CTA Fin4Ag programme FR

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Conférence internationale

Programme

14-18 juillet 2014

Nairobi, Kenya Kenya School of Monetary Studies

www.fin4ag.org Série de conférences internationales : Repenser l’agriculture à petite échelle Organisé par :

Avec l’appui de :

Partenaire média international :

Sponsorisé par :



Conférence internationale

Programme

14-18 juillet 2014

Nairobi, Kenya Kenya School of Monetary Studies

www.fin4ag.org Série de conférences internationales : Repenser l’agriculture à petite échelle Organisé par :

Avec l’appui de :

Partenaire média international :

Sponsorisé par :


CTA à la conférence Fin4Ag: Michael Hailu, Directeur du CTA Lamon Rutten, Chef de Programme, PM&TICs Thierry Doudet, Chef de Programme, GC&C Oluyede Ajayi, Coordinateur de Programme Senior, Politiques DAR Vincent Fautrel, Coordinateur de Programme Senior, Développement Filières Agricoles Stéphane Gambier, Coordinateur de Programme Senior, Communication Benjamin Kwasi Addom, Coordinateur de Programme TICs Thierry Lewyllie, Coordinateur de Programme Web Ken Lohento, Coordinateur de Programme TICs Minielle Tall, Coordinatrice de Programme Associée, Média & Communication Nawsheen Hosenally, Assistante ICT4Ag Armelle Degrave, Coordinatrice de Programme Associée Administration, PM&TICs Ellen Mulder, Assistante de Projet, PM&TICs Landry Fanou, stagiaire, PM&TICs

Édition : Stéphane Gambier, Landry Fanou, Murielle Vandreck, CTA, Pays-Bas Traduction : BLS, Belgique Design & mise en page : Stéphanie Leroy, France Impression : Latimer Trend & Company Ltd, Royaume-Uni © CTA 2014 4


Partenaires

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Sommaire

Messages de bienvenue ...............8

Événements parallèles 2e Briefing continental africain........46 Réunions parallèles ......................47

Concept Pourquoi la conférence Fin4Ag.......11 Axes thématiques de la conférence ..12

Organisateurs Organisations partenaires .............48

Journée Plug and Play Description .................................13

Informations pratiques

Plateformes digitales pour le

Références clés ...........................53

financement des chaînes de valeur

Plan ...........................................54

agricoles.....................................14

Plan Google de Nairobi..................55 2e Briefing continental africain Horaires .....................................56 Horaires de la journée Plug & Play...57

Conférence principale

Horaires de la conférence .............58

Jour 1........................................20 Jour 2........................................28 Jour 3........................................38 Visites de terrain .........................44

€ 7


Messages de bienvenue Michael Hailu, Directeur du CTA

C

’est un plaisir pour moi de vous accueillir à cette conférence Fin4Ag ! Il est urgent de transformer l’agriculture à petite échelle en une activité rentable et durable pour la région Afrique, Caraïbes et Pacifique (ACP) et d’autres pays en développement dans le monde. Mais la capacité à susciter un véritable changement dépend, en grande partie, de l’accès aux financements qui permettront aux petits agriculteurs de développer et faire prospérer leurs exploitations. Les perspectives pour le secteur agricole sont prometteuses. En effet, les zones urbaines sont en pleine croissance démographique, la classe moyenne urbaine connaît un essor rapide et les opportunités d’échanges commerciaux inter-régionaux et internationaux se multiplient. Pour que les petits exploitants puissent profiter de cette explosion de la demande sur les marchés mondiaux et urbains, il est par conséquent essentiel qu’ils puissent bénéficier de financements.

Les méthodes traditionnelles de financement de l’agriculture – à savoir, l’octroi de subventions directes par des banques d’état – se sont révélées chères et peu efficaces. La microfinance implique généralement des taux d’intérêts et des modalités de remboursement qui ne sont pas adaptés à la réalité des petits agriculteurs. Heureusement, le financement des chaînes de valeur constitue une piste intéressante par rapport aux autres méthodes. En règle générale, le financement des chaînes de valeur offre aux agriculteurs un accès plus aisé aux intrants et de meilleures garanties pour la commercialisation de leurs récoltes. Dès lors qu’une chaîne de valeur a fait ses preuves, il devient envisageable de proposer un financement à plus long terme pour les infrastructures nécessaires à la mécanisation, à l'irrigation, au stockage et au traitement des denrées. Du côté des organismes financiers, le financement des chaînes de valeur représente aussi un avantage car il tient compte de la grande difficulté qu'ont souvent les agriculteurs à rembourser leur emprunt et les autorise à proposer au secteur agricole des produits à la fois sûrs et modulables. De plus, les expériences positives de financement des chaînes de valeur agricoles sont susceptibles d’attirer les jeunes ruraux vers cette profession et de favoriser l’émancipation des femmes, qui ne pourraient normalement pas prétendre à des plans de financement traditionnels. Au cours de ces dernières années, le CTA s’est employé à promouvoir le financement des chaînes de valeur agricoles dans les pays ACP. Par exemple, en collaboration avec le Conseil des céréales d’Afrique de l’Est, nous avons donné à nos partenaires des moyens supplémentaires pour commercialiser leurs céréales selon un modèle structuré, qui repose sur des règles concertées, l'utilisation d'entrepôts agréés, un système de crédit sur inventaire et des « bourses » de matières premières. Le CTA entretient également des liens étroits avec différentes organisations, notamment l’Association africaine du crédit rural et agricole (AFRACA), afin de renforcer les capacités et de partager les connaissances sur les bonnes pratiques en matière de financement des chaînes de valeur agricoles et d'élaboration des politiques qui contribueront à une mise en œuvre systématique de ces bonnes pratiques. La conférence Fin4Ag sera l’occasion idéale de vous familiariser avec les nombreux outils et initiatives qui existent pour encourager des modèles de financement des chaînes de valeur agricoles efficaces et accessibles aux petits exploitants. Vous y rencontrerez des gouverneurs de banques centrales et découvrirez ce qu’ils sont en mesure de faire pour créer un environnement favorable à de tels financements. Nous vous présenterons également les dernières avancées dans le secteur des TIC permettant le déroulement des transactions financières en toute sécurité et l’accès des régions les plus isolées à des financements. Que vous soyez agriculteur, transformateur, négociant, décideur politique, responsable financier, développeur informatique, jeune ou femme, cette conférence vous montrera qu'un changement de paradigme dans l’application des programmes financiers à l’agriculture pourra véritablement réaliser son potentiel à l’échelle mondiale. Je tiens à remercier l’AFRACA, notre partenaire dans l'organisation de cette conférence, pour sa collaboration fructueuse, ainsi que la Kenya School for Monetary Studies, la Banque centrale du Kenya, sans oublier tous les sponsors et partenaires médias sans lesquels cet événement n’aurait pu avoir lieu. Je me réjouis de vous compter parmi les acteurs de cette révolution et vous souhaite une bonne conférence et un excellent séjour à Nairobi.

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Saleh Usman Gashua, Secrétaire général, Afraca

C

’est un honneur de vous accueillir à Nairobi à l’occasion de la conférence internationale Fin4Ag. L’Association africaine du crédit rural et agricole (AFRACA) est heureuse d’organiser cet événement international en partenariat avec le CTA, un choix qui répond parfaitement à notre volonté d’instaurer un secteur financier inclusif capable de contribuer à l’émancipation des communautés rurales et agricoles d’Afrique. Je ne doute pas que cette conférence ouvrira une nouvelle ère et servira de tremplin à un développement rural et agricole plus rapide en Afrique. Fondée en 1977, l’AFRACA fonctionne comme un organisme de coordination de haut niveau œuvrant à la mise à disposition de financements pour des programmes ruraux et agricoles inclusifs en Afrique subsaharienne. L’AFRACA s’est imposée comme le point de contact et d’information dans le cadre de la promotion des financements destinés aux communautés rurales et agricoles. Pour mener à bien sa mission, l’AFRACA a structuré ses programmes phares sur la base d’une approche thématique pour les financements ruraux et agricoles et les a déployés en étroite collaboration avec les institutions membres et les partenaires au développement via des activités et des ateliers/conférences sur des thèmes transversaux ou nouveaux. Cette conférence Fin4Ag constitue une réelle valeur ajoutée au plan d’action de l’AFRACA, en particulier pour ce qui concerne les initiatives essentielles sur le financement inclusif des chaînes de valeur agricoles. L’AFRACA remarque avec satisfaction que l'accès aux financements a largement progressé dans des pays comme le Kenya, notamment grâce à l’intervention des nouvelles technologies, des actions multilatérales et des investissements plus conséquents dans le secteur. Je suis certain que cette conférence sera le point de départ de politiques de financement répondant mieux aux spécificités du secteur agricole et rural et favorisera l’émergence d’une offre de services financiers inclusifs sur l’ensemble du continent africain. Que vous apparteniez à une organisation paysanne, à un organisme bancaire ou financier, à une agence gouvernementale, à une entreprise de transformation, que vous soyez agriculteur, décideur politique, fournisseur d'intrants ou négociant, cette conférence sera un moment privilégié pour créer ou renouer des contacts avec des acteurs essentiels du secteur. Vous pourrez aussi parfaire vos connaissances sur les modèles de financement des chaînes de valeur agricoles qui améliorent la sécurité alimentaire, la création d’emplois et de richesse, ainsi que sur les cadres stratégiques qui soutiennent ces initiatives.

Au nom du réseau AFRACA, je tiens à remercier chaleureusement le CTA et les autres partenaires au développement pour avoir contribué à l’organisation de cette conférence et pour avoir soutenu, de façon aussi remarquable, les activités de financement aux niveaux continental et régional. Je suis également reconnaissant au gouvernement et au peuple kenyans, à la Banque centrale du Kenya, à la Kenya School of Monetary Studies, au conseil de direction de l’AFRACA, aux institutions membres et à tous les partenaires qui ont tant travaillé pour faire de cette conférence une véritable réussite. Merci à vous toutes et tous pour votre intérêt, votre engagement et votre collaboration tout au long de cette rencontre et au-delà, car la mise en place d’un secteur financier inclusif en Afrique ne pourra pas se faire sans vous. Je vous invite à aborder les travaux avec un esprit ouvert, enclin au partage, à la remise en question, à la critique constructive et à l’envie d’apprendre. Enfin, je vous souhaite une conférence passionnante et un séjour inoubliable au Kenya.

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Dr Evans Kidero, Gouverneur de la région de Nairobi

J

e vous souhaite la bienvenue au Kenya et à cette conférence internationale Fin4Ag intitulée « Révolutionner le financement des chaînes de valeur agricoles » se tenant dans la région de Nairobi.

Cette conférence a réuni plus de 500 représentants du secteur privé et public, des banques et des financiers d’Afrique, des organisations régionales et nationales d’agriculteurs, des parties prenantes des chaînes de valeur agricoles, des responsables gouvernementaux, des praticiens du développement et des universitaires. Ils partageront ensemble les expériences et les enseignements en vue du financement de chaînes de valeur agricoles ouvertes aux petits exploitants, dans les pays ACP et au-delà. L’utilisation toujours plus fréquente des TIC et les innovations dans le secteur continuent de bouleverser les pratiques agricoles en Afrique, et la région de Nairobi constitue le centre névralgique de cette industrie dans la région d’Afrique de l’Est. Le choix de notre capitale pour l’organisation de cette conférence témoigne du positionnement stratégique de notre région au sein de la région ACP. Si nous voulons consolider les initiatives déjà lancées par l’AFRACA (Association du crédit rural et agricole) pour un financement inclusif des chaînes de valeur agricoles, j'invite tous les participants à saisir cette occasion unique pour créer et renforcer des partenariats qui révolutionneront sans nul doute la finance au service de l’agriculture. Comme vous le remarquerez, le programme inclut de nombreuses sessions hautement interactives ayant pour but de permettre aux participants de travailler ensemble à la résolution de problèmes dans le domaine de la finance appliquée à l’agriculture. La présentation des cas de bonnes pratiques, de nouveaux outils et mécanismes enrichissants et les rencontres avec des responsables internationaux de la finance appliquée à l’agriculture vous amèneront à découvrir les nombreux changements qu’ont connus les financements agricoles au Kenya. Je ne puis que vous encourager à mieux les connaître. Mais profitez aussi de votre séjour pour apprécier l’hospitalité des Kenyans et nos richesses touristiques. Que diriez-vous d’une balade à pieds à la découverte des principaux points d’intérêt de Nairobi : son hôtel de ville, le siège du Parlement, le mausolée de Jomo Kenyatta, le parc mémorial du 7 Août, les archives nationales, le parc Uhuru et le Parc national de Nairobi où vous pourrez explorer les trésors de la nature de notre pays et goûter à la cuisine kényane dans le restaurant du parc. Je remercie chaleureusement l’AFRACA pour avoir organisé cette conférence, en collaboration avec le CTA et la Banque centrale du Kenya. Je tiens à saluer leur engagement et les multiples résultats pratiques sur lesquels cette conférence devrait déboucher. Soyez à nouveau les bienvenus à Nairobi. Bonne conférence et bon séjour.

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Concept Pourquoi la conférence Fin4Ag ?

n bon accès au financement peut être un moteur de croissance et de transformation de l’agriculture dans les pays d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP). Le besoin d'assurer l'approvisionnement (qualitatif et quantitatif) en denrées alimentaires pour des marchés en pleine croissance et de plus en plus concurrentiels se fait pressant. Si les conditions sont réunies, l’agriculture africaine connaîtra une croissance rapide afin de répondre à la demande en hausse des marchés urbains et mondiaux. Une de ces conditions est la multiplication du financement externe pour l'agriculture.

U

Les institutions de financement agricole, ainsi que les politiques, les règles et les réglementations dans le cadre desquelles elles opèrent, ne suivent pas l’évolution de ‘l’économie réelle’. La crise financière mondiale a réduit la capacité de risque des banques, qui ont donc besoin de méthodes plus efficientes pour appuyer financièrement le secteur des matières premières. De nouveaux mécanismes doivent être conçus en vue de permettre aux investisseurs sur les marchés de capitaux de devenir des financiers agricoles. Le financement des chaînes de valeur agricoles pourrait être la solution pour les banquiers et les investisseurs, d’autant que les innovations dans le domaine des TIC ont simplifié et démocratisé ce type de financement. On a assisté ces dernières années à des innovations importantes en matière de financement des chaînes de valeur dans certains pays, mais elles ne se propagent pas rapidement au-delà des frontières ni d’ailleurs entre les institutions. Dans de telles circonstances, les décideurs des organisations d’agriculteurs, des institutions financières, des organes gouvernementaux et d’autres institutions intéressées par le financement agricole doivent modifier leur approche et passer d’une stratégie consistant à améliorer progressivement leurs modèles à une stratégie basée sur une réinvention de leurs modèles professionnels ou réglementaires, afin de tirer profit de toutes les nouvelles possibilités. À cet égard, la conférence Fin4Ag vise à rassembler les principaux acteurs afin de développer un système de financement agricole moderne et hautement performant. La conférence aidera les décideurs des secteurs public et privé à surmonter les obstacles qui entravent si souvent l’innovation – dans le cas qui nous occupe, en faveur d’un financement agricole impliquant les petits exploitants. Il est temps de changer la donne en matière de financement agricole. Participons à cette révolution !

“ Nous devons abattre les remparts qui empêchent souvent l’innovation. Il est temps de changer

la donne en matière de financement agricole.

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Concept Axes thématiques de la conférence

Axe thématique 1 : Révolutionner le financement de l’agriculture : les outils Cette dernière décennie, le domaine du financement des chaînes de valeur a pu profiter de l’apport d’outils innovants, de bonnes pratiques et d’enseignements en très grand nombre. Avec cette série de sessions, les participants à la conférence Fin4Ag auront une occasion unique de partager et d'aborder leurs connaissances à propos de divers outils permettant un financement réussi des chaînes de valeur agricoles. Les discussions porteront notamment sur la propagation de modèles de financement par récépissés d’entreposage et de gestion des garanties ayant fait leurs preuves dans les pays ACP. Les sessions de cet axe se pencheront aussi sur le potentiel de création de nouveaux instruments permettant aux producteurs d’accéder aux marchés de capitaux. D'autres sessions s'articuleront autour de la conception de mécanismes de financement des chaînes de valeur agricoles pour des secteurs (horticulture, pêche, bétail) ou des objectifs spécifiques (accès aux intrants agricoles et à la mécanisation). Les participants étudieront les moyens qui pourraient permettre aux financiers de participer au développement de chaînes de valeur efficaces établissant un lien entre les agriculteurs et les villes et s’échangeront les bonnes pratiques en matière de financement des chaînes de valeur agricoles.

Axe thématique 2 : Développement de politiques pour le financement des chaînes de valeur agricoles Au XIXe siècle et au début du XXe siècle, les pays faisant aujourd’hui partie de l’Organisation de coopération et de développement économiques dépendaient largement de leurs banques centrales pour stimuler l’accès de leur secteur agricole au financement, notamment grâce à des infrastructures telles que des taux de rémunération plus bas pour le financement des récépissés d’entreposage, la création d’entrepôts des douanes et le développement d’outils de financement agricole spécifiques. De telles politiques n’ont pas encore une place significative dans les programmes de travail des banques centrales des pays ACP. Devant l’importance critique du renforcement de la croissance agricole, le moment est venu de revoir le rôle que les décideurs politiques et les organes régulateurs,

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tels que les banques centrales, peuvent jouer pour créer un environnement propice au financement des chaînes de valeur agricoles. Les sessions de cet axe permettront aux participants de tirer les leçons de l'expérience historique mais aussi de quelques programmes innovants des banques centrales dans d'autres régions du monde.

Axe thématique 3 : Questions transversales en matière de financement des chaînes de valeur agricoles La conférence Fin4Ag comprendra une série de sessions didactiques. Trois organisations paysannes régionales d’Afrique et des Caraïbes ont déterminé des priorités pour le renforcement du financement des chaînes de valeur pour les agriculteurs. Chaque organisation bénéficiera d’une demi-journée de session consacrée aux solutions permettant de faire la transition vers la mise en œuvre. La gestion des risques (notamment ceux liés aux prix et à la météo) sera également débattue, ainsi que les instruments financiers permettant aux producteurs de rendre leur production plus résistante face au changement climatique. L’information, la communication et la gestion des connaissances, ainsi que les besoins de formation font également partie de cet axe. On évoquera enfin les défis spécifiques auxquels sont confrontés les femmes et les jeunes entrepreneurs dans l’accès au financement des chaînes de valeur agricoles.


Journée Plug and Play Lundi 14 juillet

Description a journée Plug and Play, deuxième du genre, présentera une série de TIC et de plateformes mobiles développées et mises en œuvre pour soutenir l'accès au financement agricole le long de la chaîne de valeur. La journée s’articulera autour des services financiers numériques/mobiles pour le développement agricole et rural et couvrira les plateformes d’appui pour l’accès aux crédits, aux paiements, à l’épargne, aux assurances et à la gestion des risques pour les acteurs des chaînes de valeur. C’est une occasion unique pour les innovateurs en TIC d’acquérir une idée plus globale des TIC pour le financement, pour les utilisateurs de découvrir les nouvelles plateformes de TIC pour le financement des chaînes de valeur, pour les investisseurs d'identifier des zones d'investissement viables, pour les donateurs de découvrir des domaines de soutien émergents et pour les décideurs politiques de comprendre et explorer différents niveaux d’action. La journée est une opportunité fantastique d’acquérir des connaissances précieuses et très pratiques concernant les nouvelles technologies, ainsi que de vivre une expérience réellement unique avec les démonstrations de fournisseurs d'applications de renom et d'acteurs de terrain expérimentés. Les plateformes sont sélectionnées en correspondance étroite avec les thèmes et les axes thématiques de la conférence et répondent aux besoins de l'ensemble des groupes de parties prenantes. Certains domaines abordés par les plateformes de TIC comprennent la fourniture de meilleures informations aux banques, aux institutions de finance mobile et aux autres institutions financières en vue de faciliter l’octroi de crédits ; des systèmes d’appui pour permettre aux institutions de finance mobile de réduire leurs coûts opérationnels ; les applications numériques encourageant des liens efficaces entre producteurs, entreprises et banques pour accéder aisément au financement ; les systèmes d’atténuation des risques pour les acteurs des chaînes de valeur ; et les systèmes sécurisés de remboursement de prêt intégrés à des balances mobiles. D’autres plateformes aident les prêteurs à mettre en commun et obtenir par voie électronique des informations sur les emprunteurs par le biais de bases de données centralisées ; diffusent des informations pratiques et actuelles pour orienter les opérations financières ; permettent aux associations d'épargne et de crédit de gérer l’épargne et d’accorder des prêts aux petits agriculteurs ; aident les agriculteurs en quête de fonds à s’engager de manière sûre auprès des bailleurs de fond. Il existe aussi des systèmes de bons électroniques fournis par SMS ou sur des cartes à gratter et des plateformes de registre électronique donnant accès aux profils de crédit des producteurs et des transformateurs.

L

“ Une occasion unique d’acquérir une idée plus globale des TIC pour le financement... et d'identifier des zones d’investissement viables.

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Journée Plug and Play Lundi 14 juillet

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Plateformes digitales pour le financement des chaînes de valeur agricoles Plateforme Agrilife

Plateforme aWhere

Présentateur : Charles Kiinde Mutuku, Responsable ventes Agrilife et Développement commercial, Mobipay Kenya Limited http://www.agrilife.co.ke/

Présentateur : Dave Lundberg, Chef des opérations, aWhere Inc. www.awhere.com

Agrilife a été fondée et développée par Mobipay Kenya Limited il y a trois ans. Il s’agit d’une plateforme technologique cloud conçue pour l’exploitation de plateformes web et mobiles permettant à des groupes de petits producteurs d’accéder aux services financiers, aux marchés et à d'autres services pertinents pour eux. Grâce à Agrilife, les acteurs du secteur agricole, dont les banques, les institutions de microfinance, les compagnies d’assurances, les coopératives, les investisseurs et les fournisseurs d’intrants agricoles, peuvent accéder aux données concernant la chaîne d'approvisionnement physique et financière des agriculteurs. Ainsi, les qualifications des agriculteurs peuvent être établies, les risques atténués et le producteur bénéficie plus facilement d’un crédit abordable. Les producteurs peuvent exploiter la technologie de façon à faire des demandes depuis leurs plateformes web/mobiles, demandes autorisées par le biais d’Agrilife, et les prestataires de service peuvent réagir aux demandes. Mobipay détermine une commission basée sur les transactions pour les prestataires de services, ce qui lui permet d’assurer sa continuité. A ce jour, Agrilife a généré 18 millions de dollars US en chiffre d’affaires et est présente au Kenya, en Ouganda et au Zimbabwe.

Agrocentral Présentateur: Jermaine Henry, Opérateur exécutif en chef/ Cofondateur, Projet Agro www.agrocentral.co

La plateforme aWhere, disponible dans le monde entier, transforme les données complexes issues de sources différentes en informations pratiques grâce à la gestion avancée des données, à l’intelligence géospatiale et à l’intégration mobile. La plateforme propose des outils innovants, des données météorologiques et climatiques, des techniques de données pour un planning fondé, des recommandations pertinentes au niveau local et des recommandations en temps réel pour l’exploitation – des éléments cruciaux pour une agriculture durable et intelligente face au climat. aWhere a développé un système cloud capable d’absorber l’ampleur des données requises pour une analyse intelligente face au climat et de les diffuser comme informations pratiques et actuelles pour les décisions en matière de politique, d’investissement, de financement et d’opérations locales. La plateforme recueille en temps réel des enquêtes et le feedback de producteurs et de participants à la chaîne de valeur, créant ainsi des indices d’investissement basés sur des données provenant de plusieurs sources, dont les paramètres météorologiques saisonniers et quotidiens émergents. La plateforme aWhere dispose également d’un moteur de distribution et de modélisation élaboré pour dériver et fournir des recommandations et des alertes pour l’exploitation (contenu intelligent), fournies au bon producteur au bon moment par le biais de son réseau de partenaires de messagerie SMS. Ce réseau facilite le ‘dialogue’ avec le producteur afin de lui permettre de partager des données pertinentes, tant en recevant simultanément la validation des producteurs, des fournisseurs et des marchés, améliorant ainsi continuellement le système.

