ESCRIME Technopathies

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ESCRIME Technopathies Docteur MOURET Creps de REIMS


Pratique : dès 7 ans, en salle d’arme avec 1 maître ou 1 prévôt d’arme  Sport méconnu ..+ 100 médailles aux J.O  3 armes électriques pour les 2 sexes: - 2 d’estoc: fleuret et épée - 1 d’estoc,de taille et contretaille: sabre  L’arme: acier spécial pour éviter le bris 



Les 3 armes  Fleuret  Épée  Sabre


Description de l’arme ( épée)   

Lame triangulaire ; 1 bouton pression (déclenche le signal électrique: touche valable, signal vert ou rouge , touche non valable signal blanc )


La Tenue doit assurer la sécurité des tireurs 1) le masque,en treillis métallique (résistant à 1600 N) et sa bavette (matériau lamé) 2) la cuirasse, la veste, le pantalon renforcés en kévlar , résistant chacun à 800 N 3) le gant en peau + son crispin doit couvrir la ½ de l’avant bras


Masques




4) les coquilles protectrices (seins et organes génitaux externes ) 5) les chaussettes doivent arriver aux genoux 6) les chaussures (certaines + montantes comportent 1 système anti-varisant 7) la cuirasse électrique au fleuret et au sabre; inutile à l’épée toute la surface du corps, y compris le masque, pouvant être touchée


Tenue d’1 fleuretiste


L’ ESCRIME Docteur Mouret Creps - Reims



La Piste 18 m X 2 m très dure , en plaques de contreplaqué marin recouvertes de métal vissé, à bords légèrement surélevés Les phases finales se déroulent souvent sur 1 podium augmentant les risques d’entorses de cheville



Les Assauts  phases éliminatoires : 5 touches en 4 min  phases finales : 3 manches de 3 min ,

avec 1 min de repos entre  Le vainqueur: le 1° à 15 touches


Position de combat : la garde  Touche : 1) sur 1 attaque : marche ou fente, 2) sur 1 attaque composée après 1 feinte , 3) sur 1 riposte après avoir évité ou paré 1 attaque 4) sur 1 contre offensive pendant l’attaque adverse 


Sport d’opposition alternant temps de repos et assauts violents :  1° phase, le tireur est tendu ,prêt à l’esquive, la parade, la riposte ou l’attaque la + fulgurante possible en s’adaptant au jeu de l’adversaire 

2° phase, l’attaque, il va utiliser puissance et force explosives (vitesse < 10 sec )



L’escrime nécessite : - 1 bonne valeur technique ( des années d’apprentissage) - 1 bonne vitesse de décision et réaction ( les gauchers y sont nombreux au + haut niveau) - 1 bonne capacité d’adaptation


Principales technopathies 1 ) Les blessures par bris de lame

parfois dramatiques, sont évitées par :

- la qualité des nouveaux aciers - le contrôle du maillage du masque - la conformité de la tenue


risques


2) La région céphalique : traumatisme nasal contre le masque et rares plaies du cuir chevelu ( sabreurs) 3) Le rachis:  cervicalgies fréquentes C2-C4 (tête tour- née en permanence vers le bras armé et lourdeur du masque )


• • • • •

l’hyperlordose lombaire (favorisée par la position de garde, d’autant + que psoas et IJ sont raides), à l’origine de lombalgies et dorsolombalgies Prévention par du travail en délordose, l’assouplissement musculaire, la pratique des étirements, la musculation abdominale, la réeducation proprioceptive en situation


4) Les membres supérieurs ne concernent que le bras armé ( plaie main libre rare ) a/ l’épaule : 

conflit sous acromial antéro-sup (fleuret et épée ) dû aux heures passées à la leçon en face du du Maître, bras tendu en élévation antérolatérale à 90° ou +


Possibles lésions du bourrelet glénoïdien supérieur lors d’1 contre du bras en fente (env. 180°)


