LA STORIA FILLE DE JOIE VALEUR D’UNE ANCIENNE MINITRIP EN CHAMPAGNE EICMA 2015 Who’s Who D.O.C. BELGIUM DEUS CAFFE MILANO
N°35- décembre 2014
Calendrier
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Editorial
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STORIA
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FILLE DE JOIE
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VALEUR D’UNE ANCIENNE
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MINI TRIP EN CHAMPAGNE
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EICMA
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Who’s Who - 10 ANS DUCATI SUD BELGIO
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DOC BELGIUM-DSB STAFF
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RECRUTEMENT (si, si, on insiste)
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DEUS CAFFE
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DOC BELGIUM APPARELS
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E DITO Pa r Fre d EDITO DP 35 Chers amis, membres
chers
Voilà, la saison se termine … une saison très spéciale …, une saison tout entière, placée sous le signe de la célébration d’une grande et belle aventure … du dixième anniversaire de notre Desmo Owners Club ! Nous l’avions voulu festive, excitante, débordante d’activités, de découvertes, de rencontres et elle le fut ! Elle le fut à plus d’un titre d’ailleurs, chacun de nos événements rassemblant toujours plus de succès, plus d’attentes … mais
surtout par la disparition tragique de trois de nos amis, Roland, Olivier et Marc. Qui aurait pu imaginer un seul instant qu’il en serait ainsi ? Personne ! Ces événements nous ont frappés violemment, tous … Ils nous ont marqués à jamais et jamais nous ne les oublierons. Terminer la saison en bouclant le programme initial fut un véritable défi mais nous l’avons finalement relevé ! Relevé, par respect pour vous tous, pour eux, en leur mémoire, parce que la passion de partager cette expérience humaine est plus forte, parce que la vie continue
… parce que « The show must go on » ! Et le show, vous l’avez fait, nous l’avons fait, tous ensemble ce 06.12.14, date de la célébration officielle de notre anniversaire à l’occasion de cette première grande soirée de gala qui fut tout simplement GRANDIOSE ! Vous étiez tous magnifiques, sapés comme des milords, parés de vos plus beaux sourires et débordant de joie et de bonne humeur. Cette soirée restera dans les annales du club. Merci d’avoir contribué à sa réussite et de vous être prêtés au jeu. Un nouveau défi nous attend désormais !
Celui de relancer la machine pour les 10 ans à venir et de mettre toutes les conditions en place pour assurer la pérennité du club afin de pouvoir fêter cette fois, les 20 ans de notre association. L’aventure est en effet loin d’être terminée … il y a encore tant de paysages à découvrir, de routes à parcourir, de virolos à savourer et d’amitiés et de moments à partager qu’il nous faut rassembler toutes les forces vives, trouver de nouvelles énergies pour écrire les pages d’un nouvel album si nous voulons y arriver. Bien entendu, vous vous en doutez, ça ne se fera pas tout seul et vous savez déjà qu’il faudra garantir, au minimum, l’attribution d’un poste d’administrateur au sein du conseil d’administration lors de notre prochaine assemblée générale qui se tiendra le 10.01.14 pour assurer le
bon fonctionnement de notre organisation.
Il vous reste donc un peu de temps pour réfléchir à la façon dont vous pourriez vous impliquer plus en avant dans le club, en assumant de nouvelles responsabilités, en tant que membre effectif, en tant que membre du Crew ou encore en qualité d’administrateur. L’avenir du club repose en effet sur notre engagement à tous, sur votre engagement personnel … En attendant et au nom du conseil d’administration, je vous souhaite d’ores et déjà d’excellentes fêtes de fin d’années et vous dis à l’année prochaine pour de nouvelles aventures. Forza D.O.C BELGIUM !
S TO R IA Pa r St e v e M a ra n g o n Amis bonjour
Ducatistes, à vous !
C’est avec beaucoup de plaisir que je vais tenter dans cette rubrique dédiée aux Ducati classiques d’apporter un éclairage sur l’histoire de notre marque préférée ou sur certains modèles ou sujets liés à celle-ci. Le but ici n’est pas de reprendre de façon exhaustive l’ensemble des évènements qui ont marqué l’histoire de la marque ou d’un modèle plus particulièrement ; certains trouveront toujours une virgule mal placée ou un point de trop ; Toutes nos excuses d’avance à ceux-là.
ces articles vous donnera l’envie d’acquérir un des modèles historiques de la marque pour que vous puissiez soit le restaurer vous-même ou tout simplement le sortir pour une ballade ensoleillée le dimanche. Dans ce cas, nous aurons gagné notre pari. Je tenais à terminer cette introduction par vous présenter qui nous sommes. Outre votre serviteur, follement éperdu de vieilles mécaniques italiennes des 60’s et 70’s, ces articles ne pourraient être aussi bien fournis sans les avis éclairés et passionnés de Philippe Weber, grand amateur et collectionneur
de Ducati classiques. Merci à lui pour sa riche contribution. Ensemble nous essaierons d’animer cette section dédiée aux anciennes Duc. Nous commencerons cette série par un rapide survol de l’histoire de la marque en 6 parties. La première est dédiée aux origines de la marque et aux premiers modèles d’après-guerre. Le début d’une grande aventure… Bonne lecture à tous ! S
t
e
v
e
Non, ici, l’idée est de vous donner goût à ce qui a fait de Ducati la marque dont nous sommes si fiers aujourd’hui. Comment un fabricant d’équipements électriques au départ a-t-il pu devenir un des producteurs de motos les plus admirées au monde ? Quels modèles sont à l’origine des motos avec lesquelles nous roulons aujourd’hui ? Quels hommes sont derrière cette évolution ? Un jour peut-être un de
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L’ HIS TOIRE D E D UCATI EN 6 CHAPITRES I - Le s O r i gi n es d e la L ég end e Pa r St e v e M a ra n g o n e t P h ilip p e Weber La maison Ducati a commencé ses activités dans un secteur bien différent de celui de la moto que nous lui connaissons aujourd’hui. Tout a débuté par la fabrication de condensateurs, de radios et d’instruments optiques de précision tels que projecteurs cinéma et autres appareils photos miniaturisés. Les deux roues ne sont arrivées qu’au lendemain de la seconde guerre mondiale, lors de la reconstruction du pays ; avec des produits à vocation principalement utilitaire. Par la suite, heureusement
pour nous en tant que passionnés de motos les choses ont bien évolué…
Des appareils électriques… L’histoire de l’une des plus fameuses maisons motocyclistes du monde a commencé en 1926, par la constitution à Bologne, par Antonio Cavalieri Ducati, de la Società Scientifica Radio Brevetti Ducati. Quelques mois plus tard, après le décès du fondateur, la direction de la société est reprise par les fils de ce dernier, Adriano, Bruno et Marcello. …aux moteurs Cucciolo ! Après une croissance
