anxa 92-B 22741
ALBERT SOlJBIES
L.-E.
BARRIAS (1841 1905
)
NOTES BlOGRAPHIdUES
Prix
UN
;
Franc
PARI ERNEST
I-
s
LAMMARION, ÉDITEUR
26
.
KU
K A (; N
!•:
I
1
i
;
üD
!•;
,
2
6
ALBERT SOUBIES
L.-E.
BARRIAS (
1841-1905
)
NOTES BIOGRAPHIQUES
PARIS ERNEST ELAMMARION, ÉDITEUR 26,
RUE RACINE, 26
1905
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2016
https://archive.org/details/lebarrias184119000soub
I
BARRIAS
L.-E.
(1841
La première
que, dans
fois
avons rencontré
1905
le
nom
les écrits
des critiques, nous
d’Ernest Barrias, c’est sous
plume de M. Delaborde, pour
lequel, dans l’article
bien ancien auquel nous faisons allusion, ce teur paraissait tout à
de
l’essai
qu’il avait «
dû
à
un sculpteur portant
s’agit
le
n’était
et
de sculp-
probablement
propos d’un buste
qui était,
même nom autre que
que
M.
ajoutait-il, le
modèle
Barrias père.
commençant d’une vingtaine
M. Delaborde
pas à reconnaître
très vif
sentiment de
la
n’hésitait
Houdon
et des sculpteurs
siècle
».
Avant de parler avec quelque développement de sculpteur, nous croyons devoir dire le
il
Barrias,
un mot de son
frère,
peintre bien connu, son aîné d’environ
vingt ans, de qui les conseils et
sur sa carrière,
un
quelque chose de
du dix-huitième
Félix-Joseph,
«
physionomie...,
manière toute française de
portraitistes
le
».
ce buste, oeuvre d’un
d’années,
la
effet,
« Il
disait-il à
»,
beaucoup remarqué,
Ce modèle, en Dans
nouveau.
fait
d’un débutant
nom
la
déjà
le
patronage dévoué ont eu
se plaisait à le reconnaître
luî-môme,
la
L.-E.
4
M.
plus heureuse influence.
Léon Cogniet,
Barrias, le peintre, élève de
comme un
a toujours été considéré
de valeur. Très laborieux,
qu’en France,
il
en Angleterre
et
s’est
BARRIAS
il
a
beaucoup produit. Ainsi
est représenté à l’étranger, et
spécialement
en Russie, par de nombreux ouvrages.
également distingué
nombre d’ouvrages
comme
littéraires.
Il
illustrateur d’un
a enfin
De nombreux
peintres s’honorent d’avoir été ses élèves, et
particulièrement lieu de signaler
les résultats
son atelier spécialement affecté aux jeunes
non
Lancry, le
fit
loin de la
le
il
y
aurait
obtenus dans
filles.
un des plus anciens
Barrias étaient nés dans
Il
grand
obtenu un succès
persistant et prolongé dans l’enseignement.
Paris,
artiste
Les frères
quartiers de
maison qu’habita longtemps, rue de
baron Taylor. Leur père, dont Ernest Barrias
busje mentionné plus haut, était un ouvrier d’art,
peignant sur porcelaine et sur étoffe des motifs de décoration.
La
un des M.
tradition artistique de la famille se continue par
fils
d’Ernest Barrias, architecte diplômé, élève de
Pascal.
Peut-être
y
aurait-il
lieu d’appliquer
nous occupe ce que des «
néo-Renaissance
»,
au statuaire qui
critiques autorisés ont dit de la
en sculpture, de Dubois etdeChapu.
