selected works
EL GHILALI KHALIL MORAD Architect PERSONAL STATEMENT
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Address
Imm 38 ,Apt 8 , Rue Oued Baht Agdal-Ryad ,10000 ,Rabat
Contact
elghilali.k@gmail.com +212652145948
lANGUAGE SKILLS
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I
’m a 26 years old Architect & Freelance Designer from Agadir (Morocco) currently based in Rabat. I love everything that has to do with Architecture , Art & design, Graphic design, Photography, sculpture and I feel a true devotion for drawing. I have 2 years of experience working as a freelance and 1 year working on an studio, but I’m ready for some change ,visiting some other cities & working for a new Architecture firm ! I love working with people, especially if we share the same passions. Why don’t we work together? Go futher down to see why I am the man you need to hire!
ARABIC Mother language
FRENCH Advanced level
DESIGN SKILLS
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01 Computer
Adobe Photoshop Adobe Indesign Adobe Illustrator Archicad 3ds Max
02 Knowledge Good sense of teamwork High resistence to stress Image editing. Rendering . Multitasking Great design skills Great sens of leadership
ENGLISH Advanced level
ITALIAN Basic level
EDUCATION
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From december 2016 to december 2017 Architect Agence d’architecture de Mme Dilar Sebti Rabat ,Morocco From september 2013 to semptember 2016 Architecture NAtional School Of Architecture Rabat ,Morocco From september 2012 to semptember 2013 Architecture Faculté d’Architecture la Cambre Horta Bruxelles, Belgium
MY SPECIALITIES
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From september 2010 to semptember 2012 Architecture NAtional School Of Architecture Tetouan ,Morocco From september 2007 to june 2010 Baccalauréat SCIENCES-PHYSIQUES Lalla Meriam High School Agadir ,Morocco
Image rendering
Time management
Modern Concepts
HOBBIES & INTERESTS
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Drawing
Music
Camera
Boxe
Surf
Soccer
Money
Books
PROJECTS
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a Spaghetti structure
Une Villa à la manière de
1st year Architectural project Location : Tétouan Period : 2010 - 2011 Client : ENA Tétouan
2nd year Architectural project Location : Tétouan Period : 2011 - 2012 Client : ENA Tétouan
Jourdan Acoustic Market
Du zéro à l’infini
3rd year Architectural project Location : Bruxelles Period : 2012 - 2013 Client : La Cambre-Horta
Graduation project Location : Salé Period : 2015- 2016 Client :ENA Rabat
Structure en spaghetti La thématique de cet exercice est le “mouvement” : Il était question de réaliser une structure auto portante en spaghetti, laquelle serait habillée de carton .Ce travail avait pour objectif d’aboutir à la réalisation d’une maquette d’étude .
Approche :
c
e contact direct avec le matériau est à mon avis essentiel à l’épanouissement d’un étudiant de première année,d’où mon choix de le mettre sur mon portfolio . Malgrè la consigne commune ,chacun des étudiants put adopter une démarche propre à lui. Pour ma part je me suis essayé à une approche intuitive , laissant le matériau me guider tout le long du procesus vers une forme lui étant propre. La structure finale est un assemblage de formes obliques. En poussant les limites du matériau à leur paroxisme, un ensemble de structures pyramidales se mirent à jaillir .Celles ci s’organisent autours de lignes pures formant un élément en mouvement à la fois statique et dynamique . La différence d’hauteur permet un contraste entre simplicité et complexité. Allant pour ainsi dire de la pyramide simple à la pyramide en porte à faux,cet aspect de la structure, nous renvoie vers une idéologie datant de l’Egypte pharaonique .Celle de l’ascension vers le ciel.
Abstraction
Formalisation
Squelette
Coquille
Une villa à la manière de Mies La thématique de cet exercice est de concevoir une villa à la manière d’un architecte de Renom . Mon choix s’est porté sur MIES VAN-DE-ROHE
Approche :
à
la suite d’une analyse thématique reprenant le parcours historique du mâitre , il nous a été demandé d’analyser quelques une de sens oeuvres. Au delà de la grande sensibilité avec laquelle Mies arrivait à trasmettre ses idées , j’ai grandement été imprssionné par la manière avec laquelle il est arrivé à mettre à l’épreuve les dogmes de son époque pour enfin arriver à s’en défaire par le biais du plan libre. Cette attitude forte de sens m’inspira tout au long de la conception de cette villa , le contexte étant different il me fallait ainsi relever l’essentiel du plan libre et l’appliquer à un environnement social different. Le Maroc actuel connait une grande effervescence architecturale.Tel un grand chantier où les bâtiments poussent comme des champignons ,ce domaine n’arrive cependant pas encore à se défaire de certaines contraintes constructives d’ordre “économique” . Prenant le parti de l’évolution , je m’affranchi de cette attitude passéiste tout en préservant ce qui me semblait cultuellement interessant : à savoir les liens entre differents espaces ,la fluidité de circulation ,l’intimité et la qualité spatiale. Par un croisement d’élément verticaux ,un enchainement de spatialités nouvelles emerge offrant une toute nouvelle experience du foyer contemporain marocain.