rapide de la société dans les domaines précités, en 1935 sera construit le premier établissement historique à Borgo Panigale. Mais le conflit mondial met un terme à cet élan. Les bombardements aériens ayant détruit la majeure partie de l’usine, il fallait tout reconstruire. Dès lors, la décision fut prise de diversifier les activités économiques et industrielles et de se lancer dans la fabrication de moteurs auxiliaires pour bicyclettes, pour lesquels la demande explosait à l’époque. Les frères Ducati avaient décidé d’entrer dans ce secteur par la fabrication sous licence d’un petit moteur monocylindre à 4 temps déjà existant, conçut et construit dès 1945 par la SIATA de Turin. Cette société voulait également s’implanter dans le secteur de l’automobile mais cette dernière ne disposait pas de la capacité suffisante pour répondre à la demande croissante du marché italien. Les premiers moteurs de Cucciolo portaient uniquement la griffe de cette marque. En 1946, sous licence donc, Ducati fabriqua ce moteur. Un accord fut rapidement trouvé pour le rachat du brevet et la société Ducati devint dès lors la seule
entité productrice de cet intéressant petit moteur. Dénommé « Cucciolo » , chiot en Italien, il devint vite réputé et apprécié pour ses caractéristiques et qualités. Il était robuste, simple d’un point de vue mécanique, facilement adaptable et d’un montage aisé sur tout type de cadre de vélo. Il fournissait des prestations répondant aux besoins de l’époque, consommait très peu et de surcroît était moins onéreux qu’une moto complète.
Les versions T1 à T3
Sous licence de fabrication, la première version du (T1) produite par Ducati à Borgo Panigale voit le jour en 1946, il se caractérisait par son échappement orienté vers l’arrière ainsi que ses tiges culbuteurs tirés. Au départ, le moteur était livré seul, prêt à être posé dans un cadre de vélo. Mais parallèlement certains fabricants de cadres tant italiens qu’étrangers montèrent ce moteur auxiliaire dans leur propres châssis déjà plus élaborés. Par la suite, l’usine s’en inspira et commença elle-même à fournir également des « moto-cyclettes » complètes. La seconde version, le T2, voyait
son échappement sortir sur l’avant du moteur. Celui-ci fut produit successivement en deux versions, la première avait le bouchon de remplissage d’huile placé devant le carter moteur, alors que la seconde, le voyait positionné latéralement et plus bas sur le carter gauche. En 1948, outre le T2, disponible déjà monté sur un robuste vélo, le T3 est entré en production, avec une cylindrée portée à 60 cm³ ; celui-ci était fourni uniquement en version séparée, qui par la suite fut utilisé pour équiper les premières motos légères Ducati 60.
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Les modèles Ducati 60, 60 Sport et 65 TS Avec un nouveau cadre, et surtout une esthétique revisitée, en 1950 cette dernière fut suivie d’une version sport, la 60 Sport, ayant une puissance de 2.25CV à 5000t/min avec une boite à 3 vitesses. En 1952, apparaît la 65 TS, avec un châssis différent et des prestations plus élevées. En parallèle, on pouvait trouver le cyclomoteur 48, qui utilisait un moteur dérivé du T3 ; alors que sortaient de production les modèles 60 et 60 Sport.
Une
autre
échelle
A cette époque, vers 1948, Ducati passée sous contrôle étatique était devenue une grande
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réalité au niveau des deux roues. Ses motos légères et ses moteurs auxiliaires étaient vendus par dizaines de milliers d’exemplaires et la demande ne cessait de croître Au vu de l’évolution importante du marché de la moto tant national qu’international la direction avait décidé d’investir lourdement en nou-
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veaux équipements afin de se lancer dans la production de motos complètes, de nouvelle conception, et de cylindrée supérieure, avec le lancement également d’un scooter aux caractéristiques assez innovantes.
La lignée des culbutées. La
98
N
En 1952 est lancée la 98N, une moto légère avec un nouveau moteur monocylindre à 4 temps d’une puissance de 5.8CV à 7500 t/min. La boite était à 3 rapports et le châssis était composé de tôles embouties soudées. Le moteur était maintenu suspendu dans un cadre ouvert sur l’avant. Une version Sport à 4 vitesses a très
rapidement suivi, portant la puissance à 6.5CV à 7800 t/min. Elle se singularisait par son petit radiateur d’huile additionnel placé au-devant du carter moteur. Petit détail,
n’aurait jamais participé à l’élaboration de ces petits modèles, mais force est de constater la grande similitude dans la partie cycle de cette version avec les cadres des
celui-ci était débranchable en fonction de la température de la saison.
monocylindres à carter étroits de série qui naîtront plus tard et dont la paternité sera attribuée à Taglioni. Les tubes, bien que surdimensionnés et l’architecture générale du cadre laissent à penser que nous sommes en présence d’une ébauche des modèles à venir. Sans doute que le génial ingénieur n’eut pas trop d’affinité avec
Vers 1956 ont verra apparaître la version de la 98 TL (Tourismo Lusso). Elle adopte un nouveau type de cadre non plus en tôles embouties mais en tubes d’acier. Celle-ci est très intéressante à plus d’un égard. L’histoire dit que Fabio Taglioni, rentré chez Ducati en 1954
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les moteurs le précédant, mais la partie cycle fut probablement suggérée dans ses grandes lignes. Il serait assez surprenant que Taglioni, déjà installé depuis deux ans au sein de la firme n’ait eu aucun contact avec cette production. La 98 a marqué une étape importante de l’histoire de la marque bolognaise. Le moteur était alimenté d’un
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carburateur de 16mm. Le
Cruiser
Au niveau du scooter, le programme était bien plus ambitieux. Il s’attaquait à une clientèle différente, paradoxalement dans l’esprit plus proche du monde de l’auto que de celui de
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la moto. L’objectif était d’offrir à l’utilisateur un scooter à moteur 4 temps, automatique, facile à utiliser, qui consommait peu tout en ayant des performances élevées. Ce projet fut confié à l’ingénieur Antonio Fessia, très connu dans le milieu automobile, qui en effet utilisa des solutions raffinées, déjà éprouvées dans le monde des 4 roues, mais malheureusement inadaptées
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pour un scooter. La boite automatique mangeait une quantité importante de la puissance du moteur, acceptable pour un véhicule puissant mais certainement pas pour un moteur de 175 cc, ayant moins de 10 CV ! Malgré u n e
esthétique très audacieuse, les prestations assez limitées d’une part et d’autre part le coût de production trop élevé, peu compatible avec les moyens dont disposait la clientèle populaire du monde de la moto des
années 50 eurent raison de cet ambitieux projet. Ce fût pour Ducati un échec commercial notable qui fit de ce scooter, appelé Cruiser, un modèle produit sur une période de deux ans à seulement 2000 exemplaires.
