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Journal des Etudiants en Science Politique et Sociale
CHRONOCOPY N°8 av. des saisons 1050 Ixelles Toutes vos copies et impressions à 0,02€ Via votre cercle ! www.2plicata.com
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~ SOMMAIRE ~ EDITO
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MOT DU PRESIDENT DE CERCLE
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MOT DU PRESIDENT DE BAPTEME
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INTERVIEW DU MOIS
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FORMULAIRE DE CANDIDATURE A L’INTERVIEW
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LA SAINT-V, C’EST QUOI, AU FAIT ?
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PERLES DE JUGEMENT
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JE L’AIME A L’IRANIENNE
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L’AGENDA DES TD’S (CEUX QUI RESTENT)
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WAI, DES JEUX !
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BRIBES DE CERCLE
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QUELQUES PHOTOS
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EDITO► SPECIAL ST-V ? CLASSIC. 22 novembre 09 : Enfin un réveil qui fait du bien. On va tout de suite éviter les commentaires trop citron vert du type : « Waaai, ca fait deux mois que j’ai la gueule de bois », « Vivement le prochain TD que je puisse me remettre une grosse misère » et autres topics « Penne perdue/trouvée » sur le forum ! Un Laurier spécial folklore se doit d’exister. C’est le temps du bilan, de regarder ce qu’on vient de vivre pendant ces deux mois d’ode à l’excès. Depuis le du retour du TD-Erasme trois heures avant le début de la JANE et le somnolant trajet en camion après cette glorieuse SaintVerhaegen, de l’eau a coulé sous les ponts (et pas que de l’eau, si vous me permettez cette vanne relou). Ce Laurier Post-ST-V, c’est l’occasion de parler du folklore cher à notre Alma Mater. Entre l’interview de notre G.C. Malheureux Folkloriste et un point sur la ST-V, vous trouverez toujours les classic articles du Laurier, telles la phrase/photo/critique du mois. On ne change pas une équipe qui gagne. Sans oublier quelques photos, histoire de vous remémorer votre vendredi. Faites-vous plaisir ! BLTT./JDS.
SPECIAL THKS TO : KR. ! Urkel, Tombeur & Kasia (pour les photos)
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Mot du Prez de Cerk A nous, à vous et au futur ! Et voilà, encore une génération baptisée, quelques jours après une Saint-V… bien plus mémorable pour certains que pour d’autres qu’y a-t-il à retenir de ces deux derniers mois? D’abord ils sont passés bien trop vite… Certain que l’alcool doit jouer un grand rôle dans la notion du temps qui passe ! La bleusaille finie cela signifie aussi ne plus devoir supporter vos retards aux activités, vos blagues de mauvais goût que tout le monde connaît, les Semeurs massacrés, une désynchronisation constante dans les cris… Bref, tout ce qui fait qu’une bleusaille cartonne et est drôle, tout ce qui fait que vous êtes des dignes représentants du CPS… Car ce cerk n’appartient pas à un comité, ni même à deux, c’est notre (et votre) cerk : faites le vivre, revenez y… Revenez aux TD’s de vos cerk (le 3 en passant), aux aprems (allez un peu au cours quand même…)…
Bref, avant de plonger dans une partie beaucoup plus sérieuse qui ne sera lue que par les personnes étant constipé, quelques petits remerciements : Au comité de cerk, ou en tout cas à ceux qui n’ont pas de mauvaises consciences, qui étaient là tout le temps, qui ont bossé pour faire vivre ce cercle, leur cerk. Merci à Maël et à son comité de baptême pour avoir intégré le comité de cerk à toutes les activités, d’avoir organisé une bleusaille aussi peu chère, d’avoir une année de plus montré que le CPS tournait et que le CPS savait (un peu) chanter et d’avoir permis d’avoir une ambiance sympa, Merci au folklore d’avoir été égal à lui-même, Merci aux délégués Balef d’avoir trouvé une salle aussi rapidement, Merci aux vieux qui ne sont pas chiants et qui n’abusent pas en TD, au baptême en tournée à la Saint-V, bref merci aux vieux moins cons… Merci aux gens qui avaient la double casquette et qui ont toujours été là pour les deux comités, merci aux durumiers du cimetière qui m’ont tous vu passer au moins dix fois avec de la petite monnaie 5