1 │Plan du rez de chaussée : l’entre-croisement des murs et la structure métallique indépendante nous permettent de créer des espace libre de toute contrainte ,où des aspaces de services (cuisine,salle à manger ) peuvent profiter de l’ensemble de la terasse .
RDC
2 │A l’étageDes modules indépendant accessibles directement depuis l’exterieur s’agencent dans une liberté totale permettant une circula-
Figure 01 │L’immensité de Ki-
tion fluide , et une séparation
bera (Schreibkraft)
nette entre espace de jour et espace de nuit .
Etage
Coupes
AxonomĂŠtrie
Un marcher acoustique à Jourdan L’oeil a toujours été l’organe sensoriel privilégié. Ni l’ouïe ni l’odorat (non plus que le toucher) n’ont joui de la même considération. Sons et odeurs ont plutôt été considérés comme éléments perturbateurs : l’architecture et l’urbanisme ne s’en sont souciés que pour les marginaliser, les cacher ou les gommer». « Au moment où, dans le design multi-sensoriel, dans les recherches en art, on porte une attention soutenue aux expériences sensorielles, il est paradoxal de constater qu’en ce qui concerne l’environnement urbain, on demeure fermé à ces considérations »..
Approche :
P
our un espace public que nous aurions choisi, réaliser l’analyse de ses caractéristiques, qualités et inconvénients Partie espace public: Analyse « in situ » (arpenté, parcouru, mesuré, …) aux différentes heures de la journée, suivant les jours de la semaine, les saisons, …, reprenant les éléments abordés en cours d’acoustique: dimensions, morphologie, topographies, orientations, matériaux, équipements, fonctions, usages, comportement, appropriation, …. Partie acoustique: -Partie I - Analyse descriptive des caractéristiques de l’ambiance sonore de ses bâtiments (s’il y en a - ceci pour les architectes uniquement) et de l’espace lui-même, par zones à définir, par type de sources. Les ambiances sonores jour/ nuit / évènements (en fonction de sa programmation s’il y en a une). La reconstitution de cycles (temps clefs, saisons, repères sonores)observés. -Partie II - Faire une proposition d’intervention sur le paysage sonore de cet espace et l’argumenter. La proposition doit découler de l’analyse et expliciter la façon dont l’intervention est mise en place.
Zone de piĂŠtonnier
Zone de marcher / de parking Bruit temporaire /pĂŠriodique
Terasses de cafés et restaurants Bruit temporaire /Fluctuant
Axes routiers importants Bruits permanents
Comportement acoustique La typologie en entonnoir de la place réduit la perception sonore dans le sens de l’évasement
Continuité du piétonnier sur toute la place. La circulation routière est divisée par deux réduisant ainsi la sensation sonore de 3 dB(A)
Continuité et renforcement du programme : Le piétonnier est défini par les terasses de cafés La friterie Antoine emblème de la place Jourdan conserve sa place avant . Le Marcher et les activités humaines auront lieu sur toute la zone anciennement dédiée au parking
La matérialité bois met l’homme au centre de son environnement sonore
La place est divisée en 3 zones :En rouge l’esplanade ; en marron la zone de repos ;en jaune les terasses .
La nouvelle place piétonne profite d’un recul à la rue marqué par le renforcement de topographie
Du zéro à l’infini L’idée de base de ce mémoire était de superposer la notion d’une nouvelle géométrie découverte en 1970-les fractales- au vécu des bidonvillois.
Approche :
c
A l’origine de la présente étude était l’observation que la fragmentation de l’espace bâti apparait comme le phénomène caractéristique de la croissance urbaine des bidonvilles.Cependant il est difficile de trouver une logique interne dans des structures aussi complexes .Une première analyse de la relation entre périmètre et surface d’un certain nombre de bidonvilles de par le monde nous a indiqué qu’il semble exister un principe d’ordre interne dans l’organisation spatiale des agglomérations ,en dépit de cette morphologie irrégulière. Ceci nous a incité à étudier l’utilité d’un nouveau concept méthodologique qui permet d’étudier des structures à morphologie complexe, la géométrie fractale . Après avoir introduit les méthodes convenant à l’analyse fractale de plusieurs bidonvilles, nous avons appliqué ce concept à notre cas d’étude, Sehb el caid à salé .Nous avons pu montrer que la répartition de la surface bâtie suit des lois fractales. Ce résultat confirme que l’organisation spatiale des établissements spontanés suit un principe d’ordre interne . Observer que ces tissus urbains suivent une loi fractale -donc en dépit de leur aspect irrégulier -un principe d’ordre interne, facilite l’analyse des processus socio-économiques, susceptibles d’être responsables de la décomposition des agglomérations.