Système de partage d’informations de crédit (Credit Information Sharing – CIS) Présentateur : Jared Getenga, Opérateur exécutif en chef par intérim, Association of Kenya Credit Providers (AKCP) www.ciskenya.co.ke AgroCentral est la première institution de clearing agricole numérique de Jamaïque, qui utilise des technologies web/SMS ou SMS/web pour connecter les petits agriculteurs et les entreprises. Avec AgroCentral, les entreprises ont la possibilité de se procurer de grandes quantités de cultures directement auprès des producteurs et ces derniers peuvent vendre leur production directement aux entreprises. AgroCentral facilite des liens efficaces entre producteurs et entreprises et opère à l’aide d’une base de données comportant des profils complets des deux parties. Les profils d’agriculteurs incluent la situation géographique des exploitations, les cultures pratiquées, les capacités d’offre et les coordonnées mobiles. Pour les entreprises, les profils incluent la situation géographique, les produits requis et la facilité de transaction. Ces informations ainsi que le portail SMS biactif permettent une communication efficace des informations relatives au marché, ce qui facilite l’échange de biens.

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Le CIS est un mécanisme permettant à divers prêteurs de mettre en commun et d’obtenir des informations sur les emprunteurs via des bases de données centralisées (bureau de référence de crédit), afin de remédier à l’asymétrie informationnelle entre emprunteurs et prêteurs. Sans intervention, l’asymétrie informationnelle entraîne souvent une mauvaise sélection, des produits/conditions de prêts inadéquat(e)s et l’exclusion de certaines catégories d’emprunteurs du marché du crédit. Le financement agricole doit composer avec le fait que les prêteurs exigent des garanties physiques comme préalable à toute décision de crédit et en vue de l’atténuation des risques liés au crédit. Le CIS permet aux agriculteurs de développer un historique de crédit afin de négocier de


Journée Plug and Play Lundi 14 juillet

meilleures conditions, comme des garanties tangibles moindres, des taux d'intérêt plus faibles et des échéances plus flexibles. Le système aide à améliorer la discipline des emprunteurs et leur culture de remboursement, ce qui enrichira leurs notations de crédit. Il requiert également l’identification de l’emprunteur et de meilleures normes de conservation des données qui alimenteront les profils de prêt des emprunteurs. Le CIS engendre une diminution générale des taux de défaut de paiement sur le marché des crédits et améliore ainsi la liquidité, qui améliore à son tour la disponibilité de fonds pour financer les besoins agricoles des producteurs à différentes étapes de la chaîne de valeur. Un accès accru au financement, une meilleure production agricole et un marché des crédits stable, efficace et adapté stimuleront le développement économique.

La solution Credit Bureau de Creditinfo Présentateur : Emma Camilleri, Responsable du développement commercial (Afrique de l’Est), Creditinfo Group www.creditinfo.com — www.creditinformation.com www.creditinfosolutions.com

Souvent, la finance forme une entrave à la croissance de nombreuses entreprises. Le Credit Bureau améliore l’information des banques, des institutions de microfinance (IMF) et d’autres institutions de financement afin de soutenir l’octroi de crédits. La solution Credit Bureau de Creditinfo est un système complexe créé en vue d’échanger des informations relatives au comportement de paiement des clients entre les institutions financières et non financières. Cette solution est un outil très important pour évaluer la position financière des clients potentiels et existants des prestataires de crédit, des compagnies d’assurance, des opérateurs mobiles et d’autres institutions. La base de données sous-jacente partagée contient des informations historiques et actuelles sur le comportement de paiement des particuliers, des entrepreneurs et des sociétés. Les informations peuvent être extraites sous la forme d’un rapport simple ou complexe, sur la base d’un échange mutuel d’informations. La solution ne s’en tient pas aux données de crédit traditionnelles : toutes les informations (données alternatives) récoltées peuvent soutenir et améliorer les décisions de prêt. Le travail de Creditinfo répond aux plus hautes normes de qualité et de sécurité requises dans le secteur bancaire et aux critères stricts d’application pour les opérateurs de registre du monde entier. Nous pensons en outre que l’éducation financière est cruciale pour améliorer l’accès au financement et pour démontrer ainsi l’importance de la responsabilité financière quand les consommateurs assument de nouveaux crédits ou quasi-crédits.

e-Krishok : Programme de développement d’entreprises Présentateur : Shahid Akbar, Opérateur exécutif en chef, Bangladesh Institute of ICT in Development (BIID) www.sme.com.bd

Les petites, moyennes et micro entreprises (PMME) comprennent généralement de jeunes entrepreneurs, des entreprises agricoles et des producteurs nécessitant un financement pour leur développement et leur création. Les instituts financiers respectent certaines directives en vue de proposer des services financiers mais il existe un écart évident entre la compréhension et la capacité des PMME au niveau de l’accès au financement, et la compréhension des conditions d’un institut financier. L’e-Krishok aide à combler cet écart en facilitant l’appui technique pour développer les capacités à travers son programme de formation financière, un cursus avec tutorat. De plus, la plateforme en ligne permet aux PMME de tout le pays d’exploiter le service avec un maximum de convivialité. L’équipe BIID offre une solution complète aux PMME, du balisage de l’idée au développement d’un plan d’activité en passant par la connexion avec les instituts financiers. Ces derniers sont aujourd’hui également demandeurs de formations organisées par le BIID pour leurs clients potentiels et actuels. Le BIID s'associe désormais avec la Chambre de commerce et d’industrie de Dhaka, Prothom Alo Jobs, Rotary District 3281 et VSO Bangladesh.

Ensibuuko Présentateur : Gerald Otim, Cofondateur et Directeur du développement commercial, Ensibuuko http://ensibuuko.com/

Ensibuuko est une application mobile et web qui intègre les transactions financières SMS et mobiles, permettant ainsi aux associations d'épargne et de crédit (et à d’autres organismes de financement) de traiter l’épargne et d’accorder des prêts aux petits producteurs. Ces petits producteurs (qui représentent environ 80% de la population de l'Ouganda) sont sans banque ou sous-financés. Leur productivité est entravée. Les institutions de microfinance sont pratiquement dans l’incapacité de relever le défi faute de réputation financière et en raison d’exigences élevées en matière de garanties et d'intérêts. Les associations d’épargne et de crédit, les seules autres organisations auxquelles les producteurs font appel pour leur financement, sont confrontées à des cas de fraude et perdent la confiance du public. Le système Ensibuuko permet aux agriculteurs de solliciter des prêts par SMS et de recevoir et de rembourser des prêts par transactions mobiles. Plus simple, plus sûr, il permet aux agriculteurs de mieux contrôler leur épargne et leur crédit et réduit les coûts des groupes d’épargne et de crédit, qui bénéficient aussi de davantage de transparence.

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Journée Plug and Play Lundi 14 juillet

FarmDrive

Farmforce

Présentateur : Rita Kimani, Ingénieur logiciel, FarmDrive Limited www.farmdrive.co.ke

Présentateur : Faith Kamenchu, Gestionnaire de projets Farmforce, Fondation Syngenta pour une agriculture durable www.farmforce.com

Les petits producteurs du Kenya manquent d’accès au financement. Leur capacité à acquérir et exploiter les techniques agricoles modernes est limitée, ce qui les empêche d’avancer. L'activité agricole est un secteur très rentable. De plus en plus de personnes s’y intéressent. Elles disposent de revenus qu’elles souhaitent investir, mais sans toutefois vouloir pratiquer l’agriculture. FarmDrive vise à connecter les petits producteurs et ces investisseurs. Un producteur tient un registre concernant sa productivité, ses dépenses et ses revenus liés à l’activité agricole. Ces informations sont analysées en vue d’en déterminer l’évolution pour élaborer un profil de crédit pour le producteur. Les investisseurs ont accès aux profils de crédit des producteurs qui ont demandé un financement et peuvent les contacter.

Farmer Management System (FMS) Présentateur : Pierre le Grange, Manager, Vest Farm www.finico.za.com/finsp

À l’origine, le FMS est un instrument de gestion pour réunir et gérer différentes activités individuelles exercées par des acteurs de la chaîne de valeur agricole. Il rassemble les différentes activités quant à l’offre et la demande au sein de la chaîne de valeur. Le FMS est une plateforme de gestion flexible permettant d’atténuer les risques, en particulier si sa structure est pensée pour les organisations d’agriculteurs. Pour ces organisations, le FMS est un outil pour contrôler et gérer le crédit accordé au producteur. Le producteur peut accéder aux fournisseurs d’intrants accrédités et aux avantages de meilleurs tarifs grâce à des économies d'échelle. Le FMS sert de portefeuille électronique pour les producteurs liés à des fournisseurs spécifiques au sein de l'écosystème déterminé. Ce portefeuille électronique dispose de divers comptes permettant aux transactions de production et de commerce d'être capturées avec le degré de détail requis par les acteurs au sein de la chaîne de valeur. Le FMS, qui est ‘la solution’ proposée par Vest Farm, résulte de l’association de la plateforme numérique et de ses services de gestion.

€ 16

Farmforce est une plateforme mobile et web développée pour l’exploitation de systèmes d’agriculture sous contrat à grande échelle composés de petits producteurs. Il permet de gérer ces systèmes à l’aide de données numériques en temps réel. Les agronomes d’entreprise et les gestionnaires de la production peuvent contrôler les intrants utilisés par les cultivateurs, en s'assurant que les agents chimiques approuvés sont appliqués et que la dose maximale, les intervalles avant les récoltes, le nombre maximum d’applications par saison sont respectés. Il fournit des informations pour la récolte de données en matière de sécurité internationale et de normes de durabilité, comme Global GAP. Farmforce dispose d’un module de gestion de prêts qui appuie les prêts en liquide et intrants calculés selon la taille des champs des producteurs. L’application mobile de Farmforce utilise un module d’achat de récolte sécurisé (remboursements compris) intégré à des balances mobiles et une imprimante Bluetooth disponibles dans les centres de collecte dans le but d’accroître la transparence. Le système télécharge des données en ligne ou hors ligne, permettant aux assistants techniques de recueillir des données dans des régions très éloignées. Il propose également des prévisions de production hebdomadaires détaillées. Farmforce prend en charge les téléphones portables Android bas de gamme tels le Samsung Galaxy Pocket, qui sont bon marché (110 dollars), peu encombrants et conviviaux.

Musoni System Présentateur : Cameron Goldie-Scot, Opérateur exécutif en chef, Musoni Services www.musonisystem.com

Musoni est un système de gestion des informations cloud destiné aux institutions de microfinance et aux coopératives d’épargne et de crédit qui souhaitent exploiter des technologies en vue d’améliorer l’efficacité et de réduire leurs coûts de fonctionnement. À côté de la fonction principale de gestion des informations, le système offre des services de transfert mobile d’argent (les clients de microfinance peuvent ainsi recevoir et rembourser leurs prêts et gérer leur épargne avec leurs téléphones portables), envoie des rappels SMS automatiques aux clients et permet aux agents de prêt d’enregistrer les clients et les demandes de prêt sur le terrain avec l’application Musoni. Toutes ces caractéristiques font du système un outil idéal pour les organisations actives dans les zones rurales.


Journée Plug and Play Lundi 14 juillet

Tangaza Pesa

UWINCorp – Unleashing the Wealth of Nations.

Présentateur : Gichane Muraguri, Directeur, Mobile Pay Limited www.tangazapesa.com

Présentateur : Julius O. Akinyemi, Entrepreneur en résidence, Massachusetts Institute of Technology/The Media Laboratory http://wealthofnations.media.mit.edu

Tangaza Pesa est la marque d’un opérateur de réseau virtuel mobile, concédée en licence par la Commission des communications du Kenya et la Banque Centrale du Kenya à Mobile Pay Limited (une entreprise kenyane à 100%). À travers différents canaux, Tangaza Pesa propose des transferts d’argent mobiles, la téléphonie et l’accès à l’internet au Kenya. Une des solutions commerciales de Tangaza Pesa est le service d’automatisation des chaînes de valeur. Pour les services de financement des chaînes de valeur agricoles, la plateforme permet aux producteurs en quête de fonds de se connecter de manière sécurisée aux bailleurs de fonds, de demander des prêts et des crédits, de recevoir des prêts et d'effectuer des remboursements depuis leur téléphone portable (sur tous les réseaux). Les prêteurs peuvent ainsi automatiser la demande de prêt et le processus d'approbation, verser des fonds et contrôler le déroulement du prêt. La plateforme permet aux producteurs d’enregistrer et de ‘poster’ leurs produits sur un marché virtuel pour que les acheteurs puissent les voir. Les acheteurs peuvent également enregistrer, commander, rassembler dans des centres et effectuer des paiements.

Portail UMarket disbursement

UWINCorp a pour objectif de combler durablement le fossé numérique en aidant les Africains à enregistrer, à quantifier et à qualifier leurs actifs personnels. La création d’un registre numérique des actifs au niveau national, portant sur des éléments tels que les terres, les cultures, les troupeaux, les droits sur les ressources et même la réputation professionnelle et personnelle, permet à des particuliers d’établir un indice de leur réputation (semblable à un profil de crédit dans les pays industrialisés, mais avec des nuances locales). Avec cet indice, ils pourront accéder à des capitaux abordables et des micro-prêts assurés pour faire fructifier leurs actifs. De plus, ils peuvent utiliser une bourse mobile de produits et de services (un marché virtuel mobile) sur leurs téléphones portables, et se connecter ainsi à l’économie moderne au niveau mondial. L’enregistrement préalable de leurs actifs permet une transparence parfaite des transactions financières, une meilleure gestion des risques et le respect des règles 'Know your Customer'. Bien que toute l’Afrique subsaharienne (voire tous les marchés en développement) puisse être visée à l'avenir, le programme est actuellement testé au Sénégal et en Afrique du Sud. Le Botswana devrait bientôt se joindre à ces pays car des collaborateurs de l’entreprise travaillent déjà à consolider la plateforme.

Zoona eVouchers Présentateur : UMarket Disbursement est un portail répondant aux besoins de paiement groupé des organisations via téléphonie mobile. Le système est destiné aux agriculteurs, aux entreprises de transfert de fonds, aux enseignants, aux fabricants et aux autres entreprises. Les abonnés Tigo Cash et tous les autres utilisateurs du réseau peuvent recevoir de l'argent via cette plateforme. L’argent qui leur est envoyé est retirable auprès d’agents Tigo Cash agréés. Les utilisateurs peuvent également utiliser de l'argent électronique pour des transactions entre pairs et l'achat de crédit de communication.

Umati Capital Présentateur : Munyutu Waigi, Cofondateur, Umati Capital www.umaticapital.com

La plateforme Umati Capital propose des applications web et mobiles intégrées capables de suivre les informations sur l’offre depuis la source jusqu’au point de traitement. Ces informations sont ensuite utilisées pour proposer des crédits à différentes entités au sein de la chaîne de valeur.

Présentateur : Chrissy Martin, Manager partenariats mondiaux, Zoona http://illovezoona.com - http://demo.m.ilovezoona.com/

Zoona est une entreprise sociale qui aide les petites et micro entreprises à se développer en leur proposant des paiements et des financements aisés, rapides et sûrs au sein des marchés émergents. La plateforme eVoucher de Zoona offre aux organisations et aux agences gouvernementales une méthode d’envoi de paiements de masse à des fins spécifiques, comprenant les subsides pour les semences et les engrais, l’épargne à court terme pour permettre aux producteurs de gérer les revenus saisonniers, et des dons en espèces sous forme de denrées alimentaires ou d’autres intrants agricoles. Les eVouchers peuvent être fournis par SMS ou sur cartes à gratter, et sont gérés par le site d’administration en ligne de Zoona. A l’heure actuelle, le service est utilisé par des partenaires au Malawi, au Mozambique, en Zambie et au Zimbabwe.

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Journée Plug and Play Lundi 14 juillet

Discussions et conclusions

Session

Heure Salle Session

Heure Salle

[S33] Quels sont les enseignements tirés par les banques kenyanes dans l’introduction des TIC ?

Depuis la révolution des télécommunications, le Kenya joue un rôle de premier plan dans le domaine de l’argent mobile. L’essor des paiements numériques dans le pays, dopés par le succès du service M-Pesa, devrait être une source de fierté nationale et un bel exemple que d’autres pays ACP auraient tout intérêt à imiter. Même s’il est primordial que chaque économie crée un environnement favorable à l’innovation, il est peut-être plus important encore de le mettre au service du développement. Quelles sont les particularités de la réussite kenyane ? Sont-elles liées à la régulation imposée par la Banque centrale ou à la technologie ? Ce succès dépend-il davantage des opérateurs de téléphonie mobile ou de la gestion de l’innovation ? Cette brève session fera le bilan des enseignements tirés et retiendra les plus positifs d’entre eux pour les diffuser auprès des acteurs concernés (organismes de régulation, innovateurs, usagers) d’autres pays pour qu’ils puissent s’en inspirer.

Organisateur

Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA)

Président

Titus Karanja, Titus Karanja, Directeur, Division banque coopérative, Kenya

Intervenants

Reuben Mwaura, Responsable TIC, Vision Fund International, Kenya David Ruchiu, Directeur général, Farm Concern International, Kenya

Les TIC ouvrent de nouveaux canaux de communication pour apporter des services financiers à des acteurs auparavant inatteignables. Dans le secteur agricole, en dehors des paiements mobiles, peu de progrès ont été réalisés. Pourtant, les perspectives sont considérables et multiples. À chaque acteur donc de décider quelle est la meilleure voie à suivre. La technologie « du dernier kilomètre », telle que les distributeurs automatiques de billets, est-elle susceptible de revêtir un rôle important dans la finance numérique ? Et quelle est la place de la téléphonie mobile, de l’identification des fréquences radio, des cartes à puce, de l’identification biométrique et des technologies de communication en champ proche ? Quelle technologie conviendra le mieux pour tel ou tel intervenant (agriculteur, négociant, transporteur, chercheur, organisme de microfinance, banque, régulateur, responsable d'une entreprise de transformation) ? Qu'en est-il des systèmes d'assurance contre les catastrophes naturelles (gestion des risques) et de suivi des performances des agents de terrain ? Nous essaierons, au cours de cet atelier, de faire le point sur les secteurs dans lesquels les investissements en TIC permettraient réellement aux intervenants de la chaîne de valeur agricole d’obtenir un financement pour leur activité.

Organisateur

Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA)

Président

Prof. Henry Thairu, Président, Commission for University Education (CUE), Kenya

Intervenants

Julius O. Akinyemi, Entrepreneur-in-Residence, MIT Media Lab, États-Unis Chrissy Martin, Global Partnership Manager/ E-Vouchers, Zoona, États-Unis

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17:15-18:15 Ndovu

Description

17:15-18:15 Chui

Description

[S34] TIC – Où résident les meilleures opportunités de financement ?


Journée Plug and Play Lundi 14 juillet

Session

Heure Salle Description

[S35] Comment intégrer de manière stratégique les nouvelles technologies de financement dans les propositions de valeur d’une banque ? 17:15-18:15 Kifaru D’après le rapport Enhancing the Banking Customer Value Proposition Through Technology-led Innovation rédigé en 2011 par Accenture, internet et les technologies mobiles sont largement plébiscités par les clients. L’utilisation de portails internet, de portails de courtage, de plateformes d’échanges pair à pair, de medias sociaux, de services d’informations et de notifications, de services de transfert d’argent mobile, de paiements au moyen de dispositifs mobiles et de plateformes de courtage mobiles contribue à renforcer la confiance des clients. Si cette tendance se remarque dans quasi tous les secteurs, cet atelier examinera les avantages spécifiques que les nouvelles TIC peuvent apporter aux acteurs de la chaîne de valeur agricole. Les débats porteront plus parti-

culièrement sur les approches stratégiques permettant une intégration des nouvelles technologies de financement dans les propositions de valeur des banques.

Organisateur

Président

Intervenants

Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA) Rendez-vous sur http://fin4ag.org/fr/agenda.html] Md. Shahid Uddin Akbar, Directeur général, Bangladesh Institute of ICT in Development (BIID) Cameron Goldie-Scot, Cofondateur et Directeur général, Musoni Services, Pays-Bas


Jour 1 Mardi 15 juillet

Cérémonie d’ouverture Heure Salle

8:45-10:30 Ndovu

Session

Maître de cérémonie

Prof. Kinandu Muragu, Directeur exécutif, Kenya School of Monetary Studies

Allocutions de bienvenue

Dr Evans Kidero, Gouverneur, région de Nairobi Prof. Njuguna Ndung’u, Gouverneur, Banque centrale du Kenya Millison Narh, Président de l’Association africaine du crédit rural et agricole (AFRACA) et Gouverneur adjoint de la Banque du Ghana Luca Alinovi, Représentant, Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), Kenya Michael Hailu, Directeur, CTA Son Excellence l’Ambassadeur Lodewijk Briet, Chef de délégation, Union européenne Son Excellence Tumusiime Rhoda Peace, Commissaire pour l’économie rurale et l’agriculture, Commission de l’Union africaine (CUA) Son Excellence Felix Koskei, Ministre de l’Agriculture, du bétail et de la pêche, Kenya

Discours liminaire

Son Excellence Akinwumi Ayodeji Adesina, Ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Nigeria

Discours d’ouverture

Son Excellence Uhuru Kenyatta, Président de la République du Kenya

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Sessions

Heure Salle

[S1] Bonnes pratiques dans le financement des chaînes de valeur agricoles 11:00-12:30 Ndovu

Description

Pour bon nombre de banquiers, les produits financiers agricoles ne sont pas encore parvenus à se débarrasser de leur mauvaise réputation (produits risqués, à forte intensité de main-d’œuvre et souvent soumis à l’interventionnisme de l’État). Pourtant, toute une série de banques ont tenté, avec succès, de mettre en place une nouvelle approche dans le financement du secteur agricole : financement de la chaîne de valeur, avec atténuation des risques et diminution des frais de transaction en reliant les différents maillons de la chaîne de valeur, de la ferme à la table. Lors de cet atelier de travail, plusieurs banques présenteront des exemples de réussite dans le financement de la chaîne de valeur agricole et partageront les constats de leurs expériences en matière de conception et de gestion des transactions. Elles expliqueront également que les « chaînes de courte distance », desservant les marchés locaux plutôt que les marchés internationaux, peuvent aisément susciter l’intérêt des banques. Seront également abordées les questions relatives aux partenariats entre banques, entre partenaires au développement (y compris les ONG) et entre gouvernements afin de bâtir des chaînes plus solides et plus saines sur le plan financier. Enfin, nous verrons comment les banques peuvent exploiter les nouvelles technologies de l’information et de la communication pour consolider leurs produits financiers.

