O. N. S.
e n t r e
a r t
e t
s c i e n c e
Exposition du 31 janvier au 23 février 2013 Vernissage : 30 janvier 2013, 18h Avec: Donatien Aubert, Adrien Blatzezyk, Nicolas Gourault, Ali Karaouezene et Berenson, Sophia Lahlil, Paola Quilici, Laura de Sanctis, Rebecca Scalese Commissariat: Michel Paysant et les enseignants de l’ENSPAC Anne Pontet, Corinne Le Neun et Jacques-Emile Bertrand En collaboration avec les chercheurs : Boris Borzic, Thomas Calligaro, Nicolas David, Jean-Jacques Ezrati, Inbar Fijalkow, Philippe Gaussier, Olivier Gendrin, Michel Jordan, Eric Laval, Jean Marsac, Eric Rollet Et le soutien des équipes des laboratoires : C2RMF/Centre de Recherche et de Restauration des Musées de France ETIS/UCP CREAFORM FACLAB Sous la haute bienveillance de PATRIMA / Fondation des Sciences du Patrimoine. e n s a p c
Y G R E C 20, RUE LOUISE WEISS 75013 PARIS T +33 (0)1 43 38 49 65 YGREC@ENSAPC.FR WWW. É c o l e N a t i o n a l e S u p é r i e u r e d ’ A r t s d e C e r g y
entrée DE 13H À 19H DU MERCREDI AU SAMEDI
P a r i s
République Française − Ministère de la Culture et de la Communication
En matière d’art et de science, du côté des ateliers, des laboratoires, des universités et des écoles, la vague d’initiatives et de clignotants montrent qu’il existe, en matière de création, un bouillonnement définissant une nébuleuse plutôt que des courants lisibles. Cette nébuleuse est clairement propice à l’invention de nouveaux comportements, de nouvelles méthodes de travail et peut-être de nouvelles formes sensibles de pensée. En s’appuyant sur la notion d’objet-frontière, ONS, mis en place il y a un an à l’Ecole Nationale Supérieure d’Art de Paris Cergy, est une plate-forme de collaborations et de productions entre étudiants d’art et chercheurs dans les domaines art et science. Sur un mode souple, son objectif est de déboucher sur des « productions croisées » en particulier sur l’idée d’une inspiration scientifique de la création artistique. Basé sur la rencontre, l’échange, l’immersion, la connaissance tacite et l’approche sensible, le projet ONS cherche à mettre en œuvre un processus collaboratif où les deux disciplines puissent trouver chacune leur chemin de vérité. Situé au cœur des ateliers et des laboratoires, il a pour but la création d’œuvres communes non-standard (terme pris dans le sens de hors-norme, de hors champ habituel, sans modèle de référence) et d’ouvrir de nouvelles pistes. Les plus diverses, les plus inattendues, les plus imprévisibles. ‘COMMENT COLLABORER, VOIR ET FAIRE ENSEMBLE’. L’exposition à YGREC offre une entrée sur ce monde de la recherche ‘partagée’. Michel Paysant
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30/01/2013–23/02/2013
Contact: Sophie Lapalu +33 (0)1 43 38 49 65 - ygrec@ensapc.fr
Donatien Aubert Lecteur assidu d'auteurs contemporains sensibles aux questionnements éthiques soulevés par l'émergence des NTIC - nouvelles technologies de l'information et des communications - et des "technologies convergentes" - nanotechnologies, génie génétique, technologies de l'information et technologies cognitives - , comme Jeremy Rifkin et Francis Fukuyama, ses recherches sont articulées par son goût pour l’épistémologie, la logique, l’art de la mémoire, la philosophie spéculative, l’éthique, l’écologie et la science-fiction... Les conjectures écologiques et économiques contemporaines semblent compromettre l'avenir de notre espèce. Des pressions sociopolitiques et économiques semblent valider la thèse offerte par divers futuristes (comme le transhumaniste Raymond Kurzweil) selon laquelle l'humanité, par le biais des technologies susmentionnées, pourrait décider de son évolution. La modification de notre nature empathique, de notre besoin de reconnaissance, et des concepts qui structurent notre morale pourraient déstabiliser les systèmes politiques éprouvés dans lesquels nous vivons (la démocratie libérale, l'Etat providence) : les politiques menées par les Etats reposent justement sur les qualités qu'ils fondent comme étant constitutives de notre nature. Quels sont les projets d'ingénierie sociale contemporains ? Donatien Aubert s'efforce d'employer des médias qui signalent ces transformations : DAO (Design assisté par ordinateur), films d'animation, modélisation 3D, programmes informatiques, installations interactives et documentaires, il est toujours à la recherche de nouvelles collaborations.
