Out Caste Festival Dossier Relations presse Ann-Lise Trongneux / Marion Presigny / Charles Sinz / LĂŠo Finkel / Luc Ganot
Sommaire I. Investigation ...........................................................................................................1 Étape 1 : La prise du brief ......................................................................................1 Étape 2 : Évaluez la situation de l’entreprise/l’institution dans son contexte.........6 II. Réflexion .............................................................................................................12 Étape 3 : La compréhension « fine » du problème...............................................12 Étape 4 : Identification des publics cibles ............................................................12 III. Action.................................................................................................................18 Étape 5 : La définition des objectifs de communication – La Destination............18 Étape 6 : Le développement des stratégies de communication RP – La carte ....19 Étape 7 : Construction d'une plateforme de messages .......................................20 Étape 8 : Choix des tactiques de communication – Le véhicule – et leur mise en œuvre ..............................................................................................................26
I. Investigation Étape 1 :
La prise du brief
Après avoir fait la liste quasi exhaustive des festivals et des structures culturelles présents sur l’agglomération grenobloise nous avons fait le choix d’orienter notre propre festival autour de la culture Rap / Hip-hop. Cette culture, bien plus qu’un genre musical, regroupe un ensemble de pratiques culturelles diverses et variées allant de la danse au graph en passant par la pratique de certains sports tels que le skateboard ou le BMX. C’est cette diversité même que l’Out Caste Festival se donne pour objectif d’incarner en alliant concert, danse, performance d’artistes grapheurs, conférences etc. Ce festival s'organisera sur trois période de temps : jour / nuit / after. •
Le genre musical
Le festival s’articule autour de l’univers musical du Rap, du Hip-hop, du Trip hop, du slam mais également du scratch. •
Période de tenue du festival
Le Out Caste Festival se déroulera les jeudi 1er, vendredi 2 et samedi 3 octobre 2015 : o Les après-midi : de 15h00 à 18h00 o Les soirs : de 21h00 à 00h30 o Les afters : de 01h00 à 05h00 (uniquement le vendredi et le samedi) Un concept à mi-chemin entre le festival Jour et Nuit et le festival Rocktambule •
Les lieux
La journée et plus précisément les After work prennent place à La Caserne de Bonne. Quand à la soirée, la première partie se déroule au Jardin de ville, le square faisant office de scène alors que la seconde partie de soirée a lieu au Drak-Art (quartier Bouchayer-Viallet) •
Les cibles (16-30 ans)
La cœur de cible est représenté par les jeunes auditeurs réguliers de musique Rap / Hip-hop et les individus ayant grandis en parallèle à l’émergence de cette culture dans les années 1980 et 1990. La cible prioritaire plus générale, quant à elle, intègre 1
les jeunes fréquentant les salles de concert et les festivals de l’agglomération ainsi que les moins jeunes passionnés d’art et de culture. La cible secondaire intègre le grand public ainsi que les familles. Enfin, les cibles tertiaires sont les relais à savoir les collectivités territoriales, les artistes et les partenaires (associations etc.). •
Les premiers noms de la programmation o
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Mobb Deep Kendrick Lamar Oxmo Puccino La Rumeur Jazzy Bazz Deen Burbigo Kespar Médine Les deux lyricists Odezenne Georgio Triptik Joke A2H & Aelpeacha Fixpen Sill o
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1ère partie de soirée
2ème partie de soirée
Sound Pellegrino Thermal Team Guts Ta-Ku Vect
Cette programmation se veut à la fois à la pointe la nouveauté et attachée aux origines du Rap, elle se veut locale, nationale et internationale. •
Pourquoi faire appel aux relations presse ?
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Le Out Caste Festival a choisi de faire appel aux RP afin de se faire connaître au sein de la ville de Grenoble et de l’agglomération, acquérir de la notoriété et ainsi conquérir son public (faire agir). La presse et les journalistes jouent un rôle prépondérant quant à la transmission de l’information du lancement du festival. Ils permettent d’obtenir une couverture presse favorable à ce dernier. La presse permet de toucher le plus grand nombre mais aussi de segmenter l’information en fonction des cibles visées. •
Attentes des relations presse
Les relations presse mises en place par notre équipe ont pour objectif principal de lancer le Out Caste Festival et ainsi lui permettre d’acquérir de la notoriété et de s’inscrire dans le temps (dans un premier temps dans l’objectif d’organiser une seconde édition). Le dessein de cette notoriété est de rassembler un large public autour de ces trois jours de festival et que ce dernier soit ainsi rentable. Nous espérons sélectionner les meilleurs supports presse de communication en fonction de nos cibles de façon à ce que l’information soit correctement assimilée par nos publics cibles. •
Outils existants d’une stratégie de communication globale
En complément des relations presse, nous souhaitons mettre en place, pour notre de stratégie de communication globale; une campagne print locale d’affichages (affiches et flyers), une campagne de lancement et de relais sur les réseaux sociaux, une campagne sur les chaines de radios locales (avec Radio campus) et nationales (avec Skyrock). Nous souhaitons également mener une stratégie de relations publiques auprès des leaders d'opinion du milieu Hip-hop de sorte qu'ils relaient l’information, via leurs propres comptes Facebook, Twitter et autre. Les bloggeurs influents du milieu musical seront également sollicités pour diffuser l’information concernant le festival. En touchant les bloggeurs influents, les leaders d’opinion ainsi que les chaines de radios locales nous espérons aller plus loin que nos concurrents qui utilisent principalement une stratégie de communication print et digitale. •
Porte-parole 3
Au travers des relations presses nous avons choisi les journalistes comme relais de l’information. Ils seront invités lors d’une conférence de presse organisée par nos soins. Un membre de l'organisation sera élu porte parole pour la conférence afin de remplir au mieux les objectifs de communication. •
Tendances du marché et évolutions
Il apparait comme évident que les festivals de musique dit « jeunes » ont de plus en plus de succès aujourd'hui. Le revers de ceci est qu'ils sont de plus en plus nombreux et que l'on risque de faire face à une concurrence assez féroce. Les prix des billets étant assez élevés, le festivalier a tendance à choisir « son » festival plutôt qu'à multiplier les participations. Les festivals Rap / Hip-hop « pures » sont par ailleurs de plus en plus nombreux. Notamment dans les environs de Lyon et de Annecy. Souvent, ces festivals s'enferment dans une image trop « banlieue » (codes visuelles ou discursifs). A noter toutefois que le succès n'est pas pour autant moins au rendez-vous pour ces festivals. On trouve sur Paris un festival qui sort de cet ancrage « culture banlieue » : le Bestreet weekend. Dans ses codes, il semble plus en accord avec les courants de l'époque, et, de fait, davantage en lien avec une certaine « nouvelle vague » d'auditeurs de Rap. Parfois très jeunes, ils ont redécouvert le Rap et ses vieux classiques avec 1995, L'Entourage, et ses épigones. Ces mêmes artistes qui reviennent souvent aux sonorités des années 1990 sont également, paradoxalement porteurs d'une certaine modernité. Ils ne portent pas forcément la culture « banlieue » mais plus une culture « urbaine » en général, dont la musique électronique pourrait faire partie. On voit alors se multiplier les événements Hip-hop qui reprennent les éléments visuels et discursifs de la culture « électro » et qui montrent un visage rajeuni du Rap. •
Préciser la concurrence
Les concurrents directs du festival sont les concerts de Rap / Hip-hop sur la ville de Grenoble et ses alentours. Notamment ceux organisés à l’Ampérage, au Drak-Art à la Bifurk ainsi que les gros concerts de Rap plus commercial au Summum (cette année par exemple: Cabadzi, Maitre Gims, Soprano) Ces derniers ne constituent pas véritablement une concurrence directe au Out Caste Festival.