Merci aux barmen d’avoir coulé si peu, Merci aux poils et plumes qui de par leur présence à permis à cette bleusaille d’avoir eu lieu… Et surtout merci à vous les bleus de nous avoir fait vivre une bleusaille, de m’avoir fait rire avec vos conneries dans le kot à bleu, d’avoir été présent pour faire cette bleusaille et pour assurer l’avenir du cerk…
Mais l’avenir justement en a-t-on un ? Le folklore a-t-il une place dans notre alma mater ? Force est de constater que nos sacro-saintes autorités ne nous veulent que très loin d’elles et dans une forme différente (moins sales, moins bruyants…) qu’actuellement. La relégation de Solvay et du droit « pour raison de sécurité » dans des « cages à poules » (ce sont les mots du vice-recteur), le déplacement du CP et du CDS pour leurs activités folkloriques (bref les tournées principalement) au niveau du parking est symptomatique d’une sorte de ghettoïsation du folklore. Mais que faire ? J’ai testé pour vous la réunion avec les autorités : si on doit en ressortir une chose ce serait la suivante : « mouais », beaucoup de promesses, énormément de critiques non fondées mais rien de concret… Sur mes trois années dans le folklore ulbiste (ce n’est pas ce qu’il y a de plus énorme mais bon) trop de restrictions se sont imposées sans qu’aucun avantage ne soit véritablement ressorti… Qu’avons nous perdu ? et vrac et dans le désordre : perte d’une salle de cantus (rabelais 2), interdiction d’ouvrir les cerks le jour des Janes, des portes ouvertes, lors de la journée de l’Europe, lors de la journée des masters… interdiction de porter sa penne le jour des jane (sisi, un joli mail de brodsky, la penne, c’est le maaaaaaaaaal), annulation de Td par les autorités la veille, prix des fûts à la jefke qui a explosé (136 euros le fût…) ; quasi-impossibilité d’avoir de l’argent de la cocu, infrastructure insuffisante dans les cerks, interdiction de vendre de la bouffe dans les cerk, interdiction de servir des gens saoul , interdiction de fumer dans les cerks (ouais, bon, ça disons que c’est peut-être pas plus mal), impossibilité de faire réparer les chauffages (c’est con mais en plein hiver on le ressent), impossibilité de nous assurer une sécurité sur le campus(et rejet d’une partie des problèmes sur nous étudiant puisque nous sommes saoul, nous attirons (apparemment) la violence)… J’en oublie sûrement (à force d’écrire ses articles la veille…) mais le problème n’est pas là… Le folklore et les cerk folklorique font sans doute partie des cercles les plus actifs de l’ULB : bleusaille, TD’s, sortie théâtre, conférence, sortie musée, bals, infrastructure ouvertes tous les jours… Et dès qu’il s’agit de se bouger, 6
de se présenter au CA ou aux élections facultaires… de manifester notre mécontentement, de montrer qu’on existe… Le folklore se tait !
Ce folklore est le votre, c’est à vous de le faire vivre, à vous de vous bouger pour que dans dix ans l’on puisse toujours crier nos cris, chanter nos chants, être ouvert toute l’année… Bref, faisons vivre ce folklore qui fait partie intégrante de l’histoire de notre alma mater, ne soyons jamais trop peu téméraire et osons… Osons défendre ce folklore, parce que c’est le notre, et parce que… On l’aime bien !
Sur ce, sinon me dira que j’écris un peu trop…
Que vive le CPS, des bittes des couilles des fesses, le folklore n’est pas mort, CPS encore…
Urk
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LE MOT DU PRESIDENT DE BAPTEME. J’ai déjà pas pris le temps d’en écrire pour le site… Alors pour le Laurier…
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UN CLASSIC DU LAURIER : L’INTERVIEW DU MOIS Chaque mois, la rédaction du Laurier vous offre l’interview d’une personnalité du cercle. Ca y est, la Saint-V est passée, tout le monde a bien picolé, rigolé, ou est bien tombé du char, bref on s’est bien gâté. Mais ne croyez pas que tout cela soit terminé pour autant. Les examens ne sont qu’une courte pause dans cet océan de folklore qu’est notre Alma Mater. Et pour que vous n’ayez pas le temps de l’oublier le Laurier vous offre ce mois-ci l’interview du plus éminent folkloriste que compte notre cercle : Biff Tannen.
