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Portfolio
Fanny Boereboom 2017
Fanny Boereboom fanny.boereboom@gmail.com +32.477.62.82.82 14.08.1992 Belge COMPÉTENCES Créativité Responsabilité Communication Travail en équipe Organisation Photoshop Illustrator InDesign AutoCAD Sketchup 3ds Max Design Revit Modeling Français Anglais Néerlandais Espagnol INTÉRÊTS Lindy Hop, Ukulélé, Snowboard, Cinéma, Art, Design, Cuisine, Bières belges, Illustration, Digital Art
FORMATIONS 2011 - 2016
LOCI Saint-Luc / Université Catholique de Louvain (UCL), Bruxelles, BE - Master en Architecture (Distinction) - Bachelier en Architecture (Distinction)
2010 - 2011
Bell International College, Cambridge, UK - CAE (Grade C) - University Foundation Programme (Politics - Sociology & Anthropology - Media & Communication & Culture)
2004 - 2010
Collège Saint-Michel, Bruxelles, BE - Certificat d’enseignement secondaire supérieur (Mathématiques - Latin - Langues)
EXPÉRIENCES 2017
Desafío Levantemos Chile, Santiago, CL : 1 mois - Accompagnement et étude de 2 projets de reconstruction d’écoles au Chili
2015
Archi 2000, Bruxelles, BE : 1 mois - Stage en bureau d’architecture
2014
Société Amart, Chantier rue Tenbosch et rue Armand Campenhout, Bruxelles, BE : 1 mois1/2 - Suivi de chantier & Analyse de différentes techniques de fondations
2013
Association REMPARTS, Forts de l’Esseillon, Savoie, FR : 1 mois - Stage sur chantier/Volontariat - Rénovation et entretien des entités du fort Victor-Emmanuel datant du 19ème siècle
EXPOSITIONS 2016
UCL - LOCI expo, Projet de fin d’étude, rue Henri Wafelaerts, 1060 Bruxelles Prix Van Hove, Projet Nominé, rue Ernest Allard, 1000 Bruxelles
PUBLICATIONS Dessin
Sketch and Read Istanbul, LOCI <http://www.lab-istanbul.be/portfolio/fanny-boereboom/>
Architecture
Projet nominé pour le prix Van Hove 2016 <http://upa-bua-arch.be/fr/activites/prixvan-hove-2016>
Mémoire
« Le potentiel des espaces résiduels dans la ville de demain » <https://issuu.com/ fannyboereboom/docs/m__moire_fannyboereboom>
1. architecture
La gare de Louvain-la-Neuve : un nouveau Patio Urbain
Master 2
pp. 9-22
2. architecture
Une Boîte des Possibles
Master 1
pp. 25-37
3. architecture
Vivre au bord d’un quai en milieu rural : logement groupé
Bac 3
pp. 39-50
4. architecture
L’angle Quai aux Barques : habitat collectif
Bac 3
pp. 53-61
5. architecure
La ludothèque Sainte-Alène
Bac 3
pp. 63-73
6. architecure
Vivre en convivialité : composer l’espace de l’Habiter
Bac 2
pp. 75-79
7. architecure
Un point de vue sur les ruines de Chameleux
Bac 1
pp. 81-83
Composition urbaine : dessin d’un quartier durable
Master 1
pp. 85-87
Esquisses : Corps humain & Architecture
Bac 1 - Master 1
pp. 89-95
8. urbanisme 9. dessin
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La gare de Louvain-la-Neuve : un nouveau Patio Urbain Nomination au prix Van Hove 2016
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ANNÉE D’ETUDE : Master 2 SITE : Louvain-la-Neuve, commune dans la province du Brabant wallon, BE PROGRAMME : Gare paysage, commerces de proximité (2200 m2), espaces coworking (3400 m2) pour la ville et ses navetteurs, étudiants et professionnels (salles de réunion modulables à la demande & privatisables), salles de conférence, hôtel (113 chambres), restaurant, cafétéria, galerie, services OBJECTIF : Conception d’un projet d’architecture suivant des questions urbanistiques spécifiques soulevées par l’étudiante TEMPS POUR LA CONCEPTION DU PROJET : 17 semaines TUTEURS DU PROJET : Christine fontaine, Pascale van de kerchove
