Desmo Passion
L’Assemblée Générale
LE MAGAZINE DU DUCATI SUD BELGIO
n°10 28
ERRARE JA PON UM E ST
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Février Février 2008 2008
Le choix dans la date
Dans ce numéro
Editorial
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DesmoFab
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Notte Rosso
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Jack Sélère
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Cotisation 2008
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Mono Mundo
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Le choix dans la date
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L’Assemblée Générale
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Voici quelques dates du calendrier de l’année. Le type d’évènements retenu est très variable, depuis l’exposition, la bourse jusqu’aux sessions d’entrainements sur la piste, ou aux stages encadrés. Certaines de ces manifestations sont déjà certaines de voir l’un ou l’autre voir même un contingent de DSbistes présent surplace.
nisations suivant les codes couleurs du tableau.
Voici les numéros de téléphone des Ducatistes qui seront présents ou qui ont déjà des contacts avec les orga-
L’équipe du DSB est contactable par téléphone aux n° donnés sur la deuxième de couv’.
Petite légende En orange :Gwen : 0486/ 48.41.94 En bleu: Christian /Fred (le vice0475/ 24.32.05) En jaune : Christian /Fred ( le vice ) En blanc : toi !!! ...Le Staff se fera un plaisir de trouver des infos complémentaires.
Desmo Pa ssion Le journal d e
Ducati Sud Belgio asbl
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DSB : Editorial.
Mono Mundo
ment publicitaire à leur expédition. Ils en profitèrent aussi pour se faire confectionner de nouveaux habits et pour se faire remettre à neuf en vue d’assi ster aux nombreuses réceptions où ils furent conviés. A Singapour, se trouvait le meilleur importateur Ducati d’Extrême-Orient, très estimé à Bologne pour ses capacités commerciales et il contribua largement à l’a grément de leur séjour qui fut plus long que prévu. Lors d’une soirée dans un bar du port, ils furent mêlés à une bagarre qui opposait des marins du navire école italien Amerigo Vepucci à une bande locale et eurent la chance de s’en tirer sans blessure sérieuse… Arrivés par avion en Indonésie, ils débarquèrent en pleine guerre civile et furent jetés en prison à Djakarta après avoir été arrêtés sans motif, ayant été pris pour des Hollandais ! Ils y restèrent quinze jours à manger des bananes frites,
jusqu’à ce que l’importateur Ducati qui avait finalement appris leur mésaventure réussisse à les faire libérer grâce à ses relations. Le jour suivant, ils furent reçus par le Président Sukarno qui venait d’accéder au pouvoir et qui les traita comme des hôtes de marque. Pendant 24 jours, ils parcoururent l’i ntérieur du pays sur leurs Ducati, accompagnés d’une escorte policière. Après avoir rencontré les plus hautes personnalités politiques et tous les concessionnaires Ducati d’Indonésie, ils prirent l’avion pour rejoindre Darwin et l’Australie. Reposés par une semaine passée en compagnie de la communauté italienne locale, ils se résolurent à attaquer la traversée du désert aride qui relie les deux côtes par une route unique, sous une température de 40°C, avec pour toute compagnie des kangourous, des serpents venimeux et des mouches voraces qui les assaillirent dès leur départ. A court d’essence avant d’arriver à Alice Spring, ils durent patienter un jour entier pour faire le plein dans un petit village car la pompe n’était ouverte que trois jours par semaine et ce n’était pas le bon! A Melbourne, Monetti éprouva un coup de foudre pour la fille de l’ambassadeur d’Italie et …
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La suite dans le prochain Desmo Passion… A bientôt Marc Poels Décembre 2007
nement du Club, nous pensons qu’il serait utile de consacrer un peu d’énergie à l’amélioration des points suivants : _ Etablissement d’une procédure d’accès plus personnalisée au moment de l’inscription de nouveaux membres. _ Emission de cartes de membres pour tous les inscrits. _ Dynamisation de la gestion du site Web et meilleure utilisation du potentiel de l’o util mis en place. _ Mise en place d’une structure destinée à gérer les activités « piste » de manière à offrir une organisation spécifique aux plus sportifs d’entre nous (voir article sur ce sujet en page ..). _ Organisation d’un trip annuel qui permette à tous ceux qui auraient bien voulu aller au WDW l’an passé et à ceux qui en ont gardé un bon souvenir de (re) faire un bout de route ensemble. Tout ceci, sans oublier les activités « normales » comme la Primavera, l’Autunno, les balades dominicales, les barbecues gargantuesques et les concerts rock qui les accompagnent… Vaste et ambitieux programme, n’est-il pas ? Raison de plus pour laquelle nous espérons voir arriver du sang-neuf de la part de ceux qui sont venus nous rejoindre récem-
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rrivederci 2007, benvenuto 2008 ! En ce début d’année bissextile (chic, un jour de plus pour rouler en…février !), le DSB présente à tous se s Membres et à leur famille ses meilleurs vœux desmodromiques. Plutôt que de bilan, c’est de projets pour les mois à venir que nous voudrions vous parler, puisque l’h iver est propice à la réflexion au coin de feu… Dans cette optique, nous espérons vous voir nombreux à l’Assemblée Générale pour laquelle nous vous proposons de nous retrouver le 08 mars 2008 à Marche les dames ( voir en dernière page ) , non seulement pour procéder à quelques inévitables formalités administratives que notre statut d’asbl nous impose, mais surtout pour passer un bon moment ensemble et organiser la saison qui s’annonce. Nous vous rappelons également que ce sera l’occasion de désigner les membres du prochain Conseil d’Administration et vous trouverez en page .. la liste de tous ceux qui sont éligibles et électeurs, puisque là aussi, nos statuts ont prévus certaines dispositions qui se trouvent en résumé au même endroit. Parmi les évolutions dans le fonction3
DSB : Editorial.