- Donc Biff, ce que l’on voudrait te demander pour commencer, c’est que tu nous décrives ton parcours folklorique, depuis ton année de bleusaille jusqu’à ton accession au poste de délégué folklore cette année en passant par Vinciane. Krakra, tu n’as pas connu ça toi, je suis baptisé 2006 : Biff Tannen l’alcoolique, l’appellation alcoolique est tombée entre temps, forcément, alcoolique on est un peu dans la masse. Donc Biff Tannen, mais pourquoi ? Ca de l’humour d’anciens hein, Pom Pom, Scar, des gens que vous ne connaissez pas évidemment c’est bien trop loin. Toujours est-il qu’un soir (à quatre heures du matin) au Zap, Scar qui tombe de la table et là il me dit Toi, tu ressembles à Biff Tannen. Qué nouvelles ? C’est qui Ce Biff Tannen ? (Je ne lui ai pas répondu comme ça hein ! À l’époque je n’étais pas encore en confiance à ce point là. Mais depuis que je suis Grand Chiffon c’est autre chose). Toujours est-il que je lui ai dit Monsieur le comitard, Biff Tannen ? Et là, dixit Tocard, Biff Tannen c’est le méchant dans Retour Vers Le Futur. C’est vrai que j’avais un scar qui correspondait à la coiffure de ce grand héros du septième art. Voilà pour la première anecdote. Seconde anecdote : l’alcoolique. Les vingt-quatre heures bleus, j’en ai fait plus de quarante-huit hein moi ! J’arrive ici devant le cercle, assoiffé que j’étais. On me donne une bonne bière coupée à l’eau (comme j’aime 9
les faire aussi aujourd’hui). On me la donne, moi je la bois hein ! Soif à crever, en arrivant à midi au cercle. Le comitard me voit T’as déjà bu ton verre ? Alcoolique était né. Ca c’était pour la bleusaille. Ensuite je fus élu au la main au poste de délégué bar, bar 1 qui plus est. Presque à l’unanimité. L’année suivante, élu Laurier. Malheureusement je n’ai pu effectuer mon travail car pris à la toge, je dus me sacrifier. Comme je le fais si souvent pour le cercle, simple exemple, il y a vingt cartes sport et nous sommes vingt-deux. Je me sacrifie tiens ! Je fais déjà assez de sport ainsi en dehors de la guindaille. Donc après cette expérience mon ami Félix et moi avons démissionné pour passer à autre chose : la toge. Comitard, un honneur et un travail à plein temps. Je fus élu dès le bal. Et là quand on te dit Biff, qu’est-ce que tu fais de septembre à novembre ? Là je peux vous dire que ça toque hein ! Hahaha ! Evidemment je ne faisais rien, je devenais donc comitard. Et je peux vous dire que là, les bleus… Ca y va hein ! Les y a rien à ça p’tit poreau et ci et là ça y va hein. Ensuite inévitablement on a découvert mon potentiel, ma deuxième année dans le comité de baptême ouvrait l’ère du Malheureux Folkloriste. - Parlons-en de ton poste de délégué folklore, en accédant à cette fonction tu t’inscris dans une longue tradition de figures de proues du CPS chacune garante du folklore à sa manière. Tu succèdes toimême au Maitre Folklore, selon toi quels ont été tes apports au statut de responsable folklore ? Disons Blatte que là, je m’insurge un peu. Dans la continuité du Maitre Folklore ? Connais pas cet homme là. Un blond Chauve avec une grosse barbe ? Il est trop minable ! Il sera jamais président ! il me parait évident que je ne m’inscris pas dans la continuité de cet homme. D’un coté Maitre Folklore, de l’autre Malheureux Folkloriste, ça ne va pas ça. Mais pourquoi Malheureux Folkloriste ? Folkloriste d’abord, parce que définir des termes, c’est ça la science politique. Folkloriste : intégriste du folklore. Parce que les tournées, les montées bar, ça y va hein. Bosseur, fêtard, je ne vais pas revenir là-dessus. Et malheureux pourquoi ? Quand je vois tous ces bleus qui ne comprennent rien au folklore, voilà pourquoi je suis 10
malheureux. C’est un engagement, être là au TDs, travailler derrière le bar, je suis un peu le trait d’union entre le cercle et le baptême. - Le trait d’union entre le cercle et le baptême, ce n’est pas là le rôle du VPI ? Ecoutez, je ne lui en veux pas dans la mesure où cet homme n’a rien dans le sac. C’est un tocard. Evidemment ce n’est pas vraiment sa faute. Je lui ai toujours dit que c’était la pomme pourrie du cercle, et quand le vers est dans la pomme, que voulez vous faire ? Alors cet homme n’est pas le trait d’union entre le cercle et le baptême, non. Il a une double casquette c’est vrai, mais l’homme qui gère tout ça : c’est bibi. - Penses-tu que tes origines sociales ont influencés ton intégration au sein du cercle et ce que l’on pourrait appeler (n’ayons pas peur des mots) ta conquête du monde folklorique ? Cette question m’embête un peu, je suis né à Charleroi. Mon histoire est peu commune, c’est un peu embarrassant. C’est mon père Marc Bourlon qui a fait de moi l’homme que je suis aujourd’hui. Maintenant je ne sais pas bien ce qui s’est passé, est-ce le Hainaut, est-ce la guindaille qui m’a transformé, je ne sais pas. En tout cas, toujours est-il que l’artiste, c’est moi. Le Malheureux Folkloriste c’est moi. Un personnage ? Peutêtre… Cette question m’embête vraiment, ca me gêne, je ne suis pas bien. Mais c’est vrai que mes aptitudes pour la guindaille viennent peut-être de ça, vous savez ce n’est pas facile tous les jours. Que dire de plus làdessus, je ne sais pas, je ne pourrais pas. C’est la vie qui en veut ainsi je... (il