Lettre janvier 2013

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La lettre

L’actualité des groupes de travail Les déplacements Après plus de 2 années d’études et de réflexions sur la mobilité durable, le groupe de travail « déplacements » du Conseil de développement a rendu son avis à la CCEG. Nous avons choisi de faire appel à un graphiste de Vigneux de Bretagne pour améliorer une lecture du document à trois niveaux : enjeux, objectifs et exemples d’actions. Une communication électronique de ce document vous permettra de découvrir ces travaux au cours du 1er trimestre 2013.

Bertrand Hibert

édito

L’agenda 21

L’économie

L’Agenda 21 territorial, document stratégique qui définit les enjeux et les objectifs en matière de développement durable sur le territoire de la Communauté de Communes, a été validé par les élus, fin 2012.

Le groupe de travail « Economie » du Conseil de Développement s’est réuni, pour la première fois, le 20 novembre dernier. Cette réunion de lancement a permis aux membres de faire connaissance, de présenter leurs centres d’intérêts et d’exposer leurs motivations et leurs attentes vis-à-vis du groupe de travail. Le référent, Gérard Legrand, a rappelé les modalités de fonctionnement du zoe.dubus@cceg.fr groupe et a insisté sur les

Dans le cadre d’une démarche de construction en commun, les élus de la CCEG et le groupe « Agenda 21 » du Conseil de développement sélectionnent actuellement les actions qui feront partie du programme de la CCEG pour les 5 années à venir. Le premier trimestre 2013 sera dédié à la rédaction de « fiches actions » qui préciseront, pour chacune

Vendredi

8

février

contact

contact

valeurs d’échanges et de dialogue portées par le Conseil de développement. Afin d’entrer directement dans le vif du sujet, les membres ont ensuite travaillé sous forme d’ateliers à partir d’une question : « Pour vous, qu’est ce que l’économie ? ». Les réponses, riches et diversifiées, montrent qu’il s’agit d’une thématique très large qui recouvre à la fois l’économie marchande, mais également l’Economie Sociale et Solidaire. Les participants ont également noté que l’économie du territoire concerne une multitude d’acteurs et doit être appréhendée à une échelle plus large que celle de la CCEG. Si vous souhaitez rejoindre le groupe de travail, vous pouvez prendre contact avec Zoé Dubus, animatrice du Conseil de développement zoe.dubus@cceg.fr

Zoé Dubus

Notez bien cette date ! Assemblée générale annuelle du Conseil de développement (17h30, au siège de la CCEG, à Grandchamp des Fontaines).

N°17

La lettre Janvier 2013

des actions, son but, son contenu ainsi que les indicateurs qui permettront de l’évaluer.

Bertrand Hibert

Par ailleurs, le plan d’actions de la CCEG est en cours d’élaboration. Près de 400 actions ont été recensées suite à une large concertation de l’ensemble des acteurs du territoire : élus, techniciens, associations dont le Conseil de développement bien sûr, mais aussi les entreprises et les agriculteurs.

N°17

Numéro 17 - janvier 2013 Conseil de Développement Erdre & Gesvres 1, rue Marie-Curie P.A. La Grand’Haie 44119 Grandchamp-des-Fontaines Tél. 02 28 02 22 40 Fax : 02 28 02 22 47 conseil.developpement@cceg.fr

édito

En ce début d’année où la tradition veut que l’on s’échange des vœux, au nom du conseil d’administration, nous sommes heureux de vous offrir les nôtres pour vous et ceux qui vous sont chers. La conjoncture économique est certes difficile pour un certain nombre d’habitants de notre communauté de communes. Puisse cette situation s’améliorer cette année, tout en sachant que le Conseil de développement dont la mission est de faire des propositions aux élus et donner des avis sur les orientations envisagées, ne peut infléchir les décisions prises par les chefs d’entreprises. En revanche, nous pouvons interpeller les jeunes de notre territoire car ils représentent l’avenir. C’est pourquoi, à l’issue de notre assemblée générale annuelle du 8 février prochain, un débat leur sera consacré avec pour thème : « Et si on donnait la parole aux jeunes ? » Cela peut nous amener à réorienter des projets tant dans le social, la culture ou l’environnement. Ce sont des questions importantes, en évolution constante, et sur lesquelles il peut y avoir un décalage générationnel. D’où notre souci d’intégrer les jeunes dans nos débats. Pourquoi à l’instar de ce qui se fait au niveau des conseils municipaux pour les enfants, n’y aurait-il pas un conseil de développement des jeunes ? La commission communication du Conseil de développement Erdre et Gesvres