Possibles atteintes du nerf du grand dentelé  Accidents d’instabilité jusqu’à la luxation antéro int (sabreur faisant 1 parade au niveau du masque, l’épaule en RH-RE ) et la vitesse gestuelle est grande b/ le coude :  l’épicondylalgie rare en HN sauf au sabre (chocs directs), favorisée /1 main crispée sur la poignée, des lames trop rigides  rares conflits douloureux post ( µtrauma en hyperextension au fleuret et à l’épée ) 


c/ les poignet et main: lésions traumatiques  fracture du scaphoïde/ choc de coquil-les, poignet en hyperextension  fracture des métacarpiens (2 à 4)/ choc de coquilles + position sur la poignée en hyperextension ; le + souvent diaphysaire  plaie des 3°et 4° commissures (fleuret/ bris de lame et peu de protection de la petite coquille )


Fractures diaphyse des mĂŠtas


poignet-main : lésions µtraumatiques:  ténosynovite de DE QUERVAIN favorisée/ la tenue de la poignée en inclinaison cubitale + pronosupination neutre; les changements de poignée (épée) font le lit des tendinopathies . 

entorses + fqt avec la poignée orthopédique (ses ergots emprisonnant les 2°et 3° doigts les chocs/coquilles provoquent des contraintes en hyperextension des MP avec risque de lésion de la plaque palmaire); entorses latérales pour IPP et IPD le + souvent bénignes


les parades en quinte haute des sabreurs tenant leur arme /1 pince pouce-index peuvent entraîner des entorses externes des MP du pouce( méca d’hyperABD for-cée ou d’hyperEXT); les chocs de coquil- les augmentent aussi l’ABD. Les entor-ses graves ou bénignes répétées peu-vent créer 1 laxité externe de MP avec instabilité du pouce et pince inefficace.



5) Les membres inférieurs : dès la mise en garde, travail des 2 memb inf totalement différent dans toutes les positions  le membre avant ( côté armé) . son rôle, la flexion extension avec souvent 1 quadriceps hypertrophié  le membre arrière . son rôle,la poussée (importance + du triceps) avec le pied perpendiculaire à l’axe de la piste; contraintes en VARUS VALGUS +++ Les adducteurs assurent le maintien de la position et les déplacements


Travail diffĂŠrent des deux membres infĂŠrieurs


les hanches :

en garde, la position de la H avant (FL ABD RE) favorise l’hypertrophie du psoas en fente , main et pied AV vont être vivement projetés vers l’AV entraînant à la réception des contraintes sur cette H; développer l’amplitude de la fente peut favoriser l’apparition de: - pubalgies, souffrance des sacro-iliaques - contractures du pyramidal - lésion chondrale ou du bourrelet cotyloï-dien


la fente dépassée aboutit à 1 grand écart avec possible désinsertion des I J de la cuisse AV des syndromes de loge des adducteurs ont été décrits


le genou : • avant .La flexion prolongée entraîne 1 patho 

µtraumatique par surmenage de l’appareil extenseur: - tendinopathies (quadriceps, TFL, t. rotulien) - syndrome rotulien , instabilité rotulienne - Osgood-Schlatter, Sinding-Larsen Parfois (pied bloqué au sol + rotation du seg-ment jambier) survenue de lésions du pivot central, du ménisque interne ou du LLI


arrière . Les contraintes en varus valgus favorisent 1 patho traumatique : - lésions méniscales externes avec anse de seau - entorses du LLE ou du LLI - lésions du pivot central (retraite et VRI ) - chondropathies externes


 • • •

la jambe: les déplacements ( sautillements rapides et répétés sur sol très durs) entraînent périostites tibiales (+ sur jambe AV) fracture de fatigue du tibia AV en arrière ,la force et la soudaineté de l’attaque (brutalité++ de la poussée sur la jambe ,surtout en cas de fente ou d’attaque en flèche) provoque de grosses contraintes sur le triceps avec risque de tendinopathie ou rupture d’Achille ,parfois de désinsertion du jumeau interne


la cheville et le pied : les sorties de pistes (+ ou – surélevées), voire de podiums + les contraintes sur le pied ARR (surtout en position de retraite) exposent le tireur à des entorses sur les 2 pieds de la tibio-tarsienne (++) mais aussi de la sous astragalienne, du Chopart et du Lisfranc


