Dispa Dorine Book

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ARCHITECTURE PORTFOLIO Dispa Dorine


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2013-2018 3


CURICULUM VITAE

IdentitĂŠ: Dispa Dorine - 23 ans 04/09/1995

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Adresse: Av. Bonne Fontaine 9 1332 Genval, BE

Contact: dispadorine@outlook.fr +32493 99 51 69


EXPERIENCES

FORMATIONS 2017-2018

Deuxième année Master en architecture à l’UCL LOCI Bruxelles Réussite avec Distinction, Spécialisation Art

Actuellement Juillet 2018

2016-2017

Première année Master en architecture à l’UCL LOCI Bruxelles Réussite avec Distinction, Spécialisation Eco-conception

Stage en bureau d’architecture, Los Angeles (USA) durée: 3 mois, 4ème mois en cours Atelier Vianney Boutry contact: vianneyboutry@gmail.com

Mai 2017

Mise en lumière d’une performance scénique de l’Atelier théatral «Corps en scène» lors de l’évenement «Passerelle pour l’Aventure» à Louvain-la-Neuve (Belgique) «Comment la lumière et la couleur peuvent transformer l’architecture…»

Octobre 2016

Participante à un Workshop International à Naples (Italie), durée: 3 jours

Juillet 2016

Stage de chantier et dessin à Lemps (France), durée: 7 jours, Asbl «Art et Recherche à Lemps»

Juillet 2015

Stage de chantier et dessin à Lemps (France), durée de 7 jours, Asbl «Art et Recherche à Lemps»

2015-2016

Troisième année Bachelor en architecture à l’UCL LOCI Bruxelles Réussite avec Distnction

2014-2015

Deuxième année Bachelor en architecture à l’UCL LOCI Bruxelles Réussite avec Distnction

2013-2014

Première année Bachelor en architecture à l’UCL LOCI Bruxelles Réussite avec Distnction

2013

Certificat d’enseignement secondaire supérieur Collège Jean XXIII à Woluwe-Saint-Pierre Options maths fortes et sciences fortes

COMPETANCES Logiciels

Autocad 3ds Max Sketchup

Langues

Français Anglais Néerlandais

Photoshop Indesign ArchiCad

Ecotect Velux Daylight Vizualizer Easy Stand Alone

Word Powerpoint Excel

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CAS D’ETUDE Transformation d’un intérieur d’îlot en jardin public

SOMMAIRE TRAVAUX ACADÉMIQUES Utilisation de l’escalier pour accèder au jardin

Traversée du palais

Anciennes traces de la délimitation des jardins

Nouvelle tradition pour le Palazzo SITE DE NAPLES

EXERCICE 02 - “Visions” UCL LOCI 2016 - 2017

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Vers un climat urbain confortable: l’ICU DISPA DORINE DONNAY BENJAMIN HEILPORN MATHILDE

SPÉCIALISATION : ECO-CONCEPTION

Habiter l’île de Lot 16

Logements collectifs 24

SPÉCIALISATION : ART ET ARCHITECTURE CONTEMPORAINE

UCL - Faculté d'architecture, d'ingénierie architecturale, d'urbanisme (LOCI)

LBARC 2060 Question d’architecture Matérialité et éco-conception Module A : design constructif et performances Chavanis Edouard, Dispa Dorine, Moulin Victoria Master 1 & 2 2016-2017

PROTEGER AU FIL DU TEMPS : DOSSIER D’ANALYSE Protéger au fil du temps D’UNE PROPOSITION D’ENVELOPPE

Bâtiment Mendel à Louvain la Neuve façade sud.

