L'essentiel du bricolage by Fleurus Editions

TECHNIQUES DE BASE • REVÊTEMENTS INTÉRIEURS ÉLECTRICITÉ, ÉCLAIRAGE & DOMOTIQUE • SANITAIRES & PLOMBERIE CHAUFFAGE & CLIMATISATION • PORTES, CLOISONS & ISOLATION FENÊTRES, TOITURE & MAÇONNERIE • AMÉNAGEMENTS EXTÉRIEURS

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L’ESSENTIEL BRICOLAGE

• De l’électricité aux revêtements intérieurs en passant par la plomberie et l’isolation, chaque sujet est expliqué en détail et les gestes clés décomposés étape par étape : de quoi aménager ou rénover sa maison du sol au plafond !

L’ESSENTIEL BRICOLAGE

• Appropriez-vous facilement tous les gestes indispensables du bricolage : matériaux, techniques, outils, équipements... Très vite, vous saurez réaliser tous les types de travaux chez vous, en réalisant ainsi de nombreuses économies.

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L’ESSENTIEL BRICOLAGE

LE BEST-SELLER DU BRICOLAGE

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Sommaire TECHNIQUES DE BASE Conseils, trucs et astuces

7 9

Outillage : perçages

Matériaux : collages

Fixations : chevilles

Fixations : accrochages

Menuiserie : assemblages

Matériaux : découpes

Menuiserie : quincaillerie d’ameublement

Matériaux : soudures à l’arc

REVÊTEMENTS INTÉRIEURS

Peinture : préparation des supports

Peinture : techniques de base

Peinture : tout peindre dans la maison

101

Peinture : effets décoratifs

109

Revêtements muraux : papier peint

117

Revêtements muraux : carrelage

125

Revêtements de sol : préparation

133

Revêtements de sol : parquets

141

Revêtements de sol : entretien des parquets

149

Revêtements de sol : sols souples

157

Revêtements de sol : carrelage

165

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TECHNIQUES DE BASE

ÉLECTRICITÉ, ÉCLAIRAGE & DOMOTIQUE

175

Électricité : éclairage

177

Électricité : tableau de protection 1

185

Électricité : tableau de protection 2

193

Électricité : distribution des réseaux

201

Électricité : raccordements

209

Électricité : interrupteurs

217

Électricité : réparations courantes

225

Domotique et réseau VDI

233

Sécurité : les systèmes de protection

241

SANITAIRES & PLOMBERIE

251

Alimentation en eau : le cuivre

253

Alimentation en eau : le multicouche

261

Alimentation en eau : les tubes PER

269

Plomberie : évacuations

277

Plomberie : entretien et dépannage

285

Raccordements sanitaires 1

293

Raccordements sanitaires 2

301

Eau domestique : traitement

309

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CHAUFFAGE & CLIMATISATION 319 Chauffage : les règles du confort

321

Chauffage : quelle source d’énergie ?

329

Chauffage : cheminées, poêles et inserts

337

Chauffage : radiateurs électriques

345

Climatisation et ventilation

353

PORTES, CLOISONS & ISOLATION

363

Isolation acoustique

365

Isolation : les combles

373

Isolation : doublages thermiques

381

Cloisons : plâtre ou béton cellulaire ?

388

Cloisons : plaques de plâtre

397

Cloisons : plafonds suspendus

405

Menuiseries intérieures : portes

413

Menuiseries intérieures : serrures

421

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TECHNIQUES DE BASE

FENÊTRES, TOITURE & MAÇONNERIE

431

Maçonnerie : démolitions

433

Maçonnerie : parpaings

441

Maçonnerie : briques

449

Maçonnerie : ancrages et scellements

457

Maçonnerie : réparations

465

Maçonnerie : mortiers

473

Ravalement : travaux préparatoires

481

Toiture : tuiles plates, accessoires

489

Menuiseries extérieures : fenêtres

497

Menuiseries extérieures : volets

505

AMÉNAGEMENTS EXTÉRIEURS 515 Extérieur : portails et automatismes

517

Extérieur : allées et cheminements

525

Arrosage : choisir le bon système

533

Éclairage : jardins et façades

541

Terrasses : revêtements de sol

549

Terrasses : construire une terrasse en bois

555

TABLE DES MATIÈRES

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TECHNIQUES

DE BASE

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TECHNIQUES DE BASE

■ Connaître les bons gestes ■ Faciliter le travail ■ Gagner du temps

TRUCS ET ASTUCES

CONSEILS

Quel que soit le domaine, les bricoleurs avertis connaissent et se transmettent des tours de mains et des astuces de traçage qui leur permettent d’économiser du temps tout en gagnant en efficacité. Tour d’horizon.

e bricolage regorge de trucs et d’astuces qui peuvent simplifier le travail tout en garantissant une exécution de qualité. Tous les artisans et tous les bricoleurs expérimentés en utilisent à longueur de chantier. Mais entre les gestes qui semblent si évidents qu’on en oublie de les transmettre et ceux qui ne deviennent un réflexe qu’après une longue pratique, les bricoleurs amateurs et occasionnels passent souvent à côté de nombreux tours de mains qui leur feraient pourtant économiser du temps… et de l’argent. Pour les dénicher, pas de secrets ! Il faut savoir se nourrir de l’expérience des autres, ne pas hésiter à poser des questions, être curieux, ne pas craindre de passer pour un ignorant. C’est le prix à payer pour être initié !

Le bon outil À la moindre difficulté sur un chantier, à la moindre étape posant problème, pensez qu’immanquablement la situation a été étudiée et analysée par les fabricants qui en ont créé un outil adapté. N’hésitez pas alors à feuilleter les catalogues des fabricants d’outillage à main et à traîner dans les grandes surfaces de bricolage pour trouver la solution qui vous facilitera la tâche.

Basé sur le principe des vases communicants, ce niveau à eau permet de rester parfaitement de niveau sur une grande distance grâce à un tuyau de 20 m de long.

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Réaliser des tracés de base Segmenter Diviser une planche en plusieurs bandes égales (six dans l’exemple ci-contre) est un procédé reproductible, aussi bien pour tracer des marches d’un escalier sur un mur que pour implanter des étagères équidistantes…

Posez votre règle pour que le 0 soit sur un bord et un multiple de 6 sur l’autre. Peu importe si votre règle est en biais.

Reportez les graduations puis placez votre règle à l’autre extrémité de la planche pour tracer les mêmes points.

Rejoignez les points et prolongez-les pour créer six bandes. Elles seront parfaitement égales et parallèles.

Tracer des angles droits AU MILIEU D’UNE PIÈCE C

B M

Sur une droite, placez un point M. Avec une cordelette (elle sert de règle et de compas), repérez sur la droite deux points (A et B) à égale distance de M.

TROUVER UN ARC DE CERCLE TANGENT

À partir de ces points A et B, tracez deux arcs de cercle de rayon identique. Ils vont se couper en deux nouveaux points C et D.

Reliez les deux points C et D par une droite. Celle-ci passe par le point M et, surtout, forme un angle droit avec celle passant par A et B.

DANS LE COIN D’UNE PIÈCE P

B C

C A

Tracez, à l’aide d’une cordelette, un cercle de centre C passant par l’angle P. Repérez sur le mur le point d’intersection A.

Avec une règle, tracez la droite partant de A et passant par C. Elle coupe le cercle de l’autre côté en un point B.

