Cinéma-Théâtre Le Colisée par Georges-Henri Pingusson - Plaquette - Delphine Magnan

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Cinema-théâtre Le Colisée à Nîmes Georges-Henri Pingusson & Paul Furiet


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GENESE

Années Arts-Déco de Paris au Sud de la France

L’Art déco est un mouvement qui tire son nom de l’Exposition Internationale des Arts Décoratifs et Industriels organisée à Paris en 1925, au lendemain de la Première Guerre Mondiale. Après ce conflit, une génération nouvelle rêve d’un monde nouveau qui connaît une vraie révolution économique, culturelle et des loisirs, représentés notamment par les cinémas-théâtres ou les dancings. L’Art-déco célèbre le progrès, la technologie, l’industrialisation et le voyage. L’esthétique art déco des années 20 est inspirée par les machines et pour l’architecture les matériaux de prédilection sont l’aluminium, le verre, le béton armé ou la brique. C’est un style qui fait la transition entre le 19ème siècle très ornementatif (notamment l’Art Nouveau avec ses décors fleuris et organiques) et le style moderne caractérisé par l’épuration maximale. En 1926 Victor Régnier, président de la société des Palais de Provence, est propriétaire du terrain de l’ancien hôtel du Petit Saint-Jean à Nîmes. Il souhaite y faire construire une salle de spectacle accompagnée de boutiques et logements. Il demande en même temps au duo d’architectes Pingusson-Furiet le casino du Grau du Roi (détruit en 1964). Ce sont des édifices qui s’inscrivent parfaitement dans la dynamique de l’époque. Si l’Arts-Déco est bien présente à Paris, le style s’exporte plus timidement dans le sud de la France, si bien qu’aujourd’hui ce style y est assez rare, notamment à Nîmes. Dans une ville de 160 km2 on peut trouver quelques jolis immeubles, maisons et autres édifices des années 20-30.

Paris la nuit, dans un dancing de Montmartre, gravure en couleurs de Manuel Orazi, 1927


Casino du Grau du Roi, carte postale de 1955

13 rue Briconnet, issue du site internetarchitecture-art-deco.fr

Rue Court de Gebelin, issue du site internet architecture-art-deco.fr

21 rue Saint-Gilles, issue du site internet architecture-art-deco.fr

33 Avenue Jean Jaurès, issue du site internet architecture-art-deco.fr

23a Rue Dhuoda, issue du site internet architecture-art-deco.fr

46 boulevard Sergent Triaire, issue du site internet architecture-art-deco.fr

Lycée Dhuoda, issue du site internet architecture-art-deco.fr


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CONCEPTION

Le Colisée, égérie des années folles

Le bâtiment est construit à l’emplacement de l’hôtel du petit Saint Jean, à l’intersection de la place Gabriel Péri et du boulevard Amiral Courbet. Le bâtiment est ainsi bien visible depuis la place : c’est un emplacement idéal pour un équipement qui donne vie à l’espace. La salle de spectacle est bordée côté place et boulevard par un bâtiment plus bas abritant des boutiques et cafés en rez-de-chaussée (avec réserves au sous-sol) et des bureaux et appartement au 1er étage. Au-dessus de l’entrée se trouve un dancing avec bar et au second des loges et la cabine de l’opérateur ainsi que les appartements du directeur et du gérant. La toiture à deux pentes est masquée par la hauteur des murs et on note une forte présence de ligne horizontales sur la façade latérale : ce sont des vrais prémices de modernité. On note ainsi un réel mélange des langages. Un grand fronton marque l’entrée du bâtiment. On entre dans le théâtre par un grand hall qui abrite les guichets et une brasserie-bar. On entre ensuite dans une grande salle de 2500 places qui présente une scène importante et une fosse pour l’orchestre. Un grand balcon en porte-àfaux sur huit mètres est construit en béton armé. Les architectes imaginent aussi une ouverture zénithale à structure métallique qui peut s’ouvrir ou se fermer selon scénographie désirée. Au Colisée l’art est total : les architectes ont dessiné les détails décoratifs du projet : rideau de fond de scène ou bas-reliefs qui viennent compléter l’idéal chic et du rafiné pour un programme de loisirs typique des années folles. Selon Simon Texier, historien de l’art spécialiste de l’architecte, Pingusson a un vrai goût et talent pour le graphisme, qui se perçoit dans ses décors architecturaux mais également dans son attrait pour la typographie ou les illustrations.

