Nยบ18 LE MAGAZINE DU COMITE HEC LAUSANNE
SOMMAIRE
Edito p.2 HLST p.3 HEC Lausanne dans le monde p.5 Etes vous assez intelligent pour travailler chez Google ? p.8
Ecrivain en herbe? Talent de journaliste? Envie d’écrire? Contactez-nous et rejoignez l’équipe du HEConomist! Impressum Editeur : Comité HEC Lausanne - Internef - CH-1015 Dorigny – Rédacteur en Chef : Alia Marrakchi Imprimeur : S’Impression, Saint-Prex – ©2013 – communication@comite.ch – www.comite.ch
EDITORIAL
Feedback Auteur : Alia Marrakchi, responsable communication
Merci à tous ceux qui ont pris la peine de répondre au questionnaire lancé il y a quelques semaines ! A présent, voici les résultats...
La majorité préfère les housses d’ordinateurs, certains audacieux s’expriment en faveur des préservatifs HEC -proposés par plus d’un étudiant, il faut le savoir-, mais globalement les tendances se suivent. Tout d’abord l’HEConomist. Si vous lisez ces phrases, vous faites partie des 69% qui s’y intéresse: merci! Concernant les 31% restants, nous regrettons infiniment de ne pas pouvoir le distribuer aux Masters et aux 3ème année. Sa parution sera toutefois annoncée sur facebook dorénavant. Il y a également ceux que le magazine n’intéresse pas assez; je tiens également compte de vos remarques, souvent extrêmement pertinentes. À travers l’HEConomist nous ne souhaitons pas remplacer la lecture de votre Bilan -nous n’avons pas la prétention d’être journalistes. Nous cherchons plutôt à vous proposer quelques articles divertissants en lien avec les intérêts des étudiants d’HEC. A cet effet, vous trouverez dans ce numéro une tentative de mieux répondre à vos attentes, puisque vous avez été nombreux à demander plus d’informations concernant
notre faculté et ses alumnis, d’où un dossier tourné sur la place d’HEC dans le monde. Ce feedback nous a également permis de constater que très peu d’entre vous connaissent la HEC Lausanne Sailing Team. Ils organisent pourtant entre autre le fameux stand ‘la Grand Voile’ en parallèle à la Course Croisière EDHEC au printemps... Vous trouverez dans cette édition un dossier sur la HLST pour vous familiariser avec ces représentants de notre faculté ! Pour les sports, l’équipe de foot est parfaitement fonctionnelle et les résultats sont retransmis sur notre page facebook! Mais nombre d’entre vous seront heureux d’apprendre que l’équipe de basket se consolide doucement. Notre responsable Sport a trouvé des salles d’entrainement et bientôt vous pourrez supporter de la même manière l’équipe de Basket HEC! Enfin, concernant les points forts du Comité et ceux à revoir, nous remercions tous ceux qui ont pris la peine d’émettre des critiques constructives et ainsi de nous permettre de nous améliorer. Notez bien que vous
êtes une majorité à être en faveur de soirées déguisées... préparez vous d’ores et déjà pour le 2ème semestre, nous comptons bien faire passer nos soirées de «cool» à mega NIGHT! Pour le Bal, vous avez été très nombreux à partager ce que vous avez aimé les années précédentes et que vous voudriez retrouver cette année, mais également ce qui manquait pour faire du Bal HEC la soirée de l’année: la musique pour la plupart! Nous vous promettons de nous surpasser pour vous satisfaire au mieux. Nous faisons tout pour être les plus disponibles possibles, nous souhaitons avant tout améliorer la qualité de vie des étudiants et vous rappeler que nous sommes là pour vous! Comme disait Winston Churchill, «La critique peut être désagréable, mais elle est nécessaire. Elle est comme la douleur pour le corps humain : elle attire l’attention sur ce qui ne va pas.». Donc encore merci pour votre aide, et bonne chance pour les examens !
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HLST
« En route pour la 46ème Course Crosière de l’EDHEC » Auteurs : Valentin Bovey, responsable HLST
Voici un dossier pour apprende à connaître la Sailing Team de HEC, ses activités et son parlmarès.