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Adrien Blatzézyk / A.ZYK Né à Bordeaux en 1983 Artiste trans plutôt que disciplinaire, Adrien Blatzézyk développe une pratique de dessins, objets, photographies et images numériques. Son travail s'articule autour de l'image du corps de l'artiste. Non sans humour ni cruauté, non sans cynisme ni légèreté, non sans mensonges ni vérités, ses pièces se réfèrent tout autant au champ de l'art contemporain qu'à la pornographie, à la psychanalyse, à la science-fiction ou aux théories queer.
C'est en utilisant ses dessins comme motifs de tatouages, en réalisant des objets à partir de gants et de peaux en latex, en épinglant ses images photographiques de corps au mur, ou encore en proposant des cartouches de sang pour imprimantes, qu'il a décidé, dans le cadre du projet ONS et avec l'équipe du studio CREAFORM, de réaliser un avatar 3D à sa propre image. L'exposition rend compte des différents travaux qu'il développe à partir de avatar, autrement nommé A.ZYK.
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Laura de Sanctis Née en 1989 à Rome, Italie. Etudiante en 5ème année à l'ENSAPC, elle pratique la peinture et le dessin. Elle a suivi un double cursus à l'école du Louvre pendant l'année 2011/2012. Elle a participé à un stage visant à la création d'un dessin d'animation en vue de l'exposition “la Courbe de la Ritournelle” de Jan Kopp à l'Abbaye de Maubuisson en février 2011. Depuis trois ans, elle organise au sein du Kapol des projets de recherche autour de la peinture. ONS lui permet aujourd'hui de prolonger ces recherches picturales à travers la découverte du domaine des sciences. Deux projets de recherche sont nés des rencontres organisées dans le cadre du projet ONS. D'une part, la découverte de l'outil radiographique a été l'occasion d'expérimenter et de questionner la peinture autrement. Elle a impliqué la conception au préalable d'objets ou d'assemblages mêlant différents matériaux. Tissu, papier, plâtre, éponge mais aussi quelques fruits ont été ainsi manipulés puis radiographiés. Ce processus pousse l'artiste à travailler “à l'aveugle”. Une grande part de hasard vient en effet perturber son dessein au moment de la prise radiographique. Disparition et apparition des matériaux posent ainsi question : comment appréhender ce que l'on voit ? Comment voir ce que l'on croyait déjà voir ? D'autre part, ONS a permis d'ouvrir un deuxième champ de recherche : est-il possible d'établir un dialogue entre peinture et lumière ? Le projet consiste alors à créer un espace en tissu dans lequel le spectateur pourrait pénétrer. Immergé dans un lumière colorée, il ne verrait tout d'abord rien d'autre qu'elle. En blanchissant graduellement, la lumière laisserait par la suite apparaître une peinture, présente depuis le début dans la pièce. Pensé dans un va-et-vient, ce dispositif plongerait le spectateur dans un espace changeant, fluide. Tantôt immergé dans la lumière, tantôt face à la peinture, tout son corps serait ainsi appelé à se confronter à l'oeuvre .
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SOPHIA LAHLIL Née en 1982 à Casablanca Chercheuse en physique chimie, spécialisée dans l'étude des matériaux du patrimoine. Actuellement basée à Shanghai, où elle étudie les céramiques anciennes chinoises, elle a réalisé sa thèse et post-doctorat au Centre de Recherche et de Restauration des Musées de France. En parallèle de son cursus scientifique, elle pratique la peinture à l’huile et le pastel depuis plusieurs années et a suivi les cours généraux d’histoire de l’art à l’Ecole du Louvre. En 2011, sa double casquette Art et Sciences l’entraîne dans l’aventure ONS où elle a l’occasion de réaliser un binôme inversé : lorsqu’un scientifique demande l’aide des étudiants et professionnels de l’art… Hommage aux frères Van Gogh Deux Van Gogh, deux hommes, mais surtout deux frères. Pendant dix-huit ans, Vincent et Theo échangent plus d’un millier de lettres, où sont consignés jour après jour leurs états d'âme, leur travail, leur vie. Cette relation épistolaire est aujourd'hui bien connue et a été soulignée par de nombreux médias (livres, expositions, films etc.). Cependant, il n’existe pas ou peu d’œuvre contemporaine rendant hommage aux deux hommes. En effet, si les tableaux de Vincent ne finissent pas d'inspirer les artistes qui lui ont succédé, rares sont ceux qui se sont intéressés à sa relation avec Theo.
