Ce mémoire porte sur les critères qui associent la beauté féminine et le corps architectural, plus particulièrement celui qui les associe à notre ère, étant le remodelage et la mutabilité.
En effet, les facteurs économique, écologique et l’insuffisance en matière de terrains, notamment au centre-ville, orientent la réflexion vers le recours à un cadre bâti existant. Néanmoins, ce dernier doit se transformer et s’adapter aux besoins de la société contemporaine pour éviter d’être un passé compromis à l’ignorance, étant donné que sans vie et sans fréquentation le bâtiment finit par mourir.
Rappelant que « nous sommes entrés dans un moment de notre histoire où nous devons transformer le monde et non plus le fonder, ce moment n’est pas moins créatif que le précédent ». (Guy Amsellem, 2015)