GUICLAN Bulletin municipal d’informations
Janvier 2015
INFOS
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Éditorial
u mai re d t o Le m Chers amis Guiclanaises et Guiclanais,
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’approche de la fin d’année nous rappelle la bonne habitude prise par la municipalité de vous offrir ce bulletin annuel d’information. Il est rédigé par un groupe de Conseillers Municipaux qui s’appuie aussi sur la connaissance ou les témoignages d’autres personnes intéressées par la vie de notre commune. Merci à tous pour cette collaboration. Au printemps 2014 nous avons vécu une campagne électorale plutôt animée. Elle s’est soldée par la reconduction de l’équipe renouvelée que j’ai l’honneur d’animer. Aux quinze conseillers de notre groupe se sont rajoutés quatre conseillers de l’équipe « Guiclan Autrement ». La première page de ce document vous fait mieux connaître cette nouvelle municipalité et les affectations de chacune et chacun dans les nombreuses commissions, qu’elles soient municipales ou extra-communales. Vous nous avez élus pour travailler au service des Guiclanais durant ce nouveau mandat. Notre devoir est de le faire en conscience, responsabilité, sans polémique stérile, comme les précédentes municipalités l’ont toujours fait. Cette municipalité aura la tâche durant les six prochaines années de mener à bien des
projets d’importance tels, la restauration scolaire, un pôle enfance jeunesse également nouveau et, nous l’espérons, un pôle santé. Ces trois projets importants n’occultent pas d’autres, qui le sont moins mais qui seront aussi utiles ou nécessaires : voirie, lotissements, bâtiments communaux, animation jeunesse, vie associative, environnement, urbanisme P.L.U., action sociale, collaboration intercommunale. Tous ces projets et ces fonctions à assurer, nous devons les réaliser au mieux. Nous tiendrons compte bien entendu, des réalités de nos capacités financières et des restrictions budgétaires de l’État qui, lui-même nous impose des obligations nouvelles (organisation des temps d’activités périscolaires). Nous avons la chance d’habiter une commune ayant un potentiel très positif d’évolution de la population, suite aux nombreuses naissances des 5 à 6 années passées. Ceci est aussi la conséquence d’une urbanisation active qui nous permet d’entrevoir des projets nouveaux. Pour les anciens, la perception de Guiclan a quelque peu changé par ce renouvellement de population. Il faut le voir sous l’angle d’une vitalité nouvelle dans les domaines scolaires, animation jeunesse, vie des associations, équipements immobiliers nouveaux etc…
Dans la relative grisaille de cette période, je vous invite à y trouver connaissance, distraction et pourquoi pas une vision positive de notre commune et de ses habitants. Je vous souhaite de passer de bonnes fêtes de fin d’année et de vivre l’année 2015 en toute sérénité. Bloavez mad d’eoch ! Bonne année à chacune et chacun ! Le Maire, Raymond Mercier.
Chaque année, la municipalité invite les employés municipaux, les membres du conseil municipal et du CCAS, ainsi que leur conjoint(e) à une sortie “détente”. Celle-ci a eu lieu en septembre : la découverte de la vallée du Trieux en train à vapeur les a menés de Paimpol à Pontrieux.
Janvier 2015 Mairie de Guiclan Bourg – 29410 GUICLAN Tél. 02 98 79 62 05 – www.guiclan.fr Directeur de la publication : Raymond Mercier. Rédaction : Commission information et communication. Réalisation “Expression” Landivisiau, 02 98 68 46 53 La commission remercie toutes celles et ceux qui ont contribué à l’élaboration de ce bulletin et particulièrement Hervé Calvez pour les photos et Michel Quélennec pour les récits concernant la guerre 14-18, tirés de son livre “La fumée au-dessus du toit”. Sur la couverture : Dessins créés par les enfants du centre de loisirs, Coucher de soleil, photo d’Hervé Calvez
C’est de tout cela aussi que l’on parle dans ce document que vous allez découvrir, dans la diversité des activités, des témoignages, des reportages. Au travers des hommes et des femmes de chez nous, d’hier et d’aujourd’hui, les pages de ce bulletin sont le témoignage de la vie sociale, économique, culturelle, tout ce qui fait le plaisir d’habiter un lieu, une maison et d’avoir un environnement de relations.
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et leurs affectations… 1 – Madeleine Nicol 2 – Gérard Pouliquen 3 – Sylvie Charlou 4 – Jean-Michel Croguennec 5 – Nicole Kéruzec 6 – Florence Créach 7 – Christian Le Foll
Désignation des commissions communales* Commissions
Membres
Raymond Mercier, Joseline Jézéquel, Alain Le Roux, M-Christine Cornily, Robert Bodiguel, Gérard Pouliquen, Finances J-Michel Croguennec, J-Pierre Mourocq, Jacques Meudec, Sylvie Charlou Robert Bodiguel, Gérard Pouliquen, Jean Pierre Mourocq, Benoit Riou, Urbanisme-PLU Jacques Meudec Gérard Pouliquen, Robert Bodiguel, Jean Pierre Mourocq, Benoit Riou, Voirie-Bâtiments Christian Le Foll Jean Pierre Mourocq, Robert Bodiguel, Madeleine Nicol, Patricia Nicol, Économie Christian Le Foll Alain Le Roux, Joseline Jézéquel, Florence Créac’h, Sophie Barnit, Associations Sylvie Charlou M-Christine Cornily, Florence Créach, Information Madeleine Nicol, Jean-Michel Croguencommunication nec, Jacques Meudec Robert Bodiguel, Marie-Christine Fleurissement Cornily, Patricia Nicol, Benoit Riou, Espaces verts Anne-Thérèse Le Goff Alain Le Roux, Joseline Jézéquel, Nicole Kéruzec, Sophie Barnit, Enfance-jeunesse Anne-Thérèse Le Goff Robert Bodiguel, Madeleine Nicol, Benoit Riou, François Roudaut, Cimetières Anne-Thérèse Le Goff Raymond Mercier, Robert Bodiguel (T), Gérard Pouliquen (T), Jacques Meudec Appels d’offres (T), Joseline Jézéquel (S), Alain Le Roux (S), Sylvie Charlou (S) Alain Le Roux, Joseline Jézéquel, Jean Pierre Mourocq, Sophie Barnit, Cantine Anne-Thérèse Le Goff Alain Le Roux, Joseline Jézéquel, Patricia Nicol, Sophie Barnit, Rythmes scolaires Anne-Thérèse Le Goff Robert Bodiguel, Florence Créac’h, Patrimoine Jean-Michel Croguennec, Benoit Riou, Chemins de randonnée Christian Le Foll Marie-Christine Cornily, Florence Créac’h, Jean-Michel Croguennec, Animation Sophie Barnit, Sylvie Charlou Nicole Kéruzec, Marie-Christine Cornily, Madeleine Nicol, Benoit Riou, CCAS Sylvie Charlou *Le Maire est d’office membre de toutes les commissions communales
8 – Alain Le Roux 9 – Jacques Meudec 10 – Patricia Nicol 11 – Raymond Mercier 12 – Jean-Pierre Mourocq 13 – Benoît Riou 14 – Anne-Thérèse Le Goff
15 – Joseline Jézéquel 16 – Marie-Christine Cornily 17 – François Roudaut 18 – Sophie Barnit 19 – Robert Bodiguel
Attribution de délégations de fonctions Adjoints
Fonctions déléguées
Affaires scolaires, Enfance-jeuAlain Le Roux nesse, Associations Finances-Personnel (administratif Joseline Jézéquel et enfance) Voirie-Bâtiments, personnel des Gérard Pouliquen services techniques
Conseillers
Fonctions déléguées
Madeleine Nicol
Déléguée aux affaires sociales, lien social Délégué à l’économie et aux services, artisanat, commerce, agriDélégué communication, patrimoine, chemins de randonnées
Nicole Kéruzec
Jean-Pierre Mourocq Jean-Michel Croguennec Affaires sociales-CCAS, Petite enfance Florence Créac’h
Robert Bodiquel
Urbanisme, Espaces urbains, PLU, Benoît Riou SPANC, Réseaux
Déléguée à la culture-animation
Délégué au fleurissement, espaces verts Délégué aux affaires relatives au François Roudaut cimetière
Patricia Nicol
Déléguée adjointe à l’économie
Sophie Barnit
Déléguée adjointe aux affaires scolaires
Désignation des délégués Organismes
Délégués
PLH du Haut-Léon Centre de secours Saint-Thégonnec
Raymond Mercier, Robert Bodiguel
SIVOM Voirie Saint-Thégonnec
Raymond Mercier, Gérard Pouliquen (T), Christian Le Foll (T), Robert Bodiguel (S), Benoît Riou (S), Jacques Meudec (S) Raymond Mercier (T), Robert Bodiguel (T), Gérard Pouliquen (S), Christian Le Foll (S)
SDEF Syndicat perception Syndicat des eaux de la Penzé CNAS Correspondant défense Maison de retraite Sainte-Bernadette CCPL (Communauté de Communes du Pays de Landivisiau)
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Raymond Mercier, François Roudaut
Raymond Mercier, Joseline Jézéquel Raymond Mercier, Gérard Pouliquen, Jacques Meudec Joseline Jézéquel François Roudaut Madeleine Nicol Raymond Mercier, Marie-Christine Cornily, Jacques Meudec
T = Titulaire ; S = Suppléant
Commune Des trottoirs et passages piétons envahis
Sécurité
La sécurité piétonne Sur proposition de la commission “Urbanisme”, le conseil municipal a validé des suggestions pour sécuriser les piétons dans leurs déplacements dans l’agglomération : – le stationnement sera interdit, des deux côtés, rue de la poste entre la route départementale et la rue de Kerall. – un projet d’aménagement, route de Penzé, sera proposé au début 2015 pour mieux marquer l’entrée de l’agglomération et réduire la vitesse. – après démolition de la propriété Seité, rue de Penzé, un aménagement sera effectué. Ces travaux sécuriseront ce secteur très fréquenté, tant par les véhicules que par les
piétons compte tenu de la présence du cabinet médical, de la pharmacie et d’habitations non pourvues de places de stationnement privatives. La proximité de deux lotissements impacte aussi la circulation dans ce secteur. Un plan de circulation pour les véhicules a été élaboré et validé. La rue et la venelle du patronage seront en sens unique et privilégieront le piéton. – le sentier entre la venelle de Prat-ar-Feunteun et le lavoir de Kernabat sera amélioré. – une sensibilisation sera faite auprès des automobilistes pour le respect des espaces piétons dans le centre-bourg.