Mono Mundo
ment et qui ont sans doute aussi quelques idées sur l’avenir du DSB ! Et d’avenir, parlons-en un peu, puisque la finalité d’un club de Ducatistes, c’est quand même de rouler sur des… Ducati, non ? Et là aussi des évolutions se sont faites jour à l’o ccasion de la présentation de la gamme 2008 : en gros, l’accent est mis sur les modèles exclusifs, avec la Desmosedici et la 1098R (qui resteront pour la plupart des mortels des « dream bikes »), l’Hypermotard (qui peut faire une excellente… troisième moto), la 848 (qui se voudrait la « Boxter » de Ducati qui aime se comparer à Porsche, le différentiel de prix en moins) ou même la 696 en unique entrée de gamme (désolé c’est à prendre ou à laisser !), alors que les SS et ST passent à la trappe, que les Sport-Classic’s sont mises en veilleuse, que la Multistrada attend un improbable lifting en profondeur et que les Monsters « à l’ancienne » sont en sursis… Ceci dit, la santé va bien, merci, la Casa Madre a engrangé des bénéfices records, les 40.000 motos produites seront dépassées et le fabuleux succès remporté en MotoGP va encore certainement contribuer à booster les ventes dans les mois à venir. Il reste à espérer que la saison prochaine sera aussi paradisiaque que la précédente, mais il paraîtrait que du côté du Japon, on n’a pas exactement la même vision de la chose ! En un sens espérons-le car cela devrait nous offrir un Championnat 2008 particulièrement passionnant. Et espérons aussi que l’image de Ducati en sortira à nouveau magnifiée afin
de ne pas perturber les choix stratégiques qui ont été faits. L’avenir nous le dira : meilleurs vœux à eux également ! Le DSB Team, Sam, Yves, Fred, Marc
fut agressé par une bande de singes féroces et il fut contraint de s’enfuir en roulant sur son pneu plat jusqu’à se mettre hors de leur portée. Ils traversèrent ensuite le Bengladesh mais l’ambassade italienne refusa de leur délivrer un visa pour rejoindre Rangoon par la route, vu l’i nsécurité de la région. Le Dr Montano, informé de la situation, leur ordonna de faire le voyage en avion. Mais les deux aventuriers n’en firent qu’à leur tête et ayant feint de prendre la direction de l’aéroport, ils filèrent sur leurs motos en direction de la Birmanie. Après avoir franchi l’enfer tant le climat et les routes étaient épouvantables, ils arrivèrent au but en une dizaine de jours en ayant échappé au pire : les bandes armées qui sillonnaient cette partie du pays. excité par la couleur rouge de ses valises, puis les deux Ducatistes préEn repartant de Rangoon vers Kuala férèrent quitter la route qui était dans Lumpur, Monetti réussit de justesse à un tel état qu’il valait encore mieux éviter la charge d’u n buffle peut-être rouler sur la voie ferrée (celle du Pont de la rivière Kwai !), n’échappant à un train qu’i ls n’avaient pas entendu arriver qu’en se jetant dans le marécage qui longeait la voie et dont la boue amortit leur chute. En arrivant en Malaisie, ils découvrirent un autre monde qu’ils assimilèrent à la Suisse de l’Orient. L’importateur Ducati local tout comme celui de Bangkok par la suite exploitèrent leur arrivée pour donner un large retentisse-
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Mono Mundo ment à la présence d’une importante colonie italienne en ces lieux.
qu’ils avaient montés leur tente pour la nuit en plein désert ce furent des voleurs qui sans un mot vinrent les dépouiller de quelques menus objets, leur laissant heureusement montres, caméra et appareil photographique.
En raison de l’instabilité politique, ils ne s’attardèrent pas et reprirent la route vers Bagdad en repassant par la Jordanie. Les motos avaient été révisées à Jérusalem et ils avaient pu faire des provisions pour franchir le désert de 900 km qui les attendait et qu’ils mirent quatre jours à traverser.
De Bassora à Bombay en passant par le Pakistan, la navigation leur posa quelques problèmes, de même que les conditions météo exécrables qui les obligèrent à rouler dans la boue parfois jusqu’à mi-roue.