Organisateur

Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA)

Président

Jonathan Bell, Rédacteur en chef, Trade and Export Finance, Grande-Bretagne

Intervenants

Joseph Tilado Minoungou, Chargé de missions, Coris Bank International, Burkina Faso Octavian Mghanga Rewona, Chef d’équipe, Taita Agriculture and Livestock Enterprises, Kenya Gareth Coleman, Responsable commercial & logistique, ANZ, Papouasie-Nouvelle-Guinée


Jour 1 Mardi 15 juillet

Session

Heure Salle

Session [S40] Mettre les TIC au service des financements agricoles : quelles conclusions tirer de la journée Plug and Play ? 11:00-12:30 Chui

Description

Le concept de la journée « Plug and Play » a été développé lors de la première réunion du comité de pilotage de la conférence ICT4Ag. Ce concept entendait mettre en avant et présenter à nos partenaires des pays ACP les innovations applicables à l’agriculture dans le domaine des TIC et permettre ainsi aux jeunes innovateurs de commercialiser leurs produits. Fort du succès de la journée « Plug and Play » de Kigali lors de la conférence ICT4Ag, cet événement Fin4Ag souhaite réitérer l’expérience et la rendre encore plus constructive pour l’ensemble des parties prenantes. L’objectif de cet atelier est de faire le bilan des bonnes pratiques dans l’utilisation des TIC. Nous reviendrons sur les avancées dans le domaine des TIC et des financements, sur les innovations les plus prometteuses et leur potentiel, sur les lacunes qui subsistent dans l’utilisation des TIC au service des financements agricoles et sur quelquesunes des perspectives qui attendent les acteurs du secteur.

Organisateur

Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA)

Modérateur

Pete Cranston, Consultant informations, connaissances, TIC et médias sociaux, Euforic Services, Royaume-Uni

Intervenants

Benjamin K Addom, Coordinateur de Programme TICs, CTA, Pays-Bas Jermaine Henry, Directeur général/Cofondateur, projet Agro, Nanook Enterprises, Kingston, Jamaïque Jared Getenga, Gestionnaire de projet, Kenya Credit Information Sharing Initiative, Association of Kenya Credit Providers, Kenya Elisabetta Demartis, Chargée de recherche TIC pour l'agriculture, Université de Turin, Italie

Session

Heure Salle

[S53] Aider les jeunes entrepreneurs à se lancer dans une activité ICT4Ag : résultats du hackathon ICT4Ag 2013 11:00-12:30 Kifaru

Description

L’objectif premier du « hackathon » régional organisé par le CTA en marge de la conférence internationale ICT4Ag à Kigali en novembre 2013 était de promouvoir, parmi les jeunes, l’innovation et la création d’entreprises dans le secteur agricole. Un « hackathon » est un événement au cours duquel des programmeurs informatiques (et, le cas échéant, des responsables du développement) collaborent pendant une courte période à l’élaboration d’une plateforme ou d’une application TIC destinée à la résolution d’un problème spécifique. L’événement s’est traduit, concrètement, par l’organisation d’activités de renforcement des capacités autour du développement de plans commerciaux, de TIC, de couveuses d'entreprises et de prises de contact avec de potentiels investisseurs à l’issue de la conférence. Les lauréats et quelques-uns des meilleurs détenteurs de projets (proposés par l’Éthiopie, la Tanzanie, le Rwanda et l’Ouganda) ont participé à des programmes de parrainage d’entreprises gérés par les plateformes TIC suivantes : Outbix, Buni Hib, Klab et IceAddis. Les dossiers soumis portaient sur la simplification des procédures d’accès au crédit, les tests de fertilité des sols et la cartographie des terres agricoles. Les résultats de ces « championnats AgriHack » seront communiqués aux participants de cet atelier. Les débats s'articuleront autour des produits développés par les jeunes entrepreneurs, l’intensification de la coopération entre les plateformes TIC et les organismes agricoles, les modèles commerciaux propres aux entreprises ICT4Ag et les activités de suivi.

Organisateur

Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA)

Président

Ken Lohento, Coordinateur de Programme TICs, CTA, Pays-Bas

Intervenants

Représentant, Ministère de l’Agriculture et des ressources animales, Rwanda [TBC] Représentant, Ministère de la jeunesse et des TIC, Rwanda [TBC] John Kieti, Chef de projet, m:Lab East, Afrique de l’Est (plateforme TIC) Opio Obwangamoi David, Fondateur et Directeur général, Ensibuuko, lauréat du Hackathon ICT4Ag Hackathon, Ouganda [TBC] Peris Bosire, Cofondateur, Farm Drive, Tanzanie, finaliste régional du Hackathon ICT4Ag

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Jour 1 Mardi 15 juillet

Session

Heure Salle

[S24] Mise au point de systèmes de prêt innovants pour les agriculteurs et d’assurances climatiques pour une agriculture résistante aux aléas climatiques 11:00-12:30 Twiga

Description

Les changements et aléas climatiques exacerbent les risques auxquels sont confrontés les agriculteurs. Par conséquent, les crédits agricoles sont susceptibles d'être alourdis de frais supplémentaires étant donné que les organismes financiers traditionnels se montrent peu enclins à supporter ce type de risques et à octroyer des prêts aux exploitants. Au cours de cet atelier, nous aborderons les produits financiers innovants destinés à l’agriculture qui pourraient concourir à l'émergence d'une agriculture résistante au climat. Il est en effet indispensable de pallier les défaillances de la finance conventionnelle qui rechigne à supporter les risques, selon elle trop importants, découlant des aléas climatiques. Nous passerons en revue les situations dans lesquelles les octrois de prêts agricoles et de produits d’assurance climatique sont parvenus à atténuer les risques pour l’ensemble des parties prenantes. Nous examinerons les types d’investissement nécessaires à l’élaboration de données climatiques fiables et les différentes modalités de partenariats publics-privés propices à la mise en œuvre des solutions identifiées.

Organisateur

Centre technique pour la coopération agricole et rurale (CTA)

Président

Prof. Jimmy Adegoke, Directeur, Center for Applied Environmental Research (CAER), Université du Missouri, États-Unis

Intervenants

Dr Oluyede Ajayi, Coordinateur de Programme Senior, Politiques DAR, CTA, Pays-Bas Bernard Pacher, Directeur général, PPP ADCON GmbH, Belgique Shadreck Mapfumo, Expert financier, Directeur du Global Index Insurance Facility Programme, International Finance Corporation (IFC), Afrique du Sud Ernest Chitechi, Responsable des partenariats et de la politique de vulgarisation, Climate Innovation Center, Kenya

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€ Session

Heure Salle

[S11] Financement du commerce intra-africain des denrées alimentaires 14:00-15:30 Ndovu

Description

Malgré son statut de producteur majeur de denrées alimentaires, l’Afrique sub-saharienne reste dépendante des importations de ces mêmes produits. Entre 2002 et 2012, la région a consacré un montant de 234 milliards de dollars à l’importation de biens tels que des céréales, du poisson, du sucre et des produits laitiers, alors qu’elle a le potentiel de satisfaire ses besoins grâce à sa production régionale. La croissance urbaine en Afrique est appelée à perdurer et, si la région maintient cette dépendance vis-à-vis des importations alimentaires pour nourrir les habitants des villes, l’Afrique verra ses dépenses en importations de denrées alimentaires multipliées par trois au cours des deux prochaines décennies. Nul doute que sa capacité d’investir dans les infrastructures et la production s’en trouvera alors compromise. Les gouvernements tentent de renverser cette tendance en mettant en œuvre des réformes politiques et en investissant dans des structures commerciales. Leurs actions pourraient déterminer une augmentation rapide des échanges de denrées agricoles et ouvrir de nouvelles opportunités pour les banques qui se sont spécialisées dans le financement de ces flux commerciaux. À défaut de plans de financement efficaces, la position concurrentielle des producteurs africains sera compromise. Voyez par exemple le cas d’un moulin à maïs en Zambie qui a le choix entre l’achat de maïs américain avec un crédit sur trois ans et l’achat de maïs ougandais à payer au comptant. Au cours de cet atelier, nous nous pencherons sur les difficultés actuelles, les perspectives en vue et le rôle que les gouvernements et les banques peuvent jouer pour contribuer à un commerce international de denrées alimentaires financé de façon efficace.

Organisateur

Association africaine du crédit rural et agricole (AFRACA)

Président Intervenants

Banque africaine de développement (BAD), Tunisie David Kalyango, Directeur financier exécutif, Banque d’Ouganda Lamon Rutten, Chef de Programme, Politiques, Marchés & TICs, CTA, Pays-Bas Gerald Makau Masila, Directeur général, Eastern Africa Grain Council (EAGC), Kenya George J. Magai, Directeur commerce et marchés, Alliance for Commodity Trade in Eastern and Southern Africa (ACTESA), Zambie


Jour 1 Mardi 15 juillet

Session Heure Salle Description

[S30] Agriculture et stabilité des prix 14:00-15:30 Simba Dans la plupart des pays africains, les prix des produits alimentaires sont une composante volatile cruciale de l’indice des prix à la consommation. Ce climat d’incertitude qui règne sur les prix a un impact énorme sur les décisions et les investissements dans le monde des affaires et a des implications jusque dans la gestion de la politique monétaire. Une modernisation de l’agriculture est donc cruciale pour une meilleure gestion des risques et pour la croissance économique. La croissance agricole est dès lors un impératif social, économique et politique. Suite à l'évolution rapide des populations urbaines, une dépendance croissante vis-à-vis de l’importation de denrées alimentaires absorbe les gains de change et expose les gouvernements aux risques inhérents à l’instabilité des prix à l’importation des denrées alimentaires. C’est ainsi que la demande de produits financiers abordables permettant de gérer les risques liés aux prix des denrées alimentaires se fait pressante. La Société financière internationale (SFI), par exemple, propose un produit de gestion des risques en matière de prix pour que les banques puissent assumer l’exposition au risque des crédits envers les entreprises et les agriculteurs. Ainsi, les producteurs peuvent acquérir une couverture qui garantit que la valeur future de leur produit couvre le coût de leurs emprunts. De tels produits encouragent également les prêts à l’investissement pour le secteur agricole, étant donné que l’emprunteur a plus de certitude d’obtenir un retour fixe. La généralisation de ces initiatives requiert le développement de directives prudentielles, d'un support structurel, d’un marché des capitaux robuste et d'un programme d'éducation financier.

Organisateur

Session

Banque Centrale du Kenya (CBK)

Président

Prof. Emmanuel Tumusiime Metebile, Gouverneur de la Banque d’Ouganda

Intervenants

Ato Teklewold Atnafu, Gouverneur de la Banque Nationale d’Éthiopie Basiru A.O. Njai, Premier Sous-gouverneur de la Banque Centrale de Gambie Dr Michael M. Gondwe, Gouverneur de la Banque de Zambie Deogratias Mutombo Mwana Nyembo, Gouverneur, Banque Centrale du Congo

Heure Salle

[S5] Les innovations au banc d’essai : financement des chaînes de valeur de l’élevage et des produits laitiers : expériences d’Afrique orientale et australe 14:00-15:30 Chui

Description

Ce panel abordera trois exemples de projets portant sur la fourniture durable de produits et de services financiers aux acteurs petits et moyens des chaînes de valeur du bétail et des produits laitiers d’Afrique orientale et australe. Tous les modèles de développement présentés ont les petits producteurs pour bénéficiaires finaux, mais les partenaires associés à la fourniture des produits et services de financement et d'assurance sont des acteurs privés des chaînes de valeur de la viande et des produits laitiers. Aussi, cette discussion de 45 minutes ne s'orientera-t-elle pas uniquement sur les avantages et les inconvénients des outils scientifiques exploités pour identifier les contraintes essentielles à l’innovation financière durable dans le secteur du bétail. Nous aborderons également les modèles d’activités requis pour permettre aux modèles théoriques de financement et d’assurance de fonctionner efficacement en conditions réelles sur les chaînes de valeur du bétail et des produits laitiers des pays en voie de développement. Une quarantaine de minutes seront encore consacrées à évoquer avec les participants les enseignements à retirer des modèles de financement et d’assurance pour les chaînes de valeur du bétail et des produits laitiers d'autres régions, en vue d’atteindre un consensus sur les approches les plus réalistes pour les pays ACP.

Organisateur

Institut international de recherche sur l’élevage (ILRI)

Président

Jo Cadilhon, Agroéconomiste senior, Programme politique, commerce et chaînes de valeur, ILRI, Kenya

Intervenants

Bryn Davies, Manager marché et développement des capacités, ILRI, Kenya Signe Nelgen, ILRI, Nairobi, Agroéconomiste, Programme politique, commerce et chaînes de valeur, ILRI, Kenya Edgard Twine, Chercheur post-doctorant – Économiste des chaînes de valeur, ILRI, Tanzanie Représentant du système de financement de l’exportation du bœuf en Namibie

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Jour 1 Mardi 15 juillet

Session

Heure Salle

[S48] Défi pour les agriculteurs ouest-africains : comment le secteur privé peut-il jouer le rôle d’intermédiaire entre les agriculteurs et les banques ? 14:00-17:30 Kifaru

Description

L’échec des banques de développement agricole né dans les années 1970 a donné lieu à plusieurs trajectoires de financement de l’agriculture. Cependant, des initiatives nouvelles telles que la microfinance en milieu rural et la création des caisses de crédit par les OP ont été développées dans les années 1990. La microfinance a suscité beaucoup d’espoir mais l’on constate qu’elle se déplace du milieu rural vers le milieu urbain, plus rentable et moins risqué. Les caisses de crédit des OP se sont trouvées être, dans plusieurs régions, les seules opportunités d’accès au financement avec, dans certains cas, leur faiblesse structurelle. Cette session adresse les financements innovants des chaînes de valeur avec un accent sur les initiatives paysannes et les expériences en cours dans la région Afrique de l’Ouest. La première moitié de cette session sera consacrée aux réponses paysannes à l’absence de financement innovant sur la chaîne de valeur et la seconde moitié de la session sera consacrée à revisiter le financement de la chaîne de valeur à l’échelle régionale en Afrique de l’Ouest.

Organisateurs

Réseau des Organisations Paysannes et des Producteurs Agricoles de l’Afrique de l’Ouest (ROPPA) Centre technique pour la coopération agricole et rurale (CTA)

Président – 1e partie

Heure Salle

[S42] Gestion des risques liés aux prix et au climat en faveur du financement agricole 14:00-15:30 Twiga

Description

La réduction des risques liés aux prix et au climat est un des principaux paramètres du financement agricole. Le financement des chaînes de valeur comprend aussi de nombreux instruments relatifs au financement et aux chaînes de valeur qui sont spécialement conçus pour améliorer la gestion des risques systémiques et individuels. L’approche des chaînes de valeur contribue à réduire les risques liés aux prix grâce à des marchés et des ventes protégés, ainsi que les risques liés à la production par un meilleur accès aux semences, aux pratiques et aux technologies agricoles, et aux services de développement agricole. Les produits axés sur les risques météorologiques gagnent du terrain, mais leur exploitation générale reste faible, sauf en cas de subsides, et les producteurs sont peu enclins à payer l'assurance de manière volontaire. D’autres acteurs plus loin dans la chaîne de valeur pourraient néanmoins souhaiter une telle assurance et en avoir besoin ou intégrer les frais d'assurance aux coûts opérationnels. Le raisonnement est clair : si une entreprise de marketing a des contrats de vente contraignants, il est important de disposer d’un approvisionnement sécurisé. Si une récolte est mauvaise, non seulement le produit ne sera pas disponible, mais les remboursements de prêts pour toute avance accordée ne pourront pas être effectués. Cette session examinera certaines expériences dans l’utilisation d'outils de gestion des risques liés aux prix et au climat.

Organisateurs

Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO)

Président

Roy Parizat, Économiste senior, Département des services agricoles et environnementaux, Banque Mondiale, États-Unis

Intervenants

Arijit Dutta, Chief Operating Officer, BASIX, Inde Prof. Mario J. Miranda, Professeur de Development Economics and Quantitative Methods, Université de l’Ohio, États-Unis Dr Apurba Shee, Économiste agricole, Institut international de recherche sur l’élevage (ILRI), Kenya

Djibo Bagna, Président, ROPPA, Burkina Faso

Modérateur – 1e partie

Nedjema Bennegouch, Chef des partenariats, Afrique occidentale, SOS-Faim, Luxembourg

Intervenants – 1e partie

Marius Dia, Coordinateur, Unité d’assistance technique, Cadre National de Coordination des Ruraux (CNCR), Sénégal Ibrahima Bah, Coordinateur national, Coordination Nationale des Organisations Paysannes (CNOP) de Guinée Falery Boly, Président, Syndicat des Exploitants Agricoles de l'Office du Niger (SEXAGON), Mali

Président – 2e partie

Ousseini Salifou, Directeur, Agence régionale pour l’alimentation et la nutrition, CEDEAO

Intervenants – 2e partie

Elhadj Abdoulaye Diack, Directeur exécutif, Association Afrique Agro Export (AAFEX), Sénégal Pathé Gueye, Directeur, Banque d'Investissement et de Développement de la CEDEAO (BIDC), Togo

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Session


Jour 1 Mardi 15 juillet

Session

Heure Salle Description

Organisateur Président

Orateurs

[S9] Prêts agricoles pour les institutions de microfinance : l’expérience kenyane 14:00-15:30 Kiboko Certaines institutions de microfinance (IMF) ont développé des produits et des services au profit des petits producteurs. Cependant, de nombreux facteurs compliquent la tâche aux fournisseurs de microfinance durable désireux d’étendre leurs activités au financement agricole. Qui dit agriculture, dit avant tout risques importants, revenus bien souvent bas, chaînes de valeur faibles, infrastructure médiocre, information insuffisante des clients, registres de propriété et marchés limités et distorsions politiques. Ensuite, l’agriculture requiert des instruments de prêts différents de ceux utilisés par les IMF en zones urbaines. Les IMF doivent adapter leurs produits financiers et leurs mécanismes de fourniture pour faire concourir le décaissement et le remboursement avec les cycles de production agricole, offrir de la flexibilité dans les exigences de nantissement, proposer des mécanismes de fourniture flexibles, notamment à travers l’exploitation des TIC, et développer des techniques de gestion des risques. Si elles y parviennent, les IMF peuvent également offrir des crédits pour des besoins non agricoles, ménagers et d’urgence ainsi que des services d’épargne et de transfert d’argent. Les IMF qui appliquent les bonnes pratiques peuvent également s'engager dans l'efficacité, la transparence des rapports, la qualité élevée du portefeuille et la durabilité. Les membres du panel des IMF évoqueront la façon dont elles ont développé leurs activités de prêts agricoles. Le prêt agricole peut-il être rentable ? Quelles solutions ont fonctionné et lesquelles pas ? Comment les IMF ont-elles revu leurs activités de prêts agricoles ? Comment les TIC ont-elles résolu les contraintes propres aux zones rurales ? Cette session analyse les enseignements du Kenya. S13 apportera des expériences mondiales. Association des Institutions de microfinance (AMFI) Aleke Dondo, Expert en microfinance, Agence de développement K-Rep (KDA), Kenya Anne Gathuku, Administrateur général, Greenland Fedha Ltd, Kenya John Mwara Kibochi, Administrateur délégué, Faulu Microfinance Bank Ltd, Kenya Benjamin Kimosop, Juhudi Kilimo, Kenya John Masha, Administrateur général, Micro Enterprises Support Programme Trust (MESPT), Kenya Benjamin F. Nkungi, Directeur général, Association of Microfinance Institutions, Kenya

Session

Time Room Description

Organisateur

[S31] Interventions des banques centrales dans l’agriculture 16:00-17:30 Ndovu À la fin du 19e siècle, les banques centrales des ÉtatsUnis et d’Europe ont créé des taux de rémunération plus bas pour le financement des récépissés d’entreposage. En 1848, la Banque de France a développé des ‘entrepôts sous obligation’ qui ont contribué à injecter des liquidités dans le système monétaire. Plus tard, les banques centrales d’Amérique latine et des Philippines ont aussi offert des services d'escompte pour les prêts de récépissé d'entreposage. Plus récemment, le gouvernement et les institutions financières du Brésil ont mis sur pied un mécanisme permettant aux agriculteurs d'obtenir un financement à court terme par l'émission de reconnaissances de dette. En Afrique, certaines banques centrales ont tenté d’étendre l’accès au financement agricole. Au Nigeria, le système de gestion des risques basé sur des incitants pour les prêts agricoles est avant tout soutenu par la Banque centrale du pays. L'objectif est le suivant : (i) atténuer les risques de l’agriculture pour que les banques puissent prêter en toute confiance, et (ii) encourager les banques à accorder des prêts aux producteurs à l’aide d’incitants et d’assistance technique. Parmi les autres efforts sur le continent africain, il y a la création de bureaux de référence de crédit et de registres de garantie. Les banques centrales se concentrent toutefois le plus sur leur rôle de gardien de la stabilité monétaire. Dans ce cadre, la session abordera les limites des interventions des banques centrales. Comment les banques centrales peuvent-elles contribuer à renforcer la croissance agricole sans mettre en péril leur rôle crucial dans la politique monétaire ? Banque centrale du Kenya

Président

Millison Narh, Président de l’AFRACA et Sous-gouverneur, Banque du Ghana

Intervenants

Rwangombwa John, Gouverneur, Banque Nationale du Rwanda Benno Ndulu, Gouverneur, Banque Centrale de Tanzanie Sarah Alade, Gouverneur faisant fonction, Banque Centrale du Nigeria Alejandro S Alvarez de la Campa, Global Product Leader, Secured Transactions and Collateral Registries, IFC, États-Unis

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Jour 1 Mardi 15 juillet

Session

Heure Salle

[S45] Paysage économique du financement numérique agricole 16:00-17:30 Simba

Description

Appelé ‘argent mobile’ à l’origine, ce secteur très jeune en évolution rapide est à présent appelé le 'financement numérique’. L’argent mobile a débuté par des paiements entre deux individus à l’aide de téléphones portables, pour rapidement devenir un moyen de paiement d’entités plus importantes ou de gouvernements. Alors que des sommes de plus en plus importantes circulaient en dehors du système bancaire, les banques ont remarqué cette menace et n’ont plus voulu rester sur la touche. Les notions de services bancaires mobiles (produits bancaires par téléphone) et sans succursales (agents bancaires non traditionnels) sont rapidement apparues sous la forme de projets communs entre multinationales et banques. Ces changements prometteurs n’ont pas échappé aux régulateurs des banques centrales à travers le monde, qui ont généralement adopté le potentiel de l’inclusion financière tout en transposant les enseignements et les bonnes pratiques dans la réglementation. Le financement mobile dans toutes ses déclinaisons s'intègre sans problèmes aux technologies numériques telles que les cartes intelligentes, les terminaux de point de vente, l’identité biométrique, les DAB et autres. Le panel abordera cette histoire, décrira comment le financement numérique peut aider les familles et analysera les trois approches du financement numérique agricole (étude de marché, alliance stratégique et intégration horizontale dans les interventions sur les chaînes de valeur agricoles).