Une signalétique sera implantée pour mieux localiser les différents parkings de l’agglomération. Le trottoir doit être le domaine du piéton, quelques exemples en photos nous rappellent que nous devons faire des efforts pour rendre plus accessibles
les trottoirs à tous les utilisateurs : handicapés ou valides. – dans les lotissements de nombreux sentiers piétons ont été aménagés et prochainement une réflexion sera menée pour définir des zones piétonnes. Un parking inoccupé !
Urbanisme
Zone de Kermat bientôt Depuis plusieurs années, l’urbanisation a été importante. Toujours attractive, notre commune a connu un ralentissement lié à la conjoncture économique. Des contacts sont en cours avec de nouveaux acquéreurs, quelques lots sont disponibles dans le lotissement du Styvell. Début 2015, de nouveaux logements sociaux sortiront de terre sur l’emplacement de l’ancien patronage. À la zone de Kermat, 2 à 3 entreprises ont prévu de s'installer prochainement.
Le Plan Local d’Urbanisme (PLU) : réglementation des sols au niveau communal. La commune est dotée d'une carte communale, c'est un document simple: elle com-
2 à 3 nouvelles entreprises
prend un rapport de présentation et un document graphique seul opposable au tiers. Elle ne comprend pas de règlement, c'est le règlement national d'urbanisme qui s'applique. La carte délimite des secteurs pouvant accueillir des constructions. La municipalité précédente a décidé de procéder à l'élaboration d'un Plan Local d'Urbanisme (PLU) en remplacement de la carte communale. Ce PLU possédera un règlement qui peut délimiter des emplacements réservés, des espaces boisés classés ou des dispositions de protection particulières, édicter des règles concernant la taille des parcelles, l'implantation des constructions, l'emprise maximale au sol ou encore des prescriptions architecturales particulières.
Le contenu du PLU : 1 – Le rapport de présentation qui explique le projet d'aménagement, de développement durable, les opérations d'aménagement et de programmation. 2 – Le PADD ( Projet d'Aménagement et de Développement Durable) qui définit les orientations générales de la politique d'aménagement et fixe les objectifs de modération de consommation d'espace. 3 – Les OAP (Orientations d'Aménagement et de
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Programmation) qui peuvent prévoir les opérations d'aménagement à mettre en œuvre, elles peuvent prendre la forme de schémas d'aménagement qui encadrent l'urbanisation des secteurs à urbaniser. 4 – Le règlement et ses documents graphiques qui fixent, en cohérence avec le PADD, les servitudes d'utilisation des sols. Actuellement la procédure est au stade de l'élaboration du PADD.
Démarrage du chantier habitat 29 à l'emplacement du Patronage
Associations
Grain de Sel
Une équipe des projets, des actions
L’objectif de l’association “Grain de Sel enfants malades de Bretagne” est d’apporter un environnement ludique et ainsi atténuer l'anxiété due à l'hospitalisation chez l'enfant.
Les dalles de jeux au plafond au pavillon mère-enfant de Saint-Brieuc : une première en Bretagne
L'aventure de l'association “Grain de sel” de Guiclan a démarré à Noël 2010. Les premiers bénévoles se sont rassemblés en mars-avril 2011 puis la collecte de journaux a vu le jour en partenariat avec la société Cellaouate de SaintMartin-des-Champs qui les recycle en ouate de cellulose. Dès les premiers versements d'argent reçus, un contact a été pris avec l'hôpital de Morlaix et plusieurs jouets ont été achetés pour la salle de jeux des petits et des ados. Au fil des années, l'équipe s'est étoffée, des manifestations se sont déroulées (loto, fest-noz, théâtre, etc.) et de plus en plus d'établissements ont pu bénéficier de l'aide de Grain de Sel. Aujourd'hui, ce sont les hôpitaux de Morlaix, Landerneau, Lannion, Quimper et SaintBrieuc qui font confiance à l'association guiclanaise ainsi que les services de pédo-psychiatrie du Nord-Finistère et le centre de rééducation de Perharidy à Roscoff. Sur le terrain, Grain de Sel agit sur 3 axes principaux : l'achat de jouets pour la pédiatrie, l'aménagement de salles de soins et salles de consultations, et le financement d'ateliers thérapeutiques.
Couloir menant au bloc opératoire de l’hôpital de Landerneau
en 2013 et sera bénéficiaire du prochain trail des pompiers de Morlaix en avril 2015. Les 25 bénévoles poursuivent toute l'année leurs actions sur le terrain et au plus près des besoins de chaque établissement. En octobre 2014, 20 salles du pavillon mère-enfant de Saint-Brieuc ont été équipées de dalles de jeux au plafond qui ont pour but d'atténuer l'anxiété des enfants hospitalisés. Une première en Bretagne, financée entièrement par Grain de Sel à hauteur de 10 000 €. Ce projet plébiscité par les médecins sera prochainement installé dans 27 espaces de l'hôpital de Morlaix (pédiatrie, urgences, ORL, etc.) puis de Quimper. Les achats de jeux continuent tout au long de l'année dès qu'un service en a besoin. Autre domaine important de l'association, le financement des ateliers thérapeutiques. En effet, depuis 2 ans, Grain de Sel finance les activités de théâtre sur toute l'année scolaire, pour les enfants de pédo-psychiatrie de Lesneven et l'équithérapie,
Marie-Christine Delavault 2e prix 2014 version Fémina Ces actions ont valu à la présidente Marie-Catherine Delavault, le 2e prix national de la femme, attribué par le magazine Version Fémina début 2014, et pour l'association, le prix départemental des Trophées de la vie locale du Crédit Agricole. De plus en plus de soutiens se font connaître notamment avec d'autres associations : “Handi'acteurs” et la vente de crêpes de novembre, “Terre d’espoir” et la collecte de journaux sur la commune. Grain de Sel a aussi eu la chance d'être mis à l'honneur lors des journées contre l'indifférence de Lampaul-Guimiliau
Equithérapie au centre équestre de Garlan pour les enfants de l’IME de Morlaix
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pour ceux de l'IME de Morlaix qui vont 1 fois par semaine au centre équestre de Garlan. Des ateliers artistiques sont régulièrement proposés au centre de rééducation de Perharidy à Roscoff qui a un lien très étroit avec Grain de Sel. Sorties en mer, sorties au spectacle, financement de groupes pour la fête de la musique sont autant d'activités offertes depuis 4 ans. Une ambiance familiale où chacun aide en fonction de son envie et de sa disponibilité, propose des idées, fait sans cesse renouveler les projets et fait avancer Grain de Sel. La première édition de la randonnée pédestre de Guiclan a eu lieu en juillet 2014, un succès ! D’ores et déjà une seconde édition est programmée pour le 12 juillet 2015. Toute personne souhaitant investir un peu de son temps ou simplement soutenir l'association peut s'inscrire pour 20 € l'année, en envoyant un courrier au 30 rue de Penzé – 29410 Guiclan Grain de Sel est reconnue d'intérêt général, ce qui permet la déduction fiscale.
Jeunesse
École du Sacré-Cœur
animations 2014 et prévisions 2015 L'école du Sacré-Cœur mise cette année sur le thème de : “La Protection de la Nature”. Les enfants de l’école lors de la journée “chasse aux déchets” à la vallée de Kernabat.
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a première action a eu lieu le 26 septembre 2014, lors d'une “chasse aux déchets”. Tous les enfants de l'école, munis de gants, chasubles et sacs poubelles ont appris à protéger la nature en nettoyant l'aire de jeu de la Vallée de Kernabat. La deuxième action aura lieu au second trimestre et sera organisée par la CCPL. Le thème : “Le tri sélectif”. En effet, une demi-journée
Les enfants chantant sur scène lors de la kermesse.
par classe, des membres de la Communauté des Communes du Pays de Landivisiau inviteront les élèves à trier divers déchets dans les différentes poubelles mises à leur disposition. Ceci afin de sensibiliser et éduquer nos enfants à trier et protéger notre environnement, indique la directrice, Mme Cuiec. Agenda de l'école : Foire aux jouets, soirée crêpes, loto… (afin de financer les différentes sorties et activités extra-scolaires). Décembre : spectacle de Noël des deux écoles, à la salle omnisports.
École Jules-Verne
Plusieurs projets cette année à l’école Jules-Verne 1er projet
École publique de Penzé L'école de Penzé accueille cette année 52 élèves répartis en 3 classes. Plusieurs projets sont prévus au programme : n Sortie cinéma pour les maternelles n Sortie spectacle, théâtre ou chant pour les 3 classes n Découverte de Roscoff, ses ports, ses activités.