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6

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Un ensemble de singularité 52


Logements collectifs

Observatoire de Clabecq 36

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GRAPHISME

Tour de lumière 44

DESSINS ARCHITECTURAUX ET PAYSAGES

Voyage en train

Dessins architecturaux

Acceuillir sur les hauteurs de Naples 56

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Dessins paysagés 64

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Projets AcadĂŠmiques

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accèder au jardin

tradition pour le Palazzo 1 Nouvelle Naples, Italie Lors d’une première phase, nous avons réalisé une analyse historique de Naples et plus particulièrement des palais napolitains. Nous avons tenté de retrouver tout les palais du centre de Naples. Il en ressort que les palais sont majoritairement caractérisés par un hall, une cour centrale et un escalier extérieur distribuant tous les étages. Ensuite, parmis les centaines de palazzo, trois typologies sont ressorties: une première «traditionelle», une deuxième caractérisée par un développement de la mise en scène de l’escalier et une troisième où la cour s’ouvre vers un jardin. Ces trois types témoignent de l’évolution des palais au cour du temps. La vision développée est d’utiliser le palais napolitain comme catalyseur urbanistique au sein de sa propre structure et ainsi le revaloriser. Trois stratégies sont alors possibles: - Le palais comme passage, utilisant le libre accès à la cour et à l’escalier pour transformer les intérieurs d’îlots en jardins publics - Le palais comme respiration, libérant les cours des palais en les rendant publics, créant ainsi un apport de lumière dans les ruelles étroites. - Le palais comme franchissement, utilisant l’escalier extérieur des palais comme escalier urbain permettant de monter plus rapidement dans cette ville au relief important.

Projets académiques

Ce projet a été sélectionné pour une exposition à l’UCL LOCI Bruxelles.

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Projet: Année: Programme: Master 1 I. Recherche historique et analyse Groupe 2 étudiants 2016-17 II. Dévelopement d’une vision urbanistique

Durée: 13 semaines


CaractĂŠristiques du palais napolitain

0

100

500 m

Recensemment des palais

1

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0

5

50 m

Plan traditionnel: Palazzo delle Cinque Arcate (XVIIe) 12

0

2

5

50 m

Scénographie de l’escalier: Palazzo Sanfelice (XVIIIe)

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Le plalais dans un tissu dense, centré sur une cour

Mise en scène de l’escalier

Le palais s’ouvre sur un jardin

0

5

50 m

Ouverture de la cour: Palazzo Sulzer (XIXe)

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Evolution de la typologie du palais 13


StratĂŠgies 14


Utilisation de l’escalier pour accèder au jardin

Traversée du palais

Anciennes tatio

Utilisation de l’escalier pour accèder au jardin

r d’îlot en jardin public Utilisation de l’escalier pour accèder au jardin

Traversée du palais

Traversée du palais Traversée du palais

Anciennes traces de la délimitation des jardins

AnciennesAnciennes tracestraces de ladedélimitation des la délimitation des jardins jardins

Anciennes traces de la délimitation des jardins

Cas d’étude

SITE DE NAPLES

EXERCICE 02 - “Visions” UCL LOCI 2016 - 2017

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un climat urbain confortable 2 Vers Bruxelles, Belgique Sujet de mémoire: L’îlot de chaleur urbain Comment construire en tenant compte de son environnement et son climat ? Comment diminuer la chaleur plus importante en ville ? Comment éviter le phénomène d’îlot de chaleur ? Cette envie de rendre le climat urbain plus confortable a été le moteur de ce mémoire. Un grand nombre d’entre nous vit dans des zones urbaines, toujours plus denses, imperméables et étouffantes. Les sources de fraicheur sont rares et la production de chaleur supplémentaire est plus conséquente par rapport à la campagne. Cela s’explique par l’apparition du phénomène d’îlot de chaleur causé par la manière de concevoir la morphologie de la ville et l’architecture, et de choisir des matériaux, mais aussi par notre activité. Ce phénomène est très problématique pour la santé de la population, car il peut créer ou aggraver des maladies au point de causer la mort. De plus, il détériore la qualité de l’air extérieure déjà fort polluée, car il favorise l’apparition du smog, mais aussi celle de l’air intérieur. De surcroît, il induit un coût et une production d’énergie supplémentaire et affecte la biodiversité. Or ce phénomène, déjà présent à Bruxelles, risque de s’aggraver avec les conséquences du changement climatique rendant le climat urbain très inconfortable. C’est pourquoi il est nécessaire d’agir afin de le diminuer.