Organisateur

Centre technique pour la coopération agricole et rurale (CTA)

Modérateur

[à confirmer], GSMA

Intervenants

Birgit Deibele, Directrice de la communication, Afrique, Mastercard Carol K. Kabooza, Directeur de programme, mercy Corps Herman Louw, Finico Technologies (Pty) Ltd. Eddie Sam Kumakech, Responsable coopératives, Ministère du Commerce, Ouganda

Session

Heure Salle

16:00-17:30 Chui

Description

Les services de gestion des garanties (‘field warehousing’) font de longue date partie de l’arsenal des banques notamment européennes et américaines pour soutenir le financement commercial des producteurs de matières premières et des petites et moyennes entreprises. Les gestionnaires de garanties contrôlent les produits comme garanties pour les prêts, mais apportent également des données précieuses sur ceux-ci aux financiers et peuvent aider à structurer les prêts. En l'absence de tels services, des banques ont décidé de créer elles-mêmes des filiales de gestion des garanties. A ce jour, bon nombre des principaux gestionnaires de garanties en Amérique latine et en Turquie appartiennent à des banques. L’Afrique est mal desservie en gestion des garanties. Les rares entreprises internationales toujours actives sur le continent s'orientent sur le commerce international, alors que les gestionnaires de garanties locaux ne disposent souvent pas des fonds ou des systèmes pour atténuer adéquatement les risques bancaires. Y a-t-il alors de la place pour une nouvelle société panafricaine de gestion des garanties ? Une entreprise qui chapeauterait les sociétés locales et sous-régionales intéressées, qui disposerait d'outils renforcés de gestion des risques et des fonds. Une entreprise qui pourrait voir le jour grâce aux banques africaines qui souhaitent étendre leur présence dans le secteur des matières premières ? La session examinera le champ d'action d'une telle entreprise et sondera l'intérêt du public pour l'appui de sa création et de son développement.

Organisateur

Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA)

Président

26

[S23] Gestion des garanties au niveau panafricain

Intervenants

[à confirmer] Rendez-vous sur http://fin4ag.org/fr/agenda.html Alex Clemence Gideon Kwayu, Directeur, CGS Collateral Control Company Limited, Tanzanie Nicholas Budd, Ancien partenaire, Denton Wilde Sapte, France Ayodeji Balogun, Business and Investment Officer, Africa Exchange Holdings Ltd, Nigeria


Jour 1 Mardi 15 juillet

Session

Heure Salle Description

[S43] Gestion des risques de production et commerciaux en faveur du financement agricole 16:00-17:30 Twiga Les techniques de gestion des risques et le contrôle de la volatilité des prix pourraient servir à compenser certains risques au sein des chaînes de valeur agricoles. L’expérience a démontré qu’il existait de nombreuses façons d'atténuer les risques : information, connaissance du marché, connaissance des chaînes et/ou acquisition de liens tout au long de la chaîne. Atténuer les risques est une des conditions les plus urgentes dans le domaine de la finance. Les marchés à terme et les options sont des instruments d’atténuation utilisés par des producteurs, investisseurs et commerçants dans le secteur du marketing agricole. Ce type de mécanisme peut permettre aux producteurs d'émettre une note en promettant de fournir une quantité et une qualité spécifiques de produits à un moment donné et un endroit spécifique dans le futur. En échange, les acheteurs paient d’avance une somme correspondant à la quantité de produit, en guise de protection contre les chutes des prix et en guise d'instrument d'accès au financement de la production ; dans certains cas, le système peut servir à atténuer les risques pour les acheteurs. Plusieurs instruments innovants de ce type seront décrits lors de la session, en ce compris les outils physiques liés aux risques de production et de marketing.

Organisateur

Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO)

Président

Md Shahjahan Ali, General Manager, Central Accounts & Finance, Grameen Bank, Bangladesh

Intervenants

Elies Fongers, Chargé de projet senior, Rabobank, Pays-Bas Moritz Waldstein Wartenberg, Transparency Innovations Manager, Technoserve, Ethiopie

Session

Heure Salle

[S13] Études de cas : prêts agricoles d’institutions de microfinance 16:00-17:30 Kiboko

Description

Cette session est une suite au débat de la session sur les prêts agricoles pour les institutions de microfinance : l’expérience kenyane (session S9). Les membres du panel des institutions de microfinance (IMF) examineront la façon dont elles ont développé leurs activités de prêts agricoles. Le prêt agricole peut-il être rentable ? Quelles solutions ont fonctionné et lesquelles pas ? Comment les IMF ont-elles revu leurs activités de prêts agricoles ? Quelles sont les innovations que les IMF devraient envisager pour renforcer leurs activités de prêts agricoles ?

Organisateur

Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA)

Président

David T. Baguma, Directeur exécutif, Association of Microfinance Institutions in Uganda (AMFIU)

Intervenants

Emmanuel Akinyemi Akintola, Directeur général, Community Development Foundation (CDF), Nigeria Prof. Badr Eldin A. Ibrahim, Président de l’Unité de Microfinance, Banque Centrale du Soudan Ann Marie Mwaka Sabano, Manager, Agricultural Credit, Centenary Bank, Ouganda Erwin S. Embuscado, Assistant Manager, Alalay Sa Kaunlaran, Inc. (ASKI), Philippines

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Jour 2 Mercredi 16 juillet

Sessions Session

Heure Salle Description

Organisateur

[S4] Développement et réglementation des instruments financiers pour l'agriculture : que pouvons-nous apprendre du Brésil et des autres pays ?

Heure Salle

[S41] Outils de gestion du risque pour la finance agricole 08:45-10:30 Simba

Description

L'accès au financement de tous les acteurs de la chaîne de valeur améliore l'efficience des opérations et garantit la réalisation des objectifs, ce qui soutient la croissance du secteur. La limitation de l'accès au financement agricole compromet l'efficience des chaînes de valeur agricoles, du fait de l'utilisation d'approches commerciales rudimentaires. Lors d'un symposium international sur l'agriculture, organisé à Kampala en 2013, il est apparu que les banques commerciales et les institutions de microfinance possèdent les produits et services de financement agricole qui répondent aux besoins des entrepreneurs de l'agriculture industrielle. Cependant, les prêts accordés au secteur agricole ont diminué en raison des risques associés à ce secteur. Ce constat rejoint les résultats d’autres recherches présentés durant le symposium, selon lesquels plusieurs facteurs restreignent la prise de crédit par les acteurs de la chaîne de valeur agricole. Même lorsque le crédit est accessible, des contraintes en affectent l'utilisation. Les défis ou les risques concernent toute la chaîne de valeur, indépendamment des acteurs et du genre.

Organisateurs

Kilimo Trust Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA)

08:45-10:30 Ndovu Les banques ne constituent pas la seule source externe de financement pour le marché agricole. Les fonds d'investissement et d'autres instruments du marché des capitaux ont aussi un rôle important à jouer. Ce panel abordera les expériences acquises dans le développement d'instruments financiers pour l'agriculture. Quel type d'instruments avons-nous vu apparaître dans les pays en voie de développement ? Quel rôle les banques centrales et les autres pouvoirs publics ontils joué dans leur émergence ? Leur introduction a-telle posé des problèmes de réglementation ? Le panel prendra comme référence l'expérience du Brésil avec les « Rural Product Notes » : des titres de créance émis par les agriculteurs et garantis par leur future production ou par leur bétail. En échange de ces titres, les agriculteurs peuvent obtenir un crédit, par exemple pour acheter des intrants. L'expérience du Brésil a remporté un franc succès, mais cette réussite est soumise à certaines conditions : des agriculteurs liés à des chaînes de valeur (c.-à-d. orientés vers le marché) ; un cadre légal favorable, qui permet notamment une transaction efficace des litiges commerciaux ; la disponibilité d'une assurance qui couvre, par exemple, les risques liés aux intempéries ; et l'existence d'agences de contrôle et de registres électroniques. Dans quelle mesure peut-on reproduire ces conditions en Afrique ?

Président

Prof. Nuhu Hatibu, Directeur général, Kilimo Trust, Ouganda

Vice-président

Dr Oluyede Ajayi, Coordinateur de Programme Senior, Politiques DAR, CTA, Pays-Bas

Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA)

Intervenants

Amb. Phillip Idro, Directeur général, Upland Rice Millers Ltd, Ouganda Dr Birungi Korutaro, Directeur adjoint, Kilimo Trust, Ouganda Esther Muiruri, Administrateur général, Agribusiness, Equity Bank, Kenya

Rapporteur

Henry M. Mwololo, Responsable de programme, Gestion des connaissances, Kilimo Trust

Président

Jonathan Bell, Rédacteur en chef, Trade and Export Finance, Royaume-Uni

Intervenants

Samuel Dzotefe, Principal Investment Officer, Agribusiness, International Finance Corporation (IFC), ÉtatsUnis Lamon Rutten, Chef de Programme, Politiques, Marchés & TICs Edwin Moyo, Président exécutif, Rollex Pvt. Ltd., Zimbabwe Alexis F.K. Aning, Chief Executive Officer, CCH Finance House Ltd (filiale de Commodity Clearing House Ltd)

28

Session


Jour 2 Mercredi 16 juillet

Session

Heure Salle Description

Organisateur

Modérateur

[S46] Trois platesformes numériques pour le financement agricole 08:45-10:30 Chui Des études récentes révèlent l'empressement des acheteurs de marchandises à se doter des moyens de paiement les plus rapides. SmartMoney est un fournisseur ougandais de services financiers mobiles. Il travaille avec de grands acheteurs de coton et de café pour que leurs paiements mobiles se substituent aux paiements au comptant. Dans le cadre du projet RiMFin, financé par VISA, le plus grand acheteur de riz au Ghana a remplacé ses paiements au comptant par des paiements Tigo Cash. En Zambie, le plus grand acheteur de coton, NWK, joue à fond la carte du paiement électronique : après les paiements mobiles et les bons d'échange électroniques, il utilise actuellement les cartes bancaires prépayées. Enfin, en Colombie, Better Than Cash Alliance va réaliser une étude de cas sur un système de paiements par carte intelligente destiné au secteur caféier. Les participants, initiateurs de la finance agricole numérique, partageront des enseignements et des pratiques d'excellence dans l'optique de la recherche sur les modèles de comportement des agriculteurs en termes d'utilisation d'espèces, sur la formation d'alliances stratégiques et sur l'intégration dans leur programme de vulgarisation agricole.

Session

Heure Salle Description

Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA)

08:45-10:30 Kifaru L'amélioration de l'accès aux financements des agricultrices, des transformatrices, des femmes entrepreneurs, des innovatrices et des propriétaires d'entreprise est cruciale pour la transformation structurelle de l'agriculture africaine, pour le renforcement de la gestion des risques aux niveaux du ménage et de la communauté, pour la réalisation des objectifs de croissance accélérée de l'agriculture africaine et pour la réalisation des objectifs de transformation durant la prochaine décennie du Programme détaillé pour le développement de l'agriculture africaine. Durant cette session, nous aborderons les manières dont les institutions financières réussissent à intégrer les femmes dans le développement d'entreprises et dans l'amélioration des performances de celles-ci. Quels changements les institutions financières ont-elles introduits pour attirer des clientes ? Comment les TIC contribuent-elles à éliminer la contrainte de la « connexion client » et à inclure les agricultrices et les transformatrices dans les modèles économiques des institutions financières ? Les organisations d'agriculteurs en sont-elles la clé ? Quels sont les produits financiers les plus populaires parmi les femmes à chaque étape de la chaîne de valeur agricole, et pourquoi ? Quelles en sont les implications pour l'évaluation des institutions financières ?

Dr Lee Babcock, Consultant, États-Unis Organisateur

Orateur

[S36] Les femmes et le financement des chaînes de valeur agricole : les clés de la réussite !

Kwesi Korboe, Représentant national, Agribusiness Systems International (ASI), Ghana Michael Spencer, Fondateur et Directeur général, SmartMoney, États-Unis Représentant, 'NWK Agri-Services, Zambie Rendez-vous sur http://fin4ag.org/fr/agenda.html

Commission de l'Union africaine (CUA)

Président

Dr Joyce Cacho ; conseiller/consultant – agriculture industrielle et genre ; département d'économie rurale et d'agriculture (DREA), Commission de l'Union africaine

Intervenants

Wzo Meaza Ashenafi, Président, Enat Bank, Éthiopie Réki Moussa Hassane, Directrice Générale, ASUSU S.A., Système financier décentralisé, Niger Antonio Souto, Directeur général du GAPI et Président du conseil d'administration de Banco Terra, Mozambique SE Dr Joseph Sam Sesay, Ministre de l'Agriculture, des forêts et de la sécurité alimentaire, Sierra Leone

€ 29


Jour 2 Mercredi 16 juillet

Session

Heure Salle

[S49] Le défi des agriculteurs d'Afrique de l'Est : établir des banques agricoles au niveau national ou régional en Afrique de l'Est : perspectives et étapes concrètes 8:45-12:30 Twiga

Session

Time Room Description

Description

L'accès limité au crédit, soumis à des conditions strictes, et son prix élevé sont régulièrement dénoncés comme obstacles majeurs au développement de l'agriculture en Afrique de l'Est. Sans crédit abordable, les petits producteurs ne peuvent pas acquérir les ressources nécessaires pour investir dans leur entreprise. Les membres de l'Eastern African Farmers Federation (EAFF) entreprennent actuellement diverses actions pour résoudre ce problème. Avec le soutien du CTA, l'EAFF a commandé en 2013 une étude sur les modèles de financement agricole dans la région. L'étude a généré diverses idées sur de possibles modèles à diffuser. Malgré ces initiatives, il n'existe toujours pas de solution globale à la problématique de l'accès au crédit des petits producteurs. Durant cette session, nous discuterons et conviendrons de propositions concrètes pour la création d'une banque agricole et d'une politique de financement agricole.

Organisateurs

East African Farmers’ Federation (EAFF) Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA)

Président

Cesarie Kantarama, 1e Vice-président de l'Eastern Africa Farmers Federation (EAFF), Rwanda

Intervenants

Vea Kavira, Directeur exécutif, Ligue des Organisations des Femmes Paysannes du Congo (LOFEPACO), République démocratique du Congo Wiligis Mbogoro, Directeur exécutif, Tanzania Federation of Co-operatives (TFC), Tanzanie Tadesse Meskela, Directeur général, Oromia Coffee Farmers’ Co-operative Union (OCFCU) et Vice-président de l'EAFF, Éthiopie Stephen Muchiri, Directeur général, Eastern Africa Farmers Federation (EAFF), Kenya Joseph Nkandu, Directeur exécutif, National Union for Coffee Agribusinesses and Farm Enterprises (NUCAFE), Ouganda Augustine Mwendya, Secrétaire exécutif général, Uganda National Farmers’ Federation (UNFFE), Ouganda

Rapporteur

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Stevenson Nzaramba, Trade and Agribusiness Officer, Eastern Africa Farmers Federation (EAFF), Kenya

Organisateur

[S29] Forum des banques centrales : importance de l'agriculture pour l'inclusion financière et la stabilité 11:00-12:30 Ndovu Amener des personnes dans le système financier supervisé réduit les risques, promeut la stabilité et améliore l'intégrité. Le gouverneur de la Banque du Bangladesh attribue la capacité de son pays à surmonter la crise financière mondiale à la forte demande interne, soutenue par les initiatives d'inclusion financière dans l'agriculture, par les petites et moyennes entreprises et par les énergies renouvelables. Certains régulateurs ont consenti d’importants efforts afin de mettre en équilibre la stabilité et l'intégrité de leur système financier avec la nécessité de garantir le caractère inclusif des services financiers. Cependant, de nombreuses institutions financières accusent du retard, tout comme les politiques, les règles et les réglementations sous lesquelles elles sont actives. Des innovations significatives ont eu lieu dans certains pays, mais elles se répandent lentement à d'autres. Dans les pays où de telles initiatives ont pris racine, on se concentre sur les politiques misant sur les synergies potentielles entre les banques, les institutions de microfinance et les fournisseurs de téléphonie mobile. Banque centrale du Kenya

Président

Prof. Benno Ndulu, Gouverneur de la Banque centrale de Tanzanie

Intervenants

Dr Zeti Akhtar Aziz, Banque Negara, Banque centrale de Malaisie Ajith Nivard Cabraal, Banque centrale du Sri Lanka Prof. Njuguna Ndung'u, Gouverneur de la Banque centrale du Kenya Benny Popoitai, Banque de Papouasie-NouvelleGuinée Sarah Alade, Gouverneur intérimaire de la Banque centrale du Nigeria


Jour 2 Mercredi 16 juillet

Session

Heure Salle Description

Organisateurs

Président

Intervenants

[S17] Systèmes d'entreposage et de gestion des garanties pour un meilleur accès à la finance 11:00-12:30 Simba Le financement sur récépissé d'entrepôt est un prêt consenti par une banque, une institution de microfinance ou un fournisseur et garanti sur une récolte déposée dans un entrepôt exploité par un tiers ou par un groupe représentatif d'agriculteurs. La dette est représentée par un instrument spécifique (un récépissé d'entrepôt ou warrant). Bien que le financement sur récépissé d'entrepôt affiche un bilan positif dans de nombreux pays, il ne permet pas encore de dégager suffisamment de financements pour répondre aux besoins de tous les petits producteurs africains. À la fin de 2013, l'AFD, le CTA et le FIDA ont commandé une étude approfondie, couvrant neuf pays africains, sur les possibilités de promouvoir l'émergence d'opérateurs d'entrepôts publics et de gestionnaires de garanties accrédités, afin d'augmenter les financements basés sur les biens corporels affectés en garantie. L'étude comporte une évaluation préalable à la fois légale/réglementaire et institutionnelle, destinée à identifier les obstacles à la mise en œuvre du financement sur récépissé d'entrepôt. En outre, l'étude formule des recommandations pour favoriser le bon développement du financement sur récépissé d'entrepôt et des opérateurs d'entrepôt. Durant cette session, les consultants principaux de cette étude, terminée en juin 2014, parleront de leurs conclusions. Agence française de Développement (AFD) Fonds international de développement agricole (FIDA) Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA) [TBD] Rendez-vous sur http://fin4ag.org/fr/agenda.html Jonathan Coulter, Directeur, J Coulter Consulting Ltd., Royaume-Uni Geoffrey L. Wynne, Directeur, Sullivan & Worcester, Royaume-Uni Sam Fowler-Holmes, Associé, Sullivan & Worcester, Royaume-Uni Ibrahima Diakhoumpa, Agricultural Value Chain Account Manager, Banque nationale pour le développement économique, Sénégal

Session

Heure Salle

[S21] Mettre en place un financement fructueux de la chaîne de valeur agricole 11:00-12:30 Chui

Description

Le financement des chaînes de valeur donne l'occasion de réduire les coûts et les risques du financement, y compris pour l’inclusion des petits producteurs. Il donne aux institutions financières l'occasion de voir au-delà du bénéficiaire direct, de mieux comprendre la compétitivité et les risques du secteur et d'élaborer les produits qui répondent le mieux aux besoins des entreprises de la chaîne de valeur. En même temps, le financement des chaînes de valeur peut rendre les chaînes plus inclusives, en mettant les ressources à la disposition des petits exploitants, pour que ceux-ci intègrent des marchés de valeur supérieure. Le financement des chaînes de valeur n'est pas nouveau ; la nouveauté, c'est son application plus systématique à l'agriculture, par l'utilisation d'approches, de technologies et d'outils novateurs et adaptés. Durant cette session, les présentateurs partageront des enseignements tirés partout dans le monde et des exemples d’application et d'innovation. De plus, ils formuleront des recommandations pour la construction de liens financiers efficaces et fructueux tout au long de la chaîne.

Organisateur

Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO)

Président

Wakil Adjibi, West Africa II, Président de l'AFRACA, et Directeur général de Vital Finance, Bénin

Intervenants

Prasun Das, Chef de projet, Asia Pacific Rural and Agricultural Credit Association (APRACA), Thaïlande Arijit Dutta, Chief Operating Officer, BASIX, Inde Calvin Miller, Senior Officer and Leader – Groupe agriculture industrielle et finances, Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), Italie Jackson Obare Marwanga, Head of Programs/Consultancy, K-Rep Development Agency, Kenya

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Jour 2 Mercredi 16 juillet

Session

Heure Salle

[S37] Renforcement des capacités : que manque-t-il dans la formation au financement des chaînes de valeur agricoles et comment y remédier ? 11:00-12:30 Kifaru

Session

Heure Salle Description

Description

Au fil du temps, des efforts importants ont été consentis en Afrique et dans le monde pour que l'agriculture demeure un secteur productif de l'industrie d'un pays. Une recommandation essentielle est le besoin de renforcer les capacités pour les acteurs de la chaîne de valeur. L'agriculture étant assez hétérogène, le renforcement des capacités est devenu essentiel pour les acteurs de la chaîne. Il convient de présenter aux transformateurs du secteur les options d'ajout de valeur ainsi que la manière de choisir un équipement de qualité. Les prestataires de services d'entreposage doivent connaître les pertes après récoltes liées au stockage. Le financement de la chaîne de valeur agricole peut également améliorer l'accès des agriculteurs aux données et améliorer le transfert des capacités techniques et de l'expertise en matière d'utilisation de ces données. Les programmes de renforcement des capacités de financement de la chaîne de valeur agricole sont devenus un programme d'accueil dans de nombreux pays, sous la forme d'une formation destinée aux prestataires de services financiers, d'organisation de visites d'échange, et de forums destinés aux acteurs de la chaîne de valeur agricole. L'élaboration des programmes de renforcement des capacités de financement de la chaîne de valeur agricole, la mesure de l'impact sur les bénéficiaires et la définition des points à améliorer sont les éléments essentiels qu'il faut encore expliquer.

Organisateur

Rural Finance Knowledge Management Partnership (KMP) Organisateur

Président

Intervenants

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[TBD] Rendez-vous sur http://fin4ag.org/fr/agenda.html Lecira Juarez, Directeur général, Asia Pacific Rural and Agricultural Credit Association (APRACA, Association de crédit agricole d'Asie et du Pacifique), Center for Training and Research for Agricultural Banking (CENTRAB), Philippines Dorothy Nduku Kipsang, Coordinateur de programme régional – Financial Services, We Effect, Kenya Harm Haverkort, Microfinance Advisor, Terrafina Microfinance, Éthiopie Nomathemba Mhlanga, Économiste en agro-industrie, Division des infrastructures rurales et des agro-industries, FAO, Italie Dr Ochola Phares, Coordinateur de projet, projet Masters subventionné par l'African Capacity Building Foundation (ACBF, Fondation pour le renforcement des capacités en Afrique) et Regional Certificate in Agricultural Finance (CAF), Kenya School of Monetary Studies Moritz Waldstein Wartenberg, Transparency Innovations Manager, TechnoServe, Éthiopie

[S44] Conception centrée sur l'humain appliquée au financement agricole à petite échelle 11:00-12:30 Kiboko Estimée à 450 milliards d’USD, la demande mondiale de financement pour la petite agriculture est importante et reste en grande partie sans réponse. Certains des efforts les plus prometteurs pour améliorer l'accès au financement des petits exploitants se veulent orientés par la demande. Toutefois, il est difficile de comprendre les besoins des petits producteurs car une grande majorité de ces personnes sont mal organisées en chaînes d'approvisionnement informelles, voire pas du tout organisées. La conception centrée sur l'humain, une approche qui combine la recherche sur l'utilisateur final et la collaboration pratique active des personnes qui offrent leurs services sur le marché, est une manière pour les professionnels d'atteindre cette perspective essentielle. Les participants à cet atelier tiendront compte des éléments suivants : Comment une approche de conception centrée sur l'humain révèle-t-elle les préférences des petits producteurs ? Comment ces préférences aident les professionnels à définir le développement du financement pour ce public ? Enfin, quelles leçons et opportunités la conception centrée sur l'humain peut-elle générer pour faire connaître le financement agricole plus large et les efforts d'inclusion financière ? Cette session présentera les découvertes du laboratoire récent de l'Initiative for Smallholder Finance (facilitée par le Dalberg Design Impact Group), qui avait pour objectif de mettre en lumière de nouvelles solutions novatrices et réfléchies pour une meilleure disponibilité du financement direct de l'agriculteur. The Initiative for Smallholder Finance

Modérateur

Angela R. Hansen, Partenaire, Dalberg Global Development Advisors, Afrique du Sud

Intervenants

[A confirmer] Rendez-vous sur http://fin4ag.org/fr/agenda.html


Jour 2 Mercredi 16 juillet

Session

Heure Salle

[S26] Redynamisation des procédures politiques pour établir un ordre du jour radicalement nouveau pour le financement de la chaîne de valeur agricole 14:00-15:30 Ndovu

Session

Heure Salle Description

Description

Organisateur

Président

Intervenants

Le financement de l'agriculture est souvent mis de côté. Les ministères de l'agriculture tendent à avoir une expertise limitée dans ce domaine et peu de contacts avec les responsables financiers du secteur privé. Les ministères des finances tendent à avoir une expertise limitée en agriculture et ne donnent généralement pas la priorité à ce secteur. Les banques centrales ne sont pas enclines à s'engager dans des politiques sectorielles. Les responsables financiers du secteur privé sont réticents à prêter au secteur agricole et estiment que c’est la responsabilité des banques publiques spécialisées. Toutefois, ces banques n'ont ni les moyens ni, dans la majorité des cas, la structure de gestion nécessaires pour établir une stratégie de financement agricole novatrice. Les organisations d'agriculteurs ont tendance à avoir une expertise trop limitée en matière de financement agricole pour exercer une pression efficace afin d'améliorer le secteur. Un tout nouvel ordre du jour pour le financement de la chaîne de valeur agricole nécessite un bouleversement de ce système. Sous l'égide du New Partnership for Africa’s Development Secretariat, cette session rassemblera des parties prenantes afin de débattre de ce qu'il faut faire pour intégrer les meilleures pratiques aux procédures politiques du financement agricole, en se basant sur les discussions des autres groupes de conférence.