INTRODUCTION Une analyse sur la thématique des plafonds a premièrement souligné la rigidité de Louvain-laNeuve. La ville s’est imposée sur le paysage rural en le recouvrant d’un socle artificiel. Ensuite, une étude globale à l’échelle du territoire a ciblé des zones en manque d’identité aux abords de cette dalle urbaine ; notamment la gare et son arrière-parking, convoités par des projets urbanistiques colossaux. Ce site au centre des intérêts futurs de la ville a donc offert une belle opportunité pour redéfinir un « non-lieu » tout en cherchant à rompre la rigidité de Louvain-laNeuve comme ville « plateau » et recréer un contact entre le couvert du ciel et le sol. Ce projet, sous forme de patio, est avant tout une réponse au projet d’extension future de l’Esplanade. Il cherche à offrir une meilleure alternative au concept de « super complexe commercial » en requalifiant l’arrière-gare avec des équipements publics en lien avec les infrastructures existantes (train, autoroute…) et celles à venir (RER, parking relais). CONCEPT Le défi est de créer un morceau de ville mixte et de pallier à l’artificialité de Louvain-la-Neuve en connectant un espace charnière à un paysage, selon les notions suivantes : Gare paysage Le dénivelé est retravaillé jusqu’aux quais pour créer des percées visuelles sur un nouvel écrin de verdure, véritable poumon vert face à la densification urbaine. Ce nouvel espace est habité par une crèche, une ferme urbaine et des logements sociaux et intergénérationnels. Patio urbain Au-dessus des quais, un nouveau bâtiment rythme la vie de la cour intérieure. Un « patio urbain », ainsi nommé au vu de sa forme unique et de la multiplicité des programmes qui l’habitent. Mitoyenneté Le projet se greffe au mur de l’Esplanade, redéfinissant radicalement sa position de « mall » fermé sur lui-même. La nouvelle façade s’ouvre sur un vide de qualité. Parcours scénographique Une passerelle prolonge la dalle pour relier clairement le nouveau quartier Courbevoie et le centre-ville. La rythmique serrée des portiques aide à ponctuer cette connexion et à filtrer la transition entre quais et paysage.
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1. densité 2. topographie 3. infrastructures 4. vides mentaux 5. quartiers 6. ville plateau
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nouveau quartier courbevoie
arrière-gare
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Corridor de portiques & Patio
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Coupe transversale 1/500
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Étude de gestion de l’eau à l’échelle du quartier suivant l’outil QUADEAU de L’IBGE Le projet est soigneusement conçu en terme de gestion des eaux, avec un objectif atteint de 0% de volume d’eau rejetée vers le réseau d’égouttage principal grâce au travail en plateau des différentes natures du sol et la multiplication des procédés de rétention d’eau (gestion des surfaces tributaires et collectrices).
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Plan d’implantation 1/2.000
Plan type R+1 1/1.000
STRUCTURE La structure du bâtiment est une structure poteau-poutre classique (avec noyaux de circulation rigides pour stabiliser l’ensemble) qui libère de grands espaces facilement modulables. Cette structure respecte principalement la trame imposée en dessous du socle, c.à.d. de part et d’autre des rails (portée maximum de 13m) qui dicte celle des étages supérieurs générant de faibles hauteurs sous plafonds appropriés pour le coworking. La partie hôtelière du bâtiment est quant à elle rythmée par la trame serrée (3,6m) du corridor de portiques.