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Enfin, on trouve également les festivals de musique à cette même période de l’année ; le festival Rocktambule, le festival Jour & Nuit et le Snow Garden Festival, qui attirent eux aussi un public jeune. •
Différenciateurs
Afin de se différencier des autres festivals grenoblois, l’Out Caste Festival est un festival 100% Rap / Hip-hop. Il est évocateur de la culture Rap / Hip-hop dans sa totalité et englobe les publics les plus jeunes pour des initiations aux platines, à l'écriture, à la danse, aux sports urbains, aux graphes etc. Ce festival a également la spécificité de se dérouler sur 3 jours « non-stop » (jour, soirée, nuit). •
Partenariats o
Institutionnels
La Métro et la SMTC participent au financement et à la promotion (encart publicitaire dans le mensuel de la Métro + déco tram/bus). Le Conseil général de l’Isère et la Région aident également au financement. La TAG met a disposition des navettes pour ramener les festivaliers dans leurs villes. o
Entreprises
La Fnac et Digitick proposent la vente de billets leur site internet sans prise de commission. La banque LCL aide quand à elle au financement du festival et la SNCF propose des réductions sur les défraiements. o
Médias
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Abcdaire du son, Booska-P, Les Inrocks et Sous-Culture proposent des jeux concours et une finalité de gain de billets pour le festival. Arte Concert et Le Mouv’ se chargent de la retransmission du festival, un moyen incontournable pour faire connaître le festival le plus largement possible. o
Structures locales
Le Drak-Art / Eddy Rumas, la Belle Électrique, l’Ampérage, La Bobine, La Bifurk’ et le Hasard participent à la promo avec un accès particulier.
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Afin de financer complètement le festival, et étant assujettie aux partenaires cités précédemment nous souhaitons organiser un partenariat avec les associations de musique Grenobloises (pour la partie animations autour du festival, lieux d’organisation et la partie technique / mise en scène), les grandes surfaces (pour la partie restauration), les chaines de radio locales et les entreprises Grenobloises qui souhaiteraient être associées au projet.
Étape 2 : contexte
Évaluez la situation de l’entreprise/l’institution dans son
Le Out Caste Festival se positionne comme l’un des rares festivals grenoblois autour de l’univers du Rap et Hip-hop. Il participe au dynamisme de la vie culturelle de la capitale des Alpes. Destiné à un public majoritairement jeune (étudiants), le festival a également pour objectif d’élargir son cœur de cible aux trentenaires ayant grandis parallèlement à l’émergence de la culture Rap / Hip-hop. Le festival est principalement financé par la Ville de Grenoble; mais la ville ne pouvant pas tout prendre en charge, le festival bénéficie également du financement de plusieurs partenaires commerciaux cités ci dessus. Ce festival peut éventuellement bénéficier d’une image négative par la population « culture bourgeoise » une certaine partie de la population grenobloise (l’ensemble des habitants de la ville connaissant mal ce type de festival), il est donc très important de respecter la législation et d’en tenir compte dans la stratégie presse. Le Out Caste Festival n’a pas de concurrents directs puisque sur Grenoble il n’existe pas de festival de Hip-hop. En revanche les concurrents sont les autres festivals de musique qui se déroulent à la même période (Rocktambule, Snow Garden Festival, festival Jour & Nuit etc.) et les festivals Hip-hop de la région (Lyon et Annecy). •
Secteur d’activité: culture, musique actuelle o
Développement majeur
Ce festival de musique Grenoblois s’adresse aux auditeurs réguliers de musique Rap et Hip-hop. Il a l’avantage de participer au dynamisme de la ville et à sa vitalité culturelle qui fait son rayonnement. Mais, il fait également rayonner la musique Rap et Hip-hop au sein de l’agglomération grenobloise. Le Out Caste Festival s’inscrit dans une certaine dynamique, celle de légitimer la culture Hip-hop longtemps considérée comme « sous-culture ». 6
o • •
Parties prenantes clefs
Public: mairie, communauté de commune, associations, médias partenaires. Privé: entreprises, associations, citoyens Grenoblois. o
Législation
Il est nécessaire de respecter la législation relative à l’organisation d’un évènement culturel recevant du public. Dans le cas de Out Caste Festival, Il s’agit de contacter la SACEM, quinze jours minimum avant la manifestation afin d’obtenir 20% de réduction. La facture sera calculée grâce à l’état des dépenses et des recettes du festival ainsi qu’au programme des œuvres diffusées. Également, pour la sécurité, il est bon de prévoir, soit des professionnels soit des bénévoles, mais aussi la présence de pompiers en cas d’incendie ou de problème de santé. Pour prévenir les risques routiers, un stand d’éthylotest est indispensable même si le festival est en centre ville, il est possible que certains participants viennent de plus loin et soient véhiculés. Il ne faut pas négliger non plus l’intégrité des oreilles des spectateurs. Les niveaux sonores ne doivent pas dépasser les seuils de sécurité, et il vaut mieux privilégier la multidiffusion, c’est-à-dire, la disposition d’enceintes tout le long du public, plutôt que la diffusion frontale, uniquement depuis la scène, qui expose les premiers rangs. De plus des équipements de protections type boules Quies doivent être mis à disposition des spectateurs. o Les tendances Il s’agit ici de la reconnaissance de la culture Rap Hip-hop en tant que patrimoine immatériel de notre pays. La tendance croissante à la « dé-ghettoisation » du Rap et à l'ouverture vers les classes sociales beaucoup moins modestes étant en route, le festival prend le train en marche. o •
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Médias
Presse écrite PQR : Dauphiné Libéré • 20 Minutes • Métronews Grenoble • Le Petit Bulletin • Un tramway nommé culture Presse spécialisée culture : 7
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Kiblind Télérama Les Inrocks Snatch GQ Tsugi
PQN & hebdo généralistes (journalistes/rubriques culture) : • Libération • Le Monde • Le Figaro • L’Express • Le Nouvel Obs. • Marianne • Le Point • L’Humanité •
Radios Radios généralistes (locales surtout) : • Radio Campus – Sous Culture (émission hiphop) • France Bleu Isère • Virgin Radio Grenoble • NRJ Grenoble Radios spécialisées : • Le Mouv’ • Nova • Le Mellotron • Skyrock
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Télévision Chaînes généralistes : • France 3 Rhône-Alpes / France 3 Alpes Isère – Grenoble • Télé Grenoble Chaînes davantage culturelles (ou relais récurrent des événements musicaux) : • Partenariat avec Arte Concert pour la rediffusion des lives en direct: http://concert.arte.tv/fr/videos/all
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Web 8
Spécialisée Rap : • Booska-P • ABCDR du son • Skeuds • Rap Rnb Le Mag • Rap élite • 13or du Hip-hop • Le Mellotron • Reaphit • Rapadonf • Dasswassup • Le Vrai Rap français (page fb) • Le Vrai Rap US (page fb) • Rapghetto.com • 90 BPM Eclectique - cultures urbaines : • Green Room Session • Wadmag.com • Brain magazine • Vice France • Union streets • Beat à l’air • WATM Magazine • Le Noeud Pap’ • Novaplanet.com • Libération Next (next.liberation.fr) • Blogothèque, possibilité d’organisé plusieurs « concert à emporter » avec les différents groupes. http://www.blogotheque.net/ •
Concurrences o
Concurrents
Les concurrents directs sont les festivals de musique actuelle de l'agglomération : Snowboard garden Festival, Jour & Nuit, Rocktambule, Cabaret Frappé ; ainsi que les festivals Hip-hop de la région : il y en a déjà deux à Annecy, et un à Lyon. o
Forces et faiblesses (Strength Weakness Opportunities Threat)