(S22] Adoption d'une stratégie de financement de la chaîne de valeur agricole par une structure de micro-finance 14:00-15:30 Simba Créée en 1996, Basix est une institution de promotion des moyens de subsistance qui a commencé à accorder des microcrédits à la population rurale pauvre en Inde. Les nombreux produits de microcrédit sont proposés à des individus, des groupes à responsabilité partagée, des groupes d'agriculteurs et des groupes d'entraide de femmes. Cela a aidé Basix à établir une clientèle de manière organisée et garantir une bonne qualité de son portefeuille. Basix est la première institution à bénéficier d'un investissement de l'IFC et à sécuriser son portefeuille de prêt avec des banques commerciales d'Inde. Basix a commandité pour ses services de crédit une étude d'impact réalisée par l'Indian Market Research Bureau. Cette étude a révélé qu'environ 52 % de ses clients ont rapporté un impact positif, 23 % aucun changement et environ 25 % une diminution de leurs revenus. Ces découvertes ont entraîné un bouleversement du fonctionnement de Basix, de la micro-finance à la promotion des moyens de subsistance. Basix a identifié les raisons pour lesquelles les revenus des clients n'ont pas augmenté (risque non géré, productivité faible et conditions défavorables dans l'interaction avec les marchés) et a commencé à résoudre ces problèmes de manière explicite dans ses activités de prêt.

Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA)

Il en a résulté la création d'une institution de microfinance (IMF) de nouvelle génération, adaptée aux réalités de l'agriculture. Dans cette session, des cadres dirigeants de Basix expliqueront comment une IMF peut adopter une stratégie de financement de la chaîne de valeur agroalimentaire et présenteront leurs expériences en matière de gestion des nombreux risques auxquels une IMF destinée au domaine rural s'expose.

[A confirmer] Rendez-vous sur http://fin4ag.org/fr/agenda.html Daniel Gad, propriétaire, Omega Farms, Éthiopie

Organisateur Président

Intervenants

Basix Social Enterprise Group [A confirmer] Rendez-vous sur http://fin4ag.org/fr/agenda.html Arijit Dutta, Directeur général, Basix Social Enterprise Group, Inde B L Parthasarathy, Vice-président senior du groupe, Basix Social Enterprise Group, Inde

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Jour 2 Mercredi 16 juillet

Session

Heure Salle Description

[S10] Mécanisme d’appui au financement des chaînes de valeur agricoles 14:00-15:30 Chui Les fonds d'investissement agricoles et les programmes de garantie de crédit peuvent jouer un rôle essentiel dans l'encouragement du développement de chaînes de valeur agricoles car ils contribuent à la croissance, aux augmentations de productivité, à la limitation des risques et donc à un développement durable. La croissance des fonds d'investissement pour l'agriculture a été boostée par l'augmentation des retours et par l'innovation et l'expérience en matière de limitation des risques d'investissement. Des programmes de garantie ont été utilisés dans de nombreux pays, le plus souvent pour des prêts octroyés à des petites entreprises dans divers secteurs, mais ils sont désormais monnaie courante dans le secteur de l'agriculture et de l'agroalimentaire. Est à nouveau mise en avant : leur utilisation pour accroître les investissements dans le secteur et garantir que l'investissement est destiné à des groupes cibles et des agro-industries considérés comme trop risqués pour le financement adéquat sans encourager le partage des risques. Dans cette session, les conférenciers discuteront de leurs expériences avec des instruments et mécanismes de support pour le financement de la chaîne de valeur agricole, comme des fonds d'investissement ad hoc et des programmes de garantie novateurs.

Organisateur

Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO)

Président

Nassa Idrissa, Vice-président d'AFRACA et Président directeur général de Coris Bank, Burkina Faso

Intervenants

Fred Kiteng’e, Directeur des prêts, East Africa, Root Capital, Kenya Sabdiyo Dido Bashuna, Coordinateur régional, East and Southern Africa/Global Gender in Agriculture Coordinator, SNV Netherlands Development Organisation, Kenya [A confirmer], Development Credit Authority (DCA), USAID, États-Unis Hannah Fuellenkemper, Analyste, Financial Access Capital Partners, Pays-Bas

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Session

Heure Salle

[S38] Information, communication et gestion des connaissances en termes de financement de la chaîne de valeur : leçons 14:00-15:30 Kifaru

Description

Une clé de la réussite est de « connaître le secteur et le client ». Le concept de chaîne de valeur devient important pour aider les institutions financières à prendre des décisions en matière de prêt et à développer des produits adaptés. En utilisant les connaissances d'une chaîne de valeur pour évaluer ses points forts et les risques, une institution financière peut prendre des décisions en matière de prêt et planifier son portefeuille global. Toutefois, de telles innovations au niveau du financement sont encore largement méconnues. Elles n'ont pas été systématiquement contrôlées et évaluées car, très souvent, la demande d'information n'est pas disponible ou correctement documentée, suffisamment détaillée, bien rédigée ou diffusée en dehors des organisations. Une meilleure gestion des connaissances aidera les institutions financières à mieux comprendre ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas, et dans quelles conditions. Par exemple, il manque actuellement un moyen de faire part des innovations via un référentiel des modèles et méthodologies novateurs. Pour que les institutions financières financent la chaîne de valeur, il est également essentiel qu'elles fassent appel à des experts en agriculture qui peuvent mieux comprendre le secteur agricole, analyser les risques et développer des produits financiers appropriés. Malheureusement, des universités de nombreux pays d'Afrique, des Caraïbes et du Pacifique ne sont actuellement pas en mesure de proposer des diplômés présentant les capacités nécessaires. Par conséquent, il faut traduire les informations en connaissances, afin de pouvoir les appliquer et les répliquer.

Organisateur

Rural Finance Knowledge Management Partnership (KMP)

Président

Intervenants

[A confirmer] Rendez-vous sur http://fin4ag.org/fr/agenda.html Calvin Miller, Senior Officer and Leader, Groupe Agribusiness et finance, Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), Italie Jared Getenga, Directeur général par intérim, Association of Kenya Credit Providers (AKCP) Marise Blom, General Manager, SCOPEinsigh, PaysBas Dr Marlowe U. Aquino, Project Manager, IFADAPRACA FinServAccess Regional Project, Asia-Pacific Rural and Agricultural Credit Association (APRACA, Association de crédit agricole d'Asie et du Pacifique)


Jour 2 Mercredi 16 juillet

Session

Heure Salle Description

[S51] Le défi des agriculteurs des Caraïbes : l'affacturage pour les agriculteurs 14:00-15:30 Twiga Comme de nombreux agriculteurs dans le monde, les agriculteurs des caraïbes financent leurs acheteurs. Selon des études menées à la fin des années 2000, ceux qui vendent à des acheteurs organisés, comme des supermarchés, des hôtels ou des croisiéristes doivent attendre en moyenne 71 jours pour être payés. Cela pèse sur les flux de trésorerie des agriculteurs et affecte leur niveau de vie et leurs possibilités d’investissement. Dans de nombreux pays, il existe des mécanismes qui permettent l’escompte de créances (confirmation reconnue que des acheteurs devront payer certaines sommes), la réception immédiate d’un paiement en liquide. Ce mécanisme est généralement baptisé affacturage. Les agios dépendent du coût de financement et du risque de défaut des acheteurs, mais dans la plupart des cas, les acheteurs ont tout intérêt à échanger leurs factures sur des acheteurs contre un paiement en liquide immédiat. Les producteurs membres du CaFAN (Caribbean Farmers Network vendent au total pour 100 millions US$ à des acheteurs organisés. Est-il possible d’établir un mécanisme d’affacturage pour les agriculteurs des caraïbes ? Comment serait-il structuré ? Quel rôle une banque de développement pourrait-elle jouer dans ce processus ? Quel serait le rôle de la technologie ? Les participants seront invités à établir une feuille de route pour un mécanisme d’affacturage dans les Caraïbes.

Organisateur

Président

Session

Heure Salle

[S14] Interventions public-privé dans la promotion du financement des chaînes de valeur agricole et de meilleurs mécanismes de gestion des risques agricoles : tirer les enseignements des expériences 16:00-17:30 Ndovu Cette session permettra aux participants de développer un débat interactif sur la manière de faciliter la coordination public-privé afin d’obtenir une stratégie de gestion intégrée. Les partenariats public-privé peuvent apporter une base solide pour aborder la complexité de certaines chaînes de valeur et la gestion du risque associé à leur fonctionnement – en établissant des domaines de responsabilité selon les compétences essentielles, les ressources et les missions. Les participants seront invités à partager leurs opinions et les enseignements tirés de leurs expériences sur leur terrain.

Organisateur

Président Orateurs

Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) [A confirmer] Banque mondiale/Agrifin [A confirmer] Rendez-vous sur

http://fin4ag.org/fr/agenda.html

Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA) [A confirmer] Rendez-vous sur http://fin4ag.org/fr/agenda.html

Orateurs

Jethro Greene, Coordinateur en chef, Caribbean Farmers Network (CaFAN), Saint- Vincent-et-les-Grenadines

Commentateurs

Munyutu Waigi, Cofondateur, Umati Capital, Kenya Niko Kluyver, General Manager & Partner FactorPlus, Caribbean Factoring Services B.V. dba FactorPlus, Curaçao

35


Jour 2 Mercredi 16 juillet

Session

Heure Salle Description

[S18] Les tenants et aboutissants d’un financement réussi par récépissé d’entrepôt 16:00-17:30 Simba Alors que les banques accordent généralement des crédits contre la mise en garantie de biens immobiliers, la majorité des acteurs de la chaîne de valeur des matières premières, comme la plupart des petites entreprises, manquent de fonds de roulement. La gestion des garanties peut débloquer des actifs circulants, en particulier des stocks de matières premières, comme garantie valable pour les financiers, ce qui améliorera grandement l’accès au financement du fonds de roulement. Le bailleur de fonds engage alors une partie tierce, appelée gestionnaire de garantie, pour prendre le contrôle physique des stocks dans les locaux de l’emprunteur. Le gestionnaire de garantie enlève le contrôle effectif des stocks à l’emprunteur. Il garantit la présence continue des marchandises et est responsable envers la banque si, en cas de défaut de remboursement, la banque découvre que les matières premières ne sont plus présentes. La gestion des garanties s’est avérée être un outil efficace en matière de financement dans le monde entier. Elle comporte cependant des risques propres. Un usage efficace de ce mécanisme exige que la banque suive certains principes. Cette session abordera la manière dont une banque peut recourir aux outils de gestion de garantie et les opportunités que ces outils peuvent ouvrir.

Organisateur

Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA)

Président

Isaac Awuondo, Directeur general du groupe, Commercial Bank of Africa Limited, Nigeria

Orateurs

Richard Wangwe, Responsable de l’agriculture, Stanbic Bank Uganda Limited, Ouganda Abdou Konlambigue, Coordinateur de programme accès au marché, Alliance for a Green Revolution in Africa (AGRA), Kenya Robert Pascal, Responsable de l’agro-industrie, National Microfinance Bank Limited, Tanzanie [A confirmer] Caisse d’épargne et de crédit agricole mutuels (CECAM), Madagascar

Session

Heure Salle Description

[S39] Améliorer l’accès au financement des jeunes agro-entrepreneurs : modèles innovants et questions de reproduction 16:00-17:30 Chui Le manque d’actifs financiers dans l’agriculture est un des principaux défis auxquels sont confrontés les jeunes gens qui veulent s’engager dans l’entreprenariat agricole. Bien entendu, les jeunes n’ont guère eu l’occasion de se constituer une épargne, surtout lorsqu’ils sont chômeurs ou étudiants. En raison des incertitudes inhérentes à leur âge et leur manque de capacités, les fournisseurs de services financiers sont souvent réticents à les inclure dans leurs régimes de financement et préfèrent généralement les en exclure. Cette session discutera du développement et de la possibilité de reproduire des modèles innovants de services financiers agricoles accessibles aux jeunes dans l’ensemble de la chaîne de valeur. Des questions essentielles comme le développement des capacités en matière de services financiers, la promotion de services financiers public-privé favorables aux jeunes et les opportunités offertes par les TIC seront également abordées. Les discussions seront interactives, sous la forme d’un talk-show suivi d’un World Café/de débats en petits groupes (sans les itérations).

Organisateur

Président

Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA) Ken Lohento, Coordinateur de Programme TICs

Co-président

Ayodeji Balogun, Business and Investment Office, Africa Exchange Holdings Ltd, Nigeria

Orateurs

Lauren Servin, Country Manager, SPARK, Sud Soudan Gerald Otim, Ouganda, Ensibuuko, Lauréat du Hackathon ICT4Ag, Ouganda, Opio Obwangamoi David, Fondateur et Leader, Ensibuuko, Lauréat du Hackathon, Ouganda Représentant FAO, Kenya [À confirmer] Youth Venture Capital Fund, Ouganda [À confirmer] Projet de Promotion de l’Entreprenariat Rural (PROMER), Sénégal Rendez-vous sur http://fin4ag.org/fr/agenda.html

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Jour 2 Mercredi 16 juillet

Session

Time Room

[S52] Lever les barrières au développement de l’assurance agricole 16:00-17:30 Kifaru

Description

Une assurance contre la perte de culture et de bétail consécutive à des événements climatiques permet aux agriculteurs de protéger leurs revenus et d’investir davantage dans leurs installations, grâce à un accès plus aisé au crédit. Cependant, bien que l’Afrique représente une part importante des terres cultivées, son marché des assurances agricoles est actuellement très étroit. Quels sont les principaux obstacles à l’offre et à la demande d’assurance agricole ? En tirant les enseignements de projets réalisés dans différents pays, la session se concentra sur l’impact de la technologie, le rôle des organisations de producteurs et des politiques publiques, ainsi que des synergies potentielles entre l’assurance et le financement de l’agriculture.

Organisateur

Fondation pour l’agriculture et la ruralité dans le monde (FARM)

Président

Jean-Christophe Debar, Directeur, Fondation pour l’agriculture et la ruralité dans le monde (FARM), France

Orateurs

Session

Heure Salle

[S6] Expériences dans le financement d’exportations de produits horticoles 16:00-17:30 Twiga Le commerce horticole entre les pays d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP) et l’Union européenne joue un rôle important dans la réalisation des Objectifs 2015 des Nations unies. Il est aujourd’hui possible de faire la promotion d’un nouveau modèle agricole combinant innovation, nouvelles technologies et pratiques agricoles durables dans le cadre duquel les petits producteurs sont reconnus comme des fournisseurs compétitifs. Ces 40 dernières années, la COLEAP a accumulé une grande expérience dans l’aide au commerce horticole durable entre les pays ACP et l’UE. Un meilleur accès aux services financiers est un domaine où il faut investir le plus d’efforts puisque la demande de financement agricole émanant des petites et moyennes entreprises (PME) et des petits exploitants reste largement insatisfaite dans les pays ACP. La satisfaction de cette demande exige différentes approches adaptées aux caractéristiques spécifiques de chaque pays et de chaque système de production. Cette session a pour objectif d’identifier les principales voies de déploiement d’investissement en matière de financement des PME et des petits producteurs actifs dans la chaîne de valeurs de produits horticoles destinés à l’exportation.

Ismaila Diakité, Président du conseil d’administration, Coopérative des producteurs et cultivateurs du Mali (CPOROCUMA) Sylvain Dufour, Conseiller en crédit agricole, Développement International Desjardins, Haïti Dr Andrew Mude, Responsable de projet, IndexBased Livestock Insurance Program, ILRI, Kenya Francesco Rispoli, Conseiller technique, Rural Finance, IFAD, Italie

La table ronde sera organisée par le CTA et le COLEACP et regroupera des représentants de l’industrie horticole exportatrice kenyane, des investisseurs sociaux internationaux et des représentants des institutions financières africaines.

Organisateur

Comité de liaison Europe – Afrique – Caraïbes – Pacifique (COLEACP) Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA)

Président

Vincent Fautrel, Coordinateur de Programme Senior, Développement Filières Agricoles, CTA, Pays-Bas

Orateurs

Apollo Owuor, Directeur de l’agriculture et Corporate Affairs, KHE Purity Naisho, General Manager, INTERVEG Président ou Directeur géneral FPEAK Hugo Couderé, Senior advisor and head of portfolio for Africa and Asia, ALTERFIN Dan Awendo, CEO, InvestQ Capital Kenya Représentant de la Kenyan Commercial Bank (KCB)

37


Jour 3 Jeudi 17 juillet

Sessions Session

[S32] Création d’une masse critique pour le financement des récépissés d’entrepôt – groupe

Session Heure Salle

[S27] Fonds d’investissement agricole 08:45-10:30 Simba

de discussion Description Heure Salle

Même si l’agriculture est considérée comme risquée,

08:45-10:30

les investissements dans l’agriculture enregistrent une

Ndovu

croissance significative en raison des améliorations des projections de rentabilité, des meilleurs méca-

Description

Le financement des récépissés d’entrepôt est omni-

nismes de constitution de pools d’investissement et de

présent. On le retrouve dans les environnements les

l’intérêt des agences de développement et des gouver-

plus difficiles. Dans ce cas de figure, un gestionnaire

nements pour accroître les investissements dans le

de garantie intervient à la demande d’une banque ou

secteur afin de préserver la sécurité alimentaire. Les

du fournisseur pour obtenir des matières premières

fonds d’investissement ne rendent pas uniquement les

physiques et les transformer en garanties effectives

investissements moins risqués et plus aisés parce

d’un emprunt. La réduction des risques qui en résulte

qu’ils regroupent des investisseurs et des investisse-

permet d’abaisser les taux d’intérêt, mais chacune de

ments dans un portefeuille diversifié. Mais aussi parce

ces opérations doit être négociée et les coûts de trans-

que leurs gestionnaires prennent à leur compte l’ana-

action sont trop élevés pour de nombreux acteurs de

lyse préalable, la tutelle et l’administration de l’investis-

la chaîne de valeur. De l’autre côté du spectre, il y a

sement. Les gestionnaires de fonds d’investissement

les entrepôts publics, qui sont accessibles en principe

sectoriels privés accroissent les investissements dans

à tous ceux qui disposent de marchandises et se prê-

le secteur agricole parce qu’ils prévoient une poursuite

tent bien aux récépissés d’entrepôt destinés à obtenir

de l’accroissement de la demande de produits alimen-

des emprunts – mais la plupart des pays ne fournis-

taires et des autres produits agricoles. Les fonds d’in-

sent pas l’environnement juridique et réglementaire né-

vestissement public-privé sont devenus plus communs

cessaire à un tel système, et les changements de

ces dernières années et sont souvent structurés en

législation se sont souvent avérés douloureux. Que

fonction d’un double objectif de profit et de durabilité,

faire pour rendre le financement des récépissés d’en-

souvent associé à la volonté de combattre la faim et la

trepôt accessible à un plus grand nombre d’acteurs

pauvreté. En dépit de l’intérêt des donateurs et des in-

dans la chaîne de valeur, y compris les producteurs ?

vestisseurs sociaux, les investissements publics privés

Si l’accent doit être placé sur les entrepôts publics,

exigent de concilier et de gérer avec soin des intérêts

combien de temps faudra-t-il pour créer les conditions

divergents. Lors de cette session, des managers, di-

requises ? Est-il possible de propager l’utilisation de la

recteurs et coordinateurs de certaines des initiatives

gestion des garanties en transformant les gestion-

d’investissement dans l’agriculture les plus éminentes

naires de garantie en agent des banques ? Les

discuteront des défis et opportunités des investisse-

banques peuvent-elles être encouragées à faire plus

ments dans la chaîne de valeur agricole.

de financement par récépissés d’entrepôt ? Organisateur Organisateur

Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO)

Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA) Président

Président

[A confirmer] Rendez-vous sur http://fin4ag.org/fr/agenda.html

[TBD] Rendez-vous sur http://fin4ag.org/fr/agenda.html Orateurs

Orateurs

38

Fred Kiteng’e, Directeur des prêts, East and Southern

Dr Charles Kimei, Directeur général et Président,

Africa, Root Capital, Kenya

CRDB Bank, Tanzanie

Calvin Miller, Senior Officer and Leader, Groupe

Makiko Toyoda, Product Lead, Trade and Supply

Agribusiness & Finance, Organisation des Nations

Chain – Global Warehouse Finance Program, Interna-

unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO)

tional Finance Corporation (IFC), États-Unis

Gilles Vercammen, Business Development Manager,

Dr Gideon E. Onumah, Économiste agricole/Spécia-

Incofin Investment Management, Belgique

liste en finance rurale, University of Greenwich,

Laura Mecagni, Head, Private Sector Window, Global

Royaume-Uni

Agriculture and Food Security Programme, Internatio-

Sata Ramamonjisoa, Consultant senior, FTMH Conseils, Madagascar

nal Finance Corporation (IFC), États-Unis


Jour 3 jeudi 17 juillet

Session

Heure Salle Description

[S25] Progression des bourses de matières premières en Afrique 08:45-10:30 Chui Les premières bourses de matières premières « modernes » en Afrique ont été créées en Zambie et au Zimbabwe en 1994, puis en Afrique du Sud en 1995. Alors que les deux premières ont fait faillite, la South African Futures Exchange (SAFEX), une réponse au retrait du gouvernement du commerce agricole, allait devenir une des plus grandes bourses africaines. Une décennie plus tard, l’Ethiopian Commodity Exchange (ECX), aujourd’hui deuxième bourse des marchandises d’Afrique, voyait le jour en 2008. À la différence des initiatives préalables, l’ECX était une entreprise publique qui a bénéficié d’une aide massive du gouvernement et des donateurs : elle a démontré qu’une bourse de matières premières pouvait prospérer même dans un pays doté d’une infrastructure pauvre et d’un secteur des matières premières sous-développé. Cependant, l’Agricultural Commodity Exchange du Malawi a réussi à obtenir des volumes constants malgré l’absence d’un support aussi massif. Un recensement des bourses africaines montre qu’il y a ou qu’il y a eu des initiatives en ce sens dans 28 pays, dont de nombreuses initiatives nationales parallèlement à quelques initiatives régionales et sous-régionales ambitieuses et bien financées.