L’hiver est déjà bien là, les examens approchent à grand pas... Mais ce n’est pas pour décourager les 7 étudiants qui composent le HEC Lausanne Sailing Team et qui s’entraînent d’arrache pied afin de représenter de la meilleure des manières la faculté lors de la 46ème Course Croisière de l’EDHEC.
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Contrairement à ce que son nom nous laisse penser, ce n’est pas une croisière mais le plus grand évènement sportif Estudiantin d’Europe qui regroupe des équipages venus du monde entier pour représenter leurs écoles. Les régates y sont donc très disputées, certaines écoles font appel à des professionnelles de la voile. L’équipage d’HEC ne fait pas que de la figuration. Depuis plusieurs années nous montons en puissance ce qui nous a permis de terminer premier équipage 100% étudiant et premier équipage international (non-français) en 2013, une première dans l’histoire du HEC Lausanne Sailing Team. L’objectif sera donc de faire encore mieux en Avril aux Sables d’Olonne ! En plus des entraînements, l’équipe se démène à terre afin de réunir les fonds nécessaires pour accomplir ce projet et surtout pour vous faire vivre nos aventures. Car cette année encore, grâce à nos partenaires principauxTeamWork Management SA, De Rham, HEC Lausanne et la ville de Lausanne- le HEC Lausanne Sailing Team, le Comité et plusieurs bénévoles de chocs vous préparent notre tradition-
nel stand « La Grand-Voile » du lundi 28 avril au jeudi 1er mai, avec comme l’an passé, le festival « Unilive » le jeudi. Pour ceux qui ne connaissent pas ce stand, le concept est simple. Il permet aux étudiants de suivre l’équipe qui
sera en train de régater à environ 1000 kilomètres d’ici. Mais le stand ne se limite pas aux passionnés de voile. C’est surtout l’occasion de passer un bon moment sur le campus et venir boire une bière ou un coca. Et pour les plus téméraires, deux soirées seront organisées le lundi et le mercredi. Le tout sera comme chaque année gratuit, avec plein de cadeaux à gagner tout au long de la semaine !
Alors toi qui est en train de lire ces lignes au lieu d’écouter ton cours, tu sais maintenant quoi faire ! Premièrement, tu peux aller liker la page du HEC Lausanne Sailing Team afin de te tenir informé de nos péripéties et de supporter ton équipe de voile préférée comme tu vas
supporter l’équipe de Suisse à la coupe du monde de foot ! Ensuite, n’oublie pas de réserver ta semaine du 28 avril pour venir à « La Grand-Voile » avec tous tes potes pour venir boire des bières à l’œil ! L’équipe du Sailing Team vous souhaite de joyeuses fêtes et bonne chance pour vos examens, et nous vous donnons d’ores et déjà rendez-vous en Avril prochain à « La Grand-Voile ».
La CCEDHEC en quelques chiffres: 3’000 étudiants 20 nationalités 200 bateaux 12’000 m2 de village 1.6 mio. d’euros de sponsoring 500 articles de presse 4
DOSSIER
HEC Lausanne Auteur : Alia Marrakchi, responsable communication
On entend vaguement dire que noutre faculté s’apprécie d’année en année dans divers classements internationaux. Concrètement, que vaut notre diplôme face aux autres universités européennes et internationales ?