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Les festivals de l'agglomération sont installés depuis longtemps (pour ceux de Grenoble). Pour les deux premiers, les concepts sont cohérents et les identités claires. Pour Rocktambule, il y a un manque de cohérence, de la programmation et du concept et de l’identité. C’est un festival qui peine à se positionner. Les prix semblent par ailleurs plutôt élevés par rapport à la qualité de la programmation. Jour & Nuit est principalement orienté musique électronique et ne vise donc pas exactement le même public que l’Out Caste Festival. Le Cabaret Frappé est un festival très éclectique. Il a toutefois lieu durant l’été, période lors de laquelle il perd un potentiel public étudiant considérable. Enfin, le Snowboard Garden Festival n’a pas comme public cible les jeunes du Sud de Grenoble et d’Echirolles (une cible importante pour nous). Les festivals Hip-hop de la région sont, quand à eux, installés depuis longtemps, et reçoivent des artistes très importants à chaque édition (internationaux comme nationaux). Ces festivals ont une certaine renommée et drainent de nombreux participants venant de tout Rhône-Alpes. Aucun d'eux n'est toutefois un « festival total » qui se tient sur plusieurs temps de la journée et qui propose une véritable expérience autour de l’univers Hip-hop, pas seulement musicale. o
Stratégie et positionnement
Tous ces festivals sont déjà en place et n’en sont pas à leur première édition. Nous sommes donc dans la position de challenger. Surtout par rapport à L’Original qui est « Le festival » Hip-hop de Province, avec de grosses têtes d’affiche, et une programmation sur une semaine quasiment. Nous faisons valoir nos différences pour nous positionner. o • •
Les parties prenantes clefs
Public : collectivités territoriales de la région Rhône-Alpes Privé : Entreprises partenaires des festivals, associations grenobloises, anneciennes et lyonnaises, Rhônalpins, artistes o
Tendances
La tendance à la différenciation des autres acteurs présents dans le paysage musical grenoblois est la notre. Mais il faut prendre en compte la saturation de l’offre de festival par les concurrents, surtout en matière de Hip-hop afin de se positionner finement. •
Client : le Out Caste Festival ou la ville de Grenoble pour le festival 10
o
Positionnement dans le secteur
L’Out Caste Festival est le seul festival de Rap / Hip-hop dans la région Grenobloise, il est aussi « total » et investit tous les champs de la culture Hip-hop. o • •
Parties prenantes dans le secteur
Public : mairie, communauté de commune, métro, associations Privé : entreprises, associations, citoyens Grenoblois o
Avantages, valeurs et différenciation
Nous mettons en avant le dynamisme de la ville, l’accessibilité du festival, la parité des styles de musique, l’univers complet du Hip-hop, dépassant la musique Rap ; mais également la nouveauté de ce festival à Grenoble et la période de début d’année scolaire permettant de toucher un maximum d’étudiants et pour profiter des dernières journées estivales. o
Personnes (ressources et expériences)
Les personnes mobilisées seront les travailleurs de la Ville de Grenoble, les bénévoles, les artistes, les membres des associations de musique comme les ingénieurs/techniciens ainsi que les pompiers et ambulanciers. o
Histoire, héritage
Le Out Caste Festival ne possède pas d’histoire à proprement parler puisqu’il est neuf mais s’inscrit véritablement dans la lignée de l’héritage de la culture Rap / Hiphop qui a émergée en France dans les années 1990. Grenoble étant une ville très jeune et particulièrement tolérante, elle permet l’accueil d’un pareil festival. La candidature et l’élection d’Eric Piolle a également réactivé une histoire quelque peu rebelle de la ville qu’il conviendra d’utiliser dans notre communication.
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II. Réflexion Étape 3 :
La compréhension « fine » du problème
Strenght • • • • •
Weakness
Seul Festival de Rap et Hip-hop sur Grenoble (positionnement) Tout l’univers du Rap et Hiphop réuni dans un festival Artistes régionaux, nationaux et internationaux Qualité des artistes Un festival accessible de part son prix et de part sa programmation
Opportunities • • • •
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Manque de financement Refus de la ville de soutenir le projet Un festival qui ne rassemble pas tous les publics Concurrence offensive Saturation du marché des festivals
Identification des publics cibles
Hiérarchisation des cibles du Out Caste Festival
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Nouveau festival donc peu de visibilité D’autres festivals à cette même période Difficulté à toucher tous les publics visés Animosité autour du public ciblé et de l’univers musical D’autres festivals Hip-hop bien implantés dans la région (Lyon et Annecy)
Threat
Participe au dynamisme de la ville Devenir un festival récurrent sur la ville de Grenoble La musique : un univers qui rassemble Acquérir une renommée nationale
Étape 4 : •
•
Cibles prioritaires Cœur de cible : • Jeunes auditeurs réguliers de musique Rap / Hip-hop • Individus ayant grandis en parallèle à l’émergence de cette culture dans les années 1980/1990
Cibles secondaires • •
Les familles Le grand public
Les relais : • Les collectivités territoriales • Les artistes Les partenaires : • Les associations • Les médias partenaires
Cible principales : • Jeunes fréquentant les salles de concert et les festivals de l’agglomération • Moins Jeunes passionnés d’art et de culture
•
Cibles tertiaires
Caractéristiques des publics cibles clefs:
CIBLES PRIORITAIRES: Le cœur de cible o
Les jeunes (15-25 ans) auditeurs réguliers de musique Rap / Hip-hop
Une population homogène de par sa classe d’âge et de part son appartenance à une même génération: 15-25 ans. C’est une population à dominante masculine même si la gente féminine est de plus en plus passionnée par le genre musical. Si l’on devait établir un pourcentage genré pour ce public cela correspondrait à peu près à 70% d’hommes et 30% de femmes. Une population qui se différencie de par les différentes catégories socioprofessionnelles qui la compose. On est sur une population très hétérogène en ce qui concerne le revenu, le niveau d’études, la situation familiale, le lieu de vie etc. En effet, on va retrouver : •
Des jeunes étudiants (18-24 ans) issus de milieux plutôt aisés et favorisés, dont le revenus est satisfaisant (celui des parents), dont la situation familiale est stable (malgré les possibles divorces) et dont le lieux de vie est décent (entre l’appartement étudiant et le domicile familial). 13
•
•
Des jeunes habitants des quartiers (15-25 ans) issus d’un milieux peu aisé. Leur situation familiale est souvent précaire et difficile du fait du cadre de vie dans lequel ils vivent (niveau de vie plutôt faible). On retrouve dans cette catégorie des collégiens, des lycéens, quelques étudiants et de jeunes travailleurs ou sans emplois. Des jeunes collégiens/lycéens citadins ou vivant proche de l’agglomération grenobloise (14-18 ans) issus de milieux aisés dont le revenus est satisfaisant (celui des parents), dont la situation familiale est stable (malgré les possibles divorces) et dont le lieux de vie est décent (le domicile familiale). o
Les trentenaires ayant grandis en parallèle à l’émergence de la culture Rap Hip-Hop dans les années 1980/1990. (25-35 ans et plus)
Ils sont nés dans les années 1970 et 1980 et ont grandi en parallèle à l’émergence de cette culture urbaine. C’est un public homogène de par son âge et de par la génération à laquelle il appartient. Ils sont ainsi très attachés à tous les premiers artistes de la scène Rap Française (NTM, Iam etc.). On note une certaine dominante masculine. C’est un public essentiellement composé de jeunes professionnels ou à la recherche d'emploi. C’est souvent un public de « puristes », qui préfère le Rap « old school » ou un Rap dit « conscient » Cependant, c’est un public qui est assez hétérogène sur le plan du niveau d’étude, des revenus, de la situation familiale et du lieux de vie : Ce sont les mêmes différentiations qu’au niveau des jeunes passionnés de musique Rap / Hip-hop qui s’opèrent. On retrouve une certaine dichotomie entre : •
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Des jeunes professionnels dont le niveau de vie est aisé. Leur niveau d’étude alterne entre Bac +2, +3 et +5, professionnellement ils occupent déjà des postes à responsabilité. Leur revenus étant satisfaisant ils bénéficient d’un bon cadre de vie. Ils bénéficient d’une situation familiale plus ou moins stable: souvent de jeunes pères en couple/mariés ou séparés/divorcés. Des jeunes professionnels ou à la recherche d’emploi dont le niveau de vie reste moyen. Leur niveau d’étude reste plutôt faible, niveau collège ou bac. Leurs revenus restent également faibles (légèrement supérieur au SMIC). Ils bénéficient d’une situation familiale plus ou moins stable : souvent de jeunes pères en couple/mariés ou séparés/divorcés et évoluent dans un lieu de vie par toujours idéal.