Pour implanter une cloison courbe ou arrondir un angle, repérez sur votre mur l’emplacement de départ de votre cloison (point A). Tracez un arc de cercle partant de l’angle de mur (P) passant par le point A, et repérez sur l’autre face le point B. Tracez les deux perpendiculaires aux murs au départ de A et B (voir tracé d’un angle droit au milieu du mur). Elles viennent se couper en un point C, qui détermine le centre de l’arrondi passant en A et B.

Reliez les points P et B. La droite ainsi tracée est perpendiculaire au mur passant par P et A.

AU MILIEU D’UN MUR

A A

B Placez un point P sur votre mur et appliquez le théorème de Pythagore : dans un triangle rectangle, si l’hypoténuse est égale à 5, les côtés de l’angle droit seront égaux à 3 et 4.

Depuis le point P, dessinez un segment de 3 unités pour obtenir un point A sur votre mur. Depuis P, tracez à 4 unités de distance un arc de cercle.

Depuis A, tracez à 5 unités un autre arc de cercle. Les deux arcs se coupent en un point B. La droite PB est perpendiculaire à votre mur.

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TECHNIQUES DE BASE

■ Choisir les bons outils ■ Connaître les bons gestes ■ Découvrir toutes les astuces

OUTILLAGE

PERÇAGES

Percer de façon efficace et satisfaisante nécessite un équipement approprié. Les machines disponibles proposent de nombreuses options. Encore faut-il choisir du matériel adapté à ses besoins (occasionnels, réguliers), et à son gabarit !

es mèches et les forets sont des outils spécifiquement conçus pour percer des trous dans les divers matériaux. Les mèches sont utilisées pour le bois ou la maçonnerie, les forets pour le métal. Les uns et les autres sont disponibles dans des diamètres et des longueurs variés. À chaque matériau correspond une mèche ou un foret. Il faut utiliser le foret qui correspond au matériau que vous devez percer, sinon celui-ci va s’user plus vite ou même se détériorer. Pour obtenir des perçages précis et rapides, choisissez des mèches et des forets de bonne qualité. Leur coût supérieur est justifié par le résultat obtenu et par leur durée de vie.

QUELLE SÉCURITÉ ? La plupart des accidents proviennent d’une mauvaise fixation des pièces : l’étau est souvent un accessoire indispensable. Équipez-vous aussi de lunettes et d’une paire de gants en cuir. Vous éviterez de vous brûler en retirant trop rapidement la mèche

ou le foret juste après perçage tout en vous protégeant des échardes ou coupures dues aux copeaux. Et n’oubliez pas de monter la poignée latérale : une perceuse ou un perforateur se tiennent à deux mains, ce qui permet d’amortir les chocs.

À QUELLE VITESSE PERCER ? Deux critères sont à prendre en compte : le diamètre du trou à réaliser et la dureté du matériau. Plus le diamètre du trou est important et plus le matériau est dur, plus il faut réduire la vitesse. Notamment pour éviter l’échauffement ou l’usure prématurée de la mèche. En général, les vitesses sont les suivantes : • Bois moyen et dur (chêne, loupe d’orme, teck, noyer) : 3 000 tr/min jusqu’à 10 mm de diamètre, 1 500 tr/min au-delà de 10 mm de diamètre. • Acier : entre 800 et 1 500 tr/min • Métaux tendres (cuivre, aluminium, zinc, laiton) : entre 1 000 et 2 000 tr/min • Béton, brique, pierre : 1 000 à 1 500 tr/min (env. 6 mm) • Carrelage : 600 à 800 tr/min si diamètre inférieur à 10 mm ; 400 tr/min pour diamètre supérieur • Verre : 800 à 1 200 tr/min • Plastique : 900 à 1 200 tr/min

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Choisir les bons outils Essences de bois plus ou moins tendres, aciers hautes performances ou alliages, maçonneries en pierre ou en béton… Employez toujours l’outil adapté !

Les mèches et forets classiques La mèche à bois trois pointes à hélice rapide s’utilise pour un perçage précis et net dans tout type de bois. La mèche à bois haute performance facilite un perçage rapide dans les essences exotiques les plus dures. La mèche à bois hélicoïdale a un double couteau qui facilite l’évacuation des copeaux des trous profonds. La mèche à bois plate permet de réaliser des perçages à fond plat peu profonds et non débouchants. La mèche à béton présente une pastille en carbure de tungstène qui résiste aux matériaux les plus durs. La mèche à céramique, porcelaine et marbre, ressemble à la mèche à béton avec sa pastille noire. Le foret métal au nitrure de titane permet le perçage des métaux durs (acier, fonte). Le foret métal HSS (high speed steel) permet de percer des métaux tendres, des fers et des aciers courants. Le foret multimatériau à pastille permet de percer indifféremment tous les types de matériaux.

QUELLE QUALITÉ D’ACIER ? Il existe des forets en métal trempé et d’autres en acier rapide (HSS) plus résistants qui permettent de travailler jusqu’à 600 °C sans altérer leur dureté. Certains forets à métaux sont recouverts d’un alliage en nitrure de titane (couleur dorée) ou en carbure de titane (couleur gris-bleu) qui renforce leur revêtement et augmente donc leur longévité. Ceux au cobalt (couleur bleutée) peuvent percer les métaux les plus durs et supporter jusqu’à 1 000 °C. Enfin, certains peuvent intégrer des oxydes d’aluminium ou du nitrure de bore. Mais ils sont moins courants. Pour une utilisation fréquente, n’hésitez pas à investir. Et conservez vos mèches au sec pour que leurs tranchants ne rouillent pas.

LA PERCUSSION, COMMENT ÇA MARCHE ? Pour réussir un perçage dans les matériaux les plus résistants, l’emploi de la percussion est indispensable.

Les cloches et trépans Ces outils sont destinés au perçage de gros diamètres autant dans le bois que le plâtre, l’inox, le zinc ou la maçonnerie. Utilisez-les pour le passage de canalisations, l’encastrement des spots, des prises et des interrupteurs. La scie cloche a une mèche centrale et un taillant cylindrique à denture. Elle se monte sur un porte-outil, et il est facile de changer son diamètre. Le trépan est destiné à la seule maçonnerie et existe en différents diamètres. C’est une pièce circulaire en métal intégrant une mèche à béton au centre.

Scies cloches

La perceuse à percussion utilise un arbre cannelé (avec crabots) qui imprime un mouvement de va-et-vient au foret. Efficace dans la maçonnerie traditionnelle, sa force de frappe devient insuffisante dans le béton. Il faut alors exercer une pression beaucoup plus forte pour que la mèche pénètre… ce qui peut abîmer la machine. De son côté, le perforateur fonctionne grâce à un bélier sous pression qui vient taper la queue du foret. Pour un résultat identique, cette machine puissante nécessite en moyenne trois fois moins d’effort qu’une perceuse.

Trépan

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REVÃ&#x160;TEMENTS

INTERIEURS

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REVÊTEMENTS INTÉRIEURS

■ Faire le bon choix ■ Réussir les découpes ■ Connaître les techniques

REVÊTEMENTS MURAUX

CARRELAGE

Traditionnellement utilisé comme revêtement mural dans les cuisines et les salles de bains, le carrelage offre de multiples avantages. Mais sa pose nécessite de disposer d’un matériel adapté et de maîtriser un certain nombre de techniques.