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Détails - Coupe technique & façade SE 1/100
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Une Boîte des Possibles
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Plan & coupe d’implantation 1/1.500
ANNÉE D’ETUDE : Master 1 SITE : Farciennes, commune dans la province du Hainaut, Charleroi, BE PROGRAMME : Salle culturelle polyvalente OBJECTIF : Conception d’un équipement public autour d’un espace public fort dont les limites bâties ont été préalablement définies par les élèves suite aux réflexions sur le seuil de la ville TEMPS POUR LA CONCEPTION DU PROJET : 13 semaines TUTEURS : Manuel beldars, Abdel boulaioun, Benoît thielemans, JeanLouis vanden eynde, David vandenbroucke
CO-AUTEUR : Jade de meyer
INTRODUCTION & ÉTUDE DU SITE Pour ce projet, un nouvel espace public a été identifié à Farciennes : la place de l’église, surélevée sur un socle et prolongée par une noue ; un espace « tampon » qui assure la transition entre seuil de la ville, paysage et gestion écologique des eaux pluviales. Les qualités paysagères de cet entre-deux, dû à la proximité de la Sambre et l’ouverture remarquable sur le territoire (terrils), ont motivé le projet à s’inscrire à l’échelle de la commune et celle du paysage. Un nouveau centre culturel a fait rapidement sens dans ce contexte remarquable suite à : - l’emplacement stratégique de la place proche de la gare et de la Grand ‘Rue, - l’existence d’une salle culturelle (150 places) inadaptée aux grands évènements (sans gradin ni décor) dû à la faible hauteur sous-plafond (2m30), - la demande de beaucoup d’associations et d’écoles. Ici, l’ambition n’a pas été de créer un nouveau pôle culturel faisant concurrence à Charleroi, mais de donner à la commune une grande salle de spectacle à la hauteur des besoins et de la nouvelle identité du site. CONCEPT Le centre culturel s’est implanté sur le socle où siège l’église, sans prévaloir sur celle-ci, et se signale sur la Grand ‘Rue grâce à un décalage par rapport aux constructions existantes. Cette position stratégique a motivé à accentuer la transversalité du bâtiment en ouvrant ses deux façades sur la noue favorisant la polyvalence de l’ensemble. La 3ème façade n’est pas une façade aveugle et dialogue avec celle de l’église grâce à des percements stratégiques. Le projet s’inscrit ainsi à la fois dans la prolongation du paysage et dans la maille urbaine.
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Plan 1/300
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SCÉNARIOS Le cœur du projet se concentre sur une salle de « tous les possibles » d’une capacité de 500 places qui jouit d’une multiplicité de scenarios : réunions, conférences, projections, concerts de musique, spectacles (gradins rétractables), réceptions de mariages, expositions, belotte, etc. Une aile de service reprend quant à elle espaces de stockage, kitchenette et loges. L’ensemble coexiste autour d’une cour intérieure avec un bâtiment patrimoine réinvesti pour libérer le volume principal d’autres fonctions complémentaires (accueil, petite restauration, salle de lecture). Cette reconversion permet de revaloriser un édifice abandonné repris dans l’inventaire du patrimoine, d’augmenter la diversité des scénarios possibles et dynamiser l’espace public (peut fonctionner indépendamment de la salle polyvalente).
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MATÉRIALITE & STRUCTURE Le projet est conçu comme un « bijou » et se distingue volontairement de l’architecture traditionnelle de Charleroi (brique, acier/ hangar industriel) par une une structures à ossature et bardage en bois. L’aile de service, en béton, contrevente les portiques de la salle principale qui accueille entre les poutres successives les dispositifs techniques (baffles acoustiques, éclairagesn etc.). L’acoustique peut également être améliorée lors des performances à l’aide de panneaux acoustiques dépliables à l’intérieur de la Boîte. Les façades ouvrables sont un jeu de parois vitrées repliables sur pivot central pour diminuer le flambement. Ces parois modulent la façade et participent à l’esthétique du projet : une fois fermées, un décalage avec le bardage fixe donne de la profondeur au bâtiment (ombre projetée) ; repliées, elles s’alignent avec celui-ci.