Les cibles principales 14
o
Les 16-30 ans Jeunes habitués aux festivals et salles de concert de l’agglomération
Ils sont de grands consommateurs de musique et fréquentent de manière régulières les bars musicaux (le Mark XIII), les salles de concerts (Drak-Art, Ampérage, Bobine, Belle-électrique) et les festivals de l’agglomération (Jours et Nuits, Rocktambule). Ils appartiennent à une classe d’âge assez large: 16-30 ans. On y trouve donc à la fois de jeunes lycées et étudiants ainsi que de jeunes professionnels. (Niveau d’étude globalement élevé Bac + 2 à Bac + 5). Ce public est composé d’hommes et de femmes à peu près à part égale. Leur niveau de vie est plutôt aisé dans la mesure ou ils consacrent une part significative de leurs revenus à la consommation culturelle (concerts, soirées etc.). Leur situation familiale est stable et ils vivent dans l’hyper centre de l’agglomération ou dans les communes périphériques (Correnc, Meylan, Saint-Martin d’Hères, Fontaine etc.). Le Rap et le Hip-hop ne sont pas leurs genres musicaux de prédilection mais ils apprécient tout de même les classiques de cette culture et les reconnaissent comme figures importantes du paysage musical français. o
Les 25-35 ans (voir plus) passionnés de musique et de culture
Ils s’intéressent plus à la création artistique, à la composition, à l’écriture et donc à tout type de musique dès lors qu’il y a une réflexion artistique, une démarche créative. Large intérêt pour les industries créatives (festivals, salles de concert etc.), les politiques publiques culturelles et leur mode de financement respectifs. C’est l’image que l’on peut trentenaire grenoblois susceptibles d’être intéressé par le Rap conscient, le slam etc. (Oxmo Puccino etc.). Dans cette même catégorie on peut également inscrire les professionnels de la culture. Ce public est équitablement composé d’hommes et de femmes. Leur niveau d’étude est relativement élevé (bac +3, +5). Ils travaillent eux même dans la culture ou la communication et consacrent par conséquent une par importante de leur revenu à des activités culturelles. 15
Ils bénéficient de revenus satisfaisant et vivent généralement dans l'hyper centre de l’agglomération (phénomène de gentrification). Dans le quartier Championnet, le quartier des antiquaire ou encore le quartier Saint-Laurent à Grenoble. Cependant ce public n’est pas uniquement fait de la population locale (habitant l’agglomération grenobloise), il est en partie composé de la population des départements alentours et notamment des grandes villes comme Lyon, Saint-Étienne etc. CIBLES SECONDAIRES: o
Les familles
Le Out Caste Festival accorde une importance toute particulière à cette cible que sont les familles. Leur présence et leur participation représenterait un aboutissement pour le festival dans sa volonté de démocratiser et de faire accepter la culture Rap / Hip-hop comme culture à part entière. Ce public est composé de jeunes et de moins jeunes parents (30-45 ans) dont l’âge des enfants peut aller de 5 à 14 ans (des enfants qui sont encore largement dépendants de leur parents et qui ne possède pas encore de véritable consommation personnelle de musique). Il faut également prendre en considération les parents séparés. On est ici sur un public à la fois masculin et féminin étant donné que la participation se fait avec l’intégralité de la famille : les deux parents plus les enfants. De part leur expérience significative dans le milieux professionnels ils bénéficient de revenus satisfaisants. Ils vivent dans l’hyper centre de l’agglomération ou à la périphérie et cultivent un certain idéal de vie en terme de confort d’habitation et d’éducation de leurs enfants. Même s’ils ne sont pas des consommateurs directs de Rap et de Hip-hop ils restent ouvert d’esprit et peuvent être séduit par le caractère ludique et participatif des ateliers et des after work organisés par le Out Caste Festival lors des journées. o
Grand public
C’est un public à dominante jeune, un public très influencé par les grandes radios mainstream (NRJ, Skyrock). C’est un public facilement influençable par les grands médias (télévision, radios, etc.) 16
C’est finalement le public le plus hétérogène visé par le Out Caste Festival. Il est donc difficile d’en définir précisément l’âge, le niveau de revenu et de vie, la situation familiale, le lieu de vie etc. On peut cependant ajouter que ce n’est pas forcément la programmation musicale du Out Caste Festival qui va les attirer étant donné qu’elle est assez pointue mais plutôt les extras comme les ateliers participatifs gratuits (initiation au scratch, au Break dance etc.). CIBLES TERTIAIRES: o
Les relais : les collectivités territoriales et artistes
Les collectivités territoriales, en parallèle à leur rôle de financeur, jouent également un rôle de relais dans la mesure ou elles vont participés à la diffusion de la communication autour du Out Caste Festival. Les artistes en tant que prescripteurs et leaders d’opinion peuvent également être considérés comme des relais dans la mesure ou c’est eux qui vont construire la notoriété du Out Caste Festival auprès de leurs pairs. o
Les partenaires prescripteurs : les associations et médias
Les associations et médias type Arte concert ou le Mouv' sont à la fois des partenaires et des prescripteurs pour le Out Caste Festival. Tout comme les artistes c’est eux qui vont construire la notoriété du festival et lui donner une certaine âme. Ils sont l’un des acteurs principaux de la réussite du festival. • • • • • • •
Type de presse pour toucher les publics cibles du festival : Presse locale Presse quotidienne régionale Presse nationale Presse spécialisée dans la musique Presse collectivités locales Presse sur le web
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III. Action Étape 5 : La définition des objectifs de communication – La Destination Pour la cible prioritaire, la cible secondaire et la cible tertiaire, le premier objectif est commun. Le festival étant complètement nouveau, il faut en priorité le faire connaître. Les relations presse ont pour but la prise de conscience de l’existence du festival. Elles devront attirer l'attention de l’ensemble des cibles pour ensuite remplir les objectifs affectifs et comportementaux. Une fois ce premier objectif cognitif rempli, les relations presse doivent faire agir les utilisateurs et notamment la cible prioritaire. En effet, cette cible et particulièrement le cœur de cible adhère normalement déjà à l’univers du Rap / Hip-hop et/ou au concept de festival. Il faut simplement entraîner l’action de leur part et donc leur venue sur le festival. Même si pour la cible prioritaire potentielle il sera nécessaire de leur faire apprécier le concept Rap / Hip-hop du Out Caste Festival. Les familles et le grand public, la cible secondaire, doivent obtenir des informations qui les feront adhérer au concept du festival et peut être ainsi participer. Certains ne connaissent pas du tout cet univers et peuvent même y être retissant. Ainsi c’est plus le côté spectaculaire, culturel et participatif qui doit être mis en avant pour motiver ces cibles là. Les relais et partenaires, quand à eux, s’ils apprécient le concept du festival, auront une attitude positive envers l’évènement. Les relations presse doivent éveiller leur intérêt, leur désir de découvrir l’évènement et de le promouvoir auprès de la cible principale et secondaire. Leur faire aimer le festival les feront agir et relayer les informations relatives à l’évènement. Tableau récapitulatif des objectifs de communication :
CIBLE
Cible prioritaire
OBJECTIFS DE COMMUNICATION • •
Faire connaître Faire agir
Participation aux concerts (au JDV et aux after party) Participation aux concerts aux JDD et aux conférences 18
OBJECTIFS FINAUX DU CLIENT
Cible secondaire
• •
Cible tertiaire
• •
Faire connaître Faire aimer
Participation aux ateliers et after work à la Caserne de Bonne et à quelques concerts.