Dans le cadre du projet Objet Non Standard, l’œuvre proposée par Sophia Lahlil est une installation d'art contemporain en hommage aux frères Van Gogh et dont le sujet est la fraternité. Cette œuvre n'est pas une œuvre sur Vincent Van Gogh, ni sur l'influence qu'a jouée Theo sur ses pratiques artistiques. De part son approche et sa représentation, cette œuvre utilise le langage de la société rationnelle et matérialiste actuelle. De la même manière que les liens qui unissent les gens et la force de leur relation se mesurent aujourd'hui par des réseaux et des chiffres, cette œuvre est constituée d'éléments quantifiés de manière scientifique à partir de la correspondance entre les deux frères. Les composantes principales de ces échanges sont le papier, l’encre et le temps, chacune d'elle ayant une place active dans l'installation. A partir des données récoltées par les chercheurs du Van Gogh Museum d’Amsterdam, la surface totale de papier ainsi que la quantité totale d'encre utilisées par Vincent et Theo ont été évaluées et la fréquence d’envoi des lettres a été retracée. Cette œuvre se veut le reflet matériel de leurs échanges et vise à faire ressentir la force immatérielle du lien qui les unissait. ensapc YGREC
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Nicolas Gourault Etudiant en 3ème année à l'ENSAPC. Une partie de son travail en vidéo s'oriente autour de la notion d'« identité » de la caméra, et pose le problème de sa nature par le biais de la vue subjective – ou d'une vue de caméra qui semble parfois devenirsubjective. Ce n'est qu'à travers divers indices indirects que se dessine ce que pourrait être l'entité dont on partage la vision, et qui est rejetée dans le hors-champ. Ces symptômes de la présence peuvent être une ombre imprimée sur le décors, une interaction avec l'environnement, un fragment de corps apparaissant furtivement, un bruit, etc. Mais c'est plus généralement par son comportement, et par les actions qu'elle réalise que le sujet/caméra se définit. Ainsi, c'est plutôt une caméra qui agit et parcoure l'espace, plus proche en cela des jeux vidéos à la première personne, qu'une caméra qui capte des images et fait voir. Ces comportements peuvent être variés, voire antinomiques, et rien ne suggérerait qu'il s'agit de la même entité, si la construction en plan-séquence ne forçait pas l'unité. Le plan-séquence constitue en quelque sorte l'ipséité de la caméra. Il unifie des identités qui autrement sembleraient totalement disparates et éclatées. Ce faisant il constitue également des passerelles entre la machine, l'homme ou l'animal. Son projet ONS s'inscrit dans la continuité de ce travail, et propose l'idée d'un outil rendant possible de tels plans-séquences en prise de vue réelle. La "caméra réelle sans contrainte", c'est pouvoir profiter des capacités démultipliées de la caméra virtuelle dans un environnement réel. Ce projet s'inscrit donc parmi les multiples initiatives de mixtion entre les espaces dits réels et virtuels.
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Paola Quilici Née en 1992, étudiante en 2ème année à l'Ecole Nationale Superieure d'Arts de Paris-Cergy (ENSAPC). Sous forme d’installations et de vidéo projections, elle questionne le statut des nouvelles technologies et de ses usagers. Dans une tentative de matérialiser un monde virtuel sous sa forme la plus évidente, elle privilégie l'usage de matériaux ayant des propriétés symboliquement fortes, tel le béton ou la pierre sur lesquels elle superpose par la vidéo projection des images numériques d'éléments naturels. Le statut de simulacre, de "décor", de ces pièces recèle une certaine ironie, toutefois une franchise émouvante émane de leur aspect contemplatif.
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REBECCA SCALESE Rebecca Kalista Scalese / RKS Rebecca Scalese est étudiante en deuxième année à l'ENSAPC. Elle développe depuis près de six ans un corpus de théories de la magie empruntant de nombreux éléments à la méthode scientifique, et l'intègre à des travaux de narration. Son projet principal s'intitule Creative Release. Il s'agit d'une webcomic interactive, une bande dessinée publiée sur Internet page par page dans laquelle chaque lecteur peut, via des commentaires, contrôler un personnage appelé Player 1, lequel joue un rôle clé dans l'histoire.
Il s'agit également d'une expérience narrative et d'un défi personnel. Le but du jeu, à long terme, est de créer un ensemble d'histoires fortement liées entre elles (toutes dans le même univers) qui soit à la fois captivant pour ses lecteurs tout en étant le résultat d'une improvisation permanente. Il s'agit réellement d'un défi : une improvisation qui reste puissante et captivante des années après son départ est actuellement considérée comme une perle rare dans le champ narratif.
Ses plans de narration sont des constructions mentales en constante transformation. S'il est possible de les transcrire, par exemple sous forme de texte illustré, le résultat ne pourra jamais être plus qu'une retranscription d'un instantané, une image fixe extraite d'un dessin animé. Ce refus d'adhérer à un plan établi dans le passé, cette volonté de constamment ajuster ses plans à la situation présente (et notamment aux réactions des lecteurs) lui permet d'appeler Creative Release une «webcomic interactive». "Si l'on accepte que la magie fonctionnelle existe, qu'est-ce que ça implique en termes de possibilités et d'impossibilités ? Reste-t-il des actions strictement impossibles à réaliser ?""
