Séléction de travaux
Chloé Piquemal
ENSAPVS 2017-2022
Chloé Piquemal
31.03.1998, Paris 14
FORMATIONS
06 44 23 53 85
chloe.piquemal@paris-valdeseine.archi.fr 11 rue de la lingerie, 91430 Igny
EXPÉRIENCES
COMPÉTENCES
2021-2022
Master 2 (S9)
2020-2021
Master 1
2017-2020 2016-2017 2016
2021-2022 Fevrier 2020 2019-2021 Juillet 2019 2018-2019 Juillet 2018 2018 2017-2018
Native B2
A2
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ENSA Paris Val de Seine, Paris 13 Université d’Oulu, Finlande
Licence d’architecture
ENSA Paris Val de Seine, Paris 13
Année préparatoire aux écoles d’art Prep’art, Paris 11
Obtention du Baccalauréat scientifique, mention assez bien, Lycée Jean de Lafontaine, Paris 16
Monitorat, recherche de matériaux et lecture d’articles Matériauthèque de l’ENSAPVS
Stage de première pratique, 4 semaines Valero Gadan Architectes, Paris 3 Service
Restaurant Paris Milan, Paris Milan
Stage facultatif, 4 semaines
Valero Gadan Architectes, Paris 3
Monitorat
Studio photo de l’ENSAPVS
Chantier de rénovation d’un fort médiéval, 2 semaines Sail sous Couzan (42)
Service
Cafeteria de l’ENSAPVS
Accueil (sommet à l’UNESCO, gala de charité au Polo de Paris…) Élegance hôtesses, Paris
Français Anglais
Espagnol Archicad, Suite adobe, Office Artlantis, Autocad Revit, Rhino
100 logements à Pantin 2020, L3 Jean Mas & Sebastien Blondiot Pantin, 93
Le projet révèle une organisation tripartite. Trois bandes, séparées par deux allées parcourent toute la parcelle : au centre, une bande de végétation s’étend de l’avenue jusqu’aux tours d’Aillaud et accueille un parc et un «bois habité» composé de petites maisons disposées en quinconce. À l’Ouest, une tour de logements en R+15 flotte au dessus d’un socle d’équipements composé d’une piscine et d’une école primaire, créant un ensemble dynamique avec les terrains de sport existants. À l’Est, deux bandes de logements sont volontairement disposées en quinconce face aux rues voisines dans le but d’amener du mouvement dans le parcours du piéton jusqu’au projet. Un axe majeur relie perpendiculairemen l’avenue Jean Jaurès et la rue Edouard Renard et accueille une allée pietonne ainsi qu’une piste cyclable. La tour de logements crée une frontalité forte sur rue atténuée par un élément horizontal accueillant des logements en duplex. La retrait de ce pont habité par rapport à l’avenue et le parvis minéral signifient l’entrée sur le projet depuis la ville de Pantin.
À gauche Principes de découpage et axonométrie coupe des maisons individuelles Coupe perspective sur les logements intermédiaires A droite Croquis et plans des maisons individuelles
Simon Rodriguez & Thibault David Paris 14
L’enjeu majeur et inédit de ce projet a été de concevoir des espaces destinés à accueillir une certaine catégorie de personnes n’ayant pas les mêmes réflexes et réactions aux matériaux et couleurs que les autres : des autistes. La réponse au programme et au site a consisté ici en l’édification de deux équerres : l’une ancrée au sol bordant un grand jardin et les pièces de vie des résidents et l’autre soulevée, adressée au grand paysage de la Cité Universitaire de Paris et accueillant les fonctions publiques de l’établissement. À l’entrée, une longue rampe à retournement incite le visiteur à se laisser aller à une balade lente tout en ayant des vues sur le paysage lointain. Le rez-de-chaussée est destiné à accueillir seulement les espaces de vie propres aux autistes : logements, salle de repas et de repos et la salle de musique. Cette dernière prend place a l’issue d’un couloir pincé entre le parvis d’entrée et un miroir d’eau, au sein d’une forme organique acoustiquement idéale. Ainsi, les flux principaux s’opèrent à l’étage et de cette façon, les résidents ne sont soumis à aucune anxiété générée par l’extérieur mais au contraire sont plongés dans un univers paisible côtoyant un grand jardin d’Eden à la lumière filtrée par un claustra de fins poteaux béton ocre.