Photographie de la salle principale en 1927, issue des archives IFA


LES FACADES

FACADE BOULEVARD AMIRAL COURBET - D’APRES PHOTOGRAPHIES IFA -

Façade boulevard Amiral Courbet, -d’après photographies IFA, par AndréP - FURIET 1/200- N C N G -H Nicolas PINGUSSON

N I C OL A S ANDRE A R C HI TE C T E DPLG - D I A G N OS T I C

AR C H I TE CT U R AL T HÉ ÂT RE C I N É MA

OL I SÉ E A

Î M E S D E S A R C H I TE CT E S

E O RG E S

ENRI

ET

AUL

OV E MB R E

Plan de RDC, issu des archives IFA

2014


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ARCHITECTE

Pingusson, du régionalisme au modernisme

Né à Clermont-Ferrand le 26 juillet 1894, Georges-Henri obtient son diplôme d’ingénieur à l’École supérieure de mécanique et d’électricité en 1913. A cette époque étudier dans ce domaine est une preuve d’un réel intêtet pout la technologie et l’innovation. Par la suite il sera classé premier au concours d’entrée de l’école nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris ou il étudie l’architecture de 1919 à 1925. Il s’associe à Paul Furiet pour créer une agence. Leurs commandes sont principalement des villas sur la côte basque ou la côte d’Azur. Ensemble ils créent une architecture à inspirations arts-déco ou « néo-régionalistes » comme le qualifie l’historien Simon Texier. Ils prennent comme références les villas paladiennes et les plans arts and kraft : leur architecture est au pivot du régionalisme et du modernisme que Pingusson adoptera par la suite. En effet, on peut lire des prémices de modernité dans certains de leurs projets comme la villa Romée (1928) à Cannes où l’on peut trouver des toitures tuiles combiné à des porte-à-faux en béton-arme. Dans les années 1930, au décès par maladie de Paul Furiet qui n’a que 32 ans, Pingusson change définitivement d’optique et se tourne pleinement vers le mouvement moderne dont il devient une figure incontournable avec pour référence principale l’icônique hôtel Latitude 43 à Saint-Tropez en 1932. Il a également été un membre de l’Union des Artistes Modernes. A la fin de sa vie il a été engeignant apprécié de ses élèves aux Beaux-Arts puis à l’Ecole Nationale d’Architecture de Nanterre. Aujourd’hui, 7 de ses bâtiments sont inscrits ou classés au titre des Monuments Historiques. Plus méconnu que Le Corbusier ou Mallet-Stevens, il est un personnage atypique, mais pas central. En effet, il a toujours revendiqué « une certaine marginalité qui fait son charme » (Simon Texier). C’est aussi ce qui lui a valu de passer à côté de quelques commandes. Pingusson a eu une carrière qui représente bien une séquence de l’histoire de l’architecture en France : il a commencé par une architecture régionaliste puis est passé par une courte phase Arts-déco avant de se tourner vers l’architecture moderne née grâce à la maîtrise du matériau béton armé. Il n’a cessé de se remettre en question pour se réinventer et chercher son positionnement général face au projet. Inventif, il a su être toujours dans l’air du temps.

