590803

Dans ce petit jardin, la piscine a été installée sur un des bords pour faciliter la circulation sur le côté resté libre.

Réussir son zoning

Bien concevoir son projet

Bien penser les circulations

28

Pensez toujours à la commodité de l’aménagement et à la circulation. Si votre surface vous permet de créer plusieurs zones, demandez-vous quel emplacement sera le plus adapté à tel usage spécifique : il est évident, par exemple, que la table de jardin doit se trouver le plus près possible de la maison, voire de la cuisine. Ceci étant, traverser le coin repas pour gagner une autre zone ne doit pas se transformer en parcours d’obstacles.

Lorsque vous établirez votre plan, ne vous contentez pas de dessiner meubles, pots et parterres : pensez à représenter les circulations par des flèches afin de mieux les visualiser et de corriger si besoin certaines erreurs d’implantation.

Dans le cas d’un appartement tout en longueur avec des baies vitrées, distribuez la terrasse selon la fonction des pièces attenantes : le coin repas à proximité du salon et de la cuisine, un coin plus intimiste devant votre chambre (pour lire, bronzer), une banquette « pour les copains » devant celle de votre ado… (voir « Une terrasse en longueur », page 82).

Dans un jardin, respectez globalement la même logique… mais autorisez-vous ponctuellement une entorse à la règle, notamment pour tirer au mieux parti de l’ensoleillement naturel. Si l’espace attenant à la cuisine et au salon est exposé plein sud, vous ne pourrez guère y déjeuner en plein été : recherchez une zone plus abritée du soleil, même si vous devez faire quelques mètres de plus pour la rejoindre (pensez juste à y apporter de la lumière pour les dîners). De même, installer votre chaise longue sous la chambre de vos enfants vous exposera peut-être à des « bains musicaux » prolongés ; vous serez plus au calme à l’ombre d’un arbre un peu éloigné…

Bref, soyez logique mais sans systématisme : au cas par cas, demandez-vous si la zone choisie pour telle activité est bien la plus appropriée… Les réflexes classiques ne sont pas toujours les plus adaptés à nos modes de vie actuels…

Séparer pour structurer  Pour créer des zones et faciliter les circulations, vous pouvez opter pour des séparations minérales ou végétales.

Un petit mur en pierre, en béton, rectiligne ou en courbe, marquera la délimitation entre le coin repas et celui consacré au repos. Un massif planté peut tout autant jouer ce rôle séparateur.

++Structurer ne veut pas dire cloisonner : les trois zones de ce jardin bien organisé coexistent avec une parfaite fluidité.

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Dans ce petit jardin, la piscine a été installée sur un des bords pour faciliter la circulation sur le côté resté libre.

Réussir son zoning

Bien concevoir son projet

Bien penser les circulations

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Pensez toujours à la commodité de l’aménagement et à la circulation. Si votre surface vous permet de créer plusieurs zones, demandez-vous quel emplacement sera le plus adapté à tel usage spécifique : il est évident, par exemple, que la table de jardin doit se trouver le plus près possible de la maison, voire de la cuisine. Ceci étant, traverser le coin repas pour gagner une autre zone ne doit pas se transformer en parcours d’obstacles.

Lorsque vous établirez votre plan, ne vous contentez pas de dessiner meubles, pots et parterres : pensez à représenter les circulations par des flèches afin de mieux les visualiser et de corriger si besoin certaines erreurs d’implantation.

Dans le cas d’un appartement tout en longueur avec des baies vitrées, distribuez la terrasse selon la fonction des pièces attenantes : le coin repas à proximité du salon et de la cuisine, un coin plus intimiste devant votre chambre (pour lire, bronzer), une banquette « pour les copains » devant celle de votre ado… (voir « Une terrasse en longueur », page 82).

Dans un jardin, respectez globalement la même logique… mais autorisez-vous ponctuellement une entorse à la règle, notamment pour tirer au mieux parti de l’ensoleillement naturel. Si l’espace attenant à la cuisine et au salon est exposé plein sud, vous ne pourrez guère y déjeuner en plein été : recherchez une zone plus abritée du soleil, même si vous devez faire quelques mètres de plus pour la rejoindre (pensez juste à y apporter de la lumière pour les dîners). De même, installer votre chaise longue sous la chambre de vos enfants vous exposera peut-être à des « bains musicaux » prolongés ; vous serez plus au calme à l’ombre d’un arbre un peu éloigné…

Bref, soyez logique mais sans systématisme : au cas par cas, demandez-vous si la zone choisie pour telle activité est bien la plus appropriée… Les réflexes classiques ne sont pas toujours les plus adaptés à nos modes de vie actuels…

Séparer pour structurer  Pour créer des zones et faciliter les circulations, vous pouvez opter pour des séparations minérales ou végétales.

Un petit mur en pierre, en béton, rectiligne ou en courbe, marquera la délimitation entre le coin repas et celui consacré au repos. Un massif planté peut tout autant jouer ce rôle séparateur.

