EDITORIAL L’évènement ’information, associée à la recherche développement, innovation, a aujourd’hui, acquis dans tous les secteurs d’activité, une valeur marchande et stratégique qui ne lui est plus déniée.Ainsi, le concept de veille sous toutes ses formes, «veille stratégique», «veille concurrentielle», ou «intelligence économique», est désormais associé au contexte concurrentiel de l’entreprise. C’est la raison pour laquelle le CETIME, partenaire incontournable des entreprises du secteur des IME, confirme ses orientations stratégiques évoquées à plusieurs reprises, incitant les entreprises à accorder un intérêt primordial à la Recherche-Développement et Innovation à travers la maîtrise de l’Information.
L
Cette confirmation s’installe dans les deux sens : En amont, par la création d’un nouveau service au CETIME, un dispositif informationnel à haute valeur ajoutée pour les PME/PMI, en l’occurrence le Centre de Documentation et de Veille Technologique « CDVT » qui a été inauguré par Monsieur Afif Chelbi, ministre de l’Industrie, de l’Energie et
des PME le mercredi 14 février 2007, donnant ainsi le coup d’envoi des évènements marquant le 25ème anniversaire du CETIME. Ce CDVT qui devient désormais opérationnel promet aux industriels et opérateurs économiques de larges perspectives de développement en mettant à leur disposition un fonds documentaire des plus riches et un accès facile aux bases de données nationales et internationales orientées vers des thématiques bien ciblées leur procurant d’une manière précoce les signaux annonciateurs d’évènements susceptibles d’influer sur leur pérennité. En plus, à travers ce nouveau service, le CETIME sera en mesure de fournir aux entreprises du secteur des prestations de veille personnalisées, adaptées à leur contexte concurrentiel, pour les aider à mieux appréhender les règles du jeu d’un nouveau marché, les évolutions technologiques majeures et les opportunités d’affaires qui se présentent à eux ainsi que les outils de modernisation de leurs productions
En aval, et à travers son implantation au pôle technologique de Sousse, le CETIME ambitionne de devenir un Centre de référence à l’échelle nationale, œuvre à mobiliser et à réunir les acteurs du secteur des IME autour de projets innovants qu’il ne cesse d’encourager en vue de créer de nouvelles offres de produits et de services permettant la conquête de nouveaux marchés. Cette politique soutenue par l’Etat, vise à développer, dans les secteurs d’activités porteurs et disposant d’un potentiel, une nouvelle dynamique de croissance au niveau régional en s’appuyant sur la recherche, l’innovation et l’information et développer ainsi les Pôles technologiques.
SOMMAIRE EDITORIAL
Economie d’énergie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
L’évènement
COOPERATION INTERNATIONALE
ACTUALITES
CETIME/ISQ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
Suivi des programmes nationaux . . . . . . . . . . 2
VEILLE & INFORMATIONS
Inauguration du CDVT du CETIME . . . . . . . . 3
Dossier sur les IME. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
signature contrat CETIME - SNDP . . . . . . . . 4
Energie (article suite audit énergétique) . . . . 8
Temoignage (Groupe TTI) . . . . . . . . . . . . . . . 4
Le soleil. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
Nouvelles Technologies . . . . . . . . . . . . . . . . 10 Métrologie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 Informations sur (SIEL et SAPRI 2007) . . . . 12 DONNEES DU SECTEUR DES IME AGENDAS
CETIME news Responsable de la publication Mohamed Ferid HERELLI Coordinatrice : S. Ben FADHEL - Comite de rédaction : M. OUAZAÂ - M. MHALLA H. AMOR – A. AMRI – C. MAALOUL – N. MAKHLOUF – T. BEN SAÂD LE CETIME - GP7 - Z.I. Ksar saïd - 2086 La Manouba – Tél.: 71 545 988 – 71 545 721 - fax : 71 546 637 – 71 546 380 - E-Mail : cetime@ati.tn Réalisation & Impression SIMPACT – Tél.: 71 236 111– Fax : 71 232 303 www. Cetime.ind.tn
ACTUALITES CONTRIBUTION DU CETIME AU PROGRAMME NATIONAL 21 - 21
MODERNISATION, COMPÉTITIVITÉ ET CROISSANCE DES ENTREPRISES
ADAPTATION CONTINUE AU CONTEXTE INDUSTRIEL
OBJECTIFS DU PROGRAMME DE MISE A NIVEAU INDUSTRIELLE (11ème Plan : 2007 – 2011) :
Dans le cadre de ses activités de formation destinées aux jeunes diplômés de l’enseignement supérieur et en guise de participation à l’effort national d’employabilité financé par le Fonds National de l’Emploi «21–21», le CETIME a soumis aux autorités compétentes, pour approbation, un programme riche et varié à leur profit comportant 11 thèmes conçus selon les spécialités disponibles au Centre dont 3 thèmes nouvellement créés pour subvenir aux demandes spécifiques du marché de l’emploi.
• Mise à niveau : 1200 entreprises et 300 sociétés de services, soit 1500 nouvelles adhésions • Programme National de la Qualité (PNQ) : atteindre 1300 entreprises certifiées en 2009 (753 au 31/12/2006). • Programme National de Coaching (PNC) : adhésion de 400 entreprises
Les stages nouvellement conçus ont abordé les thèmes suivants :
• Introduction des PME 50 entreprises d’ici 2009.
• les techniques modernes de contrôle et de gestion de la Qualité, • les techniques de contrôle non destructif et de soudage, • la métrologie industrielle.
en
bourse
:
• Restructuration Financière : 100 entreprises seront ciblées.
Il est à noter que ces projets de formation nouvellement créés et à caractère exceptionnel, ont déjà démarré depuis le mois de janvier 2007 et ont visé 20 stagiaires ayant le profil de techniciens supérieurs, pour une durée de formation de 7 mois.
