cetimenews 7 sept - oct 2006

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Septembre - Octobre 2006

EDITORIAL RECHERCHE - DEVELOPPEMENT Innovation et intelligence collective: fcêtim Faciliter TIMR' CET1ME

pour plus de performances et de compétitivité Face au contexte économique mondialaujourd'hui une contrainte concurren­ incertain, et pour faire face à toutes les tielle très forte, sont celles qui sont tendances pesantes qui les entourent,démunies d'information et de visibilité les entreprises sont aujourd'hui tenues sur leur développement car les nouvelles d'innover sur tous les plans : innovation règles de compétitivité reposent désor­ produit, innovation marchés, innovationmais à la fois sur des innovations sans organisationnelle, innovation en mana­cesse renouvelées et sur la maîtrise des gement. C'est à la fois une injection, programmes et procédures de manage­ une exigence et une évidence. Les mana­ment, de marketing, de recherche, de gers ont appris à diriger par les risques qualité, ... Bref, sur la valorisation de et aujourd'hui, plus que jamais, ils sont l'intelligence collective au sein de l'en­ appelés à puiser dans les pratiques treprise qu'il faut développer rapide­ modernes de management, lesquellesment et de préférence, mieux que celle sont susceptibles de faire augmenter offerte par les entreprises concurrentes. leur réactivité dans la mesure où elles Etant convaincu de cette nouvelle les dotent d'une capacité de réaction donne économique mondiale « de l'in­ plus habile, plus rapide et plus efficien­ novation et de la connaissance » et, par­ tant de s'a mission de veilleur pour les te. entreprises du secteur des IME, le CETILes fils conducteurs à cette capacité ME a entrepris, dans le cadre de son par­ réactive sont : l'innovation et la mobili­ tenariat avec le CETIM France des sation de l'intelligence collective qui actions de promotion et de sensibilisa­ s'annoncent autant urgentes qu'indis­ tion au profit des entreprises en vue de pensables, dans l'état actuel de la tech­les impliquer davantage dans des projets nologie, caractérisé par une évolution innovants de recherche - développe­ surprenante des connaissances à travers ment. l'Internet, les systèmes de base de connaissance, les messageries intelli­Cette initiative et tant d'autres vien­ gentes et les multimédia,... nent renforcer les mécanismes d'incita­ Aujourd'hui donc, pour renouer avec la tion mis à la disposition de l'entreprise performance, les entreprises doivent et convergent vers le renforcement de sa impérativement se positionner sur une compétitivité par l'innovation et la nouvelle vision gagnante basée sur lescréativité, au moment où la Tunisie connaissances et l'innovation. célèbre, dans la joie et l'allégresse, les En effet, les entreprises qui subissentacquis du Changement.

SOMMAIRE EDITORIAL. Innovation et intelligence collective

ACTUALITES R&D: faciliter l'intégration des PME au contexte européen 1-2 2-3 Programmes nationaux: PMM - PNQ et PNC 4 9ème conférence européenne de CND l'Industrie tunisienne se modernise 5 6 COOPERATION INTERNATIONALE

TEMOIGNAGE Le management intégré: cas de la SIAME

l'intégration des PME au contexte européen Dans le cadre de la convention bilaté­ rale signée entre le CETIME - Tunisie et le CETIM - France en juin 2006 qui repose particulièrement sur un concept dynamique gagnant/gagnant, les deux Centres ont fixé cinq axes prioritaires de coopération dont celui d'organiser un

atelier spécialisé portant sur le dévelop­ pement des programmes avec l'Union Européenne. A cet effet, le CETIME a organisé le 14 septembre 2006 une journée de sensibili­ sation au 7ème PCRD ( Programme Cadre de Recherche et de Développement) de l'Union Européenne, à laquelle ont pris part les représentants de la profession (FNM et FEDELEC), de l'administration et d'autres Centres techniques ainsi que quelques industriels Suite page 2

V E I L L E ET I N F O R M A T I O N S Coopération Université - Industrie Dossier normalisation Métrologie: périodicité de raccordement Nouveautés en CND Dossier énergie Composants auto.: de bonnes perspectives de développement

DONNEES DU S E C T E U R DES IME

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Les l ' premiers mois 2006 Données du secteur

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AGENDA

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CETERfllE ÏÏ@W£ Responsable de la publication: Mohamed Férid HERELLI (mirclinairice: S. Bin FADHEL - ( onsultant conseiller: I. \ / / Mil - Comité de Rédaction: M. OUAZA \. M. Mil U.I.A H. WIOK - \. AMRI - C. MA MOI I. - Y M \KIII.OL F - T. BEN SA M) LE CETIME - Z.L Ksar Said - 2086 Dcmar llichtr • l a Manouba ■ tel: 71 545 988 - 71 545 721 • Fax: 71 546 637 • 71 546 380 - E-Mail: ceflme@afl.tn Réalisation: LES INNONCES - Téli 71 432 860 - las: 71 432 005 url: http//www.cetime.ind.tn

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ACTUALITES RECHERCHE - DEVELOPPEMENT