C
e que je cherche à créer est une complémentarité des espaces libres par un réseau centrifuge qui est un véritable mécanisme. Mon parti vise une régénération du bidonville, une “déportation” de la population de Sehb El Caid à partir des parties libres sur le terrain sans entraver les activités habituelles. Les cellules souches recréent petit à petit un tissu nouveau fait de cellules spécialisées. Dans notre cas, on peut considérer les points d’eau comme de bonnes bases propices à la régénération. C’est pourquoi nous avons décidé de commencer ce processus uniquement sur la base de ces points d’ancrage. Je me suis principalement concentré sur les 14 points d’eau qui se présentent comme un entre deux: entre privé et publique. Ces lieux de cohésion sociale ont tous le même rôle de fournir les habitants du quartier en eau potable. On pourra dans l’absolu faire une sélection des valeurs du passé considérée comme qualités à garder dans notre nouvelle ville utopiste et puis il faudra résoudre tous les autres problèmes que Sehb el Caïd a connu au passé comme la régulation des flux, la pollution, La récolte des ordures etc... Par ce réseau centrifuge nous voulons éviter un flux monodirectionnel et recréer une complémentarité entre les différentes zones d’impact. La cellule souche est alors composée d’une cellule d’habitation accolée à l’espace réservé à sa circulation, basée sur une trame conceptuelle de 9m sur 9. Nous voulons donner aux habitants du bidonville un espace vital supérieur à celui qu’ils ont l’habitude d’avoir (7m²) tout en leur offrant l’avantage de rester sur place. Une sorte d’opération tiroir, où l’habitant n’aura à quitter sa baraque qu’une fois son logement achevé.
AA
BB
Plan de masse
Notre développement commence par un début de régénération se manifestant à partir de nos 14 cellules souches. La surface et l’altitude de celles-ci détermineront l’ordre d’action. Cette régénération grandit vers le centre du site au fur et à mesure que les baraques se résorbent jusqu’à embolie totale de l’espace. Afin d’optimiser encore plus l’espace, et réduire l’impact au sol notre structure s’élancera de manière spatiale afin de libérer le foncier, et l’exploiter au profit d’éventuels commerces, amortissant ainsi le cout de construction par une méthode de péréquation. La croissance se fait vers le centre du site pour redonner aux habitants de celui-ci le terrain et ainsi recréer une complémentarité espace publique/espace privé. Au fur et à mesure de la déportation des habitants, les espaces disponibles augmentent et notre tissu s’étend. Durant sa croissance le tissu va rencontrer des espaces bloqué dus parfois à un refus d’adhésion à l’opération, des poches de résistance. Celles-ci peuvent être exploitées ultérieurement comme mémorial et se verront alors restitué leur fonction initiale. Une complémentarité entre les baraques et notre réseau spatial s’établit. Pendant cette évolution, des liens inter tissus linéaires s’établiront également dépendant de la direction des différentes branches linéaires. Celle-ci sera le résultat d’une direction guidée par les voies de circulation et les terres les plus basses. Ainsi le relief permet à notre réseau spatial de s’y incruster comme une goutte d’eau. Un réseau complexe en découle. Notre masse bâtie vient encadrer la cellule, son cadre agit alors dans le temps comme un instrument de mesure de la disparition des bidonvilles en fonction de la réappropriation de l’espace. Notre nouveau Sehb garde quelques traditions de l’ancien tel l’enchevêtrement des espaces, l’évolutivité et la disponibilité des espaces de cohésion sociale. Pour permettre des connections entre les différentes branches linéaires, on y place des passerelles. Un autre endroit de connexion entre les développements linéaires est à la tête de chaque branche qui est considérée comme le noyau de chaque développement respectif. Une ville spatiale permet de réserver la terre pour exploitation future.
circulation structure
unité d’habitation
1ère étape de la simulation
L
e système nait d’un point d’ancrage initial à nos cellules souches grâce à une structure métallique sur pilotis. Ceux-ci restent néanmoins très flexibles et doivent être renforcé par une série de contreventements horizontaux et verticaux. De plus, les poutres alvéolées qui viennent se poser sur chaque élément de structure (poteau-poutre) facilitent le raccord des logements en eau potable et en électricité. Au pied de chaque noyau de circulation une plateforme où des commerces pourront s’établir. De cette façon, cet entre-deux (bidonville) devient une plateforme d’échange. Ce système permet d’éviter de renouveler les mêmes erreurs du passé et de sécuriser les espaces inférieurs.
C
e réseau suit cependant encore un schéma aléatoire laissant place à une grande opportunité d’évolution (grâce à la facilité de déplacement, de suppression et d’addition des modules) du réseau. Ceci est une qualité gagnée qui rejoint l’aspect fragmenté des bidonvilles de manière générale. Pour conclure : notre processus permet l’obtention d’une nouvelle structure d’habitation ayant préservée la mémoire de l’ancienne. On redonne ainsi au bidonvillois les terres qu’ils ont perdues.
Dernière étape la simulation
Faรงade sud-est
Faรงade sud-ouest
2010-2016
