Communiqués de Presse PH3 2016

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ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR PRIVÉ PHOTOGRAPHIE AUDIOVISUEL

DOSSIERS DE PRESSE PROMOTION 2016 3 me année photo







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Communiqué de presse

EFET-COMMUNICATION

WEI GUO

Les trois couleurs de l'âme

Inspiré par la théorie tripartite de l'âme décrite de Platon, et qui se compose de l’Appétit, du Courage et de la Logique, Guo Wei utilise une représentation singulière pour exprimer sa propre conception des trois facettes essentielles de l'âme. Dans la photographie traditionnelle et dans les systèmes électroniques modernes de l'imagerie numérique, la détection, la représentation et l'affichage des images est basée sur le modèle de la triade de couleurs, RVB, LES que TROIS COULEURS L'ÂME les trois primaires biologiques sont le rouge, DE le vert et le bleu. Guo Wei attribue une signification philosophique à ces trois couleurs qui constituent le monde visible et régissent notre âme en termes d’appétit, de courage et de logique. Dans cette série de photographies, Guo Wei utilise trois approches différentes pour aligner son interprétation sur la triade platonicienne, associant le rouge, le vert et le bleu pour étayer un récit. Sujets naturels , actions humaines, ou signe émotionnel en plan serré, les trois modes reprennent ensemble la symbolique de la nature morte, de l'allégorie et du portrait devant le chevalet ou l'objectif photographique. Cette série d'images invite ses spectateurs à réfléchir sur la relation ineffable qui unit la réalité du monde et les fondements de la vie. STUDIO 4 EFET 110,RUE DE PICPUS 75012,PARIS DU 16 AU 30 JUIN 2016


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DÉCONNEXIONS Alain Hoa

Au détour d’une rue ou d’une station de métro, qui n’a jamais croisé un inconnu, debout, le regard perdu, déconnecté de ce qui l’entoure ? On se prend soudain à jouer le jeu des devinettes, on se met dans la tête de l’autre et on se demande «à quoi pense-t-il, où va-t-il ?». Cette série est née à partir de ces moments. Ces photographies mises en scène invitent leur spectateur à prendre le temps de s’arrêter et à observer les personnages. Un jeu s’installe entre le regardé et le regardant. du 16 au 30 juin 2016 Studio 4 EFET 110, rue de Picpus 75012 Paris

Les acteurs ont pour la plupart entre 25 et 35 ans, et sont à l’image de cette génération constamment connectée, pour qui l’avenir est aussi trouble qu’une eau dormante. Remplis d’incertitude, ces personnes entrevoient pourtant une lueur à laquelle se raccrocher, parfois aveuglante, à l’image de ces écrans qui investissent le quotidien. Thème récurent dans le travail d’Alain Hoa, la relation entre le genre humain et les nouvelles technologies est abordé ici dans toute sa complexité. Né à Paris où il a grandi, Alain Hoa a très vite infléchi sa formation de photographe vers l’architecture. Son attrait pour la rigueur désincarnée de l’Ecole de Dûsseldorf lui a inspiré la réalisation d’un sujet entier sur la ville de Berlin. Avec «Déconnexions», il a voulu, toujours en territoire urbain, explorer le territoire mystérieux et pour lui inédit de l’introspection.

EFET COMMUNICATION / COMMUNIQUÉE DE PRESSE



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efet - communication

jennifer lescouët

communiqué de presse

LES MOTS DU SILENCE

Devenue sourde à l’âge de 8 ans, Jennifer Lescouët a très vite ressenti un certain attachement pour la photographie. Le visuel est devenu dès lors son moyen d’entendre et surtout, de s’exprimer. Pendant longtemps, la surdité a été un sujet délicat à aborder et à accepter en France, mais aussi partout dans le monde. La Langue des Signes Française a ouvert les portes de la communication à tout un monde silencieux. Grâce à ses études en photographie, Jennifer Lescouët a pu donner naissance à sa première série photographique autour de la LSF. Le but est de montrer que cette langue n’est pas un pis-aller, et bien que visuelles, les images donnent l’impression d’entendre les mots avec nos yeux, que le public soit sourd ou entendant : universel, le bénéfice est le même pour tous. Les Mots du Silence est un mariage entre le temps de pose et le flash. Les participants de cette série forment un groupe différencié, sourds, entendants, jeunes et séniors. Le noir et blanc a été choisi pour refléter la force à chacun de ces mots signés, et pour l’aspect artistique de l’image. Qu’importe la signification du mot. Il a été choisi principalement pour sa beauté Sarah interprète le mot «découvrir» en LSF visuelle. Laissez-vous envahir par les mots du silence.