Projets académiques

Ce mémoire se veut être un outil de réflexion pour l’élaboration de projet. Il cherche tout d’abord à sensibiliser les concepteurs ou futurs concepteurs de nos villes au problème de l’îlot de chaleur. Ensuite, il vise à les guider dans la mise en place des dispositifs de lutte contre l’ICU, en particulier pour les climats tempérés tel que celui de Belgique.

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Programme: TFE I. Théorie SUR l’architecture II. Projet EN architecture

Projet: Individuel

Année: Durée: Master 2 1 quadri. 2017-18


Problèmes: Phénomène d’îlot de chaleur urbain

La lutte contre l’ICU peut se faire dans le cas de rénovations ou de nouvelles constructions et peut créer à elle seule les grands principes d’un projet. Ces dispositifs ne sont donc pas des problèmes à intégrer dans un projet mais peuvent être la source du projet lui-même. Lutter contre l’ICU c’est aussi concevoir en tenant compte de son environnement, de son climat et se son contexte avoisinant afin de rendre l’architecture plus performante, économe, écologique et durable, mais surtout plus confortable pour ses usagers du quotidien. Cependant, un projet unique ne solutionnera pas le problème d’ICU mais combiné à un ensemble d’interventions , il pourra contribuer à diminuer son impact. La cas d’études se situe aux Casernes d’Ixelles, ce site est actuellement d’une superficie d’environs 40 000 m² avec

Causes

une surface bâtie de 45% (densité 1,17), une surface imperméable de 50% et une surface végétale de seulement de 5%. L’objectif est de reconvertir ses casernes en un nouveau pôle du quartier, exemplaire, mixte qui donne priorité au développement durable, à la coopération des activités, à l’esprit universitaire, international et multiculturel. Afin de créer cet exemple d’îlot de fraicheur, le projet se décompose suivant quatre niveaux avec comme leviers : l’aménagement des sols, la végétalisation, la forme et la composition des nouveaux bâtiments, la rénovation de bâtiment existants, le choix des matériaux. Le projet concerné par ce travail est celui du réaménagement du site, principalement piéton, en végétalisant et la construction de nouveaux bâtiments au sud-est de la parcelle avec comme programme des logements et des commerces ou bureaux.

Dispositifs

Conséquences

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Au niveau de la couverture naturelle : Pour ce qui est de la végétalisation du site, suite à une analyse de l’ombrage des espaces, nous avons repérer les espaces le mieux ensoleillés en hiver et/ou en été. En fonction de cela, un cheminement principale a été dessiner a travers les casernes, profitant d’un ensoleillement moyen quasiment toute l’année. Les chemin d’accès quant à eux son plutôt dans des zones ombragées laissant place à des espace verts sur les petites zones exposées. Afin d’ombrager le sol et les bâtiments , une série d’arbre à été proposé : - des arbres caduques là où il y a du soleil en été et en hiver, afin de ne pas perdre le gain thermique en hiver ; - et des arbres persistants aux endroits non ensoleillés d’hiver, afin d’avoir quand même quelques arbres feuillus toutes l’année sans qu’ils n’empêchent les gains en hiver. Ensuite, des étendues de pelouses ont été conçue avec des espaces aux ambiances variés et plus ou moins intimes grâce à la présence de plantations mixtes aux densités variées. De surcroît, le projet comprend des toitures et façades végétalisées est et ouest. Néanmoins certains bâtiments existants non inscrits comme comportant une valeur patrimoniale peuvent également être de support de végétation, comme pour les toitures plates avec des toitures extensive et certaines façades est , sud et ouest. Enfin, un bassin d’eau est proposé sur la place principale minérale, récupérant les eaux de pluie et comportant de la végétation. Au niveau de la forme urbaine : Au niveau du rapport entre les bâtiments, le projet de nouvelles résidences vise à avoir une forme vis à vis du front de rue qui ne créer pas un canyon urbain. En effet, comme expliquer précédemment, le canyon urbain est une situation potentiellement problématique pour l’ICU. Or, on se trouve ici dans une situation critique avec le front de rue en face très haut, uniforme et sans aucune rupture. De plus, le vent, sud-ouest ne permet pas sa ventilation, car bloqué par ces bâtiments. L’objectif est donc de ne pas fermer la rue par un nouveau front bâtie, ce qui créerait potentiellement un canyon urbain. Nous avons ainsi, effectué des percées dans le volume capable. Pour ensuite, tourner les bâtiments face au soleil d’hiver pour créer une ouverture vers les casernes et favoriser la ventilation venant du sud-ouest . C’est ce qui nous donne cette forme désaxée par rapport à la rue et à la trame des casernes.

