La nature s’embrase, les feuillus se fragmentent en parures éphémères, les mots deviennent inutiles … Nos yeux écarquillés s’illuminant de ces divins éclats. s’emplissent de ces beautés silencieuses, escarbilles de lumière, flammèches de couleur. Faisons provisions, saturons nos regards… Bientôt, le morne hiver soufflera son uniformité En larges rubans de grisaille…
© Suzi Philippe novembre 2007
Š Suzi philippe novembre 2007