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jusqu’au 11 novembre
Ma vie de Courgette
Réalisation et scénario : Juho Kuosmanen avec : Jarkko Lahti, Oona Airola... Finlande • 2014 • 1h32 • VOST
à partir de 8 ans
Réalisation : Claude Barras Scénario : Céline Sciamma France / Suisse • 2016 • 1h06
Courgette n’a rien d’un légume, c’est un vaillant petit garçon. Il croit qu’il est seul au monde quand il perd sa mère. mais c’est sans compter sur les rencontres qu’il va faire dans sa nouvelle vie au foyer pour enfants. Simon, Ahmed, Jujube, Alice et Béatrice : ils ont tous leurs histoires et elles sont aussi dures qu’ils sont tendres.
Et puis il y a cette fille, Camille. Quand on a 10 ans, avoir une bande de copains, tomber amoureux, il y en a des choses à découvrir et à apprendre. Et pourquoi pas, même, à être heureux... Courgette est un bonheur. (Bande à part)
Olli Mäki
du 09 au 11 novembre
Été 1962, Olli Mäki prétend au titre de champion du monde poids plume de boxe. De la campagne finlandaise aux lumières d’Helsinki, on lui prédit un avenir radieux.Pour cela, il ne lui reste plus qu’à perdre du poids et à se concentrer. Mais il y a un problème - Olli est tombé amoureux de Raija.
du 09 au 11 novembre
Le superbe noir et blanc en pellicule 16 mm de Juho Kuosmanen s’empare avec une sensibilité et une douceur inouïes de cet héroïsme discret, faisant de cet hymne à la joie de vivre insoucieux des lauriers un merveilleux moment de ce rare cinéma capable de nourrir l’âme autant qu’il l’apaise.
(Le Monde)
Willy 1er Réalisation : L. Boukherma, Z. Boukherma, M.Gautier, Hugo P. Thomas Scénario : Ludovic Boukherma avec : Daniel Vannet, Noémie Lvovsky... France • 2016 • 1h22
À la mort de son frère jumeau, Willy, 50 ans, quitte pour la première fois ses parents pour s’installer dans le village voisin. “À Caudebec, j’irai. Un appartement, j’en aurai un. Des copains, j’en aurai. Et j’vous emmerde !”. Inadapté, Willy part trouver sa place dans un monde qu’il ne connaît pas.
[...] Tout, ici, est affaire de regard : celui des réalisateurs est compréhensif, voire admiratif pour Willy, un homme simple qui a fait preuve d’un grand courage pour s’arracher à son traintrain. Il y a là quelque chose qui dépasse Willy, un enthousiasme vital, et, aussi, un comportement exemplaire. Le film est, tout bonnement, une ode à la liberté. (Le Nouvel Obs)
jusqu’au 06 décembre
du 16 nov. au 06 décembre
Moi, Daniel Blake
Le Client
I, Daniel Blake Réalisation : Ken Loach • Scénario : Paul Laverty avec : Dave Johns, Hayley Squires... Grande-Bretagne • 2016 • 1h39 • VOST
Forushande Réalisation et scénario : Asghar Farhadi avec : Shahab Hosseini, Taraneh Alidoosti, Babak Karimi... Iran • 2016 • 2h03 • VOST
Pour la première fois de sa vie, Daniel Blake, un menuisier anglais de 59 ans, est contraint de faire appel à l’aide sociale à la suite de problèmes cardiaques. Mais bien que son médecin lui ait interdit de travailler, il se voit signifier l’obligation d’une recherche d’emploi sous peine de sanction. Au cours de ses rendez-vous réguliers au «job center», Daniel va croiser la route de Katie, mère célibataire de deux enfants contrainte d’accepter un logement à 450km de sa ville natale pour ne
pas être placée en foyer. Pris tous deux dans les filets des aberrations administratives de la Grande-Bretagne d’aujourd’hui, Daniel et Katie vont tenter de s’entraider… À 80 ans, Ken Loach n’a pas baissé les armes. Pas encore. Il a gardé intacts sa colère, son empathie, son humanisme. Sourd aux modes et aux postures cyniques, il peint, à nouveau, dans Moi, Daniel Blake, «son» Angleterre (...) : ce peuple que plus personne, sauf lui, n’appelle la classe ouvrière. (Télérama)
Contraints de quitter leur appartement du centre de Téhéran en raison d’importants travaux menaçant l’immeuble, Emad et Rana emménagent dans un nouveau logement. Un incident en rapport avec l’ancienne locataire va bouleverser la vie du jeune couple... Après une parenthèse française aussi inattendue que réussie, Asghar Farhadi revient sur ses terres iraniennes et dans sa ville de Téhéran, poussé par le besoin impérieux de se reconnecter au pouls vibrant de son pays.