Végétalisation 18


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Maquette 21


Au niveau de l’architecture : Ensuite, au niveau des bâtiments, nous avons travaillé sur une largeur du bâti d’environ 12m afin d’avoir une zone passive sur l’entièreté de la profondeur d’un étage. Les logements situés aux étages sont plein sud, et très ensoleillés, sans être obstrués par le front bâti d’en face, grâce au recul pris par rapport à la rue. De plus, ils sont traversants dans les pièces de vie avec une ventilation naturelle entrant par la façade sud très ouvertes et sortant par la façade nord, avec des petites ouvertures hautes. Par ailleurs, les logements comportent tous une loggia au sud, celle-ci permet d’avoir un espace à vivre supplémentaire lorsqu’elle est totalement fermée. Elle protège également l’ouverture du soleil d’été mais laisse les rayons du soleil pénétrer la pièce en hiver. Ce dispositif permet de se protéger de la chaleur en été et de profiter des gains solaires en hiver. En outre, le bâtiment se compose d’un socle qui fait la transition entre le niveau de la rue et celui des casernes, un étage plus bas, avec des commerces à rue et des espace de bureaux partagés en-dessous. Ces étages sont dans la zone d’ombre produite par les bâtiments d’en face, ce qui permet de ne pas surexposer ces espaces déjà forts actifs et producteurs de chaleur anthropique. Au niveau de la matérialité : Finalement, le projet se compose d’une structure en béton massive avec une façade sud légère. Le revêtement intérieur est en béton pour la pièce de vie principale, afin de profiter de son inertie. Mais pour les chambres, qui n’ont pas besoin du critère d’inertie, c’est plutôt du parquet. Les façades sont isolée par l’extérieure et enduite d’un crépis blanc afin de réfléchir les rayons solaires.

Ainsi, la lutte contre l’ICU devient la source du projet et non plus une difficulté, et est porteuse de projet pouvant requalifier les espaces urbains pour les rendre plus confortables.

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Coupe perspective 23


l’île de Lot 3 Habiter Lot, Beersel, Belgique Lors d’une première phase, nous avons analysé le village de Lot, ses problématques et ses enjeux. Ce village a subi des ruptures par la construction du canal Charlerois-Bruxelles et de la voie de chemin de fer. C’est pourquoi la stratégie du master plan est de relier et réunifier les trois morceaux du villlage. Le masterplan se développe par trois projets sur chaque partie du village qui sont reliées par des passerelles piétones au dessus du canal et des vois ferrées. Le projet s’implante sur le site d’un ancienne usine qui a été détruite et est entouré par un cours d’eau. L’intervention vise à développer une centaine de logements sur une large parcelle. L’idée est de créer un quartier pour les piétons. Le projet se compose par trois rangés de logements: la première, sur le rue, poursuit la rangé de maisons existantes ; la deuxième entre deux venelles; la troisième entre une venelle et le cour d’eau.

