Discours du pape n°2121 : 26 mai 2016

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Discours du Pape et Chronique romaine

AUDIENCE GÉNÉRALE DU MERCREDI 25 MAI 2016

La prière aide à avoir confiance en Dieu Chers frères et sœurs, bonjour ! La parabole évangélique que nous venons d’entendre (cf. Lc 18,1-8) contient un enseignement important : « La nécessité de toujours prier, sans se décourager » (v. 1). Il ne s’agit donc pas de prier quelquefois, quand je le sens. Non, Jésus dit qu’il faut « prier toujours, sans se décourager ». Et il donne l’exemple de la veuve et du juge. Le juge est un personnage puissant, appelé à prononcer des sentences sur la base de la loi de Moïse. C’est pourquoi la tradition biblique recommandait que les juges soient des personnes craignant Dieu, dignes de foi, impartiales et qui ne se laissent pas corrompre (cf. Ex 18,21). Au contraire, ce juge « ne craignait pas

Dieu et ne respectait pas les hommes » (v. 2). C’était un juge inique, sans scrupules, qui ne tenait pas compte de la loi, mais faisait ce qu’il voulait, selon son intérêt personnel. Une veuve s’adresse à lui pour que justice lui soit rendue. Les veuves, comme les orphelins et les étrangers, étaient les catégories les plus faibles de la société. Les droits qui leur étaient assurés par la loi pouvaient être facilement piétinés parce que, étant des personnes seules et sans défense, elles pouvaient difficilement se faire valoir : une pauvre veuve, là, seule, personne ne la défendait, on pouvait l’ignorer, y compris ne pas lui faire justice. Et de même l’orphelin, de même l’étranger, le migrant : à cette époque, ce problème était très pré-

N° 2121– Parution hebdomadaire – jeudi 26 mai 2016 – Prix du n° : 1 € En encart : « Nouveautés et nouvelles éditions »


Audience générale

sent. Devant l’indifférence du juge, la veuve recourt à son unique arme : continuer avec insistance de l’importuner en lui présentant sa demande de justice. Et justement grâce à sa persévérance, elle atteint son but. Le juge, en effet, à un certain point, l’exauce, non parce qu’il est mû par la miséricorde ni parce que sa conscience le lui impose, mais il admet simplement : « Comme cette veuve commence à m’ennuyer, je vais lui rendre justice pour qu’elle ne vienne plus sans cesse m’assommer » (v. 5). Jésus tire une double conclusion de cette parabole : si la veuve est parvenue à faire plier le juge malhonnête avec ses requêtes insistantes, combien plus Dieu, qui est un Père bon et juste, fera « justice à ses élus, qui crient vers lui jour et nuit » ; et en plus, il ne les fera pas « attendre », mais il agira « bien vite » (v. 7-8) C’est pourquoi Jésus exhorte à prier « sans se lasser ». Nous éprouvons tous des moments de fatigue et de découragement, surtout quand notre prière semble inefficace. Mais Jésus nous assure : à la différence du juge malhonnête, Dieu exauce promptement ses enfants, même si cela ne signifie pas qu’il le fait dans les temps et de la manière que nous aimerions. La prière n’est pas une baguette magique ! Elle aide à conserver la foi en Dieu, à nous confier en lui, même quand nous ne comprenons pas sa volonté. En cela, Jésus lui-

même – qui priait beaucoup ! – est pour nous un exemple. La Lettre aux Hébreux rappelle que, « pendant les jours de sa vie dans la chair, il offrit, avec un grand cri et dans les larmes, des prières et des supplications à Dieu qui pouvait le sauver de la mort, et il fut exaucé en raison de son grand respect » (5,7). À première vue, cette affirmation semble invraisemblable, parce que Jésus est mort sur la croix. Et pourtant, la Lettre aux Hébreux ne se trompe pas : Dieu a vraiment sauvé Jésus de la mort en lui donnant une victoire totale sur elle, mais le chemin parcouru pour l’obtenir est passé à travers la mort elle-même. La référence à la supplication que Dieu a exaucée renvoie à la prière de Jésus à Gethsémani. Assailli par l’angoisse imminente, Jésus prie le Père de le délivrer du calice amer de sa Passion, mais sa prière est remplie de confiance en son Père et il se remet sans réserve à sa volonté : « Cependant, non pas comme moi, je veux, mais comme toi, tu veux » (Mt 26,39). L’objet de la prière passe au second plan ; ce qui importe plus que tout est la relation avec le Père. Voilà ce que fait la prière : elle transforme le désir et le façonne selon la volonté de Dieu, quelle qu’elle soit, parce que celui qui prie aspire avant tout à l’union avec Dieu qui est amour miséricordieux. La parabole se termine par une question : « Cependant le Fils de 2