Découverte du milieu “Terre ou Mer” Madame Doillon, la Directrice, a pour projet de faire découvrir le milieu des dunes ou des tourbières. Randonnée et orientation seront au programme. Toutes ces opérations et projets seront bien sûr pris en charge, en partie ,par l'APE qui proposera plusieurs manifestations telles que : n La fête de l'huître, n Le carnaval, n La vente de calendriers et le brûlage de sapins en début d'année 2015.
Tout d’abord, dans le cadre du programme d’histoire des classes CM1-CM2, les élèves iront à la découverte de Paris et de sa culture (du 30 mars au 3 avril) : le musée du Louvre, le musée d’Orsay, la tour Eiffel, la cité des Sciences et le château de Versailles. L’APE financera deux tiers du voyage par le biais de diverses manifestations.
2e projet “École Météo 29” en partenariat avec la station météo de Guipavas. Plusieurs classes du Finistère ont été choisies afin d’étudier le thème de la météo. Les élèves de la classe de M. Ramonet, aborderont la température avec, notamment, l’intervention d’une personne de météo France. Une restitution sera faite
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en mai à Océanopolis devant onze classes du Finistère. Six classes présenteront “les précipitations” et cinq classes “les températures”. Courant février, 5 tablettes seront mises à disposition par l’inspection académique afin de familiariser l’élève à l’“ipad”. Par exemple, les élèves de CM pourront créer un livre numérique relatant leur voyage d’études.
pour les informer sur le permis piéton. Puis un travail de classe sera réalisé afin d’être prêt pour l’examen final qui sera validé par la gendarmerie de Taulé. Les CM2 quant à eux seront sensibilisés aux recommandations et aux dangers face à l’utilisation d’internet.
Permis
La CCPL interviendra auprès des classes CE1/CE2 sur le tri sélectif.
La gendarmerie interviendra auprès des CE2
Le tri sélectif
Classe des CM1
Jeunesse
École publique
Mise en place des rythmes scolaires TAP N
otre commune a mis en place la réforme des rythmes scolaires à la rentrée de septembre 2014, pour les enfants de l’école Jules Verne. L’école du Sacré-Cœur a décidé d’attendre pour sa mise en œuvre. En effet, cette réforme, ne s’impose pas aux écoles privées, pour le moment. L’objet de cette réforme est d’alléger la durée des journées de classe, et de consacrer 5 matinées, au lieu de 4, aux apprentissages fondamentaux (lecture, calcul, géographie, histoire…), la capacité de concentration de chacun étant plus importante le matin. Les après-midi sont consacrées aux autres matières et au sport. Le temps libéré pour les activités périscolaires doit permettre aux enfants de connaître d’autres moyens pour exprimer leurs compétences.
À l’École Jules Verne, les horaires de classe sont les suivants pour les primaires : lundi, jeudi, vendredi de 9h00 à 12h00 et de 13h30 à 16h30, mardi et mercredi de 9h00 à 12h00 et pour les maternelles : lundi, mardi et vendredi de 9h00 à 12h00 et de 13h30 à 16h30, mercredi et jeudi de 9h00 à 12h00. Les temps d’activités périscolaires se déroulent le mardi de 13h30 à 16h30 pour les primaires et le jeudi de 13h30 à 16h30 pour les maternelles. Les enfants sont pris en charge par le personnel communal pendant ces 2 après-midi : Pour les primaires, 5 groupes d’une douzaine d’enfants ont été constitués et leurs programmes sont basés sur les thèmes suivants : n Sécurité/Citoyenneté, animé par Laetitia. Les enfants ont mis en œuvre des gestes citoyens : collecte de jouets et vêtements en faveur du secours populaires, affichettes en faveur des économies d’énergie pour la salle des sports et l’école : « ne
pas laisser couler l’eau , éteindre la lumière quand on sort d’une pièce… » n La culture et l’art, animé par Annie Rose qui a fait découvrir la culture bretonne sous toutes ses formes, cuisine, danse, langue… n Sport/motricité, animé par Françoise. Jeux collectifs sur le thème de la coopération. Le beau temps de ce début d’automne a permis de se rendre chaque semaine au terrain des sports et de pratiquer des animations en extérieur. n Numérique/informatique, atelier animé par Catherine , où les enfants ont écrit le premier journal “Tap’Infos”. n Activités manuelles/bricolage animées par Gaëlle : art plastique et art visuel sur le thème des couleurs et des perspectives. L’année scolaire est divisée en périodes, permettant à chaque enfant de participer à l’ensemble des ateliers. Chaque mardi après midi, 2 activités, séparées par une récréation, sont proposées aux enfants. Elles se déroulent dans les locaux suivants : – École Jules Verne pour les activités informatiques – Ancienne école publique pour les activités bricolage, cuisine – Salle des sports pour les activités sportives – Scène du Triskell et boulodrome Après un temps calme ou de
repos, les enfants de maternelle réalisent des activités au sein de l’école, ceci afin de limiter les déplacements : n Activités manuelles, encadrées par Celtina n Contes/lecture, avec Anne Lise et Armelle n Jeux, avec Laetitia n Sport/motricité, avec Françoise La mise en place de la réforme a eu de nombreuses conséquences sur le fonctionnement des services municipaux, et a entraîné des changements d’horaires dans les services à l’enfance : n Garderie municipale : en plus du fonctionnement habituel (lundi, mardi, jeudi et vendredi de 7h15 à 9h et 16h30 à 19h), elle accueille les enfants le mercredi matin de 7h15 à 9h00 n Centre de Loisirs : le mercredi, il accueille à partir de 9h les enfants scolarisés à l’école du Sacré-Cœur qui sont rejoints, à partir de midi, par les enfants scolarisés à l’école jules-Verne. n Permanence de cour à l’école Jules-Verne le mercredi de 12h à 12h30, pour permettre aux parents de venir chercher leurs enfants. n Service de cantine le mercredi : il accueille les enfants inscrits au centre de loisirs et les enfants qui ne peuvent pas être récupérés avant 13h30. La mise en place de cette
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réforme aura finalement eu peu d’incidences sur les activités mises en place par les associations. Seuls, les entraînements de tennis de table ont été transférés du mercredi matin au samedi matin. Notre commune a décidé de ne pas facturer les TAP aux familles pour cette première année d’application, année test et de mise en place. Vous serez peut-être sollicités par les animatrices pour partager vos passions, vos connaissances et votre temps avec les enfants. Vous pouvez aussi vous faire connaître en prenant contact avec les services de la mairie, si vous souhaitez participer à ces animations.
Associations
Football
Une équipe au
Les peintres de la Penzé
top niveau
C
ette année les U15 (13/14 ans) se sont particulièrement distingués en remportant la coupe du district Finistère Nord, le challenge Mosaïque récompensant la meilleure équipe en nombre de buts marqués et le championnat de D1. Cette équipe invaincue est composée de jeunes de Gui-
Alain Cojan
clan, Plouénan et Mespaul. Ces victoires permettent donc aujourd'hui, et pour l'année 2014/2015, à la génération suivante des Gars du groupement de l'Horn, d'évoluer en Ligue de Bretagne Football (LBF), avec des résultats très encourageants en ce début de saison. C'est pour récompenser cette équipe que, lors du Forum des Associations du 6 septembre dernier, nos joueurs se sont vus remettre, par la Municipalité de Guiclan, le trophée du sportif méritant. On leur souhaite bon vent pour cette saison très prometteuse.
“Toile d’Or”
A
lain Cojan a reçu en 2014, la distinction nationale “Toile d’Or 2013” accordée par la fédération nationale de la culture française. Cette fédération, créée en 2013, a un seul objectif : encourager et promouvoir les créateurs
artistiques, de toutes origines. Choisie pour son originalité et sa technicité, sa toile “Reflets”, avec ses dégradés de bleus, a été distinguée. En 2011, Alain a créé sur Guiclan “le Groupe artistique de la Penzé”, qui compte aujourd’hui 17 membres.
Né le 24 novembre 1942 à Douai (Nord), d’un père breton né à Carhaix et d’une mère parisienne. Dès l’âge de 7 ans, il se passionne pour la peinture en fréquentant l’atelier du peintre Romano, voisin de son oncle chez qui il passe la presque totalité de ses vacances scolaires à Paris. Il participera à un premier salon à Lyon en 1962. En 1967, il rencontre le peintre Godelier, qui va le parrainer pour son admission en tant que membre de l’association des artistes Douaisiens (association dont il sera le président de 1983 à 2005). La même année, il devient sociétaire de l’atelier Duhem et suivra les cours de Jean Gaudin. Il sera ensuite l’un des animateurs de cet atelier jusqu’en 2005. En 2005, à la mort de son épouse Anita (directrice de la galerie d’art l’atelier du vieux Douai), il abandonne toute participation au domaine artistique et ne peint presque plus. Il s’installe alors en Bretagne, d’abord à Plouigneau puis à Guiclan, où il vit désormais et a repris sa création artistique depuis 2007. Alain Cojan est un artiste moderne dont le style et la technique lui sont propres. Il peint l’essentiel, s’appuyant fortement sur la couleur qu’il contrôle tantôt en épaisseur tantôt en fluidité.