Élévation NE 1/200
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Coupe longitudinale 1/150
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Vivre au bord d’un quai en milieu rural : logement groupé
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Situation existante1 et projections2
1 rails domaine de la
Sucrerie
place de la gare devenue quai rural nouvelle route espace vert écran végétal barre de logements connexions piétonières
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INTRODUCTION & CONCEPT Le véritable enjeu a été de redéfinir l’identité d’un « quai rural » au vu de la pauvreté des aménagements rencontrés sur le site (parking et domaine de la sucrerie délabrés, etc.). Cette envie de redonner à un quartier une fluidité et une cohérence des espaces autour de l’arrêt de train s’est travaillé en : - structurant le paysage, - travaillant la maille urbaine en différentes stratifications clairement définies (rails, quai, nouvelle route, parking, écran vert public & front bâti). La nature d’un front bâti de plus de 100 logements a été la plus difficile à définir. Au final, cela s’est traduit en assumant une réponse urbaine marquante groupant en une unité l’ensemble des logements. Le projet s’est donc matérialisé en plusieurs « tours » articulées sur un socle poreux percé de grands porches filtrant l’espace public pour éviter de « faire bloc » au paysage et au village, tout en répondant parallèlement et avec rythme aux rails du train.
ANNÉE D’ETUDE : Bac 3 SITE : Chastre, commune dans la province du Brabant wallon, BE PROGRAMME : 100 logements groupés OBJECTIF : Installation de plus de 100 logements en intégrant la notion de densité, d’équipements communs et de mixité en milieu rural TEMPS POUR LA CONCEPTION DU PROJET : 9 semaines en groupe (implantation & concept), 9 semaines individuellement (peaufinage des plans, structure & matérialité)
INDIVIDUALISATION DU PROJET Des commerces de proximités et des salles privatisables habitent le rez-de-chaussée ; le sol intérieur et extérieur est parfaitement continu pour accentuer la transversalité du socle et faciliter en tout point l’accès au bâtiment (PAS de marches). Le reste du bâtiment est consacré aux 100 logements qui ont TOUS été conçu traversants (pas de privilégié en terme d’ouverture/fermeture de vues). Les plans des logements (du Nord au Sud : chambres, services, servants, terrasses) ont été retravaillés pour minimiser au maximum le volume du bâtiment. La façade-terrasses ouverte sur l’arrêt de train est quant à elle un espace tampon habillé de parois coulissantes métalliques perforées (soin de la gamme des couleurs) : utiles pour filtrer la vue, se protéger du soleil et donner un jeu qui casse la rigidité de la rythmique répétitive du projet. Autre aspect intéressant de la façade : les porches décentrés viennent rompre également cette symétrie et des porte-à-faux en façade avant et arrière donnent du relief et de la profondeur au socle en briques (rappel à la sucrerie remplacée) grâce aux ombres projetées.