Projets académiques

On trouve, donc, trois manières de vivre différentes. Les logements sur rue sont accessible par cette dernière et sont principalement axé vers l’intérieur du quartier , sur la venelles. Les logements entre venelles sont orientés d’un côté et de l’autre, sur chaque venelles. Les logements côté rivière sont axés par des terrasses sur les venelles et des balcons donnant sur l’eau.

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Projet: Année: Programme: I. 4 étudiants Bac 3 I. Analyse de site II. Logements collectifs de 100 II. Individuel 2015-16 appartements

Durée: 7 semaines


Problématiques: - Rupture par le canal - Manque de ponts et passerelles - Manque d’unification

Stratégies: - Favoriser la liaison d’une rive à l’autre - Projet commun de chaque côté - Relier par des passages directs - Favoriser la liaison piétones et cyclabes

Problématiques et enjeux 25


Lignes directrices

R0

Implantation 26

Habiter cĂ´tĂŠ rue

R+1

R+2


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R0

Habiter entre venelles 28

R+1

R+2

R+3


R0

R+1

R+2

R+3

Habiter cĂ´tĂŠ parc 29


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collectifs 4 Logements Site urbain théorique Le projet s’implante sur une parcelle théorique carrée entre deux rues parallèles et deux voisins donnant chacun sur une des rues , avec un jardin à l’arrière. L’intervention cherche à relier les mitoyens des deux voisins par une série de quatre volumes simples de différentes hauteurs se chevauchant d’un coin à l’autre de la parcelle en diagonale. L’intention est de ne pas venir bâtir contre les jardins existant mais au contraire d’y juxtaposer des espaces libres. La circulation verticale se trouve dans le volume le plus étroit au centre et distribue tous les étages. Afin de libérer un accès transversal d’une rue à l’autre, l’un des volumes est en porte-à-faux. Cela permet également de laisser place à un large espace d’entrée couvert au rez-de-chaussée.

Projets académiques

Les appartements sont majoritairement en duplex avec les chambres et pièces d’eau en mezzanine. Une double hauteur est alors libérée pour créer un salon très lumineux.

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Programme: Logements collectifs 13 appartements

Projet: Individuel

Année: Bac 3 2015-16

Durée: 5 semaines


Maquette

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Plans


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collectifs 5 Logements Saint-Gilles, Belgique Lors d’une première phase, nous avons effectué une analyse du quartier entourant la parcelle préalablement choisie afin d’y intégrer un logement favaorisant la convivialité entre plusieurs ménages, au sein d’un même bâtiment. Le scénario est le suivant: l’intervention doit acceuillir une famille monoparentale avec un enfant, un couple de jeunes adultes actifs gérant un commerce au rez-de-chausée et un studio pour étudiant. La parcelle se situe à un point d’inflexion de la chaussée de Waterloo dans un quartier commercial pauvre en espaces verts privés. C’est pourquoi le projet se compose en trois parties: un logement en fond de parcelle, une cour commune extérieure et un bâtiment sur rue, comprenant le commerce et deux logements. L’intention du projet est d’utliser les deux lignes directrices de l’inflexion de la rue pour composer une volumétrie en gradins sur la cour, créant des terrasses irrégulières qui se raccrochent aux volumétries voisines.

Projets académiques

On trouve au rez-de-chaussée, un espace polyalent pouvant servir de «pop-up store» éphémère ou de salle commune aux habitants lorsqu’il n’est pas occupé.