Par l’intelligence de l’antiquité, autant que par cupation de l’étude de
la vie,
la
préoc-
Barrias s’est, en effet, dès ses
premières oeuvres, trouvé, à quelques égards, dans un état d’esprit
un peu analogue
Renaissance
». Il offrait
à celui des maîtres dits « de la
en outre avec eux cette ressemblance
de ne s’être pas confiné dans un absolu
« spécialisme », et
BARRIAS
L.-E.
de s’être, à l’occasion, servi non seulement des outils de
son
mais du pinceau
art,
qu’il pouvait,
non
et
de
la palette. Il
sans dextérité, manier
la
même comme
semble
plume,
en témoigne cet éloge de son prédécesseur Dumont, où a
heureusement
si
tume
»
caractérisé
qui impose à
il
pieuse et légitime cou-
« la
élu à l’Institut l’obligation
l’artiste
de louer celui qu’il remplace. Avec une sorte de coquetterie,
en s’acquittant de ce devoir,
Barrias,
où
il
faisait ses
et
au
moment même
preuves de tact et de finesse dans l’expres-
sion, prenait plaisir à parler de la prétendue littéraire
»
qui peut trahir
artiste astreint,
vain
».
Modestement, il
constatant combien le rare
«
bonheur
il
reportait à ses
aurait
«
inexpérience
bonnes intentions d’un
les
exceptionnellement, à
une louange dont
ont
«
faire
œuvre
d’écri-
nouveaux collègues
pu revendiquer
sa
en
part,
l’Académie compte de membres qui
d’allier le talent littéraire à la
grande
autorité artistique ».
Nous évoquions « la le
Renaissance
».
tout à l’heure
On
a
du
caractère était à la hauteur
tion
comme
dans
le
talent, et que,
l’art, ils s’étaient,
montrés, dans toute
la force
virilité, ce sentiment élevé
lui
dans
l’ac-
selon les circonstances,
du terme, des hommes. Cette
du devoir, nous
chez Barrias qui, lorsque survint
l’exemption que
souvenir des artistes de
souvent remarqué que, chez eux,
la
les
retrouvons
guerre, renonça
à
conféraient ses succès et ses titres
d’école, et s’engagea au début
premiers jours d’août 1870.
même
Il
des hostilités, dès les
supporta, dans des condi-
tions particulièrement pénibles, les dures épreuves
du siège
6
BARRIAS
de Paris, prit une part brillante à différents combats, contracta, croyons-nous, les
et
une grave maladie déterminée par
camps
privations et le rude service des
et
de
la
tran-
chée. L’inspiration du soldat se retrouve, sans nul doute,
dans ces
«
fiers
groupes
selon l’expression de
«,
nestre, qu’a sculptés ultérieurement,
de divers épisodes de le
monde
la
en commémoration
guerre, le ciseau de Barrias.
Tout
a présent à l’esprit la Défense de Paris, érigée
rond-point de Courbevoie,
et la Défense de
8-octobre, et qui rappelle la résistance
un
au
Saint-Quentin,
qui se dresse, dans cette dernière ville, sur
Le
M. Lafe-
Place du
la
des plus glorieux épisodes de
nationale.
talent,
très fécond,
de Barrias a
pris,
du
reste, au
cours d’une production abondante et multiple, des formes
extrêmement
variées.
Tour
à tour,
en parcourant
la liste
fort longue de ses ouvrages, nous rencontrons cette Jeune
Fille de
Mégare (Musée du Luxembourg), suave
naturelle et vivante,
pour laquelle
l’élève
la
Arts)
exécution serrée et
souple,
de Léon Cogniet, de Cavelier
bonne heure,
Jouffroy, fixa, de
—
d’une
et simple,
et
de
l’attention de la critique
;
Fondation de Marseille (Musée de l’École des Beaux;
—
le
Serment de Spartacus, placé, en 1877, dans
le
Jardin des Tuileries, et représentant Spartacus jurant de
venger son père qui, derrière
lui, nale
sur une croix
;
—
le
buste en bronze d’Henri Regnaùlt, que l’on peut voir au lycée Henri
IV
;
—
le
Bernard _Palissy, en pierre, de
façade de l’Hôtel de Ville, dontfigure
dans
le
square
de
la
une réplique en bronze
Saint-Germain-des-Prés
;
—
,
BAR RI AS
L.-E; \q
accordant son violon, du Salon triennal
Mo:{art enfant
de
œuvre
i88S,
dont
magistrale
reproductions
les
musicales, pour et fort
de
et
heureusement, inspiré
;
d’une
fois,
à côté de son Mozart,
nous
rappellerons les figures du Chant tt de la
la
Musique qui, avec
forment à l’Hôtel de Ville
Chasse,
sculpturale.