fond en larmes). - Passons à autre chose (voilà ce n’est rien on est là Biff, ressaisis-toi). Question suivante, donc. Tu vis une magnifique et touchante histoire d’amour avec la Comimonstre, penses-tu que vivre en couple au sein du comité de baptême est viable ? Il paraitrait que non. (Il se décapsule une bière). Ecoutez, ces histoires de couples dans le comité de baptême c’est un grand débat. Cela a fait l’objet de pas mal de discussions quant à Vinciane et moi, le premier couple du baptême, le vrai couple si j’ose dire. Cela a porté à polémiques c’est inévitable, mais toujours est-il qu’être un couple au sein d’un même comité ce n’est pas toujours facile. Les railleries des gens, où c’que t’étais Biff, où c’que t’étais Vinciane et ci et là. On a essayé de faire ce qu’on pouvait. Et tout d’un coup cette année hop hop hop on apprend qu’il y a tout plein de couples. Plus un couple, trois couples ! Et la femme du président, ah la 11
femme du président, celle-là je peux vous dire que, hop là, elle tire les rideaux hein. Elle s’accroche aux rideaux, elle tire sur les ficelles, elle fait tout ce qu’il faut. Non le problème ce n’est pas un couple, c’est quand il y a un couple en hauteur, du coté du président, ainsi. Problème d’équilibre hein, ça, tu regardes un peu le cul de sa femme, le président il te regarde plus ainsi hein. - On te connait surtout en tant que Bill, voire Biff, voire l’alcoolique, ou encore – mais c’est plus rare – comme le Porc Suintant. Mais derrière tous ces personnages il y a surtout Christopher Bourlon, le fils de Marc Bourlon. Dis-nous Christopher, qui es-tu ? Je vois où vous voulez en venir, vous êtes en train de me demander pourquoi je suis Bill Bourlu au quotidien et pas Christopher Bourlon. Et là je vous répondrai simplement, tout d’abord Christopher Bourlon c’était quoi ? C’était le petit homme de village, le petit gars de sa campagne, on le connaissait surtout pour avoir été président des rhétos. Vous connaissez DJ Pierre ? Je l’ai fait venir à Dinant moi. Exactement les amis, ça je peux vous dire que président des rhétos, ce n’est pas rien. C’est un peu le folklore de l’Athénée Royale de Martouzin ainsi. Parce que président des rhétos, c’est un comité, c’est des soirées mais c’est surtout un voyage. Un voyage les amis, all in hein. ‘Peux vous dire que la ça buvait hein, et les petites pizzas à quatre heures ainsi, ce n’étaient pas les dernières. Et ça y allait, ça y allait à crever même, avec toutes les soirées qu’on a faites qu’on à fait du bénéfice à stock, je vous le dis on n’a pas payé cher le voyage. Et dans un palace encore bien, un hôtel trois étoiles en Turquie. Croyez-moi, la piscine était remplie hein, et pas que de l’eau si vous voyez ce que je veux dire (rires). Depuis Christopher est une période révolue, depuis que je suis arrivé dans le folklore, que je me suis un peu montré, Bill Bourlu a repris le dessus. Bill Chuterman qu’on m’appelle, maintenant je suis tellement connu que comment revenir à Christopher ? Impossible hein ça, même en cours, c’est pas les derniers à m’appeler Biff. Mais j’imagine qu’en mentionnant Christopher Bourlon, j’imagine que vous vouliez qu’on parle de Marc hein, c’est ça ? Une fois de plus il va me voler la vedette. Oui, Marc Bourlon, l’homme du CPS, il fait tout ici, le barbecue c’était lui, les petites galettes, c’était lui, les bières c’était lui 12
aussi. Une fois de plus je serai dans l’ombre. Très bien, alors Marc Bourlon, vétérinaire de son état comme on dit (rires) baptisé en son temps - enfin c’était ‘core aut’chose à ce moment là - chez les Vétés comme on dit à Curreghem. Ha ça, des culs de poules et des seins de vessies (sic), il en a bouffé je peux vous le dire. Mais bon, boire de la bière dans un pis de vache, ça n’a jamais fait un homme. On peut parler de Marc Bourlon si vous voulez, le mec qui apporte des bières et du coca mais c’est plus de la logistique qu’autre chose, moi j’apporte du concret. J’apporte le folklore, j’apporte des gens qui boivent, parce que pour être un bon Malheureux Folkloriste il faut savoir trois choses : tchatcher, boire et boire. Marc Bourlon c’est uniquement de la logistique, rien de plus. - A présent nous voudrions te poser une question qui nous travaille tous ici au CPS, c’est la question de la symbolique de l’huile, d’où vient-elle ? Ah mais les gars, cette question n’était pas prévue. Ben l’huile heu, l’huile oui. Ben c’est un secret pour personne j’aime bien la fricandelle, je ne sais pas qui a inventé ça, sans doute les Martin Vachiéry et autres gens bizarres ainsi. Je ne saurais que dire sur la symbolique de l’huile, à part que chez nous on dit Faut que ça glisse. Mais je ne sais pas d’où est venue cette légende. Il est vrai que pendant un temps j’ai peut-être été un peu adepte de la friterie, la friture comme on dit chez nous. Les fricandelles, les viandelles, les boulettes chaudes, les mexicanos, les ragouzis, les pommes duchesses, et peut-être que ça y allait un peu, oui. Mais après je me suis arrêté, je suis passé aux croquettes de fromages, croquettes de crevettes, les brochettes, les nuggets, le cervelas. Mais je vais m’arrêter ici, vous avez tous compris que c’était une réputation montée de toutes pièces. Merci Biff.
