Revue de presse Janv. > Mar. 2013

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AGENDA de 2012 presse : JAN. > MAR. Revue janv. > mar. 2013 DOSSIER DE PRESSE AmĂŠlie Chabanis - Relations presse / 04 72 89 98 70 / amelie@epiceriemoderne.com


L’écho de Feyzin / janvier 2013

Lyon Capitale, supplément culturel / janvier 2013

Le Petit Bulletin / 09 janvier 2013


L’incontournable / janvier 2013

20 minutes / 14 janvier 2013

Tribune de Lyon / 17 janvier 2013


Radio Pluriel /23 janvier 2013 Parperboys.com / janvier 2013

Sophie Hunger et Mark Berube à l’Epicerie Moderne ce mardi 22 janvier. mercredi 23 janvier 2013 par Hervé LAURENT Une bien belle soirée pour commencer cette année 2013 à l’Epicerie. La salle était bien remplie (plus de 500 personnes) et le plateau de belle facture. Le canadien Mark Berube propose une pop folk bien foutue, avec de beaux arrangements et une belle écriture. On peut penser à Rufus Wainwright ou Patrick Watson, en moins lyrique. Parfait pour ouvrir pour Sophie Hunger ! My Space de Mark Berube : http://www.myspace.com/markberubemusic C’était au moins le 4ème passage de Sophie Hunger à Lyon puisqu’il y avait déjà eu depuis 2009, les Nuits de Fourvière (23 juillet 2009), une Epicerie Moderne (15 octobre 2009) et un Kao (21 octobre 2010). Et c’était le meilleur ! Le plus mature, le plus abouti. On la sent plus que jamais affirmer son style et son écriture, en particulier avec les morceaux du nouvel album ‘The Danger of Light’. On la sent plus à l’aise avec le public (même si on sent toujours une certaine fragilité dans le personnage scénique). Et ses nouveaux musiciens semblent l’accompagner encore mieux que les précédents. Son concert de ce 22 janvier était un parcours sans faute, avec deux rappels… Pour écouter une interview de Sophie Hunger réalisée avant son concert, cliquer sur : http://www.crancra.org/emissions/radio-pluriel/2013-01-22_Sophie_Hunger.mp3 My Space de Sophie Hunger : http://www.myspace.com/sophiehunger Site web de l’Epicerie Moderne : http://www.epiceriemoderne.com/

Portail Culture de la Ville de Lyon / janvier 2013 Le Progrès / 26 janvier 2013


Le Petit Bulletin / 27 février 2013

Lyon Plus / 04 mars 2013

Tribune de Lyon / 28 février 2013

Radio Pluriel /05 mars 2013

Local Natives et Wall à l’Epicerie Moderne ce lundi 4 mars mardi 5 mars 2013 par Hervé LAURENT

Tout Lyon / 23 février 2013

C’est Wall qui ouvre. Avec une arrivée sur scène un peu ‘bizarre’ : Les musiciens montent sur scène, ne regardent pas le public, font pendant plusieurs minutes de derniers réglages…. nous laissant dans une situation où en fait, on ne sait pas vraiment si le concert a commencé ou non … Puis ils proposent 40 minutes d’une pop minimale, calme et intimiste, avec ligne de basse et claviers (dont une reprise du ‘Where did our love go’ des Supremes ….). Pas inintéressant. Mais en même temps, ça ne ‘prend’ pas vraiment. On est loin des atmosphères fortes qui peuvent être créées avec des musiques proches par Mazzy Star ou les Cowboy Junkies. Bref, même si ce n’est pas mauvais, on reste quand même sur notre faim. Mais heureusement, Local Natives allait nous ‘rassasier’ ! Un concert assez court (un peu plus d’une heure…), mais avec une pop riche et capiteuse dans la lignée de The National ou Vampire Week-end, avec une belle écriture à la Radiohead, des guitares qui tricotent des lignes mélodiques et des accords parfaits, des harmonies vocales à la Fleet Foxes, du lyrisme à la Mercury Rev ou Arcade Fire, un rapport simple et immédiat avec le public… Un vrai parcours sans faute ! Pour écouter une interview de Local Natives réalisée avant leur concert, cliquer sur : http://www.crancra.org/emissions/radio-pluriel/2013-03-04_Local_Natives.mp3 Site web de Local Natives : http://www.thelocalnatives.com/ Site web de l’Epicerie Moderne : http://www.epiceriemoderne.com/