La tolérance est meilleure sur le pied AV que sur le pied ARR en raison des contraintes en varus/valgus La prévention ? dépistage des sujets à risques rééducation proprioceptive sans attendre la blessure port de chaussures montantes à renfort(s) latéraux


ROLE DU MEDECIN 1) Examen médical préventif avant tout :  jeunes, exiger le carnet de santé et/ou la présence d’1 des parents surtout pour 1 double surclassement  plan cardiovasc: rigueur++( interrogatoire, absence de symptômes, examen normal..) HN, la loi impose 1 Ecg et 1 échocardio Ecg obligatoire pour double surclassement


plan locomoteur :dépister les hypoextensi-bilités des groupes muscu des membres inf pouvant engendrer des patho (appareil extenseur jambe AV,compart int du genou et cheville ARR )  étude du tonus de posture en vue d’1 réé-ducation proprioceptive  plan osseux: dépister 1 scoliose débutante ou 1 Scheuerman (sport asymétrique) 


examen podo: prévention de talonnade , périostites (port de semelles absorbantes, surtout pour les HN), correction … Si entorses répétées, port de chaussures montantes avec baleines incorporées 2) Surveillance de compétition :  nouvelles règles de sécurité depuis 1982 (accid Smirnov) amélioration des lames , des masques, de la tenue avec contrôle + sévère de la conformité du matériel ; compet nat ou internat 1 médecin (relation avec le SMUR) 


Le médecin doit être prêt à 1 action rapide (le tireur blessé a 10 min pour reprendre). Il doit être bien assuré, avoir établi 1 con-trat avec l’organisateur après avoir pris connaissance du cahier des charges et des moyens mis à sa disposition . Lors des compétitions importantes l’équipe médicale se renforce ( kiné …)



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Pratique : dès 7 ans, en salle d’arme avec 1 maître ou 1 prévôt d’arme  Sport méconnu ..+ 100 médailles aux J.O  3 armes électriques pour les 2 sexes: - 2 d’estoc: fleuret et épée - 1 d’estoc,de taille et contretaille: sabre  L’arme: acier spécial pour éviter le bris 

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Les 3 armes  Fleuret  Épée  Sabre

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Description de l’arme ( épée)   

Lame triangulaire ; 1 bouton pression (déclenche le signal électrique: touche valable, signal vert ou rouge , touche non valable signal blanc )

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La Tenue doit assurer la sécurité des tireurs 1) le masque,en treillis métallique (résistant à 1600 N) et sa bavette (matériau lamé) 2) la cuirasse, la veste, le pantalon renforcés en kévlar , résistant chacun à 800 N 3) le gant en peau + son crispin doit couvrir la ½ de l’avant bras 6


Masques

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4) les coquilles protectrices (seins et organes génitaux externes ) 5) les chaussettes doivent arriver aux genoux 6) les chaussures (certaines + montantes comportent 1 système anti-varisant 7) la cuirasse électrique au fleuret et au sabre; inutile à l’épée toute la surface du corps, y compris le masque, pouvant être touchée

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Tenue d’1 fleuretiste

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La Piste 18 m X 2 m très dure , en plaques de contreplaqué marin recouvertes de métal vissé, à bords légèrement surélevés Les phases finales se déroulent souvent sur 1 podium augmentant les risques d’entorses de cheville 14


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Les Assauts  phases éliminatoires : 5 touches en 4 min  phases finales : 3 manches de 3 min ,

avec 1 min de repos entre  Le vainqueur: le 1° à 15 touches

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Position de combat : la garde  Touche : 1) sur 1 attaque : marche ou fente, 2) sur 1 attaque composée après 1 feinte , 3) sur 1 riposte après avoir évité ou paré 1 attaque 4) sur 1 contre offensive pendant l’attaque adverse 