Georges-Henri Pingusson, passionné d’aviation, photographie issue du fonds Pingusson de la Cité de l’Architecture


Villa Barret-Decap à Anglet, 1927, photographie issue du fonds Pingusson de la Cité de l’Architecture

Villa Romée à Cannes, 1928, photographie issue du fonds Pingusson de la Cité de l’Architecture

Hôtel Latitude 43 à Saint-Tropez, 1932, dessin issu du fonds Pingusson de la Cité de l’Architecture


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RÉCEPTION

La vie tourmentée du Colisée

La salle ouvre ses portes le 15 avril 1927. Le projet est représentatif d’une époque des cinémasthéâtres et il est exploité pendant plusieurs années avec sa fonction originelle. « À la fois ci­néma et théâtre, elle pro­pose ré­gu­liè­re­ment des music-halls, pièces de théâtre et galas, mais aussi plus ex­cep­tion­nel­le­ment des nu­mé­ros de cirque »1. En 1929, la salle projette ses premiers film par­lant. Peu à peu, Le Co­li­sée s’impose ainsi comme une salle prestigieuse do­tée des der­nières avan­cées techniques. En 1953, le ci­néma se dote d’un nou­vel écran pa­no­ra­mique de 8,5 x 5,10 m, puis, en 1963, ac­cueille les pre­miers films en 70 mm. En 1973, alors que la salle a été ra­che­tée par Fer­nand Mé­ric, elle prend le nom de « K7 » et in­tègre le ré­seau de mul­ti­plexes ré­gio­naux, im­plan­té aussi à Montpellier et Aix-en-Provence. Dès lors, il se di­vise en une ga­le­rie mar­chande (au rez-de-chaussée) et la grande salle est découpée en cinq plus petites avec des dalles intermédiaires. Ce projet dessiné par l’architecte Marcel Lauze marque une première modification majeure et irréversible de la grande salle Arts-Déco. Par la suite le bâtiment va souffrir par un réel manque d’entretien et une baisse de la fréquentation se fait ressentir. En 1987 le cinéma est repris est repris par UGC mais les moyens investis ne seront pas suffisants pour restaurer le cinéma et la salle ferme ses portes en 1988. La mu­ni­ci­pa­li­té de Nîmes pro­jette un temps d’ouvrir dans les an­ciens lo­caux du Co­li­sée une école-musée du ci­néma, mais cette idée n’a pas de suite. Les cinémas des centre-villes ne sont plus d’actualité dans les années 80-90, à l’époque où se construisent les grands complexes des zones commerciales. Une superette et des brasseries s’emparent successivement des lieux. En 2002, une boîte en aluminium laqué vert est placée au-dessus de l’anceinne entrée masquant le balcon et les baies centrales pour agrandir le bar qui s’est installé à l’étage, portant un coup de grâce à la façade Arts Déco. En 2014 le bâtiment est occupé par un Carrefour, aujourd’hui fermé. A cette époque les sousplafonds du supermarché cachaient encore les décors arts déco originels. Des vérandas ont été ajoutées et supprimées pour agrandir les bars, les exploitants ont pris la liberté de repeindre leurs devantures.

1

Bernard BASTIDE et Jacques-Olivier DURAND, Dictionnaire du cinéma dans le Gard, Les Presses du Languedoc,

1999

Ci-contre : Photographie du Colisée en 1927, issue des archives IFA Photographie du Colisée en novembre 2020 par Zoé Divaret



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ACTUALITÉ

Une inscription insuffisante?