P R O G R A M M E DE MISE A N I V E A U

fp*'" Faciliter l'intégration j f j T Les défis de la deuxième étape Les grands axes du programme de mise à niveau dans sa deuxième phase ont été présentés par monsieur Meftah Amara. Directeur Général du Bureau de Mise à Niveau lors d'une rencontre avec la presse organisée le 26 août Suite page 1 2006. L'objectif de cette action étant de sensibiliser les acteurs tunisiens (industriels. Centres de recherche et institution­ Etant donné l'avènement du démantèlement tarifaire total nels) sur le 7ème PCRD de l'Union Européenne et de don­ avec l'Union Européenne, cette nouvelle phase vise essen­ ner les moyens aux intéressés d'engager des actions de mon­ tiellement à soutenir l'entreprise industrielle tunisienne tage de projets européens innovants financés par la pour pouvoir affronter la vive concurrence internationale. Commission Européenne. notamment européenne et ce. à travers le renforcement de sa capacité concurrentielle. Les avantages de la participation de l'entreprise tunisienne Les grandes lignes des objectifs assignés à la prochaine à des projets européens sont nombreuses dont notamment : étape du programme sont : * l'amélioration de son image de marque ; * La consolidation des programmes antérieurs avec l'adhé­ * l'intégration à des réseaux : sion en vue de 1200 entreprises industrielles et 300 socié­ * l'acquisition d'une meilleure connaissance des marchés et tés de services liées à l'industrie et ce. à fin 2011. soit res­ des technologies ; pectivement 240 entreprises industrielles et 60 sociétés de * et raffinement de sa stratégie commerciale. services par an. Un deuxième rendez vous avec les PME est prévu pour les * L'approbation de 1000 programmes de mise à niveau. 16 et 17 novembre 2006 à Hammamet et sera dédié à la familiarisation avec « l'école de l'innovation » pour repé­ * L'approbation de 2500 dossiers ITP (Investissement rer les clefs de succès à une participation au PCRD essen­ Technologique Prioritaire) tiellement orientés autour des axes suivants : Cette phase fixe également des objectifs pour les pro­ grammes qui accompagnent la mise à niveau à l'égard du * accroître les capacités d'innovation des PME Programme National de la Qualité lancé en avril 2005 avec * diffuser la culture de l'innovation en partenariat un objectif d'adhésion de 600 entreprises (200 à fin juin * transmettre les connaissances afin de participer à un pro­ 2006 et 1300 à fin 2009) et le Programme National de jet en coopération. Coaching dont les objectifs sont tablés à 400 adhésions à Ces journées seront animées par Mme Françoise Bonnet fin 2007 (126 adhésions sont enregistrées au mois d'avril Le Comte, Responsable des contrats internationaux au 2006 et 600 projetées à fin 2009). CETIM France et un expert du CTIF (Industrie de Fonderie) sous le signe «comprendre pour agir, coopérer Quant aux nouveautés de cette deuxième étape de mise à pour réussir». niveau, elles sont réparties sur quatre axes : * L'introduction en bourse des entreprises ayant suivi un L'ouverture sera présidée conjointement par Monsieur programme de mise à niveau avec un objectif à atteindre de AfifCHELBl, Ministre de l'Industrie, de l'Energie et des 50 entreprises à fin 2009. Cette action vise notamment la PME et Monsieur Taïeb HADHR1, Ministre de la participation à la promotion du marché financier tunisien. Recherche Scientifique, de la Technologie et du * La mise en place d'un programme pilote pour la restruc­ Développement des Compétences. Quant à la clôture, elle turation financière de 100 entreprises industrielles, en col­ sera présidée par Monsieur Ridha BEN MOSBAH, laboration avec le Ministère des Finances et la SOTUGAR. Secrétaire d'Etat, Chargé de l'Energie Renouvelable et * Le renforcement du programme de création de consor­ des Industries Agro - alimentaires. tiums d'entreprises par la création de 10 consortiums à Contact. M. M. M'Iialla - poste 1401 l'export regroupant une centaine d'entreprises et la créa­ tion de 30 consortiums d'approvisionnement regroupant 300 entreprises ainsi que le renforcement, d'une manière ENTREPRISES : CECI VOUS CONCERNE générale, des regroupements d'entreprises dans le cadre de réseaux de partenariat dans le domaine de la recherche MISE A NIVEAU: développement et de la formation. * Mise en place d'un programme pour le renforcement de LES ETAPES A S U I V R E l'introduction de nouvelles technologies au sein des entre­ Les entreprises qui désirent adhérer au programme de mise à prises industrielles en collaboration avec les départements niveau sont invitées à suivre les démarches suivantes: concernés avec comme objectif : 1- Adresser une demande d'adhésion au Bureau de Mise à * La sensibilisation de 100 entreprises Niveau : 2- Contacter le Centre technique à qui l'entreprise est rattachée * La réalisation de diagnostics au profit de 500 entreprises * L'assistance technique au profit de 400 entreprises pour ou un bureau d'études ; bénéficier des possibilités qu'offrent ces nouvelles techno­ 3- Après accord du BMN, signer une convention de diagnostic logies en terme de XAO. CAO/DAO, GPAO, GMAO. ... / Plan de Mise à Niveau : La deuxième étape de mise à niveau constitue de nouveaux 4- Réaliser le diagnostic / Plan de Mise à Niveau : 5- Préparer le dossier de diagnostic / Plan de Mise à Niveau : soutien et appui à l'entreprise industrielle pour le renforce­ ment de sa capacité concurrentielle. Le temps presse, les 6- Remettre le dossier / Plan de Mise à Niveau au BMN : défis se multiplient et les entreprises n'ont aucun choix que 7- Entamer la réalisation du Plan de Mise à Niveau ; 8- Après approbation du Plan de Mise à Niveau par le COPIL. d'adhérer plus que jamais aux orientations de la politique adresser une demande de déblocage de la prime au BMN et ce. économique du pays afin de s'asseoir une place dans ce au niveau du taux de réalisation du Plan de Mise à Niveau res­ contexte économique globalisé. pectivement de : 30% : 60% et 100%. Contact. M. F. M'rabet - poste 1432 Contact. M. F. Mrabet ste 1432

des PME au contexte européen

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ACTUALITES P R O G R A M M E N A T I O N A L DE LA Q U A L I T E s

Situation au 30 septembre 2006 Conscient de l'importance de son rôle dans ce programme, le CETIME contribue activement à la réussite du Programme National de la Qualité. Ce programme, qui vise le développement des compétences des entreprises tunisiennes par la mise en place des différents systèmes de management, a pour objectif l'assistance de 600 entreprises industrielles dont 180 relevant du secteur des IME et ce. à fin 2009. Notons que la situation à fin septembre 2006. pour le secteur des IME réalisée avec le concours de l'UGPQ, est la suivante : 25 contrats signés dont 04 actions achevées et 21 en cours de réalisation, réparties comme suit : Référentiel

Nbre d'adhésions

Système de Management Qualité selon la nonne ISO 9001 : 2000

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Système de Management Qualité selon la norme ISO/TS 16946

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Système de Management Intégré

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Système de Management de la Sécurité (OHSAS 18001)

02

Système de Management pour l'accréditation selon les normes ISO 17020/17025

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Signalons par ailleurs, que : * 40 contrats sont déjà en cours de signature * 30 contrats sont prévus pour le 4ème trimestre 2006 * et 100 contrats sont prévus pour l'an 2007. • Il est à signaler que dans le cadre de l'action continue de sensibilisation à ce programme, le CETIME a réalisé une campagne au profit des entreprises du secteur au cours de la semaine du 18 au 22 septembre 2006 dans les régions de Nabeul. Ben Arous. Bizerte, Zaghouan et Sfax. Contact. Mme A. Kharrat - poste 1445

P R O G R A M M E N A T I O N A L DE C O A C H I N G Situation au 30 septembre 2006 En vue de soutenir l'effort national pour l'amélioration de la productivité de l'entreprise tunisienne, le CETIME entre­ prend. avec le soutien de l'Unité de Gestion du Programme de Modernisation Industrielle (UGPMI) des actions d'assis­ tance au profit des entreprises du secteur des IME. destinées à hisser le niveau d'appropriation des actions immatérielles leur permettant d'intégrer les nouvelles techniques d'amélioration de productivité et de management. A titre de rappel, nous signalons que ce programme s'étale sur trois ans (de 2005 à 2007) et vise l'assistance de 400 PME industrielles et de services liés à l'industrie dont 70 relevant du secteur des IME. Les actions menées par le CETIME dans le cadre de ce programme sont réparties sur les trois tranches arrêtées par le PMI (POA1.POA2, et PO A3). A Fin septembre 2006. 22 entreprises relevant du secteur IME ont pris part à ce programme. Les adhésions aux actions de « coaching » sont réparties comme suit :

Intitulé de l'action

Nbre d'adhésions

POA 1 Organisation industrielle

14 dont 7 en cours de réalisation

POA1 Conception produit, gestion des coûts

06 dont 4 en cours de réalisation

POA1 Mise en place d'un système de « GPAO »

02 contrats

Il est à signaler par ailleurs, que : * 14 contrats sont en cours de démarchage * 14 contrais sont prévus pour le 4ème trimestre 2006 * et 35 contrats pour l'an 2007. Contact, Mme. A. Kharrat - poste 1445