FNACA
Commémoration du
P
our le canton, la commune de Guiclan a reçu et organisé la commémoration du 19 mars cette année. 19 mars 1962, pour nous, c’est la seule date qui mérite d’être retenue par l’histoire pour le cessez-le-feu en Algérie, même si après, il y eut des actes qu’on peut qualifier de bavures. Bien sûr, les accords d’Évian n’ont pas été respectés par tout le monde. Le but de ces accords était surtout et avant tout de trouver une sortie vers la paix. C’était le résultat d’une négociation entre la France et le gouvernement provisoire de l’Algérie.
19 mars Depuis le 6 décembre 2012, la république institue une journée nationale du souvenir et du recueillement en mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d’Algérie et des combats de Tunisie et Maroc. Cette journée est fixée au 19 mars de chaque année. Le 19 mars 2014, à 17 heures, dix drapeaux se rassemblent devant la mairie de Guiclan. Ils représentent les comités locaux du canton de SaintThégonnec plus Guiclan. À 17h30, le cortège se met en route vers le monument aux morts. La circulation est neutralisée dans le centre bourg. Au cours de la cérémonie, sept anciens d’Algérie seront décorés. Les directions des écoles ont accepté la participation des enfants. Deux lectures adap-
tées ont été préparées pour eux. Si nous faisons intervenir les enfants c’est pour qu’ils s’intéressent à l’histoire de leur pays et qu’à leur tour, ils rendent hommage à ces jeunes gens qui, à travers un destin tragique, ont donné leur vie au nom de la paix et de la liberté. La mémoire des hommes est fragile. Avec les jeunes, évitons ensemble le trou de l’oubli. Faisons en sorte que les sentiments qui animent nos manifestations patriotiques se transmettent de génération en génération,
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le passé est garant de l’avenir. Après la cérémonie, un apéritif était offert aux participants par la commune de Guiclan. Ensuite, 120 personnes ont participé au repas servi au Triskell. Tous en gardent un bon souvenir, chants, histoires, guitare, ont entretenu une bonne ambiance toute la soirée. Le comité local de Guiclan compte aujourd’hui 47 adhérents dont 17 veuves. C’est avec plaisir que nous avons accueilli un nouvel adhérent en la personne de Denis Kaouane.
Associations
Le club dans les années 1990…
Club de l’amitié : 1974-2014
40 ans ! d’existence L
e Club des Anciens a été créé le 10 décembre 1974 par Pierre Fichou. À cette époque, la création d’activités de ce genre était un besoin réel. Dans toutes les communes, lorsque les retraités de différents secteurs d’activités se sont retrouvés sans occupation principale, le Club des Anciens leur a permis de se rencontrer une ou deux demi-journées par semaine pour pratiquer leurs jeux favoris : dominos, pétanque sans oublier les histoires « sonj e peus » et bien sûr la pause-café et le « bane gwin » très important et toujours d’actualité !!! Le club changera de dénomination à deux reprises. En 2002, lors de l’assemblée générale, « le Club des Anciens » deviendra « l’Amicale des Retraités » et en 2008, il passera sous son nom actuel : “le Club de l’Amitié”. L’Amicale des Retraités est
devenue Club de l’Amitié pour donner un rajeunissement à l’appellation et créer d’autres animations telles que la belote, le scrabble, le triomino, l’aquagym et l’informatique en conservant bien sûr les dominos, la pétanque et la marche, tout cela dans une bonne ambiance. Nous sommes bien sûr à l’écoute de nouvelles idées à mettre en place qui pourraient nous parvenir de la part de jeunes retraités adhérents ayant pour ambition le maintien du club tout en faisant du social. (ouvert à tous). Le Club de l’Amitié compte aujourd’hui 130 adhérents (es), avec une participation moyenne de 20 personnes à la belote le mardi et de 65 le mercredi.
Le club fait aussi partie du secteur de la Penzé, qui regroupe sept autres clubs avec lesquels sont organisés des concours interclubs, à tour de rôle, suivant un calendrier établi à l’année. Tous les ans une journée, avec toutes les animations possibles, est organisée dans le secteur de la Penzé (journée de la forme). Nous avons aussi dans notre programme de l’année, des sorties à l’extérieur, en car, et des journées découvertes dans notre région.
“On ne peut que constater le bon travail et le bon fonctionnement du club qui a été effectué par ses présidents antérieurs (voir encadré) et par les différents responsables et bénévoles. Nous espérons voir le club de l’Amitié continuer dans cette bonne marche tout en y apportant des nouveautés.
Pour conclure
Vous qui vous trouvez isolé et recherchez un endroit pour vous distraire ou trouver une animation, venez nous rejoindre, vous serez les bienvenus”. Yves Tanguy, président
Les présidents du club de l’Amitié Depuis la création du club le 10 décembre 1974 à nos jours 1 – Pierre Fichou, de 1974 à 1984 2 – Jean-Marie Le Hir, de 1984 à 1988 3 – Edouard Léon, de 1989 à 1993 4 – André Saout , de 1994 à 1997 5 – Jean Creff, de 1998 à 2000
6 – Pierre Abgrall, de 2000 à 2002 7 – Antoinette Kercaven, de 2002 à 2006 8 – Yves Charles, de 2007 à 2010 9 – Yves Tanguy, depuis 2010
Peinture monuments aux morts
U
n grand merci à Alain Cojean et son équipe pour avoir rafraîchi les lettres des inscriptions sur le monument aux morts. Pierre Fichou
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Jean-Marie Le Hir
Pierre Abgrall
Edouard Léon
Antoinette Kercaven
André Saout
Yves Charles
Jean Creff
Yves Tanguy
Animations
Les pardons bretons
Le pardon
De mai à octobre, tandis que les touristes envahissent les terres bretonnes, cantiques et litanies s’élèvent vers le ciel armoricain en même temps que se hissent en des processions colorées bannières, croix, reliques, statues de saints portées par des hommes ou des femmes en costume traditionnel. Les pardons bretons semblent bien constituer une spécificité du folklore local. Mais ils expriment aussi de façon remarquable la foi, la piété et la dévotion du peuple breton envers ses saints protecteurs.
Origine
1 200 pardons bretons
Le Pardon trouve ses origines dans les confréries qui divisaient les paroisses en quartiers : chacune se mettait sous la protection d’un saint et lui portait une dévotion particulière. Les habitants du quartier se devaient aide et assistance au sein de la confrérie : ils se réunissaient une ou deux fois par an pour rétablir leur unité et se donner un pardon mutuel. À partir du XVe siècle, la construction des églises permit les premiers pèlerinages : de grandes assemblées se réunissaient en des messes solennelles et en des processions pour obtenir le pardon des péchés, les indulgences, exécuter un vœu ou encore demander des grâces. Ces traditions religieuses ancestrales trouvent aujourd’hui un regain grâce au rôle de nombreuses associations. Leur caractère social et identitaire est clairement manifesté, comme le prouve la fête populaire qui les clôt : les danses bretonnes viennent mêler le profane au sacré. Traditions vivantes mêlant folklore et sacralité, les pardons sont donc bien une racine pour l’identité bretonne.
Ainsi, ce ne sont pas moins de 1 200 pardons qui sont chaque année fêtés en Bretagne. Tous ne s’équivalent pas cependant : de grands pardons tels que celui de Sainte Anne d’Auray rassemblent des milliers de personnes et touristes, mais la majorité sont des petits pardons pleins de ferveur religieuse, notons ceux du Folgoët et de Rumengol dans le Finistère. La procession
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Le plus connu et celui qui a le plus d’ampleur est bien le TroBreiz, “Le tour de Bretagne”. Depuis le XIIe siècle, les sept saints fondateurs des évêchés armoricains sont vénérés dans un parcours de plus de 500 kilomètres reliant leurs tombeaux aux sept évêchés : Samson à Dol, Malo à Saint-Malo, Brieuc à Saint Brieuc, Tugdual à Tréguier, Pol-Aurélien à SaintPol-de-Léon, Corentin à Quimper et Patern à Vannes.
Animations L’apéritif traditionnel du pardon offert par la municipalité
saint Pierre de Guiclan & les pardons bretons Le Pardon saint Pierre de Guiclan Il a lieu traditionnellement le dernier week-end de juin. Les associations animent le bourg du vendredi au dimanche. Cette année, à l'initiative de la commission “animation”, un marché local a été organisé, avec une quinzaine de producteurs : produits de la ferme, glaces artisanales, vannerie, bijoux, poupées, cosmétiques, cidre…
Un stand était également tenu par le groupe Animation jeunesse, afin de financer un camp.
Des balades à poney organisées par Sonia Guillou, monitrice éducatrice, de Kerlaoudet.
Sous la houlette d’Alain Cojan, le groupe artistique de la Penzé, qui exposait pour la 3e année, a également innové cette année, en proposant un marché aux croûtes. De nombreux exposants ont présenté leurs œuvres, en les vendant à petits prix.
Tout au long de ce week-end bien ensoleillé, le public a également pu admirer les réalisations de Loïc Martius, sculpteur sur fruits et légumes bien connu des guiclanaises et guiclanais.
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Patrimoine
Quand Yvon Quélennec entend les coups rapprochés du tocsin, il moissonne l’un de ses champs. Il s’arrête aussitôt, essuie une goutte de sueur et laisse là son ouvrage. Son livret militaire est rangé dans l’armoire de sa chambre. En redescendant l’escalier, il pleure. Le surlendemain, il quitte sa ferme pour Brest, laissant derrière lui sa femme et ses trois enfants encore jeunes, de Herveline 7 ans à Gabriel 13 ans.
et
histoire
La guerre 1914-1918 (2 partie) e
Famille Quélennec
l’enfer de la guerre * Extraits du livre “La Fumée au-dessus du toit”, écrit par Michel Quélennec, natif de Guiclan, petit-fils d’Yvon Quélennec.