Mais au moins à l’arrivée, eurent-ils la joie de découvrir un restaurant napolitain où ils furent accueillis à bras ouverts ! En direction de l’Iran, ils eurent à nouveau affaire à des bandes de chiens affamés mais alors
Après les honneurs, les réceptions et les palaces à Bombay et NewDehli, sur la route de Calcutta, Monetti fut victime d’une crevaison. Alors qu’il s’apprêtait à la réparer, il
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c’est ce qui m’a permis d’apprendre et de me faire une sacrée expérience dans ce domaine. Donc après mes études, je suis aller travailler dans plusieurs boites et dans les différents domaines se rapportant à celles-ci (soudeur dans un atelier de construction métallique à Trooz, programmeur en C.N.C chez C.M.I. filiale de Cockerill à Seraing, soudeur alu et inox + fraiseur conventionnel à la Générale S.T.I. aussi à Seraing, ouvrier de maintenance chez Euro Register dans mon village et maintenant électromécanicien à la Force aérienne au 1W de Beauvechain).
n tout grand bonjour à vous tous chers passionnés. En tant que nouveau membre, je me dois de me présenter auprès de vous. Dans se s lignes, je vais vous faire un très petit historique sur mes débuts à moto et sur mon coup de foudre pour les DUCATI. Etant plus jeune et habitant toujours chez mes parents, je n’ai jamais eu l’occasion (ni même l’a utorisation) d’avoir la moindre petite mobylette. Mes parents étaient contre à 100%. Tous mes copains de l’époque roulaient sur des MBX 50cc, des AR 50, Camino préparés de feu de Dieu… Et moi,….à vélo. Mon papa étant à l’é poque pompier professionnel à Liège, on pouvait très bien comprendre la raison de son interdiction, il en a ramassé plus d’un sur les routes… Le fait de rouler constamment à vélo, m’a permis de me lancer dans la compétition en VTT (2x champion de Belgique en descente et 1x en X-contry).
N’habitant plus chez mes parents et volant de mes propres ailes, je décide à l’age de 21 ans de m’offrir une moto. La motivation a été très facile, la plupart de mes collègues de C.M.I. étaient motards. Ne sachant pas comment une moto fonctionnait et mon budget étant très limité, mon choix s’est porté sur une Yamaha XJ 600 S Diversion.
Arrive la fin de mes études (mécanique usinage et électromécanique + construction métallique soudage tous types + apprentissage en même temps en carrosserie). En effet, pendant toutes mes études, après mes leçons (hem hem) j’allais travailler dans la carrosserie du village (au lieu d’aller fumer derrière l’église près du cimetière) et 24
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Oui, je sais, elle n’est pas très jolie. Pour une première moto, c’était pour moi la liberté et j’é tais le maître de la route. Avec ses plus ou moins 55 CV, elle faisait office d’une bombe.
je suis resté fidèle à la marque en achetant une Kawasaki Zx7R (NINJA le grand retour) ensuite une deuxième quelques mois plus tard (après avoir vendu la 1 ère bien entendu).
Me rendant un jour chez mon cousin, qu’elle ne fut pas ma surprise en voyant au fond de son garage une splendide Kawasaki ZXR 750 Stinger de 1993 et en plus de ça, à vendre… Oulala, j’achète !!!
Très grosse évolution de ma Stinger, surtout côté châssis et partie cycle. Aussi mes premières expériences sur le circuit (Francorchamps et Gedinne).
rejoindre Istanbul puis Ankara, voyageant parfois de nuit et sur des routes défoncées. En Syrie, ils tombèrent en pleine guerre civile et durent palabrer à plusieurs reprises avec les différentes factions pour pouvoir continuer leur chemin jusqu’à la frontière jordanienne. Grâce à quelques dollars, ils obtinrent un visa provisoire de 24 heures pour parcourir les 1.400 km qui les en séparaient ! Voyageant nuit et jour, ils y arrivèrent avec deux heures de retard mais parvinrent à « convaincre » les douaniers de les laisser passer… Et ce n’était que le tout début du voyage ! Après la Jordanie, ils firent halte à Jérusalem, non sans avoir été arrêtés plus de vingt fois pour des contrôles en 120 km. Ce fut la première étape où ils purent prendre un peu de bon temps, grâce notam-
régulariser leurs papiers, ils purent finalement poursuivre leur route avec la bénédiction des services secrets de Tito.
Mes premiers tours de roues avec une vraie moto avec des bourrins à n’en plus finir. Cette moto était très en avance sur son époque, je me suis vraiment rendu compte que j’étais assis sur quelque chose de terrible avec ses 125 CV. On se calme, on respire et on fait gaffe. Ah oui j’oubliais, mon père m’a fait la tête pendant plus d’un mois…
Je n’ai pas gardé cette moto très longtemps. Je suis passé à la puissance supérieure avec un Zx9R NINJA de 1996. Encore de l’expérience sur la piste avec cette moto (Francorchamps – Zolder – Le Luc - Nurburgring). Une grosse gamelle sur l’a utoroute, rien de grave mais beaucoup de réparation sur le carénage et hop, mise en vente à un collègue de Cockerill. Cette moto roule toujours à l’heure actuelle et totalise plus de 110.000 kms (chapeau bas Madame Kawa).