éramique, faïence, pierre, imitation de matières, aspect brillant ou mat, le carrelage sert d’élément décoratif et invite à toutes les compositions. Mais il offre surtout une bonne protection contre les projections d’eau ou de graisse, et reste facile à entretenir. Sa mise en œuvre ne présente pas de difﬁculté particulière, à condition d’être bien équipé et de respecter les étapes de pose. Les découpes d’arrondis et d’angles restent le plus délicat à réaliser, avec un outillage manuel ou électrique. Sur de grandes surfaces, il est conseillé d’investir dans un outillage électrique, plus rapide et d’un coût abordable. Enﬁn, lors de l’achat du carrelage, n’oubliez pas de compter 10 % de carreaux en plus pour faire face aux erreurs, traiter les coupes perdues, et régler les mauvaises surprises.

Confectionner une règle de carreleur Voilà l’outil indispensable pour effectuer le calepinage de votre mur. Grâce à cette règle, vous pourrez déterminer avec précision quelles coupes effectuer en bout de rangée. Pour la fabriquer, utilisez un tasseau de section 50 x 25 mm et de 1,80 m de long. Posez des carreaux au sol en les alignant bien contre le tasseau avec les croisillons retenus pour les joints. Reportez la position de chaque carreau et des joints correspondants… Avec cette règle graduée, vous connaîtrez le nombre exact de carreaux nécessaires et la chute de carreaux à préparer.

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Bien choisir son carrelage Si l’aspect esthétique prime au moment de l’achat, les difficultés de mise en œuvre du carrelage et son prix sont aussi des éléments à prendre en compte.

LA CÉRAMIQUE

LA FAÏENCE

LA MOSAÏQUE

LA PIERRE

La céramique est obtenue à partir du grès cérame, mélange d’argile et de silice. Recouverte d’émail, sa surface devient lisse et beaucoup plus dure.

La faïence est une céramique tendre et poreuse recouverte d’émail. Elle doit son nom à Faenza (Italie) où elle a été fabriquée et diffusée dès le xve siècle.

À l’origine, la mosaïque était faite de petites pièces de céramique, grès cérame, pâte de verre, métal... La combinaison ainsi obtenue forme un dessin, collé sur un support.

Extraite de carrières ou des rivières, la pierre (galets, marbre, ardoise...) permet de réaliser des parements à l’esprit plus rustique ou plus tendance selon les goûts.

Aspect

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Très large choix de coloris et de tailles pouvant aller jusqu’à 60 x 60 cm pour les plus grands modules. Il existe même des imitations de matériaux aussi divers que le bois, le métal, le sisal, etc.

Entretien

+++

Émaillés, les carreaux sont protégés des projections d’eau et de graisse. Cette solution est hygiénique et d’une grande facilité d’entretien. À noter que, lorsque les carreaux ne sont pas émaillés, il faut impérativement les imperméabiliser après la pose.

Pose

Sur ces carreaux d’épaisseur moyenne, les découpes nécessitent un appareillage spécifique tel que la pince coupecarreaux, la carrelette à main ou électrique (à privilégier).

Prix

€

Existe dans toutes les gammes de prix.

Aspect

Très large choix de coloris, motifs et tailles. Existe en finition mate ou brillante. Associée à des listels ou des galets, la faïence permet entre autres de confectionner presque tous les types de décors.

Entretien

Les carreaux de faïence sont imperméables et relativement résistants aux rayures. En revanche, ils sont sensibles aux chocs et aux fortes variations de température. Ils sont fréquemment utilisés pour les crédences murales dans les cuisines.

Pose

Pour découper les carreaux de faïence, il faut utiliser la pince, la carrelette manuelle ou la carrelette électrique, plus pratique pour ne pas rater ses découpes.

Prix

€ €

Un peu plus chère si on la compare à la céramique classique.

Aspect

Large gamme de couleurs et de motifs. La mosaïque est idéale pour personnaliser un mur. Certains fabricants vont même jusqu’à réaliser des compositions à partir de photos ou de croquis.

Entretien

Imperméable et facile d’entretien, la mosaïque est plus fragile que la céramique et demande un entretien plus rigoureux en raison du grand nombre de joints. En revanche, elle peut être aussi bien utilisée pour les murs que sur les sols.

Pose

Sa souplesse la rend idéale pour recouvrir les murs courbes, mais la couper se révèle plutôt fastidieux. Une fois la plaque prise dans la colle, il est très difficile de revenir sur sa position.

Prix

€ € €

Du moins cher au plus cher en fonction du matériau.

Collez à la tendance • Quel format ? Outre le gain de temps sur le chantier, les grands carreaux diminuent le nombre de joints à effectuer et améliorent sensiblement l’étanchéité du revêtement. Leur format exige souvent un double encollage (mur et carreau). D’un point de vue esthétique, les formats rectangulaires donnent un effet de perspective qui contribue à agrandir l’espace. Mais leur prix est proportionnel à leur taille… • Quelle surface ? Carreler jusqu’au plafond est au goût du jour, pour un résultat plus harmonieux, même si cela suppose un léger surcoût.

• Quel matériau ? Présentée en plaques, la mosaïque offre un large choix de couleurs, de matériaux et de motifs et permet toutes les fantaisies pour créer un décor mural unique et original. De grands modules de pierre ou d’ardoise habillent de plus en plus souvent les murs des salles de bains modernes. Chic et déco, ces revêtements ont un coût ! • Et côté couleurs ? Les bleus, les verts et le blanc sont plébiscités pour les céramiques émaillées. Des tons lumineux qui font paraître l’espace plus vaste et plus chaud.

Aspect

Très large choix de matériaux, de couleurs et de tailles. Les formats sur mesure sont même envisageables pour des réalisations de standing. À noter ce charme unique apporté par la patine du temps...

Entretien

La pierre est plus sensible aux taches de graisse et à l’humidité. À moins de considérer ces taches comme de la patine, il faut appliquer une couche d’imperméabilisant après la pose. Au fil des ans, ce produit partira et sera remplacé par une couche de calcin.

Pose

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La seule difficulté réside dans l’épaisseur de certains revêtements qui nécessitent un outillage adapté, tel que la meuleuse d’angle ou la scie à eau.

Prix

€ € €

Un coût souvent plus élevé que celui de la céramique.

SOL OU MUR ? Avant d’acheter vos carreaux, assurez-vous qu’ils sont bien adaptés au support. Plus lourds, les carreaux de sol ne sont généralement pas conçus pour être posés au mur. Inversement, les carreaux muraux sont souvent trop fragiles pour recouvrir les sols.

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ELECTRICITE ‚ ÉCLAIRAGE & DOMOTIQUE

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ÉLECTRICITÉ, ÉCLAIRAGE & DOMOTIQUE

■ Choisir ses lampes ■ Économiser l’énergie ■ Installer ses luminaires

ÉLECTRICITÉ

ECLAIRAGE

Les lampes à incandescence disparaissant, nos habitudes en matière d’éclairage vont devoir changer. C’est donc le moment de découvrir les produits qui vont les remplacer et les nouvelles conditions pour juger la qualité d’un éclairage.

a lumière naturelle ne peut pas assurer un éclairage satisfaisant à tout moment de la journée et en tout point du logement. Pour notre confort, l’éclairage artificiel prend alors le relais… Pour cela, nous avons à notre disposition un très grand nombre de lampes et de luminaires, tant pour l’intérieur que l’extérieur. Ces dernières années, l’offre « produits » a considérablement évolué, notamment en matière de lampes. Aux classiques incandescentes et à leurs cousines halogènes sont venues s’ajouter les lampes fluocompactes (LFC), évolution domestique des tubes fluorescents, et les diodes électroluminescentes (Led). Avec ces produits, rendu des couleurs, consommation électrique, durée de vie… sont considérablement modifiés. Il est donc indispensable de bien connaître les caractéristiques de ces nouvelles lampes pour bien les choisir. En effet, un bon éclairage représente souvent aujourd’hui un investissement financier aussi important que les autres aspects de la décoration intérieure. Choix des lampes, puissances, luminaires… rien ne doit être laissé au hasard. Pour concevoir un éclairage qui assure confort visuel, sécurité, bien-être et efficacité, le tout dans un souci d’économie d’énergie, il faut maîtriser quelques notions d’éclairage.