Les Résultats Voici les positions de HEC dans trois classements internationalement reconnus. HEC apparaît dans 3 classements du Financial Times : - Elle se place à la 43è place du European Business School Rankings 2013, ce qui représente une amélioration sur les 3 dernières années mais une légère baisse comparé à 2012. Au 1er rang se trouve HEC Paris tandis que St Gall se place en 7ème. - Les résultats du classement des Masters en Management sont un peu décevants puisque HEC Lausanne, à la 27è place en 2013, perd 4 places sur les 3 denrières années. Le FT estime le salaire moyen 3 ans après l’obtention du Master à HEC à 54,159$... contre 80,081$ pour St Gall, leader européen en Management. 5
- Le Master en Finance, atout incontesté d’HEC Lausanne, obtient la 17è place européenne juste après City University, soit 3 places de moins qu’en 2012. Le salaire moyen après 3 ans est de 64,603$ tandis qu’il est de 93,316$ pour HEC Paris qui occupe la tête du classement. Ranking de Shanghaï : Certains d’entre vous ont peut être lu dans les actualités du site de la faculté qu’HEC figure dans les 1ères places du classement de Shanghaï. En effet, HEC Lausanne serait 4ème au niveau européen et 1ère au niveau Suisse pour un seul des nombreux critères, à savoir la qualité des publications liées à la recherche. Dans le cadre de l’Academic Ranking of World Universities 2013 section Economics/Business, HEC Lausanne se situe à la «101-150è» place -le classement ne se donnant plus la peine de numéroter
à partir d’un certain point- après l’Université de Zurich. Enfin, un autre classement d’envergure dans lequel HEC Lausanne apparaît est le QS World University Ranking. L’UNIL y est classée comme un tout à la 111è place, une amélioration par rapport à 2012 où elle se trouvait en 115è. Dans la section Social Sciences & Management, HEC y figure à la 196è place mondiale. A titre de comparaison, l’Université de Zurich et St Gall sont respectivement au 73è et 93è rang en Social Sciences & Management. Le QS Global 200 Business Schools Report paraît plus pertinent dans la mesure où il classe les MBA des Business schools par région du monde. Ainsi en Europe, on trouve l’IMD à la 5è place du classement 2013-2014, St Gall à la 11è et..HEC Lausanne nulle part. Pourtant le site de HEC fait part d’un très bon
résultat en 2009 puisque HEC Lausanne serait la 23è business school européenne la plus convoitée par les employeurs internationaux, juste devant St Gall... La disparition récente des classements s’expliquerait par la suppression du MBA à HEC Lausanne, remplacé par un eMBA.
Quelle est la valeur de ces classements ? Quel crédit faut-il accorder à ces classements ? Après analyse des critères utilisés et des méthodes employées, on s’apperçoit bien vite qu’ils n’ont pas tous la même valeur. Les limites du classement de Shanghai: Chaque université est évaluée sur 6 critères: - 10% pour le critère ALU, soit le nombre d’anciens élèves récompensés de prix Nobels (sauf Paix et Littérature) et de médailles Fields. - 20% pour Award, soit la proportion du corps enseignant ayant été récompensé par les institutions citées ci dessus. - 20% pour HiCi, soit le nombre de chercheurs les plus cités tels que calculé par Thomson Scientific. -20% pour N&S, soit le nombre d’articles publiés dans Nature&Sciences. - 20% pour PUB, soit le nombre d’articles indexés par Thomson Scientific. - 10% pour PCP, soit la taille de l’institution. Tout d’abord, on se rend vite compte que des critères tels que la renomée auprès des recruteurs ou encore les salaires
à la sortie sont complètement absents. Les critères utilisés ont eux même leurs limites: les revues comptabilisées sont exclusivement anglo-saxonnes, beaucoup de récompenses prestigieuses sont ignorées, le labs de temps écoulé entre découverte et récompense est souvent long, etc.. Ensuite, le classement ne fait pas de distinction entre les différentes institutions: université publique, grande école ou institution de recherche ? Le classement privilégie la recherche en sciences exactes au détriment de l’enseignement, beaucoup plus difficile à quantifier, et confirme ainsi la suprématie des universités américaines. Au final, la réponse du classement de Shanghaï aux questions fondamentales à son analyse, «A quoi ce classement doit-il et peut-il servir ?», «A qui ce classement s’adresse-t’il ?», n’est pas à l’étudiant lambda qui veut savoir où faire sont échange, ou au recruteur dans une multinationale. Le QS University ranking et ses défauts: Le classement met en avant 6 critères principaux qui sont censés définir la qualité de l’enseignement au sein d’un établissement. On retrouve donc avec les pondérations : - 40 % pour la réputation académique. Celle ci est mesurée en consultant un certain nombre d’experts et scientifiques internationaux, auxquels il est demandé de nommer les 30 universités qu’ils considèrent comme les meilleures de leur domaine, sans possibilité de désigner sa propre institution.