Yvon Quélennec vers 1935
Y
von Quélennec est versé dans la « territoriale ». Il touche le célèbre uniforme : pantalon rouge garance et capote bleue. Pendant quelques semaines, il pense qu’en raison de son âge, 40 ans, et de sa situation de famille, il aura un poste, loin du front, dans le soutien logistique des troupes combattantes. Il perd vite ses illusions. L’année 1914 n’est pas terminée que le voilà engagé dans la première « Bataille de Champagne » au terme de laquelle le front se stabilise sur une ligne Soissons-Reims. Confronté aux horreurs de la guerre, il a cherché dans la religion, force et consolation. Il acceptait son sort avec résignation. Comment faire
autrement quand les seules alternatives étaient la rébellion,la désertion, la folie ou le suicide ? Ses nerfs ont tenu parce que tous, riches et pauvres, étaient logés à la même enseigne et parce qu’il régnait entre soldats, une certaine fraternité. À partir de juillet 1915, il revient de temps en temps vers les siens. Les soldats du front avaient droit à trois permissions de sept jours par an. Le retour sur les champs de bataille était un crève-cœur. Yvon a essuyé plusieurs fois le feu de l’artillerie adverse, mais il n’aurait frôlé la mort qu’une fois. C’était un matin. Pris d’une envie subite, il pose son sac à terre et s’écarte pour se soulager. Lorsqu’il revient,
son sac est criblé d’éclats et son camarade, blessé. Il est des circonstances où la vie tient à peu de chose. Ce sac, Grand-père l’a conservé toute sa vie comme une relique. Pour faire le poids face à l’Allemagne, plus peuplée, l’armée ratissait large. Tous les hommes valides, de 21 à 49 ans, étaient enrôlés. Grandmère Plantec voit partir, en plus de son mari, dès le début de la guerre ou plus tard, ses deux frères, cinq ou six cousins de sang et autant de cousins par alliance. Du côté des parents d’Herveline, ce sont un frère, un beau-frère et une dizaine de neveux qui sont pris sous l’uniforme. L’un deux, Alain Normand, est mobilisé malgré ses cinq enfants, tous
âgés de moins de huit ans ; il n’est libéré qu’après trois ans de guerre, à la naissance de son sixième enfant. Les froides statistiques nous enseignent que 22% des mobilisés bretons sont morts à la guerre alors que la moyenne nationale n’est que de 16% ; Le tribut, versé par Guiclan, commune de 3100 habitants à l’époque, est plus sidérant encore. Pas moins de 177 noms sur le monument aux morts. Plus du quart non pas des mobilisés mais des hommes en âge de l’être. Pourquoi ces différences ? Pourquoi ? Il n’y a pas de mots pour exprimer le soulagement et la joie que ressent Yvon en entendant le clairon sonner la
Jean-Marie et Jean-François Calvez du Guern
Alain Bléas, de Kerbrat
J
ean François Calvez est décédé le 14 février 1919, à Strasbourg, “des suites d’une maladie contractée en service commandé”. Son frère Jean-Marie sur la photo, 2e en haut à partir de la gauche avec ses copains de régiment, est rentré indemne au pays. Ci-dessous, sa citation à l’ordre de la Brigade.
V
euf avec trois enfants, Alain Bléas a été appelé pour combattre en 1916. Il est rentré indemne de cette guerre, mais se remémorait souvent ces moments horribles passés “au chemin des Dames”. Il reçut la médaille de Guerre et la Légion d’honneur.
Alain Bléas et ses trois filles.
La famille d’Alain dans sa maison de Kerbrat. Un voisin vient donner de ses nouvelles du Front à sa famille et à l’ouvrier de la ferme.
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Jean-Marie Calvez (2e en haut à partir de la gauche ), et des copains de régiment
Patrimoine
fin des combats, le 11 novembre 1918, à 11 heures. La démobilisation prend du temps. Les vieux sont libérés les premiers. Grand-père retrouve sa famille en janvier 1919. En comptant son service et les périodes militaires, il a passé près de huit ans de sa vie sous les drapeaux. De retour à la vie civile, les rescapés n’arrivent pas à oublier. La vision des boyaux aux odeurs de latrines dans une terre retournée par les explosions et hérissée d’arbres fracassés et de végétation calcinée, se substitue dans leur esprit à l’image qu’enfants, ils se faisaient de l’enfer ; Leurs cauchemars sont peuplés de jeunes gens livrés aux poux, de damnés aux vêtements trempés, grelottant de froid et de peur
et
dans des ruelles de boue, de poilus abasourdis par le bruit, d’ouvriers de la mort montant à l’assaut, de jeunes poitrines détruites par les gaz et de corps déchiquetés par les explosions ou défigurés par les flammes. La plupart des survivants n’étaient pas très bavards. La guerre terminée, la vie retrouve ses droits ! Le retour des guerriers déclenche une frénésie de mariages.
histoire
Hôpital militaire
Yves Couloigner, de Kermaria
Y
ves Couloigner est incorporé au 19e régiment d’infanterie le 10 octobre 1913. Blessé le 6 août 1916, il est amputé de l’avant-bras droit au 1/3 inférieur et a reçu la médaille de Guerre et la Légion d’honneur. Médailles de guerre et légion d’honneur
Les “Normand”
F
rançois-Marie, le frère d’Herveline, Saïk ar Porz pour les gens de Kerilly, est incorporé avec la classe 1917. Affecté au 321e Régiment d’Infanterie, il participe à la terrible bataille du “Chemin des Dames” au temps des offensives de rupture de Nivelle, en avril 1917. Le général en chef comptait sur un effet de surprise mais les Allemands, qui avaient eu vent de son projet, déjouent son plan. Le front ne bouge quasiment pas. Nivelle refuse de reconnaître son échec. Il s’entête pendant plusieurs jours puis hésite un peu. Persuadé, après les quelques jours de flottement, qu’il a le soutien du gouvernement, il relance l’offensive au chemin des dames, le 4 mai. Le village de Craonne est enlevé aux Allemands, ce jour-là. Le lendemain, les troupes achèvent le travail en conquérant plusieurs points d’appui à l’est et au nord de Craonne. François-Marie meurt au combat, ce samedi 5 mai 1917, à neuf heures du matin, à flanc de coteau entre le chemin des
de Guiclan pendant la guerre 14-18 Guillaume, Hervé et François Marie Dames et la vallée de l’Aisne, sur la commune de Beulne et Chivy aujourd’hui VendresseBeaulne). Il avait eu vingt ans, le 16 mars. Sang versé, Tribut absurde et inutile car, faute d’avoir acquis au préalable une supériorité matérielle en canons, blindés et avions, les insistances de Nivelle étaient condamnées à n’être que des échecs meurtriers. J’imagine la profondeur du chagrin de Marie-Jeanne, sa mère, et de Jean-François, son père, quand ils ont vu arriver le maire de la commune porteur du papier bleu leur apprenant la fin tragique de leur fils.
Le corps de François-Marie, tué à l’ennemi, a été déchiqueté sur le champ de bataille. La terre des marches l’a absorbé dans ses entrailles. Il est là-bas, à flanc de coteau, sans sépulture, loin de son village natal. Pendant cinquante ans, personne n’est venu se recueillir sur les lieux où il a péri. François et Annie, en poste à Laon, sont les premiers enfants d’Herveline à faire le pélerinage du Chemin des dames, un bouquet de fleurs à la main. D’autres parents, de passage chez eux, sont allés à leur suite honorer sa mémoire.
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Hervé Normand, de Kerilly, est revenu indemne Son cousin François-Marie Normand (et voisin de Kerilly) est Mort pour la France. Son beau-frère Guillaume Normand du bourg est Mort pour la France.
Transcription du texte ci-dessus : « Normand Hervé, n° de matricule 4224, brigadier à la 3e batterie : Gradé très courageux, et par son exemple a soutenu le moral des hommes de sa pièce, et s’est dépassé sans compter pendant les journées des 27, 28 et 29 mai 1918. (À droit à 2 jours supplémentaires à sa prochaine permission) »
Reportage
Marie Milin et Louis Cornily
Généapassion Marie-Louise Milin
Louis Cornily
Nous avons rencontré deux passionnés qui ont bien voulu nous faire partager leurs recherches. Marie-Louise Milin est née à Roscoff en 1934, elle est la seconde d’une fratrie de 9 enfants. Veuve très jeune elle a élevé seule ses 4 enfants. Elle a habité à Kergoat. Aujourd’hui elle réside 6 rue de la métairie. Louis Cornily est né à Guiclan en 1956, il est le second d’une famille de 3 enfants. Il habite à Kerlaviou avec son épouse Marie-Christine, ils ont eu 3 enfants. Il tient une exploitation laitière. D’où vient votre passion ?
La “Bible” des descendants de Marie-Louise Milin
Marie : “A 70 ans, les enfants et la famille m’ont offert un ordinateur. J’ai donc pris des cours et c’est comme cela que je me suis lancée dans la généalogie. J’ai recherché mes ancêtres sur la famille Le Mestre en consultant le site Geneanet”. Louis : “en 2005, l’idée m’est venue de rechercher mes ancêtres en voyant l’arbre généalo-
gique d’un cousin de mon père. J’ai été à la mairie de Guiclan avec comme référence les noms de mes grands-parents et arrières grands-parents. J’ai relevé toutes les indications sur le nom Cornily et je me suis aperçu qu’il y avait plusieurs familles Cornily au bourg, à Kerlaviou, au Roz Kerdeland et à Toul-al-lan » .