Faire connaître Faire aimer
Relai de l’information et promotion de l’évènement à leur réseau respectif.
Étape 6 : Le développement des stratégies de communication RP – La carte CIBLE
OBJECTIFS La destination (vers où)
STRATÉGIES La carte (comment)
TACTIQUES Le véhicule (avec quoi)
Cible prioritaires
Cœur de cible : Les amateurs de musique Rap / Hip-hop
Cœur de cible : • Le concept du festival • La programmation • La date • Le lieu • Le prix
Cœur de cible : • Presse spécialisée • PQR • Télévision et radio locale, régionale
Cible principale : Amateurs de musique et intérêt fort pour la culture
Cible secondaires
Familles et grand public
Cible principale : • La qualité du festival et son originalité • Leurs propres intérêts respectifs •
• •
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La notoriété du festival et sa réussite L’offre culturelle qu’il apporte Sa réussite économique et
Cible principale : • Presse spécialisée
• •
Presse spécialisée Presse nationale et internationale
financière Cible tertiaires
Relais Collectivités territoriales et artistes
Les avantages pour l’agglo La visibilité des artistes hip-hop Notoriété pour les associations culturelles grenobloises
• • •
Partenaires Les associations
Étape 7 :
• •
PQR Presse spécialisée
Construction d'une plateforme de messages
Cibles prioritaires : Cœur de cible et cible potentielle OBJECTIFS La destination (vers où)
MESSAGE CLEF
PREUVE A L’APPUI
PHRASE TOUTE FAITE
Les jeunes (15-25 ans) auditeurs réguliers de musique Rap / Hip-hop
Un premier festival 100% Hip-hop voit le jour à Grenoble. Insister sur la nouveauté du concept.
1ere édition du Out Caste Festival, le premier festival de ce genre dans la ville de Grenoble (aucun festival totalement Hip-hop avait eu lieu à ce jour dans la ville). Le Out Caste Festival est « 100% Hip-hop »car il sera centré sur la culture Hip-hop dans son ensemble et pas uniquement sur le genre musical. Il regroupera un ensemble de pratiques
Un festival 100% Hip-hop débarque à Grenoble, le premier du genre. Le seul événement 100% Hip-hop de la rentrée à l’échelle régionale.
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culturelles diverses et variées de la grande famille Hiphop allant de la danse au graph en passant par la pratique de certains sports tels que le skateboard ou le BMX et alliant concert, danse, performance d’artistes grapheurs, conférences etc. Les trentenaires ayant grandis en parallèle à l’émergence de la culture Rap / Hip-hop dans les années 1980/1990. (2535 ans et plus).
Parce que le Hiphop n’est pas seulement celui d’aujourd’hui, mais aussi celui d’hier avec ses légendes, son histoire et le Out Caste Festival se devait de faire une place comme il se doit à la culture Hip-hop de l’avant 2000 et donc dans un même temps au public qui suit cette culture depuis ses débuts, afin que l’expérience soit absolument « globale ».
Le Out Caste Festival proposera dans sa programmation musicale des artistes de cette génération 1980/1990 qui ont participé à la connaissance du Hip-hop en France puis à sa reconnaissance : ses débuts, son développement et ses heures de gloire (La Rumeur, Oxmo Puccino...) mais aussi des ateliers des arts fondateurs du Hiphop outreAtlantique comme le Break-dance et autres 21
Tout l’univers du Rap et du Hip-hop réuni pour la première fois à Grenoble dans un seul et unique festival. Des légendes du Hiphop hexagonale seront présents sur scène ainsi que la danse Hip-hop, qui a toujours eu une place à part depuis les premières heures de cette culture urbaine.
composantes de la danse Hip-hop ou encore le scratch. Les jeunes (16-30 ans) fréquentant les salles de concert de l’agglomération grenobloise et habitués aux festivals de la région
Insister sur la nouveauté du festival et sur la découverte d’un nouveau concept face à des personnes habituées à se déplacer régulièrement dans les événements culturels et notamment les festivals de la régions mais aussi dans les salles de concert de la ville. Ces personnes n’hésitent pas à se tenir au courant de près ou de loin de la programmation culturelle de leur région ainsi que dans leurs salles favorites.
Le Out Caste Festival posera ses valises dans les principales salles de concert de Grenoble (Drak-art etc.) ainsi que dans les endroits phares de la ville (Jardin de ville, Caserne de Bonne etc.) profitant ainsi du rayonnement de ces lieux mythiques et de l’affluence aux événements organisés dans ces lieux en question mais également d’un public particulier, toujours avide de découverte musicale en tout genre.
La représentativité des différentes esthétiques qui composent le Hiphop actuel, associé aux meilleurs endroits de Grenoble pour venir assister à des concerts et des manifestations culturelles riches et variées, voici le savoureux mélange du Out Caste Festival, qui plaira aux amoureux de la musique et aux festivaliers en tout genre.
Les jeunes adultes (25-35 ans, ou plus) passionnés de musique et de culture
Faire découvrir ou redécouvrir aux jeunes adultes une culture souvent peu connue du grand public. La 1ere édition du Out Caste Festival qui met en avant un concept
Une programmation variée, accessible à tous avec des after works, afin d’attirer des jeunes adultes passionnées de musique et pas seulement de Hiphop, mais aussi des
Venez prendre part à la 1ere édition de ce qui pourrait devenir l'un des événements culturel et musical phare de l'agglomération Grenobloise : le Out Caste Festival
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nouveau peut permettre à ces personnes d’entrer dans la grande famille du Hip-hop ou tout simplement d’apprendre à la connaître.
soirées dansantes en présence de DJs, des conférences…
en présence de nombreux artistes de qualité de renom nationale et internationale.
