La génétique humaine
Thèse sur la génétique humaine (l'identité intellectuelle) et les fondements existentiels (l'univers et ses éléments). Elle expose que l'identité intellectuelle d’un individu n’est pas quelque chose d’hasardeux, mais relative de la nature. Des singularités que l’on peut représenter par le mot « génétique » : Un talent, une capacité, un génie, étant issue d’une réalité génétique correspondante d’une nécessité naturelle. L’humanité étant relative de six gènes fondamentaux définissant l'intellect. C 'est ainsi qu'un individu naît soit scientifique, soit artiste, soit technologue, soit athlète, soit artisan, soit journaliste. (Sachant que certains individus sont relatifs de deux de ces gènes identitaires). Ces gènes identitaires étant aussi très précis, relatif de domaines appartenant, intrinsèque à ces vecteurs. Par exemple: un individu qui naît scientifique sera d'une réalité cérébrale propre au mathématique, quand d'autres à la biologie, d’autres à la physique, d’autres à la géologie... Un individu qui naît artiste sera d'une réalité cérébrale relative à être écrivain, ou musicien, ou peintre, ou acteur… Un support est toujours issu d'une retransposition exacte cérébrale, qu'on nomme ensuite domaine. Ces gènes identitaires expliquant pourquoi une personne est forte dans un domaine, et qu'une autre ne l'est pas. Quand un individu commence à réussir certaines choses dont peu sont capables, on dit que la personne est douée. Alors qu’il s’agit d’une personne qui est proche de son domaine de prédilection. Et quand un individu réussit quelque chose d’exceptionnel, on parle de don. Alors que ce n’est pas quelque chose d’ajoutée, puisque résume l’identité intellectuelle de la personne, et en l’occurrence là qui se retrouve dans son domaine, travaille dans son environnement intellectuel, propre à sa génétique. Chacun de ces six vecteurs, jusqu'à chacun des nombreux domaines qu'ils comportent, ayant une fonction relative à une évolution humaine, une exploitation de la matière, tant à une fonction future sur l'univers. Ma thèse explicite aussi que l'univers n'est pas infini. Il est en expansion mais qui a elle même une limite définissant la vérité physique. Ceci expliquant la vérité du psychique et la raison de la vie organique ( humains , animaux, végétaux…) .
Dès lors l'humanité comme les autres organismes ont un rôle d'assimilation, d'adaptation et d’exploitation vis à vis de la matière. L’humanité ayant aussi par cela la nécessité de la compréhension du monde animal, végétal..., de la vie. Ceci afin d'aller à une action future sur la matière dans son prolongement, et ainsi de l’univers siné qua non du temps et ainsi de sa continuité inhérente à la vie. Un individu est, ou un enfant qui arrive au monde sera : Scientifique , ou athlète, ou journaliste, ou artiste, ou technologue, ou artisan. (voir de deux de ces genres intellectuels). L’humain n'est pas un être inerte en l'existence. Il a sa fonction naturelle vis à vis de l'univers. Ces six genres ou vecteurs ayant une fonction très précise. La science: étant le travail de la résolution de la vie, ainsi que la création de systèmes visant à l'aide de celle-ci. L’art: étant le travail des sentiments. Les sentiments étant la sensation de notre analyse, de notre conscience. ( travail de l’immatière). La technologie: étant le travail des éléments, en vue à partir de ceux-ci d'en réaliser une autre fonction. Le journalisme: étant le travail de l'information. Ceci en but de transmettre une connaissance, d'un point à un autre afin que tout individu puisse être en réaction d'autres environnements ou d'autres individus. .. L’artisanat: étant un travail des sens, de la matière sous ses différents angles: tactile, gustatif, visuel, olfactif, acoustique. L’athlétisme: étant le travail de l'organisme, du corps, (la physiologie), de sa force et de son déplacement dans l'espace ainsi que ceux d'autres éléments… Chacun de ces genres jusqu'à chacun des domaines qu'il comprend porte tant à une évolution cérébrale, organique, utilitariste et matérielle. Certains individus étant relatifs de deux genres, qu'ils sont souvent capables de formuler sur un même support: Tels les dessinateurs de presse qui sont tant des artistes que des journalistes, génétiquement. Ou encore les politiciens qui sont tant des scientifiques que des journalistes, génétiquement. Ou encore les danseurs qui sont tant des artistes que des athlètes, génétiquement. L’identité d'un être n'est pas quelque chose d'hasardeux. Nous sommes relatifs à la science, ou à l'art, ou au journalisme, ou à l'artisanat, ou au sport, ou à la technologie. Nombre de personnes ont pu constater à l'école des différences d'efficience vis à vis de certaines activités entre les individus: Si on prend le sport, on voit très perceptivement des individus qui comprennent facilement l'exercice physique à réaliser. D’autres moyennement, et d'autres qui