Après avoir user mes pneus et plusieurs trains d’ailleurs, après avoir lu pas mal de revues sur les motos, après m’être intéressé aux modèles un peu plus récents. J’ai été très content de ma Stinger et 6
A Salonique, les motos reçurent les bons soins du concessionnaire local, mais leurs deux pilotes qui avaient voyagé pratiquement tout le temps dans des conditions épouvantables se retrouvèrent au lit avec une grippe carabinée pendant une semaine ! Ce furent ensuite des meutes de chiens affamés et agressifs qu’ils durent affronter avant d’atteindre la Turquie. Là, une collision avec un sanglier provoqua la chute de Monetti, heureusement sans trop de dégâts. Confrontés à la neige et à des températures de -20°C au Kurdistan, ils durent modifier leur itinéraire pour 23
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Ma compagne de l’époque, décide de se mettre à rouler aussi à moto et elle s’achète une Honda CB 600 F Hornet de 2003.
A ce moment est arrivé ma passion pour nos belles italiennes. En effet, à la suite d’une grosse randonnée, j’ai été présenté à un posse sseur de cette superbe marque (916 SPS) j’en suis tombé amoureux. J’ai été très vite ralenti lorsque j’ai commencer à vouloir en acheter une et que j’ai vu les prix… Je me suis résigné donc à commencer à collectionner tout ce qui touche à DUCATI en espérant un jour m’en offrir une. Pour de nombreux pays traversés, il n’existait même pas de cartes fiables et rien que l’obtention d’un visa pour le passage de certaines frontières posait déjà des problèmes kafkaïens.
ter. Mais en réalité, en raison des imprévus rencontrés en cours de route, c’est plutôt 100.000 km que bouclèrent les deux centaures en une année pleine !
Comme les services téléphoniques et même postaux relevaient encore par endroit de la préhistoire, il était bien évident que les communications ne seraient pas faciles durant une bonne partie de l’e xpédition.
Voici donc la relation de ce périple peu ordinaire : Après un départ en grande pompe de Bologne, à peine sortis d’Italie sous la pluie, c’est la neige qui accueillit les deux illuminés en exYougoslavie qui à peine arrivés à la frontière grecque, virent leurs motos confisquées car ils avaient pris du retard et leurs visas n’étaient déjà plus valables. Contraints à un allerretour en train jusque Belgrade pour
Celle-ci avait finalement été estimée à 60.000 km à parcourir en huit mois environ selon un trajet qui n’évitait que l’Amérique du Nord où Ducati était déjà bien implanté et où il n’était pas vraiment nécessaire de prospec22
Sympa, mais vraiment pas terrible comme moto. De plus, on nous la vole juste devant ma maison. Ce vol a été un peu motivé et de ma faute car j’ai laissé la moto sur ma remorque accrochée à la voiture et sans l’anti-vol. Coup facile, le voleur la décroche de mon véhicule, la raccroche à son véhicule et merci « au revoir ». Attention, sur la photo c’est moi et pas la compagne de l’époqueJ.
Après et encore une fois, je me reporte sur la marque qui ne m’a jamais trahie et je m’offre un ZX9R NINJA de 1999. Vous pouvez voir que je reste fidèle au haut de gamme de la marque dans les hyper sports. A ce moment, je suis entré à la Force Aérienne et dans ma section, le quart des militaires sont motards dont un en particulier sur une DUCATI 996 SPS PISTA. A ce moment je fonds littéralement sur cette moto et sur la marque DUCATI. Ma collection va s’étendre assez rapidement mais toujours pas les moyens de m’en offrir une vraie. Patience, patience…
Après et encore une fois, je me reporte sur la marque qui ne m’a jamais trahie et je m’offre un ZX9R NINJA de 1999. Vous pouvez voir que je reste fidèle au haut de gamme de la marque dans les hyper sports.
(Suite page 8)
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Mono Mundo
DesmoFab naise. Avec ma compagne Nancy, celle qui partage ma vie depuis maintenant 3 ans,
J’ai acheté cette moto deux fois ??????? Et oui, en fait je l’ai acheté d’a bord en 2002 après ma 1 ère ZX9R et aussi après une pause de plus ou moins 1 an et demi sans moto. Ensuite je l’ai revendue à mon beau frère de l’époque, qui lui me l’a revendue en 2004 juste après le vol de la Hornet. Compliqué tout ça non ? Bref, après avoir récupéré mon ancienne ZX9R, j’ai roulé énormément sur la piste (Francorchamps – Nur-
assurer la promotion avant leur mise en production prévue pour l’année suivante.
Les deux motos furent montées par le département compétition et adaptées aux nécessités du voyage, avec notamment une roue de secours, des valises en carton ( !) contenant un lot de pièces détachées bien fourni, un guidon relevé et une selle confortable d’origine… Gilera.
Leur moteur était le premier mono à couples coniques produit en série
Les motos ne furent livrées à leurs pilotes qu’une vingtaine de jours avant le départ afin de procéder à d’ultimes essais. Quant à l’équipement de ces derniers, il a de quoi faire sourire quand on voit ce qui était disponible en 1957 pour affronter pareille épreuve : en fait, rien !
Nous décidons de rentrer dans la marque italienne de nos rêves. Nancy me fait une superbe surprise en m’offrant ma toute 1 ère DUCATI. Un modèle MONSTER S4 full carbone de 2002 totalisant 8.000 kms. Après un début de saison au grand bonheur car au guidon de ma superbe machine, je décide donc de me remettre à rouler sur la piste. Ne voulant pas faire de la piste avec mon S4 ni même de faire une trahison à la marque, j’ai trouvé une DUCATI 900SS ie de 2001. Cette moto est complètement préparée pour la piste.
burgring très souvent – Croix en Ternois – Ales). Je décide après d’arrêter de rouler sur piste et à moto. La pause sans moto a été très brève car l’a ppel du deux roues a été plus fort.