Lyon Plus / 25 mars 2013 A nous lyon / 17 mars 2013


Le Petit Bulletin / 20 mars 2013 MAQ PETIT BULLETIN_GRENOBLE - 1_705.pdf

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Le Petit Bulletin / 20 mars 2013 http://www.petit-bulletin.fr/pdf/1_705.pdf

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Un Poehl à Feyzin / Musique / Culture / univers / Journal / Lyon Capitale...

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Rock’n’fool /08 avril 2013

Lyon Capitale / 20 mars 2013 MUSIQUE

Un Poehl à Feyzin

Peter Von Poehl, l’extra-terrestre venu du Nord ! 08/04/2013 • par Math’

Par Kevin Muscat

Posté le 25/03/2013 à 07:12 | vu 185 fois |

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Après un passage discret à Lyon l’an dernier, Peter von Poehl revient, cette fois à l’Épicerie Moderne, pour présenter son album Big Issues Printed Small. Découverte recommandée.

En Avril ne te découvre pas d’un fil (et on commence à bien maitriser le concept) mais en Mars nous avons pourtant pu assister à une jolie mise à nu, celle du très doux et néanmoins étrange Peter Von Poehl. Un album d’abord, Big Issues Printed Small et un live à L’Epicerie Moderne de Feyzin pour votre dévouée RockNfooleuse lyonnaise. Autant rentrer directement dans le cliché, Peter Von Poehl est originaire de Malmö, Suède, et il en a le physique: grand, fin, blond, presque féminin. Le style, un peu (voire très) farfelu, avec ce côté extra-terrestre débarqué de nulle part, avenant, souriant tout en étant timide, se lançant en français dans des digressions invraisemblables entre chaque morceau, bref, un personnage habité, un elfe coquin, à la musicalité magique. ça ne se dit pas trop ce truc non ? Mais bref, l’idée est là, vous m’avez comprise. L’homme est touche-à-tout, généreux et présent chez bon nombre d’artistes (de Chamfort à Birdy Nam Nam) et il est aimé du milieu cinématographique, français notamment, chose qui semble tout à fait logique lorsque vous l’écoutez. Ces chansons sont des épopées à elles toutes seules, et si vous cherchez pourquoi ce nom vous dit quelque-chose pensez à la BO de l’Arnacoeur, aux films de Valéry Donzelli ou encore à la pub pour des cahiers pour lycéens rêveurs… «The Story of the Impossible», la voix haute perchée totalement hypnotique, la douce mélodie aérienne, ce morceau c’est tout lui. Difficile de décrire ce nouvel album Big Issues Printed Small tant il est riche, particulier, très orchestré et relativement inclassable. Peter le décrit lui -même comme un «disque d’orchestre lo-fi», à vous de tenter l’expérience… Le live qu’il en propose n’a justement rien à voir avec la profusion d’instruments présents dans l’album, cette tournée se fait dans l’intimité d’un duo guitare accoustique/contre-basse. Et c’est la configuration parfaite pour un voyage éthéré, délicat, prenant, rêveur, on se surprend souvent à fermer les yeux pour mieux apprécier les magnifiques arpèges, le cadre de l’Epicerie Moderne ajoutant encore un peu de magie à cette formation intime. L’instant fut hors du temps, une parenthèse enchantée, que l’album bien que plus sophistiqué en un sens, saura faire durer dans la familiarité cosy de votre chez vous cette fois…