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ACTUALITES g e m e C o n f é r e n c e Européenne de Contrôle Non Destructif Berlin -25-29 La 9ème conférence européenne des DT contrôles non destruc­ European Conference tifs (9th ECNDT) s'est S e p t e m b e r 2S 2 9 , 2 0 0 6 déroulée à Berlin du 25 DCZfP P r o c e e d i n g » BB 1 0 1 CD au 29 septembre 2006, Monsieur Mohamed EC Férid Hérelli, en sa qualité de Conseiller Scientifique du projet régional AFRA/RAF/08/32 et Président de l'AFNDT (Fédération Africaine des Contrôles Non Destructifs), a participé aux travaux de cette conférence. KF'v.K

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S*r

Cette conférence, qui a réuni environ 1500 experts venus de 35 pays du monde, a regroupé 91 exposants de techniques et matériel de CND développés et de nom­ breuses entreprises spécialisées dans le domaine des CND. Cette manifestation a été marquée également par 507 communications scientifiques et techniques de hauts niveaux. Les plus importants travaux de recherche - développe­ ment ont porté sur le rôle futur destiné aux techniques de CND dans divers domaines, notamment la sécurité des biens et des personnes, le contrôle qualité et la protection environnementale, en plus du rôle développé, assigné aux techniques de CND, en harmonisation avec les standards internationaux qui contribuent énormément au dévelop­ pement de la productivité et à la maîtrise des coûts (Le CD des conférences est disponible au CETIME). A l'occasion de cette rencontre, I'ICNDT (Comité International de CND) a étudié les préparatifs pour le 17"™ congrès international qui aura lieu à Shanghai Chine, en Août 2008 et les nouveaux projets de normes internationales élaborés dans le but de conférer plus de souplesse et d'efficacité aux techniques d'intervention en CND. notamment dans les domaines concernés par le contrôle réglementaire touchant les secteurs sensibles. LTCNDT a, entre autres, étudié les demandes d'adhé­ sion de nouveaux pays membres tels que le Soudan, la Lituanie, la Bella Russie, etc. Aussi, une attention particulière a été accordée aux pro­ grammes de mise à niveau et de certification des compé­ tences en CND et ce, en vue d'assurer une reconnaissan­ ce mutuelle entre les différents systèmes de certification au niveau mondial, www.icndt.org Il est à signaler, que le système européen de certifica­ tion en CND en vigueur et en application à la norme EN 473, est conforme à la norme internationale ISO 9712 et en adéquation avec les deux systèmes allemand et anglais largement diffusés à l'échelle mondiale. Nous rappelons à ce titre, que l'expérience tunisienne dans ce domaine occupe une place de choix grâce aux nombreux acquis enregistrés dans ce domaine et aux choix stratégiques convoités par les pouvoirs publics en adoptant dès le départ les systèmes internationaux, ce qui nous a permis, à travers la Commission Nationale pour les

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septembre

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CND « COTEND » de réaliser des programmes dévelop­ pés couvrant entre autres, la certification d'environ 500 agents opérant dans les CND aux niveaux national et inter­ national et au même titre que ceux des pays développés et la désignation du CETIME par l'AIEA (Agence Internationale de l'Energie Atomique) en tant que Centre pilote d'examen et de formation en CND dans les différents niveaux, pour les pays africains francophones. Dans ce même cadre, la Tunisie aura le privilège d'abri­ ter la 5*~ conférence africaine de CND en 2009. En marge de cette conférence, son excellence, Monsieur Moncef Ben Abdallah. Ambassadeur de Tunisie à Berlin, a manifesté beaucoup d'intérêt pour le renforcement des capacités des structures d'appui en s-'inspirant de l'exemple allemand tel que « Fraunhofer Institut » qui jouit d'une réputation internationale remar­ quable et qui pourrait servir à améliorer la compétitivité de l'industrie tunisienne.

Contact. M. T. Ben Saâd - poste 1430

LE CENTRE REGIONAL AFRICAIN EN CND Organise UNE FORMATION QUALIFIANTE EN CONTRÔLE NON DESTRUCTIF NIVEAU 3 Le CETIME. en tant que Centre Régional Africain en CND pour les pays africains francophones désigné par l'Agence Internationale de l'Energie Atomique (AIEA), organise du 20/11/06 au 08/12/06 la 3eme session de formation qualifiante en CND niveau 3. Cette formation s'adresse aux contrôleurs des Etats membres de l'AFRA qui sont déjà formés niveau 2 en CND (Algérie, Maroc. Tunisie, etc.). La formation est une session de préparation pour la certification en niveau 3 dans les 4 méthodes de base de CND à savoir : le ressuage. la magnétoscopie, les ultrasons et la radiologie, et comprend une formation de base en CND qui est obligatoire pour la qualifica­ tion en niveau 3. Cette formation sera suivie d'un examen de qualification niveau 3 autour des thème suivants : métallurgie, soudage, procédés de fabrica­ tion. codes et standards. Les participants prétendront à la qualification niveau 3 selon les exigences de la norme internationale ISO 9712. Contact. Mme S. M'kadem -poste 1477


L'INDUSTRIE T U N I S I E N N E SE MODERNISE!

HYDROI-M» Une nouvelle entreprise de maintenance et d'essais hydrauliques Afin d'offrir des prestations de haut niveau dans les domaines d'essai et de maintenance Hydro-electro-mécanique et contribuer à combler le vide de plus en plus ressenti dans cette activité, Hydrolab, une PME spécia­ lisée en maintenance curative et pré­ ventive de plusieurs types de moteurs immergés, pompes, moteurs élec­ triques et appareil hydro-méca­ niques. a mis en place pour la pre­ mière fois en Tunisie, un banc d'essai totalement automatisé avec l'édition des rapports des résultats d'essais et courbes en temps réel pour les essais suivants :

* Electropompes immergées, hori­ zontales. submersibles, in line * Puissance maxi : 125 CV - débit jusqu'à 400 m3/h et pression jusqu'à

40 bars.

Aussi. Hydrolab offre d'autres presta­ tions très variées en maintenance. contrôle qualité, et tarage sur plu­ sieurs gammes de moteurs, bobinages de moteurs, pompes, turbines, réduc­ teurs de pression... Pour savoir plus sur l'activité de cette nouvelle unité, le Directeur Général du CETIME, le Président Directeur Général de l'ONAS. «le Président

Directeur Général de la SONEDE et le Directeur Général des Grands Travaux Hydrauliques ont effectué le vendredi 13 octobre 2006 une visite au siège d'Hydrolab à Mégrine Riadh. A noter que le CETTME a toujours manifesté un intérêt quant au renfor­ cement de cette activité et consolide vivement les réalisations par Hydrolab à travers les travaux en par­ tenariat entre le CETIME - Tunis et le CETIM - France. Ce dernier dispose de la plus grande plateforme euro­ péenne en essais hydrauliques située à Nantes. Contact. M. Med Ouazaà - poste 1528

