Fanzine en ligne pour otakus
Konnichiwa ! “ Doki Doki ”, en japonais “ ドキドキ ” est une onomatopée exprimant le battement de coeur. Nous espérons donc que notre fanzine fera battre le votre avec nos articles sur la culture japonaise et vidéo-gamique.
Sommaire 04 News 06 Interview de Christopher Torres, Créateur Nyan Cat 08 Poème 10 Interview d’Anonymous Blank, illustratrice en herbe 12 Critique du jeu «IB» 13 Dossier : Zelda Twilight Princess 20 BD 22 Mots-fléchés 24 Critique : Une lettre à Momo 26 Poème 27 Maru, ce chat si kawaii 28 Remerciements 29 Crédits
À vos poireaux ! En avant les vocaloïds ! La petite vocaloïd chantera pour vous tous les jours ! En effet, le projet Diva continue avec la sortie le 12 mars 2014 en France d’un jeu de Miku Hatsune sur PS VITA. Un pack spécial est même sorti pour l’occasion ! Alors à vos consoles !
Tokyo, Ville préférée des touristes cette année ? C’est en tout cas ce qui ressort d’une enquête menée par le site Trip Advisor. D’après celle-ci, Tôkyô serait la ville la plus appréciée des touristes parmi 37 grandes villes du monde sélectionnées. - Yaguaga Dans la sélection composée de 16 catégories, elle arrive en effet en première place dans 5 domaines, notamment comme étant la ville qui propose la meilleure expérience générale, où les habitans sont les plus serviables, avec le meilleur service de taxi et de transports publiques, et où le rues sont les plus propres. Elle atteint également la 2ème place au sujet du confort de voyage pour un touriste seul, ainsi que l’amabilité des chauffeurs de taxi. Tokyo se place à 3ème marche du podium concernant le choix et la qualité des restaurants qu’elle propose et l’ambiance nocturne. À l’inverse elle a été moins bien notée concernant les événements culturels (11ème), les panoramas et activités (13ème) et le coùt du voyage (20ème). Le questionnaire était envoyé à toute personne ayant rédigé un avis concernant un hôtel, un restaurant ou une attraction dans une des villes qui figurent au classement. La capitale japonaise montre donc encore une fois qu’elle est une destination tout à fait d’actualité pour les vacanciers, et non plus seulement pour les hommes d’affaire. Ce classement démontre aussi que Tokyo peut encore faire mieux si elle réussit à combler ses manques.
Interview
La frénésie de Nyan Cat Tout Japanophile a sûrement déjà entendu parler du fameux jeu indépendant «Nyan Cat». Dépassant plus d’un million de vues sur Youtube avec son ambiance survitaminée, Nyan Cat s’est fait connaître grâce à son côté kawaii et addictif. Mais d’où-vient Nyan Cat ? Entretien exclusif de Christopher torres. Cookoo
Pouvez-vous vous présenter ? Je suis Chris Torres. J’ai 28 ans et je vis à Dallas, au Texas...
Comment avez-vous trouvé le concept de Nyan Cat ? C’était une partie du dessin que j’ai réalisé pour une action humanitaire. J’ai demandé à plusieurs personnes qu’est-ce qu’elles voulaient que je dessine et elles m’ont surbmergé de réponses. Finalement, j’ai décidé de mixer toutes ces idées et de les rassembler en une. Nyan cat était alors né.
Combien de temps avez-vous pris pour le créer ? Pour le personnage, j’ai pris environ 6 heures bien que le travail fut fastidieux : il fallait le dessiner image par image pour finalement avoir une animation fluide. Si vous parlez du programmation, je ne peux pas vraiment vous répondre. Je suis juste le directeur de ces jeux, d’autres entreprises s’occupent de les réaliser.
Quels sont les différents jeux de la série Nyan Cat ?
Avez-vous des conseils pour les jeunes développeurs ?
Il y en a énormement. Les plus fameux et officiels sont Nyan Cat ! Par Marc Ellis, Nyan Cat Jump, Lost in Space, Flappy Nyan par isTom Games, Nyan cat adventure de 21st street games.