- 10 % pour la réputation auprès des employeurs suite à un sondage semblable. Une plus grande pondération est donnée aux universités étrangères pour différencier une réputation régionale d’une renomée dépassant les frontières. - 20 % pour le nombre de publications issues de la recherche. - 20 % pour le ratio nombre d’étudiants/nombre de de professeurs, substitut à un critère de qualité d’ensiegnement. - 5 % pour la proportion d’étudiants internationaux. - 5 % pour la proportion de chercheurs et d’enseignants internationaux. Encore une fois, le poids donné à la recherche favorise les universités américaines et ne reflète pas la réalité en Europe. Une université publiant ses travaux en anglais reçoit un clair avantage par exemple. Un autre défi est celui de rassembler des données qui assurent une vraie comparabilité. Les données sont souvent collectées directement dans les universités ellesmêmes, laissant aux meilleures universités la possibilité de fournir des données exhaustives et en leur faveur. Le QS Global 200 Business Schools Report est censé répondre à ces fragilités. Le classement s’adresse aux employeurs à la recherche de diplômés MBA au niveau régional. Des points sont attribués par une combinaison des écoles dans lesquelles les employeurs ont tenté de recruter, et les écoles choisies par ces recruteurs parmi une liste de 400 institutions. Les recruteurs sont aussi fortement encouragés à proposer l’apparition de nouvelles universités dans le classement. 6
Le classement du Financial Times a pour but de présenter la liste des écoles de gestion dont sortiront les dirigeants d’entreprise de classe mondiale. Les classements concernant le Master en Management et le Master en Finance sont les seuls à évaluer des programmes de formation initiale. Tous les autres classements du FT évaluent des programmes de formation continue pour cadres. Les différents classements reposent sur une vingtaine de critères qui se rapportent principalement à l’objectif de la satisfaction des clients. Même s’ils varient d’un classement à l’autre, les critères se rapportent généralement à quatre aspects fondamentaux: la progression de la carrière des alumnis- notamment via des critères relatifs au salaire (40 % de l’appréciation) qui jouent un rôle dominant dans le classement-, l’orientation internationale des programmes, la performance de recherche du corps enseignant et la répartition équilibrée des sexes et des nationalités parmi les participants, dans le corps enseignant et dans la direction du programme. Au final, les classements publiés sont également dominés par les écoles de gestion anglosaxonnes, ce qui s’explique en partie comme pour QS ou Shanghaï par des préférences culturelles transparaissant dans la méthodologie. Celle-ci reste toutefois plus équilibrée et a pour résultat des classements plus cohérents, plus à même de satisfaire un employeur ou un étudiant désireux de savoir où faire son Master, de part la pondération des critères ainsi que de la division des clas7
sements en catégories. Ainsi, contrairement à Shanghaï ou QS, un Master ne sera pas confondu avec un MBA, le tout mélangeant business school et engineering.
Quelques Alumnis notables...
Pour finir, comment parler de HEC Lausanne dans le monde sans mentionner quelques noms célèbres et belles réussite made in HEC ? Sepp Blatter Qui ? président de la FIFA Quand ? 1959 Quoi ? Bachelor Jean Claude Biver Qui ? CEO de Hublot Quand ? 1975 Quoi ? Bachelor Gaspard Proust Qui ? Humoriste Quand ? 1998 Quoi ? Bachelor NB: Il a fait parti du Comité HEC en tant qu’organisateur du bal ! A noter également que Gaspard Proust est listé ‘Sans Nouvelles’ dans l’annuaire des
Alumnis... Louis C. Camilleri Qui ? CEO de Philip Morris International. Quand ? 1976 Quoi ? Bachelor Thierry Kenel Qui ? CFO de Swatch Group Quand ? 2003 Quoi ? PhD Roland Decorvet Qui ? CEO de Nestlé Chine, ancien CEO de Nestlé Suisse Quand ? 1989 Quoi ? Bachelor Yves Manghardt Qui ? CEO de Nestlé Afrique du Sud Quand ? 1982 Quoi ? Bachelor Hélène Béguin Qui ? Associée (Audit) chez KPMG Quoi ? Bachelor Marie Rumignani Qui ? Product Manager à La Roche-Posay pour L’Oréal Suisse Quand ? 2010 Quoi ? Master en management
DOSSIER
Are you smart enough to work at Google ? Auteur : Alia Marrakchi, responsable communication
D’après William Poundstone probablement pas.