Chronique romaine l’homme, quand il viendra, trouverat-il la foi sur la terre ? » (v. 8). Et avec cette question, nous sommes tous mis en garde : nous ne devons pas abandonner la prière même si elle ne reçoit pas de réponse. C’est la prière qui conserve la foi, sans elle la foi vacille ! Demandons au Seigneur une foi qui se fasse prière incessante, persévérante, comme celle de la veuve de la parabole, une foi qui se nourrisse du désir de sa venue. Et dans la prière, nous expérimentons la compassion de Dieu qui, comme un Père, vient à la rencontre de ses enfants, plein d’amour miséricordieux. FRANÇOIS

Jésus, c’est-à-dire guidera l’Église, la fera avancer. Jésus révèle en quoi consiste cette mission. Tout d’abord, l’Esprit nous guide en nous faisant comprendre toutes les choses que Jésus lui-même a encore à dire (cf. Jn 16,12). Il ne s’agit pas de doctrines nouvelles ou spéciales, mais d’une pleine compréhension de tout ce que le Fils a entendu du Père et qu’il a fait connaître aux disciples (cf. v. 15). L’Esprit nous guide dans les nouvelles situations de notre existence, le regard tourné vers Jésus et en même temps ouvert aux événements et à l’avenir. Il nous aide à marcher dans l’histoire, à nous enraciner solidement dans l’Évangile, en vivant nos habitudes et traditions de manière fidèle et dynamique. Mais le mystère de la Trinité nous parle aussi de nous, de nos liens avec le Père, le Fils et l’Esprit Saint. En effet, par le baptême, l’Esprit Saint nous a introduits dans le cœur et dans la vie même de Dieu, qui est une communion d’amour. Dieu est une « famille » de trois personnes qui s’aiment au point de n’en former plus qu’une à elles trois. Cette « famille divine » n’est pas repliée sur ellemême. Elle est ouverte, transmise dans la création et dans l’histoire, entrée dans le monde des hommes pour les appeler tous à en faire partie. L’horizon trinitaire de communion nous enveloppe tous et nous stimule à vivre dans l’amour et dans le par-

© Traduction de Zenit, Constance Roques (25 mai 2016) © Innovative Media Inc.

Angélus du dimanche 22 mai Paroles du Pape avant l’angélus Chers frères et sœurs, bonjour ! Aujourd’hui, fête de la très Sainte Trinité, l’évangile de saint Jean nous présente un morceau du long discours d’adieu prononcé par Jésus peu avant sa Passion. Dans ce discours, il explique aux disciples la vérité plus profonde qui le concerne, illustrant alors les liens qui unissent Jésus, le Père et l’Esprit. Jésus sait que se réalisera bientôt le dessein du Père, qui s’accomplira par sa mort et sa résurrection. Il veut donc assurer aux siens qu’il ne les abandonnera pas, car l’Esprit Saint prolongera sa mission. L’Esprit poursuivra la mission de 3