A n’entendre parlé que de DUCATI, Nancy décide (à mon grand étonnement) de se mettre à rouler en moto. Evidemment et encore une fois, on
Après en avoir terminé avec mon ZX9R, qui sera ma dernière japo8
Ils partirent donc avec un minimum de vêtements inadaptés pour les conditions extrêmes qu’ils allaient rencontrer ce qui fut compensé par un bon sens de la débrouille qui leur sera bien nécessaire ! Pour la logistique, c’était du même tonneau : les concessionnaires Ducati des pays traversés devraient accueillir les voyageurs et là où il n’y en avait pas, c’était chez les représentants de fournisseurs comme Borgo (pistons) ou FAG (roulements) que les escales étaient prévues.
par Ducati et la version définitive commercialisée après le Tour du Monde bénéficiera effectivement des enseignements tirés de l’expédition : un fameux banc d’essai !
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Bien qu’a yant récupéré une grande partie de ses moyens physiques, il s’était vu refuser la validation de sa licence par la FIM en raison des séquelles qu’il avait conservées de son accident et il se retrouvait donc à pied.
Tous deux avaient 25 ans en 1957 et c’est au cours d’une discussion dans un bar de Bologne que les contacts se nouèrent fortuitement et que la décision fut prise après quelques heures de libations…
Afin de légitimer sa situation d’ex-pilote, il proposa au Dr Montano d’organiser un grand raid dont ce dernier perçut immédiatement l’intérêt, tant pour les retombées publicitaires que pour la possibilité d’étendre le réseau dans des pays où Ducati n’é tait pas encore représenté.
veau constructeur en remportant aussi le titre de « Campioni del mondo ».
ne peut pas faire d’écart à la marque.
Je lui offre donc sa 1 ère moto : une DUCATI MONSTER 600 carbu de 1997 avec 23.000 kms.
Il ne me restait plus qu’à m’inscrire dans un club réservé à la marque DUCATI et c’est là que j’ai trouvé le DUCATI SUD BELGIO. (…) Merci pour votre lecture et je vous donne rendez-vous sur les routes et sur la piste.
Avril 2007 : achat de mon S4. Août 2007 : achat de mon SS de piste. Septembre 2007 : achat du MONSTER de Nancy. Et puis cerise sur le gâteau, Casey Stoner champion du monde MOTOGP sur DUCATI avec ensuite le sacre de DUCATI qui devient le maître au ni-
L’affaire fut rapidement conclue et après quelques ébauches de destinations moins ambitieuse s, le projet retenu ne fut rien moins qu’un tour du monde ! Tartarini se mit en quête d’un compagnon de voyage car il était inconcevable de mener seul une telle expédition en solitaire et après divers contacts, ce fut finalement Giorgio Monetti qui accepta de l’accompagner. Il avait un profil totalement différent de celui de Tartarini : c’était un intello un peu dilettante appartenant à un milieu aisé, mais aussi un brin aventurier et passionné de mécanique.
Appel de phare et FORZA DUCATI. Fab.
Restait donc à mettre sur pied l’organisation d’un tel périple et à définir l’itinéraire. Pour les motos, Taglioni venait de développer de nouvelles 175 et ce serait l’occasion rêvée d’en 20
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11.00, départ de Brussels South Charleroi Airport (Gosselies), il fait beau, le ciel est dégagé, le soleil est au rendez-vous, ça promet. Le check-in est une formalité, pas de file d’attente, je dispose d’un billet VIP, allez hop dans l’avion. 13.00 hrs, l’avion se pose sur le sol de Forli. Tiens, une tête connue, celle de Patricia, Mme Ferracin qui attend ses bagages dans la zone d’a rrivée de l’aéroporto. Tiens, qui voilà, tu viens d’atterrir ? Ben ouais ! Ben moi aussi ! On était dans le même avion et on s’e st pas vu. Je te présente Jean-Michel et son épouse, on a loué une voiture, si tu veux, il reste une place libre ! Comment refuser cette invitation ? Borgo Panigale se rapproche, des voitures arborant drapeaux italiens et couleurs Ducati klaxonnent à l’entrée de la ville. Ca y est nous y sommes. Tiens, Casey a remplacé Loris sur le mur de l’usine qui arbore une fresque du Champion du monde en action du sol jusqu’au toit. 45 min plus tard, nous arrivions à l’hôtel où nous attendais impatient, Pierre, Mr Ferracin déjà sur place depuis quelques jours pour un stage de mécanique sur la … Desmosedici ! Quel veinard !
i-octobre 2007, la Casa Madre annonçait l’organisation d’un évènement exceptionnel destiné à fêter les trois titres de Champion du monde de Ducati.