Sommaire

Ont participé à ce numéro :

Le vendredi 8 février 2013, à compter de 17h30, au siège de la CCEG, à Grandchamp des Fontaines, se tiendra l’assemblée générale annuelle du Conseil de développement, suivie, à 20h30, d’une soirée débat intitulée “Et si on donnait la parole aux jeunes ?”, avec l’intervention du Conseil de développement de la CARENE

Responsable de la publication : Jean-Louis Petermann Coordination de la rédaction : Commission Communication Réalisation : Aries Computing - 02 28 02 02 91

4

Casson Fay-de-Bretagne Grandchamp-des-Fontaines Héric Les Touches Nort-sur-Erdre Notre-Dame-des-Landes Petit-Mars Saint-Mars-du-Désert Sucé-sur-Erdre Treillières Vigneux-de-Bretagne

Sommaire Dura lex, sed lex  L’activité des groupes de travail :

déplacements, agenda 21, économie  Une date à retenir : le 8 février 2013 


Démocratie & Espérance

DURA LEX, SED LEX ! (La loi est dure, mais c’est la loi !)

Comme la loi, les statuts de notre Conseil de développement n’acceptent aucun compromis : “ Les membres du bureau sont élus pour trois années, renouvelables une fois” . Deux d’entre nous, après 2 mandats, ne pourront plus faire partie des prochains bureaux, à l’issue de notre prochaine assemblée générale : notre Président, Jean-Louis Petermann, et Michel Gautreau, vice-président. Chacun d’entre eux a sa propre vision des années passées durant l’exercice de leur fonction. Ils nous en font part ci-après, à commencer par Jean-Louis. pour que s’exerce la démocratie : les principes de l’éducation populaire sont nés. Et nous, les conseils de développement, y sommes apparentés.

Lanceurs d’alerte et détecteurs de signaux faibles.

L’espérance au passé composé. Commençons par le 15 mars 1944, jour de l’adoption du programme du conseil national de la résistance. Après des années de crises, de guerre et de barbarie, quelques hommes déterminés bâtissent un programme d’avenir : « Plus jamais ça ! ».Et la conscience qu’il importe que les citoyens partagent un bon niveau d’information et de culture

Les trois présidents successifs du Conseil de développement Erdre et Gesvres De gauche à droite : Philippe Trotté, Hervé Hubert, Jean-Louis Petermann

2 Janvier 2013

Puisque l’on évoque la résistance, la question des lanceurs d’alerte vient à l’esprit. L’organisation d’une communauté humaine est complexe et multifactorielle, faite de multiples signaux. L’attention portée au territoire par nos élus et les techniciens territoriaux ne suffit pas toujours à les détecter et les prendre en compte. Or ceux qui vivent au sein de ce territoire administré, qui agissent, s’activent, subissent parfois, ont des choses à dire, à montrer, à partager.

La voix citoyenne que nous nous efforçons de relayer est là pour faire entendre les 1001 vies des habitants de la CCEG, dans une expression posée et structurée pour apporter une pierre à l’édifice collectif. Alerter, suggérer, faire savoir. Détecter les signaux faibles, ces petits riens, peu médiatisés et peu connus en dehors de cercles restreints, qui rendent la vie plus facile, placent une touche de solidarité, améliorent un système…

Le pari des élus. Les lois de décentralisation ont permis d’envisager l’émergence des conseils de développement. En 2006, les élus de la CCEG lancent le nôtre dans un contexte favorable initié par le conseil général de Loire Atlantique et le conseil régional des Pays de la Loire. Ils y ont cru, y croient encore. Pour autant, cette instance n’est ni représentative du territoire (pas assez de femmes, de jeunes, d’actifs…) ni légitimée par les urnes. Mais les élus écoutent nos propositions, les prennent en compte, acceptent l’évaluation. Et le conseil de développement entre, avec modestie et respect, dans la gouvernance de notre espace de vie en s’imposant une éthique et des règles déontologiques.