Cibles secondaires : OBJECTIFS La destination (vers où)
MESSAGE CLEF
PREUVE A L’APPUI
PHRASE TOUTE FAITE
Les familles
Miser sur l’expérience Hip-hop totale que propose le Out Caste Festival avec des animations ludiques, gratuites et participatives pour tous les âges et pour toute la famille afin de faire découvrir une nouvelle culture à des non initiés de celle-ci.
Le Out Caste Festival est évocateur de la culture Hip-hop dans son ensemble et cela se retrouve dans le fait qu’il englobe tous les publics : allant des plus jeunes avec des animations et des ateliers participatifs gratuits en fin d’après-midi pour les enfants(des initiations aux platines, à l'écriture, à la danse, aux sports urbains, aux graphes…) jusqu’au moins jeunes avec des conférences et des cafés débats gratuites autour du thème de la culture urbaine que représente le Hip-
Un festival pour les petits comme pour les grands, accessible de par son prix et sa programmation. En bref, un événement culturel convivial et chaleureux pouvant regrouper tous les membres de la famille.
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hop dans son ensemble destinés aux parents. Le grand public
Découvrir ou redécouvrir le Hiphop sous toutes ses formes par le biais des artistes locaux mais surtout par le biais des pointures nationales et internationales du genre, qui seront présentes tout au long du week-end (Joke, Mobb Deep, Kendrick Lamar, Oxmo Puccino etc.). Le but étant de se familiariser avec la culture Hip-hop tout en rapprochant des publics divers et variés, de tous les âges et d’horizons multiples.
De par son expérience totale, chacun peut se retrouver dans la programmation riche et variée du Out Caste Festival (Concert, ateliers découverte, conférence, after work etc.)
Venez à la découverte ou à la redécouverte de la grande famille du Hip-hop dans son ensemble, le temps d’un week-end. A la découverte d’une nouvelle culture sous toutes ses formes et pour voir sur scène les artistes d’aujourd’hui et de demain.
Cibles tertiaires : OBJECTIFS La destination (vers où)
MESSAGE CLEF
PREUVE A L’APPUI
PHRASE TOUTE FAITE
Les relais : collectivités territoriales et artistes
Construire une relation durable et stable avec les collectivités et les artistes de la région
Le Out Caste Festival est avant tout un festival local faisant participer les institutions de la
Devenez les pionniers et les fondateurs de ce festival inédit sur Grenoble.
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Les partenaires : les associations
dans cette nouvelle aventure qu’est la 1ere édition du Out Caste Festival. Le but étant de travailler main dans la main avec ces acteurs afin d’enrichir l’offre culturelle de la ville de Grenoble
région ainsi que les jeunes talents grenoblois qui seront présents dans la programmation.
Le festival mise certes sur des artistes confirmés mais aussi sur de jeunes talents et artistes locaux qui seront peut-être les grand de demain. Le Out Caste Festival a la grande volonté de lancer de jeunes talents et d’être un vivier de ces nouveaux talents.
Prendre part à la création d’une offre culturelle toujours plus riche et variée sur l’agglomération grenobloise avec la création et le développement dans le temps, sur le long terme avec un jeune festival, le Out Caste Festival, en proie à devenir un événement phare de la rentrée à Grenoble. Dans le milieu culturel, le tissu associatif est indispensable pour créer et mettre sur pied des manifestations de qualité.
Dans le cadre de sa 1ere édition, le Out Caste Festival a la volonté de monter un partenariat solide avec Radio Campus et plus précisément l’émission spécialisé en Rap français « Sous Culture » afin de faire vivre de l’intérieur le festival aux auditeurs de la radio. L’émission aura notamment son studio délocalisé sur les lieux phares du festival afin de présenter des émissions en direct, sur place. Ceci n’étant qu’un exemple des multiples partenariats que le Out Caste Festival désire monter.
Prendre part à cette nouvelle aventure en étant les acteurs et pas seulement les partenaires de notre réussite et de celle de ce nouveau festival qui aura grandement besoin de l’aide précieuse des associations locales pour pouvoir vivre et se développer dans les années à venir. Entrez dans la grande famille du Hip-hop.
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Étape 8 : Choix des tactiques de communication – Le véhicule – et leur mise en œuvre Profil média de nos cibles CIBLES PRIORITAIRES: •
Les jeunes (15-25 ans) auditeurs réguliers de musique Rap / Hip-hop
Pour les trois « sous-catégories » de cibles suivantes, la consommation de presse écrite est assez faible. Selon Euro PQN, en 2009, seuls 17% des 15-25 ans sont des lecteurs de la presse nationale. Aujourd’hui, l’information des 15-25 ans passe principalement par la télévision. Cette dernière n’est toutefois pas perçue comme un moyen de s’informer sur l’actualité musicale ou culturelle, d’autant plus que le style de Rap que nous proposons ici est bien souvent absent de la télévision, sauf exception, sur des chaînes tels que Canal +, Arte ou encore France 4. Canal ne fait jamais la promotion de festivals, ils font simplement celles des artistes et de leurs dates marquantes. Arte et France 4 font eux davantage la promotion de festivals ou d’événements et il arrive même qu’ils les diffusent en même temps. Dans notre cas, Arte assurant la rediffusion, la chaîne en fera également la promotion. Elle ne fait toutefois pas partie des habitudes de consommation de ce public. C’est donc principalement par internet et la radio que les jeunes publics s’informent de l’actualité musicale et événementielle. Il ne faut toutefois pas négliger l’importance des journaux gratuits distribués dans les transports. Concentrant actualité nationale et locale, tant culturelle, que politique, ils sont un moyen d’information pour les publics jeunes, principalement étudiants. •
Des jeunes étudiants (18-25 ans)
Concernant l’actualité culturelle (musicale et événementielle), ce public s’informe via la presse spécialisée Rap sur internet, la presse spécialisée « cultures urbaines » sur internet, les réseaux sociaux et les blogs. Il ne faut pas négliger non plus le poids de radios dites « alternatives » (promouvant autre chose que la culture populaire) telles que Le Mouv’ ou Nova, comme vecteurs d’information pour ce public. Enfin, il suit ses artistes préférés sur les réseaux sociaux et c’est comme cela qu’il sait si l’artiste passe près de chez lui. •
Des jeunes habitants des quartiers (15-25 ans)
Ce public s’informe également principalement par internet de l’actualité culturelle. Il s’informe tout d’abord sur certains sites d’actualité spécialisée Hip-hop (l’abécédaire du son, Rapadonf, Rapghetto.com) pour la partie « fan » de ce public. Dans sa 26
totalité, ce public suit l’actualité Hip-hop en suivant ses artistes préférés sur Facebook, voir même Twitter. Il suit également des blagueurs (pages Facebook) qui relaient l’actu Hip-hop (Le Vrai Rap Français, Le Vrai Rap US etc.). La stratégie de relations presse ne permet pas d’atteindre au mieux ces prescripteurs. Il faudrait donc également établir une stratégie de relations publiques auprès de ces prescripteurs pour toucher au mieux notre cible. Skyrock, radio « 100 % Rap et R’n’B », 1ère radio chez les moins de 25 ans, constitue également un vecteur d’information important en la matière pour ce public cible. •
Des jeunes collégiens / lycéens citadins ou vivant proche de l’agglomération grenobloise (14-18 ans, CSP +)