Essayez de ne pas se focaliser sur l’argent. Il y a énormement de jeux sur l’App Store qui sont fun mais la majorité d’entre-eux possèdent des élèments payants à l’intérieur du jeu. Cela casse l’envie de jouer. Avez-vous d’autres projets ? Dernièrement, j’ai commencé à travailler avec de grandes entreprises sur des concepts plutôt cool. Je ne peupas en parler maintenant mais j’espère que vous apprécierez mon travail quand il sera fini ! Merci pour tout Mr Nyan Cat !
ANONYMOUS BLANK et son monde terrifant...
Doki Doki met un point d’honneur à mettre en avant le travail de jeunes talents :) Cette année nous interviewons une illustratrice en herbe d’origine philippine évoluant sur Deviantart : Anonymous Blank
C : Depuis quand dessines-tu et pourquoi ? Aussi loin que je m’en rappelle ! Dés l’instant où j’ai su tenir un crayon, j’ai commencé à gribouiller tout ce que je voyais sur tous les morceaux de papier sur lesquels je pouvais mettre la main... Au début, avant de pouvoir dessiner sans références en laissant libre cours à mon imagination, je dessinais les personnages que je voyais sur les chapeaux de fête, banderoles, etc. Et puis ensuite, j’ai continué en dessinant des personnages d’animes.
C : Pourquoi cette vocation ? Honnêtement je ne sais pas... J’étais destinée à créer des choses colorées, sans doute... Je ne suis pas quelqu’un de particulièrement sociable donc je suppose que c’est la meilleure façon que j’ai d’être en accord avec la vie. Dés l’instant où je prend un crayon, les tensions semblent naturellement se dissiper... Et bien, il se trouve que j’ai grandi dans un milieu surprotégé... Je n’ai eu l’expérience de jouer avec des enfants de mon âge qu’au moment où je suis entrée à l’école, alors en grandissant, j’ai commencé à ne pas me sentir très à l’aise avec les gens de mon âge... Ce qui fait qu’inévitablement, dés que j’ai pu saisir du papier et un crayon...
C : Quelles sont tes inspirations ?
Par exemple, ma plus grande idole est la célèbre mangaka Rumiko Takahashi... Ses oeuvres les plus importantes sont Ningyo no mori, Ranma1/2, et d’autres mangas et animes bien connus à travers le monde. Alors on va dire qu’en général mes inspirations viennent de mes co-artistes sur Deviantart, Rumiko Takahashi et bien sûr, de mes rêves...
C : Tu as créé beaucoup de personnages comme Crimson, est-ce que tu vas continuer à faire des fanarts ou plutôt créer ton propre monde ? Comme tout artiste, je crée sur tout ce qui fait tourner le monde... Crimson et Garnet sont deux de mes bébés, mais j’aime aussi faire des fanarts de personnages et de choses...
C’est difficile à dire... Principalement parce qu’habituellement je travaille quand l’envie m’en prend... Je n’ai jamais tenu un crayon à cause de quelque chose ou de quelqu’un. À la rigueur, On pourrait dire que mes inspirations viennent des animes que j’ai vus...
Merci beaucoup pour cette interview et bonne chance pour tes futurs projets !
C : Comment définirais-tu ton art en quelques lignes ?
Ils sont ma VIE... Deviant Art : www.anonymousblank.deviantart.com
RPG/Horreur/Jeu indépendant Date de publication : 2000
Developpeur :
Site Officiel :
Ok… Imaginez que vous êtes une petite fille allant au musée avec ses parents. Rien d’anormal à cela. C’est alors que vous êtes séparée d’eux car vous avez décidé de l’explorer toute seule. Encore une fois, rien d’anormal, mais pouvez-vous maintenant les retrouver ? Pas si sûr, dans un monde pas si normal que ça. - Anonymous Blank Ib (2000) est une jeu d’horreur japonais créé par Kouri. L’intrigue tourne autour d’une jeune fille qui se perd dans une gallerie d’art terrifiante, à travers un monde de mannequins démembrés et de dames qui rampent en dehors de leur tableau. Dans IB, vous possédez une rose rouge avec cinq pétales symbolisant votre jauge de vie dans le jeu. Au cours de votre aventure, vous allez devoir résoudre des énigmes qui vous permettrons de voyager dans la prochaine pièce. Mais bien sûr, ce n’est jamais si facile. Vous serez sûrement stoppée par « les Dames », une des oeuvres de l’artiste « Gueterna » qui adorent jouer à « Il m’aime, il ne m’aime pas » avec votre rose. Les mannequins sont très effrayants, surtout ceux avec la tête arrachée et d’autres monstres essayant de voler votre rose. Au cours de votre progression, vous allez rencontrer deux autres personnages. que vous pourrez contrôler à tour de rôle : Garry, un jeune garçon lâche (mais adorable) et l’effrayante blonde, Mary.