Le Cucciolo termina sa carrière avec le modèle 55, offert dans sa version M (seul) et R apparu en 1955. L’évolution de la 98 passa par la SS, dotée d’un petit carénage de phare et d’une puissance de 7.5CV à 8000 t/min.
La 98 Sport est restée au catalogue de 53 à 58. Celle-ci est la version la plus poussée, de 1954 et mieux connue sous le nom de SS. Elle disposait d’un petit carénage de phare et d’une boite à 4 vitesses. Le carburateur
était un 20mm et le moteur délivrait 7.5CV
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Par la suite, de la version basique de 98cc seront dérivées des 125cc. Hormis l’augmentation de
FLASHEZ
SUR LE COYOTE RIDER* Radars fixes
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la cylindrée, une attention particulière sera portée aux cadres. Ceux-ci se verront renforcés par l’ajout d’un double berceau soudé à la colonne de direction et boulonné au bas du cadre. Ces 125cc déclinées en différents modèles, ainsi qu’une 85cc seront peu répandus hors Italie. Globalement, ces motos, un peu insipides, sans aucune prétention ni gloire, se sont vendues en quantité
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relativement limitée et sans laisser une grande trace derrière elles. Pour faire connaître au monde la marque Ducati et la lancer dans l’olympe de l’univers motocycliste, il fallait la touche et l’ingéniosité d’un grand Monsieur de la moto, l’ingénieur Fabio Taglioni !
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Fin du premier chapitre. A s u i v re , l ’ E re Taglioni commence… Steve
et
Philippe
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F IL L E D E J O IE Pa r Bru n o La fin de la saison est proche, nos belles seront remisées au sec pour un hivernage que l’on souhaite le plus court possible.
déposer la Bimbo qui se trouve immédiatement une place derrière la vitrine, entre deux mannequins revêtus d’équipements de la marque.
Une visite au D-Store de Bruxelles me donne une idée : pourquoi la petite Morini Corsaro serait-elle encore punie dans un coin de mon bureau durant six mois ?
Ben les amis, on peut dire que ça claque …
Elle pourrait aussi bien passer la mauvaise saison dans la vitrine du magasin, au moins là elle égayerait la rétine des passionnés. J’en parle à Dany et Olivier, tout de suite enthousiastes : un minicafe racer italien des années 70’ au milieu des équipements moto de l’enseigne, c’est d’autant plus original que l’objet est rare ! RV pris en octobre, pour
Là, à l’instant où vous me lisez, j’ai un peu mauvaise conscience : mettre une beauté toute pimpante derrière une vitrine, ça n’est pas très moral … Mais attention hein, petits lubriques : le plaisir ne sera que visuel !
I N S C RIP T ION S UR D U CATI. C OM Pa r l e S t a ff
Suite aux nouvelles instructions de DUCATI et à notre volonté d’optimaliser la mise à disposition des Welcome Kit, il est désormais IMPERATIF que vous soyez enregistré sur DUCATI.COM. En effet car une fois connecté à votre profil et en cliquant sur l’onglet MY CLUB (voir illustration), vous devrez y imprimer votre DOC MEMBER CARD provisoire (dans l’attente de la réception de votre welcome kit 2014) sur laquelle figure votre numéro de membre, le sésame qui vous permettra de disposer de nombreux avantages lors des événements que nous organisons. Ne négligez pas cette étape car il vous sera désormais demandé de présenter systématiquement votre carte de membre lors de chacun de nos événements.
P.S : Fonctionne uniquement si vous utilisez les mêmes coordonnées que celles dont nous disposons (e-mail, adresse, etc ...)
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Dans ce tome 5, les éditions Terre-MarsMarc Poels ont finalisé le travail de Marc Poels qui retrace la période de la mythique 916 jusqu’aux SuperSport à injection.
À mettre entre toutes les mains d’urgence!
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r chercher lors de l’une des activités monnaie. Merci. du club (AG,etc...) .
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VA L E U R D ’ U NE A N C IE NNE Pa r Bru n o
Tu possèdes une moto ancienne, « dans un beau jus » ou méticuleusement restaurée, héritée de ton grandpère ou dénichée après de longues recherches fébriles ? Cette moto, tu y tiens comme à la prunelle de tes yeux, sois sûr que chaque lecteur du mag’ te comprend … Dans le DP précédent, tu as pu lire qu’une moto ancienne peut souvent représenter un placement : même si la valeur vénale d’un objet
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de passion ne représente qu’un intérêt secondaire pour son propriétaire, il arrive qu’il faille pourtant se préoccuper de celle-ci. Tu utilises ta belle classique pour la balade dominicale ou pour tes trajets quotidiens, voire lors de manifestations dédiées aux anciennes ? Ta moto est donc assurée au minimum en RC. Imaginons le scénario catastrophe de l’accident où tu es dans ton
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droit : si les dommages physiques que tu pourrais subir sont couverts par l’assurance de la partie responsable du sinistre, l’indemnisation des dégâts occasionnés à ta belle moto risque de poser problème. En effet, lors de l’estimation du coût des réparations ainsi que lors de l’estimation de la valeur de la moto AVANT l’accident, l’expert mandaté par la compagnie d’assurance pourrait bien fonder son estimation en fonction d’une vétusté importante plutôt que sur une valeur de véhicule « de collection ».