Session

Heure Salle Description

Ce panel examinera comment la vague actuelle de bourses émergentes joue un rôle critique dans le développement et le renforcement des systèmes de récépissés d’entrepôt, en facilitant directement et indirectement le financement des stocks de produits agricoles. Comment les bourses pourront-elles révolutionner le paysage du financement des matières premières en Afrique ? Organisateur Organisateur

Président

Orateurs

NEPAD Business Council Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA) Lamon Rutten, Chef de Programme, Politiques, Marchés & TICs Adam Gross, Conseiller en marches d’investissement et de capitaux, NEPAD Business Council, Afrique du Sud Paul Kukubo, Directeur général, East Africa Exchange (EAX), Rwanda Kristian Schach-Möller, Directeur général, Agricultural Commodity Exchange for Africa (ACE), Malawi

[S16] Le rôle de l’assistance technique dans les produits de financement des petits exploitants agricoles 08:45-10:30 Kifaru Dans l’agriculture, une assistance technique agricole spécialisée par la gestion de la santé du sol, l’acquisition de moyens de production de qualité et la gestion des exploitations est indispensable au prêteur et à l’emprunteur pour améliorer l’accès au crédit dans le secteur agricole par une approche formelle. L’assistance technique peut être coordonnée par une entité ad hoc (special purpose vehicle, SPV) capable d’organiser de manière formelle et de recommander les services exigés en fonction de la situation par des outils mobiles et une assurance cultures dans le cadre d’un réseau d’informations « en temps réel » comme exemple de chaîne d’activités à même de réduire le risque. Les connaissances accumulées par différentes organisations dirigées par la fondation Syngenta examineront également le « rôle de l’assistance technique dans les prêts agricoles » afin d’aider à accroître l’accès au crédit pour les petits exploitants agricoles en partageant des connaissances sur les options disponibles et le potentiel inexploité à la fois chez les prêteurs et les emprunteurs. Un SPV est une option peu coûteuse recommandée pour catalyser la création d’un « bureau de référence » de haute qualité pour les prêteurs qui ont besoin d’acquérir formellement des connaissances approfondies de l’agriculture afin d’améliorer, d’encourager et d’accélérer la qualité de leur interaction avec les petits exploitants agricoles. L’organisation proposée sera conçue pour aider les emprunteurs ruraux à utiliser un réseau de transmission d’informations en temps réel. Syngenta Foundation for Sustainable Agriculture

Président

Moly Dingani, Président Southern Africa Sub Region (SACRAT), AFRACA, et Directeur divisionnaire, Retail Banking, CBZ Limited, Zimbabwe

Orateurs

George Osure, Directeur de programme, Syngenta Foundation for Sustainable Agriculture, Kenya George Waigi, Coordinateur de projets nationaux, Organisation internationale du travail (OIT), Kenya Nicholas Daniels, East Africa Government Relations Manager, One Acre Fund, Royaume-Uni

$ 39


Jour 3 Jeudi 17 juillet

Session

Heure Salle

[S50] Le défi des agriculteurs sud-africains : financement de la lutte contre le changement climatique dans l’agriculture 08:45-12:30 Twiga

Description

La transformation de l’agriculture africaine dans l’optique du changement climatique exigera des investissements sans précédent. Le financement substantiel, prévisible et à long terme de la lutte contre le changement climatique sera indispensable pour favoriser une transition vers une agriculture adaptée au changement climatique en Afrique du Sud. Cette session explorera les options publiques, privées et multilatérales en matière de financement de la lutte contre le changement climatique. Les perspectives d’une large palette de parties prenantes seront partagées dans des domaines prioritaires de l’investissement, des instruments financiers appropriés et des systèmes institutionnels nécessaires pour mener à bien ces actions. Les participants incluront des dirigeants d’organisations agricoles, des praticiens, des dirigeants politiques et des partenaires scientifiques.

Organisateurs

Southern African Confederation of Agricultural Unions (SACAU) Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA)

Président

Dr Oluyede Ajayi, Coordinateur de Programme Senior, Politiques DAR, CTA, Pays-Bas

Orateurs

Theo de Jager, Président, SACAU, Afrique du Sud Lloyd Chingambo, Président, African Carbon Credit Exchange (ACCE), Zambie Kai Windhorst, Consultant, Unique-landuse, Ouganda Ishmael Sunga, Directeur général, SACAU, Afrique du Sud

40

Session

Heure Salle

[S15] Régimes de garantie : expérience et enseignement tirés 11:00-12:30 Ndovu

Description

Plusieurs types de systèmes et régimes de garanties sont utilisés pour accroître les prêts ou les investissements, par le biais du partage ou de l’absorption des risques associés aux prêts. Non seulement les garanties accroissent le montant des fonds pouvant être prêtés à une entreprise ou d’un portefeuille d’investissements au-delà de ses propres limites de garantie, mais l’analyse préalable et la surveillance par le gestionnaire de garantie peuvent également améliorer la qualité des prêts accordés. Cependant, les fonds de garantie ont un coût, qui est payé par les commissions facturées et/ou subsidié par un gouvernement ou un donateur. Lorsqu’une subvention est nécessaire, on peut s’interroger sur les coûts engagés compte tenu des profits obtenus. Quelle est la valeur ajoutée des fonds de garantie dans la réduction des risques d’emprunt, et à quel point les fonds influencent-ils la décision des prêteurs concernant l’opportunité ou non de prêter ? On note un regain d’intérêt considérable pour l’utilisation des garanties afin d’accroître les investissements dans l’agriculture et les petites et moyennes entreprises réputées trop risquées pour un financement adéquat sans incitants à partager les risques. Les présentateurs discuteront de leur utilisation et des résultats des fonds de garantie dans le développement d’entreprises agricoles et rurales.

Organisateurs de la session

Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO)

Président

Anthony Olufidipe, Deputy General Manager and Head of Agricultural Department, Union Bank of Nigeria et Président AFRACA Wacrat 2

Orateurs

Nomathemba Mhlanga, Économiste en agro-industrie, Rural Infrastructure and Agro-Industries Division, FAO, Italie Josephine N. Mukumbya, Chief Operating Officer, aBi Finance Ltd, Ouganda Prasun Das, Project Manager, Asia Pacific Rural and Agricultural Credit Association (APRACA), Thaïlande. Uzoma Onuoha, Vice-directeur, Agricultural Credit Guarantee Scheme, Nigeria


Jour 3 Jeudi 17 juillet

Session

Heure Salle Description

[S3] Crowdfunding dans l’agriculture ACP : initiatives, défis et perspectives 11:00-12:30 Simba Le crowd-funding, la collecte de ressources financières directement dans le public (« crowd » signifie foule), généralement par le biais de plateformes Internet, a émergé récemment comme un moyen de financer des projets et des entreprises. On estime qu’il a aidé des entreprises et des individus à lever 2,66 milliards US$ en 2012 dans le monde, dans le cadre de plus d’un million de campagnes individuelles. Le crowd-funding prend des formes différentes selon les modèles. En raison de l’amélioration de la pénétration de l’Internet dans les pays d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP), un nombre croissant de projets agricoles sont également financés par ce mécanisme dans ces régions, qu’il s’agisse de petits exploitants ou d’entreprises plus grandes. Cette session discutera de l’utilisation de ce nouvel instrument financier dans l’agriculture ACP, de ses défis, de ses modèles, et des moyens d’exploiter son plein potentiel.

Session

Heure Salle-

[S47] Finance numérique dans le secteur agricole : plus que les paiements 11:00-12:30 Chui

Description

La finance numérique dans le secteur agricole inclut l’épargne, les crédits et les assurances. Ce panel évoquera l’épargne mobile autogérée au Mali, les micro-assurances pour la fourniture de moyens de production, indexées sur les conditions météorologiques au Kenya, et l’utilisation d’analyses de big data dans des évaluations de crédit alternatives. Une fois l’infrastructure de base construite – généralement pour faciliter les paiements –, ces services à valeur ajoutée et d’autres peuvent aisément être inclus dans l’infrastructure. Les contraintes ne sont pas de nature technique, mais, comme les participants le démontreront, relèvent davantage de la nécessité de développer un modèle innovant dans le domaine de l’information, des partenariats, de l’éducation et de la mise en œuvre.

Organisateur

Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA)

Organisateur

Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA)

Modérateur

Faciliateur

Ken Lohento, Coordinateur de Programme TICs, CTA, Pays-Bas

Orateurs

Président

Patrik Huber, Regional Manager Africa, ResponsAbility, Suisse

Orateurs

Thameur Hemdane, Fondateur/Directeur général, Adiaspii.org, France Opio Obwangamoi David, Fondateur et Directeur général, Ensibuuko, Lauréat de l’Hackathon ICT4Ag, Ouganda Stephanie Mbida, Cofondatrice et Directrice générale, KickLoans David Kitusa, Représentant régional, Anglophone Africa, KIVA, Kenya

[TBD] Rendez-vous sur http://fin4ag.org/fr/agenda.html Michael Turner, Président et Directeur général, Policy and Economic Research Council (PERC), ÉtatsUnis Stanley Munyao, Directeur des Opérations, Musoni Kenya Limited Agrotosh Mookerjee, Actuaire principal, MicroEnsure

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Jour 3 Jeudi 17 juillet

Session

Heure Salle Description

Session [S7] Nouvelles Stratégies de financement de la mécanisation de l’agriculture 11:00-12:30 Kifaru Dans les années 60, de nombreux états africains ont mis sur pied des programmes d’agriculture à grande échelle qui faisaient la promotion de la mécanisation. L’échec de ces programmes a cependant suscité un grand scepticisme concernant les politiques de mécanisation. Actuellement, les institutions qui osent concevoir des programmes de mécanisation se contentent de fournir des équipements, mais intègrent rarement leur entretien dans leur stratégie. Il est assez facile de déployer des équipements, mais les entretenir est une autre paire de manches. Néanmoins, la mécanisation est indispensable si l’agriculture africaine veut devenir un secteur moderne. Mais comment ? Et comment la mécanisation devrait-elle être financée ? Aujourd’hui, c’est loin d’être clair. Le Nigeria est en train de mettre sur pied un programme de mécanisation, mais il est basé sur de nombreuses hypothèses. Faisons-nous les bons choix ? Devons-nous opter pour une stratégie basée sur les coopératives dans les zones rurales, ou sur des partenariats public-privé ? La mécanisation devrait-elle être subventionnée par l’État, ou portée par le marché ? Qu’est-ce qui a fonctionné et qu’est-ce qui a échoué dans les quelques exemples récents de politique de mécanisation que nous pouvons observer ? Autant de questions qui seront discutées lors de cette session.

Organisateurs

Ministère fédéral de l’Agriculture du Nigeria (FMARD) African Rural and Agricultural Credit Association (AFRACA)

Président

Rommel Acevedo, Secrétaire général, Association latino-américaine pour le développement des institutions financières (ALIDE), Pérou

Orateurs

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Dr Ahmed D. Adekunle, Ministère de l’Agriculture du Nigeria (FMARD) Eng. Bitrus Elesa, Tractor Owners and Operators Association of Nigeria (TOOAN) Thomas N. Etuh, Président, TAK Continental Limited, Nigeria Philip Ikeazor, Directeur général, Keystone Bank Limited, Nigeria Lucas Meso, Directeur général, Agricultural Finance Corporation, Kenya

Session

Time Room

[S28] Positionnement des organisations agricoles dans le financement des chaînes de valeur agricoles : débat 14:00-15:30 Ndovu

Description

Le fait que l’accès au crédit est limité pour les agriculteurs, tant à des fins d’investissement qu'à des fins de fonds de roulement, est incontestable. L’échec par le passé de la plupart des approches centralisées et étatiques face à ces contraintes l’est également. Des approches plus récentes, basées sur des techniques de microfinance adaptées à l’agriculture, des mécanismes de financement des chaînes de valeur axés sur les acheteurs privés, le crédit-bail agricole et autres, sont beaucoup plus prometteuses. Quelle position les organisations agricoles devraient-elles adopter dans le débat sur un nouveau paysage du financement agricole ? Devraient-elles faire pression en faveur de crédits subventionnés ou de l’amélioration du cadre légal et réglementaire de ces crédits ? Doivent-elles former elles-mêmes les institutions susceptibles d’améliorer le financement agricole (ex. banques agricoles) ou nouer des alliances stratégiques avec le secteur privé ? Doivent-elles donner une place centrale aux coopératives dans le cadre de la répartition des crédits ou doivent-elles plutôt contribuer à créer des systèmes permettant un accès immédiat au crédit pour les agriculteurs ? Quel rôle les organisations agricoles peuvent-elles jouer dans les débats nationaux et régionaux sur le financement agricole, par exemple dans le contexte des plans d’investissement nationaux du Programme détaillé pour le développement de l’agriculture africaine ?

Organisateur

Technical Centre for Agricultural and Rural Cooperation (CTA)

Président

[à confirmer] Rendez-vous sur http://fin4ag.org/fr/agenda.html

Intervenants

[à confirmer] Rendez-vous sur http://fin4ag.org/fr/agenda.html


Jour 3 Jeudi 17 juillet

Session

Heure Salle Description

[S54] Gestion des risques climatiques et financement agricole 14:00-15:30 Chui Les agriculteurs dont les activités sont rentables remboursent le plus souvent leurs emprunts. Inversement, faute d’assurance, les opérations de prêt agricole même bien conçues risquent des défauts de paiement massifs lorsque les cultures sont détruites par un événement climatique extrême. La capacité des agriculteurs à honorer leurs emprunts est directement liée à leurs rendements. C’est pourquoi les prêteurs sont directement exposés au risque de précipitations insuffisantes, entre autres. Les banques doivent, tout comme leurs clients agricoles, être couvertes contre les risques de catastrophe et si possible contre d’autres risques plus communs. Mais les produits d’assurance contre ces risques sont rares dans les pays en développement. On a toutefois amplement travaillé ces dix dernières années à l’introduction d’outils de gestion des risques météorologiques et à la conception de véhicules destinés à les mettre à la disposition des agriculteurs (ex. regroupement avec l’approvisionnement en intrants). Les efforts fournis n’ont pas tous été couronnés de succès. Mais ce fut le cas pour certains. Où en sommes-nous quant à la reproduction et au déploiement de structures ayant fait leurs preuves ? Dans quelle mesure dépendons-nous des subventions des agences de développement et des gouvernements pour les systèmes de gestion des risques météorologiques ? Les banques savent-elles réellement comment utiliser les outils de gestion des risques météorologiques ? Un panel d’experts parmi les plus expérimentés dans ce domaine en débattra.

Organisateur

Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA)

Président

S.E. M. Johnson Weru, Ambassadeur, Ambassade de la République du Kenya à Bruxelles, Belgique.

Intervenants

Dr Shadrek Mapfumo, spécialiste financier senior, responsable de programme Global Index Insurance Facility, International Finance Corporation (IFC), Afrique du Sud Ulrich Hess, Consultant, Allemagne B L Parthasarathy, Vice-Président senior, Basix Social Enterprise Group, Inde [à confirmer] Rendez-vous sur http://fin4ag.org/fr/agenda.html

Session

Heure Salle

[S2] Expériences du financement de la pêche et de la pisciculture 14:00-15:30 Kifaru

Description

Le secteur de la pêche et de l’aquaculture représente, pour un nombre important de pays ACP, une part substantielle de leur économie (création d’emplois, recettes en devises) et contribue directement à la sécurité alimentaire des populations. Avec la très forte croissance des marchés urbains à l’horizon 2050, il est prévu que la demande en produits de la pêche augmente considérablement dans les années à venir alors même que certaines ressources tendent à diminuer fortement. Le financement du développement de pêcheries et de systèmes aquacoles durables apparaît aujourd’hui comme un enjeu de taille au moment même où le secteur subit de fortes mutations sur le plan interne et externe. Cette session parallèle traitera des différents modes de financement de la pêche et de l’aquaculture et de leur évolution récente. Elle mettra en avant également le rôle des différentes institutions en présence (publiques et privées) et tentera de dégager quelques lignes directrices sur la base d’exemples de financement innovant.

Organisateur

Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA)

Président

Vincent Fautrel, Coordinateur de Programme Senior, Développement Filières Agricoles, CTA, Pays-Bas

Intervenants

Gaoussou Gueye, Secrétaire général, Confédération africaine des organisations professionnelles de la pêche artisanale (CAOPA), Sénégal Beth Wagude, Directeur général, Kenya Fish Processors and Exporters Association, AFIPEK Xavier Vincent, Spécialiste senior des pêches, World Bank, France Philippe Michaud, Président, Seychelles Fisheries Authorities, Seychelles Sloans Chimatiro, Spécialiste senior des pêches, NEPAD Planning and Coordinating Agency, Afrique du Sud Froukje Kruissen, World Fisheries Centre, Malaisie Elies Fongers, Senior Project Manager, Rabobank, Pays-Bas

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Jour 3

Visites de terrain

Jeudi 17 juillet

Vendredi 18 juillet

Cérémonie de clôture Heure Salle

16:00-17-30 Ndovu

Discours liminaire

Gideon Muriuki, Directeur général, Banque coopérative, Kenya

Conclusions

Saleh Gashua, Secrétaire général, Association africaine de crédit agricole et rural (AFRACA)

Remerciements

Michael Hailu, Directeur, Centre technique de coopération agricole et rurale ACP-UE (CTA)

Clôture de la conférence

S.E. William Ruto, Vice-président du Kenya

Après un safari matinal au parc national de Nairobi (lorsque les animaux sont le plus actifs), un petit déjeuner sera organisé. Ensuite, les participants pourront opter pour l’une des passionnantes visites de terrain organisées par différentes organisations pour illustrer la transformation du financement agricole sur le terrain.

Visite de terrain 1 Circonscription de Kiambaa : Kiambaa Rural Dairy Sacco • Organisateur : Cooperative Bank • Personne de contact : Monicah Wanjiku • Tél. : +254 724 287 019 • E-mail : rkiambaadairysacco@gmail.com La circonscription de Kiambaa à Banana est située à 25 km de la Kenya School of Monetary Study. Vous aurez l’occasion de visiter la Kiambaa Rural Dairy Sacco, impliquée dans une chaîne de valeur des produits laitiers, et de voir comment l’accès au financement a aidé à améliorer la qualité et l’approvisionnement en lait pour la circonscription. On attend 50 participants à cette visite de terrain.

Visite de terrain 2 Circonscription de Kieni • Organisateur : Farm Concern International (FCI) • Personne de contact : Stanley Mwangi • Tél. : +254 715 408 650 • E-mail : stanley.mwangi@farmconcern.org Kieni est située à 200 km de la Kenya School of Monetary Study. Vous aurez l’occasion de rencontrer des cultivateurs d’oignons et de voir comment ces derniers ont fortement augmenté leurs revenus grâce à la formation d’un village commercial et au développement d’un produit financier innovant avec la collaboration d'une institution locale de microfinance. On attend 30 participants à cette visite de terrain. www.farmconcern.org

€ Visite de terrain 3 Tala : Kyanzavi Farmers Company Ltd & Kilalani Farmers Coop Society Ltd • Organisateur : Coffee Development Fund • Personne de contact : James Muema • Tél. : +254 727 915 732/+254 722 137 308 • E-mail : jakamuc@yahoo.com/michelmusyoka15@yahoo.com Tala est située à 60 km de la Kenya School of Monetary Study. Vous aurez l’occasion de rencontrer des producteurs de café (petits et grands) et de connaître les différents modèles de financement utilisés à chaque échelle de production de café. On attend 50 participants à cette visite de terrain. www.codf.co.ke

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Visites de terrain Vendredi 18 juillet

Visite de terrain 4 Timau : Ntirimiti Centre • Organisateur : Fondation Syngenta • Personne de contact : George Osure • Tél. : +254 703 019 260 • E-mail : mailto:george.osure@syngenta.com george.osure@syngenta.com Timau est située à 225 km de la Kenya School of Monetary Study. Vous aurez l’occasion de rencontrer des bailleurs de fonds des chaînes de valeur de l’horticulture et de la pomme de terre pour l’exportation et apprendrez comment le financement a transformé la vie des producteurs de Timau. On attend 30 participants à cette visite de terrain. www.syngentafoundation.org

Visite de terrain 5 Nyeri : Brade Gate Holdings Ltd • Organisateur : Agricultural Finance Corporation • Personne de contact : Jackson Echoka • Tél. : +254 711 590 641 • E-mail : joechoka@agrifinance.org Nyeri est située à 160 km de la Kenya School of Monetary Study. Vous aurez l’occasion de visiter la chaîne de valeur de la volaille de Brade Gate Holdings Ltd. On attend 59 participants à cette visite de terrain.

Visite de terrain 6 Municipalité de Kajiado : Zinger Enterprises Ltd • Organisateur : Agricultural Finance Corporation • Personne de contact : Wanjau Wambugu • Tél. : +254 723 840 472 • E-mail : joechoka@agrifinance.org La région de Kajiado est à deux heures de route de la Kenya School of Monetary Study. Vous aurez l’occasion de rencontrer l’entreprise agricole commerciale Zinger Enterprises Limited (ZEL), reconnue pour son élevage bovin dans toute la région de Kajiado. L’entreprise a joué un rôle clé dans l’approvisionnement de bouvillons de grande qualité et de reproducteurs pour la communauté locale. On attend 30 participants à cette visite de terrain.

Visite de terrain 8 Kikuyu : Mineral and Allied Ltd • Organisateur : Climate Innovation Centre • Personne de contact : Ernest Chitechi • Tél. : +254 722 108 068 • E-mail : echitechi@cickenya.org Mineral and Allied Ltd est située à 20 km de la Kenya School of Monetary Study. Vous aurez l’occasion de voir les nouvelles innovations en matière de production alimentaire adaptée au changement climatique en vue d'accroître la sécurité alimentaire. On attend 30 participants à cette visite de terrain. www.kenyacic.org

Visite de terrain 9 Siège de la Kenyan Women Microfinance Bank (KWMB) • Organisateur : Kenyan Women Microfinance Bank • Personne de contact : Isabella Nyambura • Tél. : +254 703 067 700 • E-mail : inyambura@kwftdtm.com La KWMB est située à 12 km de la Kenya School of Monetary Study. Vous aurez l’occasion de visiter les bureaux de la banque et de voir comment les productrices ont transformé leurs vies grâce à la KWMB. On attend 30 participants à cette visite de terrain.

Visite de terrain 10 Kiserian : Abattoir Keekonyokie • Organisateur : Kenya Livestock producer Association • Personne de contact : Amos Thiong'o • Tél. : +254 721 316 598 Kiserian est située à 29 km de la Kenya School of Monetary Study. Vous aurez l’occasion de visiter l’abattoir de la communauté, impliqué dans la chaîne de valeur bovine. On attend 30 participants à cette visite de terrain. www.klpakenya.org Pour en savoir plus, rendez-vous sur http://fin4ag.org/fr/agenda.html

Visite de terrain 7 Enonkishu Conservancy : Mara Beef Company • Organisateur : Agricultural Finance Corporation • Personne de contact : Jackson Echoka • Tél. : +254 711 590 641 • E-mail : joechoka@agrifinance.org Mara Beef Co. est située dans l’Enonkishu Conservancy dans la région de Narok, à 270 km de la Kenya School of Monetary Study. Vous aurez l’occasion de visiter la Mara Beef Company impliquée dans la chaîne de valeur bovine. On attend 59 participants à cette visite de terrain.