++Structurer ne veut pas dire cloisonner : les trois zones de ce jardin bien organisé coexistent avec une parfaite fluidité.

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L éclairage

S’il permet d’y voir clair à la nuit tombée, l’éclairage est aussi le moyen de mettre véritablement en scène le jardin et d’en profiter pleinement à toute heure, y compris quand on le regarde depuis l’intérieur (une des consolations de la basse saison !).

De manière générale, veillez à répartir la lumière harmonieusement, sans laisser de trou noir. Plutôt qu’une seule lumière puissante, qui écrase les volumes (voire qui aveugle), préférez plusieurs points lumineux de faible intensité ; adaptez leur nombre et leur emplacement en fonction de votre espace. Aidez-vous du plan où vous avez réalisé la composition de votre espace : vous y placerez les éléments que vous voulez souligner ainsi que les arrivées électriques. L’idée n’est pas de tout voir, mais de jouer en subtilité pour mettre en valeur certains éléments. Pour réussir son installation, il faut donc se demander en amont ce que l’on veut mettre en valeur et par quel procédé.

Balcons : gaieté et simplicité

Installations et équipements

 Un balcon nécessite peu d’éclairage

34

(le plus souvent, la lumière provenant de l’intérieur suffit), mais une guirlande lumineuse et quelques photophores créeront une ambiance chaleureuse.

Jouez la couleur : bougies, photophores ou lampions aux teintes vitaminées donnent toujours beaucoup de gaieté aux dîners en extérieur.

Mettre en scène les végétaux Disséminés dans le jardin, des spots d’ambiance permettent de faire ressortir des éléments, de mettre en valeur le volume d’un massif par exemple. Il existe aussi de grands projecteurs à placer au pied des arbres. Installés au pied et orientés vers la cime, ils donneront de la majesté aux arbustes et arbres dont ils redessineront le feuillage, tout en soulignant la verticalité du tronc ; placés de côté, ils feront ressortir leur forme au milieu du jardin.

Éclairer le coin repas Sur la terrasse (en immeuble ou en jardin), pour la zone de vie et de repas, on conseille plutôt des photophores et des éclairages d’ambiance, en les complétant par un éclairage diffus installé dans les végétaux situés à proximité. Quand une prise est proche, on peut installer un lampadaire nomade d’appoint que l’on rentrera le soir. Appliques et projecteurs muraux sont plus contraignants à installer car ils impliquent de disposer la table à proximité d’un mur. Pour les pergolas, des systèmes de lustres, comme à l’intérieur, s’intègrent très bien.

Baliser les chemins Les petits spots encastrés dans le sol sont également très pratiques. Ils peuvent signaler les marches d’un escalier, ponctuer le bord d’une terrasse ou encore dessiner un cheminement symbolique dans un patio. ++Éclairer une zone, valoriser les végétaux, symboliser les chemins et circulations… à chaque fonction son type d’éclairage.

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L éclairage

S’il permet d’y voir clair à la nuit tombée, l’éclairage est aussi le moyen de mettre véritablement en scène le jardin et d’en profiter pleinement à toute heure, y compris quand on le regarde depuis l’intérieur (une des consolations de la basse saison !).

De manière générale, veillez à répartir la lumière harmonieusement, sans laisser de trou noir. Plutôt qu’une seule lumière puissante, qui écrase les volumes (voire qui aveugle), préférez plusieurs points lumineux de faible intensité ; adaptez leur nombre et leur emplacement en fonction de votre espace. Aidez-vous du plan où vous avez réalisé la composition de votre espace : vous y placerez les éléments que vous voulez souligner ainsi que les arrivées électriques. L’idée n’est pas de tout voir, mais de jouer en subtilité pour mettre en valeur certains éléments. Pour réussir son installation, il faut donc se demander en amont ce que l’on veut mettre en valeur et par quel procédé.

Balcons : gaieté et simplicité

Installations et équipements

 Un balcon nécessite peu d’éclairage

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(le plus souvent, la lumière provenant de l’intérieur suffit), mais une guirlande lumineuse et quelques photophores créeront une ambiance chaleureuse.

Jouez la couleur : bougies, photophores ou lampions aux teintes vitaminées donnent toujours beaucoup de gaieté aux dîners en extérieur.

Mettre en scène les végétaux Disséminés dans le jardin, des spots d’ambiance permettent de faire ressortir des éléments, de mettre en valeur le volume d’un massif par exemple. Il existe aussi de grands projecteurs à placer au pied des arbres. Installés au pied et orientés vers la cime, ils donneront de la majesté aux arbustes et arbres dont ils redessineront le feuillage, tout en soulignant la verticalité du tronc ; placés de côté, ils feront ressortir leur forme au milieu du jardin.