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Etant donné les tristes statistiques concernant les risques de circulation à moto, il est peut-être intéressant de prévoir le risque et de parer à toute éventualité, non ? Une expertise préalable de ta belle classique, réalisée par un spécialiste agréé, pourrait te permettre à peu de frais de limiter les risques de déboires en cas de problème. Renseignements pris auprès des différents bureaux d’expertise agréés et spécialisés en matière de véhicules d’exception, dits
« de collection » (si,si, un vieux Scrambler Ducati, une SS de vingt ans sont devenus des véhicules d’exception !), le coût d’une expertise peut varier du simple au triple en fonction du bureau choisi, alors que chaque rapport d’expertise délivré aura la même valeur en cas de besoin devant une compagnie d’assurance. ! Lors de l’expertise de la moto (à domicile ou au siège du bureau d’expertise), il sera tenu compte d’une série de paramètres : L’état de la moto,
Les factures et preuves de paiements dont tu disposes (achat de la moto, achat de pièces neuves ou d’occasion, travaux réalisés par un pro, …), Si tu as effectué la restauration toi-même, l’expert constatera que de nombreuses heures de travail ont été nécessaires pour le résultat obtenu, il en tiendra compte pour chiffrer la valeur de la moto (l’idéal étant de disposer de photos « avant – après »), Les prix du marché pour une moto dans le même état, Le degré de rareté de l’offre sur le marché pour une moto identique.
Ta moto est si belle qu’elle est exposée dans la maison ? En cas de vol, elle pourrait être assimilée à un objet de décoration et en tant que tel, être couverte par l’assurance vol du « contenu habitation », si elle a préalablement été déclarée à ton assureur (exactement comme un meuble ou un tableau !). Important : deux valeurs sont déterminées à l’issue de l’expertise : une « valeur vénale » (= valeur de revente) ainsi qu’une valeur de reconstruction (plus du double de la valeur
vénale !), données certifiées qui te prémuniront contre un risque de déclassement en cas d’accident, de dégradation ou de vol. Tu possèdes une moto de piste, classique ou moderne, pour laquelle tu as investi pas mal de sous ? Certains cabinets d’experts spécialisés peuvent également déterminer une valeur qui sera reconnue par les assurances. Coût d’une expertise effectuée par un bureau hennuyer en septembre dernier : 160euros TTC et frais de déplacements
compris. Indice personnel de satisfaction : 10/10, les valeurs estimées sont réalistes et prennent en compte tous les coûts relatifs à l’achat de la moto et des pièces nécessaires à sa restauration complète, ainsi que les heures de travail passées dessus.
MI NI T RI P E N C H A MPAG N E Pa r J E F F Ce samedi 20 septembre départ de «CHIMAY» aux aurores (+/-07.00). La brume et le brouillard sont au rendez-vous. La route est féérique, «Halloweenesque» à
virages les uns après les autres. Nous découvrons «TREIGNES» comme jamais… Les pâtures sont recouvertes d’un brouillard «flou» jusqu’à la cime des arbres. Le
que j’ai l’impression de rouler dans un autre monde…
certains endroits… Où sont les fantômes du bitume ?... La route est agréable, il ne fait pas trop frais, Val enroule les
soleil est levant, on aperçoit au loin les vapeurs d’eau des cheminées de «CHOOZ»… L’image que j’en garde est telle
08.20 départ vers «REIMS». Nous nous sommes regroupés avec le groupe de «l’Instit». La route va bon train le long de la
Je le sens bien ce weekend !... Arrivée à «GIVET», il y a déjà quelques motos sur la «Place CARNOT». Le reste de la troupe ne tarde pas à arriver et comme d’habitude, betchs, accolades et regards malicieux d’arsouilles naissantes et surtout remplis du plaisir de se retrouver. «Froggy» et Jean-Luc sont en formes, ça promet… Un jeune homme que je ne connais pas encore se présente «je m’appelle Morgan, n’y a-t’il pas quelqu’un de ta famille qui travaille dans l’automobile ?» , «Bonjour, si, mon frère!». Morgan et mon frère ont travaillé ensemble… Le monde est petit ! «Maxi» et «Trasi» arrivent mais pas de «Titi» ni «Titine». Ils ont loupé le dernier message annonçant l’avancée de l’heure de rendez-vous (snifsnif).
d’câfé» repart.
et
on
Durant le trajet, nous avons eu le grand plaisir de remonter une énorme colonne de CRS… Je ne sais pas pourquoi mais j’ai eu une pensée «furtive» pour Fred…
Meuse. Toujours de la brume mais la température est douce, le Soleil va arriver… La montée de la grande côte de «REVIN» me rappelle l’arsouille avec Greg, Tonio et Mica deux semaines auparavant…
Les «SportSmart II» sont bluffants ! Suspension réglée au poil (merci «Tonton Roger») et pneus d’enfer, je ne reconnais plus mon S4R… Grand bonheur !... P’tit arrêt pipi pour «MyLove» «el buveu
Entrée dans «REIMS» et retrouvailles avec le DPF. Des têtes connues, rencontrées l’an dernier à «CHIMAY» sont là ! Philippe, Lili, Patou et Papé. Les sourires, rires sont au rendezvous. Le contact avec les nouvelles têtes est chaleureux et les échanges vont bon train. On fait les présentations avec Cathy et Peter(Pan), Sophie, son loulou «Fabien» nous rejoindra plus tard et j’ai compris pourquoi en arrivant à l’hôtel… il roule en GEX… (Nul n’est parfait, j’ai bien une Honda…). Je fais la connaissance d’YvesAlain et Joël le «photographe fou», une vraie «Kalachnikov»…
toujours à la rafale… Un p’tit café… hein JP !!! et le p’tit Cognac qui va avec… C’est son anniversaire à «MyLove». «Maxi» aussi fête ses ans aujourd’hui mais il est raisonnable lui… ! Pendant ce temps là, Phil (DPF) et Fred (DSB) discutent du déroulement de la journée. On reforme les groupes du matin et départ vers «PIERRY». En cours de route, le «BOULET» que je suis, tombe en panne d’essence !!! Je me suis laissé aller en roue libre le plus loin possible dans une superbe descente bordée de Vignobles pour terminer ma course à +/- 600 mètres d’une
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station essence !!! Alors là, la magie de l’entraide a fait son effet ! Val, «Trasi», «Maxi» et JP m’ont cocooné comme pas possible. JP est resté avec moi pendant que Marie-Rose allait en repérage d’un côté, que Maxi allait d’un autre côté et que Val se renseignait auprès d’un garage «Citroën». Val et «Maxi» sont allés jusqu’au «LECLERC». Achat de deux bouteilles d’eau, une pour se désaltérer et l’autre pour y mettre de l’essence. Retour auprès de nous, 1.5 litre d’essence dans le réservoir du «MOSTRO» et… vroumvroum !!! YES !!! Un avalon d’eau pour nous désaltérer, le plein de la bête et nous voilà reparti.