33 ans qu’une écurie européenne n’avait plus remporté le titre tant convoité. Un programme alléchant et l’i dée d’apercevoir une dernière fois Loris Capirossi en rouge, il n’en fallait pas plus pour que je me décide à participer moi aussi à la Fiesta Bolognaise, histoire de vivre un peu plus intensément ma passion. Samedi 01.12.07 T 10
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l’occasion de notre récent trip au WDW, quelques généreux participants m’ont offert un petit livre en italien publié en 2006 aux Editions Minerva, écrit par le journaliste sportif Giuliano Musi et intitulé « Il Giro del Mondo di Tartarini e Monetti su Ducati 175 ». En 160 pages abondamment illustrées de photos d’époque, l’a uteur raconte par le menu le tour du monde réalisé de septembre 1957 à septembre 1958 par deux intrépides Ducatistes. Cinquante ans plus tard, le récit de cette aventure témoigne du mérite qu’il y avait à entreprendre une telle expédition dans les conditions de ces temps qui paraissent déjà bien lointains !
un résumé en remettant un peu d’ordre dans le récit, car c’est bien un Italien qui a écrit ce bouquin !
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u milieu des années 1950, le Dr Montano était le directeur général de Ducati et il cherchait par tous les moyens à promouvoir l’image de la marque et à étendre sa diffusion en dehors de l’Italie. A l’époque les médias n’offraient pas toutes les possibilités que nous connaisson s de nos jours et il fallait donc essayer de frapper les esprits avec les moyens disponibles. La compétition était l’un des ceux-ci et il l’avait bien compris en engageant des Ducati dans diverses épreuves où elles ne tardèrent pas à s’illustrer.
A défaut de vous en offrir une traduction complète, j’ai essayé d’en faire
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Un de ses pilotes attitrés de l’Usine était Leopoldo Tartarini mais celui-ci fut victime d’un grave accident lors du Motogiro de 1956 et il se retrouva à moitié paralysé. Son père était propriétaire de la principale concession Ducati de Bologne et luimême entretenait des relations suivies et cordiales avec le Dr Montano qui lui avait signé un confortable contrat de pilote officiel valable jusque fin 1957.
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Notte Rosso
chemin des écoliers). Une belle journée de roulage qui se soldera par un bon couscous mitonné aux petits oignons par Florence qui nous attendait sagement à la maison…. Elle nous avait même préparé un bon feu de cheminée pour nous réchauffer.
En final, je profitai d’un saut chez les Yankees pour me faire tirer le portrait dans le Ducati Store de New York avec le logo du DSB. Voici comment s’est déroulée « Ma première année au DSB », j’ai roulé beaucoup moins que je ne l’aurais voulu (mais j’ai quand même mis 11.500 km à la ST3s en 9 mois). J’ai la banane en repensant à tout ces bons moments, alors, c’est décidé, je reste !
Le temps de prendre un verre et de déposer les bagages, nous nous fixons rendez-vous pour prendre à pied, la direction de l’usine situé a moins d’un km de l’hôtel. Sur le chemin, des centaines de drapeaux aux couleurs de la marque décorent les façades, les bus, les taxis. Bref, Bologne vit au rythme de Ducati. A proximité, tout le quartier est bouclé, des centaines de personnes déambulent dans les échoppes de noël installées tout autour de l’usine tandis que retentissent une meute de Termignoni endiablés provenant du club local Borgo Panigale rassemblé devant l’usine pour l’occasion.
portes au grand public qui découvre les yeux ébahis cet endroit mythique dans un respect solennel. Le ventre creux et gargouilleur, guidés par Pierre Ferracin dans les allées de l’usine, nous nous dirigeons ensuite vers le Desmo Bar dans lequel nous dégustons une piadina au côté du président du D.O.C Cape Town (South Africa) et des employés de l’usine occupés à prendre un espresso durant la pause. Vite, il est déjà l’heure de se rendre au rendez-vous pour le départ de la visite guidée de l’usine au travers des chaînes de production des différents modèles de la marque. J’avais déjà eu la chance d’y participer à l’occasion du WDW mais cette fois, j’allais avoir l’occasion de voir la
Meilleurs vœux à tous. Direction Il Museo qui a ouvert ses Jackccc2000, jamais plus vite qu’à fond !
Cotisation 2008
Pour pouvoir exister, ce journal et votre club ont besoin de votre soutien moral et financier bien sûr! Alors juste un petit rappel pour les distraits ou les nouveaux venus, l’adhésion à L’Asbl Ducati Sud Belgio est de 25 Euros pour pouvoir garder le contact par le biais de ce bulletin, nous recommandons de payer cette somme dès que possible. Le paiement peut se faire par virement au compte 001-4489635-66 du Ducati Sud Belgio avec la mention "Adhésion 2008" 18
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Jack Sélère
Notte Rosso reine en sous-vêtements, j’ai nommé la Desmosedici RR dont j’ai pu examiner de près la quinzaine de premiers exemplaires en fin de chaine de montage. Quel sex-appeal dans cette tenue ! du carbone partout, du magnesium partout et un moteur qui en dit long sur un potentiel qui n’est désormais plus a démontrer.
soirée privée organisée au Paladozza, salle de spectacle situé au centre Bologne. Avant toute chose, un petit apéro s’impose au bar de l’hôtel, histoire de se mettre en jambes.