n'ont pratiquement aucune maîtrise dans la synchronisation gestuelle, et d'autant plus il y a sollicitation. Mais la perception de telles capacités est d'autant plus grande quand l'individu est dans une certaine liberté. C'est-à-dire, réagit ou s'emmène à réagir, vis à vis de support ou d'environnement de façon personnelle. On peut aussi constater, très vite des individus sans le moindre cours ou formation, qui entre dans une certaine adéquation face à l'informatique. Ou encore d'autres individus dans ce même constat, qui seront capables de construire une maison, sans grand enseignement. Ou encore d'autres individus qui en très peu de temps accèdent à, ou expriment une certaine pratique d’un instrument. Certaines de ces efficiences peuvent parfois se percevoir à bas âge. Tout cela, parce que c'est conséquent d’une réalité cérébrale, génétique. En observant la société, il est facile de voir des individus qui ne sont pas aisés vis à vis de certains domaines, n'étant pas leur registre intellectuel. D’autres qui expriment quelques talents vis à vis d'un domaine parce qu'il est proche de leur spécificité. Et d'autres qu'on nomme génies, car de fait travaillent dans le domaine qui leur est relatif pouvant y exploiter leur génétique, leur vérité cérébrale. Tout être est relatif d'un ou deux genres intellectuels, tout en gardant en lui des gènes inhibés vis à vis des autres genres. C’est à dire qui ne composent pas son analyse fondamentale. Mais, gènes inhibés qui peuvent être transmis à ses enfants en tant que gènes composants. C’est pourquoi, un enfant peut naître d'un autre genre intellectuel que ses parents. Bien que généralement, l'enfant sera d'un genre intellectuel pareil à au moins l’un de ses parents. Et quand les parents ont un même genre intellectuel, l'enfant naîtra quasiment à coup sûr de celui-ci. Mais pas forcément du même domaine. La vie est un mouvement. L’univers est une gigantesque matière. Mais l'univers a ses limites (sans action sur celui-ci). C’est là, que j'explicite ma thèse sur les fondements existentiels et en cela sur l'univers. Tout le monde à l'habitude de penser, qu'avant qu'il y ait quelque chose, il n'y a rien : D’abord « 0 » puis « l ». Et en cela qu'avant l'univers, il pouvait y avoir rien et donc ensuite un commencement. Seulement pour comprendre l'existence, il faut savoir aussi s'absoudre du facteur qu’est le temps, puisque l'existence est absolue. Car de rien, il ne peut rien sortir. Ce qui fait que l'univers à son stade minimum (d'espace) que nous,
nous appelons « commencement », en fait a toujours été. ( nous le voyons comme un commencement, seulement parce que nous en sommes la suite). L’existence en ce fait n'est pas « 0 » puis « 1 », il a toujours été « 1 » et « 0 ». « 1 » étant ce qui est. Et « 0 » étant ce qui n'est pas. C’est à dire (1) la vie (toute forme de matière), et (0) le néant. Mais, « ce qui est », dans l'absolu, c'est tout ; et par définition « tout » est l'infini. L’univers a donc à être infini. En cela ce qui expliquerait toujours son expansion. Cependant la vie, l'univers peut être assimilé à une énergie, puisque l'énergie symbolisant le mouvement. Seulement, à partir d'une énergie, on ne peut pas apporter plus d'énergie. À la place, il y a transformation (comme il n'y a pas perte de celle-ci dans le tout). C’est en cela que l'univers, qu'il soit à son stade minimum ou au stade que nous connaissons aujourd'hui, fait toujours part de la même énergie. En ceci, sa transformation équivalent à couvrir un espace plus grand (de réaction en réaction, d'éléments minimum mais fondamentaux jusqu'à des planètes...). Et qui dit espace dit temps. L’espace définissant le fait d'un point qui peut arriver à un autre. Le temps naissant de ce constat. Le temps étant équivalent à une énergie en réaction, égale du mouvement. Mais une même énergie impose forcément une limite. Un univers qui en cela, pour l'heure s'étend (ce qui est différent d'une expansion), puisque relatif d'une transformation, dont son espace doit connaître un arrêt. L’espace qui ne grandit plus, est à terme significatif d'un temps qui n'est plus, et donc une vie non plus. Pour autant "ce qui est" dans l'absolu définit un infini. C’est là que l'on peut comprendre la raison de la vie organique, qui est intrinsèque à cette équation. La matière en tant que telle, appelée matière anorganique, adjoint aux êtres vivants (eux fait de matière organique) pouvant donner l'infini. Les organismes: qui sont capables eux, d'adaptation, d’analyse, de travail, d’évolution. Et c'est de cela qu'ils seront capables de donner mouvement à l'univers, inhérent au temps, à la vie, à son infini. Et équivalent d'action, d'exploitation de la matière (apporter plus à partir de…) Nous percevons, réagissons à la matière vis à vis de nos cinq sens. Mais il existe six grands vecteurs (genres intellectuels) qui permettent de l'exploiter intellectuellement et matériellement. C’est ainsi que les humains ont une identité spécifique (chaque genre étant composés de nombreux domaines) afin de couvrir cette exploitation. La planète terre est une planète caractéristique. Elle y abrite la vie, mais y regroupe aussi de façon intrinsèque, différents aspects de la matière réunissant
les fondements de son travail: l'état liquide, l'état gazeux, l’état solide, le froid et la chaleur (la température), les différentes tailles et masses... Les animaux couvrent aussi différentes adaptations, et en cela exploitations sensorielles, organiques, que ce soit à travers les milieux liquides (l'eau), gazeux (l’air) et solides (le sol) : les poissons, les oiseaux, et les autres animaux. Mais aussi les végétaux. Tout élément a une fonction. L’univers est vie. L’humain est spécifique, en la raison que les individus vont pouvoir aboutir à des travaux des plus conséquent. Ce qui ne signifie pas, ne pas être d’autant plus réceptif aux domaines et genres, qui ne sont pas les nôtres, puisque c’est aussi, ce qui fait l’humain. Tout individu peut être à même de comprendre les résultats, ou toute l’expression de travaux, domaines qui lui sont éloignés, mais en général, moins la composante. Tel un objet dont on saisit parfaitement l’utilité, ou que l’on sait très bien utiliser, mais malgré le temps ou l’essai, dont on a difficulté à comprendre la conception.
L’humanité : Scientifiques, Artistes, Technologues, Journalistes, Artisans, Athlètes. Michael Losange ( thèse correspondante au livre « La Vie » Editions Mélibée disponible sur Amazon.fr)