Le point sur le vocabulaire • Ce que nous appelons couramment « ampoule » est en fait une lampe. L’ampoule ne désigne que le globe de verre qui protège le filament. Ce que nous appelons « lampe » est en fait un « luminaire », c’est-à-dire un appareil d’éclairage intégrant une lampe. On ne doit donc pas dire « changer l’ampoule de cette lampe », mais « changer la lampe de ce luminaire ». • Ce que nous appelons des « néons » sont des tubes fluorescents. Le néon est un gaz qui entrait dans la fabrication des premiers tubes fluorescents. Il est depuis longtemps remplacé par des vapeurs de mercure. • Ce que nous appelons « basse tension » est en réalité de la « très basse tension de sécurité » (TBTS). Elle désigne les lampes de 6, 12 et 24 volts. La basse tension concerne tout ce qui est inférieur à 1 000 volts.

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Quel type de lampe choisir ? Lampe à leds ? À incandescence ? Halogène ? Tube fluorescent ou lampe fluocompacte ? Comment faire le bon choix parmi tous ces modèles de lampes ?

Lampes à leds Nouvelles venues dans l’éclairage de nos maisons, les leds sont des diodes électroluminescentes (DEL en français ou Light-Emitting Diode : LED en anglais). Le filament est remplacé par deux couches de semi-conducteurs séparées par un isolant. Lorsqu’un courant électrique circule d’une couche à l’autre, des photons de lumière sont libérés. La quasi-totalité de l’énergie consommée est transformée en lumière. Pour remplacer les lampes classiques, les leds sont rassemblées en grappe dans une ampoule. Grâce aux progrès réalisés dans ce domaine, les leds peuvent maintenant remplacer tous les types de lampes dans nos intérieurs. La gamme se complète par des modèles en guirlande, de couleur, extérieurs...

Halogènes Ce sont aussi des lampes à incandescence. Mais l’ampoule est ici remplie de brome ou d’iode, ce qui permet au filament d’être beaucoup plus chaud (donc plus brillant). L’enveloppe est en quartz pour résister aux températures élevées. Ces lampes sont la meilleure alternative aux lampes à incandescence : elles offrent la même qualité de lumière (rendu et teinte de couleur chaude) et les mêmes fonctionnalités (allumage instantané, branchement sur variateur) pour une durée de vie deux fois plus longue et une consommation d’énergie de 30 à 50 % moindre. Inconvénient : elles produisent plus d’UV (ultraviolets). C’est pour cette raison que les spots directionnels sont équipés d’un verre anti-UV et que les lampes les plus puissantes (jusqu’à 500 W) sont utilisées en indirect.

Tubes ﬂuorescents Une décharge électrique est produite dans un tube de verre rempli de vapeur de mercure, cela provoque un rayonnement ultraviolet. Les poudres fluorescentes de phosphore qui tapissent l’intérieur du tube transforment ces ultraviolets en lumière visible. C’est la composition de ces poudres qui détermine la quantité et la qualité de la lumière. Les tubes dits « trichromatiques » émettent des pics de lumière dans les parties bleue, verte et rouge du spectre et procurent une lumière de qualité. • Les tubes fluorescents (et les lampes fluocompactes) sont équipés de ballasts qui permettent d’enclencher l’allumage, de stabiliser et de limiter l’intensité de la lampe. Les ballasts électroniques sont les plus efficaces et les moins consommateurs d’énergie.

REMPLACER LES INCANDESCENTES Toutes les lampes n’ont pas la même efficacité lumineuse, c’est-à-dire la même capacité à convertir l’énergie électrique en lumière visible (mesurée en lumens par watt, exprimé en lm/W). Pour remplacer une lampe incandescente, vous pouvez choisir d’utiliser une lampe moins puissante, et donc moins consommatrice d’énergie, telle qu’une fluocompacte (LFC), une lampe à leds ou une lampe halogène. À titre de comparaison, les ampoules qui suivent ont la même intensité lumineuse : Incandescente

25 W 40 W 60 W 75 W 100 W

LFC 6W 9W 14 W 17 W 22 W

Led 2W 5W 6W 8W 15 W

Halogène 25 W 45 W 53 W 70 W

LES LEDS : ÉCONOMIQUES ET DÉCORATIVES… Les leds ne sont pas uniquement destinées à réaliser des lampes plus petites, plus malléables... Elles se déclinent en accessoires lumineux pour créer des effets décoratifs variés, en blanc ou en couleur. Grâce à leur faible consommation, elles peuvent aussi fonctionner sur piles, ce qui permet de les insérer ou de les ajouter là où l’alimentation électrique n’a pas été prévue (dans un placard, par exemple).

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SANITAIRES &

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SANITAIRES & PLOMBERIE

■ Choisir le matériel ■ Couper les tuyaux ■ Monter les réseaux

PLOMBERIE

EVACUATIONS

Évier, machines à laver, baignoire, lavabo, toilettes… autant d’appareils dont il faut rejeter l’eau sale dans les égouts. Dans toute habitation, circulent donc un ou plusieurs réseaux d’évacuation, réalisés le plus souvent à partir d’éléments en PVC collés.

’eau rejetée dans les égouts est divisée en trois catégories : les eaux usées (ou eau grise) venant des éviers, douches, lavabos, baignoires, bidets et autres appareils ménagers ; les eauxvannes (ou eaux noires) venant des W-C, et enfin les eaux pluviales, qui ne sont pas considérées comme des eaux usées puisqu’elles sont directement rejetées. Les eaux usées et les eaux-vannes sont évacuées par des réseaux différents, même si elles se déversent parfois indistinctement dans l’égout. En revanche, les eaux pluviales restent séparées. Ainsi, un réseau de tout-à-l’égout moderne est dit « séparatif » : d’un côté les eaux domestiques au sens large, de l’autre les eaux pluviales. Lors des travaux, il est important de bien garder en tête et de bien respecter cette gestion séparée. Aujourd’hui, le PVC (polychlorure de vinyle) est la matière la plus utilisée pour réaliser les évacuations. Bon marché, il existe dans de nombreux diamètres, comporte de nombreux accessoires et est facile à mettre en œuvre. Enfin, il est insensible à la corrosion et offre peu de prise au calcaire ou aux particules incrustantes. On trouve toutefois quelques réseaux en fonte (généralement des descentes) dans les constructions anciennes. Mais ils sont le plus souvent remplacés par du PVC à l’occasion d’une rénovation.