Dans l’ensemble, le jeu n’est pas vraiment terrifiant, mais je suis sûre que ce qui donne cette impression provient surtout de l’ambiance… Je veux dire, les peintures qui soupirent, les poupées bleues dérangées, les claquements soudains sur les vitres, le sang dégoulinant sur celles-ci etc… Ont vraiment joué avec mes nerfs. L’histoire et l’intrigue de cet RPG sont très intéressantes… La façon dont les personnages sont developpés m’a vraiment poussée à en venir à bout. Garry le lâche protectant IB et Mary, incarnant l’innocence enfantine sont deux personnages bienvenues dans cette atmosphère sombre et lugubre qui entoure cette gallerie de fous. Mais soyez vigilant en jouant à ce jeu. La façon dont vous jouerez avec vos personnages influencera beaucoup la fin du jeu. Si vous vous attachez à un certain protagoniste mais que, accidentellement, celui-ci meurt, il ne vous restera alors plus que vos yeux pour pleurer. Donc en général, je donne un 8/10 à IB.
Critique Le Zelda reinventé Un scénario à couper le souffle : J’ai eu le plaisir de constater à quel point Nintendo avait travaillé sur ce Zelda, pour finalement donner aux joueurs un jeu d’une grande qualité graphique et scénaristique. Cette fois-ci, pas de mer à perte de vue, ni d’île volante ou encore de minishs, mais la satisfaction d’explorer non un monde mais deux : le monde de la lumière, mais aussi inversement, le monde du crépuscule. Zelda Twilight Princess nous offre un bestiaire de monstres très riche. Toutefois, nous retrouvons toujours des tribus familières à Link : Les Gorons et les Zoras ainsi que des lieux bien connus de la série : la Forêt de Firone, le Lac Hylia etc... Et le joueur a le plaisir de pouvoir explorer des donjons dans divers lieux : sous l’eau (Temple Abyssale) dans le ciel (Célestia) ou encore à l’intérieur des mines (la Mine des Gorons).
Le Lac Hylia
Link et Epona
Malheureusement, et beaucoup de joueurs l’auront remarqué, le jeu est au début une succession de moments épiques (transformation en loup, Roi Bulblin etc... ). Malheureusement, elle s’épuise très vite et le jeu devient une suite sans fin de donjons et du coup, perd son allure effrénée.
Midona, un petit lutin espiègle faisant parti du monde du crépuscule, fait son apparition au cours du jeu. En effet, cette fois-ci, Zelda ne se revèle pas vraiment la star du jeu : comme l’indique le titre (Twilight Princess), Midona semble être un des principaux protagonistes. Elle sera en effet pour beaucoup de joueurs la meilleure compagne de Link et relaxera l’atmosphère avec son humour. Le monde du Crépuscule
Link en loup et Midona
La transformation en loup dans Zelda Twilight Princess est elle aussi très intéressante. Nous bénéficions d’autres pouvoirs spécifiques à l’animal et en particulier à ceux du loup (comme par exemple pouvoir parler aux animaux ou encore suivre une piste odorante.)
Midona
La notion de transformation en animal dans Zelda n’est pas nouvelle. On remarque en effet cette notion auparavant dans Zelda A Link to the Past où Link se transforme en lapin rose dans le monde des ténèbres.