studio 4 EFET - 110, rue de Picpus - 75 012 PARIS

Exposition du 16 au 30 juin 2016


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Ses cheveux sont plus blancs que la toison des moutons, la couleur de sa peau est plus blanche que ses yeux, et ses yeux plus rouges que la rose, et pourtant sa prunelle est comme le soleil : lorsqu’il ouvre les yeux, la maison devient lumineuse. Dans ce passage du livre d’HĂŠnoch, ‘Il’ NoĂŠ ĂŠvoque la sorcellerie qui permet d’offrir richesse et fortune. Grâce Ă son arche, NoĂŠ a ĂŠvitĂŠ la fin de l’humanitĂŠ. Peut ĂŞtre est-ce pour cela qu’en Tanzanie, en Afrique de l’Est, la croyance qui promet la puissance aux corps blancs est toujours en vigueur. L’albinisme est une maladie gĂŠnĂŠtique caractĂŠrisĂŠe par une absence de mĂŠlanine entraĂŽnant une dĂŠpigmentation de la peau et de graves problèmes oculaires. Cette anomalie et l’absence d’accès aux soins, exposent les albinos africains Ă la tragĂŠdie d’une perte de la vue Ă une sensibilitĂŠ accrue aux rayons UV, mais aussi aux atteintes malsaines de la sorcellerie. Mariam a perdu ses deux bras, on les lui a coupĂŠs. Le coupable n’a pas ĂŠtĂŠ arrĂŞtĂŠ et un jour, Mariam l’a rencontrĂŠ par hasard. Il lui a dit: “Tu ne peux pas me dĂŠnoncer. Il faisait nuit noire et toi, vu que tu es albinos, tu as une mauvaise vue. Comment peux tu ĂŞtre sĂťre que c’Êtait moi?â€? Le plus important pour ces albinos, c’est le changement d’attitude de la sociĂŠtĂŠ envers eux, la reconnaissance de leur normalitĂŠ, l’Êvidence de leur intĂŠgration. Ils ne sont ni diffĂŠrents, ni spĂŠciaux, ni sacrĂŠs, juste des enfants qui ne veulent que vivre et ĂŞtre aimĂŠs comme les autres. Plusieurs tragĂŠdies se dĂŠroulent en ce moment Ă travers le monde mĂŞme si nous les ignorons ou si nous nous en dĂŠtournons. Le travail en cours de Lim Hwayoung rapporte les souffrances qui ont ĂŠtĂŠ subies et le chemin tracĂŠ pour que chacun puisse accĂŠder au bonheur d’une vie commune. EFET, 110, R de Picpus, 16-30 juin 2016


CHUN XIAO M ODI LIU

Modi Liu est née en 1991 à Jilin, chine, dans une famille d'artistes. Ses deux parents sont peintres et lui donnent très tôt le goût et la passion du dessin qu'elle développe pendant ses études secondaires au lycée de Pékin en spécialisant dans la peinture à l'huile. Modi est arrivée en France en 2013, et s'est prise de passion pour l'art contemporain. Ne trouvant plus de satisfaction dans la peinture classique, elle décide de se tourner vers la photographie comme nouveau moyen d'expression artistique. La série "L'aube printanière" se compose de huit photos et se réfère au poème chinois du même titre, très connu dans son pays : « On s'éveille à l'aube et l'on voit qu'il fait beau. Pourquoi gémissent les oiseaux? Le vent et la pluie ont fait hier du bruit. Combien de fleurs sont-elles tombées cette nuit ?..» Le poème exprime la fidélité du printemps, qui revient régulièrement faire éclore les fleurs pour finalement les laisser mourir. C'est ce thème que Modi Liu a voulu mettre en image. Se souvenant des ses études en peinture, elles essaie de rapprocher les deux arts, en peignant sur le corps de ses modèles avant la prise de vues. Dans la post-production, elle intervient sur ses images par l'ordinateur pour créer à l'infini des espaces uniques, irréels. Studio 4, Efet, 110, rue de Picpus, 75012 Paris, du 16 au 30 juin.