Éclairer le coin repas Sur la terrasse (en immeuble ou en jardin), pour la zone de vie et de repas, on conseille plutôt des photophores et des éclairages d’ambiance, en les complétant par un éclairage diffus installé dans les végétaux situés à proximité. Quand une prise est proche, on peut installer un lampadaire nomade d’appoint que l’on rentrera le soir. Appliques et projecteurs muraux sont plus contraignants à installer car ils impliquent de disposer la table à proximité d’un mur. Pour les pergolas, des systèmes de lustres, comme à l’intérieur, s’intègrent très bien.

Baliser les chemins Les petits spots encastrés dans le sol sont également très pratiques. Ils peuvent signaler les marches d’un escalier, ponctuer le bord d’une terrasse ou encore dessiner un cheminement symbolique dans un patio. ++Éclairer une zone, valoriser les végétaux, symboliser les chemins et circulations… à chaque fonction son type d’éclairage.

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Le bois

Le bois rétifié  Alternative écologique à l’utilisation des bois exotiques, la technique de la rétification consiste à chauffer le bois en atmosphère inerte jusqu’à une température à partir de laquelle se produit un réarrangement des molécules. Le bois devient alors plus résistant et plus stable.

 Cette technique lui fera prendre

Installations et équipements

naturellement des teintes proches de celles des bois exotiques, mais cette patine a la particularité d’être homogène.

50

Élégant et chaleureux à la fois, le bois se marie volontiers à d’autres matières, apportant notamment de la douceur si vous êtes dans un environnement très minéral. Si son prix est élevé, il offre en contrepartie de nombreux avantages.

Peu glissant par temps de pluie, il ne devient pas non plus brûlant au soleil. Rapide à poser, il peut être utilisé sur un terrain en pente ou venir recouvrir un matériau existant. Les lames se vissent sur des lambourdes de la même essence. Fixées directement au sol, celles-ci rattraperont les irrégularités du support tout en garantissant un bon écoulement des eaux de pluie. Dans le cas d’une création totale (en jardin comme en immeuble), les lambourdes devront reposer sur des plots en béton pour éviter le contact direct avec le sol. En outre, vous pourrez facilement le démonter en cas de besoin.

Le coût élevé de certaines essences se justifie pleinement par leur durée de vie : les essences exotiques sont imputrescibles, très résistantes, et leur longévité peut dépasser soixante ans. Néanmoins, au même titre que des essences locales, certaines ont tendance à « bouger ».

Le bois rétifié (voir encadré ci-contre) a le même aspect que le bois exotique tout en étant plus écologique et moins onéreux.

Moins coûteux, les caillebotis en pin ont aussi une durée de vie plus courte et ils ont parfois tendance à se déformer avec le temps. Néanmoins, certains producteurs garantissent leur produit jusqu’à 25 ans.

N’oublions pas que le pin est un bois local qui contribue au développement durable.

Tous les bois doivent être traités classe 4 pour une parfaite résistance à l’humidité.

 La durabilité des bois rétifiés est comparable à celle des bois exotiques de classe 1 (qualité supérieure).

 Ce procédé n’utilise (ni ne génère) aucun élément toxique et permet de tirer parti des bois locaux (hêtre, peuplier, épicéa, pin, frêne, selon les régions).

Quelle que soit sa surface, un sol en bois contribue à rendre chaleureux et facile d’entretien votre espace de vie extérieur.

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Le bois

Le bois rétifié  Alternative écologique à l’utilisation des bois exotiques, la technique de la rétification consiste à chauffer le bois en atmosphère inerte jusqu’à une température à partir de laquelle se produit un réarrangement des molécules. Le bois devient alors plus résistant et plus stable.

 Cette technique lui fera prendre

Installations et équipements

naturellement des teintes proches de celles des bois exotiques, mais cette patine a la particularité d’être homogène.

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Élégant et chaleureux à la fois, le bois se marie volontiers à d’autres matières, apportant notamment de la douceur si vous êtes dans un environnement très minéral. Si son prix est élevé, il offre en contrepartie de nombreux avantages.

Peu glissant par temps de pluie, il ne devient pas non plus brûlant au soleil. Rapide à poser, il peut être utilisé sur un terrain en pente ou venir recouvrir un matériau existant. Les lames se vissent sur des lambourdes de la même essence. Fixées directement au sol, celles-ci rattraperont les irrégularités du support tout en garantissant un bon écoulement des eaux de pluie. Dans le cas d’une création totale (en jardin comme en immeuble), les lambourdes devront reposer sur des plots en béton pour éviter le contact direct avec le sol. En outre, vous pourrez facilement le démonter en cas de besoin.

Le coût élevé de certaines essences se justifie pleinement par leur durée de vie : les essences exotiques sont imputrescibles, très résistantes, et leur longévité peut dépasser soixante ans. Néanmoins, au même titre que des essences locales, certaines ont tendance à « bouger ».

Le bois rétifié (voir encadré ci-contre) a le même aspect que le bois exotique tout en étant plus écologique et moins onéreux.

Moins coûteux, les caillebotis en pin ont aussi une durée de vie plus courte et ils ont parfois tendance à se déformer avec le temps. Néanmoins, certains producteurs garantissent leur produit jusqu’à 25 ans.