La satisfaction des clients : un chantier en étemelle

construction

Le CETIME a engagé un programme d'actions visant l'optimisation de la satisfaction de ses clients. Ce programme a porté sur toutes les composantes agissant sur cet axe stratégique adopté par le Centre en l'occurrence : l'organisa­ tion, les ressources humaines et l'infrastructure. L'organisation : Un nouvel organigramme a été mis en place favorisant une meilleure orientation vers les pôles de compétence regrou­ pant les secteurs des IME à savoir: mécanique, électricité et électronique, basée autour de «cœur de métier»: maté­ riaux. mesure et contrôle. Cette approche orientée «client» a intégré, pour la première fois au CETIME, là recherche - développement et le mar­ keting en tant que fonctions à parts entières. Ces fonctions horizontales ont été positionnées au même titre que les principales activités qui constitueront des centres de profit. Les ressources humaines : Les cadres intervenants dans les activités marketing ont suivi plusieurs thèmes de formation en la matière. Les der­ nières en date ont été assurées par Monsieur Lotz. expert de la GTZ dans le cadre d'un programme d'assistance aux Centres techniques. Les infrastructures : La rénovation et l'aménagement des services administratif, financier et commercial ainsi que l'accueil et ce. pour facili­ ter aux clients l'accès aux services rendus par le Centre. Aussi, un centre de documentation, d'information et de veille technologique équipé des nouveaux outils de communica­ tion et d'information et rattaché au réseau international sera prochainement opérationnel. Ces transformations devront permettre à l'entreprise un accès rapide à l'information technologique et un service de plus en plus perfectionné. Contact. M. M. M'halla - Poste: 1401

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COOPERATION INTERNATIONALE TUNISIE - JAPON CETIME F

Des projets modèles pour l'Industrie tunisienne

Dans un contexte de mise à niveau de l'Industrie tunisienne et de renforcement de la compétitivité internationale des pro­ duits industriels tunisiens, et afin d'atteindre les objectifs fixés par les autorités publiques à savoir : doter 600 entre­ prises d'ici 2010 des capacités à répondre aux normes inter­ nationales telles que les normes ISO, plusieurs actions ont été entreprises dont l'accord récent entre la Tunisie et le Japon qui est traduit par l'adoption entre le Ministère de l'Industrie, de l'Energie et des PME et l'Agence Japonaise de Coopération Internationale (JICA). d'une étude sur l'amélio­ ration de la Qualité / Productivité des entreprises tunisiennes conduite par l'Unité de Gestion du Programme National de Promotion de la Qualité (UGPQ). Les objectifs globaux assignés à cette étude sont : * Déterminer la problématique des secteurs de l'industrie agroalimentaire et de l'industrie électrique en matière d'amé­ lioration de la qualité/productivité. * Améliorer la qualité/productivité par la mise en œuvre d'un

De G à D: M. F. Herelli (Cetime)-Mme. D. Zangar (UGPQ) M. Machida (JICA) - M. C. Ben Rejeb (CTAA) projet pilote dans des entreprises modèles et effectuer un transfert de technologie à la partie tunisienne en matière d'ac­ tivités d'amélioration de la qualité/productivité tels que les 5 S, le KAIZEN et le Système de Production Toyota. * Elaborer, sur la base des résultats du projet pilote, un manuel pour l'amélioration de la' qualité/productivité ainsi qu'un Plan Directeur et un Plan d'Action afin de guider les entreprises dans une démarche pratique d'amélioration de la qualité/productivité.

La durée préconisée à cette étude est estimée à trois ans (du mois d'août 2006 à fin juin 2008), allouant le transfert technologique en passant par trois grandes étapes qui sont : * L'apprentissage de technologies qui comprend l'étude de la ;>->^—i

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itjjj - ~- :• .—- - — — " ' ' Séminaire a information : amelioration de la qualité / Produgjm ré dans ur Eiearioue / Electronique et ' « H |r Agrç^^mntdire -.■ 'É

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De G à D: M. F Herelli (Cetime)-M. Machida (JICA)Mme. D. Zangar (UGPQ) situation et la détection des problèmes. * L'amélioration de ces technologies par acclimatation au niveau régional (ou national) : c'est la phase de mise en œuvre du projet pilote. * La diffusion au plan régional (ou national) des technologies améliorées : c'est la mise en œuvre des plans directeur et d'action. De manière simplifiée, ces étapes sont désignées : phase d'apprentissage, phase d'amélioration et phase de diffusion. Notons par ailleurs, que des comités de suivi composés de représentants des deux Centres techniques impliqués dans cette étude (le CETIME et le CTAA) ont été désignés et que l'étude est actuellement en phase 1 : sélection des entre­ prises pilotes (une quinzaine pour chaque secteur). Il est à signaler qu'une journée d'information concernant cette étude a été organisée le 27 octobre 2006 à Tunis en pré­ sence de nombreux représentants d'entreprises publiques et privées et d'établissements étatiques. Le but de cette journée étant de présenter ce projet et ses différentes phases ainsi que les résultats de la première phase relative à la détermination de la problématique des secteurs ciblés. Contact. Mme A. Oumaya Ben Amara - poste 1456

TUNISIE - ESPAGNE

Des avantages pour les entreprises du secteur de transformation des métaux Dans le cadre de la mise en œuvre du pro­ gramme de coopération luniso-espagnole entre le CETIME et l'AIMME (Instituto Technologico Metalomecanico) visant le soutien aux institutions d'appui au secteur industriel tunisien par le renforcement de leurs capacités d'intervention, le CETIME a entrepris plusieurs actions en matière de formation, d'assistance et d'accompagne­ ment. Parmi ces actions, on peut citer le renfor­ cement des capacités du CETIME en

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matière: * d'analyses d'avaries, * d'essais de caractérisation des revête­ ments et des traitements de surface, * de conception et engineering de produc­ tion (CAO. CFAO. prototypage rapide.). * et d'assistance technique en traitement de surface et peinture. A travers ce partenariat CETIME / AIMME , les entreprises du secteur IME jouissent désormais de moyens nécessaires pour répondre à leur besoin dans les

domaines suscités. // est à noter que l'AIMME esl une asso­ ciation collective qui regroupe les entre­ prises métallurgiques et a pour mission principale d'améliorer la compétitivité des entreprises espagnoles du secteur de transformation des métaux à travers les activités d'investigation, de développe­ ment et d'innovation. Contact. M. M. M'halla - poste 1401


TEMOIGNAGE Le Management Intégré : Cas de la « SIAME » La SIAME renforce sa position dans son secteur d'activité (production et distri­ bution de compteurs d'énergies BT. dis­ joncteurs BT. accessoires de ligne BT et accessoires de câblage (Borniers, répar­ titeurs....). par l'adoption et la mise en place d'une dynamique d'amélioration continue se traduisant par l'alignement à une vision globale de gestion de l'entre­ prise alliant à la fois l'aspect organisationnel. productif et environnemental.

Exemple : Des bacs de retention ont été installés pour les conteneurs d'huiles usées, fûts et pré-chauffeurs ce qui a per­ mis de réduire, voire d'éliminer les fuites d'huiles ainsi que la pollution des sols. La SIAME a pu ainsi développer une prévention et une capacité à réagir face à d'éventuels incidents environne­ mentaux. * Bénéfices de la démarche : La SIAME y gagne !

En effet, la SIAME. a misé sur le déve­ loppement socio-économique. C'est cette démarche qui lui a valu la certifi­ cation conformément aux référentiels internationaux ci -après :

* Réduction de la consommation d'eau, de produits chimiques et d'énergie

* Certification ISO 9001 ver 2000 (juin 2002). * Certification ISO-TS16949 (août 2005). * Certification ISO 14001 (novembre 2005).