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Evénements parallèles 2e Briefing continental africain Promouvoir des modèles financiers inclusifs pour les agriculteurs africains Date Heure Salle Organisateurs

13-14 juillet 2014 09h00 -18h00 (13 juillet) 09h00 -16h00 (14 juillet) Simba Organisation panafricaine des producteurs agricoles (OPPA) Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA) Commission de l'Union africaine (CUA)

Ce Briefing s'intéresse à ce qui peut être fait pour combler le retard de financement en zone rurale par le biais du financement de chaînes de valeur agricoles. Les prestataires de services financiers y voient souvent des risques élevés en raison d’un manque de compréhension du secteur agricole et des marchés des denrées alimentaires et de l’absence d’un moyen leur permettant d’évaluer les risques dans les chaînes de valeur agricoles. Pour la plupart des institutions financières, le coût des prêts directs aux petits agriculteurs des zones rurales reculées est prohibitif. Elles sont donc réticentes à financer les entrepreneurs ruraux, invoquant des coûts de transactions élevés et les risques importants inhérents à l’agriculture tels que de mauvaises récoltes, les maladies et les fluctuations du marché. Il en résulte un long et durable déficit de financement rural qui entraîne une sous-utilisation du potentiel économique de l’agriculture. La communauté du développement et le monde économique impliqués dans l’agriculture et l’agroindustrie africaines ont récemment connu un regain d’intérêt immense pour la promotion des chaînes de valeur, qui permettent d’ajouter de la valeur, de diversifier les économies rurales et de contribuer à l’augmentation des revenus des ménages ruraux de la plupart des pays en développement. Les chaînes de valeur sont de plus en plus reconnues comme un moyen de réduire la pauvreté rurale qui caractérise la région. Cependant, selon une perspective de développement, les gouvernements et les agences de soutien doivent s’assurer que les systèmes financiers de leur pays sont à même de répondre à la demande liée à la croissance des chaînes de valeur agro-alimentaires modernes. Le regain d’attention pour l’agriculture et les agro-entreprises en tant que secteurs prioritaires pour stimuler la croissance économique en Afrique exige le développement de chaînes de valeur intégrant les producteurs et les marchés afin de rendre le secteur agricole plus réactif à la demande des consommateurs. La gestion des chaînes de valeur agricoles permet de réduire le coût et le risque du financement et de plus aisément atteindre les petits agriculteurs, d’accroître les opportunités de financement pour l’agriculture, d’améliorer l’efficacité et le remboursement des financements, et enfin de consolider les liens entre les différents acteurs des chaînes de valeur. Les opportunités spécifiques que le financement peut créer pour une chaîne déterminée dépendent du contexte et du modèle économique, ainsi que du rôle respectif de chaque participant à la chaîne. Pour les institutions financières, le financement des chaînes de valeur incite à regarder au-delà du bénéficiaire direct du financement afin de mieux comprendre la compétitivité et les risques du secteur dans son ensemble et de développer des produits adaptés aux besoins des entreprises de la chaîne. Le financement des chaînes de valeur peut renforcer l’inclusivité de ces dernières en mettant des ressources à la disposition des petits exploitants afin de les intégrer à des marchés à valeur plus élevée. Il faut absolument améliorer l’accès à des informations fiables et actuelles, élément essentiel pour tirer parti de ce que le marché a à offrir. La diminution du coût des TIC, tels que les téléphones mobiles et les réseaux nécessaires à leur connexion, a donné accès aux agriculteurs, aux petits négociants et

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Événements parallèles

aux professionnels à des informations essentielles sur la gestion des systèmes de production, les services d’accès au marché et l’inclusion financière. Les TIC figurent parmi les moteurs les plus efficaces de croissance et de transformation agricoles dans les pays ACP et les chaînes de valeur agricoles inclusives. Au terme de nombreuses années de déclin des investissements, le financement agricole semble bénéficier d’un certain regain d’intérêt. Les meilleurs apports du financement des chaînes de valeur agricoles dépendent de la chaîne même, des capacités de ses diverses parties prenantes, de leurs intérêts et, plus largement, du contexte socio-économique et politique. Le financement des chaînes de valeur agricoles permet de réduire le coût et le risque du financement et d’atteindre les petits agriculteurs, d’accroître les opportunités de financement pour l’agriculture, d’améliorer l’efficacité et le remboursement des financements, et enfin de consolider les liens entre les différents acteurs des chaînes de valeur. Les opportunités que le financement peut créer pour une chaîne spécifique dépendent du contexte et du modèle économique, ainsi que du rôle respectif de chaque participant à la chaîne.

“ Le financement des chaînes de valeur agricoles permet de réduire le coût et le risque du financement et d’atteindre les petits agriculteurs

Réunions parallèles Réunion

Hackathon ICT4Ag : atelier d'apprentissage et de suivi

Date Salle Organisateur

11-12 juillet 2014 Chui Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA)

Réunion Date Salle Organisateur

Réunion Date Heure Salle Organisateur

Table ronde médias 14 juillet 2014 10:00 - 12:30 Bibliothèque Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA)

Formation en reportage médias sociaux 12-13 juillet 2014 Seminar Room B5 Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA)

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Organisateurs Organisations partenaires Le Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA) Le Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA) est une institution internationale conjointe des États du Groupe ACP (Afrique, Caraïbes, Pacifique) et de l’Union européenne (UE). Il a pour mission d’améliorer la sécurité alimentaire et nutritionnelle, d’accroître la prospérité et de favoriser une gestion optimale des ressources naturelles dans les pays ACP. Il facilite l’accès à l’information et aux connaissances, encourage le dialogue politique et renforce les capacités des institutions et communautés impliquées dans le développement agricole et rural. Le CTA opère dans le cadre de l’Accord de Cotonou et est financé par l’UE. http://www.cta.int

Commission de l’Union africaine (CUA) La Commission est le Secrétariat de l’Union africaine, qui assume des fonctions exécutives. La structure représente l’Union et défend ses intérêts sous l’égide de l’Assemblée des Chefs d’État et de Gouvernement et du Conseil exécutif. La CUA est constituée de portefeuilles : Paix et sécurité ; Affaires politiques ; Commerce et industrie ; Infrastructure et énergie ; Affaires sociales ; Économie rurale et agriculture ; Ressources humaines, science et technologie ; et Affaires économiques. La mission de la Commission est de devenir « une institution efficace et génératrice de valeur ajoutée, agissant comme un moteur de l'intégration africaine et du processus de développement, en étroite collaboration avec les États membres de l'Union africaine, les Communautés économiques régionales et les citoyens africains ». La CUA veut réaliser sa mission en définissant des objectifs et stratégies clairs. Les valeurs susmentionnées forment les piliers sur lesquels la CUA réalisera sa mission. Elle encourage également le développement d’une culture de service pour toute l’organisation. http://www.au.int/en/commission

L’Association africaine du crédit rural et agricole (AFRACA) L’AFRACA est une association qui regroupe les banques centrales, les banques commerciales et agricoles, les institutions de microfinancement et les programmes nationaux impliqués dans le financement agricole et rural en Afrique. La vision de l´Association est celle d´une Afrique rurale où les gens pourront avoir accès à des services financiers durables pour un meilleur développement économique. http://www.afraca.org

Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) Atteindre la sécurité alimentaire pour tous est au cœur des efforts de la FAO – veiller à ce que les êtres humains aient un accès régulier à une nourriture de bonne qualité qui leur permette de mener une vie saine et active. Les trois principaux objectifs de la FAO sont les suivants : contribuer à éradiquer la faim, l'insécurité alimentaire et la malnutrition, éliminer la pauvreté et favoriser le progrès social et économique pour tous, ainsi que gérer et utiliser de manière durable les ressources naturelles, notamment la terre, l’eau, l’air, le climat et les ressources génétiques, au profit des générations présentes et futures. http://www.fao.org/about/fr

Banque centrale du Kenya (CBK) La Banque centrale du Kenya a été créée en 1966 par une loi du Parlement, le Central Bank of Kenya Act. La CBK a la responsabilité de formuler la politique monétaire, la promotion de la stabilité des prix, l'émission de monnaie et d'exercer les autres fonctions qui lui sont conférées par la loi. L’acte de constitution stipule que « la Banque centrale ne peut être placée sous la direction ou le contrôle d’aucune personne ou autorité dans l’exercice de ses pouvoirs ou fonctions ». Le mandat et l’objectif de la Banque sont : (i) de formuler et de mettre en œuvre la politique monétaire visant à restaurer et maintenir la stabilité des niveaux de prix en général ; (ii) de promouvoir la liquidité, la solvabilité et le bon fonctionnement d’un système financier stable, basé sur le marché ; et (iii) de soutenir la politique économique du gouvernement, y compris ses objectifs de croissance et d’emploi. https://www.centralbank.go.ke

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Agence française de développement (AFD) L’Agence française de développement se présente comme le principal opérateur du dispositif bilatéral français de coopération. Établissement public industriel et commercial doté du statut d’institution financière spécialisée, son action s’inscrit dans la politique définie par le document cadre de coopération au développement de la France. L’AFD a été chargée par les autorités nationales françaises de contribuer au développement économique et social dans son domaine d’opération géographique. Pour ce faire, elle finance et soutient des projets et programmes de développement et participe au débat, à la recherche et au dialogue avec les parties prenantes concernées. Le but de ces actions est de contribuer à une croissance économique plus durable et partagée, à l’amélioration des conditions de vie dans les régions et pays les plus pauvres, à la préservation de la planète et à la stabilisation des pays fragiles ou en sortie de crise. Les équipes AFD sont basées à Paris et à Marseille, ainsi que dans un réseau de 70 agences et représentations dans les pays en développement et les provinces françaises d’outre-mer. http://www.afd.fr

Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA) L'AGRA est un partenariat dynamique dont le but est de réaliser la vision selon laquelle l’Afrique peut se nourrir elle-même et nourrir le monde. Investir dans l’agriculture est le moyen le plus sûr pour réduire la pauvreté et la faim en Afrique. L’AGRA œuvre sur tout le continent africain en vue d'aider les millions de petits exploitants agricoles et leurs familles à se sortir de la pauvreté et de la famine. Les programmes de l'AGRA proposent des solutions pratiques dont le but est d'augmenter significativement la productivité agricole et les revenus des populations pauvres, tout en protégeant l'environnement. L'AGRA préconise des politiques qui appuient son œuvre, à tous les maillons principaux de la chaîne de valeur agricole en Afrique, que ce soit au niveau des semences, de la fertilité des sols, de l'eau, des marchés et de la formation agricole. http://agra-alliance.org


Organisateurs Association des institutions de microfinance (AMFI) – Kenya

Comité de Liaison Europe-Afrique-Caraïbes-Pacifique (COLEACP)

L’AMFI est une institution constituée de membres, enregistrée en 1999 dans le cadre du Societies Act par les principales institutions de microfinance (IMF) au Kenya, dans le but de renforcer la capacité de l’industrie de la microfinance kenyane. Les principales raisons de sa création étaient la nécessité pour les IMF d’avoir une voix commune, de faire pression auprès du gouvernement pour des politiques favorables, de partager les informations et expériences, et de relier et de coordonner les acteurs locaux et internationaux. L’AMFI compte actuellement 59 institutions membres, allant de grandes IMF matures à des IMF relativement plus petites et rurales, des grossistes et des détaillants, ainsi que des fournisseurs de micro-assurance. L’AMFI est dirigée par une Assemblée générale et un Comité de directeurs qui sont des praticiens expérimentés dirigeant certaines des principales IMF du Kenya. Un Comité exécutif constitué d’un président, d’un vice-président, d’un trésorier, d’un secrétaire et de trois membres du comité élabore des directives politiques générales et des instructions pour l’Association. http://www.amfikenya.com

Créé il y a 40 ans en tant qu’association d’entreprises actives dans le commerce des fruits et légumes exotiques, le COLEACP est devenu une organisation promouvant le développement de l’agriculture durable dans les pays d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique. Le COLEACP est un partenariat public-privé, devenu à présent un fournisseur de services multiples à l’industrie horticole internationale, couvrant la recherche et le développement, l’accès au marché, l’assistance technique, la formation et le lobbying, entre autres. http://www.coleacp.org/

BASIX – Inde BASIX est une institution créée en 1996, qui travaille avec plus de 3,5 millions de clients, dont plus de 90% sont des ménages ruraux pauvres, et quelque 10% d’habitants de bidonvilles. BASIX a pour mission de promouvoir des moyens d’existence durables en fournissant des services financiers et une assistance technique de manière intégrée. BASIX veut obtenir un rendement compétitif pour ses investisseurs, afin de pouvoir accéder continuellement au marché des capitaux et à une main-d’œuvre qualifiée. Sa stratégie est de fournir une série complète de services de promotion des moyens d’existence, comprenant des services financiers d’inclusion, des services de développement agricole/commercial et des services de développement institutionnel aux ménages ruraux pauvres sous une seule et même égide. BASIX travaille dans 17 états de l’Inde – 223 districts et plus de 39.251 villages. Elle occupe plus de 10.000 collaborateurs, dont 80% sont basés dans des petites villes et des villages. http://www.basixindia.com

Fédération des agriculteurs d’Afrique de l’Est (EAFF) Le rôle de l’EAFF est de permettre aux agriculteurs de la région d’exprimer leurs préoccupations et de défendre leurs intérêts, dans le but d’augmenter la cohésion régionale et le développement socio-économique des agriculteurs, en les représentant, en pratiquant du lobbying, en plaidant pour les intérêts des agriculteurs d’Afrique de l’Est et en renforçant leurs capacités. La Fédération veut également favoriser l’intégration régionale par la promotion du commerce et d’un bon voisinage, en renforçant l’échange d’informations entre les organisations nationales des producteurs, et en mettant à profit les avantages comparatifs en matière d’intrants agricoles et d’options de marché. L’EAFF est en train de développer une stratégie média web 2.0, en ligne avec son plan stratégique, qui améliorera le partage et la diffusion des informations, la communication, la gestion en réseau des connaissances et la visibilité. http://eaffu.org/eaffu

Ministère fédéral de l’Agriculture et du développement rural (FMARD) – Nigeria Le FMARD est le Ministère nigérian qui régule la recherche agricole, l’agriculture et les ressources naturelles, la foresterie et la recherche vétérinaire dans tout le Nigeria. Créé en 1966, le Ministère a la responsabilité d’optimiser l’agriculture et d’intégrer le développement rural pour la transformation de l’économie nigériane, en vue d’atteindre la sécurité alimentaire et de positionner le Nigeria comme un exportateur net d’aliments pour le développement socio-économique. Le mandat du Ministère est d’être un fournisseur net d’aliments significatif pour la communauté globale, par la promotion du développement agricole et la gestion des ressources naturelles dans une approche de chaîne de valeur pour atteindre une sécurité alimentaire durable, améliorer les revenus de l’agriculture et réduire la pauvreté. http://www.fmard.gov.ng/index.php

Société financière internationale (SFI) Membre du Groupe de la Banque mondiale, la SFI est la plus importante institution mondiale d’aide au développement dont les activités concernent exclusivement le secteur privé. Créée en 1956, la SFI est détenue par 184 pays membres, qui définissent ensemble ses politiques. L’action qu’elle mène dans plus de 100 pays en développement permet aux entreprises et institutions financières des pays émergents de créer des emplois, de produire des recettes fiscales, de renforcer la gouvernance d’entreprise, d’améliorer les résultats au plan environnemental et de contribuer au bien-être de leurs communautés. La vision de la SFI est celle d’un monde dans lequel les êtres humains ont la possibilité d’échapper à la pauvreté et d’améliorer leurs conditions de vies. http://www.ifc.org

Fonds International de développement agricole (FIDA) Le FIDA travaille avec les populations rurales pauvres pour leur permettre de se développer et vendre davantage de denrées alimentaires, accroître leurs revenus et prendre en main leurs vies. Depuis 1978, le FIDA a investi environ 14,8 milliards de dollars en subventions et prêts à faible taux d'intérêt aux pays en développement à travers des projets permettant à plus de 400 millions de personnes de sortir de la pauvreté, contribuant ainsi à la création de communautés rurales dynamiques. Le FIDA est une institution financière internationale et agence spécialisée des Nations unies basée à Rome, plateforme de l'ONU dans le domaine agro-alimentaire. Il s'agit d'un partenariat unique de 172 membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole, d'autres pays en développement et de l'Organisation de coopération et de développement économiques. http://www.ifad.org

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Organisateurs Inter-American Institute for Cooperation on Agriculture (IICA)

Partenariat pour la Finance au service de l'Afrique (MFW4A)

L’IICA est l’institution de l’Inter-American System qui fournit la coopération technique, l’innovation et la connaissance spécialisée pour contribuer au developpement compétitif et durable de l’agriculture sur le continent américain et pour améliorer les vies des ruraux dans les pays membres. L’IICA est une institution leader et innovatrice dans l’appui à la coopération technique pour l’agriculture, connue pour ses contributions à la compétitivité du secteur agricole. L’IICA contribue au développement durable de l’agriculture, promeut la sécurité alimentaire et la réduction de la pauvreté, améliore les conditions de vie dans les zones rurales du continent américain sur base de sa solide expérience et de ses capacités à trouver des solutions aux nouveaux défis auxquels font face les pays membres de ces zones. http://www.iica.int/

Le Partenariat MFW4A soutient les efforts des pays africains pour renforcer leur secteur financier en coordonnant et facilitant ses initiatives, en promouvant une collaboration plus étroite entre les partenaires du développement, et en favorisant les échanges entre les parties prenantes africaines. Initialement accueilli par le G8 dans la déclaration d'Heiligendamm de 2007, le Partenariat MFW4A reconnaît le rôle du secteur financier en tant que moteur des investissements privés, de la croissance économique et de la création d'emplois. Treize partenaires de développement multilatéral et bilatéral fondateurs soutiennent le Partenariat avec l'objectif commun de vaincre la fragmentation et d'accroître l'efficacité et la performance en vue de développer le secteur financier africain. http://www.mfw4a.org

Institut international de recherche sur l’élevage (ILRI)

Fondation pour la promotion des affaires (NBF) du Nouveau partenariat pour le développement de l'Afrique (NEPAD)

L'ILRI travaille à l'amélioration de la sécurité alimentaire et à la réduction de la pauvreté dans les pays en développement, à travers la recherche d'une utilisation meilleure et plus durable du bétail. L'institut est membre du Consortium CGIAR, partenariat mondial de recherche composé de 15 centres travaillant avec de nombreux partenaires pour la sécurité alimentaire du futur. L'ILRI compte deux principaux campus en Afrique de l'Est et d'autres centres en Asie du Sud, du Sud-Est et de l'Est. Il utilise les TIC pour assurer le lien entre son personnel et ses partenaires, pour rendre accessibles ses connaissances et informations, et comme outil de recherche. Nombre de ses projets expérimentent l'utilisation des TIC, notamment des téléphones portables, des systèmes d'information géographique, de la radio, de la vidéo et d'Internet, afin d'approfondir son engagement auprès de ses partenaires et d'enrichir ses interactions avec les communautés et les décideurs. http://www.ilri.org

Kilimo Trust Le Kilimo Trust est une organisation indépendante travaillant dans le domaine agricole pour le développement dans la région de la Communauté des États d'Afrique de l'Est (Burundi, Kenya, Ouganda, Rwanda et Tanzanie) et plus récemment en République du Sud Soudan. Il promeut des solutions régionales à des problèmes locaux pour un meilleur fonctionnement des marchés agricoles afin de réduire la pauvreté et d'éliminer la faim. Le Kilimo Trust met en œuvre et gère des programmes et projets en partenariat avec et/ou pour le compte de gouvernements, organisations internationales et régionales, et du secteur privé. Le Trust est à l'origine de solutions axées sur le marché conçues pour « tenir les promesses du marché commun d'Afrique de l'Est », en matière de réduction de la pauvreté et d'élimination de la faim dans la région. http://www.kilimotrust.org

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La NBF est l'une des principales fondations africaines basées sur l'adhésion qui promeuvent un développement économique et social durable sur le continent. Cette société à but non lucratif mobilise le soutien du secteur privé en vue d'atteindre les objectifs du NEPAD. La NBF considère les affaires en Afrique comme un élément constitutif fondamental pour le positionnement du continent en tant qu'acteur clé pour le commerce et l'investissement internationaux. En tant que partenaire neutre et de confiance, la NBF met à la disposition de ses membres une plateforme de mise en réseau qui leur permet de discuter, débattre, partager leurs idées et collaborer avec le secteur public et d'autres parties prenantes dans des activités commerciales, d'investissement ou de projets. La NBF possède actuellement des bureaux en Afrique du Sud et au Mozambique, mais son champ d'action géographique est bien plus large et s'étend au reste de l'Afrique en termes de parties prenantes stratégiques et de projets gérés. La NBF prévoit d'étendre sa représentation physique à cinq autres pays afin de mieux servir ses parties prenantes. http://nepadbusinessfoundation.org

Réseau des organisations paysannes et des producteurs de l'Afrique de l'Ouest (ROPPA) Le ROPPA a formellement été fondé en juillet 2000 lors d’une rencontre à Cotonou qui a rassemblé une centaine de responsables paysans mandatés par leurs organisations. Il regroupe des organisations ou "cadres de concertation" de 10 pays d’Afrique de l’Ouest (Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Gambie, Guinée, Guinée-Bissau, Mali, Niger, Sénégal, Togo). Cet ensemble n’est pas fermé et l’ambition, à moyen terme, est d’accueillir des organisations paysannes de l’ensemble des pays de la CEDEAO, qui représente l’Afrique de l’Ouest réelle. www.roppa.info


Organisateurs Rockfeller Foundation Depuis plus de 100 ans, la Rockfeller Foundation a pour mission de promouvoir le bien-être de l’humanité dans le monde entier. Aujourd’hui, elle poursuit sa mission avec deux objectifs : faire progresser les économies inclusives afin de garantir une meilleure répartition de la prospérité et préparer les personnes, communautés et institutions à résister aux crises et aux catastrophes. A cet effet, la Rockfeller Foundation travaille à l’intersection de quatre domaines : l’amélioration de la santé, la revalorisation des écosystèmes, les garantie des moyens d’existence et la transformation des villes. http://www.rockefellerfoundation.org/

Organisation panafricaine des agriculteurs (PAFO) En réponse à la mondialisation et à la menace sérieuse pesant sur la production agricole africaine en raison des accords de partenariat économique, les organisations d'agriculteurs africaines ont ressenti le besoin de se rassembler au niveau sous-régional afin de mieux se positionner et d'établir des cadres régionaux efficaces pour répondre aux défis de l'intégration régionale et de la libéralisation des échanges. Les organisations régionales engagées dans une bataille pour sauver les exploitations familiales et lutter pour les intérêts de millions de petits agriculteurs ont commencé à créer des plateformes nationales dans plus de 30 pays. Depuis 2003, les réseaux sous-régionaux d'organisations d'agriculteurs et de producteurs agricoles travaillent sur des problématiques qui touchent l'agriculture en Afrique. En 2008, les réseaux régionaux des cinq principales régions économiques d'Afrique se sont réunis à Addis-Abeba pour créer une plateforme leur permettant d'unir leurs efforts et d'harmoniser leurs préoccupations. Ces consultations ont abouti à la Déclaration d'Addis-Abeba et à la création de la PAFO. http://pafo-africa.org