N’oublions pas que le pin est un bois local qui contribue au développement durable.

Tous les bois doivent être traités classe 4 pour une parfaite résistance à l’humidité.

 La durabilité des bois rétifiés est comparable à celle des bois exotiques de classe 1 (qualité supérieure).

 Ce procédé n’utilise (ni ne génère) aucun élément toxique et permet de tirer parti des bois locaux (hêtre, peuplier, épicéa, pin, frêne, selon les régions).

Quelle que soit sa surface, un sol en bois contribue à rendre chaleureux et facile d’entretien votre espace de vie extérieur.

51

))Sur un balcon, choisissez de beaux pots de tailles différentes pour apporter du volume et valoriser votre petit coin de nature.

))Un pot XXL en résine blanche accentue le style design de cette terrasse.

Choisir ses bacs Coté esthétique, vous pouvez choisir de créer une cohérence entre les pots en favorisant une même matière, et en la déclinant sous plusieurs modèles. Des formes anguleuses et des associations de matières (zinc et résine) donneront une ambiance moderne, alors que jardinières en bois et en terre naturelle feront un style plus « campagne ». Vous recherchez l’originalité ?

Jouez au contraire la différence, en mélangeant cinq pots très différents, traitez-les comme des sculptures en les travaillant séparément et en mettant de belles plantes dans chacun.

Concernant les contraintes pratiques, gardez à l’esprit que terrasses et balcons ne peuvent généralement supporter que 150 à 350 kg/m2 ; aussi renseignez-vous auprès de votre syndic de copropriété. Bois, matières synthétiques et fibre de verre sont des matières légères à privilégier pour vos contenants. Ceux-ci doivent en outre résister aux intempéries et protéger la plante : de grands pots permettront à cette dernière de résister au gel comme à la chaleur. Réservez les bacs métalliques et les matières synthétiques sombres aux cache-pots, car ils absorbent trop la chaleur. La terre s’assèche donc plus rapidement.

Jouer avec les parfums…

Créer l’ambiance

 L’allure n’est pas le seul critère de

56

choix pour une plante. Certaines ne paient pas de mine mais ont un arôme très fort. L’Elegance ebbingei, par exemple, possède de petites clochettes à la note sucrée. Pour un jardin agréable à vos cinq sens, n’hésitez donc pas à jongler entre des variétés odorantes et des spécimens plus graphiques (un jasmin étoilé, par exemple, ou encore un oranger du Mexique).

Quand les plantes prennent de la hauteur Que vos plantes soient en pot ou en pleine terre, jouez avec les verticales : un treillis en bois ou les parois d’une pergola (voir page 69) leur permettront de se développer de manière structurée ou aléatoire, selon vos envies.

Si vous n’êtes pas effrayé par les procédés plus techniques, pensez aussi aux murs végétaux qui donneront de l’originalité à votre espace. Ces murs vivants connaissent un succès grandissant : il en existe même aujourd’hui en kits, qui vous permettent de faire pousser des plantes à la verticale sur un feutre horticole imputrescible fixé au mur. Osez aussi les suspensions végétales, les plantes aquatiques… Laissez parler votre imagination !

**Ces élégants bacs ont été réalisés sur mesure en schiste noir brut massif. Le sol en pavés de basalte a été posé sur sable.

Les jardinières fixes Si vous avez peu d’espace, pensez aux jardinières construites sur mesure : en plus d’optimiser l’utilisation de recoins isolés, elles accueillent des espèces qui seraient à l’étroit en pot et vous permettront en outre de créer une paroi végétale dense.

Les contenants de ce type sont généralement maçonnés, mais vous pouvez tout à fait tricher en utilisant de grands bacs plastiques perforés que vous habillerez de planches ou même de plaques de tôle. Une solution économique et légère.

Dans un jardinet, vous pourrez à la fois planter en pleine terre et placer ponctuellement certaines plantes dans des pots pour créer du relief. Dessinez des massifs que vous limiterez avec des bordures en ardoise, en rondins ou en osier tressé. Placez une jardinière fleurie au milieu pour varier les hauteurs. Jouez avec les volumes et les couleurs des plantes ; bref, soyez créatif !

Plantes en pots : choisir le bon terreau  Il existe aujourd’hui une large gamme de terreaux, parfois très techniques, conçus pour s’adapter au mieux aux besoins de chaque plante.

Choisissez généralement une terre lourde, qui retient mieux l’eau.

Vous pouvez compléter ce terreau de granulés spécifiques qui se gorgent de l’eau d’arrosage (veillez à ne pas remplir le pot pour éviter que cela ne déborde) : grâce à leur légèreté, ces granulés s’intègrent dans n’importe quelle jardinière de balcon.

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))Sur un balcon, choisissez de beaux pots de tailles différentes pour apporter du volume et valoriser votre petit coin de nature.