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Sport d’opposition alternant temps de repos et assauts violents :  1° phase, le tireur est tendu ,prêt à l’esquive, la parade, la riposte ou l’attaque la + fulgurante possible en s’adaptant au jeu de l’adversaire 

2° phase, l’attaque, il va utiliser puissance et force explosives (vitesse < 10 sec ) 18


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L’escrime nécessite : - 1 bonne valeur technique ( des années d’apprentissage) - 1 bonne vitesse de décision et réaction ( les gauchers y sont nombreux au + haut niveau) - 1 bonne capacité d’adaptation 20


Principales technopathies 1 ) Les blessures par bris de lame

parfois dramatiques, sont évitées par :

- la qualité des nouveaux aciers - le contrôle du maillage du masque - la conformité de la tenue 21


risques

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2) La région céphalique : traumatisme nasal contre le masque et rares plaies du cuir chevelu ( sabreurs) 3) Le rachis:  cervicalgies fréquentes C2-C4 (tête tour- née en permanence vers le bras armé et lourdeur du masque ) 23


• • • • •

l’hyperlordose lombaire (favorisée par la position de garde, d’autant + que psoas et IJ sont raides), à l’origine de lombalgies et dorsolombalgies Prévention par du travail en délordose, l’assouplissement musculaire, la pratique des étirements, la musculation abdominale, la réeducation proprioceptive en situation

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4) Les membres supérieurs ne concernent que le bras armé ( plaie main libre rare ) a/ l’épaule : 

conflit sous acromial antéro-sup (fleuret et épée ) dû aux heures passées à la leçon en face du du Maître, bras tendu en élévation antérolatérale à 90° ou +

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Possibles lésions du bourrelet glénoïdien supérieur lors d’1 contre du bras en fente (env. 180°)

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Possibles atteintes du nerf du grand dentelé  Accidents d’instabilité jusqu’à la luxation antéro int (sabreur faisant 1 parade au niveau du masque, l’épaule en RH-RE ) et la vitesse gestuelle est grande b/ le coude :  l’épicondylalgie rare en HN sauf au sabre (chocs directs), favorisée /1 main crispée sur la poignée, des lames trop rigides  rares conflits douloureux post ( µtrauma en hyperextension au fleuret et à l’épée ) 

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c/ les poignet et main: lésions traumatiques  fracture du scaphoïde/ choc de coquil-les, poignet en hyperextension  fracture des métacarpiens (2 à 4)/ choc de coquilles + position sur la poignée en hyperextension ; le + souvent diaphysaire  plaie des 3°et 4° commissures (fleuret/ bris de lame et peu de protection de la petite coquille )

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Fractures diaphyse des mĂŠtas

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poignet-main : lésions µtraumatiques:  ténosynovite de DE QUERVAIN favorisée/ la tenue de la poignée en inclinaison cubitale + pronosupination neutre; les changements de poignée (épée) font le lit des tendinopathies . 

entorses + fqt avec la poignée orthopédique (ses ergots emprisonnant les 2°et 3° doigts les chocs/coquilles provoquent des contraintes en hyperextension des MP avec risque de lésion de la plaque palmaire); entorses latérales pour IPP et IPD le + souvent bénignes 30


les parades en quinte haute des sabreurs tenant leur arme /1 pince pouce-index peuvent entraîner des entorses externes des MP du pouce( méca d’hyperABD for-cée ou d’hyperEXT); les chocs de coquil- les augmentent aussi l’ABD. Les entor-ses graves ou bénignes répétées peu-vent créer 1 laxité externe de MP avec instabilité du pouce et pince inefficace. 31


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5) Les membres inférieurs : dès la mise en garde, travail des 2 memb inf totalement différent dans toutes les positions  le membre avant ( côté armé) . son rôle, la flexion extension avec souvent 1 quadriceps hypertrophié  le membre arrière . son rôle,la poussée (importance + du triceps) avec le pied perpendiculaire à l’axe de la piste; contraintes en VARUS VALGUS +++ Les adducteurs assurent le maintien de la position et les déplacements 33


