Discours d’accueil des membres du 12ème Comité des signataires de l’Accord de Nouméa Madame la ministre, Chère George, Madame et messieurs les parlementaires, Monsieur le président du congrès, Madame la président du gouvernement de la Nouvelle-‐Calédonie, Messieurs les présidents des assemblées des provinces, Monsieur le haut-‐commissaire, Mesdames et messieurs, C’est avec un très grand plaisir que je vous accueille ce soir, dans cette maison qui est celle de tous les citoyens. J’ai souhaité, en tant que président de l’Assemblée nationale, vous recevoir, vous les membres du comité des signataires, vous les représentants des forces politiques engagées depuis 26 ans, à la suite du geste fondateur de Jean-‐Marie Tjibaou et de Jacques Lafleur, dans une démarche de réconciliation et de construction d’un avenir commun. Tout d’abord parce que les parlementaires ont, en 1998, scellé la loi constitutionnelle issue des accords de Nouméa. Je me souviens de la qualité des débats, de l’absence de toute polémique et du soutien unanime de l’ensemble des groupes politiques, traduisant celui de la Nation toute entière. Ensuite, parce que les Outre-‐mer et en particulier la Nouvelle-‐Calédonie ne sont pas les oubliés de la représentation nationale. C’est pour inscrire cet engagement de tous et renforcer leur présence au sein de l’Assemblée nationale que la Conférence des Présidents a décidé dès juillet 2012, sur ma Page 1 sur 4