électrons. En majorité, il s'agit d'Ions sodium, positifs, et d'ions chlorure, négatifs, issus de la dissolution du sel. Les deux ions contribuent au transport de charge électrique. On peut faire varier la conductivité : plus l'eau est salée, mieux elle conduit l'électricité. Les deux milieux sont électriquement neutres : les charges mobiles négatives sont compensées par des ions positifs fixes (métal) ou mobiles (eau salée). * Source : La Recherche (hors série n° 1)

Formation Continue Dans le cadre du Programme Euro-médéterranéen de la qualité « Euromed Qualité », deux cadres du CETIME ont pris part à une session de formation organisée par l'Institution Britannique de Normalisation (BS1) qui a porté sur la gestion de laboratoire de contrôle. Cette formation a eu lieu du 08 Mai 2006 au 02 Juin 2006 au profit de stagiaires de différentes nationalités des pays euro méditerranéens. Les thèmes abordés lors de cette formation sont : - une vue d'ensemble du Système d'Affaire de manage­ ment de la Qualité (BQMS); - une vue d'ensemble des Directives Européennes ; - une vue d'ensemble de la norme de certification BS EN 45011; - la norme européenne IEC/ISO 17025; - une comparaison d'essai Inter laboratoire; - l'incertitude de mesure; - Les directives de marquage CE.

Formation à la norme ISO 17025 V2005 au profit des cadres du CETIME Dans le cadre de ses activités de promotion de la qualité. le CETIME a organisé les 07, 08, et 09 juin 2006, à Tunis, un atelier de formation ayant pour thème « les nouveaux amendements de la norme ISO 17025 ». Cette formation, animée par un expert dans le domaine, a été dédiée au personnel du CETIME affecté aux labora­ toires accrédités par le COFRAC et le TUNAC. Il s'agit notamment : - du laboratoire des essais sur piles, - du laboratoire des essais sur réfrigérateurs - et du laboratoire de métrologie dimensionnelle. L'objectif de cette formation étant de : - Maîtriser la norme ISO 17025 dans sa nouvelle version 2005, - Identifier les différences entre l'ancienne et la nouvelle version de l'ISO 17025, - Analyser le contenu des nouvelles exigences, - Mesurer l'impact potentiel de cette évolution sur le système qualité existant.

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EBOULE [HT DM[F©[MlMfD©Ca@ INDUSTRIES MECANIQUES ET METALLURGIQUES NOUVELLES OPPORTUNITES D'EXPORT Le Centre européen de promotion des importations des pays en voie de développement CBI siégeant à Rotterdam - Pays-Bas, organise dans le cadre de ces diverses tâches, des programmes de développement d'exportation (Export Development Programme ÉDP) au profit des entreprises industrielles des pays en voie de développement sélectionnées, dont figure la Tunisie. A partir du mois de mars 2(X)6, ce centre a lancé deux thèmes qui concernent le secteur mécanique et qui ont déjà fait l'objet de deux programmes lancés en 2001 avec la participation de certaines entreprises tunisiennes. Il s'agit de : 1 - La sous-traitance de pièces de forge et de fonderie ; 2- Les tuyauteries et les équipements connexes. Approche et contenu des programmes : En adoptant une approche « étape par étape » claire et simple à suivre, les programmes EDP offrent, entre autres, l'appui indi­ viduel aux entreprises sélectionnées. Cet appui qui porte sur un certain nombre d'années concerne notamment : * Le conseil et l'assistance dans le marketing à l'export, la qua­ lité, le produit et l'amélioration de production ; * La formation ; * L'établissement de contacts d'affaires à travers la participation aux diverses manifestations et salons spécialisés tels que: * Pour le 1 e r programme : Tube et Achema, respectivement à Dûsseldorf et Francfort (Allemagne), Aquatech à Amsterdam (Hollande) ; * Pour le second programme : Foire des Industries à Hanovre, (Allemagne) et Midest à Paris (France). Produits sélectionnés : 1- Pour le 1er programme : tout équipement employé pour le transport, le stockage ou la commande des fluides (liquide et/ou gaz) dans les divers processus industriels en Europe : * Tuyauterie, garnitures, brides, équipements de sûreté, accouplements, valves, compteurs de débit, outils et équipe­ ment d'entretien, isolation, brides, et échangeurs de chaleur ... , * Accouplements, garnitures, coudes, pièces en T, garnitures soudées bout à bout, joints, soufflets ... ; * Appareil à pression, chaudières, brûleurs, réservoirs, accu­ mulateurs ... ; * Compteurs de débit, indicateurs de niveau, réducteurs de pression ... ;