))Un pot XXL en résine blanche accentue le style design de cette terrasse.

Choisir ses bacs Coté esthétique, vous pouvez choisir de créer une cohérence entre les pots en favorisant une même matière, et en la déclinant sous plusieurs modèles. Des formes anguleuses et des associations de matières (zinc et résine) donneront une ambiance moderne, alors que jardinières en bois et en terre naturelle feront un style plus « campagne ». Vous recherchez l’originalité ?

Jouez au contraire la différence, en mélangeant cinq pots très différents, traitez-les comme des sculptures en les travaillant séparément et en mettant de belles plantes dans chacun.

Concernant les contraintes pratiques, gardez à l’esprit que terrasses et balcons ne peuvent généralement supporter que 150 à 350 kg/m2 ; aussi renseignez-vous auprès de votre syndic de copropriété. Bois, matières synthétiques et fibre de verre sont des matières légères à privilégier pour vos contenants. Ceux-ci doivent en outre résister aux intempéries et protéger la plante : de grands pots permettront à cette dernière de résister au gel comme à la chaleur. Réservez les bacs métalliques et les matières synthétiques sombres aux cache-pots, car ils absorbent trop la chaleur. La terre s’assèche donc plus rapidement.

Jouer avec les parfums…

Créer l’ambiance

 L’allure n’est pas le seul critère de

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choix pour une plante. Certaines ne paient pas de mine mais ont un arôme très fort. L’Elegance ebbingei, par exemple, possède de petites clochettes à la note sucrée. Pour un jardin agréable à vos cinq sens, n’hésitez donc pas à jongler entre des variétés odorantes et des spécimens plus graphiques (un jasmin étoilé, par exemple, ou encore un oranger du Mexique).

Quand les plantes prennent de la hauteur Que vos plantes soient en pot ou en pleine terre, jouez avec les verticales : un treillis en bois ou les parois d’une pergola (voir page 69) leur permettront de se développer de manière structurée ou aléatoire, selon vos envies.

Si vous n’êtes pas effrayé par les procédés plus techniques, pensez aussi aux murs végétaux qui donneront de l’originalité à votre espace. Ces murs vivants connaissent un succès grandissant : il en existe même aujourd’hui en kits, qui vous permettent de faire pousser des plantes à la verticale sur un feutre horticole imputrescible fixé au mur. Osez aussi les suspensions végétales, les plantes aquatiques… Laissez parler votre imagination !

**Ces élégants bacs ont été réalisés sur mesure en schiste noir brut massif. Le sol en pavés de basalte a été posé sur sable.

Les jardinières fixes Si vous avez peu d’espace, pensez aux jardinières construites sur mesure : en plus d’optimiser l’utilisation de recoins isolés, elles accueillent des espèces qui seraient à l’étroit en pot et vous permettront en outre de créer une paroi végétale dense.

Les contenants de ce type sont généralement maçonnés, mais vous pouvez tout à fait tricher en utilisant de grands bacs plastiques perforés que vous habillerez de planches ou même de plaques de tôle. Une solution économique et légère.

Dans un jardinet, vous pourrez à la fois planter en pleine terre et placer ponctuellement certaines plantes dans des pots pour créer du relief. Dessinez des massifs que vous limiterez avec des bordures en ardoise, en rondins ou en osier tressé. Placez une jardinière fleurie au milieu pour varier les hauteurs. Jouez avec les volumes et les couleurs des plantes ; bref, soyez créatif !

Plantes en pots : choisir le bon terreau  Il existe aujourd’hui une large gamme de terreaux, parfois très techniques, conçus pour s’adapter au mieux aux besoins de chaque plante.

Choisissez généralement une terre lourde, qui retient mieux l’eau.

Vous pouvez compléter ce terreau de granulés spécifiques qui se gorgent de l’eau d’arrosage (veillez à ne pas remplir le pot pour éviter que cela ne déborde) : grâce à leur légèreté, ces granulés s’intègrent dans n’importe quelle jardinière de balcon.

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))Résine tressée pour mobilier aux lignes contemporaines.

Les matières synthétiques Plus glamour que le plastique et le PVC, la résine est devenue un matériau-vedette grâce à sa légèreté, à sa commodité et à sa diversité : simples ou sophistiqués, les meubles en résine, (souvent pliables ou empilables) s’adaptent à tous les styles. Façon rotin, la résine tressée s’adapte à l’extérieur comme à l’intérieur et apporte de la modernité. L’entretien se limite à un nettoyage à l’eau savonneuse et à une à deux applications annuelles d’une cire dédiée au mobilier de jardin, pour éviter que la résine ne ternisse.

Légère et résistante aux intempéries, la fibre de verre permet de réaliser les formes les plus originales, dans des teintes variées. Tout nouveau sur le marché, le mobilier en fibre de verre est surtout proposé par des boutiques spécialisées. Pour le nettoyage, préférez aux produits trop abrasifs, qui pourraient rendre la surface poreuse, de l’eau savonneuse.