Les choses
dire en passant, l’ont plus
le
habileté
spirituelle
sont multipliées.
se
contribution
sa
Peut-être conviendrait-il aussi d’ajouter que
son buste de Maniwntel
mieux
est l’un des
traités et
des
plus caractéristiques qu’il ait produits.
Que d’œuvres Les figures de
Marsan, le
encore
l’Hôtel Païva,
la Fileiise, si
Sorbonne,
la
Machines, en 1889),
la
la ville
de Lima, la
Galerie des
sculpture qui orne
le
tombeau de
Bon Saada, gracieuse
fleurs
Muséum,
Mairie de Neuilly.
ce
a,
sous
monument,
à
la
—
la
Jeanne d’Arc de
la
du Père-Lachaise,
les
Nubiens
à Bordeaux,
celui
place de l’Odéon, les figures de
On
l’Opéra,
mais, ce que l’on il
;
monument Carnot
le
l’avant-foyer de
émue
de la Forge,
d’Émile Augier, sur
jeune,
Jeune Fille
dans un geste empreint de tant de charme mélan-
Rouen, V Anatole
la
cette
petite Orientale qui effeuille des
colique et de résignation
du
le Biaise
(pour
l’Electricité
Guillaumet au cimetière Montparnasse, de
du pavillon
bas-reliefs
les
!
souvent reproduite, du Luxembourg,
E. D. pour
tombeau de
Pascal de
conviendrait de mentionner
il
connaît ses deux pendentifs de la
Serrurerie
et
ignore généralement,
la
c’est
Maçonnerie,
que,
tout
direction de Garnier, travaillé, pour
un grand nombre d’ornements (marques.
8
L.-E.
BARRIAS
cartouches, etc.) qui sont demeurés pour
le
public à l’état
d’œuvres anonymes.
Nous avons
déjà cité de ses bustes.
ne faudrait pas
Il
oublier ceux de Jules Favre, de Munkaczy, de Dufaure,
d’André,
La
etc.
nous
série des petits bronzes et statuettes
fournit la Fortune
et
VAmour
^
la
Revanche de Psyché,
la
Bac-
chante exposée en 1891, etc., etc.
Mais une mention tout à
fait à
due au groupe
part est
des Premières Funérailles. Exposée d’abord en plâtre, l’œu-
A
ce
assurait qu’elle avait subi « avec
un
vre, quelques années après, fut sujet,
M. Lafenestre
donnée en marbre.
entier succès l’épreuve redoutable de cette transformation ».
Les acteurs des Premières Funérailles,
un accent
ajoutait-il,
«
ont pris
plus dramatique et plus poignant en revêtant des
formes plus
plus frémissantes
réelles et
».
Donnons une
brève description de cet ouvrage, présent, du reste, à toutes les
mémoires
:
Adam
«
vre d’Abel, dont
che et serre
lui, à sa
de son
fils
dont
»
les
épaules sous son bras gau-
gauche, se tient Ève, penchée sur
les lèvres
de plantes.
soulève
deux jambes pendantes dans son bras
les
Près de
posant
il
s’avance, portant devant lui le cada-
elle
soulève
la tête
de
la
le
droit.
corps
main gauche en
sur ses cheveux. Derrière eux,
une
touffe
Les comptes rendus des délibérations
du
Conseil municipal de Paris nous ont récemment appris que
M. Quentin-Bauchart mission,
demandé
et
remarquable au Petit
Nous
avait,
au
obtenu
nom de le
la
quatrième
transfert de
ce
Com-
groupe
Palais.
citions ci-dessus la Fondation de Marseille. C’est
BARRIAS
L.-E.
cette la
œuvre, où
marquait un sens délicat de
se
grâce qui, en méritant à Barrias
chemin de Rome. Là
vrit le
autres,
M.