• La constitution de 10 consortiums regroupant 100 entreprises spécialisées dans l’exportation et 30 consortiums regroupant 300 entreprises spécialisées dans le sourcing. • Intégration des entreprises dans le système des pôles technologiques
Pour le reste du programme, quatre sessions vont être entamées incessamment, au titre du premier semestre 2007. Elles sont détaillées comme suit :
MISE À NIVEAU DU SECTEUR DES IME
• La gestion de la Qualité selon la norme ISO 9001 : 2000 • La maintenance des équipements électroniques et automatiques • Le contrôle Qualité de la production industrielle • La conception, le dessin et la fabrication assistés par ordinateur (CAO - DAO - FAO)
Situation au 31 janvier 2007
Les participants qui prendront part à ces sessions de formation seront au nombre de 75.
Dans le cadre du programme national de mise à niveau de l’Industrie tunisienne, le secteur des IME a enregistré l’adhésion de 469 entreprises représentant 13% du nombre total d’adhésions de l’industrie manufacturière.
Contact. M.W. Ouerghi- poste 1497
A fin janvier 2007, on dénombre 299 dossiers approuvés par le COPIL relevant du secteur des IME totalisant un investissement de 624 MDT. Le CETIME a contribué à la réalisation de 166 études de mise à niveau relatives au secteur dont 126 sont approuvées à ce jour. A ce titre, le CETIME met à la disposition des entreprises industrielles et de services liés à l’Industrie un réseau de compétences pour les accompagner et les assister dans toutes les étapes du programme de mise à niveau allant du prédiagnostic de l’entreprise, passant par la mise en œuvre du plan de mise à niveau et aboutissant au déblocage des primes.
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ACTUALITES INAUGURATION DU CDVT DU CETIME : UN NOUVEL OUTIL POUR ACCOMPAGNER L’ENTREPRISE DANS SA QUÊTE DE COMPÉTITIVITÉ
Inauguration officielle du CDVT
CETIME ne cesse de développer, ne manqueront pas de venir en aide à l’entreprise tunisienne et notamment aux IME pour relever les défis en matière de qualité, principal garant d’une intégration efficace à la mondialisation.
Monsieur le ministre parcourant les divers pavillons du CDVT
Le CETIME vient de mettre en place un Centre de documentation et de veille technologique (CDVT). Ce centre a été inauguré le 14 février 2007 par M. Afif Chelbi, ministre de l’Industrie, de l’Energie et des Petites et Moyennes entreprises qui a donné le coup d’envoi des manifestations marquant le 25ème anniversaire du CETIME. Le CDVT constitue une source d’informations scientifiques et techniques à haute valeur ajoutée pour les PME/PMI et pour les acteurs économiques de façon générale. Son inauguration a été marquée par la présence des anciens Présidents Directeurs Généraux du CETIME, de Madame la Directrice Générale des Stratégies Industrielles, des membres du Conseil d’Administration, de M. Claude Barile (représentant CETIMFrance et des autorités régionales. Le ministre a visité à cette occasion les différentes unités et laboratoires du CETIME après avoir parcouru les divers pavillons du CDVT dont le coût total s’élève à 95.000 dinars.
Visite du pôle de compétences électriques du CETIME
Une réception à l’honneur de monsieur le ministre a été organisée à cette occasion à l’issue de la tournée de prise de connaissance des différentes activités et services du Centre durant laquelle il a félicité ses cadres et ses employés pour les efforts déployés tout le long de son parcours en vue de hisser le niveau de compétitivité du tissu industriel. Il a également mis l’accent lors de son intervention sur les technologies modernes dont le Centre dispose. Ces technologies, a-t-il ajouté, que le
(contrôle par thermographie des installations électriques)
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Le CDVT propose au PME/PMI les services suivants : • Un accès au catalogue en ligne (OPAC), • Une base de données dynamiques et actualisées pour les professionnels du secteur IME ; • Une consultation informatisée ; • Des renseignements bibliographiques ; • Des Annuaires techniques ; • Des bulletins de veilles stratégiques et technologiques • Des études stratégiques • Des revues de presses nationales et internationales Il est à signaler que ce centre dispose de moyens couvrant plus que 2500 documents en libre accès, 06 titres de périodiques tunisiens, 35 périodiques étrangers, une médiathèque équipée par 04 postes informatiques et d’une équipe multidisciplinaire d’ingénieurs et de techniciens. Ce nouvel acquis vient consolider et renforcer les moyens et les capacités d’intervention du CETIME lui permettant ainsi d’assurer au mieux ses missions d’accompagnement et d’assistance aux entreprises du secteur des industries mécaniques et électriques.
ACTUALITES SIGNATURE D’UN CONTRAT ENTRE LE CETIME ET LA SNDP
TEMOIGNAGE : LA DÉMARCHE QUALITÉ : un important levier de productivité Cas du groupe « TTI - Tunisie Technique Internationale » La TTI est un des leaders du marché dans son domaine d’activité (production de disjoncteurs magnétothermiques et différentiels, interrupteurs différentiels et Coffrets en sailles et encastrés). Basée à la Z.I. de Grombalia,TTI affiche un constant développement et propose une gamme de produits électriques de qualité, ce qui lui a permis d’occuper une place stratégique sur le marché de l’exportation. La TTI a exporté à ce jour, 2,5 millions de disjoncteurs vers l’Allemagne et l’Autriche.
Signature du contrat
Le CETIME vient de signer un contrat avec la SNDP pour l’étude et la mise en œuvre d’un système de contrôle non destructif par émission acoustique sur quatre sphères de stockage de GPL d’une capacité de 4000 m3 chacune qui seront suivies par une épreuve hydraulique réglementaire de résistance et d’étanchéité. Cette action est concrétisée dans le cadre du partenariat CETIME – CETIM qui vise le développement de la gamme de prestations du CETIME, de ses capacités d’intervention ainsi que le transfert technologique. L’introduction de ces nouvelles technologies de CND par émission acoustique dans ce genre de travaux permettra au personnel technique opérant dans les contrôles non destructifs de se familiariser à ces nouvelles technologies et aux compétences tunisiennes d’être toujours à l’affût des nouveautés technologiques. Les retombées de cette action devront permettre au personnel du CETIME d’acquérir le savoir faire nécessaire et de développer d’autres actions au profit d’autres entreprises. Etant donné le caractère exceptionnel de cette action, la SNDP a été autorisée à faire appel aux services du CETIME dans le cadre d’une convention de gré à gré. Contact. M. K. Bouaziz – poste 1476
Cette performance est sans doute le fruit d’un riche parcours de labeur qui date de 1984 (année d’entrée en fabrication), animé par la recherche en continu de la perfection et de la congruence au contexte international. En effet, la TTI a choisi d’opter pour une mise en place d’une gestion efficace de la production en s’appuyant sur les techniques modernes de productivité (CAO notamment) tout en adoptant dès les années 90 une démarche qualité qui lui a conféré la place de première entreprise tunisienne dans le secteur électrique à être certifiée ISO 9001 : version 2000 et ce, en mai 2002.