* Réacteurs, radiateurs, séparateurs, mélangeurs, centrifu­ geuses, refroidisseurs ... ; * Diaphragme, piston, plongeur, propulseur, turbine, palette ... , * Services industriels liés à l'activité. 2- Pour le second programme : * Fonderie ferreux et non ferreux (fonderie en sable, en coquille, en cire perdue ...etc.) : Fonte malléable, acier, alu­ minium, cuivre, zinc, titane, magnésium et alliages ; * Pièces forgées à chaud et à froid de tous les métaux et alliages ; * Pièces métalliques roulées ; * Profilés métalliques en non métalliques (caoutchouc et plas­ tique) extrudes ; * Pièces métalliques et en céramique agglomérées et injectées (moulées) ; * Pièces de tôlerie poinçonnées, grignotées et embouties ; * Pièces métalliques usinées ; * Moules et matrices ; * Pièces moulées en plastique et caoutchouc ; * Pièces réalisées par formage hydraulique ; * Ensembles dès pièces obtenues par des opérations mention­ nées ci-dessus. Pays sélectionnés :

Pour les deux programmes : Colombie, Pakistan, Tunisie, Equateur, Pérou, Vietnam, Egypte, Philippines, Bosnie-Herzégovine, Inde, Afrique du Sud, Serbie et Monténégro, Indonésie, Sri Lancka, Macédoine, Thaïlande. Elant donné que les gammes de produits proposées par ces deux programmes couvrent une grande partie des branches d'activités du secteur des industries mécaniques et métallurgiques, nom invitons les industriels de ces branches à saisir cette opportunité et à adhérer à ces programmes afin de se faire connaître et de s'introduire crescendo dans les marchés européens. Pour de plus amples informations sur ces deux programmes ainsi que sur la méthodologie adoptée et pour obtenir les conditions et le formulaire de participation, veuillez contacter Le CET1ME. Traduit de CBI NEWS (Mars./Fév. 06) - F. M'RABET

Véhicules roulant au GNV : Le CID® assure Grâce à une nouvelle méthode de contrôle des réservoirs de gaz naturel pour véhicules, les exploitants gagnent sur le temps d'immobilisation des véhi­ cules tout en optimisant les procédures qualité et sécurité. Les réservoirs de gaz naturel pour véhi­ cules (GNV), conçus en fibre de carbo­ ne sont soumis tous les deux ans et demi à une visite intermédiaire interne et externe et tous les cinq ans à la réépreuve hydraulique. Cet examen, conçu pour les réservoirs en acier se révèle mal adapté aux maté­ riaux composites. Il exige en effet, un montage, démontage et un transport qui entraînent un risque non négligeable de détérioration et ne fournit aucun rensei­ gnement fiable sur l'intégrité de leur installation. Enfin, cet examen coûteux pénalise la disponibilité du véhicule ; il est donc

préjudiciable pour l'exploitant. A la recherche d'une solution optimisée Pour concevoir une nouvelle solution, l'AFGNV (Association Française du

Gaz Naturel pour Véhicules) a fait appel à différents spécialistes : Gaz de France pour son savoir-faire dans les composants haute pression, Ullit, constructeur de réservoirs et le Cetim pour son expertise dans le domaine des contrôles non destructifs.

CID" : une solution optimisée Sur le cas pratique de bus équipés pour rouler au GNV, le Cetim a alors élaboré une méthode de contrôle par inspection détaillée (CID)41 en collaboration avec Gaz de France. Très complète, elle comprend une vérification de l'installa­ tion générale, du montage des réser­ voirs, des fusibles thermiques, des canalisations sur le toit du bus, des events, des réservoirs proprement dits et du circuit gaz. L'examen a lieu sur place, à l'endroit du remisage des bus, sans démontage des bouteilles et n'engendre qu'une immo­ bilisation d'une demi-journée par véhi­ cule. Transpole, important réseau Lillois de transport en commun com­ portant plus de 100 véhicules GNV, a été un précurseur dans l'utilisation de la méthode de contrôle CID* du Cetim. Source: Cetim Sentis


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LE SECTEUR DES IEEE

LE SECTEUR DES IMM Nombre d'entreprises Emploi total Entreprise totalement exportatrice Emploi pour les entreprises exportatrices Production (année 2005) Taux de la valeur ajoutée Importations (année 2005) Exportations (année 2005) Investissements (année 2005)