Aujourd’hui le site est le terrain d’un nouveau projet de MPM Architectes : une résidence Sénior de 86 appartements en R+6 (qui dépasse alors largement le gabarit du théatre de 1927). Pour se faire tout le coeur d’îlot est rasé, ne laissant que les façades et espaces boutiques du plan du projet initial. En jan­vier 2015, alors que sa des­truc­tion était envisagé, les façades et la toiture de l’ancien ci­néma ont été inscrites aux Monuments Historiques1 après des pétitions de Nîmois soucieux de préserver leur patrimoine urbain. Pourtant, le projet de résidence sénior a pu détruire la partie centrale du bâtiment, et donc le grande toiture. On peut alors s’interroger sur l’utilité de l’inscription. Aujourd’hui seules les façades du Colisée demeurent : la salle et tout l’intérieur ont été détruits avec les différentes utilisations au cours du temps. Il est alors interessant de se demander s’il faut absolument les conserver et pourquoi? On peut par la suite s’interroger sur la manière de procéder. Le Colisée représente un bâtiment original dans la vie de l’architecte Pingusson : un court moment art-déco de sa carrière, qui même si il n’est pas le style phare de l’architecte, c’est un moment charnière vers son passage au modernisme. De plus, il met en valeur une facette méconnue de l’architecte : son talent de décorateur. Au delà d’exposer une tranche de carrière d’un architecte remarquable, cet édifice représente l’architecture Art-Déco, dont on trouve très peu de représentations dans le sud de la France. A Nîmes on peut retrouver quelques immeubles ou maisons, mais rien de comparable à un cinémathéâtre, programme phare des années 20-30. Enfin, l’édifice a un réel rôle urbain dans l’espace public : il articule la rue et la place par son positionnement à l’angle. Pour ses trois raisons, on peut reconnaître que le Colisée fait patrimoine et mérite une considération. Si de manière générale on reconnaît que le façadisme n’est pas toujours juste car, s’il garde l’aspect extérieur des bâtiments, il peut grandement porter atteinte à des espaces intérieurs intéressants. Or ici, la question ne se pose pas beaucoup : il ne reste plus que les façades à protéger, ça sera donc un façadisme par défaut. Les fonds Pingusson sont assez bien documentés, ce qui permettrait de s’appuyer sur des documents si on décide de restaurer cette façade. Il semblerait d’abord judicieux d’oter la bôite verte sur la façade principale : si ce volume n’avait pas grand intérêt au moment où un bar était installé à cet étage, il n’en n’aura encore moins aujourd’hui car le projet de résidence sénior ne prévoit pas d’ouverture sur cette façade. On pourrait par la suite reprendre les enduits des façades et du fronton pour rappeler au public l’existance d’un édifice art-déco près de chez-eux. Aujourd’hui les Nîmois sont certainement plus familiers à leur patrimoine antique. On peut de ce fait supposer que les architectes de MPM ont choisi ce type de référence comme inspiration pour la façade de leur projet. 1

Notice Ancien cinéma-théâtre Le Colisée PA30000118, 2019


Projet de résidence sénior prévu pour 2021, images issues du site internet des architectes MPM


06

Hypothèse pour la restitution des façades du Cinéma-Théâtre Eléments à suppri HYPOTHESE POUR LA RESTITUTION DES FACADES

Eléments à supprimer sur la façade en l’état actuel

3

1

4

Eléments à supprimer 1

Murets béton construits en 1973

2

Coffrages bois ajoutés en 1987 (pour cacher les pilastres béton abîmés?)

3

Remplissage lettrages béton et parties sommitales réalisés en 1995

Elève : Delphine Magnan - Master spécialisé Architecture & Patrimoine contem GSPublisherVersion 0.0.100.100


e le Colisée à Nîmes des architectes Georges-Henri Pingusson et Paul Furiet imer sur la façade en l'état actuel

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Bouches d'aération et extension du bar créées en 2002

mporain - Technique d'intervention - Enseignant : Nicolas André - 1/200 - 23/12/20


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Hypothèse pour la restitution des façades du Cinéma-Théâtre Eléments à rest HYPOTHESE POUR LA RESTITUTION DES FACADES

Eléments à restituer et traitement des bétons

Eléments à restituer : lettrage et partie sommitale du fronton

1

2

2

3

3

3

Proposition de traitement curatif et préventif des bétons :

1. Dégagement des armatures corrodées par burinage, repiquage ou bouchardage. 2. Elimination de la corrosion par décapage et brossage ou sablage. 3. Nettoyage pour faire disparaitre toute souillure subsistant après l'élimination des bétons dégradés. 4. Passivation des armatures par application sur toute la surface des armatures dégagées un produit assurant la corrosion. 5. Réfection des bétons avec des mortiers prêt à l'emploi. 6. Protection de la surface des bétons présentant une amorce de carbonatation pour réduire les pénétrations de forme de peinture minérale ou d'un produit hydrofuge appliqué par pulvérisation.

