Architecture Portfolio

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Portfolio

2016 2017


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CV Coordonnées Korganow Félix 75 rue du Javelot, Paris France 06 89 58 62 96 felixkorganow@gmail.com https://issuu.com/felixkorganow Scolarité 2016/2017

Licence 3 à L’ENSA Paris Val de Seine Enseignants M.Desmoulin, M.Dagand S5

2015/2016

Licence 2 à L’ENSA Paris Val de Seine Enseignants M.Cornaert S3 / M.Chapon S4

2014/2015

Licence 1 à L’ENSA Paris Val de Seine Enseignants M. Fontenas & Mme Pasquier S1/S2

2011/2014

Lycée Pierre Corneille Rouen Bac Scientifique mention Trés Bien

Expériences - en agence juillet 2016 ATAUB Architectes, Rouen (stage de 1mois, loge concours) Juillet 2015 Regis Gachon Architecte, Lyon ( stage de 1 mois ) - à l’école Pigiste pour un journal étudiant , la gazette (2016), interview de Nicolas Jankovic éditeur de la collection B2 Logiciels utilisés Revit, In Design, Photoshop, Sketchup, Autocad, Artlantis, V ray, Illustrator Langues Anglais

Allemand

C1

B1

Centres d’intérêts dessin, lecture, piano, natation, footing, arts, poésie, Voyages 2016 février avril aout novembre

Rome, Italie Vienne, Autriche Hanoï, Vietnam Venise, Italie


La vie autour d’un espace partagé 18 Logements alternatifs à Gennevilliers, avril 2016 Ce projet prévoit l’implantation de 18 logements à Gennevilliers. Les bâtiments sont construits dans un délaissé entre une zone pavillonaire et une barre de logements collectifs. Les 4 ‘‘plôts’’ s’articulent autour d’un forum central, un lieu associatif qui s’adresse au quartier pour tisser un lien entre deux zones d’habitations qui se repoussent.

On accède à ce lieu commun par une rampe en pente douce qui traverse l’espace. Autour de la place chaque logement offre les qualités d’une maison individuelle pour ses occupants. Chacun possède une entrée propre depuis la rue, un espace extérieur privatif et un espace intérieur traversant.

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REALISE PAR UN PRODUIT AUTODESK A BUT EDUCATIF

REALISE PAR UN PRODUIT AUTODESK A BUT EDUCATIF

niveau rue Un T2 traversant possédant une séquence d’entrée avec de petits epaces extérieurs protégés qui adoucissent le rapport à la rue

r+1 Entrée par escalier d’un T5 avec un salon ouvrant sur une terrasse et une logia côté rue.

REALISE PAR UN PRODUIT AUTODESK A BUT EDUCATIF

r-1 Espace associatif qui s’ouvre aux habitants de la résidence et au public proposant en autres : -salle de musique -ateliers de réparation -local vélo -cuisine collective

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r+2 Chambres du t5 en duplexe accessibles par un escalier intérieur et toutes orientées sur cours .


vue et coupe sur la place au coeur du projet


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Dans ce projet l’espace commun est pensé comme un jardin et a une place en coeur d’ilôt. Des espaces pour tous ouvrent leur baies vers l’espace public et proposent un regain d’activité. Un système de balcons et de terrasses permet une stratification des jardins qui entrent en intéraction avec le sous bassement associatif.

Côté rue, le bardage et les logias décomposent une séquence d’entrée qui permet une mise à distance par rapport à la barre et un espace en plus pour les habitants. L’interstice entre les membrures en bois et les portes d’entrées permet de ranger un vélo, de se déchausser, de prendre un peu de recul par rapport à la rue.

La création d’une rue qui dialogue avec les logements collectifs


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La possibilité d’une ville

Projet pour une cité pavillonaire nouvelle, juin 2016

Ce projet pose la question des citées pavillonnaires actuelles et la manière dont elles se construisent. Le site consiste en un carré de champ de 1 hectare bordé par une route. Il fallait réfléchir à un type d’urbanisation de cet espace vierge par des habitats individuels. Les ‘maisons poutres’ s’inspirant des longères traditionnelles sont réparties en ïlots surélevés au dessus d’une grande partie de champ conservée. Le but de cette manoeuvre est de pourvoir chaque habitat d’un jardin sec et d’un paysage naturel en le plaçant en porte à faux au dessus de cette zone biologique champêtre.


