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God save the Quinn : portrait du créateur chouchou de la reine d'Angleterre.

Texte Marie Guérin

L’INTERVIEW GOD SAVE THE QUINN !

C’est à l’occasion du pop-up store mis en place à Bicester Village en partenariat avec le British Fashion Council que nous avons eu la chance de rencontrer Richard Quinn. Le créateur anglais était le curateur de The Creative Spot qui réunissait plusieurs designers compatriotes.

Quand avez-vous imaginé vos premières créations ? Probablement à l’adolescence, vers 15 ou 16 ans. Je ne pense pas que c’était une robe… J’étais vraiment obsédé par pense pas que c’était une robe… J’étais vraiment obsédé par « Nightmare Before Christmas » de Tim Burton. J’aimais « Nightmare Before Christmas » de Tim Burton. J’aimais beaucoup les costumes de marionnettes. les fl eurs associées à des tons foncés. Et les papiers peints

D’où vient cette obsession pour les fleurs ? J’ai toujours aimé les tissus assez kitsch, principalement les fl eurs associées à des tons foncés. Et les papiers peints vintage.

Qu’est-ce qui vous plaît dans ce contraste entre fleurs et latex ? Je suis très inspiré par l’artiste des années 60 Paul Harris. Il réalisait des sculptures avec des chaises sur lesquelles repose un personnage, le tout entièrement couvert d’imprimés fl euris vintage. Je suis également intéressé par le côté plus sombre de Londres, avec ses rues pluvieuses. Je rassemble ces deux éléments à travers cet e et de seconde peau brillante en latex. Les fleurs feront toujours partie de vos collections. Nous, on ne s’en lasse pas, mais vous ? Non, je ne pense pas. Les gens vont avoir envie de changement après quelques collections et j’aurai envie d’expérimenter d’autres choses. Pourquoi pas complètement noir (rires) ?

La reine a assisté à votre premier show, comment ça s’est fait ? J’étais le premier lauréat du Queen Elizabeth II Award for British Design. Elle était intéressée par mon projet, mais aussi l’aspect communautaire autour du studio dans lequel je travaillais. Pour moi, c’est une icône mode. C’est intéressant aussi de voir comment son style a évolué à travers les décennies.

Comment est née cette collaboration avec Bicester Village ? Elle a commencé avec une conversation autour du sens de la communauté. J’ai trouvé ça intéressant d’avoir des designers d’univers di érents, comme Roksanda ou Christopher Kane, en mixant les marques confi rmées et les créateurs/trices émergent·e·s. C’est toujours excitant de proposer une nouvelle expérience !

IMAXTREE, PRESSE

SNEAKER FREAKER

Pour sa campagne automne-hiver, Superga® a choisi comme ambassadrices les it-girls (et filles de) Iris Law et Leni Klum. Dans cette nouvelle collection, la conception monte d’un cran sans toucher à la simplicité légendaire de la marque. Résultat : des sneakers intemporelles avec un twist de modernité.

Grand classique, la Superga 2750 a vu le jour en 1925 lorsque le jeune entrepreneur turinois Walter Martiny a conçu un prototype de chaussure de sport à semelle en caoutchouc pour sa femme passionnée de tennis. Ces sneakers emblématiques ont résisté à l’épreuve du temps et restent, saison après saison, une valeur sûre dans la plupart des dressings. En clin d’œil aux premiers pas de ce modèle, le shooting mettant en vedette Iris Law a été réalisé dans l’enceinte de The National Tennis Association.

STYLE ITALIEN

Dans une approche teintée de nostalgie, Iris Law a voulu apporter sa touche personnelle aux styles les plus iconiques de Superga tout en préservant les racines de la marque. « Comme Superga®, mon style personnel

Iris Law s’inspire aujourd’hui des influences d’hier. J’ai toujours été attirée par la façon dont Superga associe l’attitude féminine au style italien Leni Klum emblématique. Ses sneakers sont des incontournables. », a confié la jeune égérie. Dans cette campagne, elle a tenu à respecter l’héritage italien et la silhouette intemporelle de la marque et à mettre l’accent sur des basiques à porter en toute saison.

L’AMOUR DE LA PLANÈTE

Les modèles de la nouvelle collection sont fabriqués à partir de matériaux respectueux de l’environnement, comme le caoutchouc naturel et la fausse fourrure. Le reflet de l’engagement de Superga® en faveur d’une mode éthique et durable. Des valeurs partagées par sa nouvelle ambassadrice, Leni Klum, qui attire l’attention sur la crise climatique actuelle sur ses médias sociaux. « Ma génération doit réfléchir à la durabilité et à notre responsabilité envers la planète pour nous construire un meilleur avenir. Superga® est une marque qui tient compte de ces problèmes dans sa conception et ses pratiques, ce qui est une autre raison pour laquelle je suis ravie d’en devenir l’une des ambassadrices », a expliqué la jeune femme.

Chaussure à plateforme, 69 € Chaussure basse, 59 €

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