Créer l’ambiance

Le bois

62

Les meubles en bois, passe-partout, apportent chaleur et exotisme à des terrasses anciennes comme contemporaines. Résistants au froid et au vent, ils s’adaptent parfaitement aux conditions extérieures et peuvent durer plus d’une décennie s’ils sont bien entretenus.

Le bois exotique (teck, iroko ou bangkirai) est aujourd’hui très utilisé car il est naturellement imputrescible et particulièrement résistant. Toutefois, des essences européennes tels que le châtaignier, le chêne ou le robinier (ou des essences tendres – frêne et pin – traitées en autoclave pour l’extérieur) sont d’excellentes alternatives, tout aussi solides et plus écologiques puisqu’elles n’engendrent qu’un faible transport. Quel que soit votre choix, optez pour des bois provenant de forêts bien gérées (voir encadré ci-contre). Nouvelle star des revêtements de sol, le bambou s’utilise aussi de plus en plus sous forme de mobilier pour parachever une atmosphère végétale teintée d’exotisme. Écologique par essence (car il pousse en abondance), il s’entretient simplement à l’huile de lin en début et fin de saison.

++Chaleureux, élégant, le mobilier de jardin en bois est aussi durable, surtout si l’on opte pour un éco-label.

Labels écologiques : comment s’y retrouver ?  Le label FSC (Forest Stewardship Council) est une éco-certification qui garantit une exploitation responsable des forêts, ainsi que des performances économiques et sociales satisfaisantes.

 Le label TFT (Tropical Forest Trust) est un label de transition pour les forêts en voie d’obtenir la certification FSC.

 Le label PEFC (Programme de

La vannerie : rotin et osier Ces fibres végétales permettent de donner des formes élégantes et tout en rondeurs au mobilier d’extérieur, et donnent un petit air romantique à votre jardin ou terrasse. Légers, les meubles en rotin ou en osier se déplacent facilement mais ne conviennent pas aux coins venteux. Pour l’entretien quotidien, une simple éponge, un seau d’eau et quelques gouttes de produit nettoyant ou de liquide vaisselle suffisent. La couleur de l’osier peut être ravivée à l’aide de vinaigre blanc ou d’eau froide citronnée. Les meubles en rotin, eux, s’entretiennent deux à trois fois par an avec de l’huile de lin.

Charmants, donc, mais fragiles : ne les laissez pas sécher en plein soleil après nettoyage, et mettez-les à l’abri pendant la saison hivernale.

Reconnaissance des Certifications Forestières) regroupe de petits exploitants forestiers européens qui pratiquent une économie durable.

 Ces certifications sont d’autant plus importantes en ce qui concerne le bois exotique, très répandu dans la fabrication du mobilier d’extérieur, mais souvent issu d’une exploitation illégale et non raisonnée. Le coût de l’adhésion aux organismes de certification rend les produits labellisés plus chers, mais le rapport qualité-prix est sans aucun doute meilleur car le bois est coupé à maturité et donc de meilleure qualité.

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))Résine tressée pour mobilier aux lignes contemporaines.

Les matières synthétiques Plus glamour que le plastique et le PVC, la résine est devenue un matériau-vedette grâce à sa légèreté, à sa commodité et à sa diversité : simples ou sophistiqués, les meubles en résine, (souvent pliables ou empilables) s’adaptent à tous les styles. Façon rotin, la résine tressée s’adapte à l’extérieur comme à l’intérieur et apporte de la modernité. L’entretien se limite à un nettoyage à l’eau savonneuse et à une à deux applications annuelles d’une cire dédiée au mobilier de jardin, pour éviter que la résine ne ternisse.

Légère et résistante aux intempéries, la fibre de verre permet de réaliser les formes les plus originales, dans des teintes variées. Tout nouveau sur le marché, le mobilier en fibre de verre est surtout proposé par des boutiques spécialisées. Pour le nettoyage, préférez aux produits trop abrasifs, qui pourraient rendre la surface poreuse, de l’eau savonneuse.

Créer l’ambiance

Le bois

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Les meubles en bois, passe-partout, apportent chaleur et exotisme à des terrasses anciennes comme contemporaines. Résistants au froid et au vent, ils s’adaptent parfaitement aux conditions extérieures et peuvent durer plus d’une décennie s’ils sont bien entretenus.

Le bois exotique (teck, iroko ou bangkirai) est aujourd’hui très utilisé car il est naturellement imputrescible et particulièrement résistant. Toutefois, des essences européennes tels que le châtaignier, le chêne ou le robinier (ou des essences tendres – frêne et pin – traitées en autoclave pour l’extérieur) sont d’excellentes alternatives, tout aussi solides et plus écologiques puisqu’elles n’engendrent qu’un faible transport. Quel que soit votre choix, optez pour des bois provenant de forêts bien gérées (voir encadré ci-contre). Nouvelle star des revêtements de sol, le bambou s’utilise aussi de plus en plus sous forme de mobilier pour parachever une atmosphère végétale teintée d’exotisme. Écologique par essence (car il pousse en abondance), il s’entretient simplement à l’huile de lin en début et fin de saison.