A gauche Plan de chamnbre résident Jardin du rez de chaussée A droite Vue depuis l’Avenue André Rivoire
Chambre adolescents
2021, M2
Chambre résident
Institut médico éducatif
A gauche Plan de rez de chaussée Plan de R+1 A droite Coupe perspective détail Axonométrie d’ensemble
Une école d’architecture 2019, L3 Laurent Beaudouin & Cyrille Faivre Aublin Porte d’Aix, Marseille 3
Cet exercice a été amorcé par le façonnage d’un vide central. L’enjeu a été d’imaginer et de concevoir cet espace du vide comme l’espace fédérateur d’une école d’architecture, comme la prolongation de la rue dans l’enceinte même du bâtiment. Un espace, sans réel programme, oscillant entre compression et dilatation mettant en lien visuellement les différents espaces de l’école. La suite logique a ensuite été de façonner le plein destiné au programme autour de ce vide. « D’où vient la lumière et où va-t-elle ? » Nous avons ensuite évolué en étant guidés par ce questionnement en travaillant la coupe perspective pour révéler les stratégies et les dispositifs d’arrivée de lumière naturelle au sein du vide central. La finalité de cet exercice a consisté en un travail des façades et du plan, à l’issue d’une visite sur site, dans le but de répondre au mieux à la porte d’Aix de Marseille.
A gauche Coupe territoriale Porte d’Aix A droite Maquette en bois du projet
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Plan de rez-de-chaussée Plan du dernier niveau (R+7) Perspectives Hall d’entrée Salle de rendu Bibliothèque
10 logements à Belleville 2019, L2 Norbert Laurent & Jean-Louis Garnier Paris 20
Ces 10 logements viennent s’installer dans le quartier de Belleville à Paris, au croisement de la rue de Belleville et de la rue Julien Lacroix. Ce projet a consisté à appréhender le traitement de l’angle et de la pente en milieu urbain. La solution proposée ici consiste en deux volumes séparés par une faille de circulation reliant une cour privée et l’espace de la rue. L’enjeu majeur de ce projet a été de mener à bien l’ambition de concevoir des logements, adaptés aux PMR, en demi niveaux. Cette disposition permet en effet de répondre à la question de la pente en décrochant un volume en extrémité du bâtiment et en l’installant 1m20 plus bas que le reste, sur la rue de Belleville. L’attique profite d’une vue sur la Tour Eiffel et accueille un potentiel potager pour encourager une vie de voisinage.
Une fondation culturelle 2019, L2 Norbert Laurent & Jean-Louis Garnier Paris 14
La fondation s’installe au coeur de la Cité universitaire de Paris. La composition simple et rationnelle de l’édifice repose sur un parallélépipède compact se détachant du sol par un volume vitré en RDC. Le volume est creusé dans la masse par une cour et un patio pour assurer l’éclairement et la transparence qui provoquent une diagonale visuelle perceptible depuis la rue attirant le visiteur à pénétrer dans l’édifice. La partie accueillant les logements-ateliers se détache du volume principal par une bande servante accueillant des espaces de stockage et une coursive extérieure privée. La structure poteaux poutres et sa trame de 5 mètres offre une flexibilité maximum des aménagements et un espace dégagé bien adapté pour installer des expositions. Une enveloppe en béton contient l’intégralité du volume de la fondation et sert d’écran de réflexion de la lumière, conférant aux espaces un éclairement diffus. La circulation s’organise en croix avec deux axes perpendiculaires : ascenseur/rampe et escalier/ passerelle.
Face à l’hostile 2021, M2 Mémoire de Master Encadré par Emmanuelle Sarrazin
Ce mémoire tire son origine de la découverte lente et obscure d’un pays recouvert, d’un territoire chimérique endormi sous une couverture blanche. De cette expérience physique et sensorielle découle un questionnement profond : un climat hostile, à savoir enneigé plus de la moitié de l’année, peut-il accueillir une architecture durable ? Ces conditions singulières ont-elles le pouvoir de transcender le bâti ? J’ai émis l’hypothèse que oui, la neige a le pouvoir de transcender le lieu, de rendre visible à l’oeil ce qui lui est communément invisible. Mon travail a ainsi consisté à expliciter ce que la nature engendre et impose comme typologies architecturales et les techniques développées par l’architecte pour contourner la contrainte, sublimer une réalité climatique hostile et créer des intériorités protectrices,. En m’attachant à l’étude d’un climat naturel confronté à l’élaboration d’un climat artificiel, j’ai analysé les schémas spatio-temporels mis en place par l’architecte afin de mieux saisir la hiérarchie progressive de certaines pièces du parcours par rapport à la dichotomie qu’entretiennent intérieur et extérieur.
Biblothèque de grouillots Concours Archibois 2021 avec Juliette Le Bars et Vincent Maillot
Maquette du Palais des congrès de Strasbourg de Le Corbusier, au 1:100 Réalisée dans le cadre du workshop de S5 avec Juliette Le Bars, Richard Ballet et Georges Bertin
Série de dessins d’après des scènes de films de Xavier Dolan
Maquette en béton - Excavation & vide intérieur - Projet de L3