Studio 4, Efet, 110, rue de Picpus, 75012 Paris, du 16 au 30 juin

EFET COMMUNICATION COMMUNIQUE DE PRESSE

LUDOVIC MADAMOUR PARIS MA COULEUR

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communiqué de presse

EFET-COMMUNICATION

Soan Mad Ness

Jours Heureux

Dans un monde humain flou, rempli d’images nettes, on peut se sentir exclu du cours des choses. Pour moi, cela a commencé tout petit déjà, à l’âge de la prétendue innocence. Je vivais très mal l’autorité et plus encore les conventions sociales qui obligeaient à feindre des sourires, plutôt qu’à assumer les différences, voire même les divergences. Aujourd’hui encore, je n’ai toujours pas réussi à intégrer ces contraintes. Face à cette société où beaucoup recherchent le plaisir afin de se fuir eux-mêmes et oublier leurs compromissions, je questionne par mes images cette conception de l’existence. Quand arrête-t-on d’être humain ? Quand commençons-nous à l’être ? Est-ce simplement une histoire de conformisme ou d’appréciation personnelle? Est-ce seulement une question de physique, d’actes, d’états mentaux ou bien tout cela à la fois ? Si nous pouvons tous donner une réponse générale, pourquoi sommes-nous si différents lorsque cela nous touche personnellement? Car il y a loin du fantasme d’une enfance vue comme un temps de joie perpétuelle, à la réalité que vivent les enfants. Ils ont eux aussi leur part de gravité, de noirceur et de tristesse. Quand ils ne savent pas encore qu’ils devront se forcer à être heureux.

Studio 4 EFET 110, rue de Picpus, 750012 PARIS, du 16 au 30 juin 2016


Laura Mallard

Insula

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Studio 4, Efet, 110, rue de Picpus, 75012 Paris, du 16 au 30 juin EFET-COMMUNICATION / communiqué de presse www.yurina-photographer.com


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Studio 4, Efet, 110, rue de Picpus, 75012 Paris, du 16 au 30 juin.


EFET-COMMUNICATION

Communiqué de presse

Gaëlle Pignon «Pour toi, qu’est-ce qu’une femme ? Montre-le moi»

Attirée dès son enfance par tout ce qui est beau, Gaëlle Pignon a entrepris une formation en Arts appliqués qui l’a conduite au graphisme, au dessin, au design et la communication. Par la suite, elle découvre la photographie, qui devient pour elle une manière de regrouper une grande partie des domaines artistiques qu’elle a pu approcher. Instinctivement, elle se tourne vers la mode qui, peu à peu, lui apparaît comme une vocation. Dans son univers résolument esthétique et utopique, servi par la mise en scène, le graphisme et la photographie, Gaëlle Pignon projette de se confronter à des questionnements qui la touchent de près : la place de la femme dans la société, le regard que la société porte sur elle et de l’image qu’elle a d’elle-même. Le concept de cette exposition à laquelle Gaëlle Pignon décide de donner une forme expérimentale ambitionne de rendre compte de la vision qu’ont les femmes sur la femme du 21ème siècle. Elle met en scène huit portraits de femmes différentes auxquelles on pose la même question « Pour toi qu’est-ce qu’une femme ? Montre le moi ». Renonçant au choix du fond, au maquillage, à la coiffure et jusqu’à la pose, la photographe n’est plus actrice de ses images mais leur spectatrice.