Exemple 1 : Suite à la modification de la structure de rinçage en cascade au lieu d'un rinçage en parallèle, les gains et les améliorations suivantes ont été constatés: • Une réduction de la consommation d'eau d'environ 170 m3 par mois ; • Une réduction de la consommation des réactifs (produits chimiques) au niveau

Le CETIME a, en tant que structure d'appui aux entreprises du secteur des IME, largement contribué à la mise en place de ces systèmes de management. notamment en ce qui concerne les volets organisationnel et environnemental et ce. par l'accompagnement et la mise à disposition de consultants dans les domaines précités. Dans ce qui suit, nous présentons cer­ tains avantages acquis par la SIAME grâce à l'adoption de la démarche ISO 14001. * Bénéfices de la démarche ISO 14001: L'environnement y gagne ! Un SME (Système de Management Environnemental) a pour but de déve­ lopper la prévention et le retour d'expé­ rience pour réduire les impacts négatifs sur l'environnement.

de la station de traitement des eaux usées : • Une réduction de la consommation d'énergie. Exemple 2 : La mise en place d'un nou­ veau processus de dégraissage qui sub­ stitue le trichloréthylène a conduit aux « récoltes » suivantes : - Le dégraissage par utilisation du tri­ chloréthylène a été supprimé et substitué par un nouveau processus : dégraissage chimique à chaud. - Le nouveau produit chimique utilisé est moins dangereux que le trichloréthy­ lène ; - Une réduction des coûts de fabrication de 95 % (360 dinars au lieu de 8000 dinars) par an; - Une augmentation de la norme de pro­ duction entre 20 et 50 % selon les pièces:

* Meilleure gestion des déchets * La diminution des quantités de déchets a entraîné une diminution des coûts de retraitement. Exemple 1 : La modification du cou­ vercle compteur par injection d'une matière thermoplastique au lieu d'une matière thermodurcissable (verre) a per­ mis de « récolter » les gains suivants : - La réduction des déchets en quantité : - L'élimination du verre ; - La génération de déchets recyclables au lieu de déchets non recyclables ; - La réduction du coût de fabrication par l'élimination de certaines opérations (découpe vitre, montage joint, montage vitre +joint, ébarbage et ébavurage cou­ vercle). Exemple 2 : La mise en place d'un tri sélectif des résidus a permis la valorisa­ tion de plusieurs déchets. Par ailleurs, il est à noter que : * la certification ISO 14001 assure une meilleure maîtrise des risques environnementaux ; * la démarche de certification envi ronnementale permet la création d'une dynamique motivante pour le personnel ; * l'obtention du Certificat ISO 14001 permet l'accès à de nouveaux marchés comme le marché de l'au­ tomobile. En somme, la démarche ISO 14001 se révèle être un puissant levier manage­ rial. En conclusion, avec l'accompagnement du CETIME, la démarche de certifica­ tion ISO 14001. ça rapporte beaucoup à l'entreprise ! Contact. M. Md R. El Methamem poste 1444

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VEILLE ET INFORMATIONS Coopération : Université - Industrie Pour assurer plus de rapprochement entre l'Université et l'Industrie, le CETIME se propose de vous faire part des résultats obtenus par des chercheurs tunisiens portant sur des thèmes susceptibles d'intéresser l'entrepri­ se tunisienne. Il s'agit : Thème

Chercheur

Etablissement

Les cartes de contrôle univariées et multivariées : MSP

Hassen Taleb Dr. en gestion

Institut Supérieur de Gestion de Tunis

Les cartes de contrôle non para­ métriques

Mekki Hajlaoui Dr. en gestion

Faculté des Sciences Economiques de Gestion de Mahdia

La gestion de la Qualité

Lassaâd Lakhal Dr. en gestion

Faculté des Sciences Economiques de Nabeul

MSP pour des petites séries

Abdelmonêm Snoussi Doctotrant (Thèse déposée)

Institut Supérieur de Fiscalité - Sousse

MSP pour les séries auto-corrélées

Mohamed GHOURABI Doctorant

Ecole Supérieure des Sciences Economiques et Commerciales de Tunis

Les erreurs de mesure

Haykel Zouaoui Doctorant

Ecole Nationale des Statistiques Contact. M. M'halla.

- poste 1401

NORMALISATION Bilan du 1 e r s e m e s t r e 2 0 0 6 Au cours du premier semestre 2006. 523 normes tunisiennes ont été adoptées par les différentes commissions tech­ niques (C.T.) siégeant au sein de FINNORPI. Parmi ces normes, 69 relèvent du secteur des Industries Mécaniques et Electriques (IME). Le nombre d'Avants Projets de Normes Tunisiennes (APNT) adoptés pour la même période est de 52 par la com­ mission technique relative aux normes Compatibilité Electromagnétique (CEM) et 73 par la commission technique relative aux véhicules routiers. Par ailleurs. 90 projets de normes en soudage sont préparés pour adoption à la prochaine réunion de C.T. Contact. Mme A. Kharrat - poste 1445

Les normes : un atout ganant pour les PME Tel était le thème de la journée d'information organi­ sée par FINNORPI, membre de l'organisation mondia­ le de normalisation « ISO » le 14 octobre 2006, en marge des festivités mondiales célébrées à l'occasion de la journée mondiale de la normalisation. Cette journée est destinée à rendre hommage aux efforts des milliers d'experts à travers le monde ayant collaboré à l'élaboration de normes nationales, régio­ nales et internationales dans le but de faciliter le com­ merce et l'échange d'expertise entre les pays afin d'ac­ compagner le progrès technologique. La séance d'ouverture de cette journée a été présidée par monsieur Afif CHELB1. ministre de l'Industrie, de l'Energie et des PME qui a insisté dans son allocution sur le rôle croissant de la normalisation dans le déve­ loppement industriel touchant ainsi des domaines stra­ tégiques tels que la bonne gouvernance. la gestion

'iff Cetime news - 9£° 7

organisationnelle et de production qui présentent des atouts incontournables permettant aux entreprises de s'imposer aussi bien sur les marchés nationaux qu'in­ ternationaux.

Données sur le Site WEB du CETIME 1 Septembre 06 Octobre 06 1 Visiles

1 225

1 Pages vues

3 396

3 959

1 Pages vues 1 par visiteur

3,8

3,9

1 239


VEILLE ET INFORMATIONS METROLOGIE

Périodicité de raccordement ; le juste équilibre De nombreux utilisateurs s'interrogent sur la périodicité de raccordement idéal pour leur instrument. Le point sur cette question. Les résultats du raccordement d'un instrument de mesure (étalonnage vérification) ne sont valables, rigoureusement, que lors de la prestation, compte tenu des conditions d'uti­ lisation qui varient de celles du raccordement, et de la déri­ ve de l'instrument lui-même. Pour l'utilisateur, l'objectif est donc d'obtenir un compromis entre «sous-qualilé» (aug­ mentation de la périodicité de raccordement avec risque d'actions correctives auprès des clients par exemple) et «sur-qualité» (diminution de la périodicité au dépit du coût de la prestation et du temps d'indisponibilité de l'instru­ ment). Au final, il s'agit de réduire, voire d'annuler, le risque d'utiliser un instrument non conforme. Prendre en compte de multiples critères Il est à noter qu'aucune règle n'existe en la matière. L'utilisateur, qui connaît, en principe, le mieux son instru­ ment et l'utilisation qui en est faite, est le seul à pouvoir définir cette périodicité en fonction d'une série de critères: •périodicité calendaire ou selon le taux d'utilisation. Par exemple, le raccordement peut avoir lieu tous les ans ou toutes les mille heures d'utilisation.