Pour ce faire, il emprunte à nouveau les voies douloureuses d’un drame intime. À l’aide d’une mise en scène et d’un découpage inspirés par sa connaissance et sa pratique du théâtre, Farhadi laisse ses personnages se débattre sur la scène d’une société corsable pour mieux viser à l’universel. Justement récompensé au dernier Festival de Cannes par le prix du scénario (et d’interprétation masculine), le film ajoute une pierre de taille à une filmographie déjà imposante, le plaçant au centre d’une cinématographie écartelée entre soumission à un pouvoir inquisiteur et subversion des interdits.
(Positif)
36ème FIFAM • du 11 au 19 novembre 2016
dimanche 13 novembre à 16h00
Pour cette 36ème édition du Festival International du Film d’Amiens, un hommage sera rendu, en sa présence, à Douglas Trumbull, l’homme qui a révolutionné le cinéma de science-fiction, réalisant les effets spéciaux de trois bornes du genre : 2001, L’Odyssée de l’espace (Stanley Kubrick), Rencontres du troisième type (Steven Spielberg) et Blade Runner (Ridley Scott). Il a également réalisé des films qui ont renouvelé les thèmes de la SF, notamment avec Silent Running ou Brainstorm. Un hommage sera également rendu, en sa présence, au réalisateur vitenamien Dang Nhât Minh : depuis la fin des années 1960, il pose son regard sur la société vietnamienne, avec une liberté engagée et une créativité insoumise, qui animent ses huit longs métrages, réunis pour la première fois. Parmi les trois rétrospectives, celle consacrée au Japon, après les nuages tentera de témoigner de la mutation de l’homme, du monde et du cinéma japonais après les bombes de la Seconde Guerre Mondiale. La rétrospective des films de Louis Malle, qu’une récente biographie qualifiait de «rebelle solitaire», nous donnera à (re)voir l’œuvre d’un des plus grands cinéastes français. Enfin, la rétrospective Kolosary Cinéma Malagasy nous montrera en 11 films et 10 réalisateurs toute la richesse du cinéma de Madagascar, de 1972 à nos jours. Et comme chaque année vous retrouverez bien sûr les films des compétitions : les 7 films de la Compétition internationale documentaires, les 8 films de la Compétition française moyens métrages, les 10 films de la Compétition européenne courts métrages et les 7 films de la Compétition internationale long métrages.
The Battle of the Somme
Nous vous souhaitons un très beau 36ème Festival !
- Ciné-Concert -
Réalisation : Geoffrey Malins, John B. McDowell Grande-Bretagne • 1916 • 74mn un Ciné-Concert du trio à cordes Sibiel, sur une musique de Jean-Philippe Feiss interprété par : Jean-Philippe Feiss (Violoncelle), David Potaux-Razel (Guitare) et Théo Girard (Contrebasse)
The Battle of the Somme est un document exceptionnel, sur un évènement exceptionnel. La première guerre mondiale est le premier conflit impliquant autant de pays. Il a également vu évoluer la manière de combattre, avec l’arrivée des armes chimique, des blindés, de l’aviation, les prémices de la guerre moderne. Si les armes sont plus sophistiquées, l’information et la propagande le sont aussi, avec l’arrivée du cinéma et des images filmées. En commandant ce film, l’armée anglaise voulait montrer aux civils la supérorité des alliés sur
l’armée allemande. Mais les spectateurs furent choqués par la réalité des tranchées et le quotidien des soldat, et l’effet sur le moral de la population ne fut pas celui escompté...
Un événement organisé en partenariat par le Ciné St-Leu et l’Institut Faire Faces, dans le cadre du Festival International du Film d’Amiens, avec le soutien d’Amiens Métropole, Mission Centenaire 14-18. Tarif spécial : 8€
jeudi 24 novembre à 21h00
Sortie nationale le 23 novembre
The Sound of Belgium
Une vie
Réalisation : Jozef Devillé Scénario : Jozef Deville, Pablo Eekman avec : Renaat Vandepapeliere, CJ Bolland, DJ Eric «Powa B» Beysens... Belgique • 2012 • 1h25 • VOST
Réalisation : Stéphane Brizé Scénario : Stéphane Brizé, Florence Vignon d’après l’œuvre de Guy de Maupassant avec : Judith Chemla, Swan Arlaud, Jean-Pierre Darroussin, Yolande Moreau... France / Belgique • 2016 • 1h59
Ce documentaire musical retrace l’histoire de la musique électronique de danse en Belgique, et démontre toute la «belgitude» de ce son si particulier. Suivez l’évolution de ce phénomène depuis les salles de danse enfumées et vibrant au son des orgues Decap, jusqu’aux jours glorieux de la Popcorn; puis de la noirceur glaciale de l’Electronic Body Music jusqu’aux sonorités de la New Beat et de la Belgian House & Techno. The Sound Of Belgium, c’est aussi l’histoire d’une nation, et la quête de son âme au travers de sa musique...