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Retrouvez les folles aventures de Bill Bourlu très prochainement sur « Laurier TV » (check on Youtube !). Les grands moments vidéo de l’interview du mois, c’est là que ça se passe. T’as envie d’être la prochaine star du Laurier ? La prochaine vedette de l’interview ? Remplis le formulaire de candidature que tu trouveras à la page suivante !
KR. !/BLTT./JUDOS
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FORMULAIRE DE CANDIDATURE A L’INTERVIEW DU MOIS A renvoyer pour le 30 novembre 2009 sur redaction.laurier@gmail.com1
NOM :…………………………………………………………………………… PRENOM :………………………………………………………………………. NOM DE BAPTEME : …………………………………………………………. POSTE AU CERCLE (PARCOURS FOLKLORIQUE JUSQU'A PRESENT) : …………………………………………………………………………………… ANNEE DE BAPTEME :……………………………………………………….. MANGE SES CROUTES AU PIZZA BUFFET : OUI
NON
(Biffer la mention inutile) MOTIVATION, INTERET POUR L’INTERVIEW DU MOIS : …………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………..... …………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………… SI TU ES UNE FILLE, PROUVE LE : ……………………………………………………………………………………. SI TU ES UN MEC, DEGAGE-TOI ! ALLEZ ! ON VEUT UNE GONZE : ……………………………………………………………………………………. SIGNATURE & DATE :
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Ou dans une enveloppe déposée au bar du cercle à l’attention de Mr. L. Aurier.
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LA ST-V, C’EST COOL ON BOIT DES BIERES ! WHY ? Qu’est ce que c’est un bateau (cacedédi aux barmen), me direz vous, un article sur la ST-V…. Déjà lu, et puis, nous qui sommes omniscients, on sait déjà tout ! Néanmoins, vous y aurez droit ! P-T Verhaegen ? On ne va pas vous faire l’affront de vous expliquer qui est le bonhomme. Avocat, libéral, « Amis Philanthropes », Université libre, tout ca tout ca… è 20 nov. 1834, fondation de l’ULB. Comme ca, c’est resitué ! Mais la Saint-Verhaegen dans tout ca ? Rien de plus simple. 21 novembre 1834, au lendemain de la fondation de notre Alma Mater, Grégoire XVI – pape de son état – voulant faire un coup d’éclat sur son court règne (16 ans, pour ceux qui l’ignoreraient), empoignait son téléphone et appelait illico presto notre cher Théodore. Voilà à quoi ressemblait cet anodin coup de fil2 d’un mardi matin : - Allo, P-T ? C’est Greg ! Ké diss boyard ? - A la bien cousin, et toi ? Ca fait un bail, dit donc. - Les choses se passent. Va bene ! Dis, j’ai appris pour ton école là, à BX. C’est du lourd. Franchement, par rapport à ces tocards de Malines, c’est vraiment quelque chose de sympa. Un bon point pour la libre pensée. - Arrête, big G., tu me gâtes ! Mais tu sais, ça nous tenait à cœur cette unif. Fallait lancer le buzz. - Allez, fais pas ton modeste, gros ! D’ailleurs, pour te féliciter, est-ce que t’es libre la semaine prochaine pour venir à Rome, histoire que je te canonise ? J’ai un trou dans l’agenda des saints, et je me disais que ce serait une bonne occaz’ de remplir le 20 novembre. T’en dis quoi ? - Ben, écoute, si t’insistes, pourquoi pas… Ya moyen que je dégote un Ryanair pas cher. Mais, on la fait vite fait, sans la presse. Tu me connais… Et c’est ainsi que naquit la Saint-Verhaegen, avec la bénédiction de l’Eglise. 2
EN LATIN DANS LE TEXTE
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Bien évidemment que non, vil chut’. L’Eglise est bien loin d’avoir canonisé notre Verhaegen. L’expression de « Saint » est apparue en 1888, en une réaction plutôt ironique à l’éloignement de l’Université par rapport au principe de LibreExamen. Comme tu le remarques, le terme ST-V ne datant pas de l’ANNO 1834, les commémorations non plus (même si le 20 novembre est décrété jour de congé depuis la fondation). Il faut attendre 1843, pour que les première manifestations – sous l’impulsion de la récemment créée UAE (Union des Anciens Etudiants) – pointent le bout de leur nez. En ces temps reculés, ce n’était que retrouvailles entre anciens étudiants dans les troquets bruxellois, le tout couronné d’un banquet. Ce n’est qu’en 1888, que les étudiants commencèrent à se réunir devant la statue de Verhaegen, ainsi que sur la tombe de ce dernier, au cimetière d’Evere. A l’époque, on pouvait encore voir les frères de la Loge des Amis Philanthropes marcher aux côtés des students. Les hommages prenaient la majeure partie de la journée, la guindaille ne commençant qu’en fin d’après midi… Quand les locaux de l’ULB quittèrent la Rue des Sols pour s’implanter sur le campus du Solbosch (dans les 20’s), le côté festif commença à prendre un peu plus d’importance… La partie « hommage » se limitant désormais à la seule matinée du 20 novembre. Depuis lors, chaque année, la Saint-Verhaegen suit le même rituel. Démarrant dans la matinée par les cérémonies officielles avec les différents discours des hautes instances de l’université/personnalités importantes au sein de cette dernière (recteurs ULB/VUB, président de l’UAE, bourgmestre de Bruxelles, grand maître du Grand Orient de Belgique ainsi que les présidents ACE/BSG/Librex) et le dépôt de germes aux pieds des statues de Verhaegen et Ferrer, le cortège estudiantin se met alors en branle du Sablon pour se diriger vers la Bourse. Laissant derrière lui les douces traces du passage de notre Alma Mater… En espérant avoir (ré) éclairé ta lanterne… 3
BLTT.3
Merci au Laurier ST-V 06, et indirectement au Laurier ST-V 05 pour ces diverses informations.