9
il
le
Grand
un
Prix, lui
de
ou-
eut pour compagnons, entre
Pascal, auquel n’a cessé de l’unir
très cordiale amitié, et
la vie et
artiste
une vive
de valeur, trop tôt dis-
paru, Degeorge. Celui-ci avait été d’abord graveur, et
En
M. Roty.
tant
que
un Henri
M.
commande
la
deux
sujets
la Science,
demandés par la
fit
de deux figures
première confiée à Degeorge,
D’un commun accord,
fini l’esquisse
de
la Science-,
à Barrias,
comme une lui
qu’il leur
l’architecte étaient la
La mort de Degeorge survint
Quant
ils
Nature
et
seconde
à
échangèrent leurs sujets.
alors qu’il n’avait pas encore
l’œuvre fut reprise par Cavelier.
avait tout d’abord
il
la
conçu
la
furent présentées.
Il
exécuta alors son œuvre définitive,
voilée,
remarquable par elle-même,
aussi parce qu’elle a été le point de départ d’un
postérieur
très
et
ouvrage
connu, cette allégorique Nature dévoilant
son mystère, qui est au cette
Nature
luxuriante Fenus genitrix. Des observations
une Nature à demi
En
comme
Régnault, lui fut associé par
façade de son Ecole de Médecine à Bordeaux. Les
pour
Barrias.
la
Degeorge, qui,
statuaire,
Barrias, a sculpté
Pascal dans
il
sous cet aspect, tenu en véritable estime
est, assure-t-on,
par
et
statue,
Luxembourg.
Barrias a
fait
un curieux usage de
la
polychromie, déjà tentée notamment par un élève de Rude, Cordier, et par
M. Allouard, dans son
Héloïse au Paraclet.
M. Collignon
a,
Revue de l’Art, donné une étude intéressante de
la
C’est à propos de l’œuvre de Barrias que
dans
la
10
BAKRIAS
L.-E.
polychromie,
par l’emploi de matières de
soit naturelle,
couleurs diverses, genre dont
la
sculpture gréco-romaine a
produit d’illustres spécimens, soit ^peinture,
comme
artificielle, et
due
à
une
en existe également tant d’exemples
il
antiques, depuis les grandes figures jusqu’aux statuettes de
Tanagra. Il
monument
encore un ouvrage de Barrias, son
est
de Victor Hugo,
sur lequel nous nous arrêterons,
pour une raison
qu’il ait soulevé d’assez vives critiques,
puisque nous
d’ « actualité »,
grâce à
M. Paul Meurice,
autre
«
monument
cette
«
édition définitive
»,
sommes
s’élèvera
de genre
sur
le
dift'érent,
sous
exécutée avec
»
point de voir,
gloire
la
bien
du poète un la
forme de
concours de
le
l’Imprimerie Nationale. L’histoire de l’œuvre de Barrias, qui a coûté
le
prix exceptionnel de
260000
intéressante et mérite d’être conservée:
décidée en la
même
tectes
et
1886....
année,
monument
somme
...Son érection fut
iioooo
Les archi-
francs.
il
n’était pas possible d’élever le
grandiose qu’avaient souhaité
d’attendre
années
encore.
M. Paul Meurice
testament de Hugo, de réunir
laissait, et
les
promoteurs,
d’accord avec Vacquerie, crut préfé-
quelques
projet. Vacquerie et le
est
La souscription publique, ouverte
produisit
M. Paul Meurice,
rable
—
sculpteurs consultés furent unanimes à déclarer
qu’avec pareille
et
«
francs,
—
les
Il
avait
son
étaient chargés, par
manuscrits que
le
poète
d’assurer la publication de ces feuillets, selon
qu’ils le croiraient utile.