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Programme: Logements collectifs 3 appartements

Projet: Individuel

Année: Bac 2 2014-15

Durée: 8 semaines


Lignes directrices

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Maquette 38


ElĂŠvation 39


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Plans


Coupe

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de Clabecq 6 Observatoire Clabecq, Tubize, Belgique Le projet consiste à implanter une tour d’observation agrémentée d’un embarcadère pour kayak afin de renverser l’image désolante du lieu et profiter d’une requalification du site des forges en logements. L’intervention s’adresse aux piétons, aux cyclistes et aux kayakistes souhaitant faire une pause lors de leur promenade pour découvrir le paysage sous un autre angle. Le projet s’implante proche du site des anciennes forges de Clabecq, à la rencontre entre les rives du canal Bruxelles-Charleroi et un ancien conduit franchissant ce dernier.

Projets académiques

L’intention du projet est de relier l’eau à ce patrimoine par une série de trois «tours» de tailles croissantes. La première vient chercher les promeneurs ou kayakistes directement sur l’eau offrant un embarquadère et un premier point de vue sur les environs proches. Une passerelle mène à la deuxième, abritant un marchand de glace éphémère et un second point de vue sur le paysage entourant le site. Enfin l’accès à la troisième tour, nous offre, à son sommet, un panorama à longue portée sur Clabecq, son village et son patrimoine.

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Programme: Projet loisir, tour d’observation

Projet: Individuel

Année: Bac 1 2013-14

Durée: 10 semaines


ElĂŠvation dessin Ă la main

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de lumière 7 Tour Site théorique Le projet consiste en la création d’une tour de lumière, une architecture éphémère composée par un emboitement d’un module géométrique répété. Cet exercice vise l’étude de la conception des formes. L’idée est d’entrer dans une tour en spirales qui semble infinie et d’y découvrir des jeux de lumières par les pleins et les vides créés par emboitement d’une forme plane octogonale.

Projets académiques

Ce projet a été sélectionné pour une exposition à l’UCL LOCI Bruxelles.

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Programme: Projet éphémère

Projet: Individuel

Année: Bac 2 2014-15

Durée:


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SpĂŠcialisation Eco-conception

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au fil du temps 8 Protéger Louvain-la-neuve, Belgique La spécialisation éco-conception est l’option choisie pour ma première année de master, elle vise principalement à acquérir des connaissances sur le design consructif et les performances.

Spécialisation: Eco-conception

Le projet consiste à créer une nouvelle enveloppe pour un bâtiment de la faculté d’AGRO de l’UCL à Louvain-laneuve. Ce bâtiment comporte actuellement énormément de déperditions thermiques. En effet, il est majoritairement construit en béton. Des colonnes circulaires en béton soutiennent les grandes dalles en béton, allant de l’intérieur à l’extérieur sans rupture. De plus, les simples vitrages, faisant toute la hauteur du plancher au plafond, sont installés sans chassis et avec uniquement un joint.

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La façade étudiée est celle orienté au sud. L’enjeu était d’éviter ll’ébouissement tout au long de la journée, profiter du soleil en hiver mais s’en protégeren été. Plusieurs analyses nous ont permis de choisir des pares-soleils horizontaux. Et par la suite, leurs nombres et leurs inclnaisons ont été déterminée par des simulations sur Velux Daylight Visualizer ainsi que sur Ecotect. Techniquement, nous avons choisi une façades rideau. Afin de diminuer les déperditions thermiques d’une façade complètement vitrée, nous avons placé des allèges. Cellesci se composent de panneaux sandwich. Pour alléger la structure des murs rideaux, nous avons conçu un assemblage permettant un joint par le vide. Enfin, le design et la structure ont aussi été finement étudiés pour créer de la variation. L’ensemble améliore les perfomrances et donne du relief à cette façade. Programme: Rénovation façade

Projet: Groupe

Année: Durée: Master 1 1 quadri. 2016-17

Bâtiment d’origine


Pare-soleil

Raccord au ciel

Raccord au plancher

Raccord au sol 49


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SpĂŠcialisation Art et Architecture Contemporaine

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9 Un ensemble de singularité Sujet: Quartier Ma Campagne, Bruxelles