© J. Bourgeois Au printemps dernier, les quelques chanceux ou futés qui prirent le parti de se rendre dans un temple protestant – celui de la rue Lanterne – pour assister à un concert pop, vrillé folk par accointance acoustique, y passèrent un moment inoubliable en compagnie du Suédois Peter von Poehl et de quelques-uns des titres de ce qui n’était alors que son futur album. Cet album, baptisé Big Issues Printed Small, impeccable, s’annonçant là tout de suite, von Poehl revient logiquement pour (re)présenter la chose devant plus de monde mais toujours en mode intimiste. Il n’est pas dit qu’on en gardera un meilleur souvenir, mais PVP cachant derrière sa carcasse de grand timide boréal un malin, il a choisi comme écrin l’Épicerie Moderne. Laquelle n’a pas son pareil pour faire briller les pépites des musiciens. Peter von Poehl. Ce lundi 25 mars à 20h30, à l’Épicerie Moderne, place René-Lescot, à Feyzin. Mots-clés : Epicerie Moderne , Peter von Poehl Note : 0/5 (0 note(s) attribuée(s)) A lire également sur lyoncapitale.fr Le printemps de l’Auditorium Une dernière fois, Daniel Darc nous crève le cœur A Vaulx Jazz 2013 : Young Marble Giants et autres pépites

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25/03/2013 15:40

Le Petit Bulletin / 28 novembre 2012


Le Petit Bulletin / 26 mars 2013 Le Progrès /26 mars 2013

La nuit de l’oracle

Article publié le Mardi 26 mars 2013 par Stéphane Duchêne Pour la deuxième fois en trois ans, Michael Gira et ses Swans investissent la scène de l’Epicerie Moderne. Passés du post-punk inclassable à un post-rock beau comme la fin d’un monde, ces mauvais cygnes débarquent avec «The Seer», un album splendide qui ne dit rien qui vaille et tire un trait sur tout. Si le rock est mort (officiellement), puis ressuscité, puis à nouveau mort avec la parution du dernier single des Strokes, si le punk n’aura été qu’un puissant et marquant feu de Bengale, le post-punk lui se porte à merveille. Sans doute parce que c’est une musique née des cendres et qu’elle est vouée à ne jamais finir d’expirer. Il ne se passe en effet pas une semaine ou presque sans que l’on assiste au passage d’un monument, petit ou grand, du genre : James Chance, Young Marble Giants, Lydia Lunch bientôt, et cette semaine Michael Gira et ses Swans, du moins ce qu’il en reste – le groupe ayant toujours été à géométrie très variable. Comme Chance et Lunch, Gira est l’une des rares figures encore vaillantes d’une no wave new-yorkaise qui refusait le diktat punk imposé par l’étiquette post-punk. Ce, même s’il y a longtemps que Gira a bifurqué vers d’autres univers. Au moins depuis la première séparation des Swans en 1996 après 14 ans de bruits et de fureur. Post Quand il n’était pas occupé avec l’insaisissable collectif Angels of Light et qu’il ne découvrait pas de nouveaux talents (Devendra Banhart, The Akron/Family) via son label Young Gods, Gira donna plutôt ainsi assidûment dans le folk. Mais pas ce genre de folk pastoral sur lequel poussent les fleurs que l’on se met dans les cheveux. Plutôt le folk sous lequel pousse ces fleurs : terreux, grouillant de vers, cadavre grattant la porte d’un cercueil mal fermé. Un peu comme si Ian Curtis, dont Gira est l’un des grands héritiers vocaux – les Swans livrèrent d’ailleurs deux version mémorables, l’une masculine, l’autre féminine, du Love Will Tear Us Apart de Joy Division. Cmme si Ian Curtis, donc, avait choisi le chapeau de cow-boy plutôt que le lasso. On ne se refait pas. La reformation des Swans en 2010 après 14 ans (encore) de silence en est la preuve. Esthétique différente mais esprit intact. Deux disques : le premier My Father Will Guide Me Up a Rode to the Sky, dont le titre à rallonge annonce la couleur du virage post-rock puis le monstrueux The Seer (L’Oracle ou L’Augure) et son morceau-titre de plus de 30 minutes. Cet oracle-là nous montre d’une manière effroyable que du postpunk au post-rock, voire au post-folk sur certains morceaux plus acoustiques, seul compte le préfixe «post» comme constat d’une conception du monde où il est toujours trop tard, où il fait toujours nuit et où même les voyants ne voient pas à deux mètres.