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ST- V: CPS OLD SCHOOL PICTURES…
N’hésitez pas à trouver de vieux bazars ou d’anciennes médailles de ST-V sur http://www.quevivelaguindaille.be (no pub) 18
LES PERLES DU WEEK-END JUGEMENT… Entassés dans une cave, des bleus (dans le sens général du terme, ne vous froissez guère mesdemoiselles), c’est d’abord fort taiseux… Le temps passe, la notion du temps se perd, des gens font des apparitions (souvent éméchés par un baptême quelconque), Urkel dort peu/pas du tout… Alors on se lâche, on vote, on balance… Histoire de faire autre chose que d’essayer de retenir le rythme de la Marche des Etudiants… Afin de flatter (ou pas) l’égo des heureux élus, la rédaction du Laurier (en collaboration avec le reste du comité de cercle pour recueillir ces votes) vous offre les traditionnels sondages du kot à bleus a.k.a le garage du Relais. 4,3, je me lance : « Dans la catégorie « Comité de Baptême4 », place aux votes ! » % Le comitard le plus sexy : Fritz partage la palme avec Balèze Soulignons tout de même que notre Jean-Denis national a reçu le spontané suffrage d’un bleu dont nous garderons l’anonymat. % La comitarde la plus sexy : Inès occupe seule la première marche du podium. % Dans la catégorie « Ca va trasher » : La coupe revient à Christopher Bourlon, fils de Marc Bourlon. Certes talonné par le Morse. % Pour le comitard le plus en confiance, l’égalité est parfaite entre Biff et Fritz. % Et enfin, pour le comitard le plus bidon… La victoire est à … Gogo, suivi de très près par son ghostbuster de collègue : Baba. Les bleus ont voté !
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BaPtême : Bivers’ Style.
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Place au comité de cercle/poils/plumes, à présent : % Le titre de délégué(e) le/la plus sexy revient (tout sexe confondu) à notre Vice Présidente Externe, j’ai nommé Maude/2bières. % Dans la catégorie « délégué(e) pénible », the winner is : Chloé. Mais vu le poste qu’elle occupait, ce vote non objectif n’est que l’avis des bleus ! C’est loin d’être une vérité. (oui, je sais, j’ai reçu des voix, c’est bien !) % Le/la délégué(e) le/la plus sympa est remporté par le belgopolonais Doubi ! (Farfa et Zoé écopant des médailles d’argent et de bronze). % Le poil/plume le/la plus sympa est : étant donné que je n’arrive pas à relire le nom de la personne recueillant le plus de suffrages, le trophée revient au poil/plume arrivant en seconde position, j’ai nommé : JULIEN KREMER ! Faites du bruit ! Malgré le fait qu’il n’avait pas de penne. % Le/la délégué(e) le/la plus en confiance est ….. Mais en fait, qu’est ce que cette catégorie fout là, ça n’a pas de sens… % Et la dernière, qui me fait particulièrement poiler, est une catégorie originale nommée « Le vieux le plus bidon », gribouillée sur le coin d’une feuille. And the winner is : Booba. Trop citron vert. Au-delà des votes sans réel intérêt, quelques phrases issues de la bouche de certains bleus valaient le détour : - « Je suis pas qu’un trou, bordel, j’ai des sentiments » Frotman - Charrette à Teknopouf : « C’est qu’elle est bien ta petite culotte, on a envie de l’arracher ! » - « A l’ULB, on ne nous incite pas à la pédophilie. » Amandaimelear - « L’ULB a été formée en réaction à l’ULB catholique de Malines » Amandaimelear Le reste ne ressemblant qu’à un ramassis de gribouillis… BRAVO LES RIGOLOS. BLTT. 20
JE L’AIME A L’IRANIENNE. Afin d’éviter d’heurter les âmes sensibles, la rédaction se réserve le droit de retirer les illustrations de cet article. Merci de votre compréhension. Salut à tous, ce mois-ci le Laurier part à la découverte du folklore d’un pays lointain, mais pas pour autant oublié de l’actualité : L’Iran. En Iran, les gens (spécialement les autorités) savent s’amuser, le problème c’est qu’une grande partie du reste du monde n’a toujours pas évolué et trouve que regarder un match de base-ball ou passer une soirée devant un film est bien plus distrayant qu’une décapitation sur la place publique (certains trouvent même que couper des membres, ça fait un peu mauvais genre à l’heure actuelle, les rabat-joie). Une autre manière de s’amuser là-bas est de persécuter les dissidents, qu’ils soient opposants politiques où simplement étudiants engagés. Un petit jeu assez amusant consiste à attacher une personne sur un banc et à la fouetter jusqu’à ce qu’une marre de sang assez conséquente se soit formée. On peut ensuite utiliser le sang pour faire de jolis dessins au sol (il paraît que ça passe le temps, et ils en ont du temps à tuer les gardiens de prison là-bas !). Parfois