Les labels de TTI : 1 - Volet commercial : Consécration par monsieur le président Ben Ali en 1993 comme 1ère société Tunisienne exportatrice en matière de disjoncteurs. • Fournisseur de la STEG depuis 1995. • 2,5 millions de disjoncteurs exportés vers L’ALLEMAGNE et L’AUTRICHE 2 - Contrôle qualité : • Système de contrôle qualité assisté par ordinateur CAO • Contrôle qualité conformément aux normes internationales et ISO 3 - Certification : • Le 02 mai 2002 première société Tunisienne dans le secteur électrique certifié ISO 9001 version 2000 • Le 29 mai 2005 renouvellement du certificat ISO 9001 version 2000
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ACTUALITES ECONOMIE D’ENERGIE DANS LES COLLECTIVITES LOCALES Dans le cadre des objectifs convoités par les pouvoirs publics en matière d’économie d’énergie et notamment la volonté de réduire la consommation énergétique primaire, à l’horizon 2030, d’au moins 35% par rapport à la projection des tendances actuelles, la Tunisie a choisi d’adhérer à un programme national d’économie d’énergie poursuivi par le ministère de l’Industrie, de l’Energie et des PMEs à travers notamment l’Agence Nationale de Maîtrise de l’Energie.
La mission du CETIME, qui débutera incessamment, comporte trois axes principaux, à savoir : la sensibilisation, le diagnostic des équipements et des installations consommateurs d’énergie et l’assistance technique en efficacité énergétique auprès des collectivités locales.
Cette économie d’énergie sera répartie sur les différents secteurs, avec 29% pour le secteur de l’industrie, 26% pour le secteur du transport, 23% pour le secteur résidentiel et 22% pour le secteur tertiaire. Ce dernier occupe en effet, une place non négligeable pour atteindre les objectifs de ce programme national.
La mission de sensibilisation consiste d’une part, à délivrer une information de qualité à travers des séminaires et des actions de formation et d’autre part, à conseiller le public des collectivités locales sur les actions simples à adopter et les solutions à mettre en œuvre, et ce, en vue de réduire la consommation énergétique et de contribuer à la réduction des gaz à effet de serre.
Les collectivités locales figurent parmi les grands consommateurs de l’énergie du secteur tertiaire et sont appelées à participer à ce programme national et aider à relever le défi.
La deuxième mission consiste à procéder à des actions de diagnostic, de contrôle des installations et des équipements énergivores et d’analyse de la consommation énergétique. Cette mission s’achève par des recommandations et par la proposition des solutions pratiques d’économie d’énergie étendues sur des étapes.
Analyse du réseau électrique
La grande part de la facture de l’énergie d’une collectivité locale, dans ses diverses utilisations quotidiennes, correspond à la consommation d’électricité pour les besoins d’éclairage public. Le réseau électrique et le système d’éclairage public représentent les principaux gisements d’économie d’énergie dans une collectivité locale, ce qui nécessite des actions à court et à moyen termes de diagnostic, d’intervention et de suivi. Dans cette perspective, le Centre Technique des Industries Mécaniques et Electriques (le CETIME), avec le soutien du ministère de l’Intérieur et du Développement local, se propose de mettre en place un plan d’actions auprès des municipalités, reparties en trois groupes (grande, moyenne et petite, selon la taille de la collectivité locale).
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Contrôle par thermographie infrarouge des installations électriques
La troisième mission aura comme objectif l’application des recommandations de la deuxième mission, le calcul du gain énergétique enregistré et la mise en place d’un comité d’économie d’énergie au niveau de chaque collectivité locale. Contact. F. Guesmi – poste 1490
COOPERATION INTERNATIONALE COOPÉRATION TUNISO-PORTUGAISE ENTRE LE CETIME ET L’ISQ
instituto de soldadura e qualidade
Suite à l’accord cadre signé le 08 janvier 2003 entre le CETIME et l’ISQ (Institut de Soudure et de Qualité) et aux réunions de travail qui se sont déroulées à Lisbonne les 16 et 17 janvier 2007 visant la mise en œuvre d’un ensemble d’actions prioritaires communes d’assistance et de coopération, il a été convenu entre les deux parties de procéder à une mise à jour dudit accord cadre pour donner priorité aux quatre actions citées ci-après : 1. Actions de partenariat dans le cadre international Développer un partenariat visant l’internationalisation des services offerts des deux parties, notamment à travers la participation commune aux appels d’offres internationaux, en faisant partie d’un consortium ou en sous-traitance. 2. Actions commerciales, prospection, promotion. • Actions de promotion et de communication. • Echange d’informations et de newsletters entre les deux institutions 3. Prestations de services : Assistance technique, Conseil et Formation Ces prestations couvriront les domaines suivants : • Métrologie dimensionnelle et électrique, • Inspection, maintenance,… • Formation en particulier dans le domaine de la qualité, de la soudure (IWE, IWT, IWIP et IW), • Formation à distance, • Habilitation du personnel (installateurs et inspecteurs) opérant dans le domaine des installations intérieures de distribution du gaz naturel. • Compatibilité électromagnétique (CEM), 4. Développement du CETIME • Formation et Habilitation des inspecteurs et installateurs gaz • Développement des compétences du CETIME dans le domaine du soudage • Compatibilité électromagnétique Ces actions de formation seront programmées pour l’année 2007 et pourront être entamées dans le cadre des programmes nationaux de modernisation de l’Industrie tunisienne et financées par l’Union Européenne tels que PMI, PNQ,etc.