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La Fraternité motarde existe bel et bien, j’en ai «un peu» braie dans mon kax en repartant… Le motard est un homme «FORT», il ne montre pas ses sentiments !!! FAUX !!! Merci à vous quatre, c’était un grand moment de solitude «partagée» ! Merci aussi à Didier et Maryse qui nous ont attendus en plein cagnard ! A r r i v é e à «PIERRY» chez «LAGACHE et Fils» où la réception était à la hauteur des Millésimes dégustés et comme disait «Froggy», «heureusement que nous sommes des motards raisonnables sinon on repartait avec une cuite d’enfer… Mr Lagache a été généreux tant dans
ses dégustations que dans ses explications lors de la visite de ses caves. C’est un passionné qui m’a «un peu» fait pensé à Bernard M qui, quand il commence, ne s’arrête plus de nous instruire (petit clin d’œil). Dommage que nous étions pressés par le temps (visite des caves MUMM), il nous raconte «le Champagne» avec tant de délectation que c’est «oups» de le couper dans son élan… Nous sommes
repartis sous un soleil d’enfer direction «REIMS» pour la visite des caves «MUMM» pour certain. Mais trop tard !!! Donc tout le monde se retrouve à l’hôtel, petite toilette et départ pour le repas du soir en passant par la case «Grand Café» histoire de se désaltérer (on avait la langue comme un vieux bout de cuir séché…). Le temps de s’installer en terrasse et… grands coups de vent accompagné d’une drache digne de chez nous… Purée, ça souffle… ça ne nous empêche pas de boire le coup. Avec «Froggy» on choisi une «AdelScott», souvenir d’adolescents que nous sommes encore et toujours… les échanges vont toujours bon train avec nos potes français. Les «photographes fous» (Alain et Joël) mitraillent à tout va. Il y aura de la matière pour constituer «un p’tit» montage. Val nous raconte sa péripétie de l’après-midi où nous avons été séparés dans les embouteillages de la ville (pas chez «LAGACHE», je sentais venir les p’tits rigolos). Elle m’attendait mais j’étais dans un autre
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groupe ayant bifurqué !!! ReBoulet !!! Comme elle avait son RB, l’adresse de l’hôtel et un sens hors pair de l’orientation (ce n’est pas vrai !!!), il n’y avait pas de souci… Elle a interpellé un CRS (peut-être un de ceux qui se trouvait dans le convoi du matin…?!), il lui indique la route et la voilà arrivée à l’hôtel en même temps que moi ! Si ça, ce n’est pas un signe !... Bon, il est l’heure de passer à table. Super cadre, belles tables et repas à la hauteur de notre faim. Ambiance au zénith avec un Jean-Luc au taquet accompagné d’un «Froggy» (les 2 font la
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paire…) pas mal non plus dans son genre… 2 grands malades de la déconnade !!! Un p’tit tour dans «REIMS By Night» pour certain et p’tite terrasse pour d’autres, petites glaces pour… devinez…! Au dodo et rendez-vous le lendemain matin en tenue moto pour visiter «REIMS», telle est la consigne donnée ! 09.30, tout le monde est prêt, chambres libérées, sacs et casques à la bagagerie. On fait le planton devant l’hôtel, il manque quelqu’un… FRED ! Enfin, le voilà… Stupéfaction générale, il est en civil !!! Ah le Prez…
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Visite tranquillos de «REIMS» et ses monuments, photo de groupe devant la cathédrale et retour à l’hôtel pour récupérer nos paquetages et surtout nos belles ! Un p’tit café et en route pour le «Lac d’AILETTE». La route est mitigée entre sol humide et sec mais le paysage est agréable. Un p’tit arrêt «combi pluie» pour certain… et nous voilà déjà arrivés au «CenterPark» du lac. Dernier repas ensemble. Je suis à côté de Patou, Yves-Alain, Sophie, Val et Fabien. Les échanges fusent de toutes parts. Le partage est agréable et comme à chaque
fin de weekend riche, j’ai toujours le même regret… Celui de ne pas avoir assez profité des personnes présentes !!! Je suis un gourmand !!! Mais la vie est trop courte !!! On se dit au revoir en se disant qu’on se reverra… Jamais deux sans trois !!! On échange quelques adresses et c’est le retour. Val et moi enquillons le groupe de Fred. On se sépare à «HIRSON» après un tour d’honneur au rond point et nous voilà rentrés. Pendant ce temps là, «Froggy» à son tour tombait en panne sèche… No comments… mais
je suis heureux de partager le mot «BOULET» surtout avec un vieux «briscard» comme lui… En résumé, un weekend qui est placardé en photos dans notre salon, des rencontres riches, un partage et des échanges, des découvertes de «nouveaux amis», la confirmation que l’esprit motard est empreint de respect et d’aide et… que notre DSB est bien représenté par ses membres ! Betchs à tertoutes et tertouss et à bé rath… Jeff de «CHIMAY»
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EI CM A Pa r A l a i n EICMA 2014 EICMA che cosa è ? Il s’agit tout simplement de l’« Esposizione Internazionale Ciclo Motociclo e Accessori » qui est la plus ancienne et la plus grande exposition annuelle de la moto, montrant non seulement les motos les plus récentes mais également les services y attenant. The state of the Art. Le pourcentage de motos vendues en Europe est ridicule comparé à celui de l’Asie, mais c’est toujours l’EICMA qui reste le plus grand salon moto au monde, pas tellement par sa taille mais surtout par son aura, sa diversité et le nombre d’équipementiers spécialisés qui ont quasi disparus des autres salons.