Les habitudes de consommation d’informations de ce public est sensiblement similaire au précédent si ce n’est que l’utilisation de Skyrock est plus fréquente chez ce public et la fréquentation de sites d’information spécialisée l’est moins. •
Les trentenaires ayant grandi en parallèle à l’émergence de la culture Rap dans les années 1980/1990. (25-35 ans et plus)
Ce public peut être rangé dans la catégorie « puriste ». Ayant découvert le Rap pendant qu’il était jeunes, il suit désormais l’actualité Hip-hop d’un peu plus loin. Il découvre rarement de nouveaux artistes et est ancré dans une vision quelque peu oldschool du Rap. La frange la plus « puriste » de ce public est quasiment passéiste est a fait sienne l’expression « le Rap c’était mieux avant ». Elle écoute ses artistes favoris des années 1990 mais ne découvre pas ou peu les nouveaux talents et ne suit pas du tout l’actualité Hip-hop. La frange un peu plus ouverte de ce public s’informe par les sites d’actualité spécialisée rap tels que L’abécédaire, les sites d’actualité spécialisée cultures urbaines tels que Brain ou Vice, et en minorité par les rubriques cultures de la presse nationale (pour les CSP +). •
Les 16-25 ans habitués aux festivals et salles de concert de l’agglomération
Pour ce public, dans sa globalité, le suivi de l’actualité musicale se fait principalement par le bouche à oreille et la participation à un festival se fera souvent en « bande », avec quelques leaders qui suivent particulièrement l’actualité culturelle, et des suiveurs. Ce public de « suiveurs » s’informe sur l’actualité musicale et culturelle en suivant ses artistes préférés sur les réseaux sociaux. La frange plus consommatrice de musique de cette cible écoute des radios spécialisées « cultures urbaines » telles que Le Mouv’. Elle s’informe également massivement via les sites spécialisés « cultures urbaines », ou les blogs « cultures urbaines ». 27
•
Les 25-35 ans (voir plus) passionnés de musique et de culture
Ce public suit de plus près l’actualité musicale et culturelle, mais pas particulièrement Hip-hop. Dans sa globalité, cette cible utilise encore la radio comme un vecteur d’information (Nova principalement, et parfois Le Mouv’). Sa frange la plus âgée s’informe via la presse culturelle écrite (Télérama, Les Inrocks etc.), et par la rubrique culture de la presse nationale. La frange la plus jeune s’informe davantage par internet et par les sites spécialisés « cultures urbaines ». CIBLES SECONDAIRES : •
Famille et grand public
Le grand public s’informe via la presse locale, les magazines d’information des CT mais aussi, pour certains, via la rubrique culture de la presse nationale. Pour les CSP+, certains consomment de l’actualité culturelle via les magazines spécialisés tels que Télérama. CIBLES TERTIAIRES : LES RELAIS •
Les collectivités territoriales et associations culturelles
Les directions de communication des CT sont souvent abonnées à une grande partie des journaux locaux et nationaux, principalement à la presse généraliste. Pour les associations, il est difficile d’établir un profil média type tant elles recouvrent des réalités différentes. Avec ces deux relais, il faudra communiquer en leur envoyant directement les communiqués de presse. •
Les artistes
Les artistes s’informent bien souvent par eux-mêmes, par le bouche à oreilles, et n’utilisent pas forcément les médias pour s’informer de l’actualité Hip-hop. Il faudrait donc mettre en place une stratégie de relations publiques pour utiliser au mieux leur potentiel de relais.
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Le fichier presse Nom
Prénom Sexe Type presse Nom du journal Email
JeanLIPRANDI Claude M
MAHE
Céline
PierreAlexan BEVAND dre
M
GUEUGN EAU Maxime M
BURGEL
Valérie
F
PQR
amartinez @petitLe petit bulletin bulletin.fr 04 76 84 44 60
PQR
Kiblind
redaction @kiblind.c 04 78 27 69 82 om
Télérama
@Valerie_ 01 55 30 55 30 Lehoux
Les Inrocks
tburgel@i nrocks.co m
Snatch
vincent@s natchmag.com 01 40 27 00 18
GQ
ibenaissa @condena 01 53 43 69 26 st.fr
PQN
DESAILLY Vincent M
PQN
BENAISS A Ibrahim M
MORTAI Véroniq GNE ue
PQR
Métronews Grenoble
palexandr e.bevand @metrone ws.fr 01 55 34 45 00
PQN
Thomas M
FRANCK Elisabet DUMAS h
20 minutes
cmahe@c ojecom.co m 04 72 07 45 72
PQR
MARTINE Aurélie Z n M
LEHOUX
Le Dauphiné
jeanclaud e.liprandi @gmail.co m 06 16 15 47 86
PQR
F
PQN
F
F
PQN
PQN
01 42 44 16 16
Libération
e.franckdu mas@liber ation.fr 01 42 76 17 89
Le Monde
vmortaign e@lemond 01 57 28 20 00 e.fr.
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Téléphone
Mathild DOIEZIE e Clémen GUILLOU t TRENTES EAUX Jacques COURAG Sylvain E Catheri GOLLIAU ne
STANFIE LD
BOUVIER
Malko
Alexis
DESHOU RS Mathias
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M
M
M F
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H
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PQN
PQN
PQN
Grégor KOCHER y BECQUE Jérome T
F
H H
L'Express
jtrentesea ux@group e-exp.com 01 75 55 10 00
PQN PQN
Le Point
cgolliau@l epoint.fr 01 44 10 10 10
Booska-P
laredac@bo oskap.com 06 11 30 35 46
Rapghetto
djfreak@ra pghetto.c om
Presse Web
Presse Web
Presse Web
90BPM Rap / R&b le mag
Rap élite
j.parmenti er@rapelit e.com
13or du Hip Hop
gregory.k ocher@ma il.com
Le Mellotron
hola@lem ellotron.co 06 79 87 61 74
Presse Web
Presse Web Presse Web
mathias@9 0bpm.co 08 99 37 66 83 m redaction @raprnb.c om
30
Rue 89
cguillou@ nouvelobs 01 71 18 20 00 .com
scourage @nouvelo Le Nouvel Obs bs.com; 01 44 88 34 34
Presse Web
PARMEN Jessica TIER
Le Figaro
mathilde.d oiezie@lefi garo.fr 01 57 08 71 10
m
Juliette
MONNO Carolin T e
Mathie u
F Presse Web
juliette.rea phit@gmai l.com Reaphit
F Presse Web
caroline.m onnot@ra padonf.co Rapadonf m
H Presse Web
mathieu@ dasswassu p.com Dasswassup
Les outils de communication de Relations presse Les conférences de presse Elles se tiendront dans une des salles du stade des Alpes. Les intervenants seront au nombre de quatre : le directeur de la communication du festival (directeur de la communication de la mairie de Grenoble), le directeur du festival (directeur de la culture de la mairie de Grenoble), l’adjointe à la culture (Corinne Bernard) et un artiste « parrains » du festival. Y seront conviés les journalistes de PQR (rubrique culture), les journalistes des radios locales (rubrique culture), les directions de la communication des CT alentours et des représentants de nos partenaires. Les conférences de presse pourront être retransmises en direct sur la chaine You tube du festival. Un live-tweet pourrait également être organisé. Ces deux orientations vers le digital sont principalement destinés aux médias nationaux. Ils recevront donc eux une invitation version digitale à cette conférence de presse. Les déclarations liminaires ne devront pas être trop longues (20 minutes maximum) pour laisser le plus possible la place aux questions des journalistes. Les deux conférences de presse seront accompagnées d’un buffet qui permettrait des échanges plus informels avec les journalistes et qui pourraient être l’occasion pour les organisateurs de faire un peu de storytelling autour de l’événement (les obstacles, les réticences au sein de la mairie, la persévérance dans ce format plutôt original pour un festival organisé par une collectivité territoriale, les soutiens reçus par la planète Hip-hop et les attentes soulevées par ce nouveau festival et ces innovations). Le sérieux et en même temps la décontraction devront être de mise. Organisation formelle : 31