Quels moyens utilisez-vous ? Marie : “J'ai effectué plusieurs recherches sur les familles Le Mestre Bouroullec, Milin Signard. Mes ancêtres ont surtout vécu sur Ploudaniel, Tréflez, Cléder et SaintThégonnec. J’ai donc consulté les registres en mairie de toutes ces communes. Ensuite j’ai saisi toutes les informations (noms de famille, dates de naissance, de décès, de mariage, parrain, marraine) sur un logiciel spécifique CDIP 2013. J’ai adhéré au
centre généalogique du Finistère. L’antenne se trouve à Morlaix. En y adhérant, j’ai le droit de consulter le site GENEABANK. On y trouve plus de 8 millions de relevés d’actes sur le Finistère et sur une partie des Côtes d’Armor”. Louis : “J’ai également commencé par me rendre dans différentes mairies comme Guiclan, Bodilis, Saint-Sauveur, Pleyber-Christ, Tréflévénez, Le Tréhou. Mes recherches se portaient sur les familles Cornily Hameury, Salaun Quillien. J’utilise un logiciel GENEWEB que je complète au fur et à mesure. J’ai consulté beaucoup de livres comme celui entre autres d’Yves Miossec « Une vieille paroisse bretonne » et de Louis Elégouet « Les Juloded ». En 2005, j’ai adhéré aussi au centre de généalogie où j’y passe quelques après-midi d’hiver. Je consulte régulièrement le site : « archives du finistère.fr ». J’y trouve les relevés de recensement de 1836 à 1911 par communes et par villages, les registres matricules militaires de 1867 à 1897, le cadastre napoléonien de 1827”.
Jusqu’à quelle date êtes-vous remontés ?
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Marie : “Mes plus anciens ancêtres du côté Le Mestre datent de 1565”. Louis : “Les miens remontent à 1584”.
Reportage
La généalogie est une passion dévorante et délicieusement contagieuse Combien d’ancêtres avez-vous dans votre arbre généalogique ? Marie : “J’arrive à 984 ancêtres, je complète tous les jours sur mon logiciel. Dernièrement je viens de trouver une arrièrepetite-fille à une sœur à ma grand-mère qui habite au Mans et une autre arrièrepetite-fille à une sœur à mon beau-père qui vivait dans les Vosges et maintenant elle réside à Botmeur. Pour laisser une trace écrite de notre famille, j’ai élaboré un livre qui retrace la descendance de mes arrières grands-parents François-Louis Le Mestre et MarieJeanne Coeffeur nés en 1779 et 1784. Jusqu’à nos jours j’arrive à 740 descendants. La majorité des ancêtres sont restés en Bretagne”. Louis : “Pour ma part, j’arrive à 1513 ancêtres sur 14 générations. Mes principales recherches se portent surtout sur la vie de mes ancêtres, où ils ont habité, comment ils ont vécu, quels étaient leur profession. Le site des archives du Finistère m’apporte beaucoup de renseignements. Toutes ces informations, je les note sur un cahier et je les agrémente de photos”.
Quelques anecdotes peut-être ? Marie : “Ma petite enfance s’est passée une partie à Roscoff et une autre en Écosse. J’allais avec mes parents qui étaient «Johnnies», vendre des oignons. Une petite anecdote dont je me rappelle en Écosse. Un jour où je me promenais avec mon papa, dans un parc de loisirs. J’ai reçu un coup de
pied près de l’œil avec un anglais qui jouait à la balançoire. J’ai dû être hospitalisée pour faire quelques points de suture et j’en ai longtemps gardé la cicatrice. Mon frère Pierre-François-Marie de 2 ans mon cadet est décédé en Écosse d’une méningite foudroyante à l’âge de 11 mois et demi le 1er janvier 1937”. Louis : “En consultant les registres des délibérations des conseils municipaux de Guiclan, j’ai trouvé une anecdote : le 3 septembre 1821 : «JeanMarie Guillerm domicilié à la Haye s’est présenté aujourd’hui au bureau de la mairie, à l’effet de prendre un mouchoir de poche, 31 centimes et 5 cartes qui avaient été saisis sur le jour pendant l’office le jour du pardon de Kersaint Gilly, le 26 août dernier, par François Ménez garde champêtre de la commune et a le dit Guillerm
emporté les dit effets et a signé». Je me suis intéressé à la chapelle de San-Dodu (Saint ildut) qui dépendait du manoir de Kerfaven. J’y ai trouvé 28 mariages de 1656 à 1668. Les jeunes mariés étaient des environs de Kerlaviou, Kerbriant, Kerriou, Kerfaven et aussi de Guimiliau. Le dernier mariage où est cité Saint iIdut date de 1740. Il a été célébré pendant la
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L’arbre généalogique et extrait de la famille de Louis Cornily
période de l’avent avec autorisation spéciale de Monsieur Le Borgne de Kermovan vicaire général de léon. (source : acte provenant de la mairie). Cette chapelle a été démolie avant la révolution et les pierres ont servi à construire des habitations dans les environs”.
Reportage
La ferme du Combot
Vente directe et animations L’un, Thierry, était salarié comme chef d’équipe paysagiste dans une entreprise morlaisienne, l’autre, Jean-François, exploitant agricole (vaches laitières/porcs) depuis 1996 sur des terres situées à Locmenven et Kerlann.
F
in 2008, au décès de leur mère, les frères Cloarec décident de s’associer pour reprendre la ferme du Combot exploitée par leurs parents. Ils créent alors une structure familiale bicéphale autour de deux sociétés. “Au service du jardin”, entreprise d’entretien et de création paysagiste, leur permet de satisfaire un vieil objectif de Thierry tout en fidélisant une première clientèle dans le secteur “Léon” allant de Santec à Plouézoc’h. “La Ferme du Combot”, objet de notre propos, dotée d’une structure dirigeante renforcée, va pouvoir s’ouvrir à de nouvelles perspectives de développement et de diversification.
La vente directe : un beau projet de reconversion réussie. Jean-François : Durant les deux premières années de 2009 à 2010, nous avons continué la production laitière. Puis forts de notre clientèle constituée autour de notre activité d’entretien de jardins, en 2011 nous décidons de « tester » la vente directe de bovins “Blonde d’Aquitaine” (sur réservation) en investissant dans une première armoire réfrigérée. Devant le succès rencontré, nous arrêtons rapidement notre production laitière pour la rempla-
cer par un cheptel de vaches allaitantes. Thierry : Puis en 2012, première étape de diversification, nous proposons du porc issu de notre élevage de Locmenven à la vente en libre-service ! En 2013 qui voit la reconstruction à neuf de l’étable à bovins du Combot, nous entamons la réflexion sur la construction d’un magasin spécialement agencé et équipé pour recevoir notre clientèle dans d’excellentes conditions et en toute convivialité. Jean-François : Ce sera chose faite en mai 2014 ! Dans un décor chaleureux et convivial (vue sur l’étable), tout en continuant la vente en frais de colis de bœuf, de porc, mais aussi d’agneau, nous proposons maintenant à la vente en libre-service et au détail, de la viande de bœuf ou de porc surgelée sous vide. De même, des produits de transformation à forte valeur ajoutée issus des produits de la ferme tels rillettes, terrines... sont maintenant proposés dans nos étalages. Enfin, nous avons ouvert notre magasin à d’autres producteurs locaux de Guiclan ou des environs : “Les bonnes herbes de Kerlaoudet”, Alain Berrou (cidre), Picodim (légumes en bocaux)… Thierry : Quelques chiffres pour dimensionner l’activité annuelle
La saucisse au confit d’oignon de Roscoff À la recherche d’un produit du terroir bien de chez nous, c’est au travers d’une conversation à la fête de l’oignon à Roscoff que l’idée leur vint. Ainsi naquit la marque déposée « La saucisse au confit d’oignon de Roscoff » qui valut à la Ferme du Combot une invitation sur le stand Bretagne au Salon de l’Agriculture 2013, avec 15 autres produits innovants de notre région ! Grand succès pour ce produit avec des volumes de vente annuelle compris entre 2.5 et 3.0 tonnes sans compter les quelque 600 kg écoulés à la fête de l’oignon à Roscoff !
Ouverture du magasin : tous les vendredis de 17h à 19h samedis de 9h30 à 12 heures – Tél. 06 08 58 67 10 Site internet : http://la-ferme-du-combot.fr
de vente directe : 20 bovins, 80 porcs et 50 agneaux sont ainsi commercialisés. Pour le bœuf, cela représente 70% de la jeune production (génisses de 30 mois).
L’animation : vecteur de communication Jean François : Très vite nous comprenons que le marketing et la publicité sont des composantes essentielles du développement de nos activités. Dès 2012, la ferme du Combot est présente au salon de la Gastronomie de Morlaix, au marché de Noël de Guiclan, au forum de Ploudaniel, à la fête de l’oignon à Roscoff. En 2013, nous créons une association “Combot Animation” avec des voisins et amis. À la mi-juillet le loto bouse couplé avec un marché de producteurs locaux au Combot connaît un grand succès et permet de faire connaître le “berceau” de notre production. Thierry : Ce que nous développerons encore en avril 2014, avec une première journée portes ouvertes et petit-déjeuner à la ferme (100 convives) organisée conjointement et labellisée avec le réseau Bienvenue à la ferme dont je suis administrateur. Jean-François : Nous récidivons
en octobre avec 150 petitsdéjeuners servis et une animation encore plus présente autour d’ateliers cuisines animés par Loïc Martius (légumes) ou Marine Lamour (algues) et un concours de bœuf bourguignon remporté par Albert Rolland de Guiclan (en catégorie amateur).