Safety area The state of the art en matière de sécurité avec les nouveaux produits pour voyager avec un maximum de sécurité sur 2 roues. Si l’ABS devient courant même sur les motos sportives (ex : Panigale), d’autres mesures de sécurité pour la moto continuent à faire parler d’elles : Veste ou gilet avec airbag ; Protection du cou ; Etc... Temporary bikers shop
Sans compter qu’en 2014, l’EICMA fête son 100ième anniversaire, même s’il s’agit en fait du 72ème salon seulement, certaines années aucune expo ne fut organisée!. Donc les organisateurs ont mis les petits plats dans les grands.
Chacun peut venir vendre sa moto, son équipement
Plus d’informations sur le site http ://www. eicma.it
Ou plutôt « Lady Custom Bike Contest »
En plus de l’exposition de motos neuves ou
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anciennes et de tout ce qui touche de près ou de loin au monde de la moto, l’EICMA organise toujours des activités annexes:
The Green Planet Compagnies offrant des solutions électriques de mobilité EICMA Custom
Je vous laisse deviner de quoi il s’agit…
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Pistes d’essais Différentes marques (Honda, KTM, Piaggio, etc…) disposent chacune d’une mini piste pour proposer d’essayer certains modèles de leur gamme. Liste des priorités Il est possible de visiter tous les palais de l’EICMA en une seule journée mais pas nécessairement tous les stands avec la même attention.
Donc avant d’arriver au salon, voici ma liste de priorités :
Si j’ai le temps, j’y jetterai un œil pour me tenir au courant…
1) Ducati A tout seigneur, tout honneur ! 2) les équipements « sécurité » Normal, non ? 3) les motos italiennes Les MV, Aprilia, Moto Guzzi, etc. sont dignes d’intérêt. 4) les motos européennes De nombreuses nouveautés également dignes de notre attention. 4) les autres équipements
Autant vous avertir tout de suite : vous ne trouverez pas dans cet article un copier-coller des articles de la presse spécialisée et des spécialistes qui ont essayé et détaillé de long en large les nouveaux modèles, je me contenterai plus modestement de vous renvoyer à ceuxci et décrire la visite de Mr tout le monde dans ce fabuleux univers de la moto.
Vestes, pantalons, gants, casques, sacs à dos, etc…
Le 6 novembre, bien avant 10h, je me pointe à l’EICMA, mais je suis étonné du monde déjà présent. Tiens les écoles sont fermées aujourd’hui au vu du nombre d’écoliers présents dans les files ?
5) les autres motos
Je
Freins, embrayages, poignées, pose-pieds, selles, valises, jantes, suspensions, échappements, etc…
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Visite proprement dite
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commence
évidemment par le palais 18 qui héberge entre autres Ducati. Tant bien que mal je me faufile vers l’entrée du palais mais en définitive cela se passe plutôt bien car la bousculade reste modérée et dans la bonne humeur. Mes regards sont d’abord attirés vers la nouvelle MTS 1200, encore améliorée et embarquant encore plus de technologie càd nantie de DVT, DSS, nouvel ABS, cruise-control, connections avec smartphone, etc… Veuillez consulter le Desmo pour davantage d’infos. Comme vous le savez certainement, c’est grâce à la MTS 1200 que je suis venu chez Ducati en général et le DSB en particulier. OK pour venir chez Ducati, mais pourquoi avoir choisi la (pseudo)
trail ? Eh bien regardez l’état des routes en général et celles de Belgique en particulier et vous aurez déjà un début de réponse. Ensuite, il me faut bien l’avouer, avec l’âge les genoux supportent de moins en moins de rester pliés longtemps. J’ai craqué pour la MultiStrada 1200S Touring. J’avais prévu d’essayer d’autres trails (BMW 1200GS, Triumph Tiger, KTM 950 SMT, etc…) avant de me décider mais le coup de foudre, cela ne se commande pas. En fait j’ai passé commande tout de suite sans essayer les autres et sans trop me poser de questions. Cette moto possède les qualités que je cherchais (punch, confort, possibilité de voyager, etc…) mais ce qui était
nouveau pour moi, ce petit quelque chose d’indéfinissable qui balaie tous les arguments restrictifs qui auraient pu me venir à l’esprit. - « Quoi une Ducati ! A titre comparatif (sorry ladies !) c’est une fille qu’on sort, pas celle qu’on épouse… ». Oh la vilaine comparaison ! Ce n’est qu’ensuite que je me suis enquis
d’avoir des points de comparaison entre ces motos. Tous les articles que j’ai lus ont conforté mon choix. Revenons à la nouvelle MTS. Perso, toute cette techno électronique ne me rebute pas. Mais depuis longtemps sauf avec les motos anciennes ou les Royal Enfield, c’est fini le mécanicien qui répare
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tout à l’oreille et avec un tournevis. Donc la voilà, elle s’offre à moi tournoyant sur elle-même ou en station fixe, la nouvelle MTS
dans ses différentes versions, c.à.d. équipée d’un ou plusieurs de 4 packs disponibles qui peuvent sans restriction être cumulés à votre meilleure convenance en fonction de vos désidératas et de la grosseur de votre portefeuille :
Garde-boue en carbone, Réservoirs freins embraye en alu,
et
Termignoni Touring pack Valises latérales (les valises des modèles MTS précédents ne sont pas compatibles mais bonne nouvelle, leurs fixations semblent plus solides), Pied central, Poignées chauffantes
Urban pack Sac réservoir avec hub USB, Top case Enduro pack F e u x additionnels En collaboration avec Touratech : Grille de protection du radiateur, S a b o t protecteur, Pare-chutes, Pose-pieds « off-road », Béquille spéciale
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Sport pack
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Sans oublier la version « D air Street » équipée de l’électronique adéquate pour le déclenchement de la veste Dainese sans la nécessité d’un cordon ombilical, comme en MotoGP. Pour ceux et celles qui ont un gros portefeuille, pourquoi pas, mais moi pour l’instant je me contente de mon gilet airbag que je peux enfiler indifféremment au-dessus de ma combi textile ou cuir. Pas de documentation déjà disponible sur la nouvelle MTS, mais des infos sont disponibles via les écrans plats (cf . photos). La nouvelle Panigale 1299 et la Diavel
stand e n plein milieu d e celui d e