Spécialistaion: Art et Architecture Contemporaine

Protocole inspiré des travaux de Mira Sanders et Marcel Duchamp

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Tout d’abord, le protocole commence par une question clé, quelles sont les limites de Ma campagne ? Pour répondre à cette question, il faut se rendre sur le terrain, dans le quartier de Ma campagne, interroger les passants, habitants et commerçants. En effet, le protocole s’inspire du travail de Mira Sanders, « Anecdote ». Elle effectue des entretiens avec des gens dans les rues de Charleroi afin de pouvoir retranscrire les limites du territoire et en tracer les contours, et cela suivant divers thèmes. Ensuite, elle remplit ces « formes » avec des dessins qu’elle reproduit à l’aide de photos, de sa mémoire, d’enregistrements, etc. Les entretiens mettent en évidence une série de rues et repères visuels, qui permettent de tracer le contour limitant le quartier. Ce contour est tracé à l’aide d’un fond de plan. Il est important de prendre en compte le parcellaire afin que les bâtiments d’un côté et de l’autre d’une rue figure au sein des limites. Ensuite, afin de faire abstraction du contexte, on ne garde que le contour remplit de noir. Cela ne fait ressortir que le territoire en question en contraste avec son environnement. La volonté est, en effet, de mettre l’importance et l’attention sur l’intérieur du territoire. Une superposition de toutes ces formes « abstraites » obtenues donne un ensemble, cet ensemble est le territoire de Ma Campagne selon ses usagers. La composition comprend des vignettes avec chaque perception individuelle et sa légende au dos, c’est-à-dire l’entretien correspondant retranscrit. Ensuite l’ensemble sous forme abstraite pleine en parallèle avec ces vignettes. Enfin, un assemblage permettant de voir à la fois la perception individuelle et l’ensemble simultanément ainsi que la position de l’individuelle dans cet l’ensemble. Cet assemblage, jouant sur la transparence, est la finalité du protocole. Par ailleurs, cet « œuvre » révèle divers choses de Ma campagne. Tout d’abord, que chaque individu voit ce quartier différemment selon sa propre expérience. En effet, le quartier est le résultat d’expériences d’un territoire, qui se rassemblent. Ensuite, cela met en avant une série d’éléments, bâtiments, rues,… qui font le quartier de Ma Campagne. Ces éléments peuvent, à priori, sembler anodins et pourtant pour certaines personnes, ils sont marquants et représentent des repères visuels. De plus, grâce à cette retranscription, on découvre Ma Campagne autrement, par les « surnoms » donnés aux endroits par les utilisateurs. C’est comme rentrer dans « l’intimité du quartier ». On découvre, donc, ce qui fait le quartier.