++Chaleureux, élégant, le mobilier de jardin en bois est aussi durable, surtout si l’on opte pour un éco-label.

Labels écologiques : comment s’y retrouver ?  Le label FSC (Forest Stewardship Council) est une éco-certification qui garantit une exploitation responsable des forêts, ainsi que des performances économiques et sociales satisfaisantes.

 Le label TFT (Tropical Forest Trust) est un label de transition pour les forêts en voie d’obtenir la certification FSC.

 Le label PEFC (Programme de

La vannerie : rotin et osier Ces fibres végétales permettent de donner des formes élégantes et tout en rondeurs au mobilier d’extérieur, et donnent un petit air romantique à votre jardin ou terrasse. Légers, les meubles en rotin ou en osier se déplacent facilement mais ne conviennent pas aux coins venteux. Pour l’entretien quotidien, une simple éponge, un seau d’eau et quelques gouttes de produit nettoyant ou de liquide vaisselle suffisent. La couleur de l’osier peut être ravivée à l’aide de vinaigre blanc ou d’eau froide citronnée. Les meubles en rotin, eux, s’entretiennent deux à trois fois par an avec de l’huile de lin.

Charmants, donc, mais fragiles : ne les laissez pas sécher en plein soleil après nettoyage, et mettez-les à l’abri pendant la saison hivernale.

Reconnaissance des Certifications Forestières) regroupe de petits exploitants forestiers européens qui pratiquent une économie durable.

 Ces certifications sont d’autant plus importantes en ce qui concerne le bois exotique, très répandu dans la fabrication du mobilier d’extérieur, mais souvent issu d’une exploitation illégale et non raisonnée. Le coût de l’adhésion aux organismes de certification rend les produits labellisés plus chers, mais le rapport qualité-prix est sans aucun doute meilleur car le bois est coupé à maturité et donc de meilleure qualité.

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dure encore plus longtemps, protégez-le de l’humidité en l’abritant durant l’hiver et préférez une finition époxy, plus résistante.

Plus légers et économiques, l’acier galvanisé et l’aluminium donneront un esprit contemporain à votre extérieur et se marient à merveille avec le bois ou le verre.

Tous deux sont naturellement résistants à la rouille, leur entretien est donc bien moins contraignant : eau savonneuse pour le premier ou additionnée de bicarbonate de soude ou d’ammoniac pour le second. Pour faire briller les surfaces, oubliez les éponges abrasives (qui raient le métal) et passez simplement un chiffon enduit de cire spéciale.

**Une pause détente teintée de douceur à l’ombre des bambous (Phyllostachys 'Aurea')…

La toile Si vous voulez pouvoir ranger facilement vos transats et autres sièges, les meubles pliables, légers qui plus est, sont l’idéal pour de petits espaces multi-usages.

Du 100 % coton aux toiles synthétiques, vous avez le choix entre différents types de tissus qui s’installent sur des structures en bambou ou en aluminium.

En plus d’être confortables, les toiles pour transat suivent votre humeur. Elles s’achètent indépendamment de la structure et peuvent donc être renouvelées au fil des ans, éventuellement en adaptant la couleur aux dernières tendances. La toile se nettoie simplement avec une éponge et de l’eau (savonneuse ou additionnée de vinaigre blanc) ou en machine. Évitez de faire sécher ces tissus en plein soleil pour ne pas détériorer leur couleur..

Le métal

Créer l’ambiance

Du salon en fer forgé aux formes épurées et contemporaines, le mobilier métallique s’adapte à la tradition comme au design le plus avant-gardiste. N’hésitez pas à chiner dans les brocantes d’anciens modèles à restaurer ou craquez pour de belles reproductions aux couleurs vives ou aux teintes sourdes.

Le fer forgé est le métal le plus répandu dans le mobilier d’extérieur, grâce à sa solidité et sa durabilité (plusieurs décennies). Sensible à l’humidité, la rouille est sa plus grande ennemie. Outre un nettoyage régulier à l’eau savonneuse, il faudra donc passer en début et en fin de saison une brosse métallique, du papier de verre très fin ou de la toile émeri sur toute la surface, puis éventuellement raviver la couleur avec une peinture antirouille de la même teinte. Pour que votre mobilier

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Vitaminé, high tech ou d’esprit récup’, le métal autorise toutes les fantaisies pour nos meubles de jardin.

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dure encore plus longtemps, protégez-le de l’humidité en l’abritant durant l’hiver et préférez une finition époxy, plus résistante.

Plus légers et économiques, l’acier galvanisé et l’aluminium donneront un esprit contemporain à votre extérieur et se marient à merveille avec le bois ou le verre.