Le nom de l’article est en réalité le titre d’un célèbre livre du journaliste pour le New York Times, William Poundstone. Google figure régulièrement parmi les 1ères places des 100 entreprises 8
les plus désirables selon Forbes. Travailler chez Apple, Microsoft ou Facebook est un rêve pour beaucoup d’entre nous, certes, mais est-il réalisable ? Le livre tente de répondre sur un ton lé-
ger aux questions essentielles, comment se faire remarquer et passer les multiples lignes de défenses pour atteindre l’objectif: un entretien avec un emploi au bout du chemin.
Pundstone analyse plusieurs questions posées en entretien, leur conception et la meilleure manière d’y répondre. Des questions étranges, complexes, tordues, qui font désormais partie de la norme. Voici quelques exemples de questions posées aux Etats Unis qui sauront largement vous occuper pendant un cours de compta ou de stat particulièrement ennuyeux... Google, pour un poste de responsable relation clients : Combien de personnes sont sur Facebook à San Francisco à 14h30 un vendredi? Hewlett-Packard, pour un poste de directeur marketing: Si les Allemands étaient les plus grands du monde, comment le prouveriez-vous? Google: Combien de vaches y a-t-il au Canada ? Amazon.com, pour un poste de développeur: Comment feriez-vous cesser la faim dans le monde ? Goldman Sachs: Si vous faisiez la taille d’un crayon et qu’on vous introduisait dans un mixer, comment feriez-vous pour vous en sortir? Google: Combien de ballons de basket pouvez-vous mettre dans cette pièce? Epic System: Une pomme coûte 20 centimes, une orange coûte 40 centimes, une grappe de raisin coûte 60 centimes. Combien coûte une poire? Facebook: Combien de questions devez-vous poser pour découvrir un nombre entre 1 et 1000, sachant qu’on ne peut vous répondre que par ‘plus haut’ ou ‘plus bas’? IBM: Comment pèseriez-vous un éléphant sans utiliser de balance? Bank of America: Comment sont fait les M&Ms?
Google: Trouvez le nombre minimal de pièces qu’il faut pour rendre une quantité quelconque de monnaie. JetBlue: Combien de pièces de 25 cents sont nécessaires pour atteindre la hauteur de l’Empire State Building Bank of America: Calculez l’angle formé par les deux aiguilles d’une montre lorsqu’il est midi moins le quart. Google: En utilisant exclusivement un sablier de 4 minutes et un sablier de 7 minutes, mesurez exactement 9 minutes. Jiffy Software: Avez vous déjà volé un stylo sur votre lieu de travail ? Rassurez-vous, il est peu probable que vous ayez à faire face à ce genre de question: Google reçoit un million de candidatures par an. Le processus d’entrevue est en effet assez épuisant, comme le souligne une nouvelle étude en provenance de Glassdoor. Google termine à la 8ème place sur la liste des 25 entretiens les plus difficiles avec une note de difficulté de 3,6 sur 5. Arrivant en 22ème position, le processus d’entrevue de Facebook dure 30 jours en moyenne et a reçu une moyenne de difficulté de 3,3. C’est le cabinet de conseil McKinsey & Company qui obtient la première place du classement.
Mais si vous souhaitez tout de même postuler en tant que CFO chez Facebook, n’essayez pas de donner une réponse sortie d’internet ou pré-conçue; les recruteurs préfèrent les questions ouvertes qui n’ont pas de réponses figées. La clé est de formuler une réponse que le recruteur n’a pas encore entendue. Une employée chez Google explique: «Le but, c’est d’évaluer les capacités de raisonnement de la personne. A moi, on m’avait demandé combien de poils possède un teckel ! J’avais estimé que le teckel était un cylindre d’une surface de 50 cm2, qu’il avait 400 poils par centimètre carré de peau, et puis j’avais rajouté 30 % pour la tête, les pattes, la queue...». L’auteur passe également en revue le cas où l’entretien tourne mal. L’objectif est d’éviter les blancs et de renoncer: « Reformulez la question à voix haute, réduisez les ambiguïtés ou expliquez pourquoi la réponse évidente est fausse.». Pour les plus curieux ou ambitieux d’entre vous, un dernier chapitre vous donne la solution la plus « souhaitée » aux questions posées dans l’ouvrage !
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Joyeux Noël et bonne chance pour les examens !
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