Quelle réglementation ? La collecte des eaux usées est régie par le Règlement sanitaire. Chaque département possède le sien. Son rôle est de dicter les règles sanitaires qui doivent être respectées lors d’une construction neuve ou d’une importante rénovation. Il est généralement disponible sur le site Internet de votre mairie. La principale différence concerne le réseau de la ville qui peut être soit unitaire (eaux domestiques et eaux pluviales réunies à l’égout), soit séparatif (les eaux domestiques et pluviales possèdent chacune un réseau d’évacuation séparé). Depuis les lois Royal (1992) et Barnier (1995), vous êtes dans l’obligation de raccorder vos canalisations évacuant des eaux usées au réseau d’assainissement collectif lorsqu’il est disponible aux abords de votre terrain. Les maisons équipées jusque-là d’un système d’assainissement individuel doivent l’abandonner et se mettre en conformité.

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L’organisation des évacuations Les eaux collectées suivent des chemins différents pour être amenées à l’égout. Le respect de ces règles est nécessaire pour empêcher des pollutions incontrôlées. Les eaux usées (à gauche) et les eauxvannes (à droite) possèdent chacune leur propre descente d’un diamètre de 100 mm (fonte ou PVC). Il est à noter que chaque descente se prolonge en toi-

ture par des évents qui permettent aux siphons des étages de ne pas être aspirés lorsque les appareils du rez-de-chaussée évacuent l’eau. En sous-sol, les deux réseaux se réunissent dans un même

collecteur qui les conduit jusqu’au toutà-l’égout. Les eaux pluviales sont quant à elles dirigées jusqu’à un collecteur différent lorsque la municipalité possède un réseau d’évacuation dit « séparatif ».

Ventilation primaire

Clapet aérateur

Gouttière

Chute d’aisance Ø 32 ext./26 int.

Ø 40 ext./34 int. Ø 50 ext./44 int.

Ø 100 ext./94 int.

Siphon

Ø 32 ext./26 int.

Évacuation Descente eaux usées

Collecteur

Ø 40 ext./34 int.

Descente eaux pluviales Tampon de visite

Ø 40 ext./34 int.

Ø 100 ext./94 int.

Ø 100 ext./94 int. Collecteur vers égout

Vers fosse septique ou collecteur eaux pluviales

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SANITAIRES & PLOMBERIE

La boîte à outils Scie à métaux

Crayon de maçon

Niveau à bulle

Bleu à tracer Papier de verre

Lime

Boîte à onglet

Colle PVC

Pince coupe-tube

Principaux raccords

Perceuse

en PVC

Manchon droit

Manchon de réduction

Té

Manchon de dilatation

Raccord souple

Colliers

Tampon de réduction

Bouchon de visite

Culotte

Culotte double

Selle de raccordement

Coude 90° mâle/femelle

Coudes 90° femelle/femelle

Coude 45° femelle/femelle

Coude 45° mâle/femelle

Siphon

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Raccorder un siphon L’installation est réalisée à l’aide de raccords en PVC tels que tuyau droit, raccords d’angle, té, manchons, culotte, etc. Selon l’assemblage, ces raccords peuvent être femelle/femelle ou mâle/femelle. Il est important de respecter les diamètres préconisés. On peut raccorder un tube de faible section sur un tube de plus forte section, mais non l’inverse, pour éviter des engorgements dans le réseau. Une pente minimale de 1 à 3 cm par mètre est obligatoire. Elle permet un bon écoulement et évite la stagnation des eaux usées. Si la partie horizontale de votre tuyau est très longue, un manchon de dilatation absorbera les déformations.

3 Après avoir réalisé les tracés, percez ensuite les trous nécessaires à la pose des colliers. Ceux-ci permettront un maintien propre des tuyaux contre le mur.

6 Chanfreinez le bord du tuyau avec une lime de façon à permettre une meilleure pénétration de celui-ci dans la partie femelle du raccordement.

1 Placez le siphon de votre évier de façon à pouvoir mesurer avec précision les longueurs des tuyaux jusqu’à la descente en fonte.

4 Après avoir posé des chevilles adaptées à votre support, vissez les colliers en plastique dans le mur. Placez-en un tous les mètres environ.

7 Dépolissez la zone d’encollage à l’aide d’une bande abrasive à grain moyen (120). Puis dégraissez la zone à encoller avec du trichloréthylène.

2 Tracez sur le mur à l’aide d’un niveau à bulle et d’un crayon le cheminement de vos tuyaux. Assurez-vous de respecter une pente horizontale de 1 cm par mètre.

5 Après avoir mesuré les longueurs de tuyaux nécessaires, coupez-les perpendiculairement à l’aide d’une scie à métaux et d’une boîte à onglet.

8 Encollez le bout du tuyau avec un pinceau et une colle PVC adaptée. Faites attention à bien recouvrir toute la surface. Encollez également l’intérieur du raccord.

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CHAUFFAGE & CLIMATISATION

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■ Choisir son équipement ■ Installer un appareil ■ Tuber un conduit

CHAUFFAGE CHEMINÉES, POÊLES ET INSERTS De plus en plus performants, les appareils de chauffage au bois conjuguent esthétique et économie. Selon le système choisi, la mise en œuvre est plus ou moins complexe, et nécessite le plus souvent l’intervention d’un professionnel.

uoi de plus convivial qu’une soirée d’hiver devant une bonne flambée ? Il est vrai que les performances énergétiques d’une cheminée traditionnelle restent plutôt médiocres… Mais si l’on veut vraiment se chauffer au bois, une cheminée à foyer fermé, un insert ou un poêle offrent des performances bien supérieures. D’autant plus que certains modèles peuvent être couplés à une pompe à chaleur (PAC) pour assurer le chauffage, voire le rafraîchissement de toute la maison. La pose d’un appareil de chauffage au bois n’est pas une mince affaire. Aucune improvisation n’est admise, il en va de votre sécurité. Depuis 1993, il est d’ailleurs obligatoire de faire appel à un professionnel pour poser les inserts et les foyers fermés. Pour la pose d’un poêle, rien n’est imposé à ce jour, mais vous pouvez vous faire aider pour installer les modèles les plus compliqués. Dans tous les cas, la mise en place des conduits demande un soin particulier et le respect des normes.

Quand appeler le ramoneur ? Un nettoyage des conduits effectués par un professionnel est obligatoire deux fois par an. Choisissez une entreprise titulaire d’une qualification « ramonage ». Vous devrez fournir à votre compagnie d’assurance le certificat de ramonage qui vous sera délivré. La seule technique qui offre un nettoyage parfait du conduit est le ramonage mécanique réalisé avec une brosse spéciale, appelée « hérisson ». Il peut se faire par le toit ou par l’ouverture de l’âtre. Le prix de cette intervention reste raisonnable.

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Quel équipement choisir ? Poêle, cheminée ou insert, l’investissement reste conséquent. Pour savoir quel appareil installer, il faut avoir une vue d’ensemble de ces trois modes de chauffage. POÊLE À BOIS

CHEMINÉE À FOYER FERMÉ

INSERT

Il existe trois types de poêle à bois. • Le modèle traditionnel en fonte et acier, souvent livré prêt à poser, ne dispose pas d’une bonne inertie et offre un rendement médiocre. • Le poêle de masse, de forte inertie, offre une chaleur constante. Il consomme moins de bois, mais il est plus cher et plus difficile à installer, vu son poids important. • Le poêle à granulés n’a pas besoin d’être ouvert puisqu’il se recharge automatiquement. Cela évite la perte de chaleur ou la baisse de régime.

