1.
Dans la jungle, IÎUR, un atlantique chasseur nègre, entoure de ses chiens,^et FAI:
une splendide jeu-^e fill3 d^ y '
la brousse,^s '3cs^ a" 1 *ombre y <a. ) nîuT* wsi étendu par terre,
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Fai, pleine de
vie et très curieuse, voltige de-ei de=l', dana la for&t. ^
ree^erehc d ^ / ^ S ^ l s c a u x -T-
Elle ,
qu'elle apporte à Nur qui les .
%^i^ avidement. — Elle s'éloigne à noavaau e ^ t o u t a coup un cr^aigu et douloureux fend l'air.
Hur se lève et court vers
l'endroit d'où viennent les cris. v/ i*
^ ^
Sous un grand arbre, Fai a été attagp.ee par un A.^o^L,^-.
Pour s'en libérer; elle grimpe sur l'arbre. ^
^
Le léppard veut la
suivre mais avec ie-^bâton d&nt-slle s'64ait servi pàur-trouvey-
les aida dans Lee feuillages-, elle se défend tout en criant au .-V. Hgtt -Su}. secours.^') yL)Les chiens de Nur arrivent; et l'attention du léopard k ^ '* O*— y . ^ ^ , y se trouve détournée de Fai. La peur des cniens .'.o fait ab -ji^y ,^ . do-ner sa victime pour grimper sur un baobab d'où il est rejoint
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par un flèche de Nur. y
La douleur le fait glisser on bas de
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l'arbre où Eur, un couteau à la main, engage avec le fauve blessé une lutte acharnée. & '
A' ce moment arrive F L O R I O ^ ' e t t un jeune h mue v -
blanc, le sécrétaire su résident du pays.
Avec un coup de f'-sil
il tue le léopard et gauve ainsi la vie de Nur. En voyant Fai presque nue qui gît blessée et évarouie au pied de l'arbre duqal elle est parvenue a descendre avec la plus grande difficulté, il'court Y e r ^ e ^ ^ I l ^ a ^ ^ ^ lève avec précaution dans ses bras.
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^üTarf/ Eclon l-.s^prescriptions l*y,;i'. y.tques des nogres