Et maintenant ? Jean-François : Nous allons lancer un “vrai” site internet permettant des achats en ligne avec des moyens de paiement électroniques. Après les particuliers, nous entendons développer nos ventes vers les collectivités, restaurants scolaires, etc., à travers ce qu’on appelle les circuits courts. Nous y voyons beaucoup d’opportunités de développement. Thierry : Nous réfléchissons aussi au lancement de nouveaux produits qui comme “la saucisse au confit d’oignon de Roscoff”, marque déposée, transmettent une image positive et assurent notre notoriété bien au-delà de notre région. »
Information
Hébergement touristique sur la commune
De nombreuses offres
D
e nombreux touristes sillonnent notre commune pendant l’été. Ils apprécient tout particulièrement le calme de notre campagne et également les chemins de randonnées dans la vallée de la Penzé. Nous avons voulu vous présenter les hébergements qui peuvent les accueillir :
d’hébergement
Gîtes Dirou Bernard et Lydia , Kerougay, capacité 5 personnes, 02 98 24 60 86, mail : berly.mat@free.fr
Tanguy Louis - Penhoadic, capacité 6 personnes, 02 98 79 66 18, mail : louis-tanguy@orange.fr
Cornily Mariechristine - Kerlaviou - capacité 4 personnes, 02 98 79 44 34, mail : marie.christine.cornily@gmail.com
Pouliquen Annick - Le Fagot, capacité 4/5 personnes, 02 98 68 77 98 , mail : gerard.pouliquen@wanadoo.fr
Meublé Bauduin Pascal - Kerbrat, capacité 4 personnes , 06 76 76 04 14, mail : pascalbauduin@orange.fr
Chambres d’hôtes Madame Tanguy MarieLouise, Penhoadic 2 chambres labellisées 02 98 79 43 85
Messager Jean et Ange - Kerbrat, capacité 8 personnes, 02 98 61 33 24, mail : jean.messager@orange.fr
Guiclan autrement : au-delà de chaque difficulté, une opportunité ! Guiclanaises, Guiclanais, Cher(e)s Ami(e)s, Le 30 mars 2014, les Guiclanaises et Guiclanais ont décidé de reconduire la municipalité en place depuis de nombreuses mandatures. Dans le contexte inédit pour notre commune d’une triangulaire au second tour, ce scrutin très serré a octroyé une majorité toute relative à l’équipe sortante. C’est d’abord à nos électeurs que nous pensons ! Au-delà de leur déception que nous imaginons, nous tenons à les remercier pour leur confiance et leur engagement. Avec 45% des suffrages, nos propositions novatrices de démocratie locale font leur chemin et sont à ce jour probablement majoritaires sur la commune. Soyons lucides et déterminés pour voir dans ce contre temps de nombreuses opportunités pour rebondir et consolider nos actions! Dans la difficulté, quelques petites avancées. Le jour de l’installation de la nouvelle municipalité, nous avions affirmé notre volonté d’assurer notre rôle d’opposition sous une forme de “contrôle constructif”. C’est avec confiance et espérance que nous attendions quelques petits signes d’ouverture. Hélas ils ne sont pas venus ! La construction de la liste de personnes à proposer à l’administration pour la constitution de la Commission Communale des Impôts Directs (CCID), donnait à la majorité une occasion unique de créer un climat d’apaisement tout en respectant la démocratie. Elle n’a pas eu l’intelligence ni la volonté de la saisir! Vraiment dommage ! Pire, un de nos élus sera victime de
harcèlement lors d’une réunion de commission : juste intolérable! Dans ce contexte difficile, nous n’avons cessé de considérer les dossiers avec objectivité, en les soutenant quand ils nous semblaient positifs pour la population et en s’opposant quand ils ne nous semblaient pas aller dans le bon sens. Ainsi désormais les procès verbaux des réunions du conseil municipal sont exhaustifs, précis et affichés en mairie sous huitaine (ce que la loi exige !). Nous vous invitons à les consulter sur notre blog où, en toute transparence, nous en publions l’intégralité. La mise en concurrence pour les travaux communaux, fussent-ils peu importants, désormais actée est entrée dans les mœurs. Toutes les boîtes aux lettres de Guiclan reçoivent aujourd’hui le bulletin municipal ! L’Equité est enfin au rendez vous ! Cela faisait des années que nous le demandions ! Depuis des années également, avec constance, clarté et détermination, notre groupe de Guiclan Autrement soutient la solution « locale avec fabrication sur place » pour le futur projet de restaurant scolaire. En octobre, sur proposition de la commission « cantine » ce modèle est enfin adopté à l’unanimité par le conseil municipal. C’est une décision de bon sens par ailleurs massivement soutenue par la population au travers d’une pétition que nous avons fait circuler. Ce mode de fonctionnement permettra d’assurer des prestations de qualité à nos enfants en minimisant les déchets. Tout en favorisant les emplois, il pourra stimuler l’approvisionnement de produits de qualité auprès
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de producteurs locaux organisés en « circuits courts ». Nous serons à nouveau force de propositions quant à sa mise en œuvre et son fonctionnement. Toujours plus proches de vos besoins. Nous nous sommes engagés auprès de la population à lui modeler un Guiclan qui soit “Autrement”. Malgré une marge de manœuvre étroite et des pouvoirs restreints nous entendons consacrer toute notre intelligence, toutes nos forces à la réussite de cet objectif. Toujours plus proches des Guiclanais ! Telle est notre devise ! Depuis septembre, nous éditons une Newsletter mensuelle, n’hésitez pas à vous renseigner pour la recevoir ! Nous allons tenir des permanences, venez nous voir ! Réunis en assemblée générale à St Jacques, nous avons décidé d’ouvrir notre groupe de réflexion à nos sympathisants, rejoignez-nous ! L’action de nos élus ne peut se concevoir qu’autour d’un projet partagé par une structure citoyenne la plus large possible. Là où les pessimistes voient une difficulté dans chaque opportunité, nous préférons voir l’opportunité qui se cache derrière chaque difficulté. Guiclan Autrement vous souhaite un Joyeux Noël et vous présente ainsi qu’à vos proches ses meilleurs Vœux de bonne santé, de bonheur, et de réussite pour l’année 2015. “Eur bloavez mad ha laouen deoc’h oll, kenkoulz ha d’ho keiz” Blog : http://guiclanautrement.com Email : guiclan_autrement@numericable.fr
Reportages
en marche vers u llo ui G Sonia la médiation animale D’où vient cet intérêt pour la médiation animale comme thérapie ? Depuis toute gamine, je suis attirée par les animaux. Mon père était éleveur de Boxer et mes voisins avaient des chevaux. Avec Mathieu, mon ami, nous avons acheté cette ferme, avec comme idée d’essayer de l’ouvrir à des fins pédagogiques, mais surtout thérapeutiques. Ma démarche est de proposer, pour tout public, des activités éducatives, pédagogiques et de mieux-être avec le cheval. Je pense démarrer officiellement le 2 janvier 2015. Quel est votre parcours professionnel ? Je suis monitrice-éducatrice de formation, diplômée depuis 2008. Je travaille dans le social depuis plus d’une dizaine d’années. Mon parcours professionnel m’a permis de travailler auprès de différents publics, des personnes atteintes de handicap mental, psychique ou physique, des adolescents et jeunes adultes en difficultés sociales... Mon désir était de pouvoir travailler dans différentes structures pour m’enrichir d’expériences et de contacts. J’ai toujours été intéressée par les activités mettant en lien l’être humain et l’animal. J’ai commencé à accompagner des groupes en centre équestre, et j’ai pu constater que les moniteurs n’étaient pas toujours formés pour recevoir ce type de public. J’ai alors pensé qu’il y avait quelque chose à faire dans ce domaine. Depuis quelques années, je me forme auprès de Jean Claude Barrey (chercheur en éthologie équine) afin d’acquérir des connaissances éthologiques sur le cheval mais également sur l’humain. Depuis le mois de juin, je participe à la formation de praticien en médiation équine proposée par l’association « cheval émoi » (56). En quoi consiste cette formation ? Cette formation a lieu dans le Morbihan, elle nécessite d’avoir des prérequis dans le médico-social. Le Mai 2014 : Activité “Médiation animale auprès du cheval” avec un groupe de quatre personnes de l’Esat des Genêts d’Or de SaintPol-de-Léon (photo Ouest-France).