Cet appareil fermé par une porte vitrée est inséré dans une cheminée maçonnée. Il ne s’installe pas sur une cheminée existante et suppose donc des travaux importants. Mais vous pouvez adapter tous les styles à votre intérieur. L’air pénètre dans la chambre de combustion par des ouvertures situées sous la porte ainsi que dans l’espace situé entre la hotte et l’avaloir. L’air chaud est ensuite renvoyé dans la pièce via des ouvertures aménagées sur le côté de la hotte. Certains appareils utilisent la technologie de la postcombustion : les résidus de la combustion primaire encore présents dans la fumée se rallument, ce qui augmente le rendement de la cheminée.

Installé dans une cheminée ouverte existante, l’insert a pour but d’en augmenter considérablement le rendement. Il est composé d’une double enveloppe dans laquelle l’air circule, se réchauffe puis se diffuse dans la pièce par l’intermédiaire des bouches d’aération modulables. Pour l’adapter à la taille et à la géométrie de la cheminée, vous avez un large choix de modèles ! Mais vous devez vous assurer au préalable que le centre du foyer peut l’accueillir. Il est en effet quasiment impossible de mettre un insert en place dans une grande cheminée à l’ancienne, à moins de réduire la taille du foyer et de refaire entièrement le conduit de fumée jusqu’au toit.

Rendement

entre 70 et 85 %

Rendement

entre 70 et 85 %

plus de 10 h

Autonomie

plus de 10 h

Rendement - traditionnel - de masse - à granulés

40 à 80 % 70 à 85 % plus de 80 %

Autonomie - traditionnel - de masse - à granulés

5 à 10 h 12 h plusieurs jours

QUELLE SOUCHE ! Partie émergente du conduit de fumée, la souche de cheminée joue un rôle essentiel. Sa mise en place dans les règles est indispensable au bon tirage du chauffage : isolation, évacuation et entrée d’air… sont autant d’éléments à prévoir. La souche doit dépasser du faîtage de la toiture (ou de tout autre élément se trouvant dans un rayon de 8 m) d’au moins 40 cm. Dans le cas d’un toit plat ou d’une faible pente (> 15°), la sortie du conduit doit dépasser d’au minimum 1,20 m. Le style de la souche dépend de celui de la maison, de la toiture et de la région. La gamme de modèles disponibles répond donc à tous les besoins et tous les goûts.

Autonomie

Connaître les règles • Depuis le 1er septembre 2006, la pose d’un conduit d’évacuation des fumées est obligatoire dans le neuf. Cette mesure permet le raccordement ultérieur d’un appareil à bois, fioul ou gaz. • Les conduits de fumée sont soumis à des règles de mise en œuvre (DTU relatifs aux travaux de fumisterie). Leur diamètre dépend de la puissance de l’appareil auquel ils sont raccordés : ni surdimensionné ni sousdimensionné pour assurer un tirage efficace. • La distance de sécurité (écart au feu) à respecter entre la face externe du conduit et les matériaux combustibles qui l’entourent dépend du type de conduit (simple, double, maçonné…). Cette mesure doit être prise

en compte lorsqu’un conduit, installé dans des combles charpentés, traverse un plancher ou si vous décidez de le coffrer. • Dans le cas des poêles, le conduit peut être apparent. Il doit se situer à plus de 60 cm des murs (ou moins si les murs sont constitués de matériaux ignifugés, c’est-à-dire traités contre le feu). À l’étage, le conduit doit être isolé et coffré. • Si vous utilisez un conduit existant d’au moins 18 cm de section, il faudra le tuber. • Assurez-vous que vos conduits possèdent un profil régulier (sans changement de section et pas plus de deux coudes de 45° maximum ou 20° si la hauteur de conduit est supérieure à 5 m).

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PORTES, CLOISONS &

ISOLATION

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PORTES, CLOISONS & ISOLATION

■ Pourquoi doubler ? ■ Avec quel produit ? ■ Comment s’y prendre ?

ISOLATION DOUBLAGES THERMIQUES Vous construisez une maison, rénovez un appartement, aménagez un garage, créez un studio de musique dans une cave, ou entamez des travaux d’isolation… Dans tous les cas, vous allez devoir doubler les murs existants. Reste à savoir comment !

our doubler et isoler un mur, il existe trois grands types de solutions : le panneau sandwich collé, le doublage en plaque de plâtre sur ossature et la contre-cloison maçonnée. La compréhension de leurs avantages et de leurs inconvénients va vous permettre de choisir la solution qui est la mieux adaptée à votre projet, qui correspond le mieux à vos attentes, et qui est compatible avec vos compétences de bricoleur. Si votre objectif est d’isoler votre habitation des bruits ou du froid, vous allez utiliser un isolant intégré, ou rapporté entre le mur existant et le matériau de doublage. Là encore, en fonction des performances souhaitées, de votre budget, et de la solution technique retenue, vous devrez faire un choix. Restera ensuite à mettre en œuvre votre doublage. Prenez le temps de bien préparer votre chantier, équipez-vous des bons outils et respectez les consignes de pose. Réaliser un doublage ne nécessite pas de compétences hors du commun. Les premiers mètres carrés seront sans doute un peu délicats à mener à bien… Mais une fois le tour de main acquis, le reste du chantier se passera sans problème.

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AVANT DE DOUBLER, VÉRIFIEZ L’ÉTAT DU SUPPORT Il est indispensable de vérifier que le doublage ne présente pas de traces d’humidité, qu’il s’agisse de remontées capillaires ou d’infiltrations. Il faut en effet savoir qu’un isolant qui se gorge d’eau perd toutes ses qualités… car l’eau conduit la chaleur (ou le froid) 25 fois mieux que l’air !

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Pourquoi doubler les murs ? Pour rénover les murs, se protéger du froid ou s’isoler du bruit, la solution traditionnelle consiste à doubler les murs. Cette opération permet d’accroître votre confort, mais également de réduire les factures de chauffage.

Pour consommer moins d’énergie Consommation d’énergie rime évidemment avec facture à payer. Une maison mal isolée laisse la chaleur s’échapper

* indice de consommation

100 %*

Consommation d’une maison non isolée + simple vitrage

de toutes parts. Il faut alors remplacer en permanence les calories qui s’enfuient au prix de dépenses énergétiques

85 %

Consommation d’une maison avec combles isolés + simple vitrage

81,8 %

Consommation d’une maison avec sol isolé + simple vitrage

Pour augmenter le confort La sensation de paroi froide se ressent lorsque la différence entre la température des murs et celle de l’air ambiant dépasse 3 °C. Le doublage des murs joue alors un rôle important dans notre perception de la température d’une pièce. Paroi + 13 °C

– 6 °C

Air ambiant + 20 °C

Température ressentie + 16,5 °C

1 m

Paroi + 18,5 °C

À 1 m d’une paroi non isolée à 13 °C, la température de l’air de la pièce aura beau être de 20 °C, la perception que l’on aura ne dépassera pas (20+13) /2 = 16,5 °C… Trop froid !

67,5 %

Température ressentie + 19,25 °C

La réponse dépend de plusieurs paramètres, mais on peut considérer qu’il faut disposer de murs dont la transmission de surface ne dépasse pas Up<0.36 W/m².K. Au-dessus de cette valeur, on estime que le confort n’est pas optimal et que les dépenses énergétiques sont excessives. Autrement dit que l’habitation n’est pas bien isolée. Dans le bâti ancien, rien n’est imposé. Il est tout de même conseillé de s’approcher de cette valeur. Le tableau suivant vous indique quel coefficient Up vos murs non isolés peuvent afficher suivant leur épaisseur et la nature du matériau.