TUTEURS : Renaud pleitinx, Grégoire wuillaume, Bernard maquet CO-AUTEUR : Maxime gilbert, Jade de meyer, France roman, Maxime Vagenhende
Terrasses en façade
Commerces
1ch
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Porosité du bâtiment
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Socle & tours
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Évolution des volumétries étudiées & proposition finale
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Modélisation façade avant & arrière
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Plan R+6 appartements1ch - 2ch
Plan R+4 & R+5 appartements 2ch - 3ch
Plan R+3 appartements 2ch - 3ch
Plan R+2 appartements 4ch
Plan R+1 appartements 3ch - 1ch - 2ch
Plan RDC commerces - vélos
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Plans types 1/300
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Coupe quai en milieu rural 1/250
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Détail façade SUD 1/100
L’angle Quai aux Barques : habitat collectif
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ANNÉE D’ETUDE : Bac 3 SITE : Angle Quai aux Barques Saint-André, Bruxelles, BE PROGRAMME : Logement collectif avec 8 appartements 1ch à 4ch & 1 studio OBJECTIF : Initiation au projet de logement collectif comprenant un programme très précis sur le nombre & la surface d’appartements demandés TEMPS POUR LA CONCEPTION DU PROJET : 5 semaines TUTEURS : Philippe honhon
INTRODUCTION & CONCEPT La parcelle en angle de rue articule d’une part la rue Saint-André, avec un vis-à-vis atypique d’un bâtiment relativement bas et le Quai aux Barques, plus large, donnant sur un espace arboré et plongeant sur le marché aux poissons de la place Sainte-Catherine. L’angle jouit d’une exposition Sud-Est/Sud-Ouest très favorable. Quant à l’îlot, il est petit et dense avec des bâtiments mitoyens de différentes hauteurs assez marquées. L’intention a été de donner la même qualité de vue à tous les locataires. Le bâtiment s’est donc scindé en 2 unités articulées par une cour surélevée (mieux exposée et davantage privatisée) pour ne pas étouffer l’îlot et créer des percées visuelles sur un espace dégagé de qualité. Au rez-de-chaussée, un commerce prend place sur la rue principale tandis que sur la cour, une salle des communs est donnée au profit des locataires (services tels que buanderie, salle de jeux pour les enfants, etc.). Un ascenseur distribue les 2 unités du projet, liées entre elle par une passerelle habitée et habillée d’un grillage propice à l’accueil de plantes grimpantes. Concernant l’organisation des appartements, les services sont principalement concentrés contre les mitoyens (soin apporté à la lumière naturelle en coupe) laissant chambres et séjours ouverts sur la cour intérieure et l’espace vert.
Plan d’implantation 1/1.000
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Élévation Saint-André 1/400
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Élévation Quai aux Barques
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Plan RDC 1/200
Plan type R+1-2-3 1/200
Coupe longitudinale 1/200
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La ludothèque Sainte-Alène
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ANNÉE D’ETUDE : Bac 3 SITE : Eglise Sainte-Alène, SaintGilles, Bruxelles, BE PROGRAMME : Ludothèque OBJECTIF : Sensibilisation au dialogue entre une intervention et les spécificités d’un bâti préexistant: proposition d’un programme pertinent, cohérent et ajusté à la réaffectation d’une église en milieu urbain en veillant à préserver l’intégrité spatiale et la réversibilité des interventions TEMPS POUR LA CONCEPTION DU PROJET : 8 semaines (projet travaillé parallèlement au projet de fin d’année)
INTRODUCTION & CONCEPT L’idée est simple : réaffecter l’église Sainte-Alène (1938-1972) au style architectural moderne en ludothèque, un programme à l’échelle du quartier et pertinent grâce à la proximité de plusieurs écoles, de crèches et l’accessibilité du site. Le rez-de-chaussée est un plan libre agencé à l’aide de tables générant différentes ambiances propices à toutes sortes de jeux pour les visiteurs. Un espace bibliothèque d’une ambiance plus feutrée vient se loger dans l’aile de l’église, de faible hauteur sous-plafond et isolée acoustiquement de l’espace découverte/jeux. D’autres services utiles se concentrent au sous-sol (espaces de stockage, réserves, etc.). Un 1er étage est également imaginé sous forme de passerelle qui ceinture l’espace commun central avec de nouvelles alcôves logées entre la structure et une cafétéria en son centre. Finalement, au cœur de la nef trône un objet « ovni » : un cocon, qui attire l’œil sans envahir tout l’espace (décentré de l’axe principal) prévu pour des ateliers spécifiques (salle de lecture, petits espaces de détente).
TUTEURS : Monsieur Taupe, Grégoire wuillaume
Décalage Superposition des plans R -1 & RDC
Plan d’implantation
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Plan RDC
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Plan R+1
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Coupe longitudinale de Sainte-Alène
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Structure passerelle
Détails structure
STRUCTURE L’impact de la structure de la passerelle a été étudié pour respecter le bâtiment patrimoine : hauteur, couleur des vitres en verre feuilleté des alcôves. L’ensemble est entièrement démontable.