Enfin, ce travail montre la diversité des perceptions qu’il peut y avoir sur le quartier de Ma Campagne. Grâce à cette abstraction sous une forme particulière dénuée de tout contexte: la variation, la multitude et les différences sont révélées. Aucune forme n’est identique à une autre. En effet, le quartier n’ayant pas de limites claires officielles, chaque individu à tenter d’en définir des limites selon sa propre expérience du quartier. Chaque individu étant différent, c’est autant de formes qui sont ressorties. En ce qui concerne « l’inframince », de Marcel Duchamp, comme étant un imperceptible, pas directement visible dans la réalité, qui demande une attention nouvelle, plus soutenue, se retrouve dans la composition dans le petit écart qui fait la différence entre chaque perception des limites du quartier. On l’aperçoit dans l’assemblage où toutes les perceptions sont superposées tout en gardant leur individualité. C’est là qu’on remarque les singularités dans l’ensemble. Les petites différences que l’un à ajouter par rapport à l’autre. C’est une petite anecdote d’une expérience singulière. On découvre plus profondément ce qui fait cette singularité en lisant la retranscription correspondante. Celle-ci nous fait découvrir l’expérience derrière l’abstraction. C’est donc en cherchant et en parcourant le travail qu’on découvre réellement le quartier de Ma ampagne et ces petits écarts qui définissent « l’inframince ». Finalement, cette œuvre est contemporaine par les interrogations qu’elle provoque. Qu’est-ce que ça signifie ? Pourquoi avoir fait ça ? Pourquoi de cette manière ? Que dois-je voir ? Que dois-je comprendre ? Quel est le but ? En effet, la forme d’abstraction auquel on arrive à la fin du protocole pousse le lecteur à rechercher le point de départ, le contexte, le but. Cette œuvre provoque donc un foisonnement de questionnement, elle ne se contente pas d’une démarche esthétique de reproduction mais interroge le spectateur. Ensuite, par un médium différent et tactile, ce dernier est invité à expérimenter l’œuvre, à enquêter afin de trouver les réponses à ses questionnements. Enfin, le fond de la composition révèle un sujet critique de notre société qu’est la question des limites entre population et donc des frontières, dans notre monde où l’évolution des techniques de transports et de communications les ont surpassées. Qu’est ce qu’une frontière? Qu’elle est sont utilité ? Elles sont pourtant terriblement marquée à certains endroits et si transparentes à d’autres.

Oeuvre sélectionnée pour une exposition à l’UCL LOCI Bruxelles.


Le quartier ma campagne, c’est le carrefour entre l’avenue Waterloo et Charleroi Ses limites sont l’avenue de la glacière d’un côté, espace plan de l’autre, l’arrêt de métro et le carrefour du coin Le « Alvo », les 3 sandwicherie, et le petit carrefour et un peu plus bas y’a la pompe en terme d’architecture il y’a la maison d’Horta.

Je suis vraiment désolée pour toi mais la seule chose à laquelle je pense quand on me parle de ma campagne c’est le 92 et la sandwicherie... Je ne connais absolument pas les limites. Vu que je ne savais même pas que c’était un quartier je dirais que ça doit s’entendre quelque centaine de mètres plus loin que le carrefour dans chaque rue du carrefour Le magasin « Lupinette », et le musée Horta si il fait partie du quartier.

1.

1.

3.

1.

Un lieu de connexion, un lieu vivant grâce aux commerces et aux services sur le site, les gens passent beaucoup par la sans s’arrêter car il n’y a aucun endroit pour se poser, bien desservi par les transports en commun 2 Je dirais entre l’arret Darwin, Jansson, et pour le repère visuel la école d’archi et l’ancien bâtiment de la banque qui est maintenant le gb L’ancien bâtiment de la banque, la école, les maisons typique bruxelloise, la place avec la superette et l’agence, chez franz, la glacière

8.

3. 3.

pour moi j’ ai l’impression que la quartier Ma Campagne est une sorte de limite par rapport au centre de Bruxelles une sorte de transition entre le centre ville et la périphérie de Bruxelles les lieux genre la boucherie qui est vraiment connue, l’école secondaire aussi mais notre école et les hangards de la glacière

8. 8.

14.

14. 14.

Extrait des vignettes exposées 53


54


Graphisme

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Graphisme

Voyage en train

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Programme: Narration graphique Gare de Bruxelles Congrès

Projet: 4 étudiants

Année: Master 1

Durée: 4 semaines


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Acceuillir sur les hauteurs de Naples

Graphisme

Ce travail a été sélectionné pour une exposition à l’UCL LOCI Bruxelles.

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Programme: Narration graphique Projet Master 1, Naples

Projet: 2 étudiants

Année: Master 1

Durée: 3 semaines


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60


Dessins Architecturaux et PaysagĂŠs

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Dessins

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Programme: Dessins architecturaux Dessins paysagés

Médium: Crayons Fusin

Année: Bac 1-2-3 2013-16


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Dessins paysagĂŠs, villages du sud de la France 64


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