REPARTITION PAR BRANCHE

16%

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D'ACTIVITE

Nombre d'entreprises Emploi total Entreprise totalement exportatrice Emploi pour les entreprises exportatrices Production (année 2005) Taux de la valeur ajoutée Importations (année 2005) Exportations (année 2005) Investissements (année 2005)

REPARTITION PAR BRANCHE

16%

■Traval des métaux

15%

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REPARTITION

■swenitg». MetMun>cet Fonde*

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Baderurgie.Metaiurgieet Fonderie

REPARTITION

DE LA PROl WCTION

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Travw des metau» DFabncawn d'équipements Oinaustnes autonoMes

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Indicateurs du secteur IME durant les cinq premiers mois 2006 Investissements réalisés Emplois créés Importation Exportation Source API I INS - ( Mai 2006)

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REPARTITION DES EMPLOIS

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BFacrl canon d'équipements

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■Sdeninjie.Mètaïunjieet Fonderie

11%

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Sessions de formations spécialisées au CETIME Juillet - Septembre 2006 Pos

Thème de

Formation

Date

Durée / Js

1

Initiation à la prévention en matière d'hygiène et de sécurité

13-14 Juillet 06

02

2

La réglementation environnementale

19-21 Juillet 06

03

3

Radiologie industrielle niveau 2

05-20 Sept 06

12

4

Formation de consultants experts qualité

07-08 Sept 06

02

5

Exploitation des postes électriques moyenne tension

11-15 Sept 06

05

6

Définition et classification des nuances d'aciers

12-13 Sept 06

02

7

Elaboration et analyse des ratios de production

12-13 Sept 06

02

8

Initiation aux matières plastiques et leurs mises en œuvre

12-14 Sept 06

03

9

Ressuage niveaux 1 et 2

18-22 Sept 06

05

10

Formation qualifiante en Métrologie : Métrologue niveau 2

19-20 Sept 06

02

Contact. Mme F. AMMAR/M.

W. OUERGHl

- postes 1403/1431

FOIRES & SALONS Septembre Exposition des équipements pour l'instrumentation, l'automatisation et la microélectronique Milan (italie) - Fiera Milano Rho-Pero Du 20 septembre 2006 au 23 septembre 2006 Fiere & Mostre Sri Email : visit,bias@fieremostre.it Site : www.bias.it 9th European Conference on Non-Destructive Testing 9th Conférence Européenne sur les END (ECNDT) Berlin (Allemagne) Du 25 septembre 2006 au 29 septembre 2006 Tel.+49 (30) 678 07 120/121 Fax +49 (30) 678 07 129 e-mail: info@dgzfp.de Site : www.ecndl2006.info Micronora Biennale des Microtechniques Besançon Du 26 septembre 2006 au 29 septembre 2006 Micronora - Tél. : 03 81 52 17 35 Fax : 03 81 41 30 89 Email : contact @ micronora.com Site : www.micronora.com Octobre Forum de l'Electronique Le rendez-vous de toute la filière électronique (composants, production, service, sous-traitance, test et mesure) Paris - Paris Expo Porte de Versailles Du 17 octobre 2006 au 19 octobre 2006 Exposium - Tél. : 01 49 68 51 83 - Fax : 01 49 68 54 84 Email : gdodcman@exposium.t'r Site : www.forum-electronique.com Novembre Midest

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Salon international de la sous-traitance industrielle Paris-Nord Villepinte Du 07 novembre 2006 au 10 novembre 2006 Reed Expositions - Tél. : 01 47 56 50 00 - Fax : 01 47 56 14 40 Email : alain.reichenbach@rcedexpo.fr Site : www.midest.com Maintenance Expo Salon de la maintenance Paris-Nord Villepinte Du 07 novembre 2006 au 10 novembre 2006 Reed Expositions - Tél. : 01 47 56 52 28 - Fax : 01 47 56 21 40 Email : mario.fiems@reedexpo.fr Site : www.maintenance-expo.com SPS/IPC/Drives Salon et congrès des techniques

d'automatisation

Nuremberg - Messe/.entrum Du 28 novembre 2006 au 30 novembre 2006 Mesago Messe Francfuil Site : www.mesago.de Pollutec Salon International des équipements, des technologies, et des services de "l'environnement pour l'industrie et les collectivités locales Lyon - Eurexpo Du 28 novembre 2006 au 01 décembre 2006 Reed Expositions - Tél. : 01 47 56 21 24 - Fax : 01 47 56 21 20 Email : antoinette.viellard@reedexpo.fr Site : www.pollutec.com


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