Un lieu d’apprentissage. On adhère au conseil de développement pour divers motifs, avec ses compétences propres ou celles de la structure que l’on représente, avec des ambitions ou des motivations variées. Mais, dans tous les cas, c’est une école de démocratie, pour apprendre à s’exprimer, à écouter les autres, à explorer et à proposer. Ainsi, plusieurs élus du conseil communautaire ont compté parmi nos

membres. Quelle que soit sa propre implication, on en retire la qualité du partage et la puissance de la construction collective ; on y apprend beaucoup.

Une espérance démocratique. Les bases ont été jetées il y a 70 ans. Fermons la boucle avec l’actualité. Alors que s’ouvre la perspective de revisiter le débat autour du projet d’aéroport, gageons que des échanges constructifs et posés

puissent s’élaborer avec la méthodologie que nous appliquons: éviter de passer trop rapidement d’un problème à une solution. Mais plutôt, cheminer entre l’appropriation collective du sujet et un éventail de solutions : comprendre, analyser, entendre ceux qui savent et aussi les autres, toujours avec bienveillance, explorer sans censure, penser globalement et dans l’intérêt collectif.

Jean-Louis Petermann

Michel GAUTREAU 1) Michel, quelles motivations t’ont conduit à rejoindre le Conseil de Développement ?

avec des personnes de culture et de sensibilité différentes, dans le respect et avec une grande ouverture d’esprit.

En 2006, voyant approcher la fin de mon activité professionnelle, il m’est apparu nécessaire d’intégrer un groupe de réflexions et de partage d’expériences. La connaissance du fonctionnement et des rouages de la vie publique m’intéressaient, mais sans souhait d’effectuer un quelconque mandat électoral.

Les échanges sont très riches entre les membres de notre conseil et le dialogue avec les élus toujours très courtois. La méthode de travail est efficace.

2) Quels moments forts as-tu en mémoire ? Le travail effectué pour la refonte des statuts, est l’un d’entre eux. A ce sujet, je voudrais ici rappeler mon attachement aux 2 mandats non renouvelables d’une durée totale de 6 ans pour les membres du bureau. Le renouvellement permet des actions pensées et réalisées avec une vision et une dynamique différentes. 3) T on regard sur le fonctionnement du Conseil de développement En premier lieu, je ne cacherai pas ma satisfaction des moments partagés

Permets-moi également de saluer l’efficacité de nos animatrices. 4) T on sentiment sur les suites données par les Elus aux avis émis?

5) Et l’avenir du Conseil de développement ?

Les Elus sont accaparés par leurs préoccupations de gestion. (Ils ont le nez dans le guidon, dit-on !)

Il est indispensable de continuer le dialogue et la concertation, sans pour cela renoncer à exprimer ses désaccords. De la contradiction naissent souvent les meilleures idées, tout au moins les plus fiables..

Certaines thématiques ont semblé peu sensibiliser ceux que j’ai rencontrés, par exemple la santé, la sécurité, la prévention des addictions … Ce qui m’apparait comme regrettable compte tenu des besoins. L’attention des élus sur les avis rendus ne paraît pas toujours de mise, tel fut le cas pour l’incitation forte à la mise en place d’une information efficace sur le traitement des déchets et les modalités de calcul de la redevance incitative.

Je formule le souhait que de nombreux concitoyens rejoignent le Conseil de développement, afin de poursuivre l’action engagée. Mais il faut que les mots ne soient pas que des slogans et qu’ils soient suivis d’effets.