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tage fraternel, avec cette certitude que Dieu est là où est l’amour. Avoir été créés à l’image et à la ressemblance de Dieu-communion nous appelle à comprendre l’être relationnel que nous sommes, à vivre nos relations interpersonnelles dans la solidarité et l’amour réciproque. Ces relations se jouent avant tout dans le cercle de nos communautés ecclésiales, pour que l’image de l’Église image de la Trinité soit toujours plus évidente. Mais aussi dans n’importe quel autre lien social, de la famille aux amitiés, au milieu du travail : ce sont des occasions concrètes qui nous sont offertes pour nouer des relations humaines de plus en plus riches, capables de respect mutuel et d’amour désintéressé. La fête de la très Sainte Trinité nous invite à nous investir dans le quotidien en étant des « levains » de communion, de consolation et de miséricorde. La force que l’Esprit Saint nous donne est là pour nous soutenir dans cette mission : elle soigne la chair de l’humanité blessée par l’injustice, par l’oppression, la haine et l’avidité. La Vierge Marie, dans son humilité, a accueilli la volonté du Père et a conçu le Fils sous l’action de l’Esprit Saint. Reflet de la Trinité, qu’elle nous aide à affermir notre foi dans le mystère trinitaire et à l’incarner en faisant des choix et en ayant des attitudes d’amour et d’unité.

Paroles du Pape après l’angélus Chers frères et sœurs ! Hier, à Cosenza, le prêtre diocésain Francesco Maria Greco, fondateur des Petites Sœurs ouvrières des SacrésCœurs, a été proclamé bienheureux. Entre les xixe et xxe siècles, celui-ci anima la vie religieuse et sociale de sa ville, Acri, où il a exercé tout son ministère de manière féconde. […] Demain s’ouvrira à Istanbul, le premier sommet humanitaire mondial, dont le but est de réfléchir aux mesures à prendre pour faire face aux situations humanitaires dramatiques causées par les conflits, les problèmes d’environnement et l’extrême pauvreté. Accompagnons par la prière les participants à cette rencontre afin qu’ils s’engagent pleinement à réaliser l’objectif humanitaire principal : sauver la vie de tout être humain, sans exclusion, en particulier les innocents et les plus vulnérables. Le Saint-Siège prendra part à ce sommet humanitaire, raison du départ aujourd’hui du secrétaire d’État, le cardinal Pietro Parolin, qui le représentera [cf. infra]. Mardi 24 mai, nous nous unirons spirituellement aux fidèles catholiques de Chine qui célèbrent la mémoire de la Bienheureuse Vierge Marie, « Auxiliatrice des chrétiens », vénérée avec grande dévotion au sanctuaire de Sheshan à Shanghai. Demandons à Marie de donner à ses enfants en Chine la capacité de dis4


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cerner en toute situation les signes de la présence amoureuse de Dieu qui accueille et pardonne toujours. […] S’il vous plaît, n’oubliez pas de prier pour moi. Bon déjeuner et au revoir !

C’est à cette occasion que les photos d’un enfant disparu ont pour la première fois été imprimées sur les bouteilles de lait aux États-Unis. Des associations ont commencé à célébrer cette date au cours des années suivantes, mais ce n’est qu’en 1983 que Ronald Reagan, président des États-Unis a déclaré le 25 mai Jour des enfants disparus. Ce jour, commémoré au Canada depuis 1986, a depuis lors une dimension internationale. Lors de l’assemblée générale de Missing Children Europe du 26 avril 2002, il a été décidé que cette journée serait promue par les associations membres et commémorée chaque année dans le plus grand nombre possible de pays européens. Année après année, environ 50 mille enfants disparaissent en France, pour une journée ou beaucoup plus longtemps, et certains ne seront jamais retrouvés…

© Zenit

Le Pape François plaide pour la protection des enfants « C’est un devoir pour tous de protéger les enfants », a déclaré le Pape François, surtout ceux qui sont « exploités, victimes de la traite et de comportements déviants ». Il a fait cet appel ce mercredi 25 mai, à l’occasion de la Journée internationale pour les enfants disparus, lors de l’audience générale, place Saint-Pierre. « Je souhaite, a dit le Pape, que les autorités civiles puissent secouer et sensibiliser les consciences pour éviter l’indifférence face au désarroi d’enfants seuls, exploités et éloignés de leur famille et de leur contexte social, des enfants qui ne peuvent pas grandir sereinement et regarder l’avenir avec espérance. » Il a invité « tout le monde à la prière afin que chacun de ces enfants soit rendu à l’affection de ses proches ». C’est un 25 mai, en 1979, qu’Etan Patz, âgé de six ans, a été enlevé à New York. Cette disparition a fortement marqué l’opinion publique.