le prisonnier ne survit pas, un autre devra alors prendre sa place (voire passer une petite nuit en cellule avec ce qui reste de ce qui fut un jour son compagnon d’infortune). Après, vient le coup de la fausse exécution, on juge donc les futurs condamnés vite fait (le fait de devoir appeler un juge pour qu’il prononce un verdict n’étant en effet pas très amusant, dix minutes suffiront pour cette partie). Après avoir écrit leurs dernières volontés, les prisonniers sont emmenés dans un lieu inconnu (leurs yeux étant bien sûr bandés, quoi de plus naturel pour un jugement ? on risquerait sinon de faire perdre à la blague tout son côté ludique) où on les aligne contre un mur. Après avoir fait entendre aux prisonniers le bruit des armes qu’on chargeait, on fait tirer le peloton en l’air et là, oh magie, les victimes s’écroulent sans qu’on ne leur ait tiré dessus ! Après s’être copieusement moqués d’eux (parce qu’il faut le dire c’est quand même la honte de penser que, dans ce cas précis, ils allaient mourir), les kings du folklore iranien les emmènent dans une pièce où on leur enlève le bandeau des yeux. Le miroir se révèle alors superflu pour déceler la supercherie. Les symptômes de cette blague sont tout aussi drôles que la plaisanterie elle-même : ulcères, crises de stress chroniques, cloques sur le corps (réaction face à une tension extrême), et j’en passe. 21
Après tout ce stress, les victimes ont gagné le droit à un court repos avant que le spectacle ne reprenne, et s’ils osent demander à manger, les impudents sont immédiatement fouettés ! Pour les plus patients d’entre vous, il existe ce qu’on appelle la « torture blanche ». Le concept est simple : on place le prisonnier dans une cellule de couleur blanche (parfois rouge, c’est selon les goûts) et on l’y laisse macérer quelques semaines avec pour tout contact extérieur une sorte de petit tiroir qui permettra de donner à manger à la victime que vous aurez choisie. La couleur agressive des murs causera petit à petit une perte d’équilibre et des tensions nerveuses graves. Si, ensuite, il refuse toujours de venir jouer avec vous, c’est qu’il n’a décidément aucun sens de l’humour. Si vous étiez musulman et que vous vous êtes convertis à une autre religion, il est vivement déconseillé de le crier sur tous les toits. Des bassijis (milices du Guide Suprême) pourraient vous tomber dessus et, grands boute-en-train devant l’éternel, ne plus vous lâcher avant un, voire deux jours (où, vous l’imaginez bien, vous vous serez amusé comme un petit fou). Ces gens mettent également un point d’honneur à surveiller les goûts des femmes iraniennes en matière de mode, si ceuxci ne sont pas conformes au code vestimentaire islamique, ces joyeux drilles n’hésiteront pas à jouer du cutter ou à voir si leur flacon de vitriol est toujours aussi corrosif. Les autres compagnons de jeu potentiels de tout ce qui est Gardiens de la révolution et autres milices sont les membres de la communauté gay. En effet, les gars du Bureau pour la Promotion de la Vertu adorent s’amuser avec les homosexuels, quitte à leur tendre des pièges sur les forums de discussion pour les amener à eux. Une fois qu’ils ont trouvé avec qui ils vont passer un bon quart d’heure (ndla : souvent plus), leur ingéniosité est mise à rude épreuve : comment faire en sorte que leurs nouveaux jouets n’oublient jamais les séances de jeu qui vont se dérouler au Ministère de l’Intérieur? La réponse est simple, après quelques coups de fouets pour se mettre en jambe (avec des câbles, si possible), ils assoient leur victime sur une chaise métallique, allument un bec bunzen et attendent que de petits cris commencent à s’échapper de leur jouet vivant (mais pas trop longtemps quand même). Une fois qu’il est bien chaud, ils passent parfois au viol pur et simple avant que leur victime ne finisse pendue à une grue. Pour terminer, nous vous donnerons quelques informations pratiques, voire touristiques sur l’Iran (en fait, surtout pour toi, Doubi). La majorité est fixée à des âges de puberté prédéfinis. Pour les garçons, c’est 15 22
ans et pour les filles 9, le rêve pour toi, en somme. Mais attention, la dernière personne ayant regardé un porno (l’histoire ne nous dit pas si ce dernier était à caractère zoophile) s’est tout de même vu arracher un œil par les agents du Bureau pour la Promotion de la Vertu. Prudence donc sur les terres sablonneuses d’Iran. Pour conclure, nous pourrions résumer cet article à cette maxime : « Nous, miliciens, toujours à l’esprit, garderons les valeurs suivantes : Pensée unique, torture, intimidation, homophobie ».