1 m

Up (W/m2.K) fixé par la RT 2005

Type de paroi Épaisseur

20 cm

30 cm

40 cm

Pierre calcaire

3,5

3,1

Meulière

3,2

2,7

2,35

11,5 cm

22,5 cm

34 cm

3,45

2,5

17,5 cm

20 cm

22,5 cm

2,05

1,85

Brique pleine Brique creuse Dans la même pièce dont les murs isolés affichent 18,5 °C, la perception sera de 19,25 °C… Parfait !

Consommation d’une maison avec combles, murs et sols isolés + double vitrage

Ma maison est-elle correctement isolée ?

Épaisseur

– 6 °C

33,3 %

Consommation d’une maison avec murs et combles isolés + simple vitrage

Épaisseur

Air ambiant + 20 °C

et financières importantes. Le doublage des murs avec un isolant est la première arme pour lutter contre ce gaspillage.

20 cm

22,5 cm

25 cm

Bloc béton plein

Épaisseur

2,9

2.75

2,6

Bloc béton creux

2,7

2,5

2,3

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FENÊTRES, TOITURE &

MAÇONNERIE

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■ Ouvrir une trémie ■ Abattre un mur ■ Déposer une cloison

MAÇONNERIE

DEMOLITIONS

L’agencement des espaces intérieurs et extérieurs nécessite souvent une phase de démolition préalable. Cette étape, apparemment simple à réaliser, exige pourtant une préparation soigneuse, à la fois pour des raisons techniques et de sécurité.

émolir semble a priori un travail pour lequel on utilise essentiellement ses muscles. Il est vrai que déposer un vieux carrelage, retirer un sanitaire endommagé ou enlever du papier peint relève plus de l’activité physique que de la compétence technique. Dans tous les cas, entreprendre une démolition, qu’elle soit légère ou lourde, nécessite du matériel adapté à la situation et des équipements de protection individuelle pour travailler en toute sécurité. En revanche, dès que vous touchez à un élément structurel du bâtiment, que ce soit un mur de façade, un plancher, une charpente, ou même une cloison, vous devez prendre toutes les précautions nécessaires pour ne pas avoir de mauvaises surprises, voire un accident. Une phase d’étude et de diagnostic est indispensable. Dans les cas complexes, il vaut mieux faire appel à un bureau d’études structures compétent et assuré. Sa contribution est même obligatoire dans une copropriété avant d’effectuer des transformations.

Pensez aux gravats ! Vous pouvez être tenté de procéder vous-même à une démolition pour réduire le coût de vos travaux. Mais sachez-le, cette étape génère du bruit, de la poussière et souvent des maux de dos. Les déchets de chantier peuvent être de nature et de quantité variables, avec un encombrement et un poids non négligeables. Et en plus, il faudra les évacuer en décharge car il est évidemment interdit de les abandonner sur le trottoir ! Pour toutes ces raisons, il est parfois plus judicieux de confier cette tâche ingrate à une entreprise qui dispose de l’équipement adéquat.

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Quelques règles à connaître Qu’il s’agisse d’une simple dépose ou d’une démolition lourde, une étude préalable est indispensable pour bien planifier et organiser la suite des travaux.

Quelles précautions avant de démolir ? Avant d’abattre un mur, vous devez vérifier si les éléments à supprimer n’ont pas un rôle structurel et si leur dépose ne va pas mettre en péril votre habitation. • Les murs de façade, les planchers d’étage, la dalle de fondation et les murs de refend (d’une épaisseur > 15 cm) sont porteurs. Les déposer est toujours possible mais requiert au préalable une étude spécifique pour ne pas fragiliser la structure de la maison.

• Les cloisons intérieures sont des éléments de maçonnerie légère qui ne possèdent aucune fonction porteuse. Elles servent uniquement à isoler ou à partitionner l’espace intérieur. Elles présentent une épaisseur comprise entre 5 et 10 cm. Leur dépose ne demande que peu de mesures particulières. Mais attention, dans les constructions anciennes, même une cloison peut être devenue porteuse au fil des transformations.

Un permis est-il obligatoire ? Tous les travaux ayant pour objet de démolir ou de rendre inutilisable tout ou partie d’une construction nécessitent un

permis de démolir. Le délai commun d’obtention de ce permis est de deux mois après dépôt du dossier. Si votre projet comporte, après démolition, une reconstruction, il vous faudra déposer soit une déclaration préalable soit un permis de construire dans lequel un volet démolition est prévu.

Titre colonne

Permis Déclaration de démolir préalable Déposer une cloison / porte intérieure Remplacer une fenêtre existante Élargir / créer une fenêtre en façade

Permis de construire

non

OUI

AMIANTE : QUE FAIRE ?

non

La dépose d’un élément contenant de l’amiante engendre souvent un coût très élevé et nécessite une procédure spécifique auprès de la préfecture et de l’inspection du travail. Par ailleurs, les déchets amiantés ne sont pris en charge et stockés que dans certaines décharges. Faites donc appel à des spécialistes !

Installer une fenêtre de toit

non

Ouvrir une trémie en plancher

non

non non

OUI

non

Créer un passage de porte dans un mur porteur

non

Remplacer une couverture existante

non

OUI

non

Démolir un appentis maçonné attenant

OUI

non

Abattre un mur porteur de copropriété

Gravats, laines minérales, polystyrène, métal, plastique, bois… Chaque commune dispose d’une déchetterie où sont stockés les déchets courants du bâtiment avant leur traitement. Pour les particuliers, le dépôt est gratuit, mais réglementé. Renseignez-vous auprès de votre mairie (sachez cependant que ce service est payant pour les professionnels, et qu’ils l’incluent dans votre facture). Dans tous les cas, les déchetteries répartissent les déchets selon leur nature. Il est donc préférable de les trier par avance sur le chantier. Pour une quantité importante de gravats, la location d’une benne peut s’avérer utile. S’il vous faut l’installer dans la rue par manque de place sur votre parcelle, vous devez demander une autorisation à la mairie et vous acquitter d’une taxe.

non

OUI OUI OUI

Déposer une souche de cheminée

Faut-il trier les gravats ?

Faut-il faire appel à un bureau d’études ? Si vous envisagez de toucher à un élément structurel (abattre un mur porteur, agrandir une fenêtre, ouvrir une trémie dans un plancher…), il est indispensable de consulter un bureau d’études. Son rôle consiste à définir le mode de réalisation des travaux, à calculer la taille

des poutres ou des poteaux à mettre en œuvre. Il est le seul à disposer des compétences et des garanties nécessaires à la bonne marche du chantier. Une entreprise sérieuse ne réalise pas de travaux sur des éléments de structure sans l’aval d’un bureau d’études structures.

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AMÃ&#x2030;NAGEMENTS

EXTERIEURS

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■ Choisir un matériau ■ Déﬁnir un tracé ■ Réaliser les allées

EXTERIEUR ALLÉES ET CHEMINEMENTS

Accéder à l’habitation ou à ses dépendances, entretenir le jardin ou s’y promener, chaque allée a sa raison d’être. Pour mener à bien sa conception, il faut définir son usage, décider de son tracé, et sélectionner le matériau et le type de pose adaptés.

oncevoir un jardin amène nécessairement à s’interroger sur les différents besoins de circulation. Quels véhicules emprunteront l’allée ? À quelle fréquence ? À quelle saison ? Dans quel but ? Que ce soit pour accéder à l’entrée, circuler autour de la maison, aller étendre son linge ou chercher du bois de chauffage... les usages sont nombreux. Au delà des besoins, le choix du tracé et du matériau doit ensuite s’accorder au style de la maison et répondre à vos goûts. Lorsque vous aurez toutes les réponses, ne négligez aucun détail et essayez d’anticiper les éventuelles contraintes qui pourraient apparaître dans le temps. L’entretien sera-t-il facile ? Le matériau captera-t-il la chaleur ou au contraire la réfléchira-t-il ? Les techniques de pose doivent ensuite être adaptées aux contraintes imposées par l’usage, au matériau sélectionné et à la nature du terrain. Enfin, pour respecter votre budget, vous pouvez choisir de réaliser tout ou partie des travaux vous-même.