Critique Gameplay : Le jeu est fluide et Link n’est pas saccadé. Les principales fonctions sont là : rouler, sauter etc.... Le combat à cheval est plutôt bien développé : possibilité de manier des armes telles que l’arc, le boomerang etc, malgré l’incapacité du joueur à manier à la fois des objets et Epona. Il est aussi important de préciser une chose : Zelda Twilight Princess était le premier Zelda développé pour cette console : manier l’épée avec une manette WII était donc une nouveauté. Le jeu possède par ailleurs une très bonne interactivité entre le joueur et la console. De nouveaux objets apparaissent tels que le Boulet, l’Aérouage ou encore le Bâton Anima. Je tiens à dire que ces objets ne servent que dans des donjons particuliers et ne sont pas d’une très grande utilité dans le reste du jeu. Cette fois-ci, la fonction des Gants Creuse-Tout présente dans Zelda Skyward Sword et Minish Cap est remplacée. En effet, dorénanvant, vous avez une fonction «creuser» quand vous êtes sous votre forme bestiale.
L’oeil de faucon
Le lien d’amitié
Le boulet
L’aérouage
Le baton Anima
Nous avons aussi le plaisir de découvrir que la célébrissime Epona est là, accompagnée d’un nouveau mode de transport beaucoup plus rapide : la téléportation (dont le portail rappelle un temps soit peu le film Tron). On observe aussi la présence de la tenue Zora et des bottes de plomb...
Graphismes : Les graphismes de ce jeu sont absolument sensationnels et utilisent au maximum les capacités graphiques de la console. Personnellement, je trouve néanmoins que les expressions des personnages sont trop rigides et figées. Nintendo a voulu rendre les personnages naturels en essayant de les faire bouger au rythme de leur respiration, malheureusement, cette idée tourne au ridicule car les personnages bougent avec exagération. Les développeurs ont néanmoins soigné le character design des personnages (froufrous, designs épiques sont au rendez-vous). Artbook Hyrule Historia
L’univers de Zelda Twilight Princess est beaucoup plus sombre que sa série originale. Adieu le petit Chibi Link de Zelda Minish Cap, vous passez dans la cour des grands ! Le monde de la Lumière dans Zelda Twilight Princess est paisible et vaste. Le monde du Crépuscule, quant à lui, est très sombre et donne au joueur une sensation de malaise. On pourrait aussi parler des Agents du Crépuscule qui sont en effet très effrayants et se rapprochent du coté « Yokaï » (démons japonais). Un Agent du Crépuscule
Critique Durée de vie : Les donjons, l’histoire ainsi que les innombrables quêtes annexes nous font réellement voir le travail mis en oeuvre par Nintendo. En effet, le jeu nous offre plus de 50 heures de quêtes. Les donjons ont, comme Ocarina of Time, leurs particularités et leurs secrets (présence de singes ou de yétis...).
Temple Sylvestre, premier donjon de Zelda T.P
Ruines des pics blancs, donjon de Zelda T.P
Verdict : Scénario : 9.5/10 :
Malgré certaines facettes ennuyeuses, nous sommes pris dans l’histoire, et on a hâte d’y jouer. Le jeu nous donne un univers graphique étonnant et enchanteur avec des personnages insolites et drôles (Galerie Balder) tranchant avec le côté sombre de l’histoire. De plus, nous sommes accompagnés d’un nouveau compagnon de route : Midona, qui sera, pour beaucoup de joueurs, la meilleure «sidekick» de Link. (Qui, contrairement à Zelda, n’aura pas peur de se salir les mains). Graphisme / Animation : 9/10
Pour un des premiers jeux sur Wii, ce Zelda dépasse largement les attentes graphiques des joueurs. Fluide et détaillé, il se révèle être un véritable bijou graphique.
Maniabilité : 8/10
Une très bonne maniabilité où les joueurs ont eu la joie pour la toute première fois de manier l’épée sur Wii. Quant au combat à cheval, le gameplay se revèle, inversement, assez complexe pour les débutants : le maniement de l’arc devient difficile lorsqu’il faut s’en servir sur Epona. Durée de vie : 8.5/10
Une très bonne durée de vie (plus de 50 heures) qui ravira tous les joueurs avares en quêtes annexes. De nombreuses quêtes secondaires ont d’ailleurs été proposées pour satisfaire les joueurs en manque de challenges.
«Le paradis du pêcheur» : Mini-jeu de pêche de Zeda Twlight Princess
Note Globale : 9/10 Ce jeu est une bonne façon de se détendre tout en menant des combats épiques. Un jeu qui mérite d’avoir une place dans votre collection de jeux-vidéo. Cette légende Zeldatesque ravira petits et grands gamers par son ambiance graphique et son scénario haut en couleurs.