atmosphérique). • taille du parc d'instruments Au-delà d'une certaine taille, la question du raccordement interne à l'organisme doit être posée (achat et maintien d'étalons, formation et qualification du personnel,...) et peut remettre en cause le temps d'indisponibilité ou la périodicité de raccordement, par exemple. Source : Compétences, n°26-Le

Bulletin du COFRAC

Le CETIME renforce ses relations avec les établissements d'enseignement, d'éducation et de formation professionnelle

• recommandation du fabricant, du laboratoire presta­ taire, etc. Par exemple: pour un laboratoire accrédité par le Cofrac en métrologie des pressions, la périodicité de raccordement d'une balance manométrique utilisée comme étalon dans le cadre de son accréditation est de 2 ans pour l'ensemble pis­ ton-cylindre et de 4 ans pour les masses. •fréquence et conditions d'utilisation La périodicité de raccordement d'étalons de masse utilisés avec des gants et conditionnés dans une atmosphère non corrosive sera, sans aucun doute, différente de celle de masses étalons de travail utilisées quotidiennement sans précaution.

Le CETIME contribue activement à la formation des étu­ diants en leur proposant des stages d'encadrement (ouvriers, techniciens, projets de fin d'études, etc.) Outre leurs objectifs de formation, ces stages constituent les canaux par lesquels les étudiants acquièrent la culture d'entreprise et la qualification professionnelle qui les pré­ parent à l'insertion au monde du travail. Dans ce cadre, le CETIME a accueilli jusqu'au mois de septembre 2006. 86 stagiaires répartis par type et par niveau comme suit : Répartition selon type de stage

■ Ouvrier ■ Technicien QP.F.E

• conditions d'environnement Les conditions d'environnement accélérant le vieillissement de l'instrument et donc souvent la dérive, sont à proscrire (corrosion, température extrême,...). • exactitude de mesure recherchée Plus l'exactitude est grande, plus le suivi de l'instrument sera accru, diminuant ainsi la périodicité de raccordement. • contrôle interne possible

La cohérence entre les résultats donnés par deux instru­ ments de mesure peut prévenir toute dérive ou dysfonction­ nement et permettre d'augmenter sensiblement la périodici­ té de raccordement (exemple de baromètres à la pression

Contact. M. W. Ouerghi - poste 1431

Cetùne news - $1° 7


VEILLE ET NOUVEAUTES EN CONTROLE NON DESTRUCTIF PAR ULTRASONS Un nouveau bloc d'étalonnage « V 3 » Le V3 est un bloc d'étalonnage fabriqué par I&T Nardoni Institute, conçu pour l'opération de calibrage en ultra­ sons, ce dernier est une combinaison des deux blocs stan­ dards VI et V2 avec les mêmes fonctionnalités, mais avec un poids plus léger et plus compact à savoir : V l = 5Kg. V2= 0.5 Kg et V3=2.15kg . V3 a été proposé pour la normalisation auprès de : ISO - CEN - ASTM - AS.ME. Désormais V3 est disponible au CETIME . Contact.

Mme S. M'kadem -poste 1477

La pompe à vide économise l'énergie sans faire de bruit... Spécialiste des pompes à vide. PIAB vient de développer deux modules permet­ tant de réduire la consommation d'air et de renfor­ cer l'aurait de sa technologie COAX de venturi multiétagés. Environ 10 % de la facture d'électricité des entreprises industrielles est affecté aux com­ presseurs d'air. C'est dire s'il s'agit d'un "poste" important. La diminution de la consommation d'air est justement au cœur de la stratégie de PIAB (présente en France depuis 1984), qui développe des venturi multi-étagés depuis 1972. Dans un passé plus récent, l'an 2000 est une année importan­ te car c'est à ce moment là que la société suédoise lance la technologie COAX, qui est au cœur de ses pompes actuelles. COAX, c'est un venturi multi-étagé en ligne (CÔAX, comme co-axial) : le tube dans lequel circule le flux d'air comprimé comporte des buses à sa périphérie, qui permettent d'aspirer l'air ambiant (le niveau de vide obtenu dépend de la pression de l'air comprimé dans le tube). Physiquement, le COAX se présente sous la forme de cartouches tubulaires qui peuvent être montées et démontées aisément sur les pompes. Deux variantes ont été développées, permettant d'atteindre des niveaux de vide de -75 kPa et -91 kPa. Avec la technologie COAX. il est possible de réduire la consommation d'air com­ primé de 40 % par rapport aux Venturis traditionnels. De plus. comme il n'y pas de pièces mobiles, il n'y a ni frottement, ni usure, ni dégagement de chaleur. Les nuisances sonores sont également réduites (60 à 65 dBA). Cependant, à 100 % de charge, le rendement est moins bon que celui obtenu avec une pompe électromagnétique. Pour corriger cet inconvénient. PIAB vient de développer deux modules (AVM et PCC) qui viennent se fixer au-dessus du capot de ses pompes P60I0. Le module PCC permet de faire varier la pression d'alimentation de la pompe et réduire la consommation énergétique en main­ tenant automatiquement un niveau prédéfini de vide. Ce module est destiné aux applications à fuites. Quant au modu­ le AVM. destiné aux applications étanches. son rôle est aussi

'^j1 Cetime news -9i°7

de diminuer la consommation d'énergie mais ici on arrête la consommation d'air lorsque la le niveau de vide prédéfini est atteint. Rappelons que les pompes P6010 peuvent comporter jusqu'à 4 cartouches COAX pour un débit aspiré maximum de 80 m.Vh. Le prix est inférieur à 600 Euros pour la plus grosse. Le prix des modules PCC et AVM se situe dans le même ordre d'idée. Source : Mesures n° 1070

Un chauffe-eau solaire rotatif plus efficace L'ingénieur Jeroen van Luijtelaer, lauréat l'année der­ nière du «Young Wild Ideas Award» du Centre des Matériaux de Delft, a présenté mi-avril 2006. un pro­ totype de chauffe-eau solaire. Ce projet a constitué son travail de fin d'étude sous la direction du profes­ seur Geert-Jan Witkamp de la faculté 3ME (Construction Mécanique, Techniques Maritimes, et Sciences et Techniques des Matériaux) de l'Université Technologique de Delft. Ce chauffe-eau solaire se compose de deux cylindres. Le cylindre interne est partiellement rempli d'eau et couvert d'un revêtement à spectre sélectif. La rotation des deux cylindres provoque une force centrifuge et empêche l'air froid confiné entre les deux cylindres de s'approcher du cylindre intérieur. Les tests montrent que l'efficacité de l'appareil peut atteindre 61%. Ce rendement est nettement plus élevé que celui des chauffe-eau conventionnels, qui subissent toujours une perte de chaleur liée à la circulation de l'air entre le côté intérieur chaud et le côté extérieur froid, sou­ ligne van Luijtelaer. Le prototype le plus récent a une surface de cellule solaire de 0,6 m2, ce qui permet une production d'environ 0,56 kW/m2 de vapeur à I00°C à une température ambiante de 7°C. Le coût des matériaux de cet appareil est inférieur à 100 euros, il serait donc meilleur marché que le chauf­ fe-eau actuel d'après l'ingénieur. Mais ce prototype doit être encore perfectionné. Source: http://www.bulletinselectroniques.com/actualites/39551.htm