Partenariat pour la gestion des connaissances en matière de finance rurale (KMP) Le KMP est le programme régional subventionné du FIDA axé sur la finance rurale. Son plus grand principe de mise en œuvre est le soutien à la gestion des connaissances des programmes du FIDA. Pour avoir une plus grande influence sur le développement des politiques financières rurales, le KMP établit des partenariats avec des agences disposant de meilleures ressources, telles que l'Alliance pour une révolution verte en Afrique, qui partage l'objectif de la FIDA et du KMP de promouvoir le développement de la finance rurale à travers l’innovation, la diffusion et l’adoption plus efficaces des connaissances. Le KMP agit en partenariat avec le Forum Régional Universitaire pour le Renforcement des Capacités dans le domaine de l'Agriculture pour entreprendre une étude communautaire et spécialisée basée sur les actions avec son réseau de 30 universités. http://www.ifadafrica.org

Confédération des syndicats agricoles d'Afrique australe (SACAU) La SACAU est une organisation régionale d'agriculteurs fondée en 1992. Elle est ouverte aux syndicats agricoles nationaux et aux associations de producteurs régionales d'Afrique australe. Elle participe au développement agricole de la région en renforçant les capacités des organisations d'agriculteurs, en agissant comme entité d'expression collective au nom des agriculteurs sur des thèmes régionaux et internationaux, et en fournissant des informations liées à l'agriculture à ses membres et à d'autres parties prenantes. La SACAU a pour objectif de contribuer au développement d'un secteur agricole dynamique, prospère et durable garantissant la sécurité alimentaire et contribuant à la croissance économique en Afrique australe. Son but est d'être le principal porte-parole des agriculteurs sur des thématiques régionales, continentales et mondiales, et de promouvoir et garantir l'efficacité des organisations d'agriculteurs/producteurs dans tous les pays d'Afrique australe. www.sacau.org

Fondation Syngenta pour une agriculture durable (SFSA) La mission de la SFSA est de créer de la valeur pour les petits agriculteurs à faibles ressources des pays en développement à travers l'innovation en matière d'agriculture durable et l'activation des chaînes de valeur. Sa stratégie opérationnelle est axée sur les petits propriétaires, la productivité et les marchés. La Fondation travaille avec des partenaires dans les pays en développement et les marchés émergents afin de favoriser la professionnalisation des petits agriculteurs. Pour y parvenir, la SFSA développe le savoir-faire basé sur les sciences, facilite l'accès à des intrants de qualité, et établit des liens rentables entre petits propriétaires et marchés. Ces opérations créent de la valeur ajoutée pour les communautés et améliorent durablement la sécurité alimentaire. Les projets de vulgarisation agricole sont complétés par un portefeuille de partenariats dans la science de pointe des cultures. La Fondation travaille également à la création de « conditions d'habilitation » sous forme d'amélioration des cadres réglementaires, de la capacité d'administration, financière, et d'outils de transfert des risques, de conservation de la biodiversité et d'amélioration des terres subventionnée par la finance du carbone. Elle mène également des études de politiques et des campagnes de sensibilisation dans un nombre croissant de domaines. www.syngentafoundation.org

Banque africaine d'import-export (Afreximbank) L'Afreximbank a été fondée à Abuja au Nigeria en 1993 par les gouvernements africains, des investisseurs privés et institutionnels africains, ainsi que des institutions financières et investisseurs privés extérieurs au continent, dans le but de financer, promouvoir et développer les échanges intra-africains et extra-africains. La Banque a été établie dans le cadre d'un Accord signé par les États membres et les organisations multilatérales, offrant à la Banque le statut d'organisation multilatérale internationale, et d'une Charte, régissant sa structure et son fonctionnement. Le capital social autorisé de la Banque

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Organisateurs s'élève à 5 milliards de dollars US. L'Afreximbank a pour objectif d'être la banque de financement des échanges de l'Afrique. Elle vise à stimuler l'expansion, la diversification et le développement continus du commerce africain tout en agissant en tant qu'institution financière de premier plan, à but lucratif et socialement responsable, et en tant que centre d'excellence en matière de commerce en Afrique. La Banque, basée en Égypte, possède des succursales au Nigeria et au Zimbabwe. http://afreximbank.com

Réseau des agriculteurs des Caraïbes (CaFAN) Le CaFAN est une organisation non lucrative et non gouvernementale légalement enregistrée. Il a été fondé et pensé par des organisations d'agriculteurs des Caraïbes en 2002. Sa mission consiste à « améliorer la sécurité alimentaire et nutritionnelle, les bénéfices et les économies issus du commerce international dans les Caraïbes, en repositionnant l'agriculture à travers le développement des capacités des agriculteurs et le renforcement institutionnel de leurs organisations ». Le CaFAN représente plus de 500 000 petits agriculteurs répartis dans 15 pays des Caraïbes. Les organisations d'agriculteurs membres du CaFAN sont directement impliquées dans la production et la commercialisation sur les marchés nationaux, régionaux et extrarégionaux. Elles sont également impliquées dans la formation des agriculteurs, la promotion des aliments nutritifs des Caraïbes, l'accès au marché, l'agro-industrie et la création de valeur ajoutée, la mise à l’essai de pratiques agronomiques et l'agriculture biologique. Le CaFAN est également axé sur les mécanismes et structures durables guidés par le marché, et travaille en collaboration avec l'ensemble des parties prenantes du secteur agricole pour développer l'avantage stratégique de ses agriculteurs. http://www.caribbeanfarmers.org

L'Initiative pour le financement des petits exploitants L'Initiative pour le financement des petits exploitants implique de multiples donateurs et a été créée pour démontrer à quel point les produits et services spécifiques peuvent étendre le champ d’action du financement des petits exploitants agricoles. Les activités de l'Initiative incluent des études de marché ciblées, des développements et tests de produits, et la facilitation des investissements sur le marché du financement des petits exploitants. L’Initiative compte parmi ses sponsors Citi Foundation, Ford Foundation, KFW Development Bank, MasterCard Foundation, Skoll Foundation et USAID. L'Aspen Network of Development Entrepreneurs, Business action for Africa, Business Fights Poverty, le CGAP, Root Capital et TecnnoServe lui offrent un support consultatif. L'Initiative a trois grandes fonctions : mener des études, faciliter la communication entre participants au marché dans différents secteurs de la chaîne d'approvisionnement de l'agro-finance et négocier les opportunités d'investissement entre les différents participants au marché. En assurant ces activités, l'Initiative vise à démontrer à quel point des modèles et produits spécifiques peuvent étendre le champ d’action du financement bancaire des petits propriétaires. http://www.globaldevincubator.org/initiative-incubator/current-initiatives/initiative-for-smallholder-finance

Fondation pour l'agriculture et la ruralité dans le monde (FARM) Basée à Paris, la FARM promeut une agriculture productive et durable et les chaînes de valeur agricoles dans le Sud, afin de stimuler le développement économique et l'inclusion sociale. Elle encourage l'émergence d'exploitations familiales compétitives et résistantes, capables de répondre à la demande croissante en nourriture, à travers des politiques publiques appropriées et l'implication de parties prenantes privées. La FARM contribue à l'avancée des débats à travers des études, des publications et des conférences, et soutient des projets pilotes innovants, conçus en partenariat avec les organisations locales de producteurs. http://www.fondation-farm.org

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Informations pratiques Références clés Lieu

Twitter

Kenya School of Monetary Studies (KSMS) Noordin Road, à proximité de Thika Road, Ruaraka, près des établissements Thomas de la Rue Nairobi, Kenya Tél : (+254) 20 8561177 E-mail : info@ksms.or.ke Site web : www.ksms.or.ke

Utilisez le hashtag #fin4ag14 pour consulter et envoyer des tweets sur la conférence.

Accès à Internet Un accès sans fil est disponible au sein du centre de conférence.

Application mobile Bureau d'information et d'inscription Veuillez vous inscrire au bureau d'inscription à l'entrée des établissements de conférence. Les heures d'ouverture du bureau d'information et d'inscription sont les suivantes : • Dimanche 13 juillet 12h00 – 17h30 • Lundi 14 juillet 07h00 – 17h30 • Mardi 15 juillet 07h00 – 17h30 • Mercredi 16 juillet 07h30 – 17h30 • Jeudi 17 juillet 07h30 – 17h30 • Vendredi 18 juillet 07h30 – 17h30* *Uniquement le bureau d’information

Pour ceux participant aux événements avant le début de la conférence – le Briefing continental (13-14 juillet) et l'atelier de suivi du l'Hackathon ICT4Ag (11-12 juillet) – et pour les journalistes sociaux (à partir du 12 juillet), un bureau d'inscription sera ouvert devant la salle de réunion, une heure avant le début de l'événement.

Télécharger l’application mobile (http://fin4ag.quickmobile.mobi) sur votre Smartphone pour un accès en temps réel à toutes les informations et communications relatives à la conférence.

Panneau d'affichage Consultez le panneau d'affichage situé dans le centre de conférence pour connaître les changements et annonces de dernière minute.

Services de navette Les organisateurs mettront à disposition un service de transport entre les hôtels* et le centre de conférence. Tous les renseignements sur le service de navette sont disponibles au bureau d'information.

Visites de terrain Réservez au bureau d'inscription l'une des dernières places pour une visite de terrain.

Secrétariat +254 700 345 007

Numéros d'urgence Exposition Parallèlement à la conférence, une exposition se tiendra dans la tente d'exposition : Heures d'ouverture : • Mardi 15 juillet 08h30 – 18h15 • Mercredi 16 juillet 08h30 – 18h15 • Jeudi 17 juillet 08h30 – 18h15

Police de Nairobi : 999 Accident : 2999 Incendie : 299 Médecin : 5999 Pour plus de numéros, veuillez cliquer sur ce lien : http://dcs.unon.org/index.php?option=com_content&view=article&id=139&Itemid=191&lang=en

Déjeuner et dîner Un déjeuner sera proposé à la KSMS à tous les participants, pendant toute la durée de la conférence. Tous les participants seront invités au cocktail de bienvenue/événement kenyan au Safari Park Hotel le mardi soir, ainsi qu'au cocktail et à la cérémonie de remise des prix le jeudi soir.

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Informations pratiques Plan Kenya School of Monetary Studies (KSMS) : zone de conférence

SALLES

UTILISATION

Ndovu Simba Chui Bureau de presse Studio télé Point de rencontre Secrétariat Reportage médias sociaux Kifaru Twiga Kiboko Tente pour le déjeuner Tente d’exposition Tente d’inscription Banque modèle Bibliothèque

Panel / Sessions plénières / Résumés journaliers Conférences de presse / Briefing continental / Sessions restreintes Atelier de suivi Hackathon ICT4Ag / Panel / Sessions restreintes Bureau de presse Studio télé Réunions parallèles, y compris réunion du ROPPA Secrétariat Reportage médias sociaux Panel / Sessions restreintes Sessions restreintes Sessions restreintes Pauses déjeuner Exposition & pauses café Bureau d’inscription & d’information Per diems Table ronde médias

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Informations pratiques Plan Google de Nairobi

Hôtels Sunstar Hotel • Roaster Hotel • Hilton Hotel • Kasarani Sportsview Hotel, • Oak Place Hotel • Utali Hotel • Meridian Hotel

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Informations pratiques 2e Briefing continental africain Dimanche 13 juillet INSCRIPTION

12:00 - 17:30

Briefing continental : Dimanche 13 juillet

Un nouvel élan pour le financement des chaînes de valeur et succès des modèles économiques agricoles

INSCRIPTION

8:30 - 09:30

9:30 - 10:00

Simba Objectifs et programme + Remarques introductives

10:00 - 11:30

Session 1 du BC : Plantons le décor : un nouvel environnement pour le financement des CV

11:30 - 13:00

Session 2 du BC : Succès des organisations d’agriculteurs

13:00 - 14:15

Pause-déjeuner Simba

14:15 - 18:00

Session 2 du BC : Succès des organisations d’agriculteurs (suite)

Briefing continental : Lundi 14 juillet

Développer le financement agricole selon les besoins des agriculteurs et rôle des organisations d’agriculteurs

Simba 09:00 - 10:30

Session 3 du BC : Le financement à la base de la pyramide

10:30 - 11:00

Pause-café Simba

11:00 - 13:00

Session 4 du BC : Développer la collecte de données en tant que service aux organisations d’agriculteurs

Pause-déjeuner

13:00 - 14:15 Simba 14:15 - 16:00

Session 5 du BC : Comment les OA peuvent faire affaire avec les agriculteurs et plan d’action pour un meilleur accès au financement — Conclusions

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Informations pratiques Journée Plug & Play Lundi 14 juillet INSCRIPTION

7:00 - 17:30

Journée Plug and Play : Lundi 14 juillet INSCRIPTION

7:30 - 08:45

Ndovu SEANCE D’OUVERTURE

8:45 - 09:45

9:45 - 10:30 10:30 - 11:15

Booth Chui 1

Booth Kifaru2

Booth Twiga3

Booth Kiboko4

Tangaza Pesa

Mendeley

iCOW

Esoko

Farmer Management System

e-Krishok

Solution Credit Bureau de Creditinfo

Musoni System

Pause-café

11:15 - 11:30 Booth Chui 5

Booth Kifaru6

Booth Twiga7

Booth Kiboko8

11:30 - 12:15

Farmforce

Credit Information Sharing (CIS)

Umati Capital

Plateforme Agrilife

12:15 - 13:00

UWINCorp

Agrocentral

Plateforme aWhere

RiMFin

Chui 1 Booth

Kifaru2 Booth

Twiga3 Booth

Kiboko4 Booth

14:00 - 14:45

Farmer Management System

Agrocentral

FarmDrive

Musoni System

14:45 - 15:30

Farmforce

Umati Capital

Platforme aWhere

Zoona eVouchers

15:30 - 16:15

Tangaza Pesa

e-Krishok

Credit Information Sharing (CIS)

RiMFin

16:15 - 17:00

UWINCorp

Ensibuuko

Solution Credit Bureau de Creditinfo

Platforme Agrilife 2

Pause-déjeuner

13:00 - 14:00

17:00 - 17:15

Pause-café Discussions et conclusions Ndovu

17:15 - 18:15

Session [S34] TIC - Quelles sont les meilleures opportunités de financement ? (Org. CTA)

Chui

Kifaru

Session [S33] Quels sont les enseignements de l’introduction des TIC dans les banques kenyanes ? (Org. CTA)

Session [S35] Comment intégrer stratégiquement de nouvelles technologies de financement dans les propositions de valeur d'une banque ? (Org. CTA)

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Informations pratiques Conférence 1e jour : Mardi 15 juillet 7:00 - 17:30

INSCRIPTION Auditoire

8:45 - 10:30

DISCOURS D'OUVERTURE + DISCOURS D'INTRODUCTION

10:30 - 11:00

11:00 - 12:30

Pause-café Ndovu

Simba

Chui

Kifaru

Twiga

Session [S1] Bonnes pratiques de financement des chaînes de valeur agricoles

Conférence de presse

Session [S40] Exploitation des TIC pour le financement agricole : enseignements de la journée Plug & Play

Session [S53] Soutenir l’implication des jeunes entrepreneurs dans les entreprises d’ICT4Ag : résultats du hackathon 2013 d’ICT4Ag

Session [S24] Développer des prêts agricoles et des assurances climatiques innovants pour une agriculture résistante au climat (ORG. CTA)

(ORG. CTA)

(ORG. CTA)

(ORG. CTA)

Pause-déjeuner

12:30 - 14:00

14:00 - 15:30

Ndovu

Simba

Session [S11] Financement du commerce alimentaire intra-africain

Session [S30] Agriculture et stabilité des prix (ORG. CBK)

(ORG. AFRACA)

Chui

Kifaru

Session [S5] Session [S48] Les innovations au Défi pour les banc d’essai : agriculteurs ouestfinancement des africains : comment chaînes de valeur le secteur privé de l’élevage et des peut-il jouer le rôle produits laitiers : d’intermédiaire entre expériences d’Afrique les agriculteurs et de l’Est et australe les banques ? (ORG. ILRI)

15:30 - 16:00

16:00 - 17:30

Session [S9] Prêts agricoles pour les institutions de microfinance : l’expérience kényane

(ORG. FAO)

(ORG. AMFI)

Ndovu

Simba

Chui

Kifaru

Twiga

Kiboko

Session [S31] Interventions des banques centrales dans l’agriculture

Session [S45] Paysage économique du financement numérique agricole

Session [S23] Gestion des garanties au niveau panafricain (ORG. CTA)

Session [S43] Gestion des risques de production et commerciaux en faveur du financement agricole

Session [S13] Études de cas : prêts agricoles d’institutions de microfinance

(ORG. CTA)

Session [S48] Défi pour les agriculteurs ouestafricains : comment le secteur privé peut-il jouer le rôle d’intermédiaire entre les agriculteurs et les banques ?

Réseautage, Temps libre, etc. Safari Park Hotel

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Session [S42] Gestion des risques liés aux prix et au climat en faveur du financement agricole

(ORG. ROPPA/CTA)

(ORG. ROPPA/CTA)

18:30 - 22:30

Kiboko

Pause-café

(ORG. CBK)

17:30 - 18:30

Twiga

Cocktail + Soirée culturelle kényane

(ORG. FAO)

(S.O. CTA)


Informations pratiques Conférence 2e jour : Mercredi 16 juillet 7:30 - 17:30

8:45 - 10:30

INSCRIPTION

Ndovu

Simba

Chui

Kifaru

Twiga

Session [S4] Questions relatives au développement et à la réglementation des instruments de marchés de capitaux pour l'agriculture : enseignements du Brésil et d’autres pays

Session [S41] Outils de gestion des risques pour le financement agricole

Session [S46] Trois plateformes de financement agricole numérique

(ORG. CTA)

(ORG. CTA)

Session [S36] Femmes et financement des chaînes de valeur agricoles : les clés du succès !

Session [S49] Défi pour les agriculteurs est-africains : création de banques agricoles pour les producteurs au niveau national ou régional en Afrique de l’Est : perspectives et aspects pratiques futurs

(ORG. CTA)

(ORG. CTA)

(ORG. EAFF/CTA)

Pause-café

10:30 - 11:00

11:00 - 12:30

Ndovu

Simba

Chui

Kifaru

Twiga

Kiboko

Session [S29] Forum des banques centrales : importance de l’agriculture pour l’inclusion financière et l’agenda de stabilité

Session [S17] Systèmes d'entreposage et de gestion des garanties afin de promouvoir l'accès au financement

Session [S21] Développer un financement fructueux des chaînes de valeur agricoles

(ORG. AFD/IFAD/CTA)

Session [S49] Défi pour les agriculteurs est-africains : création de banques agricoles pour les producteurs au niveau national ou régional en Afrique de l’Est : perspectives et aspects pratiques futurs

Session [S44] Application d'un modèle centré sur l’humain au financement de la petite agriculture

(ORG. CBK)

Session [S37] Renforcement des capacités : que manque-t-il à la formation en matière de financement des chaînes de valeur agricoles et comment combler les lacunes ?

(ORG. FAO)

(ORG. KMP)

(ORG. ISF)

(ORG. EAFF/CTA)

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Informations pratiques

12:30 - 14:00

14:00 - 15:30

Pause-déjeuner Ndovu

Simba

Chui

Kifaru

Twiga

Session [S26] Stimuler les processus politiques afin d’encourager l’élaboration d’un programme de financement agricole radicalement nouveau

Session [S22] Adoption d’une stratégie de financement des chaînes de valeur agricoles dans une IMF

Session [S10] Mécanismes de soutien du financement des chaînes de valeur agricoles

Session [S38] Information, communication et gestion des connaissances en matière de financement des chaînes de valeur : enseignements

Session [S51] Défi pour les agriculteurs des Caraïbes : l’affacturage pour les agriculteurs

(ORG. FAO)

(ORG. BASIX)

(ORG. CTA)

(ORG. IICA/CTA)

(ORG. KMP)

15:30 - 16:00

16:00 - 17:30

Pause-café Ndovu

Simba

Chui

Kifaru

Twiga

Session [S14] Interventions public-privé dans la promotion du financement des chaînes de valeur agricoles et de meilleurs mécanismes de gestion des risques agricoles : enseignements

Session [S18] Les tenants et aboutissants d’un financement réussi par récépissé d’entrepôt

Session [S39] Améliorer l’accès au financement des jeunes agro-entrepreneurs : modèles innovants et questions de reproduction

Session [S52] Lever les barrières au développement de l’assurance agricole

Session [S6] Expériences dans le financement d’exportations de produits horticoles

(ORG. CTA)

(ORG. FARM)

(ORG. CTA)

(ORG. FAO)

17:30 - 18:30

Réseautage, temps libre, etc. Kenya School of Monetary Studies (KSMS))

18:30 - 22:30

60

Cocktail + Dîner de gala (sur invitation uniquement)

(ORG. COLEACP/CTA)


Informations pratiques Conférence 3e jour : Jeudi 17 juillet 7:30 - 17:30

08:45 - 10:30

INSCRIPTION

Ndovu

Simba

Chui

Kifaru

Twiga

Session [S32] Création d’une masse critique pour le financement des récépissés d’entrepôt – groupe de discussion

Session [S27] Fonds d’investissement agricole

Session [S25] Progression des bourses de matières premières en Afrique

(ORG. FAO)

(ORG. FAO)

Session [S16] Le rôle de l’assistance technique dans les produits de financement des petits exploitants agricoles

Session [S50] Défi pour les agriculteurs d’Afrique australe : financement climatique de l’agriculture

(ORG. CTA)

10:30 - 11:00

11:00 - 12:30

(ORG. SACAU/CTA)

(ORG. FONDATION YNGENTA)

Pause-café Ndovu

Simba

Chui

Kifaru

Twiga

Session [S15] Régimes de garantie : expérience et enseignement tirés

Session [S3] Crowdfunding dans l’agriculture ACP : initiatives, défis et perspectives

Session [S47] Finance numérique dans le secteur agricole : plus que les paiements

Session [S7] Nouvelles stratégies de financement de la mécanisation de l’agriculture

(ORG. FAO)

(ORG. CTA)

(ORG. FMARD/AFRACA)

Session [S50] Défi pour les agriculteurs d’Afrique australe : financement climatique de l’agriculture

(ORG. CTA)

( ORG. CTA)

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Informations pratiques

€ 12:30 - 14:00

14:00 - 15:30

Pause-déjeuner Ndovu

Simba

Chui

Kifaru

Session [S28] Positionnement des organisations d'agriculteurs dans le financement des chaînes de valeurs agricoles : débat (S.O. CTA)

Conférence de presse

Session [S54] Gestion des risques climatiques et financement agricole

Session [S2] Expériences du financement de la pêche et de la pisciculture.

(S.O. CTA)

(S.O. CTA)

15:30 - 16:00

Pause-café Ndovu

16:00 - 17:30

Séance de clôture + intervenants

17:30 - 18:30

Réseautage, temps libre, etc. Kenya School of Monetary Studies (KSMS)

18:30 - 22:30

Cocktail + cérémonie de remise des prix YoBloCo

Vendredi 18 juillet 7:00 - 17:30

INSCRIPTION Nairobi National Park

6:00 - 8:00

Safari

8:00 - 9:00

Petit déjeuner

Départ 9:00

Visites de terrain

Codes couleur Révolutionner le financement des chaînes de valeur agricoles : les outils Élaboration de politiques Questions transversales

Cérémonies Sessions du briefing continental et conférence de presse Présentations de plateformes numériques (Journée Plug and Play) Visites de terrain

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Le magazine du dĂŠveloppement agricole et rural des pays ACP

http://spore.c http://spore.cta.int p // p cta.int

Lisez le Dossier spĂŠcial de Spore sur Fin4Ag Octobre 2014

http://publications.cta.int



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