Propos recueillis par Marcel Josso et Jean-Yves Le Guennec

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Démocratie & Espérance

DURA LEX, SED LEX ! (La loi est dure, mais c’est la loi !)

Comme la loi, les statuts de notre Conseil de développement n’acceptent aucun compromis : “ Les membres du bureau sont élus pour trois années, renouvelables une fois” . Deux d’entre nous, après 2 mandats, ne pourront plus faire partie des prochains bureaux, à l’issue de notre prochaine assemblée générale : notre Président, Jean-Louis Petermann, et Michel Gautreau, vice-président. Chacun d’entre eux a sa propre vision des années passées durant l’exercice de leur fonction. Ils nous en font part ci-après, à commencer par Jean-Louis. pour que s’exerce la démocratie : les principes de l’éducation populaire sont nés. Et nous, les conseils de développement, y sommes apparentés.

Lanceurs d’alerte et détecteurs de signaux faibles. L’espérance au passé composé. Commençons par le 15 mars 1944, jour de l’adoption du programme du conseil national de la résistance. Après des années de crises, de guerre et de barbarie, quelques hommes déterminés bâtissent un programme d’avenir : « Plus jamais ça ! ».Et la conscience qu’il importe que les citoyens partagent un bon niveau d’information et de culture

Les trois présidents successifs du Conseil de développement Erdre et Gesvres De gauche à droite : Philippe Trotté, Hervé Hubert, Jean-Louis Petermann

2 Janvier 2013

Puisque l’on évoque la résistance, la question des lanceurs d’alerte vient à l’esprit. L’organisation d’une communauté humaine est complexe et multifactorielle, faite de multiples signaux. L’attention portée au territoire par nos élus et les techniciens territoriaux ne suffit pas toujours à les détecter et les prendre en compte. Or ceux qui vivent au sein de ce territoire administré, qui agissent, s’activent, subissent parfois, ont des choses à dire, à montrer, à partager.

La voix citoyenne que nous nous efforçons de relayer est là pour faire entendre les 1001 vies des habitants de la CCEG, dans une expression posée et structurée pour apporter une pierre à l’édifice collectif. Alerter, suggérer, faire savoir. Détecter les signaux faibles, ces petits riens, peu médiatisés et peu connus en dehors de cercles restreints, qui rendent la vie plus facile, placent une touche de solidarité, améliorent un système…

Le pari des élus. Les lois de décentralisation ont permis d’envisager l’émergence des conseils de développement. En 2006, les élus de la CCEG lancent le nôtre dans un contexte favorable initié par le conseil général de Loire Atlantique et le conseil régional des Pays de la Loire. Ils y ont cru, y croient encore. Pour autant, cette instance n’est ni représentative du territoire (pas assez de femmes, de jeunes, d’actifs…) ni légitimée par les urnes. Mais les élus écoutent nos propositions, les prennent en compte, acceptent l’évaluation. Et le conseil de développement entre, avec modestie et respect, dans la gouvernance de notre espace de vie en s’imposant une éthique et des règles déontologiques.

Un lieu d’apprentissage. On adhère au conseil de développement pour divers motifs, avec ses compétences propres ou celles de la structure que l’on représente, avec des ambitions ou des motivations variées. Mais, dans tous les cas, c’est une école de démocratie, pour apprendre à s’exprimer, à écouter les autres, à explorer et à proposer. Ainsi, plusieurs élus du conseil communautaire ont compté parmi nos

membres. Quelle que soit sa propre implication, on en retire la qualité du partage et la puissance de la construction collective ; on y apprend beaucoup.

Une espérance démocratique. Les bases ont été jetées il y a 70 ans. Fermons la boucle avec l’actualité. Alors que s’ouvre la perspective de revisiter le débat autour du projet d’aéroport, gageons que des échanges constructifs et posés

puissent s’élaborer avec la méthodologie que nous appliquons: éviter de passer trop rapidement d’un problème à une solution. Mais plutôt, cheminer entre l’appropriation collective du sujet et un éventail de solutions : comprendre, analyser, entendre ceux qui savent et aussi les autres, toujours avec bienveillance, explorer sans censure, penser globalement et dans l’intérêt collectif.