VEILLE ET INFORMATIONS COMPOSANTS AUTO : DE BONNES PERSPECTIVES DE DEVELOPPEMENT A l'union européenne, le nombre de voitures s'est développé annuellement de 1.5% à 3% durant les six dernières années. En 2004, on recensait plus de 215 millions de voitures. Les ventes de pièces de rechange se sont développées et l'on s'attend à ce qu'elles conti­ nuent sur la même lancée. Les nouvelles ventes de voitures se

sont stabilisées au cours des cinq dernières années sur la base de 15 millions d'unités par an. Quant aux importations de l'UE des composants automobiles en provenance des pays en voie de développement, elles ont augmenté d'une impressionnante moyenne annuelle de 13% au cours des quatre dernières années. Le marché de composants automobiles peut être divisé en deux principaux segments : la première monte, ou le marché des équipementiers de 1er ordre, et la pièce de rechange. Les deux marchés dépendent du développement sur le marché de véhi­ cules automobiles. La consommation des composants automobiles a enregistré une hausse régulière durant la période de 1998 à 2002, avec une croissance annuelle moyenne d'environ 8%. Après une baisse de 13% en 2003, le marché a repris et s'est développé de 5.5% en 2004. La consommation en 2004 a été estimée à 260 mil­ liards d'Euros. La forte croissance enregistrée ces dernières années est en partie le résultat du rôle croissant des équipementiers dans le système de pro­ duction des véhicules automobiles. Les importations totales de l'UE ont fortement augmenté durant les quatre dernières années passant de 149 milliards d'Euros en 2000 à 186 milliards d'Euros en 2004, soit une augmentation de 35%. La tendance vers la mondialisation et la sous-trai­ tance à l'extérieur stimule fortement les importa­ tions. Après une période stagnante en 2003 (+3%), les importations de l'UE en 2004 ont augmenté de 10%. On s'attend à ce que le taux de croissance des importations continue à se développer durant les cinq prochaines années avec une moyenne de 6% pour l'UE dans son ensemble.

Une étude dans ce sens a été réali­ sée par CBI en août 2006. Elle couvre le marché de l'UE pour les composants automobiles. Des informations sur l'importance du marché (consommation, produc­ tion et vente), la distribution et les prix sont fournies. Une atten­ tion particulière est mentionnée

quant aux opportunités

F. M'rabet Traduit de CBI NEWS - Sept.Oct. 2006

ASSISTANCE EN SOUDAG L* CET1ME remercie tous let Industriels qui ont fait oppel oui services d e I pôle de compétence en soudooe et Invite toutes les entreprises o bénéflcer de ces compétences pour répondre à leurs besoins relatifs à : Assistance 6 l'élaboration et qualification des D.M.O.S selon les normes Internationales : Nf EN 288-1, Nf €N 288-2 et Nf EN 288-3 Qualification des soudeurs selon les normes Internationales : Nf EN 287-1. Nf EN 287-2. Nf EN 1410 et les codes de construction (CODflP, ftSME..,.). Vérification des notes de calcul et des plans de conception.

formation et perfectionnement protique dons tous les procédés de soudage et les techniques connexes (€E, MflG. MK3. TO, SOft). formation qualifiante en soudage : Spécialiste International en Soudage (IUJS) selon l'Internotlonol Autorisation Soord (1RS). formation en conception et en calcul. CND des soudures. Le CET1ME est un Centre ré

umUM

INDUSTRIES MÉCANIQUES ET ÉLECTRIQUES r I KftAN ssAlO • M M DOUAR KfCHsW LA M A NOUBA TCl.: 71 «48 « M - F A X : 71 « 4 I I I 7 CONTACT I M.KA» BOUAIir . Foer» 1*78

Pour 9 milliards d'euros, les importations de l'UE en provenance des pays en voie de développement représentent 4.9%. Cependant, un taux massif de 69% de ces approvisionnements a été fourni par cinq pays uniquement. Les pays suivants ont représenté les principaux fournisseurs avec, respectivement (24%) pour la Turquie, (17%) pour la Chine, (11%) pour le Brésil, (9%) pour l'Afrique du Sud et (8%) pour la Tunisie.

offertes

aux exportateurs des pays émer­ gents ou en voie de développe­ ment. En outre, les directives et les sources de marketing à l'export sont fournies également dans cette étude.

ir

Il est à noter que le CETIME a participé à la formation des jeunes diplômés de l'enseignement supérieur dans le domaine du soudage et ce, dans le cadre du fond national 21-21. Un programme d'actions spécifiques visant la montée en compétence du personnel dans ce domaine a été mis en place pour 2006-2007. Contact. M. K. Bouaziz - Poste: 1476

Cetime news - 5\£° 7


DONNEES DU SECTEUR DES IDE Les neuf premiers mois 2006 09 mois 2006

Part dans l'Industrie

Investissements' réalisés

96 MD

139;

Emplois créés

4 300

21 %

Importations

5 950 MD

51%

Exportations

2 759 MD

29% Source INS /API

Selon les dernières données sectorielles enregistrées, les paramètres du secteur IME présentent une croissance prometteuse durant les neuf premiers mois de l'année 2006. En effet. Les exportations relevant du secteur des industries mécaniques et électriques représentent 29% des exporta­ tion totales et occupent la seconde position après le textile 35 %. La valeur des exportations affiche une progression de 24 % durant les 9 premiers mois de Tannée courante, elle est de 2759 MD contre 2230 MD Tannée précédente. Quant aux importations du secteur, elles sont de Tordre de 5 950 MD contre 4953 MD pour la même période de 2005 réal sant ainsi une augmentation de 20 %. Pour ce qui est des investissements réalisés, ils ont augmenté de 6% pour se situer à 96 MD contre 91 MD durant la même période de 2005. Avec près de 4 300 nouveaux emplois créés au cours des 9 premiers mois de Tannée en cours, le secteur des IME contribue par 21 % à la création de postes de travail dans l'Industrie et occupe, de ce fait, la deuxième position après le secteur du textile.