Informations visites Site web CETIME Mois
Visites Pages vues Pages vues par visiteur Taux de visites à une page
Septembre 2006
Octobre 2006
Novembre 2006
Décembre 2006
Janvier 2007
1 225 3 396 3.8 50%
1 239 2 959 2.9 59%
1 351 3 390 3.2 58%
1 630 3 717 3 60%
2 069 5 390 3.2 60%
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Statistiques
VEILLE & INFORMATIONS livraison sont les clefs des facteurs d'achat, suivis par la qualité et le prix. Tandis que la qualité perd de l'importance en raison de la déqualification tant de la conception que de la fabrication dans ce secteur, le prix, par contre, gagne de l'importance dans l'UE. La demande totale de l'Union européenne en matière d’OMM a atteint une valeur de 15 milliards d’€. L'Allemagne a représenté presque 40% (5.9 milliards d’€). En raison de la délocalisation de la production en Asie par beaucoup de fabricants de pièces d’origine (première monte), la croissance de l'Union européenne est inférieure à la croissance globale (mondiale) annuelle (9%). Cependant, on s'attend à ce que la demande de l'Union européenne de nouveaux OMM continue à augmenter, à cause d'une demande de produits en croissance et l'introduction plus fréquente de produits de consommation grand public nouvellement
DOSS IER SUR LES IME PRODUITS MECANIQUES : OUTILLAGE, MATRICES ET MOULES Une demande en hausse
la demande de l’UE augmente dans ce secteur.
La part des pays en voie de développement dans le marché européen pour l'outillage, les moules et les matrices (OMM) a augmenté d’environ 105% entre 2001 et 2005. Ces pays ont constitué 16% des importations totales de l’UE en 2005. Le prix a gagné de l'importance comme facteur d'achat et l’on s'attend à ce que
Le fabricant européen des OMM est de loin le canal de distribution le plus important pour les producteurs des pays en voie de développement. Dans le partenariat moyen, la société européenne s'occupera de la conception, la recherche et le développement, tandis que le fournisseur de pays en voie de développement sera responsable de la production réelle. Pour les utilisateurs finaux de l'Union européenne, la planification et les délais de
conçus. La majeure partie des OMM de l'Europe est encore produite dans l’UE. La valeur de production totale de l'Union européenne a augmenté de 27% entre 2000 et 2004 pour atteindre une valeur de 17,8 milliards d’€. La Chine (115%) est le fournisseur non-UE le plus important, suivi par la Turquie (72%). Les pays en voie de développement ont montré la plus grande croissance incluant l'Algérie (587% à 5 millions d’€), le Mexique (101% à 11 millions d’€) et l'Afrique du Sud (98% à 14 millions d’€). L'Inde a aussi fortement réalisé (67%), suivi par la Malaisie (50%). Les exportations du Brésil à l'UE ont augmenté légèrement (10%), tandis que les exportations croates à l'UE ont diminué (-2%). F. M’rabet Traduit de : CBI NEWS – Janv/Fév.-07
l’UE a diminué de 8% à partir de 2000 pour atteindre une valeur de 4,7 milliards d’€ en 2004, principalement en raison d'une grande diminution de production du Royaume-uni (-5%). La concurrence des coûts s’est intensifiée d’une manière telle que les clients ont délocalisé leurs productions aux régions peu coûteuses. Notons que les fabricants chinois ont émergé, principalement dans le segment des roulements. Beaucoup de fabricants européens ont suivi à leur tour la politique de délocalisation en optant pour les pays où la main d’œuvre est relativement bon marché tels que les pays du CEE.
PRODUITS MECANIQUES : ROULEMENTS A BILLES Le marché des roulements progresse en douceur Stimulé par une accélération dans la croissance économique, des investissements accrus et un rendement de fabrication croissant, la demande des roulements dans l'Union européenne est projetée pour progresser de 4 à 5% annuellement et atteindre plus de 8 milliards d’€ en 2010. Les pays du centre-est européens (CEE) afficheront la plus grande croissance. On s'attend à ce que les roulements de grandes dimensions se vendent en particulier et ce, à cause de l’augmentation de la demande pour les grandes applications industrielles, telles que les moulins à vent.
Le canal commercial le plus attrayant pour les exportateurs des pays en voie de développement est le marché indépendant des accessoires dans l’UE, qui a atteint une valeur totale d’environ 2 milliards d’€ en 2005. Les pays en voie de développement ont augmenté leur part dans les importations de 5,9% en 2001 à 7% en 2005. La Chine est le fournisseur le plus important de l’UE, comme elle l’était en 2003. L'Inde, la Turquie, la Malaisie, le Brésil et la Thaïlande sont encore les fournisseurs importants, mais de loin derrière la Chine. La valeur des importations de l’UE a augmenté presque de 15% pour atteindre 7,2 milliards d’€ en 2005, principalement en raison d'une augmentation élevée des importations intra-UE entre 2001 et 2005 (+40%). L'Allemagne était le plus grand importateur, suivi de la France et de l'Italie.