Titanium (série limitée à un prix encore raisonnable pour ceux et celles qui désirent une certaine exclusivité) attirent également le regard. Les Moto GP et SBK qui ont défendu officiellement les couleurs de la marque en 2014 sont exposées, de même que Termignoni qui a son
Ducati. Les Monster’s sont montrées avec et sans valises, comme quoi il est possible de s’amuser et de voyager sans sac à dos en emportant autre chose que sa brosse à dents. Les différentes versions
du Scrambler sont montrées chacune dans un écrin particulier. Sincèrement je trouve le pot d’échappement de l’Icon vraiment moche. Celui de la Full Trottle est nettement mieux. Mais je préfère de loin l’échappement haut qui rejoint l’esprit Scrambler. Une ligne complète de vêtements Scrambler pour tous et toutes. Plus orienté design que sécurité mais en Italie combien de fois n’ai-je pas vu les motard(e)s rouler sans gants, en jean et basquet. Après plus d’une heure, je quitte le stand Ducati pour rejoindre celui de KTM et tenter de voir les nouveaux modèles à savoir la 1050 Adventure, la 1290 Super Adventure et aussi la SM390, mais il est tellement bondé surtout autour des nouvelles Adventure’s qu’il n’est guère possible de les examiner en détail et de les photographier sans avoir quelqu’un dans le chemin. Soyons honnêtes, elles ont l’air solide mais le design est taillé à la serpe surtout pour les valises qui
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rendent l’équipage tellement large et peu esthétique (euphémisme !). Chez BMW, ce n’est guère plus facile car le monde continue d’arriver. Enfin je parviens à voir tant bien que mal les nouvelles S1000RR, S1000XR, R1200R, R1200RS et F800R. Grâce aux radiateurs (ou à cause d’eux) les nouvelles R1200R(S) abandonnent le fameux Télelever pour une fourche inversée plus classique. C’est tout-comptefait, très éclectique : à côté des motos à 2, 3 voire 4 roues, et de leur équipement ou celui du motard, d’autres stands exposent des sièges de bureau aux couleurs de votre marque préférée ou des élévateurs à tous les prix. Je ne néglige pas de passer en détail les stands Aprilia, auréolée par son titre en SBK, et Moto Guzzi où les nouveaux modèles Audace, Eldorado et V7 séduisent de nombreux badauds. En passant chez Bimota, je pense tout-à-coup en voyant une suspension similaire à celle de Bernard qui lui a permis de gagner un prix lors
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du WDW cette année. Intrigué par le système, je convaincs une hôtesse de s’asseoir sur la moto et de tourner doucement le guidon de gauche à droite et de droite à gauche sans discontinuer pour mieux
observer le travail de la suspension. Les MV Augusta sont superbes ! Quelles belles machines ! Et les mannequins ne les déparent pas. J’observe en détail les nouvelles Brutale
800 RR « Draster » ou normale. La Rivale me plait toujours autant. Comme un ado, j’accumule la documentation et me décide de retourner au palais 18 pour acheter un sac à dos
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« Ducati » pour la transporter. Heureusement je n’ai pas de limitation de poids pour rentrer en avion. Je passe chez Piaggio pour ramener de la documentation pour une collègue qui a récemment plié son scooter. Il faudra que j’essaie le MP3 le printemps prochain, il m’intrigue. Les 4 cylindres japonais ce n’est pas trop ma tasse de thé, d’ailleurs
je préfère la grappa au saké, mais pas possible de possible de passer à côté des missiles air-air que sont les nouvelles H2R et H2 à peine plus civilisée, ainsi qu’une drôle de machine qui me fait penser à mon aspirateur (cf. photos). Je préfère passer outre les autres japonaiseries et y compris les HD conventionnelles ou électrique qui ne m’attirent pas plus que cela, pour consacrer davantage de
temps aux équipementiers et préparateurs en tout genre, y compris compétition, qui sont beaucoup plus nombreux à l’EICMA qu’ailleurs, qu’ils soient connus (Brembo, Beringer, Givi, etc…) ou confidentiels et c’est tout l’intérêt de ce salon. Beaucoup de préparateurs compétition et carrossiers démontrent leur savoir-faire, étant fiers d’exposer leurs joyaux. De même, les pièces forgées pour remplacer les jantes, freins, embrayages, poignées, pose-pieds, cadres, sans oublier les selles, valises, suspensions, échappements, etc…. Bref du sublime. Personnaliser semble un maitre mot. Pour tous les gouts et toutes les couleurs. Bref, tout ce qui se détache, que ce soit mécanique ou électronique, peut être
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donc, une moto italienne avec ses sensations, épaulée par la rigueur et le pragmatisme germanique. Donc si vous envisagez un tour du monde avec votre MTS, et que le design germanique ne vous rebute pas, cette option est valable. remplacé par mieux, plus beau, plus cher. Les petits constructeurs (ex : Avinton, Hero, etc…) et les vélos électriques (section Green Planet) sont également à l’honneur. J’ai pu essayer un « Green Runner », un drôle d’appareil électrique à 2 grandes roues parallèles, qui permet de se déplacer en ville sans marcher et même sans utiliser
les mains. L’équilibre vient vite et c’est très amusant. Le stand Touratech mérite le détour. Longtemps orienté BMW, cette marque propose maintenant depuis quelques années des produits de qualité pour équiper la MTS 1200 (ancien modèle) ou la nouvelle Tiger. Ici la qualité et la solidité priment sur le design. Imaginez
Pendant 8 heures, je continue à déambuler en suivant plus ou moins l’ordre des priorités que j’avais établies, prenant des centaines de photos de modèles et mannequins qui ont suscité mon intérêt que ce soit par l’attrait technique, esthétique ou curiosité. Heureusement que j’ai pu m’asseoir de temps en temps sur les motos pour me reposer quelque peu. Ensuite pour clôturer la journée, une invitation au Deus Café en compagnie des clubs Ducati de Milan, Lecco, etc…, mais ceci fait l’objet d’un autre article à paraître également dans ce DP. C’est sûr, je ne regrette pas ma journée à l’EICMA 2014. Donc avis aux amateurs en 2015. Alain.
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D O C B E L G I UM 10 A NS Pa r p l e i n s d e p h o to g ra p h e s
D.O.C. BELGIUM DUCATI SUD BELGIO ASBL. Comme toute Association, elle est faite par ses membres pour ses membres.