Studio 4 EFET 110, rue de Picpus, 750012 PARIS, du 16 au 30 juin 2016


Lauren Rigaudiere Visages défragmentés Je me suis dirigée vers la photographie après mes études en Histoire de l’art. Ce médium m’a depuis toujours intrigué par sa fausse simplicité et par le rapport ambigu qui s’établit entre le photographe, le modèle mais aussi le spectateur. Proche de l’humain, mon travail se concentre sur le portait que je m’emploie à modifier pour le rendre moins objectif. J’aime penser que la plupart des personnes voient la photographie comme un médium artistique qui ne ment pas. Comme Roland Barthes l’exprime dans la Chambre Claire, l’essence de la photographie est de prouver que la chose photographiée « a été », et donc qu’elle a été « réelle ». C’est en m’appuyant sur cette idée, que je construis ma démarche artistique. Il me plaît d’altérer cette réalité jusqu’à rendre l’image surréaliste. Ma série de défragmentation tient de cette démarche. Le procédé utilisé est «artisanal». Je choisis un tirage du portrait d’une personne, que je déchire en morceaux. Ensuite je recolle ces morceaux sur un masque, comme un puzzle, et je fais porter ce masque à la personne. Cette défragmentation me permet de montrer physiquement qu’un visage a plusieurs facettes, dans l’espace intime ou sur le terrain social. Il me semble que toutes ces facettes d’une personnes, si différentes soient elles, constituent un individu dans son ensemble. Au delà de cet aspect, l’être humain se construit à travers le temps. L’homme ne cesse d’évoluer: il passe par l’enfance, l’adolescence mais aussi il continue à se construire à l’âge adulte. Ainsi, chaque «morceau d’image» de cette personne représente un fragment de celle-ci. C’est ce tout fragmenté que j’aime photographier comme un ensemble.

Studio 4, Efet, 110, rue de Picpus, 75012 Paris, du 16 au 30 juin.


EFET COMMUNICATION

COMMUNIQUE DE PRESSE

ELODIE SANTO ARCHITEXTURE

Pour son exposition ÂŤ Architexture Âť, Elodie Santo mĂŠlange deux styles de photographie, prĂŠsentĂŠs sous forme de diptyques, qui rĂŠvèlent l’influence de l’architecture sur la mode, soulignant la connexion qui associe ces deux domaines artistiques en apparence si ĂŠloignĂŠs, mĂŞme s’il s’agit de productions Ă grande ĂŠchelle qui font toutes les deux appel Ă l’imagination. La mode, ĂŠphĂŠmère de nature, se voit donc doucement contaminĂŠe par les recherches architecturales. Par exemple, les sièges d’entreprise de mode crĂŠĂŠs par de grands noms pour la Fondation d’art contemporain Louis-Vuitton Ă Paris. On les retrouve ĂŠgalement sur les podiums: la collection printemps-ĂŠtĂŠ 2013 de CĂŠline pour n’en citer qu’une. Ces exemples peuvent se dĂŠcliner Ă l’infini et les rĂŠfĂŠrences sont Ă la fois contemporaines et historiques. Parmi ces crĂŠateurs, Hussein Chalayan rĂŠpète que la mode ÂŤc’est de l’architecture qui touche au corpsÂť et Alexandra Verschueren explique que ÂŤce qui les rapproche c’est leur fonction de protĂŠger le corps, d’exprimer une identitĂŠ personnelle, politique, religieuse ou culturelleÂť. Ces ĂŠchanges reprĂŠsentent ĂŠgalement l’occasion de faire parler d’ellesmĂŞmes de façons diffĂŠrentes. Ils peuvent ĂŞtre influencĂŠs par les ĂŠlĂŠments naturels, corporels, technologiques ou sociaux. Les processus crĂŠatifs de l’architecture et de la mode sont alors mis en avant par leurs proximitĂŠs. Les formes transforment et complètent le corps qui chamboule les ĂŠmotions.