VOS DEVOUES AYATOLLAHS, GORINAZ ET JUDOS.
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1 LES AGENDAS DU LAURIER
NON, JE N’IRAI PAS AU TD CE MOIS-CI ! (Mais je m’informe).
NOVEMBRE 2009 LUNDI
MARDI
MERCREDI
JEUDI
25
26
PSYCHO
CdS
DECEMBRE 2009 LUNDI
MARDI
MERCREDI
JEUDI
3
1 CPS
CK
7 CPsy
9
8 CI
CIG
CPL
17
15 14
10
Librex
CdS/NOEL
C$ UNE DERNIERE MISERE ?
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!LET’S PLAY!
CROSSWORDS ARE BACK IN THE LAURIER.
AMUSES TOI L’ARTISTE ! SEE DEFINITIONS NEXT PAGE ! SO FUN.
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è DEFINITIONS HORIZONTALEMENT : 3. Objet ménager sujet à querelle 5. Prédécesseur de Jacques 6. La sienne sera vleckée avant lui 8. Recherchée par le ZOB 10. Supporter de l’AFC Tubize 11. Prénom préhistorique cher à Baba 12. C’est so. VERTICALEMENT : 1. On mettrait bien le sien dans une jolie donzelle 2. Endroit de nouveau fréquenté 4. C’est là que ça se passe le 03/12 7. Un an déjà… 9. Futur barman
SO FRESH, SO CLASSIC. HERE ARE CROSSWORDS.
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BRIBES DE CERLCE… ü LA PHRASE DU MOIS La rédaction du Laurier vous offre la phrase qui sort du lot pour ce mois de novembre. La plus originale, absurde, subtile ou pleine de bon sens qu’il nous ait été donné d’entendre. NOVEMBER 09 : « La bouche sort de Tryo bourré quand il est enfant ! »5 Les expressions communes revues par Tryo – PréTD « Sympa » 10/11/09 ü LA PHOTO DU MOIS
DANS LE CENTRE, ON FAIT AINSI ! – 6H CUISTAX 09.
5
Et tandis que je termine la rédaction de ce Laurier, Mex, passant au cercle, me rappelle cette superbe phrase sortie à la ST-V : « Un parapet est-il un paravent ? »
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BRIBES DE CERCLE…
ü Critiquons peu, critiquons bien
RUE DE LA LOI. Leterme revient d’un côté, Van Rompuy part vers l’autre. On revote bientôt en Belgique ? PEDRO, l’enfant tapir.
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HERE ARE SOME PIX. En attendant le banquet photos.
Des bleus (à la tournée bleue).
Lulu & Caro (à la tournée bleue aussi).
Des (sales) bleus.
Un morse bleu à défenses marbrées
Les grosses gougouttes de Sourieuse (et Battle). Baba & Malik (tournée bleue).
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L’icône et Bisounours (Saint-V).
Caro & Malik (tournée afrique).
Gogo & Maël (& Maxime Closset).
Balzen, Fente et ses aisselles (à Louvain).
Blatte, Mâât & Mamadou (étudiant Erasmus).
Trois chiffoniers + Morse (QBT)
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Bing et ChloĂŠ.
Rugby & Kasia.
Magnum & Fri !
Gringrin, Lucie et Gogo en tenue tradionnelle du pays de charleroi.
Baba.
Jean-Luc Truchard.
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Maude et Chuck (qui n’a aucune chance avec elle).
Bonhomme.
Biff.
Gogo et Baba (tournée Molenbeek).
CLASSIC. 32
MARTINMEDIAS*, VOUS SAVEZ POURQUOI ? NOUS OUI !
MARTIN, LE BLOG MEDIAS! QUI DOIT METTRE SON FUT AU TD DU TROIS DECEMBRE ! (comme ca, c’est dit)
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