Dîner du CRIF Rhône-‐Alpes, Jeudi 30 janvier 2014, Discours prononcé par M. Claude Bartolone, Président de l’Assemblée nationale Monsieur le Préfet de région, Monsieur le Ministre Plénipotentiaire, Monsieur le Sénateur-‐Maire de Lyon, cher Gérard Collomb, Monsieur le ministre, Cher Michel Mercier, Mesdames et messieurs les parlementaires, Monsieur le Président du Conseil régional Rhône Alpes, cher Jean-‐Jack Queyranne, Mesdames et Messieurs les élus, Monseigneur, Monsieur le Grand Rabbin, Monsieur le Président du Consistoire, Monsieur le Président du CRIF, Madame la Présidente du CRIF Rhône-‐Alpes, Monsieur le Recteur de la Grande Mosquée, Monsieur le Président régional du culte musulman, Monsieur le Gouverneur militaire, Mesdames et messieurs les consuls, Monsieur le Procureur de la République, Monsieur l’Avocat général, Mesdames et messieurs les Présidents de juridiction, Madame la Rectrice, Mesdames et messieurs les représentants des corps constitués, Monsieur le Président de la LICRA, Mesdames et messieurs les représentants de la société civile, Mesdames et Messieurs, C'est une joie en même temps qu’un grand honneur pour moi de vous retrouver ici, à quelques kilomètres seulement de là où se déroula, le 5 septembre 1944, la première réunion publique de l’histoire du CRIF. Madame la Présidente, chère Nicole Bornstein, merci pour cette invitation, merci pour ce dîner républicain et laïc. Oui, laïc, parce qu’il invite les membres d’une même famille, la nôtre -‐ la France -‐ à se réunir autour de la même table ; quelles que soient nos croyances, nos idées, notre religion, nos origines. Car la laïcité, ce n’est pas l’anticléricalisme. La laïcité, ce n’est pas l’ennemi des religions.
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