Jean-Louis Petermann

Michel GAUTREAU 1) Michel, quelles motivations t’ont conduit à rejoindre le Conseil de Développement ?

avec des personnes de culture et de sensibilité différentes, dans le respect et avec une grande ouverture d’esprit.

En 2006, voyant approcher la fin de mon activité professionnelle, il m’est apparu nécessaire d’intégrer un groupe de réflexions et de partage d’expériences. La connaissance du fonctionnement et des rouages de la vie publique m’intéressaient, mais sans souhait d’effectuer un quelconque mandat électoral.

Les échanges sont très riches entre les membres de notre conseil et le dialogue avec les élus toujours très courtois. La méthode de travail est efficace.

2) Quels moments forts as-tu en mémoire ? Le travail effectué pour la refonte des statuts, est l’un d’entre eux. A ce sujet, je voudrais ici rappeler mon attachement aux 2 mandats non renouvelables d’une durée totale de 6 ans pour les membres du bureau. Le renouvellement permet des actions pensées et réalisées avec une vision et une dynamique différentes. 3) T on regard sur le fonctionnement du Conseil de développement En premier lieu, je ne cacherai pas ma satisfaction des moments partagés

Permets-moi également de saluer l’efficacité de nos animatrices. 4) T on sentiment sur les suites données par les Elus aux avis émis? Les Elus sont accaparés par leurs préoccupations de gestion. (Ils ont le nez dans le guidon, dit-on !) Certaines thématiques ont semblé peu sensibiliser ceux que j’ai rencontrés, par exemple la santé, la sécurité, la prévention des addictions … Ce qui m’apparait comme regrettable compte tenu des besoins. L’attention des élus sur les avis rendus ne paraît pas toujours de mise, tel fut le cas pour l’incitation forte à la mise en place d’une information efficace sur le traitement des déchets et les modalités de calcul de la redevance incitative.

5) Et l’avenir du Conseil de développement ? Il est indispensable de continuer le dialogue et la concertation, sans pour cela renoncer à exprimer ses désaccords. De la contradiction naissent souvent les meilleures idées, tout au moins les plus fiables.. Je formule le souhait que de nombreux concitoyens rejoignent le Conseil de développement, afin de poursuivre l’action engagée. Mais il faut que les mots ne soient pas que des slogans et qu’ils soient suivis d’effets.

Propos recueillis par Marcel Josso et Jean-Yves Le Guennec

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La lettre

L’actualité des groupes de travail Les déplacements Après plus de 2 années d’études et de réflexions sur la mobilité durable, le groupe de travail « déplacements » du Conseil de développement a rendu son avis à la CCEG. Nous avons choisi de faire appel à un graphiste de Vigneux de Bretagne pour améliorer une lecture du document à trois niveaux : enjeux, objectifs et exemples d’actions. Une communication électronique de ce document vous permettra de découvrir ces travaux au cours du 1er trimestre 2013.

Bertrand Hibert

édito

L’agenda 21

L’économie

L’Agenda 21 territorial, document stratégique qui définit les enjeux et les objectifs en matière de développement durable sur le territoire de la Communauté de Communes, a été validé par les élus, fin 2012.

Le groupe de travail « Economie » du Conseil de Développement s’est réuni, pour la première fois, le 20 novembre dernier. Cette réunion de lancement a permis aux membres de faire connaissance, de présenter leurs centres d’intérêts et d’exposer leurs motivations et leurs attentes vis-à-vis du groupe de travail. Le référent, Gérard Legrand, a rappelé les modalités de fonctionnement du zoe.dubus@cceg.fr groupe et a insisté sur les

Dans le cadre d’une démarche de construction en commun, les élus de la CCEG et le groupe « Agenda 21 » du Conseil de développement sélectionnent actuellement les actions qui feront partie du programme de la CCEG pour les 5 années à venir. Le premier trimestre 2013 sera dédié à la rédaction de « fiches actions » qui préciseront, pour chacune

Vendredi

8

février

Notez bien cette date ! Assemblée générale annuelle du Conseil de développement (17h30, au siège de la CCEG, à Grandchamp des Fontaines).