Radio Pluriel /05 mars 2013 The Swans et Jamie Xiu Xiu à l’Epicerie Moderne ce mercredi 27 mars jeudi 28 mars 2013 par Hervé LAURENT On a découvert Jamie Xiu Xiu. En recherchant sur le web, on découvre que le monsieur vient de San Diego et est le leader du projet Xiu Xiu, un projet d’avant-garde dont il est le seul membre constant. Le monsieur semble multiplier les collaborations. Pourtant, à l’Epicerie, il était seul, assis, avec une guitare et une bande son en ‘tapis’. Habillé classe et assez vintage, avec un coté limite crooner à la Nick Cave. Sa première partie était intéressante, mais courte. Le concert des Swans était bien supérieur à celui de décembre 2010. Plus puissant, plus sombre, plus lourd, plus dissonant. Une synthèse entre une musique indus et ambiant et un son noise. La section rythmique à deux batteries est énorme, la texture du son des guitare et de la basse aussi…. Ce sera manifestement un des concerts du Best of 2013 à l’Epicerie ! Site web de l’Epicerie Moderne : http://www.epiceriemoderne.com/


Rock’n’fool / 08 avril 2013

La Buze / 01 avril 2013

Peter Von Poehl, l’extra-terrestre venu du Nord ! En avril ne te découvre pas d’un fil (et on commence à bien maitriser le concept) mais en mars nous avons pourtant pu assister à une jolie mise à nu, celle du très doux et néanmoins étrange Peter Von Poehl. Un album d’abord, Big Issues Printed Small et un live à L’Epicerie Moderne de Feyzin pour votre dévouée RockNfooleuse lyonnaise. Autant rentrer directement dans le cliché, Peter Von Poehl est originaire de Malmö, Suède, et il en a le physique: grand, fin, blond, presque féminin. Le style, un peu (voire très) farfelu, avec ce côté extra-terrestre débarqué de nulle part, avenant, souriant tout en étant timide, se lançant en français dans des digressions invraisemblables entre chaque morceau, bref, un personnage habité, un elfe coquin, à la musicalité magique. ça ne se dit pas trop ce truc non ? Mais bref, l’idée est là, vous m’avez comprise. L’homme est touche-à-tout, généreux et présent chez bon nombre d’artistes (de Chamfort à Birdy Nam Nam) et il est aimé du milieu cinématographique, français notamment, chose qui semble tout à fait logique lorsque vous l’écoutez. Ces chansons sont des épopées à elles toutes seules, et si vous cherchez pourquoi ce nom vous dit quelque-chose pensez à la BO de l’Arnacoeur, aux films de Valéry Donzelli ou encore à la pub pour des cahiers pour lycéens rêveurs… «The Story of the Impossible», la voix haute perchée totalement hypnotique, la douce mélodie aérienne, ce morceau c’est tout lui. Difficile de décrire ce nouvel album Big Issues Printed Small tant il est riche, particulier, très orchestré et relativement inclassable. Peter le décrit lui -même comme un «disque d’orchestre lo-fi», à vous de tenter l’expérience… Le live qu’il en propose n’a justement rien à voir avec la profusion d’instruments présents dans l’album, cette tournée se fait dans l’intimité d’un duo guitare accoustique/violoncelle. Et c’est la configuration parfaite pour un voyage éthéré, délicat, prenant, rêveur, on se surprend souvent à fermer les yeux pour mieux apprécier les magnifiques arpèges, le cadre de l’Epicerie Moderne ajoutant encore un peu de magie à cette formation intime. L’instant fut hors du temps, une parenthèse enchantée, que l’album bien que plus sophistiqué en un sens, saura faire durer dans la familiarité cosy de votre chez vous cette fois…

Swans Petite soirée sandalettes à l’Epicerie: The Swans, mythique groupe new-yorkais fondé en 1982 pose ses ailes à Feyzin. Guitare, basse, batterie, lap steel et percussionniste multi-instrumentiste très dandy, ils sont pas moins de 5 musiciens pour accompagner ce soir le mystique Michael Gira dans l’interprétation de The seers, dernier et double album en date. Au programme, du pop-folk soyeux et doux joué par une bande de gentils hippies rigolards. 2 heures de show, toutes en subtiles mélodies, arpèges finement ciselés et harmonies vocales stupéfiantes (on pense aux Fleet Foxes, en héritiers très dignes), on en redemanderait presque. C’est juste simple et beau, empreint d’un naïveté adolescente encore fraîche, à croire que ces vétérans ont trouvé le secret de la jeunesse éternelle ! On espère pour eux qu’ils seront sélectionnés pour les JMJ de cette année, en tout cas, ils le méritent assurément !