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L’implantation du projet commence donc par des îlots de maisons qui sur le modèle de la poutre déclinent les typologies. Ces maisons regardent vers le champ et sont déservies par une rue intérieure comprotant garages et commerces de proximité. C’est la première phase de la création d’une complexité urbaine à partir de ces infrastructures. Les nouveaux habitants peuvent coloniser le solarium sur leur toit ou encore s’associer pour élever de nouveaux espaces transversaux et construire un début de ville. Dans une phase encore plus lointaine on peut imaginer une société qui se construise par ce jeu de poutres pour former un tissu qui s’étendrait sur trois nappe au lieu de une au départ. (Plus haut la lumière viendrait à manquer)

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Promenons nous à Ivry, un nouvel espace culturel Réhabilitation de la minoterie, décembre 2015 Ce projet porte sur la réhabilitation de deux batiment industriels situés en bordure de la zac Ivry confluences datant du XIXème et présentant un potentiel de reconversion trés élevé. En effet la minoterie est construite sur une charpente en acier qui peut subir des transformations lourdes et

des changement d’usage radicaux. La programmation du projet s’est trés vite portée vers un équipement urbain, de loisir et de culture qui par sa taille deviendrai un centre d’activité et de dynamisme phare pour ce quartier émergent.

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La sémantique de ce projet s’organise selon une volonté circulatoire. Les espaces de rez-de-chaussée, entièrement traversant et libres offrent un grand nombre d’usages potentiels alors que le bâtiment en R+5 accueille une bibliothèque . La rampe qui tisse le lien entre les deux bâtiments et la rue propose une écri-

ture courbe qui vient se nicher au sein des bâtis industriels . En plus d’être un équipement de quartier pour les habitants d’Ivry la minoterie se veut un lieu de balade et de loisir pourvu d’un parc qui pourrait s’inscrire à l’échelle Parisienne.

plan masse, un jour de marché

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r+2 salle de lecture et espaces d’exposition en surplomb du projet

r+1 entrée de la bibliothèque et de la rampe d’exposition ainsi qu’une double hauteur sur la halle polyvalente

niveau rue epaces d’accueils traversant et salle polyvalente pour accueillir des évènements de jour et de nuits.


La tour des sports Un complexe sportif boulevard Richard Lenoir, juin 2015 à la fois du signal et du socle. La tour des sports marque la création d’un nouveau point de repère dans le paysage parisien. Elle allie des espaces d’activité physique à des zones de promenade et de détente. Le projet est constitué de 4 terrains de baskets, de salles de danse et d’une piscine.

REALISE PAR UN PRODUIT AUTODESK A BUT EDUCATIF

Ce sujet soulevait la question de la place des terrains de sport aujourd’hui en ville et la manière de réinventer ces lieux qui permettent à de nombreux urbains de se ressourcer. Le jeu d’une écriture verticale forte et fonctionnelle qui croise un rezde-chaussée plus effacé permet l’émergence d’une forme qui tient

Vue du projet depuis les espaces de promenade

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REALISE PAR UN PRODUIT AUTODESK A BUT EDUCATIF

coupe transversale

REALISE PAR UN PRODUIT AUTODESK A BUT EDUCATIF


passage vers St Ambroise

coupe longitudinale

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boulevard Richard Lenoir


Cosmétique de l’ennemi Proposition de mise en scène pour la nouvelle d’Amélie Nothomb, Novembre 2016 La réprésentation en trois parties porte sur la manifestation de la folie chez un voyageur. La spatialisation de cette démence passe par une plongée de l’espace scénique qui s’effectue au cours de la représentation. Ce basculement correspond à une abstraction progressive de

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l’environnement initial. Le plateau se soulève en deux fois succecives au fur et à mesure que le personnage se découvre. Le fond de scène rétroéclairé évolue tout le long de la pièce pour renforcer la perte de repères. Le jeu d’acteurs se développe alors sur cette

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surface qui se présente comme une difficulté grandissante. Le spectacle se déroule en 1h et est rythmé par le mouvement mécanique et inéluctable du sol.

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Rushs pour les trois parties de la pièces

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L’aéroport, un lieu neutre au début de la pièce

Une scène qui s’extrait peu à peu de la réalité


La Vague projet d’arts plastiques, 2014

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La vague est une installation en chevalets qui vient se briser contre le mur de l’école. La réinterprétation des codes de l’art interroge ici le potentiel poétique du chevalet. Habituellement ce fidèle serviteur du peintre reste rangé dans son placard quand son maître n’est pas là, alors qu’ici il se rebelle et se joint à ses semblables pour déferler.

croquis préliminaire au fusain, étude du mouvement


Wubble projet d’arts plastiques 2016 Wubble est un projet vidéo de 2min30 portant sur les ‘bruits de fond de la ville’. Ces bruit du quotidien peuvent être associés aux wubbles, c’est-à-dire les nappes de basses fréquences utilisées en musique électronique, notamment en Dubstep pour lier les différents thèmes mélodiques. Ce court métrage a été filmé en plan-séquence dans Paris avec une caméra embarquée à vélo... Les gouttes qui s’accumulent sur l’objectif déforment les lumières de la ville qui s’amplifient au rythme des wubbles.

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Soit balancé sans peur Absorbé dans ta candeur Dans la fosse des idées folles Sans passer le cap morne Des ambitions enterrées Au delà des regrets 2014

la possibilité d’une ville vue des champs


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Merci !



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