Elève : Delphine Magnan - Master spécialisé Architecture & Patrimoine contem GSPublisherVersion 0.0.100.100


e le Colisée à Nîmes des architectes Georges-Henri Pingusson et Paul Furiet tituer et traitement des bétons 1

1

1

1

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2

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3

3

1

Parties sommitales : traitement curatif/préventif + protection avec une couvertine (pour les ouvrages existants et nouveaux)

2

Casquettes présentant des percolations d'eau : traitement curatif/préventif + protection des parties horizontales par la reprise d'une étanchéité

3

Pilastres bétons carbonatés car le béton était de moins bonne qualité que celui de la structure poteaux-poutres

a protection vis-à-vis de la

e l'eau dans les bétons : sous

3

mporain - Technique d'intervention - Enseignant : Nicolas André - 1/200 - 23/12/20


BIBLIOGRAPHIE Livres - Bernard BASTIDE et Jacques-Olivier DURAND, Dictionnaire du cinéma dans le Gard, Les Presses du Languedoc, 1999 - Michel RADON (sous la direction de), Dictionnaire des Architectes, Dictionnaire Encyclopedia Universalis, Editions Albin Michel, 1999

Articles de revues - Simon TEXIER et David PEYRECER, Les archives de Georges-Henri Pingusson, Revue Colonnes n°8, juin 1996, pages 8-16 - Francis CHASSEL et Catherine BRUANT (sous la direction de), Les cahiers de la recherche architecturale n°14, 1984, pages 26-41 (chapitre Les villas de la Côte d’Azur : 1920-1940, Entre modernité et régionalisme, rédigé par le laboratoire de recherche I.N.A.M.A) - Georges Mathon, Les cahiers d’histoire, Nîmes au début du XXe siècle

Thèses

- Simon TEXIER, Georges-Henri Pingusson, architecte, 1894–1978. L’architecture comme « transcendance poétique du concret, ou l’impossible doctrine, thèse de doctorat en histoire de l’art, université de Paris-IV Sorbonne, 1998

Notices Base Mérimée

- Notice Villa Romée PA00132714, 2020 - Notice Ancien cinéma-théâtre Le Colisée PA30000118, 2019 - Notice Ancien groupe touristique Latitude 43 PA00081795, 2020

Videos/conférences

- Simon TEXIER, Georges-Henri Pingusson, architecte : de l’art déco au modernisme, conférence pour le CAUE Gard, 2014, en ligne : https://www.youtube.com/watch?v=2SMrzOQifHs, consulté le 14/12/20 - Simon TEXIER, Georges-Henri Pingusson, une voix singulière du mouvement moderne, discours pour l’ouverture de l’exposition à la Cité de l’architecture et du patrimoine, 2018, en ligne : https://vimeo.com/312161884, consulté le 14/12/20

Articles en ligne

- Nîmes : inquiétudes pour la façade du Colisée, midilibre.fr, 2014 - Les journées de destruction du patrimoine à Nîmes?, archipostalecarte.blogspot.com, 2014 - Journées de destruction du patrimoine à Nîmes, darchitecture.com, 2014 - Art déco à Nîmes, architecture-art-deco.fr, 2017

Sites internet

- http://www.nemausensis.com, consulté le 14/12/20 - Fonds de la Cité de l’Architecture & du Patrimoine. En ligne : https://archiwebture.citedelarchitecture.fr/fonds/FRAPN02_ PINGU#selection, consulté le 14/12/20 - http://www.stspromotion.com, consulté le 14/12/20 - Pétition Sauvons le ciné-théâtre Colisée de Nîmes : http://petitionpublique.fr/PeticaoVer.aspx?pi=P2014N46763, consulté le 14/12/20

Master spécialisé Architecture & Patrimoine contemporain à l’ENSA Montpellier Enseignant : Nicolas André - 18/12/2020 - Elève : Delphine Magnan


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