Pas ass ez de brouillard, on en rajoute un peu
Malheureusement, espionnage oblige, je n’ai pu vous ramener de photos de la belle en string car nous étions placés sous la surveillance étroite de vigiles épiant nos moindres faits et gestes. Sinon, à nouveau, j’a i été surpris par le caractère familial de l’entreprise où tout est à dimension humaine et où l’ouvrier est encore placé au centre du processus de fabrication. Ici, pas ou très peu de robot. Tiens, un visage familier que je repère alors que nous terminions la visite, celui de Lisa, vous vous souvenez notre guide du WDW. Dis, c’est OK pour une petite photo, histoire de faire un petit clin d’œil à quelques DSBistes WDWi stes qui se reconnaitront. N’est-ce pas les gars, hmm … ! Ah, en tous cas, elle se souvenait de la visite d’u n groupe de belges sympathiques lors du WDW. Bon, la visite terminée, il est temps de rejoindre l’hôtel pour se préparer à la SATURDAY NIGHT PARTY, 12
m’appelant beaucoup à l’étranger pendant quelques mois. Cela ne m’empêchant de faire des sorties de quelques heures mais rendant difficile les journées entières, à mon grand regret.
Tiens, j’ai déjà vu cette tête quelque part me dis-je en croisant un gars au bar qui rejoint copains, femmes et enfants assis juste à côté. Pas possible, me dis-je ensuite, il parle italien ! Tiens, finalement, les autres aussi me disent quelque chose … Mais où les ai-je déjà croisés ? Ca y est, je sais dis-je à JeanMichel qui refusait de me croire !!! C’est le Team MotoGP au grand complet qui s’apprête lui aussi à rejoindre la soirée en famille pour fêter, eux aussi, LEUR titre !!! Bref, j’avais à mes côtés, les Champions du Monde occupés à prendre l’apéro en toute simplicité. Arrivée au Paladozza … Buona serra, me dit une superbe créature tout en vérifiant mes coordonnées afin de vérifier que je me trouve bien sur la liste des invités.
Le grand retour s’opère alors pour l’Autumno, arrivés un peu transis à la Citadelle plongée dans un brouillard qui vous ruisselle partout. Encore une journée mémorable qui nous permet de reprendre contact avec le groupe, contact qui n’avait pas été tellement perdu grâce au groupe Yahoo sur lequel on peut
suivre toutes les péripéties de chacun. Mais il faut bien mentionner que pour une journée mémorable elle ne le fût pas dans le sens positif du terme lorsqu’un contrôle de vitesse coupe notre groupe dans son élan. Cette fois, nous arsouillions avec un groupe un peu moi papy’s, avec à la tête Oli ou Gwen en alternance, ma ST3 en charnière suivi de Froggy et Christian Hames fermant la marche. Ces deux derniers faisant les frais du fait de fermer le groupe se sont fait piéger et ont vu alors leur petit bulletin rose s’envoler pour 15 jours (dans un premier temps). Malgré tout, le groupe restera solidaire et s’organisera à la bonne demerde pour prendre soin des bécanes et de leurs ex-pilotes.
Un peu plus tard dans l’année, après un saut tardif à la soirée de St Nicolas, l’année de roulage avec le DSB se clôturera pour quelques un d’entre nous lors d’une sortie le 21 octobre que j’avais organisée pour une balade autour de Sedan, (vallée de la Semois devenant la Semoy quand on passe la frontière, puis vallée de la Meuse et retour par le 17
Jack Sélère
Notte Rosso
mon souvenir, Sleop, Titi et Titine, Romain, Oli, Gwen, Dédé à fond de deuxième, Marc Herman, le Russe et sans doute d’autres que j’ai oubliées. L’accueil est sympa, tout le monde est cool….. « Haa je crois que je me suis trouvé une bonne bande pour rouler en Ducati » me dis-je satisfais. On part pour la balade sur les routes que je connais par cœur mais malheureusement, je dois écourter la balade car il est l’heure de rentrer au bercail pour rester un peu auprès de mes femmes (1 femme et 3 filles). Rentré chez moi, je suis super enthousiaste et je fais les démarches pour mon inscription au DSB en collaboration avec notre vénérable Président. La seconde sortie avec une partie du Groupe aura lieu pour moi le 1 er mai lors d’un Ducati Durbuy Tour mémorable organisé par Dédé qui a retrouvé toute les dents de sa boîte. Une belle journée ensoleillée et l’occasion de connaître mieux Dédé, Gwen, Oli
et Guidon ainsi qu’un nouveau qui nous vient de quitter Harley mais qui ne fera qu’un très court passage parmi nous. L’occasion aussi d’aller chasser sur de nouvelles terres et de faire parler la poudre d’u ne bécane dont le rodâge initial (Max 5000 tours) est terminé… héhéhé Enfin arrive la première grande manifestation du DSB, la Primavera qui a lieu le 6 mai, et à laquelle je me rends accompagnée de ma fidèle épouse, Florence, installée sur la confortable selle confort de la ST3s en option. Nous avons emboîté le pas d’un groupe majoritairement composé de ST pour une conduite tranquille et enroulée. Une journée formidable, servie par un temps digne de l’événement. Une découverte du Groupe pour Florence qui était aussi enchantée et … même pas mal aux fesse s. Malheureusement, je vais alors souffrir d’une période de disette de DSB pendant quelques mois, mon boulot