Radio Pluriel / 28 mars 2013 par Hervé Laurent

Nightgroove/ 24 avril 2013

The Swans et Jamie Xiu Xiu à l’Epicerie Moderne ce mercredi 27 mars On a découvert Jamie Xiu Xiu. En recherchant sur le web, on découvre que le monsieur vient de San Diego et est le leader du projet Xiu Xiu, un projet d’avant-garde dont il est le seul membre constant. Le monsieur semble multiplier les collaborations. Pourtant, à l’Epicerie, il était seul, assis, avec une guitare et une bande son en ‘tapis’. Habillé classe et assez vintage, avec un coté limite crooner à la Nick Cave. Sa première partie était intéressante, mais courte. Le concert des Swans était bien supérieur à celui de décembre 2010. Plus puissant, plus sombre, plus lourd, plus dissonant. Une synthèse entre une musique indus et ambiant et un son noise. La section rythmique à deux batteries est énorme, la texture du son des guitare et de la basse aussi…. Ce sera manifestement un des concerts du Best of 2013 à l’Epicerie ! Site web de l’Epicerie Moderne : http://www.epiceriemoderne.com/

Blinkinglights / 04 avril 2013 «[Mickaël Gira] est en fait fou à lier, surveille ses troupes comme le lait sur le feu, les encourageant dans leurs déviances jusqu’aux bouts de leurs possibilités, les punissant sévèrement en cas d’écart, les manipulant mentalement jusqu’à obtenir la chanson qu’il désire, maltraitant plus ses musiciens que sa vieille compagne, une noire guitare branchée sur son âme.» Retrouvez l’article complet à cette adresse http://blinkinglights.musicblog.fr/3184367/SWANS-Mercredi-27-Mars-2013-Epicerie-Moderne-FEYZIN/

Concertandco / 16 avril 2013 par Karen Solvéry « Durant bien deux heures - deux heures et demi, le public halluciné, est traversé par le son brut et délirant des Swans. Et là ou j’en ressors fascinée et (rudement mais) conquise, c’est grâce à cette impression d’une traversée mouvementée dans un univers sonore mêlé tantôt de précipitations, tantôt de rythmes plus sereins, ou les éléments ne se détachent pas si facilement les uns des autres mais constitue réellement un vrai ensemble. C’est très étrange. Impressionnant tant à vivre qu’à écouter, les deux choses semblant parfaitement inhérentes. » Retrouvez l’article complet à cette adresse : http://www.concertandco.com/critique/concert-jamie-xiu-xiu-swans//45483.htm

Dans l’intimite de Melissa Laveaux Mélissa Laveaux était sur la scène de l’Epicerie Moderne de Feyzin, pour présenter en live son second album Dying Is Wild Night, sorti le 25 février 2013. La chanteuse fait discrètement son entrée sur scène, ornée de petites oreilles de chat. Le public assis sagement découvre tranquillement les premiers morceaux présents sur l’album. La scène et la salle entre progressivement en contact, Mélissa Laveaux livre avec un brin d’humour quelques anecdotes personnelles elle interprète des titres inédits, rythmés, métissés et envoutants. On apprend que ses petites oreilles de chat sont l’accessoire qu’elle a porté lors de sa première année en France, pour afficher sa différence et se détacher du regard des autres. On entre rapidement dans l’intimité de l’artiste, le son est d’une grande qualité. Au premier rappel, on découvre une belle reprise très personnelle du célèbre Crazy In Love de Beyoncé. Second rappel et dernier titre, Mélissa Laveaux revient seule saisir sa guitare et clôturer l’histoire qu’elle est venue nous livrer. La rythmique cadrée et posée n’a jamais vraiment permis à la soirée d’exploser, mais on est touché par la timidité de cette jeune artiste attachante et prometteuse. On ne peut que l’encourager et la pousser à vivre plus intensément sa pop poétique et percutante. Elodie Crolle Retrouvez les photos de Paul Bourdel ainsi qu’une interview à cette adresse : http://www.night-groove.net/tag/melissa-laveaux/


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