© Zenit

Priver d’armes ceux qui utilisent la violence Pour favoriser la paix et soulager les souffrances des réfugiés, le Pape indique aux diplomates un chemin : « priver d’armes ceux qui utilisent la violence », et « mettre fin au fléau du trafic humain et du commerce de drogue ». Le Pape a en effet reçu le jeudi 19 mai 2016, dans la salle Clémentine 5


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du palais apostolique du Vatican, six nouveaux ambassadeurs près le Saint-Siège qui lui ont présenté leurs lettres de créance : des Seychelles, de Thaïlande, d’Estonie, du Malawi, de Zambie, et de Namibie. « Alors que nos initiatives au nom de la paix devraient aider les populations à rester sur leurs terres, le moment présent nous appelle à assister les migrants et tous ceux qui prennent soin d’eux. Nous ne saurions permettre que des malentendus et des peurs affaiblissent notre détermination », a déclaré le Pape.

nir pour tout le monde », déclare le secrétaire d’État du Saint-Siège, qui a insisté notamment sur une éducation adéquate à mettre en œuvre. © Zenit

Vie consacrée : plus d’Institut diocésain sans le feu vert de Rome Ériger un Institut de vie consacrée dans un diocèse requiert désormais l’autorisation préalable de Rome, indique un « rescrit » du Pape François, en date du 20 mai 2016. Il est signé par le cardinal secrétaire d’État Parolin et publié par la salle de presse du Saint-Siège. Il entrera en vigueur à partir du 1er juin 2016. Il s’agit principalement « d’éviter que ne soient érigés au niveau diocésain de nouveaux instituts sans un discernement suffisant », comme l’explique ce rescrit qui indique les raisons de cette décision : « La Congrégation pour les Instituts de vie consacrée et les Sociétés de vie apostolique, consciente que tout nouvel Institut de vie consacrée, même s’il vient à la lumière et se développe à l’intérieur d’une Église particulière, est un don fait à toute l’Église, voyant la nécessité d’éviter que ne soient érigés au niveau diocésain de nouveaux instituts sans un discernement suffisant qui évalue l’originalité du charisme, qui définisse les traits spécifiques de la consécration en leur sein, à

© Zenit

« La prévention des conflits armés est possible » Le cardinal Pietro Parolin, secrétaire d’État du Pape François, est intervenu à la section des responsables du Sommet humanitaire mondial, à Istanbul (Turquie), le 23 mai. « La prévention des conflits armés est possible. Ce n’est ni un rêve ni une illusion. Les régions qui jouissent de la paix, de la sécurité et de l’absence de conflits armés en sont la preuve. À des moments clés importants de l’histoire, de grands responsables ont pris des décisions prophétiques, fondées sur un sens profond de la valeur de la dignité de la personne humaine. Ce faisant, ils ont offert à leurs nations la chance de bâtir des communautés durables et inclusives, et ont préparé le chemin vers un meilleur ave6


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Le Pape a adressé un message à Mgr Jean-Claude Hollerich, archevêque de Luxembourg, qui a souhaité en cette année jubilaire que la statue de la Vierge visite les malades et les personnes âgées. « Il est providentiel qu’en cette année jubilaire, où la miséricorde du Seigneur est annoncée avec une ardeur plus intense, nous commémorions les 350 ans de l’élection de Notre-Dame consolatrice des affligés au rang de patronne du Luxembourg », écrit notamment le Pape François : « Ce joyeux jubilé nous remplit de l’espérance de participer un jour au salut et à la grâce. » Mgr Hollerich a voulu que la Consolatrice soit, en cette Année de la miséricorde, auprès des personnes âgées, des malades et de toutes les personnes qui n’ont pas la possibilité d’aller prier dans la cathédrale. Il a donc eu l’idée que la statue mariale visite les églises, les communautés, les maisons de retraite et les écoles du Luxembourg. L’initiative a été lancée le 8 mai dernier et elle se poursuivra jusqu’en octobre. La Consolatrice des affligés a été proclamée patronne du Luxembourg et elle a reçu symboliquement les clefs de la ville le 16 octobre 1666. Au même moment naissait la tradition de « l’Octave », c’est-à-dire du pèlerinage annuel qui amène les fidèles à vénérer la Vierge dans la cathédrale, où est conservée sa sta-