Comment, à la fin des années 1980, la new beat a électrisé les dancefloors de Belgique avant de conquérir le monde. Retour sur une révolution musicale oubliée.
Séance-Rencontre jeudi 24 novembre à 21h00 en présence du réalisateur Jozef Devillé en partenariat avec La Lune des Pirates dans le cadre du Festival Haute Fréquence • entrée
gratuite •
Normandie, 1819. A peine sortie du couvent où elle a fait ses études, Jeanne Le Perthuis des Vauds, jeune femme trop protégée et encore pleine des rêves de l’enfance, se marie avec Julien de Lamare. Très vite, il se révèle pingre, brutal et volage. Les illusions de Jeanne commencent alors peu à peu à s’envoler...
[...] Brizé a voulu briser l’académisme potentiel de l’adaptation littéraire en costumes, rendre son héroïne plus vibrante en nouant ainsi les différents temps de sa vie, en filmant son intériorité, son paysage mental de femme en souffrance, en butte aux mensonges de son époux volage ou de son fils difficile [...] Un beau casting : de Swan Arlaud à Nina Meurisse, de Jean-Pierre Darroussin à Finnegan Oldfield, ils sont tous remarquables... (Les Inrocks)
du 23 au 29 novembre
du 30 nov. au 06 décembre
Sing Street
notre coup de cœur du mois
Agassi Réalisation : Park Chan-Wook Scénario : Park Chan-wook, Chung Seo-kyung, d’après l’œuvre de Sarah Waters avec : Kim Min-Hee, Kim Tae-Ri, Jung-Woo... Corée du sud / Japon • 2016 • 2h25 • VOST • int -12 ans
Réalisation et scénario : John Carney avec : Ferdia Walsh-Peelo, Lucy Boynton, Jack Reynor... Irlande / G-B • 2016 • 1h46 • VOST
Dublin, années 80. La pop, le rock, le métal, la new wave passent en boucle sur les lecteurs K7 et vibrent dans les écouteurs des walkmans. Conor, un lycéen dont les parents sont au bord du divorce, est obligé à contrecœur de rejoindre les bancs de l’école publique dont les règles d’éducation diffèrent de celles de l’école privée qu’il avait l’habitude de fréquenter. Il se retrouve au milieu d’élèves turbulents qui le malmènent et de professeurs exigeants qui lui font rapidement comprendre qu’il va devoir filer doux. Pour s’échapper de cet univers violent, il n’a qu’un objectif : impressionner la plus jolie fille du quartier,
Mademoiselle
la mystérieuse Raphina. Il décide alors de monter un groupe et de se lancer dans la musique, univers dans lequel il ne connait rien ni personne, à part les vinyles de sa chambre d’adolescent. Afin de la conquérir, il lui propose de jouer dans son futur clip...
Avec son héros exalté qui combat l’adversité en créant d’électrisantes chansons, le film dépasse la simple nostalgie d’époque (...) et livre un message universel sur la nécessité de se faire confiance pour mieux gagner celle des autres. (Première)
Corée. Années 30, pendant la colonisation japonaise. Une jeune femme (Sookee) est engagée comme servante d’une riche japonaise (Hideko), vivant recluse dans un immense manoir sous la coupe d’un oncle tyrannique. Mais Sookee a un secret. Avec l’aide d’un escroc se faisant passer pour un comte japonais, ils ont d’autres plans pour Hideko…
Le réalisateur d’Old Boy met en scène avec un plaisir sadique et une mise en scène clinquante un jeu de dupe dans la Corée des années 30. Thriller érotique efficace et intelligent... (Télérama)
Mademoiselle [...] marque, à la suite de son excursion américaine (Stoker, 2013), un véritable point d’inflexion dans la carrière du cinéaste. Il le doit, d’abord, à son ancrage dans la fiction historique, qui semble avoir quelque peu calmé ses ardeurs, mais surtout à son inscription dans une certaine tradition du cinéma coréen, à savoir le film de domesticité, dont le succès rarement démenti, du moins sur le plan local, remonte à la célèbre La Servante, de Kim Ki-young (1960), qui connut nombre de remakes et reformulations... (Le Monde)
Ciné St-Leu
Prochainement...