On estime que le marché européen pour les roulements a atteint une valeur totale d’environ 6,5 milliards d’€ en 2005. L'Allemagne a constitué plus de 25% (1,7 milliard d’€) du marché, suivie de l'Italie (20%), de la France (15%), du Royaumeuni et de l'Espagne (5-8%). La valeur totale de production de
F. M’rabet 7
VEILLE & INFORMATIONS
ENER GIE L'AUDIT ENERGÉTIQUE : Obligation et Périodicité (Suite article paru au bulletin n° 8) QUELLES SONT LES DIFFERENTES PHASES DE L'AUDIT ÉNERGÉTIQUE ? La mission de l'expert auditeur comporte trois étapes ; 1/ L'audit énergétique préliminaire : Cette étape vise la collecte des données relatives à la consommation d'énergie dans l'établissement, et ce par une visite préliminaire destinée à faire l'état des lieux et dresser la liste des instruments de mesure nécessaires pour effectuer les opérations d'audit approfondi. 2/ L'audit énergétique approfondi : Cette étape consiste à réaliser les opérations de mesure de la consommation énergétique, la collecte des données relatives aux équipements consommateurs d'énergie et l'évaluation des modalités de contrôle de l'utilisation de l'énergie et d'exploitation des équipements. 3/ Elaboration du rapport d'audit énergétique : L'expert auditeur établit un rapport sur la consommation d'énergie dans l’établissement, son niveau de performance énergétique, l'analyse des causes d'insuffisance et la proposition d'un plan d'actions permettant d'optimiser la consommation d'énergie de l'établissement. QUEL EST LE CONTENU DU RAPPORT D'AUDIT ENERGETIQUE ? L'audit énergétique aboutira à l'établissement d'un rapport qui doit comporter notamment : • Si l'établissement est à son premier audit énergétique :
• Une description de l'établissement et de ses principales caractéristiques en matière d'utilisation de l'énergie, sa consommation prévisionnelle d'énergie et une note justifiant le choix des équipements et de matériel visant une économie d'énergie; • Une évaluation du niveau de performance énergétique des installations de l'établissement par comparaison au niveau atteint dans des établissements similaires particulièrement ceux qui sont performants ; • Une évaluation du système d'organisation mis en place pour contrôler, suivre et gérer l'utilisation de l'énergie; • Des recommandations en vue d'améliorer le niveau de performance énergétique des installations de l'établissement et une évaluation économique des actions proposées; • Une proposition d'un programme d'actions chiffré visant à améliorer l'utilisation de l'énergie et à développer le recours aux énergies de substitution; • Si l'établissement a déjà réalisé auparavant un audit énergétique, le rapport d'audit énergétique doit comprendre en plus des étapes Indiquées dans le cas du premier audit : • Une description de l'évolution de l'utilisation de l'énergie dans rétablissement depuis le dernier audit; • Une évaluation des principales actions entreprises depuis le dernier audit et de leurs résultats; • De nouvelles recommandations et un nouveau programme d'actions à entreprendre tenant compte de l'évolution réalisée. Le rapport d'audit énergétique doit être signé par l'expert auditeur et l’établissement assujetti qui se charge de le remettre à l'ANME afin de l'étudier et de se prononcer à son sujet.
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QUI CONTROLE LA QUALITE DU RAPPORT DE L'AUDIT ÉNERGÉTIQUE ? L'ANME est chargée de veiller à la qualité de l'audit énergétique. A ce tire, elle peut, après étude du rapport, demander au chef de l'établissement d'inviter l'expert auditeur à procéder à des investigations ou à des études complémentaires. Le cas échéant, l'expert auditeur doit effectuer toutes les modifications demandées par l'ANME. L'ANME peut rejeter le rapport en cas d'insuffisances graves. Dans ce cas, l'établissement assujetti doit entamer la réalisation d'un deuxième audit dans un délai ne dépassant pas les trois mois à partir de la date de son information du rejet du rapport. L'ANME se charge d'informer le chef de l'établissement par lettre recommandée avec accusé de réception de sa décision d'acceptation ou de rejet ou de la nécessité de procéder à des études complémentaires et ce dans un délai ne dépassant pas les trois mois de la date de la réception du rapport. COMMENT REALISER LES ACTIONS IDENTIFIEES ET PROPOSÉES DANS LE RAPPORT D'AUDIT ? Une fois le rapport d'audit approuvé, l'établissement concerné conclura avec l'ANME un contrat programme présentant un plan d'actions sur la base de ce rapport et arrêté en commun accord entre les deux parties. Dans ce contrat programme, l'établissement s'engage à réaliser le plan d'action dans les délais convenus et l'ANME s'engage à octroyer les incitations financières et fiscales prévues par la réglementation en vigueur.
VEILLE & INFORMATIONS
LE SOLEIL : QUELLES SONT LES INCITATIONS ACCORDÉES ?
ENERGIE ABONDANTE A EXPLOITER
Il existe deux types d'incitations : • Des incitations financières : II s'agit de primes octroyées dans le cadre du Fonds National de Maîtrise de l'Energie (loi N° 2005-106 du 19 décembre 2005, portant loi de finances pour l'année 2006) : • Une prime de 50% du coût de l'audit énergétique avec un plafond de vingt mille dinars (20 000D) • Une prime de 50% du coût global du projet basé sur l'introduction de nouvelles technologies qui n'ont pas été adoptées auparavant et approuvé par un contrat programme avec un plafond de cent mille dinars (100 000D) • Une prime de 20% du coût de l'investissement dans les projets de maîtrise de l'énergie prévus par des contrat programmes avec un plafond de : Cent mille dinars (100 0000D) pour les établissements dont la moyenne de la consommation globale annuelle d'énergie ne dépasse pas quatre mille tonnes équivalent pétrole (tep) • Deux cents mille dinars (200 000D) pour les établissements dont la moyenne de la consommation globale annuelle d'énergie varie entre quatre mille et sept mille tonnes équivalent pétrole (tep) • Deux cents cinquante mille dinars (250 000D) pour les établissements dont la moyenne de la consommation globale annuelle d'énergie dépasse sept mille tonnes équivalent pétrole (tep). • Des incitations fiscales : - La réduction des droits de douanes au taux minimum de 10% pour l'importation de tout équipement ou matériel rentrant dons le cadre du contrat programme. - L'exonération de la TVA pour l'acquisition des équipements et de matériels rentrant dans le cadre du
Les énergies renouvelables sont, à notre échelle de temps, celles qui sont dispensées continûment par la nature. Elles sont issues du rayonnement solaire, du noyau terrestre et des interactions gravitationnelles de la lune et du soleil avec les océans. On distingue les énergies renouvelables d’origine éolienne, solaire, hydraulique, géothermique et issues de la biomasse.
L’ENERGIE SOLAIRE ET LA POSITION STRATEGIQUE DE LA TUNISIE La durée de vie du soleil est d’environ 5 milliards d’année, ce qui en fait à notre échelle de temps une énergie inépuisable donc renouvelable. L’énergie totale reçue à la surface de la terre est de 720 10 6 TWh par an. Mais la disponibilité de cette énergie dépend du cycle jour-nuit, de la latitude de l’endroit où elle est captée, des saisons et de la couverture nuageuse. La puissance de sortie délivrée par un système solaire varie en fonction de l’ensoleillement direct reçu à la surface des panneaux solaires. La quantité d’énergie solaire disponible est évidemment dépendante de la météo, de la saison et de la localisation sur le globe terrestre. La Tunisie occupe une position stratégique sur la carte du monde de l’ensoleillement situé principalement au sud. La quantité d’énergie d’ensoleillement reçue à l’angle optimal en Tunisie pendant les mois le plus favorable (juin) et le mois le moins favorable (décembre).