Coupe schématique de l’atelier oeuf cocon
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Vivre en convivialité : composer l’espace de l’Habiter
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Élévations & plan d’implantation
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ANNÉE D’ETUDE : Bac 2 SITE : Gembloux, ville dans la province de Namur, BE PROGRAMME : Logement intergénérationnel & partagé : famille et retraités passionnés tenant une bibliothèque de quartier OBJECTIF : Projet d’architecture axé sur le principe de « vivre en convivialité « en composant l’Habiter avec des espaces partagés TEMPS POUR LA CONCEPTION DU PROJET : 8 semaines TUTEURS : Jean-Luc CAPRON
INTRODUCTION La parcelle en angle de rue articule deux voies du centre historique de Gembloux : la Grand’Rue et la rue des Abbés Comtes, plus exiguë et à forte pente, à proximité d’une basilique (visible de la parcelle) et du célèbre Beffroi. Un léger décalage des îlots donne au projet une position clef sur la rue principale et donne l'impression d'empiéter sur la chaussée lorsqu'on la descend. Ainsi, le projet offre une première impression importante dans ce centre historique. CONCEPT Pour s’inscrire au mieux dans la continuité de la Grand’Rue principalement commerçante, une activité publique a été imaginée au rez-de-chaussée avec une bibliothèque de quartier tenue par deux retraités et partageant leur passion avec une famille (2 parents avec 2 enfants). La parcelle étant étroite et peu exposée, une cour intérieure vient articuler par le vide 2 volumes dans le projet en laissant traverser la lumière de la ruelle jusqu'à la cour. C’est au centre de cette articulation qu’une volée d’escalier siège poétiquement (intéraction entre les différents paliers, parois opaques, source de rencontre, de convivialité) et évite ainsi le cliché de « cage d'escalier ». MATÉRIALITÉ Un soin est apporté aux ouvertures de l’habitation suivant leur situation (Grand’Rue : façade « bouclier » face à la sur-exposition en coin de rue). Le premier niveau quant à lui est identifié par un changement de matériau, un bardage en terre cuite qui souligne la partie publique du projet.
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ORGANISATION SPATIALE Le projet s’organise comme suit : Rez-de-chaussée : - espace bibliothèque ouvert au public ou « huis-clos » pour un salon partagé pour les habitants, - partie privée (salle de bain et chambre) des retraités. 1er étage : - pièce à vivre, de partage et de rencontre (cuisine, salle à manger). L’angle a été travaillé avec un nouvel axe oblique pour donner une nouvelle dynamique à l’espace et une meilleure 'habitabilité', - espace privé pour les parents. 2ème étage : - 2 chambres avec une terrasse aménagée à l'arrière de la parcelle pour offrir aux occupants un accès extérieur et protégé (vue sur la basilique).