Une
devait être remise pour
ce difficile travail.
part des droits d’auteur leur
Les deux amis
L.-E. BARRIAS
de
Hugo
tion au
résolurent d’abandonner en faveur de
monument
somme primitive
la
de francs, dus à poète. «
I
la
cette part des droits, et,
I
souscrip-
la
chaque année,
se grossissait ainsi de plusieurs milliers
générosité des collaborateurs du grand
»
D’autre part,
avait fait des
le trésorier
loooo
i
de
la
souscription,
M. Jumel,
un heureux placement,
francs versés
grâce à des Bons du Trésor, qu’il avait pu obtenir, et qui constituaient 1
un
excellent revenu à 5
pour loo.
Si bien
que
10 000 francs, placés à intérêts composés pendant quinze
ans, rapportèrent encore près de «
Enfin,
M. Paul Meurice
fit
looooo
francs.
vendre à
la
»
maison Rouff,
pour Sooooo francs, un droit important de reproduction des œuvres de
Hugo,
souscription de fois,
et
Soooo
francs au capital déjà en caisse. Cette
ne
c’était plus qu’il
au delà.
Barrias,
accepta d’exécuter
le
à la
fallait
couverts
les frais étaient
;
demande de M. Paul Meurice,
monument, auquel
Galerie des Machines et dont la
ajouta spontanéntent une
et la famille
le
il
travailla
dans
la
modèle, disponible après
fonte des statues, a été offert par l’artiste à la ville natale
du poète, Besançon. Parmi
les
signalerons
»
dernières œuvres la
figure
et l’Horloge de la
du
regretté sculpteur,
tombale de
la
duchesse d’Alençon,
Bibliothèque Nationale, conçue et exécu-
tée par lui, de concert avec
M.
Pascal.
Barrias avait toujours été d’une santé délicate. tait
en outre
au labeur
le
la
nous
fatigue d’une existence
plus consciencieux.
Il
Il
ressen-
vouée tout entière
fut saisi par le
mal qui
1
L.-E.
2
BARRIAS
devait l’emporter au sortir d’une séance de l’Institut.
succombé
Il
a
à ViufluenTia, après quelques jours seulement de
maladie. Discret, fu}^ant les occasions de se mettre en avant, ne
recherchant ni
moins un
les distinctions ni
cursus hononim
commandeur de
la
les places,
il
a eu néan-
mieux remplis.
des
Légion d’honneur.
Il
deux commissions des plus importantes
faisait partie
celle des
:
était
Il
de
Musées
nationaux, et celle du Conseil supérieur des Beaux-Arts.
On
sait
que
Beaumetz,
le
l’a
nouveau
sous-secrétaire d’Etat,
M. Dujardin-
remplacé, dans l’une, par son éminent col-
lègue à l’Institut,
M.
Jules Coutan,
dans l’autre, par
et,
M. Rodin.
Une
des principales caractéristiques de Barrias était son
affection presque passionnée cérité,
il
pour
ses élèves.
se réjouissait de leurs succès
Tout
monde
a
reconnu
tionnelle droiture dans la vie
privée.
personnelles.
c’est
le
scrupule,
le
En toute
comme et
De même, en
l’extrême conscience
deux inspirations, l’une plus
de victoires
vanté son excep-
qui
l’unité de cette laborieuse carrière, partagée, dire, entre
pour
de son atelier rien de Lâché.
mais à coup sûr aucun
plus haut
le
ainsi
virile, l’autre
Il
tous ceux qui créent, avoir ses heures de réussite,
art,
constituent
tendre et plus gracieuse. Travailleur probe et loyal, laissé sortir
sin-
artiste n’a
il
plus n’a
a pu,
comme
moins
décisive
eu à un degré
respect de lui-même.
IMP. LAHURE.