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notamment de Claudio Domenicalli, Filipo Preciozi, les membres du team rencontrés plus tôt ainsi que beaucoup d’autres comme Loris Capirossi et Troy Bayliss ou encore Giancarlo Falappa. Malheureusement, Ca-
Ouf, le listing était bien à jour ! Elle m’invite à entrer et à déguster une coupe de … champagne. Quel accueil ! Il y a du monde, beaucoup de monde. Ducati a mis les petits plats dans les grands. Une horde de serveuses est aux petits soins et se presse pour remplir nos verres avant de nous inviter à rejoindre un buffet, digne des grandes réceptions de l’empire romain. La soirée commence bien. Elle se poursuivra par la présentation de tous ceux qui ont contribués à la victoire de Ducati en championnat du monde durant une bonne partie de la soirée. Bien entendu, Gabrielle Del Torchio, le sourire radieux occupera une grande place sur la scène en compagnie
sey Stoner n’était pas de la partie, victime d’une lourde chute lors des essais hivernaux à Jerez et rapatrié chez lui. Nous aurons toutefois droit à un « duplex » avec lui depuis l’Australie ! Viendra ensuite, le temps d’un spectacle son et lumières grandiose mettant en scène une vingtaine de danseurs descendus du ciel tournoyant autour d’u n globe qui dévoilera (Suite page 14)
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Notte Rosso
Jack Sélère finalement et en apothéose la fameuse GP7 au son de
l’hymne national. Quel spectacle ! J’en avais les larmes aux yeux. Une fois terminé, la place fut cédée à un top DJ italien qui mit le feu jusqu’à 06.30 heures du mat, heure à laquelle nous avons repris le bus pour rentrer à l’hôtel en compagnie des gars du Ducati Club U.K dans une forme olympique ! Les tifosis qui étaient dans le bus s’en souviennent encore. Midi, allez hop debout ! Faut pas rater la rencontre réservée aux D.O.C avec les pilotes et le team organisée dans le Desmo Ristorante de l’usine. Retour à l’usine donc où je me re-
trouve avec une petite centaine de « D.O.C Members », en toute intimité avec ceux qui ont permis d’atteindre cet objectif prestigieux mais également Troy Bayliss et Nicolo Caneppa qui répondront en toute simplicité et avec beaucoup d’humour aux nombreuses questions posées. Un beau moment. Direction ensuite, la Piazza Maggiore au centre de Bologne où de nombreuses activités étaient organisées durant deux jours par Ducati. Présence par exemple de tous les teams Ducati Corse venus avec tout leur matériel (camions, motos, pilotes, etc, …) devant un podium géant sur lequel allait se dérouler des animations et concerts jusqu’en fin de soirée devant 30.000 spectateurs ducatistes pour la plupart. Une fois de plus, le Team Moto Gp sera cette fois présenté au grand public et Loris Capirossi viendra faire se s adieux sous un tonnerre de cris, de pleurs et d’a pplaudissements. Emouvant ! Bref, durant ces deux jours, j’ai pu ressentir l’âme de cette marque animée par la passion et vivre une expérience unique que je n’oublierai pas de si tôt.
T
out à commencé voici bientôt un an. Après m’être remis à la moto sur un engin basic, pas cher et facile à rouler pendant une paire d’années (ben voui, une japonaise), j’étais à la recherche d’u n outil un peu mieux fourni entre les jambes, qui me permettrait des petites arsouilles sur les routes ardennaises mais en préservant le confort pour les plus longues balades de quelques jours tout en étant possible de sortir en duo. Un dilemme bien compliqué. Après avoir feuilleté la presse spécialisée, le choix était restreint, une Sprint ST, un VFR ou une Ducati ST3… bon il y avait bien quelques un qui parlait de béhème mais ça ne me branchait pas du tout. J’ai
Forza Ducati, forza Italia !!! Fred
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donc pris mon bâton de pèlerin et j’ai débarqué dans un Ducati Store, d’emblée j’ai pu essayer un ST2 qui était en occase. Une semaine après j’avais signé le bon de commande pour une ST3s neuve et encore une semaine après j’avais l’o bjet entre mes cuisse s. Me voici donc l’heureux propriétaire souriant d’une Ducati flambant neuve… que me reste-t-il à faire ? D’abord faire le rodage dans les règles de l’art. Mais au fait, quelles sont-elles ??? Hop une petite recherche internet, puis une autre…. Mais au fait, le mieux ce serait de trouver un club Ducati… et BOUM me voici sur le site du DSB, dans la foulée inscription à la liste Yahoo. Une semaine plus tard, je me retrouve à un rdv d’une des premières sorties du DSB, un matin de mars bien sec (11/03/2007). Ben oui, je suis du genre impatient et rapide ;) Le point de RDV était le relais motard à Vonêche près de Beauraing. J’arrive tranquillou (la bête a à peine 300 bornes et j’ai encore besoin de me faire la main) : « oui il y a de la Ducati, c’est bien ici » Un petit café avec les quelques personnes qui étaient là, à