travers la profession des conseils évangéliques, et qui en distingue les réelles possibilités de développement, a signalé l’opportunité de mieux déterminer la nécessité, établie par le can. 579, de demander son avis avant de procéder à l’érection d’un nouvel Institut diocésain. » « C’est pourquoi, suivant l’avis du Conseil pontifical pour les textes législatifs, le Saint-Père François, dans l’audience accordée au soussigné secrétaire d’État, le 4 avril 2016, a établi que la consultation préalable du Saint-Siège était à entendre comme nécessaire “ad validitatem” (pour la validité) de l’érection d’un Institut diocésain de vie consacrée, sous peine de nullité du décret d’érection de l’Institut luimême », stipule le rescrit. « Le présent rescrit sera promulgué par publication sur L’Osservatore Romano, entrant en vigueur le 1er juin 2016, puis publié sur les Actes du Siège apostolique », indique le document. © Zenit

Pèlerinage de la Vierge consolatrice des affligés Le Pape François encourage les pèlerins à célébrer les 350 ans de l’élection de Notre-Dame consolatrice des affligés au rang de patronne du Luxembourg, en cette Année sainte de la miséricorde, indique Radio Vatican. 7


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tue : une sculpture en bois de tilleul polychrome, de 73 cm de hauteur et remontant à la fin du xvie siècle. © Zenit

La publication du Troisième Secret est « complète » Le Pape émérite Benoît XVI affirme que la publication du Troisième Secret de Fatima est « complète » Un communiqué du Saint-Siège, publié samedi 23 mai, dément des affirmations évoquées par certains articles récemment parus à propos du Troisième Secret de Fatima. Il s’agit de déclarations « attribuées » au professeur Ingo Dollinger, un théologien allemand né en 1930, auquel, après la publication du Troisième Secret de Fatima (qui a eu lieu en juin 2000), le cardinal Ratzinger « aurait » prétendument « confié » que cette publication n’était « pas complète ». À ce propos, le Pape émérite Benoît XVI proteste qu’il « n’a jamais parlé de Fatima avec le professeur Dollinger ». Il « affirme clairement » que les affirmations attribuées au pro-

Librairie

pierre téqui

www.editionstequi.com

fesseur Dollinger sur ce sujet « sont de pures inventions, absolument pas vraies », et confirme résolument que « la publication du Troisième Secret de Fatima est complète ». Rappelons que le texte du « Troisième Secret » a été publié à la demande de Jean-Paul II, à l’occasion de la béatification des deux pastoureaux de Fatima, Jacinta et Francisco Marto, en l’an 2000, sous la présidence de saint Jean-Paul II (19202005) et en présence de sœur Lucie (1907-2005). Sœur Lucie dos Santos, la troisième des petits voyants des événements de 1917 à la Cova da Iria (Fatima, Portugal), devenue carmélite à Coimbra, avait auparavant confirmé à la congrégation que le texte et son interprétation correspondaient à la vérité du message de la Vierge Marie. Le message de Fatima et les trois secrets peuvent être lus en français sur le site du Vatican, avec les facsimilés des lettres de sœur Lucie et un commentaire théologique du cardinal © Zenit Ratzinger.

SOMMAIRE : Audience générale .......................................................... 1 Chronique romaine ......................................................... 3 ABONNEMENTS : 1 an : 42 € – Soutien : À partir de 60 € – Étranger : 65 € Collectifs (par multiple de 2 exemplaires) : 2 ex. : 50 € – 4 ex. : 90 € LIBRAIRIE TÉQUI – 53150 SAINT-CÉNERÉ Dépôt : 8, rue de Mézières – 75006 PARIS – Tél. 02 43 01 01 81 Le directeur de la publication : F. Lemaire. Le Gérant : Père B. DULLIER o.m.i. Commission paritaire N° 10 19 K 87570. ISSN : 0767-3868. Imp. TÉQUI – 53150 ST-CÉNERÉ.


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