Florent Sébin Communiqué de presse 15/04/2016 Exposition «LOOK AT ME»

Pris dans son statut d’individu, l’homme m’intéresse dès mon enfance, dès mes premières années d’écolier. La personnalité, la complexité, l’apparence de mes contemporains m’inspiraient alors des sentiments aussi divers que le mystère, l’admiration, voire la crainte. J’ai grandi avec cette fascination, dévorant les bandes dessinées, attendant les séries et les magazines. Je dois beaucoup plus à la presse et au cinéma qu’aux réseaux sociaux. Ma décision de devenir photographe s’est donc naturellement doublée de l’ambition de me consacrer au portrait. À travers une série de représentations singulières, mon exposition illustre cette réalité fondamentale que, bien que désignés comme semblables, les hommes sont tous différents. Toutes les personnes photographiées seront représentées de la même manière : même éclairage fortement contrasté, même position, même cadrage, l’objectif étant de placer les modèles en conditions égales tout en laissant s’exprimer leurs différences. Le sujet une fois mis en place, mon intervention se limite à solliciter une expression intense, le regard résolument tourné vers l’appareil, mais sans dimension théâtrale, comme si cet exercice partagé du portrait suscitait une tension entre nous deux. Cette série qui définit mon identité visuelle initie un projet que j’aimerais étendre sur plusieurs années à un territoire plus vaste, concerné aussi bien par le social, par l’actualité, que par les milieux de la création.


Il n’y a pas de confrontations plus surprenante que celle de l’homme face Ă son image. Car c’est bien de confrontations et de surprises dont il s’agit. Deux corps face Ă face mais un seul ĂŞtre. Devant la glace de la salle de bain ou le miroir de mon salon, partout oĂš je vais se crĂŠe cette rencontre, inattendue malgrĂŠ tout. Au-delĂ des thèmes ĂŠvidents de la dĂŠcouverte de soi par l’image spectaculaire, de Narcisse, du double, je mets en relation deux corps physiquement opposĂŠs mais que rien ne distingue. De cette image de soi, naĂŽt une attractivitĂŠ, sans ĂŠchappatoire possible. Qui est-ce ? Qui suis-je ? OĂš je vais ? Sans chercher de rĂŠponse immĂŠdiate(s), chaque autoportrait(s)pose un point d’interrogation Ă l’instant T. J’utilise uniquement et volontairement des appareils traditionnels qui maintiennent un dĂŠlai d’attente entre la prise de vue et celui de son dĂŠveloppement, permettant ainsi la dĂŠcouverte de l’image Ă un moment oĂš les conditions de son enregistrement ont ĂŠtĂŠ oubliĂŠes. Cette approche lente double ma rĂŠflexion photographique lors de la dĂŠcouverte de l’image achevĂŠe, quand la mĂŠmoire du projet initial renouvelle l’interrogation posĂŠe au moment de la prise de vue. Mon travail photographique a dĂŠbutĂŠ par un dĂŠsir innocent de rencontre et un besoin essentiel de mĂŠmoire. L’autoportrait regroupe ces deux choses lĂ : d’une part la rencontre de soi-mĂŞme et d’autre part l’autobiographie composĂŠe par la mĂŠmoire. Au mĂŞme titre que le thÊâtre, l’autoportrait est Ă mes yeux l’art de l’instant prĂŠsent.

Mercredi 15 Juin 2016. Studio 4 efet, 110 rue de picpus, 75012 Paris.





IMAGINONS

L’ I M A G E . . .

Photographie de fond, J. Jourain - Photographies du bas, de gauche à droite : P.Charlier, A. Pacaud, L.Leblanc, C.Gascon, F. Rombaut, Q. Zhang

ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR PRIVÉ PHOTOGRAPHIE AUDIOVISUEL

Formations en photographie Préparation aux diplômes d’état, CFE Certificat de Compétence Professionnelle (bac+3). European Bachelor of Professional Photography (bac+3). Temps plein, temps partiel, alternance, cours du soir, stage.

Formation aux métiers de la prise de vue publicitaire, industrielle, de reportage, de mode et beauté, de portrait, de création... De la post-production : retouche, impression numérique, atelier Fine Art...

Ecole Efet, 110, rue de Picpus 75012 Paris - 01 43 46 86 96 - efet efet.com www.efet.com


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