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commissariat : Jacques-Emile Bertrand Logicien, psychanalyste, musicien. Docteur en philosophie, diplômé d’E.A. de mathématiques et de psychologie, ancien étudiant des Beaux-Arts de Paris. Enseigne et participe à des recherches en théorie de la connaissance et de la communication. Guitariste classique, développe des logiciels (IRCAM) pour le contrôle en temps réel de structures musicales en situation d’improvisation. Engagé dans des mouvements de philosophie politique et d’action citoyenne. CORINNE LE NEUN Responsable de la coordination de la recherche au sein de l’Ecole nationale supérieure d’arts de Paris Cergy depuis la rentrée 2011, elle est doctorante à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, sous la direction de Giovanna Carreri au Centre d’Histoire et de Théorie des Arts (CEHTA), après des études en histoire de l’art à l’Université François-Rabelais de Tours et à l’Institut Michelet de Paris 1. Ses travaux portent principalement sur la figure infamante et la généalogie des images au travers des oeuvres de Michel Journiac, Carsten Höller, Rosemarie Trockel, Michael Haneke et Pier Paolo Pasolini. Elle fut commissaire d’exposition, conservateur du Château d’Oiron, conseiller pour les arts plastiques et les musées, directeur de l’Ecole nationale supérieure d’art de Bourges, inspecteur général pour les enseignements artistiques au Ministère de la Culture et de la Communication a exercé les missions de déléguée scientifique culture au sein de l’Agence d’Evaluation de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur (AERES). Michel Paysant Artiste plasticien, il s’intéresse aux pratiques collaboratives dans l’art. Il travaille dans les domaines art et science en créant des passerelles entre art, artisanat, technique, histoire des techniques, nouvelles et très hautes technologies. Il développe actuellement des projets de recherche avec des équipes de scientifiques en sciences cognitives à l’Institut du Cerveau et de la Moelle épinière / Hôpital de la Salpêtrière Paris (projet Dessiner avec les yeux) et en nanotechnologies au Laboratoire de Photonique et de Nanostructures du CNRS (projet OnLAB). Il expose actuellement au Centre Pompidou / FRUITS DE LA PASSION (17 octobre 2012 - 2 septembre 2013) au MUDAM de Luxembourg / ONLAB (13 octobre 2012 – 24 février 2013) à la Ville Paloma / Nouveau Musée National de Monaco / MONACOPOLIS (19 janvier 2013 – 12 mai 2013) et prochainement à Londres, Amiens et Philadelphie.
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Anne Pontet Artiste, elle développe une investigation photographique dans le champ de l’installation et une interrogation sur la place du corps dans la création contemporaine (le corps comme élément de reconnaissance en fonction des lieux et des situations). Participe à diverses expositions en France et à l’étranger notamment au Centre Pompidou, à l’Institut Français de Fribourg, au Musée des Beaux-Arts de la ville de Mulhouse… Enseigne à l’Ecole Nationale d’Arts de Paris-Cergy
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Plan de l’exposition
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6 7
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12a 14b & c 14a
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11a
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4a
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Adrien Blatzezyk 1) Tête d’artiste, A.ZYK, 3D prototypé par fraisage numérique, 2012 2) A.ZYK, simulation de sculpture/poupée en latex, photographie, 2012 3) A.ZYK, dessin au stylo encre, 2012 Donatien Aubert 4) a & b : Planeur en kit, cuivre, acier, plexiglas, caoutchouc, inox brossé, 2012 5) Fiction n°1, impression jet d’encre sur papier à dos bleu, 2012 6) Survols de cristaux, vidéo, 2012 11) Base formelle n°1, photographies au microscope électronique à balayage, impression papier contrecollé sur dibond, 2012 a)barytine b)aragonite c)gypse d)gypse Laura de Sanctis 7) Ananas, radiographie, impression jet d’encre, 2012 8) La pomme, radiographie, impression jet d’encre, 2012 9) Retournement n°1, huile sur toile, 2010 13) Ce que vous voyez, peinture acrylique, led, impression papier,2012 Rebecca Scalese 10) Creative Release, flyers, 2012 Nicolas Gourault 12) a & b : Caméra réelle sans contrainte, installation vidéo, 2012 Sophia Lahlil 14) Hommage aux frères Van Gogh, 2012 a) 947, Estimation du nombre de lettres échangées et leur date respective, Impression pigmentaire sur papier d’Arches, 2012 b) 67 m2 , 206 feuilles, Estimation de la quantité de papier utilisée par les frères Van Gogh lors de leur correspondance, Papier, 2012 c) 1.4 L, Estimation de la quantité d’encre utilisée, Encre, éprouvette graduée en verre, 2012 d) 1h 48’28“, 1 seconde = 1 jour, Composition sonore retraçant la fréquence d’envoi des lettres, Voix, plume métallique qui écrit, 2012