Référence Carte : Site Web Total : www.total.com
ENERGIE D’ENSOLEILLEMENT EN TUNISIE (KWH/M2/JOUR) Nord Sud
Eté (Juin)
Hiver (Décembre)
6 à 7 7 à 8
3 à 4 4 à 5 Préparé par Z. Melki – poste 1482
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VEILLE & INFORMATIONS Nouvelles
TECHNO LOGIES DÉTECTION DE TARAUDAGE SANS CONTACT PAR COURANTS DE FOUCAULT Le système Détection taraudage d'IBS Precision Engineering est basé sur le principe des courants de Foucault. Lorsque la sonde descend dans l'axe du taraudage à contrôler, le système émet un signal qui indique la présence (ou l'absence) de taraudage.
• Utilisable sur les matériaux ferreux et non ferreux (acier, fer, aluminium, cuivre, etc.) • Dimensions du taraudage: de M5 à M16 • Ne nécessite pas de nettoyer les pièces avant le contrôle • Indice d'étanchéité de la sonde : IP 67 • Disponible sous forme de chaîne de mesure à installer ou de système clés en mains Source : www.ibspe.com/ibs-engineering.fr
UNE CAMÉRA THERMOGRAPHIQUE POUR UNE MAINTENANCE RAPIDE Chauvin Arnoux se positionne sur le marché des caméras infrarouge portables en proposant un modèle “milieu de gamme”. Celui-ci se caractérise par un temps de détection de 4 ms.
chaud et du point froid. Les valeurs de mesure sont ajustées en fonction de la distance de mesure (à partir de 10 cm), de l’humidité relative, de la température ambiante et de l’émissivité. Dans la mallette, il y a, à côté de la caméra et du pare-soleil, un adaptateur pour trépied, une connexion vidéo Pal/NTSC pour enregistrement, une liaison USB, deux batteries standard de 2 heures d’autonomie chacune. Deux logiciels sont proposés : un tout simple pour l’obtention des images en format jpeg, un autre qui permet l’analyse des mesures et la création de rapports personnalisés.
La RayCAm en jaune et noir porte les couleurs du fournisseur français. Après s’être désengagé, il y a à peu près un an, d’un partenariat de vente avec Flir System, Chauvin Arnoux propose aujourd’hui sa propre caméra thermographique portable. Il veut ainsi se faire une place sur ce petit marché où concourent déjà cinq ou six fournisseurs et qui se partagent les applications de maintenance préventive. « Toutes les maintenances, précise Marie Courrière, chef de Produits chez Chauvin Arnoux : maintenance des installations électriques, des équipements électroniques, des systèmes mécaniques pour détecter les points d’échauffement ou encore maintenance des bâtiments afin de localiser des défauts d’isolation ».
Avec une fourchette de prix entre 11.000 et 18.000 euros, le fournisseur français se place sur des produits milieu de gamme (on trouve aujourd’hui des caméras à moins de 6.000 euros) « Par rapport à des caméras moins chères, c’est le temps de réponse de notre caméra qui justifiera la différence, souligne Mme Courrière. Avec une détection de 4 ms, nous faisons une tournée d’inspection en moins de deux heures, là où il faudra toute une journée avec une caméra plus lente ». Le fournisseur n’exclut pas non plus d’étendre prochainement sa gamme vers des caméras plus “entrée de gamme”.
En forme de pistolet, la caméra RayCAm ressemble aux autres. On remarque son écran qui s’oriente un peu dans tous les sens. L’opérateur peut ainsi suivre confortablement une image thermique alors qu’il pointe une surface difficile d’accès. S’il se trouve en plus en plein soleil, un pare-soleil lui assure la lisibilité de l’écran. L’écran rabattu, un petit affichage LCD indique la valeur du point ciblé par la visée laser. « Ainsi, en consommant beaucoup moins d’énergie, la caméra fait office aussi de pyromètre optique », souligne Mme Courrière.
Caractéristiques • Sensibilité thermique : 0,1 °C • Détecteur : microbolomètre • Bande spectrale : 8 à 14 µm • Températures : -20 à 250 °C (jusqu’à 1.000 °C en option) • 1 000 images radiométriques enregistrables • Deux objectifs (6,4° et 38°) disponibles, vissables sur la caméra • Mesure à partir de 10 cm Source : www.chauvin-arnoux.com
La caméra dispose d’une recherche automatique du point
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VEILLE & INFORMATIONS “PICKING” : LE RAYON OPTIQUE GUIDE L'OPÉRATEUR EN TOUTE SIMPLICITÉ Destiné à faciliter la tâche des opérateurs sur les lignes de montage et d'assemblage, le système d'aide au choix K50 de Banner intègre le voyant lumineux et la cellule opto dans un même boîtier IP67 en forme de dôme translucide.
boîtier que le témoin lumineux. Un voyant vert indique à l'opérateur qu'il peut saisir une pièce dans le bac situé audessous. S'il est rouge, il lui signale qu'il s'est trompé de bac. L'autre particularité est visuelle. Le K50 se présente sous la forme d'un demi globe translucide de 50 mm de diamètre. Il est plus lumineux que les voyants circulaires classiques, mais aussi plus robuste (avec un indice d'étanchéité IP 67). Comme une cellule opto “classique”, le K50 se raccorde au moyen d'un câble ou d'un connecteur standard M12. Il est utilisable en détection directe, avec suppression d'arrièreplan, ou sur réflecteur. Suivant les cas, la distance de détection s'étend de 50 millimètres à 2 mètres.