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Plan R+1 & R+2 & Coupe
Élévations Grand’Rue & rue des Abbés Comtes
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Un point de vue sur les ruines de Chameleux
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ANNÉE D’ETUDE : Bac 1 SITE : Chameleux, Florenville, BE OBJECTIF : Créer un lieu pour accueillir et réunir des personnes autour d’une activité commune en symbiose avec la promenade le long de la réserve naturelle des Prés d’Orval PROGRAMME : Centre d’observation & d’information du site archéologique de Chameleux TEMPS POUR LA CONCEPTION DU PROJET : 10 semaines TUTEUR : Cécile VANDERNOOT
INTRODUCTION & CONCEPT L’idée de créer à proximité du site gallo-romain une nouvelle zone d’information sur l’archéologie a rapidement fait sens pour revaloriser le passé historique de Chameleux. Au devant d’un mur d’épicéas, le site en tant que tel jouit d’une facilité d’accès pour tout public grâce à la proximité de la route, des clients du restaurant voisin et des promeneurs curieux. L’idée de base est de réinventer l‘approche didactique des vestiges historiques en créant un nouveau point de vue permettant une meilleure lecture du site. Ceci, en prenant de la hauteur grâce à une tour s’élevant à hauteur des épicéas pour observer le dessin des ruines au sol et le paysage environnant. Cette tour se décale du tracé du chemin gallo-romain pour ne pas lui faire obstacle et pour respecter la fragilité du site. Le projet s’implante ainsi au pied du relief arboré et épouse de tout son long les courbes de niveaux à l’aide de murs de soutènement : en résulte un bâtiment robuste et fermé contre terre (voile de béton) contrastant avec une façade largement ouverte sur les ruines. Un déambulatoire finit d’amener les curieux sur le point culminant de la visite, la tour, parachevant le bâtiment horizontal par un élément vertical. Le tout s’habille d’une combinaison de panneaux en terre cuite, clin d’œil aux nombreux vestiges de poterie trouvés sur place. Plan & élévation d’implantation
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Composition urbaine : dessin d’un quartier durable
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Plan 1/4.000
ANNÉE D’ETUDE : Master 1 SITE : Quartier des Dames Blanches, Woluwe-Saint-Pierre, Bruxelles, BE PROGRAMME : Conception d’un quartier à énergie 0 OBJECTIF : Documentation et recherche sur base d’une étude urbanistique approfondie à l’échelle du site/de la parcelle et à l’échelle régionale pour asseoir une réponse urbanistique appropriée PROGRAMME : Concevoir un quartier durable TEMPS POUR LA CONCEPTION DU PROJET : 10 semaines TUTEURS : Pierre VANDERSTRAETEN CO-AUTEURS : Maxime GILBERT, Jade DE MEYER, France ROMAN, Maxime VAGENHENDE
INTRODUCTION & CONCEPT Le site étudié est un terrain agricole autour duquel s’articulent 3 « quartiers » de différentes typologies et de différents statuts sociaux : des villas quatre façades, une cité-jardin & des logements communs autour de la place Saint-Alix. Ce champ a résisté à l’envahisseur urbanistique suite à un désaccord politique non résolu entre la commune et la région de Bruxelles-Capitale (villas quatre façades pour séduire un électorat élitiste? Ou 1000 logements en réponse à la pression démographique ?). Malgré un problème de distribution (seulement 2 arrêts de tram), le site est intéressant par sa proximité avec les services alentour (grand centre sportif, école), la Forêt de Soignes et l’aire centrale de la place de l’église avec sa rue commerçante. Un nouveau quartier « trait-d’union » à énergie 0 a été imaginé pour répondre à la pression démographique à Bruxelles avec des logements sociaux et des équipements publics adéquats (nouvelle crèche, commerces de proximité, petits bureaux, « Repair » Café, etc.) qui installent une sous-centralité pour intéresser le voisinage. Tout en évitant une surdensification menant à l’imperméabilisation des sols autrefois agricole, une coulée verte prolonge la forêt et crée une ceinture potagère avec la cité-jardin. Cet espace tampon donné aux habitants des quartiers existants et à venir participe ainsi à une dynamique sociale, à la récupération des eaux pluviales et se responsabilise grâce à une gestion de déchets centralisée (déchets des potagers communs et de la forêt de Soignes). De plus, un soin particulier a été apporté aux séquençages et aux statuts des différents espaces verts (jardins privés, communs et publics). Pour dynamiser les réseaux de distribution, une nouvelle rue principale connecte le centre Eglise-Rue commerçante jusqu’à la cité-jardin et est complétée par d’autres services tels que : un arrêt de bus à l’entrée du nouveau quartier, des pistes cyclables, des chemins piétonniers connectés à la Forêt de Soignes et un parking à voitures/vélos partagés.
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Esquisses : Corps humain & Architecture
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Bruxelles, ma belle
Fanny Boereboom +32.477.62.82.82 fanny.boereboom@gmail.com
© Fanny Boereboom 2017