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La salle devra être impérativement décorée des visuels de la charte graphique (sans oublier la présence des logos partenaires) Hôtesses à l’entrée pour la distribution des dossiers de presse et des formulaires d’accréditation Les journalistes s’installeront avant que les porte-paroles soient arrivés. Les attachés de presse seront présents et glisseront quelques annonces « off » à certains journalistes dans l’attente du début de la conférence. L’espace devra être doté de la wifi afin que les journalistes puissent participer au live tweet ou publier facilement sur les réseaux sociaux. La configuration de la salle devra être la plus informelle possible en privilégiant la proximité avec le journaliste pour ne pas donner une impression de « salle de classe » et pour favoriser l’échange. Écran ou rétroprojecteur avec un power point qui accompagne la partie « déclaration » de la conférence de presse Vidéo medley des clips et des artistes de la line-up (pendant le buffet de la seconde conférence de presse) Partenaires invités
Nous prévoyons l’organisation de deux conférences de presse. La première se tiendrait en janvier 2015 et annoncerait la tenue du festival courant octobre. Elle s’ouvrirait sur un teaser dévoilé en exclusivité. L’artiste, parrain du festival, donnerait sa vision de l’apport du festival au mouvement hip-hop et à la culture : du 100 % Hip-hop, l’univers entier du Hip-hop, pas seulement la musique, une line-up qui met à l’honneur tous les courants du Hip-hop, qui décloisonne, ... L’adjointe à la culture ferait un point sur l’enjeu soulevé par l’événement du point de vue des politiques publiques de la culture mais aussi de l’aménagement du territoire (point très important étant donné que c’est la presse locale qui sera majoritairement présente). Les directeurs de la communication et de la culture seraient là pour répondre aux questions plus précises des journalistes, ils seraient les « experts » du dossier. Le nom du festival pourra être annoncé et l’opération design your own line-up également. La charte graphique y sera dévoilée. La seconde se tiendrait trois jours avant l’ouverture de la billetterie en ligne (environ un mois avant l’événement). Cette date permettrait un délai suffisant pour obtenir la publication d’articles à la veille ou au moment de l’ouverture de la billetterie. La lineup aura déjà été dévoilée et la conférence donnerait davantage de détails sur l’événement en mettant l’accent sur les nouveautés et les éléments différenciateurs. Le « parrain » du festival reviendra en détail sur la programmation musicale en montrant à quel point le décloisonnement est une richesse. Les directeurs de la communication et de la culture mettront l’accent sur les défis relevés par le festival pour l’instant, sur le gros travail qui y est fait quotidiennement. L’adjointe à la culture mettra une nouvelle fois l’accent sur le caractère historique de ce festival (le premier 32
à Grenoble). Pendant le buffet pourraient être projetés une vidéo qui serait un medley des derniers clips des différents artistes présents sur la line-up, un teaser des conférences qui auront lieu, présentant les intervenants ainsi qu’un teaser du film Un jour peut-être, une autre histoire du Rap Français qui sera diffusé pendant le festival. Les interviews L’idéal serait de multiplier les interviews de l’artiste « parrain » désigné, tant dans la presse locale que nationale et surtout sur les grands médias Rap et « cultures urbaines » sur internet. Les communiqués de presse Suivant la segmentation de nos publics cibles et des médias susceptibles de les atteindre il a été décidé que cinq communiqués de presse différents seraient envoyés et répartis de la manière suivante : • • • • •
Communiqué presse locale (Ann-Lise) Communiqué presse nationale culturelle et presse nationale, rubrique culture (Charles) Communiqué collectivités locales (Marion) Communiqué presse papier et internet spécialisée Rap (Luc) Communiqué presse papier et internet spécialisée cultures urbaines (Léo)
Il faudra prévoir d’envoyer au moins trois communiqués différents jusqu’à la date de tenue du festival. Ils pourraient s’étaler chronologiquement comme suit : • • •
Communiqué d’annonce de la tenue du festival et de présentation de ses grands objectifs, de son concept et de sa vision Communiqué d’annonce de la programmation (c’est celui que nous avons rédigé) Communiqué annonçant l’ouverture de la billetterie et les derniers détails
Le live-tweet La line-up du festival pourra être dévoilé progressivement par un live-tweet. Le dossier de presse
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Il sera structuré de la manière suivante : • •
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Une page d’introduction sur la naissance du Out Caste Festival et ses valeurs Programmation complète (programme non détaillé, code couleur et pictogrammes permettant de distinguer concerts / ateliers / conférences / after work Puis une segmentation par journée, avec, à l’intérieur une reprise beaucoup plus détaillée du programme (bio des artistes, détails sur la prestation, sur les ateliers et conférences ...) : * jeudi 1er octobre * vendredi 2 octobre * samedi 3 octobre Une partie « L’Out Caste Festival en chiffres » Une partie « partenaires »
Un(e) attaché(e) de presse sur Paris En étant à Grenoble, il nous est assez facile d’être en lien avec les journalistes de la presse locale. Toutefois, une grande partie de notre public ne sera pas informé par la presse locale mais bien souvent par les médias spécialisés. Or pour atteindre le « microcosmes » de journalistes parisiens qui écrivent sur le Rap, difficile de le faire depuis Grenoble, surtout sans aucune entrée dans le milieu. Il faudra alors certainement solliciter un(e) attaché(e) de presse sur Paris, qui travaille dans le milieu du Hip-hop, afin qu’elle mette en œuvre une stratégie ciblée auprès des prescripteurs en plus de la diffusion massive des communiqués et DP. L’approche Il faut prévoir l’envoi d’un « save the date » (version web) en amont de chaque conférence de presse. Un adressé aux journalistes de PQR et un autre aux journalistes du national pour la conférence de presse version « à distance ». Une heure après la tenue de la première conférence de presse, il faudra prévoir la diffusion du teaser en ligne et accessible aux journalistes seulement (puis diffusé au grand public quelques jours après, le temps de la publication de quelques articles). Pour ce faire, il faudra envoyer un lien par mail et communiquer un mot de passe qui permettra d’accéder à la vidéo. Ceci permettra de conforter le sentiment de privilège des journalistes. Les journalistes spécialisés « Rap » (ou cultures urbaines) sont souvent assez connus puisqu’ils sont peu nombreux. Ils sont pleinement intégrés au « milieu » Hip-hop et en sont même parfois des porte-paroles. À ce titre, sans être aussi célèbres que les 34
artistes, ils sont des mini-célébrités dans le milieu. Il faut donc privilégier avec eux une approche très individualisée, en dehors des canaux classiques des relations presse, d’où l’intérêt de solliciter un(e) attaché(e) de presse sur Paris. Il ou elle pourra les rencontrer individuellement et effectuer des conférences de presse plus informelles et individualisées. Pour les journalistes de PQR, le contact se nouera par les canaux classiques. Le festival étant organisé par la mairie de Grenoble, ils seront nécessairement poussés à s’y intéresser. Le directeur de la communication de la mairie, souvent en lien avec les journalistes de presse locale, pourra tout de même les solliciter directement, de manière individualisée. Le travail de ces journalistes étant de plus en plus souvent dématérialisés, tous les envois se feront par mail, exceptée pour les dossiers de presse où une vague d’envois par courrier sera nécessaire.
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