LES

IEEE

La branche des industries électrique, électronique et de l'électroménager compte près de 310 entreprises dont 180 entre­ prises sont totalement exportatrices. Il emploie environ 49 000 personnes dont près de 40 000 agents travaillent pour l'exportation. Les entreprises de la branche IEEE sont réparties comme suit: Electrique: 214 entreprises; Electronique: 58 entreprises et électroménager: 38, soit un total de 310 entreprises INVESTISSEMENTS Les investissements réalisés en 2005 pour le secteur des IEEE ont été de 71MD. La part des investissements de mise à niveau s'élève à 12 MD repré­ sentant 17% des investissements totaux du secteur. La répartition de ces investissements sur les différents sous-secteurs est représentée ci-contre :

En MD INVESTISSEMENTS Electrique

28.1

Electronique

35.5

Electroménager

7.5

Total

71,1

PRODUCTION ET VALEUR AJOUTEE: La production des industries électrique, électronique et de l'électroménager est de 2 442 MD pour Tannée 2005. La valeur ajoutée moyenne du secteur est de 29%. La répartition de la production sur les différents sous-secteurs est représentée ci-dessous : PRODUCTION

VALEUR AJOUTÉE

Electrique

1 861.6

610,6

Electronique

402.5

64.4

Electroménager

178.0

40.6

2-42,1

715,6

Total

Source : MDCI ECHANGES EXTERIEURS Les exportations du secteur des industries électrique, électronique et de l'électroménager pour Tannée 2005 ont connu une progression de 27%. atteignant ainsi 1 921 MD contre 1 507 MD en 2004. Les importations du secteur sont passées de 2 007 MD en 2004 à 2 069 MD en 2005 réalisant ainsi une évolution de 3%

Cetime news - fA£° 7


DU SECTEUR DES IME LES

IMM

La branche des industries mécanique et métallurgique compte près de 505 entreprises employant environ 30 000 agents. Parmi elles 90 sont totalement exportatrices et emploient près de 8 000 personnes. Répartition des entreprises par branches : Nombre d'entreprises Sidérurgie et Métallurgie

38

Fonderie

19

Travail des métaux en feuilles et profilés

78

Construction métallique et Chaudronnerie

140

Usinage

46

Traitements et revêtement des métaux *

11

Outillage et moule

17

Fabrication de machines et Equipements

72

Composants automobiles

47

Fabrication d'autres matériels de transport

37

Total

505 .

INVESTISSEMENTS : Les investissements réalisés en 2005 pour le secteur des IMM ont été de 129 MD. La part des investissements de mise à niveau s'élève à 26 MD repré­ sentant 20% des investissements totaux du secteur. La répartition de ces investissements par branches d'activités est représen­ tée ci-contre :

EnMD INVESTISSEMENTS Sidérurgie, Métallurgie et Fonderie

20.00

Travail des métaux

60.70

Fabrication de machines et Equipements

21.50

Industries automobiles

21.50

Autres matériels de transport

5.15

Total

128.85

PRODUCTION ET VALEUR AJOUTEE: La production des industries mécaniques et métallurgiques est de 2 339 MD en 2005. La valeur ajoutée moyenne du secteur est de 28%. La répartition de la production par branche d'activité est représentée ci-dessous : EnMD PRODUCTION

VALEUR AJOUTÉE

Sidérurgie, Métallurgie et Fonderie

359.1

73,4

Travail des métaux

695,7

235,8

Fabrication de machines et équipements

252,8

40.4

Industries automobiles

926,0

268.5

Autres matériels de transport

105.8

35,4

2 339,4

653.5

Total

Source : MDCI ECHANGES EXTERIEURS En 2005, les exportations du secteur des industries mécaniques et métallurgiques ont évolué de 8%, passant de 806 MD en 2004 à 869 MD en 2005. Les importations ont été de l'ordre de 3 306 MD en 2005 contre 3 311 MD en 2004. Contact. Mme C. Maâloul Khoufi - poste 1439

Cetime navs - fA£° 7


AGENDA sessions de formation spécialisées au CETIME - Nov - Dec - 2006 Pos.

Date

Thème de Formation

Durée/Js Coût DT/pers

1

Le contrôle des équipements par thermographie infrarouge

01-02 Nov 06

02

400

2

Comment vérifier la qualité des revêtements (galvanisation, zincage)

01-03 Nov. 06

03

450

3

Comment réussir le soudage des aciers au carbone Installations intérieures de gaz naturel : Contrôle et inspection selon NT 109.05 Estimation des incertitudes de mesure

08-10 Nov. 06

03 02

450

14-15 Nov. 06 21-22 Nov. 06

02

300

Efficacité énergétique des installations industrielles

28-30 Nov. 06

03

500

Diagnostic et réparation des cartes électroniques

29-30 Nov. 06

02

400

Comment réussir le soudage de l'aluminium

04 -05 Dec. 06

Magnétoscopie niveaux 1 et 2

04-08 Dec. 06

02 05

300 750

10

La maintenance des Automates Programmables Industriels

05-07 Dec. 06

03

450

11

La fonction métrologique dans l'entreprise selon ISO 9001 et 17025

06-08 Dec. 06

03

450

4 5 6 7 8 . 9

300

Contact. Mme F. Ammar 1 M. W. Ouerghi - postes 1403/1431

FOIRES &

SALONS

L'Ecole de l'Innovation 2 0 0 6 Hammamet, les 16 & 17 Novembre 2006 Le CETIME, organise en collaboration avec CET1M France un atelier sur «les outils et le parcours pédagogique à suivre pour accompagner les PME et les centres techno­ logiques dans l'élaboration de leurs projets de recherche et d'innovation». Contact : Tél. : 71 545 988 Poste: 1403 - Fax : 71 546 637 E-mail: cetime@ati.tn Site: www.cetime.ind.tn

du 05 au 08 décembre 2006 Systèmes, composants et solutions pour l'industrie et les grandes infrastructures (Elec Industrie; Mecanelem Mecatronic; Mesucora; Solutions Vision). Paris Nord, Villepinte - France Tél. : (0033) 01 49 68 51 00 Fax: (0033) 01 49 68 54 66 Site: www.scs-automation.com http://wvvvv.uccife.org/tunisie/

MICAD 2006 Technologies de conception et de fabrication Parc des expositions de Paris Nord Villepinte - France du 05 au 08 décembre 2006 Tél.: (0033)0149 68 54 78 Fax: (0033)0149 68 54 84 Site: www.machineoutil.com http://www.uccife.org/tunisie/ Les Septièmes Journées P a r t e n a r i a l e s Tuniso-Francaises Tunis, les 27, 28 & 29 Novembre 2006 Atelier de travail et de réflexion sur le thème « Le Partenariat Tuniso-Français dans le secteur de la Plasturgie » & deux jours de rencontres d'entreprises : rendez-vous multisectoriels préprogrammés.

POLLUTEC 2006 du 28 novembre au 01 décembre 2006 International des Equipements, Technologies, Services, Environnement Lyon Eurexpo - France Site: www.pollutec.com

CTFCI : Tél. : 71 844 310 - Fax : 71 845 962 E-mail: appui.ent@ctfci.org Site: www.ccife.org/tunisie SCS AUTOMATION & CONTROL 2006

'^f Cetime news - 9i° 7

CHINA EUROPA 2006 du 06 au 08 décembre 2006 Convention d'affaires industrielle Chine-Europe Le Havre - Palais des Expositions - France Tél. : (0033) 02 32 74 00 20 Email: contact@china-europa.org Site: www.china-europa.org SAPRI' édition 2 0 0 7 Tunis, du 28 novembre au 01 décembre 2007 Le CETIME, organise « le Salon International de la Pièce de Rechange et des Services Industriels». SAPRI' 2007 Contact : Tél. : 71 545 721 - Fax : 71 546 637 E-mail: cetime@ati.tn - Site: www.cetime.ind.tn


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Sous l'égide du Ministère d e l'Industrie, d e l'Energie e t des PME

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