contenu de cette formation est très dense et passionnant. De l’approche corporelle, conceptuelles et psychocorporelles visant à nourrir la posture thérapeutique, des mises en situation avec les chevaux,… Cette formation dure 6 semaines étalées sur deux ans. Je participe aussi à des stages de travail sensoriel avec le cheval, au Manoir de Trouzilit à Lannilis. Quelle méthode employez-vous ? Il n’y a pas de méthode dite particulière, « il s’agit de laisser dérouler la bobine » comme dirait Christine Gillet (thérapeute avec le cheval , cheval emoi) , le cheval amène à la rencontre et beaucoup de choses se passent à son contact. Le praticien profite des bienfaits de cette relation pour accompagner la personne dans un mieux-être. Il ne s’agit pas d’équitation adaptée, les patients ne font pas d’équitation. Nous faisons du portage, les patients se positionnent sur le cheval sans équipement ou parfois avec un simple surfaix. Le praticien tient le cheval tout au long de ce portage et tout se fait au pas. Comment travaillez-vous ? Je vais proposer au sein de la ferme “terre happy” des activités de mieuxêtre avec le cheval pour un large public. Les institutions sociales et médico-sociales, les associations, les maisons de retraite, les foyers de l’enfance, les particuliers… Pour ces activités, je fonctionne avec des groupes de 4 personnes maximum sur des séances d’une heure ou une heure et demie. Lors de ces séances je travaille avec un seul cheval, sélectionné suivant les groupes. Je propose aussi des séances en individuel. Combien de chevaux possédez-vous et comment les préparez-vous? Actuellement, je possède 4 chevaux et 4 poneys. Ils ne sont pas tous prêts pour travailler en séance mais j’y travaille. La première qualité d’un cheval médiateur c’est qu’il soit bien sociabilisé “cheval” et bien sûr avec les êtres humains. Il doit être suffi-
samment désensibilisé à son environnement, et répondre à ce que Jean Claude Barrey appelle « la bulle», l’espace. Connaître leur passé peut être également très intéressant afin de mieux comprendre ses réactions. Je travaille plus au sol avec mes chevaux. J’effectue avec eux des exercices de désensibilisation, je crie, je jette des objets, je fais des gestes brusques, travail du montoir…Je tente de les mettre en situation de travail. Nous faisons aussi des exercices sur « l’espace » par le travail en liberté, ou en longe... Une bonne relation avec l’animal est aussi nécessaire, être un repère pour lui lors des séances, un “leadership”… le respect de ses besoins est au centre de nos priorités.
chats, les cochons d’Inde… J’ai appris qu’une personne pratiquait la médiation animale avec des dromadaires. J’ai pu échanger avec une personne qui s’était rendue en Israël rencontrer une femme qui travaille avec les dauphins. Ces rencontres sont toujours très passionnantes et c’est l’occasion de pouvoir échanger sur nos pratiques avec des personnes de tout horizon professionnel ou non.
Une rencontre avec “Licorne et Phénix” s’est tenue chez vous en janvier 2014. Pouvez-vous nous parler de cette association ? “Licorne et Phénix” est une association nationale qui a pour but de fédérer toutes les personnes qui s’intéressent à la médiation animale. Un groupe Bretagne, créé depuis 2 ans, regroupe des personnes du « médico-social », de la recherche, ou des gens qui s’intéressent tout simplement… On se retrouve tous les trois mois, afin d’échanger sur différents thèmes. Nous avons la chance d’avoir la présidente de l’association au sein de notre groupe puisqu’elle est de Lannilis, elle est chercheuse au centre de ressources de l’autisme à l’hôpital de Bohars. Cette association s’est retrouvée à Tarbes, au mois d’octobre. Nous étions une centaine de personnes de toute la France. Nous avons passé le week-end ensemble. Les animaux étudiés sont les chevaux, mais aussi les chiens, les
Avez-vous d’autres projets ? J’ai également l’intention de proposer des activités pour les écoles, les centres de loisirs, les associations… Il s’agira d’activités de découverte de la nature par le biais des saisons, découverte des animaux, sensibilisation à l’environnement… Des activités manuelles, créatives, sensorielles… en fonction des souhaits de l’équipe encadrante. Je pense également passer un diplôme dans l’attelage et peut-être, dans quelques années, proposer des activités en calèche. Je compte également effectuer des portes ouvertes pour présenter mon projet et proposer un autre stage avec Jean Claude Barrey. L’homme et le cheval ont toujours su bien cohabiter depuis des siècles. Le cheval lui a grandement simplifié de lourdes tâches. Une autre ère s’ouvre, avec ce mieux-être qu’il peut désormais, continuer d’apporter, sous une autre forme. Bon vent à Sonia dans ses projets.
Rencontre avec l’association Licorne et Phénix à Kerlaouedet, janvier 2014 (photo Ouest-France)
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Vie
économique
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Krog Mad
Une petite visite aux
A
près avoir reçu un groupe folklorique du Morvan en 2013, le groupe Ar Vugale Krog Mad s’est rendu en car à Vassy Etaules, petite commune du Morvan, le vendredi 15 août 2014. Quarante-trois personnes faisaient partie du voyage. Elles logeaient chez l’habitant. Après un accueil chaleureux, les deux groupes se sont rendus à Avallon : fest-noz le soir et animation du marché le lendemain matin. L’aprèsmidi est consacré à la visite guidée de la ville. Le soir,
Excellent oui ! mais pas évident...
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Comment pourrait-on écrire cette phrase : “Dans une main, j'ai un VER de terre et dans l'autre, un VERRE d'eau. J'ouvre les deux mains et… les deux VER… (?!) tombent.” Comment faudrait-il écrire : “VER...................”, à votre avis ?
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Karine Roblette, réflexologue plantaire en énergétique chinoise à Guiclan élargit son activité
Morvandiaux retour à Vassy, où la municipalité reçoit les deux groupes avec cocktail et buffet dans la salle municipale. Après la journée détente du dimanche 17, retour au pays le lundi. Les participants sont revenus enchantés de ce séjour très riche en relations humaines. En 2015, le week-end du 14 juillet, les Clac’sabots reviendront chez nous et participeront très probablement aux fêtes de St-Pol de Léon. Nous saurons les accueillir comme il convient.
Récréation
F
ormée en 2012 à la réflexologie plantaire en énergétique chinoise, Karine exerce cette technique à Guiclan. Elle s’est rendu compte que parfois les personnes qui viennent en soin pour soulager une douleur souffrent d’anxiété, de malêtre, peut-être même d’un traumatisme qui ne leur permet plus de vivre sereinement. Se trouvant limitée dans ses connaissances et impuissante pour les soulager à ce niveau-là, elle a suivi une formation en 2014 à une technique de désensibilisation des traumatismes par balayage oculaire.(E.P.R.Th)
Comment ca marche ? À partir de mouvement oculaire mis en place de manière rigoureuse pendant la consultation, l’élément perturbateur passera instantanément du cerveau émotionnel vers le cortex, ce qui permettra au consultant de se libérer et vivre plus sereinement
Quels traumatismes cette approche peut désensibiliser ? Tous ceux qui entraînent des émotions fortes.. : deuil, agression, accident, maladie, avortement, fausse couche, témoin oculaire d'un traumatisme, licenciement, déménagement, rupture, maltraitances, phobies.. Voir son site pour plus d’informations :
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www.reflexologie-karine-roblette.fr Tél 06 51 80 37 73
Un sot porte un sceau dans un seau. Les 3 s … tombent à l’eau. Un petit malin a trouvé une solution : “l’étroit seau tombe à l’eau”.
Alors ? mais il y a mieux… On appelle ceci des “Homographes” non homophones, car ces mots s'écrivent de la même façon mais se prononcent autrement suivant le sens… Pauvres étrangers qui apprennent le français !
Voici quelques exemples d’homographes de prononciations différentes ! (Homographes non homophones)… Sortant de l’abbaye où les poules du couvent couvent, je vis ces vis. Nous portions nos portions, lorsque mes fils ont cassé les fils. Je suis content qu’ils vous content cette histoire. Mon premier fils est de l’Est, il est fier et l’on peut s’y fier, ils n’ont pas un caractère violent et ne violent pas leurs promesses, leurs femmes se parent de fleurs pour leur parent. Elles ne se négligent pas, je suis plus négligent. Elles excellent à composer un excellent repas avec des poissons qui affluent de l’affluent. Il convient qu’elles convient leurs amis, elles expédient une lettre pour les inviter, c’est un bon expédient. Il serait bien que nous éditions cette histoire pour en réaliser de belles éditions.
Voyons aussi quelques exemples d’homographes de même prononciation (Homographes / homophones) : Cette dame qui dame le sol. Je vais d'abord te dire qu'elle est d'abord agréable. À Calais, où je calais ma voiture, le mousse grattait la mousse de la coque. Le bruit dérangea une grue, elle alla se percher sur la grue. On ne badine pas avec une badine en mangeant des éclairs au chocolat à la lueur des éclairs. En découvrant le palais royal, il en eut le palais asséché. Je ne pense pas qu'il faille relever la faille de mon raisonnement. Voici l'exemple le plus extraordinaire de la langue française ! (mot de sens différent mais de prononciation identique) Le ver allait vers le verre vert et non vers la chaussure de vair gris argenté. À propos, je n'ai pas réussi à trouver la solution pour la première phrase…
Zoom sur...
les Guiclanaises et Guiclanais qui font l’animation de notre commune
Novembre 2014 : Loïc Martius consacré meilleur sculpteur sur fruits et légumes de France avec son oeuvre aquarium…
Victoire de l’équipe de Guiclan contre Taulé en coupe de France
Le club de l’amitié en visite à la vallée des Saints
Pause photo pour l’équipe d’entretien des chemins
L’équipe des débutantes de handball
Les cyclistes de l’association “Roc’h Toul VTT”
Le groupe des marcheurs
L’animation jeunesse Guiclan/Plouvorn à Disney, Paris
Mairie de Guiclan – Bourg – 29410 GUICLAN – Tél. 02 98 79 62 05 – Fax 02 98 79 67 30 20 e-mail : communedeguiclan@wanadoo.fr – www.guiclan.fr