UN AMOUR D’OCTODONS
SAUF POUR LA NOURRITURE !
Une lettre à Momo Le maitre Miyazaki a pris sa retraite. La relève va-t-elle être assurée par de nouveaux réalisateur talentueux? Il semble que oui... On pense notamment assez vite à Mamoru Hosoda (Summer Wars, les enfants loups Ame et Yuki...), mais un autre réalisateur prometteur du nom de Hiroyuki Okiura (Jin-Roh) se dévoile à travers un film plutôt réussi : Lettre à Momo (Momo e no Tegami – 2012) - Yaguaga Le film se déroule à notre époque et nous raconte l’histoire de Momo, une jeune adolescente vivant avec sa mère et dont le père a disparu tragiquement. L’histoire débute alors que Momo quitte la ville de Tôkyô pour aller s’installer chez sa grand-tante près de la Mer intérieure du Seto dans un village de campagne.Des «Yokaïs» vont alors s’installer chez elle et l’accompagner dans sa vie quotidienne et dans son processus de deuil. Le character design du film est à la fois très personnel mais garde aussi une petite touche « Miyazaki« . L’animation est de très bonne qualité, de même que le doublage (à voir en VO) et les musiques collant parfaitement à l’ambiance.
Momo e no Tegami – 2012
Contrairement à ce qu’on peut voir souvent dans des productions similaires, le film ne cherche pas à montrer une campagne japonaise magnifique pleine de couleurs, mais tend plutôt à la montrer de manière réaliste tout en la dépeignant comme plutôt paisible et agréable à vivre. Les trois créatures principales (Yokaï) du film libérées par Momo, s’avèrent être de véritables parasites et un réel plaisir pour le spectateur : ils sont en effet très gourmands et ne se gênent pas pour vider le frigo familial. Leur gourmandise va les pousser également à se mettre, ainsi que Momo, dans des situations assez drôles. Le film n’est pas sans rappeler une référence du genre réalisée par Miyazaki : Mon voisin Totoro. La principale différence se situe en fait dans la nature même de ces êtres. Là où Mon voisin Totoro nous présente de mignonnes boules de poils, Lettre à Momo choisit de nous présenter des monstres essentiellement gaffeurs. Au final le film est une réussite, et on espère que M. Okiura va encore en réaliser beaucoup comme celui là. Miyazaki peut profiter de sa retraite tranquille, la relève est assurée.
The masterpiece spreads Green pheasant whistles Let’s hope it lives on Auteur: Shiroi-Daten-Shi
Si vous ne connaissez pas Maru, je ne peux plus rien pour vous : Soit vous vous êtes retrouvé enfermé dans une grotte, soit vous vous êtes échoué sur une île déserte... Néanmoins, comme je suis gentille, je me dois de vous informer de ce véritable buzz mondial. Maru est l’une des créatures les plus connues du net. Vous l’aurez deviné, il s’agit d’un bon gros matou japonais. Fameux boxophile, il s’exprime dans d’innombrables vidéos présentes sur Youtube. Avec sa bouille trognonne et personnalité joueuse, il nous arrache des « Kawaii ! ». Né en 2007 au Japon, de race Scottish Fold, on le retrouve sur un site de photographie tenu par ses maîtres. Ils ont entre autre sorti un livre : «I am Maru», édité en 2012 en version française.Depuis, ce gros minet a été rejoint par une adorable chatte nommée Hana, qui, loin de lui voler la vedette, forme désormais avec lui un incomparable duo de comiques félins, toujours prêts à nous faire rire.
Merci be nous v aucoup pou ous re mercio r votre parti ci ns de t vos en out co pation et Créer c o urage eur po le ur expéri premier «D ments ! oki Do ence m ki Si vou s voule erveilleuse e » a été une t z un art icle, u nous soume captivante. ne crit ttre u avez d es que ique, ou enc n dessin, ore si contac stions, env vous oyez-l t@coo e koone s ws.com à
Directrice, rĂŠdactrice en chef, graphiste Cookoo
Dayninja Yaguaga Kage Kuri-Hime El Da Great
Milchiah Sylvain Cheu Neko Ludozerkaa Yumenomisu
À bientôt pour
un prochain
DokiDokizine !
cookoonews.com milchiah.deviantart.com