D.O.C. BELGIUM DUCATI SUD BELGIO STAFF : Président : Frédéric Laurent Vice président : Marc Jacqmin Trésorier : Stéphane Bloquiau Secrétaire : Pour aider le Staff dans l’organisation le D.O.C. BELGIUM - DSB CREW a été crée
D.O.C. BELGIUM DUCATI SUD BELGIO CREW : DSB Safety : A. Patte DSB Classic : P. Weber, S. Marangon DSB Shop : L. Fallais DSB Design : O. Elvanian, F. Rossi DSB Community : DSB Webmaster : S. Nunes DSB Donne : D. Loroy (Belgium), C. Schottner (International)
DSB Desmo Ride : A. Patte, E. Bouserouel.
DSB Rédac’Team : B. Buy, S. Jager.
Membres effectifs: AMAND Joël, BLOQUIAU Stéphane, BOUSEROUEL Eddy, COLART Yves, CUGNON Jacques, CWIKLINSKI Pascal, D’ANGELO Jean-Pierre, DE FAYS Xavier, DRICOT Philippe, FALLAIS Laurent, GASQUET Valéry, HAMES Christian, HERMAN Marc, HEUBERT Simon, JACQMIN Marc, JAGER Samuel, JANSSENS Guy, LABRADOR RUIZ Daniel, LAURENT Frédéric, LEJEUNE Jacques, LOROY Dominique, MORISSET Vincent, NTAHO Yannick, NUNES Sebastien, PARIS Luc, PATTE Alain, RECOURA Jean-François, RENAUD Anne-Sophie, SCIAGURA Francesco, SIGURA Bruno, TASSIGNON Manu, VANDERBRACHT Thierry, VIROUX Fabienne. D’autres postes sont disponibles si tu veux t’engager avec le Staff et le Crew pour D.O.C. BELGIUM. MERCI pour votre engagement futur !
RE CR U T E M E NT Pa r St a ff groupes plus restreints lors de nos sorties. Tu aimes rouler avec d’autres passionnés, tu adores l’ambiance du club, les sensations partagées, tu fais partie de celles et ceux qui trépignent à l’approche de la date d’une balade organisée par le DSB, tu vérifies ta Ducati trois fois bien avant de partir … Ceci est POUR TOI !!! Nous sommes de plus en plus nombreux – tant mieux ! -- à nous rassembler lors de balades organisées, ce qui multiplie les groupes de roulage et diminue ainsi que la taille de ces groupes. Etant donné que la sécurité de chacun(e) reste LA priorité du Staff D.O.C Belgium, nous avons besoin d’étoffer le Marshal Crew (les ouvreurs et fermeurs de groupes) afin de garantir l’encadrement de
Point besoin de Bac+7 pour assurer ces missions, il suffit d’avoir la passion de rouler ensemble et le souci du bien-être de ses compagnons de route ! Envie de rejoindre le Crew ? Envie de partager plus encore ta passion ? N’hésite pas, prends contact avec Fred ! Une séance d’info et de préparation sera bientôt organisée, afin que la coordination soit assurée pour nos prochaines sorties ;-) Bienvenue déjà aux nouveaux Marshals !
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Y
2004 - 2014
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YEARS OF PASSION
D EU S C A F F E Pa r A l a i n
Deus Café Donc c’est fatigué mais heureux de ma visite à l’EICMA 2014 que le taxi m’emmène de la Fiera vers le fameux Deus Café où j’ai été invité par le club Ducati Milano grâce à Fred. Le taximan d’abord méfiant en entendant les mots « carte de crédit » est devenu enjoué en apprenant la destination « Deus Café ». Est-ce donc célèbre, lui ai-je demandé dans la langue de Dante. Non seulement le café
est célèbre pour être un des rendez-vous favoris des motards milanais, mais également toute la rue Thaon di Ravel où les garages moto abondent. Comme je suis arrivé en avance, j’ai le temps de visiter cette fameuse rue et de regarder les différents garages apparemment spécialisés dans la réfection des motos anciennes, notamment des flattwins germains, Norton, Triumph, etc…. En tout cas, toutes ou quasi sont rutilantes dans un état « showroom ». Le Deus Café a un certain cachet agréable, de même que le magasin de vêtements pour motard(e)s y attenant. Des casquettes, vestes, T-shirts, jeans de toutes les sortes et de toutes les couleurs pour les assortir à la couleur et au genre de votre moto, de préférence ancienne ou chopper. Si tu cherches un nouveau cuir pour rouler sur circuit, ben tu ne trouveras pas. Le monde s’amène gentiment, les barmans commencent à servir l’apéro et les amusegueules plutôt copieux, ce qui est propice pour
nouer les relations. Je fais connaissance des personnalités et membres des différents clubs. Certains viennent non seulement d’Italie
(Milan, Lecco, Monza, etc…) mais également de beaucoup plus loin (Norvège, Ljubljana, etc…), mais tous parlent la même langue Ducati
qui se prononce de la même façon quelque soit l’endroit d’où l’on vient. Je ne vais pas citer tous les noms de ceux que j’ai rencontrés même si j’ai
leur carte de visite, si ce n’est Vibeke la présidente des Desmo Donne qui est une femme d’un charisme certain. Comme vous le voir sur mes photos, personne ne tire la tronche et tous sont contents d’être là. Les conversations vont bon train que ce soit en italien ou en anglais jusque tard dans la nuit. C’est à regret que je prends congé, fatigué par mes 8 heures de marche à l’EICMA. Merci Fred de m’avoir permis de participer à cette soirée enrichissante. Alain
DU C AT I S U D B E LGIO - D OC B E LGIUM APPARELS Pa r St a ff La collection «DSB Apparels» s’agrandit ! Réservez votre t-shirt ‘DSB Classic Dept 2014» Après 10 ans d’existence et la création de la section classique du club, voici venu le temps de vous proposer la collection «DSB Classic». Avec la collection «Powered by passion», elle viendra ainsi compléter notre offre de vêtements de club. Et pour inaugurer cette collection que nous comptons étendre par la suite, nous vous proposons un superbe t-shirt qui illustre un des plus beaux logos que la marque nous ai donné. Ne ratez pas cette occasion d’acquérir ce collector !
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