On y va les yeux fermés ! 33 rue Vanmarcke (quartier St-Leu) 80000 Amiens • 03 22 91 61 23 mail@cine-st-leu.com www.cine-st-leu.com facebook.com/cinestleu twitter : @cinestleu Cinéma classé Art et Essai avec les labels Recherche et Découverte, Jeune Public, Répertoire et Patrimoine membre du réseau Europa Cinemas adhérent à l’AFCAE, au GNCR, à l’ACAP, l’ADRC, au SCARE, à l’ACID et à l’Agence du Court Métrage - RADi Tarifs Tarif plein : 7,10€ Tarif réduit : 5,60€ (étudiants, demandeurs d’emploi, pour tous le mercredi) Tarif enfant : 4,00€ (jusqu’à 14 ans) Tarif de groupe (à partir de 10 pers.) : 3,55€ (valable aussi aux séances de 12h15) Tarif abonnement : 48,20€ les 10 séances / 25,35€ les 5 séances (valable au Ciné St-Leu et au Cinéma Orson Welles du 1er janvier au 31 décembre)
Le guichet est ouvert 30mn avant chaque séance. Ciné-Filous Pendant chaque période de vacances scolaires, une programmation sur grand écran adaptée aux jeunes spectateurs !
Accessibilité Le Ciné St-Leu est accessible aux personnes à mobilité réduite et aux personnes en situation de handicap sensoriel.
Le Ciné St-Leu reçoit le soutien d’Amiens Métropole, du Centre National du Cinéma et de l’image animée, du Conseil Régional des Hauts de France, du Ministère de la Culture et de la Communication - DRAC Nord-Pas-de-Calais - Picardie et de l’Union Européenne - Programme Europe Créative. (Imprimerie : Norsud)
(sous réserve)
Baccalauréat de Cristian Mungiu Swagger d’Olivier Babinet La Fête du court métrage du 15 au 18 décembre 2016 Tanna de Bentley Dean, Martin Butler Louise en hiver de Jean-François Laguionie Le Voyage au Groenland de Sébastien Betbeder Paterson de Jim Jarmusch
du 09 au 15 novembre
mer 09
jeu 10
ven 11
sam 12
Moi, Daniel Blake Olli Mäki Willy 1er Ma vie de Courgette 36e Festival Int. du Film d’Amiens The Battle of the Somme (Ciné-Concert)
14h00-16h00
14h00-16h00
14h00-19h30
14h00
19h30
21h15
17h30
21h15
12h15-19h30
21h30
18h00
18h00
16h00
du 16 au 22 novembre
Le Client Moi, Daniel Blake 36e Festival Int. du Film d’Amiens du 23 au 29 novembre
Une vie Le Client Sing Street Moi, Daniel Blake The Sound of Belgium (+ réal.)
du 30 nov. au 06 décembre
Mademoiselle Une vie Le Client Moi, Daniel Blake
dim 13
lun 14
mar 15
16h00
16h00
voir le programme complet du 36ème FIFAM 16h00
mer 16
jeu 17
ven 18
sam 19
dim 20
lun 21
mar 22
15h30
19h00
14h00-20h30
14h30-19h00
16h00-20h30
14h15-16h30-19h
17h00
14h00-18h30
12h15-21h15
21h30 voir le programme complet du 36ème FIFAM
mer 23
jeu 24
ven 25
sam 26
dim 27
lun 28
mar 29
14h00-19h00
16h30
14h00-19h00
14h00-16h30
14h00-19h00
16h15-18h30
14h15-19h00
16h30
14h15
16h30-21h15
19h00
16h30
14h00-20h45
16h30
21h15
19h00
21h30
21h15
12h15
12h15
21h00
mer 30
jeu 01
ven 02
sam 03
dim 04
lun 05
mar 06
20h00
17h00
21h00
21h00
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17h00
20h00
14h30
12h15-20h00
14h00-18h30
14h00-16h15
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14h30
16h15
18h30
14h00
14h30
17h00 12h15
à suivre la semaine du 07 au 13 décembre : Baccalauréat de Cristian Mungiu, Swagger de Olivier Babinet, Une vie de Stéphane Brizé... et pour les Ciné-Filous en décembre : Ivan Tsarevitch et la princesse changeante de Michel Ocelot Julius et le Père Noël de Jacob Ley Wallace et Gromit : Les Inventuriers de Nick Park La Grande course au fromage de Rasmus A. Sivertsen