Sur les postes d'assemblage manuel, les opérateurs ont face à eux de multiples casiers remplis de pièces qu'ils doivent saisir, l'une après l'autre, selon un ordre bien établi, pour les monter sur la structure à assembler. Afin de leur faciliter le travail, les postes d'assemblage sont souvent équipés de systèmes optiques qui guident l'opérateur dans la prise des différentes pièces, et l'alertent (par un signal lumineux ou sonore) en cas d'erreur. Les systèmes se présentent sous diverses formes : rideaux laser multifaisceaux, voyants lumineux associés (ou pas) à un détecteur, etc.
« Contrairement aux boutons tactiles associés à des témoins lumineux, que l'on utilise le plus souvent pour des départs de cycle, le système K50 est réellement dédié aux applications de picking, souligne M. Quellier. Il peut aussi remplacer avantageusement les systèmes multifaisceaux en apportant une solution moins onéreuse ». Le coût du K50 avoisine en effet une centaine d'euros.
Le détecteur K50 que vient d'introduire Banner est destiné à cette application d'aide au choix (ou “picking”). Il est notamment destiné aux applications de montage et d'assemblage dans le domaine de l'automobile, et plus généralement dans toutes les applications nécessitant le montage manuel d'une grande diversité de pièces. Sa particularité ? « Par rapport aux systèmes actuels, qui sont constitués de l'assemblage d'une cellule opto et d'un voyant lumineux indépendants, le K50 est à notre connaissance le seul système de picking réellement “intégré” », indique Emmanuel Quellier, responsable produits Banner chez Turck-Banner. La cellule photoélectrique est dans le même
Quelques caractéristiques • Temps de réponse : 3 ms • Sortie sur transistor PNP ou NPN • Hauteur du dôme : 37 mm • Tension d'alimentation : 12-30 V • Température d'utilisation : de – 20 à 50 °C • Câble de 2, 5 ou 9 m Source : www.turckbanner.fr
METRO LOGIE
Machine à mesurer 3D rapide et robuste
Pied à coulisse avec étanchéité IP 67 Le pied à coulisse Super Caliper qu'introduit Mitutoyo est conforme à la directive RoHS. Il se distingue par sa robustesse.
Mitutoyo élargit sa gamme de machines à mesurer tridimensionnelles Mach-V avec le modèle 565. Comme les autres modèles de la série, il peut s'intégrer à une ligne de production et se distingue par la vitesse de déplacement de ses axes (jusqu'à 866 mm/s).
• Indice d'étanchéité : IP 67 • Module d'affichage doté d'une protection contre les chocs • Alimentation par capteur solaire • Système de mesure absolu • Etendue de mesure : 150 ou 200 mm suivant les modèles • Résolution : 0,01 mm • Utilisable dans de faibles conditions d'éclairage (jusqu'à 60 lux)
• Accélération : jusqu'à 0,36 g • Vitesse de mesure : 20 mm/s • Compensation des variations thermiques de la machine et de la pièce • Température d'utilisation : de 5 à 35 °C • Etendue de mesure : 500 x 600 x 500 mm • Précision : E = (2,5 + 3L/1 000) µm
Source : www.mitutoyo.fr
Source : www.mitutoyo.fr
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VEILLE & INFORMATIONS SIEL 2007 CIFCO la Charguia
SAPRI’2007
11ème Salon International des Industries Electriques et Electroniques 07 - 10 mars 2007
Carrefour du Développement des Services liés à l’Industrie 28 novembre - 01 décembre 2007
SAPRI’2007 a pour objectifs :
La Fédération Nationale de l’Electricité et de
• Le renforcement des liens entre les preneurs et donneurs d’ordres de travaux de sous-traitance industrielle et de services en Maintenance Industrielle, • Le développement des activités dans le secteur des Industries Mécaniques - Electriques et Electroniques, • La mise en valeur des entreprises ayant réussi leur plan de mise à niveau et amélioré leur compétitivité sur le marché (local et à l’export), • La promotion des nouvelles technologies, systèmes informatiques et outils modernes de gestion industrielle. • La promotion des outils et mécanismes d’encouragement à la création et l’essaimage d’entreprises
l’Electronique (FEDELEC - UTICA) En collaboration avec
la SOGEFORES et le CETIME ORGANISE UN FORUM SUR LE THÈME «Les Industries Electriques et Electroniques face au défi international»
AU PROGRAMME : Ouverture du forum par M, Khalil Laâjimi, Secrétaire d’Etat chargé de la Coopération Internationale et des Investissements Extérieurs
Activités Concernées par l’Exposition • Les biens d’équipements industriels • La Maintenance industrielle (études, services et fournitures) • La sous-traitance des travaux de mécanique, électrique, électronique et plastique • La fabrication et la distribution des pièces de rechange industrielles • Les équipements d’analyses, d’essais et de diagnostics industriels.
Présentations : Les IEE face au défi international : M. Hichem Elloumi - président FEDELEC L’expérience tunisienne dans les IEE : M. Amor Bouchiba - président de la chambre syndicale nationale des industries électriques
Les Services Industriels Concernés par l’Exposition
Les programmes de la STEG et de promotion des IEE en tunisie : (conférencier STEG)
• Maintenance industrielle Sous-traitance de fabrication des PRI et travaux de maintenance • Qualité (CND, Métrologie, Laboratoire) • Innovation, Recherche / Développement • Travaux d’études générales • Assistance technique, Formation • Conseils et soutien à la création et l’essaimage d’entreprises • Traitement thermique et de surface • Informatique industrielle (CAO, GPAO, GMAO, GTC…) • Sécurité industrielle (hygiène au travail, sécurité, bruit…) • Environnement • Sûreté de fonctionnement • Recyclage des déchets
L’innovation dans les IEE : M. Férid Herelli - D.G. CETIME L’amélioration des performances industrielles : (expert japponais) Les circuits de distribution dans le secteur EEE : M. Lassaâd Allani - V.P. FEDELEC La certification des produits et de marquage CE : M. Henri Corolleur - expert PMI - U.E.
IMPORTANT
Les Opportunités à l’exportation des IEE : (representant du CEPEX)
En marge du SAPRI’2007, se tiendra un Forum sur la Compétitivité des Entreprises, et la remise du GRAND PRIX du SAPRI pour les entreprises performantes en «Maintenance Industrielle».