N°17

La lettre Janvier 2013

des actions, son but, son contenu ainsi que les indicateurs qui permettront de l’évaluer.

Bertrand Hibert

Par ailleurs, le plan d’actions de la CCEG est en cours d’élaboration. Près de 400 actions ont été recensées suite à une large concertation de l’ensemble des acteurs du territoire : élus, techniciens, associations dont le Conseil de développement bien sûr, mais aussi les entreprises et les agriculteurs.

N°17

contact

contact

valeurs d’échanges et de dialogue portées par le Conseil de développement. Afin d’entrer directement dans le vif du sujet, les membres ont ensuite travaillé sous forme d’ateliers à partir d’une question : « Pour vous, qu’est ce que l’économie ? ». Les réponses, riches et diversifiées, montrent qu’il s’agit d’une thématique très large qui recouvre à la fois l’économie marchande, mais également l’Economie Sociale et Solidaire. Les participants ont également noté que l’économie du territoire concerne une multitude d’acteurs et doit être appréhendée à une échelle plus large que celle de la CCEG. Si vous souhaitez rejoindre le groupe de travail, vous pouvez prendre contact avec Zoé Dubus, animatrice du Conseil de développement zoe.dubus@cceg.fr

Zoé Dubus

Numéro 17 - janvier 2013 Conseil de Développement Erdre & Gesvres 1, rue Marie-Curie P.A. La Grand’Haie 44119 Grandchamp-des-Fontaines Tél. 02 28 02 22 40 Fax : 02 28 02 22 47 conseil.developpement@cceg.fr

édito

En ce début d’année où la tradition veut que l’on s’échange des vœux, au nom du conseil d’administration, nous sommes heureux de vous offrir les nôtres pour vous et ceux qui vous sont chers. La conjoncture économique est certes difficile pour un certain nombre d’habitants de notre communauté de communes. Puisse cette situation s’améliorer cette année, tout en sachant que le Conseil de développement dont la mission est de faire des propositions aux élus et donner des avis sur les orientations envisagées, ne peut infléchir les décisions prises par les chefs d’entreprises. En revanche, nous pouvons interpeller les jeunes de notre territoire car ils représentent l’avenir. C’est pourquoi, à l’issue de notre assemblée générale annuelle du 8 février prochain, un débat leur sera consacré avec pour thème : « Et si on donnait la parole aux jeunes ? » Cela peut nous amener à réorienter des projets tant dans le social, la culture ou l’environnement. Ce sont des questions importantes, en évolution constante, et sur lesquelles il peut y avoir un décalage générationnel. D’où notre souci d’intégrer les jeunes dans nos débats. Pourquoi à l’instar de ce qui se fait au niveau des conseils municipaux pour les enfants, n’y aurait-il pas un conseil de développement des jeunes ? La commission communication du Conseil de développement Erdre et Gesvres

Sommaire

Ont participé à ce numéro :

Le vendredi 8 février 2013, à compter de 17h30, au siège de la CCEG, à Grandchamp des Fontaines, se tiendra l’assemblée générale annuelle du Conseil de développement, suivie, à 20h30, d’une soirée débat intitulée “Et si on donnait la parole aux jeunes ?”, avec l’intervention du Conseil de développement de la CARENE

Responsable de la publication : Jean-Louis Petermann Coordination de la rédaction : Commission Communication Réalisation : Aries Computing - 02 28 02 02 91

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Casson Fay-de-Bretagne Grandchamp-des-Fontaines Héric Les Touches Nort-sur-Erdre Notre-Dame-des-Landes Petit-Mars Saint-Mars-du-Désert Sucé-sur-Erdre Treillières Vigneux-de-Bretagne

Sommaire Dura lex, sed lex  L’activité des groupes de travail :

déplacements, agenda 21, économie  Une date à retenir : le 8 février 2013 


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