Tous deux sont naturellement résistants à la rouille, leur entretien est donc bien moins contraignant : eau savonneuse pour le premier ou additionnée de bicarbonate de soude ou d’ammoniac pour le second. Pour faire briller les surfaces, oubliez les éponges abrasives (qui raient le métal) et passez simplement un chiffon enduit de cire spéciale.

**Une pause détente teintée de douceur à l’ombre des bambous (Phyllostachys 'Aurea')…

La toile Si vous voulez pouvoir ranger facilement vos transats et autres sièges, les meubles pliables, légers qui plus est, sont l’idéal pour de petits espaces multi-usages.

Du 100 % coton aux toiles synthétiques, vous avez le choix entre différents types de tissus qui s’installent sur des structures en bambou ou en aluminium.

En plus d’être confortables, les toiles pour transat suivent votre humeur. Elles s’achètent indépendamment de la structure et peuvent donc être renouvelées au fil des ans, éventuellement en adaptant la couleur aux dernières tendances. La toile se nettoie simplement avec une éponge et de l’eau (savonneuse ou additionnée de vinaigre blanc) ou en machine. Évitez de faire sécher ces tissus en plein soleil pour ne pas détériorer leur couleur..

Le métal

Créer l’ambiance

Du salon en fer forgé aux formes épurées et contemporaines, le mobilier métallique s’adapte à la tradition comme au design le plus avant-gardiste. N’hésitez pas à chiner dans les brocantes d’anciens modèles à restaurer ou craquez pour de belles reproductions aux couleurs vives ou aux teintes sourdes.

Le fer forgé est le métal le plus répandu dans le mobilier d’extérieur, grâce à sa solidité et sa durabilité (plusieurs décennies). Sensible à l’humidité, la rouille est sa plus grande ennemie. Outre un nettoyage régulier à l’eau savonneuse, il faudra donc passer en début et en fin de saison une brosse métallique, du papier de verre très fin ou de la toile émeri sur toute la surface, puis éventuellement raviver la couleur avec une peinture antirouille de la même teinte. Pour que votre mobilier

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Vitaminé, high tech ou d’esprit récup’, le métal autorise toutes les fantaisies pour nos meubles de jardin.

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Concilier envies et modes de vie

Se donner le temps de la réflexion est primordial lorsqu’il s’agit de concevoir un espace extérieur. En ville, celui-ci est souvent exigu : qu’il s’agisse d’une cour, d’un petit jardin, d’une terrasse ou d’un simple balcon, il doit être aménagé de façon à optimiser la place disponible et à profiter pleinement de ses avantages.

Le projet réussi sera celui qui s’adaptera le mieux à votre mode de vie, en conciliant vos envies, votre budget et les contraintes inhérentes au lieu. Un objectif parfaitement accessible si vous préparez soigneusement votre projet, en vous posant les bonnes questions et en n’oubliant aucune étape.

Faire le point sur ses envies Pour définir avec précision ce dont vous avez envie, feuilletez des magazines et des livres de décoration, visitez les jardineries, les salons spécialisés et les manifestations locales, faites des recherches sur Internet.

Tout en nourrissant votre inspiration, rassemblez de la documentation et constituez un dossier qui vous aidera à construire votre projet. N’hésitez pas à poser des questions aux différents professionnels que vous croiserez (jardiniers, artisans, paysagistes…), à prendre des notes, à faire des petits croquis pour garder en tête certaines idées qui vous ont séduit et que vous pensez pouvoir reproduire chez vous.

Un petit coin de nature en pleine ville est précieux ; en exploitant au mieux ses points forts, vous en ferez un lieu accueillant une grande partie de l’année.

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Concilier envies et modes de vie

Se donner le temps de la réflexion est primordial lorsqu’il s’agit de concevoir un espace extérieur. En ville, celui-ci est souvent exigu : qu’il s’agisse d’une cour, d’un petit jardin, d’une terrasse ou d’un simple balcon, il doit être aménagé de façon à optimiser la place disponible et à profiter pleinement de ses avantages.

Le projet réussi sera celui qui s’adaptera le mieux à votre mode de vie, en conciliant vos envies, votre budget et les contraintes inhérentes au lieu. Un objectif parfaitement accessible si vous préparez soigneusement votre projet, en vous posant les bonnes questions et en n’oubliant aucune étape.

Faire le point sur ses envies Pour définir avec précision ce dont vous avez envie, feuilletez des magazines et des livres de décoration, visitez les jardineries, les salons spécialisés et les manifestations locales, faites des recherches sur Internet.

Tout en nourrissant votre inspiration, rassemblez de la documentation et constituez un dossier qui vous aidera à construire votre projet. N’hésitez pas à poser des questions aux différents professionnels que vous croiserez (jardiniers, artisans, paysagistes…), à prendre des notes, à faire des petits croquis pour garder en tête certaines idées qui vous ont séduit et que vous pensez pouvoir reproduire chez vous.

Un petit coin de nature en pleine ville est précieux ; en exploitant au mieux ses points forts, vous en ferez un lieu accueillant une grande partie de l’année.

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