Travail diffĂŠrent des deux membres infĂŠrieurs

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les hanches :

en garde, la position de la H avant (FL ABD RE) favorise l’hypertrophie du psoas en fente , main et pied AV vont être vivement projetés vers l’AV entraînant à la réception des contraintes sur cette H; développer l’amplitude de la fente peut favoriser l’apparition de: - pubalgies, souffrance des sacro-iliaques - contractures du pyramidal - lésion chondrale ou du bourrelet cotyloï-dien

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la fente dépassée aboutit à 1 grand écart avec possible désinsertion des I J de la cuisse AV des syndromes de loge des adducteurs ont été décrits 36


le genou : • avant .La flexion prolongée entraîne 1 patho 

µtraumatique par surmenage de l’appareil extenseur: - tendinopathies (quadriceps, TFL, t. rotulien) - syndrome rotulien , instabilité rotulienne - Osgood-Schlatter, Sinding-Larsen Parfois (pied bloqué au sol + rotation du seg-ment jambier) survenue de lésions du pivot central, du ménisque interne ou du LLI

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arrière . Les contraintes en varus valgus favorisent 1 patho traumatique : - lésions méniscales externes avec anse de seau - entorses du LLE ou du LLI - lésions du pivot central (retraite et VRI ) - chondropathies externes

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 • • •

la jambe: les déplacements ( sautillements rapides et répétés sur sol très durs) entraînent périostites tibiales (+ sur jambe AV) fracture de fatigue du tibia AV en arrière ,la force et la soudaineté de l’attaque (brutalité++ de la poussée sur la jambe ,surtout en cas de fente ou d’attaque en flèche) provoque de grosses contraintes sur le triceps avec risque de tendinopathie ou rupture d’Achille ,parfois de désinsertion du jumeau interne 39


la cheville et le pied : les sorties de pistes (+ ou – surélevées), voire de podiums + les contraintes sur le pied ARR (surtout en position de retraite) exposent le tireur à des entorses sur les 2 pieds de la tibio-tarsienne (++) mais aussi de la sous astragalienne, du Chopart et du Lisfranc

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La tolérance est meilleure sur le pied AV que sur le pied ARR en raison des contraintes en varus/valgus La prévention ? dépistage des sujets à risques rééducation proprioceptive sans attendre la blessure port de chaussures montantes à renfort(s) latéraux 41


ROLE DU MEDECIN 1) Examen médical préventif avant tout :  jeunes, exiger le carnet de santé et/ou la présence d’1 des parents surtout pour 1 double surclassement  plan cardiovasc: rigueur++( interrogatoire, absence de symptômes, examen normal..) HN, la loi impose 1 Ecg et 1 échocardio Ecg obligatoire pour double surclassement 42


plan locomoteur :dépister les hypoextensi-bilités des groupes muscu des membres inf pouvant engendrer des patho (appareil extenseur jambe AV,compart int du genou et cheville ARR )  étude du tonus de posture en vue d’1 réé-ducation proprioceptive  plan osseux: dépister 1 scoliose débutante ou 1 Scheuerman (sport asymétrique) 

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examen podo: prévention de talonnade , périostites (port de semelles absorbantes, surtout pour les HN), correction … Si entorses répétées, port de chaussures montantes avec baleines incorporées 2) Surveillance de compétition :  nouvelles règles de sécurité depuis 1982 (accid Smirnov) amélioration des lames , des masques, de la tenue avec contrôle + sévère de la conformité du matériel ; compet nat ou internat 1 médecin (relation avec le SMUR) 

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Le médecin doit être prêt à 1 action rapide (le tireur blessé a 10 min pour reprendre). Il doit être bien assuré, avoir établi 1 con-trat avec l’organisateur après avoir pris connaissance du cahier des charges et des moyens mis à sa disposition . Lors des compétitions importantes l’équipe médicale se renforce ( kiné …)

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