La formation et le développement des compétences : Abdelaziz Halleb - V.P. FEDELEC
Pour inscription
Dossier de l’exposant et programme générale du SAPRI 2007 sur
contactez FEDELEC Tél : 71 951 115 / Fax : 71 951 094
www.cetime.ind.tn 12
DONNEES DU SECTEUR DES IME LE SECTEUR DES IME EN 2006 : Des performances à consolider Les investissements réalisés dans l’industrie du secteur IME ont enregistré une évolution de 12% pour atteindre 225 MD en 2006 contre 200 MD en 2005. La production globale du secteur IME en 2006 est d’environ 5,4 milliards de dinars enregistrant une croissance de 13 % par rapport à l’année 2005. La valeur ajoutée du secteur est de l’ordre de 1 560 MD qui représente une part de 29 % par rapport à la production du secteur.
Les exportations du secteur IME ont connu une croissance remarquable. La valeur de ces exportations affiche une progression de 23% par rapport à l’année 2005, atteignant ainsi 3,86 milliards de dinars. Les exportations du secteur des IME représentent 30% des exportations totales de l’industrie manufacturière et occupent la seconde position après le textile 35%.
Les importations relevant du secteur sont de l’ordre de 8 119 MDT pour l’année 2006 contre 6 641 MDT en 2005. Les nouveaux emplois créés par le secteur durant l’année 2006 sont de l’ordre de 5 000 postes. Cette valeur représente 19% du total des postes créés dans l’industrie. Le secteur des IME a connu l’approbation de 299 dossiers de mise à niveau totalisant un investissement de 624 MD dont 16% de ces investissements sont d’ordre immatériel.
CHIFFRES
CLÉS POUR L’ANNÉE
LE SECTEUR IMM Nombre d’entreprises Effectif total Production (MD) Valeur ajoutée (MD) Importations (MD) Exportations (MD) Investissement (MD)
2006 :
LE SECTEUR IEEE 30 2 5 1
500 000 630 734 429 516 153
Nombre d’entreprises Effectif total Production (MD) Valeur ajoutée (MD) Importations (MD) Exportations (MD) Investissement (MD)
320 49 000 2 800 826 2 690 2 346 72 Source : MDCI
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AGENDAS STAGES DE FORMATION
SESSIONS DE FORMATIONS SPÉCIALISÉES AU CETIME 2ème TRIMESTRE 2007 02-04 avril
11-12 avril
16-24 avril
Conception et dimensionnement avec Solid Works : prise en main
Etalonnage et vérification des instruments de mesure : cas pratiques
Ressuage niveaux 1 et 2
18-19 avril Les joints brasés manuels : défauts, causes et remèdes.
14-18 mai Techniques de la maintenance industrielle : module 2 : Maintenance mécanique (les circuits hydrauliques et pneumatiques, les systèmes mécaniques industriels, graissage, la maintenance des compresseurs
03-04 mai Marquage CE : Sécurité, Rapprochement, Assurance, Protection
22-24 mai Amélioration continue des processus, indicateurs et tableau de bord qualité
8-10 mai
04-12 juin
Les méthodes de protection contre la corrosion
Ultrasons niveau 1
12-14 juin
La Fonction "méthode" dans l'entreprise industrielle
Audit interne du système de management environnemental
07-15 mai Magnétoscopie niveau 1 et 2
23-24 mai Diagnostic et réparation des cartes électroniques
11-12 juin Estimation des incertitudes de mesure
18-22 juin Radiologie Industrielle niveau 1
18-22 juin Contact : Mme F. Ammar - poste 1402
AGENDA 2007
FOIRES & SALONS Avril Foire de Hanovre (Allemagne) du 16 au 20 avril 2007 Deutsche Messe AG Tél. : 49 511 89 0 Email : info@messe.de Site : www.hannovermesse.de
Mai Control Carrefour international du contrôle qualité et de la métrologie Sinsheim (Allemagne) du 08 au 11 mai 2007 P.E Schall GmbH Tél. : 49 7025 9206-0 Fax : 49 7025 9206-620 Site : www.control-messe.com/
Automation technology trends Conférences Nice - France Hôtel Westminster
du 09 au 10 mai 2007 Tél. : 01 56 90 37 10 Fax : 01 56 90 37 19 Email : info@isa.org Site : www.isa-france.org
Fax : 05 53 49 53 01
Sensor +Test 2007
Congrès et Salon sur la santé et
Email : contact@even-pro.com Site : www.sepem-industries.com Preventica la sécurité au travail
Exposition et colloque sur les capteurs Nuremberg - Allemagne du 30 mai au 01 juin 2007 Ama Service GmbH Tél. : 49 50 33 96 39 0 Fax : 49 50 33 10 56 Email : info@sensorfairs.de Site : www.sensor-test.com
Strasbourg - France
AUTRES SALONS PROGRAMMÉS POUR 2007, PROMUS PAR LE CEPEX • Salon « EQUIP AUTO » Algérie du 19 au 22 mars 2007 • Salon «AUTOMECHANIKA»
du 06 au 07 juin 2007
E.A.U. du 27 au 29 mai 2007
Tél. : 0 825 82 66 91
• Salon « TECH AUTO »
Email : salon@preventica.com
Casablanca – Maroc
Site : www.preventica.com
juin 2007 • Salon « EQUIP AUTO »
Juin
13ème Congrès
Paris du 15 au 20 octobre 2007
International de Métrologie
• Salon « MIDEST »
Congrès et Exposition
Sepem Industries Est Salon des Equipements, Process et Maintenance Industrielle Colmar - France - Parc des Expositions du 06 au 07 juin 2007 Even.pro. Tél. : 05 53 49 53 00
Paris - novembre 2007
Lille - France du 18 au 21 juin 2007 Collège Français de Métrologie Tél. : 04 67 06 20 36
Promotion des Exportations
Fax : 04 67 06 20 35
E-mail : info@cepex.nat.tn
Email : info@cfmetrologie.com Site : www.cfmetrologie.com
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Contact : CEPEX - Centre de
Site web : http://www.cepex.nat.tn/
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