La dimension des passages

Si vous souhaitez créer des allées esthétiques, n’oubliez pas qu’elles doivent aussi être fonctionnelles ! Pour disposer du maximum de confort, prévoyez une largeur minimale de 1,20 m. Ainsi, deux personnes pourront se croiser facilement, sans avoir à s’écarter. Pour des allées « secondaires », vous pouvez réduire la largeur à 60 cm. Mais attention, si l’allée longe un mur ou un obstacle, il vaut mieux prévoir au minimum 1 m, et 1,50 m pour être à l’aise.

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Choisir le matériau Classique, moderne, naturel, synthétique… Le choix est vaste ! Au final, l’aspect, l’entretien, la mise en œuvre et le prix seront des critères essentiels.

PIERRE NATURELLE BRUTE

PIERRE NATURELLE SCIÉE

Naturelle et d’aspect varié, la pierre brute d’extraction est la moins standardisée. Sa production est peu énergivore.

Disponible dans de multiples dimensions, la pierre naturelle usinée est souvent associée à son lieu géographique d’extraction.

Deux épaisseurs : 4 cm pour un usage piéton et 6 cm pour un passage de véhicule. Production locale (rapport poids/prix).

La qualité esthétique des imitations (bois, bambou, métal…) ne cesse de s’améliorer, au point d’en devenir bluffante.

COÛT

€ €

€ € € €

€ €

DIFFICULTÉ DE POSE

++++

+++

ENTRETIEN

AVANTAGES

Authentique, esthétique et résistante. Vaste choix de couleurs et de textures. Antidérapante.

Identiques à ceux de la pierre brute. Vaste choix de styles, de couleurs, Pose facilitée par la régularité des de dimensions, de textures. dimensions et des calepinages. Résistant, antidérapant, pose simple, faible poids unitaire.

Déclinaison infinie de couleurs, de formes, de dimensions et de textures. Résistante, antidérapante.

Coût très élevé. Traitement hydrofuge et antitaches essentiel avant usage. Se patine avec le temps.

Pose rigoureuse (bulles d’air) et physiquement éprouvante (poids unitaire). Traitement hydrofuge et antitaches souvent nécessaire.

à € € € €

INCONVÉNIENTS Irrégularité rendant la pose plus difficile. Traitement hydrofuge et antitaches essentiel avant usage. Se patine avec le temps.

PAVÉ RECONSTITUÉ

Traitement hydrofuge et antitaches souvent nécessaire avant usage. Poids de l’ensemble élevé (donc livraison et manutention difficiles).

DALLE BÉTON

à € € € €

DALLE GRAVILLONNÉE

BOIS

TERRE CUITE DE PAVEMENT

Classique, économique. Son aspect résulte de la « désactivation » et du lavage du ciment de surface. Le gravier du béton devient visible.

Naturel et chaleureux. Essences les plus utilisées : pin autoclave et bois exotiques. Existe en lames ou en dalles pré-assemblées.

Authentique et naturelle. Les pavés sont à base d’argile. L’aspect est très différent selon les techniques de cuisson et le calepinage.

Large choix de couleurs et tailles. Existe roulé ou concassé (voies circulables). Les graviers « roulés plats » sont plus stables.

COÛT

€

€ €

€ € € €

€

DIFFICULTÉ DE POSE

ENTRETIEN

++++

AVANTAGES

Vaste choix, facilité de mélange des modèles. Résistante, antidérapante. Économique. Pose facile (reste solide même en léger porte-à-faux).

Écologique (attention aux labels !). Naturelle et respectueuse de Peu coûteux. Rapidité et facilité Poids au m² le plus faible du panel. l’environnement. Résistante au gel. de mise en œuvre. Poreux. Le sol garde sa porosité (pas de Originale et peu répandue. traitement des eaux de pluie).

INCONVÉNIENTS Peu originale. Poids élevé. Les graviers roulés sont glissants sous la pluie, les graviers concassés sont abrasifs pieds nus.

à € € € €

Un entretien annuel est souvent indispensable pour que le bois conserve son aspect et une bonne durée de vie.

Peu commune. Achalandage difficile. Reste moins robuste que la pierre ou le béton.

GRAVIER

Confort de marche limité. Tendance à se répandre dans le jardin. Peut être compliqué à entretenir (feuilles mortes, glands).

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ANNEXES

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Table des matières TECHNIQUES DE BASE

Conseils, trucs et astuces 9 Réaliser des tracés de base 10 Outils et gestes malins 11 Peinture et décoration 12 Maçonnerie et carrelage 14 Menuiserie 15 Plomberie et électricité 16

Outillage : perçages 17 Choisir les bons outils 18 Percer dans le bois 20 Percer dans le métal 21 Perforer dans la maçonnerie 22 Percer dans le carrelage 23 Les aides au perçage 24 Matériaux : collages 25 Les sept clés pour réussir un collage 26 La boîte à outils 27 La colle néoprène 28 La colle acrylique 28 La colle vinylique 29 La colle polyuréthane (PU) 29 La colle époxy en pâte 30 La colle époxy liquide 30 La colle MS polymère 31 La colle cyanoacrylate 31 La colle thermofusible 32 Quelle colle pour quel support ? 32 Fixations : chevilles 33 De quel matériau est fait votre mur ? 34 Quelle mèche utiliser ? 34 Pour les cloisons creuses 36 Pour le béton cellulaire 38 Pour les goulottes et câbles 38 Pour les charges lourdes 38 Poids et matériaux : les clés du choix 39 Les trucs à savoir 40

Fixations : accrochages 41 Fixer une cimaise pour tableaux 42 Installer une étagère sur équerres 42 Accrocher des tableaux 43 Poser une tablette à fixation invisible 43 Fixer un meuble de cuisine 44 Poser une étagère à crémaillères 44 Suspendre un plafonnier 45 Insérer un spot dans un faux plafond 45 Poser un pare-douche 46 Fixer un porte-serviettes 46 Installer une barre de douche 47 Visser une patère 47 Accrocher un miroir en kit 48 Poser un miroir sur pattes à glace 48 Menuiserie : assemblages 49 La boîte à outils 50 Les techniques d’assemblage 51 Assembler par tourillons 52 Réaliser un montage à lamelles 53 Assembler avec des faux tenons 53 Fabriquer des tenons et mortaises 54 Concevoir un assemblage à mi-bois 55 Faire un montage de rencontre 55 Réaliser une queue droite 56 Matériaux : découpes 57 La boîte à outils 58 Découper la maçonnerie 60 Couper du carrelage 61 Scier du bois 62 Tailler le verre 63 Découper du métal 64 Découper du PVC 64 Menuiserie : quincaillerie d’ameublement Adapter une charnière automatique Fixer une charnière à piano Assembler par excentriques Réaliser un serrage à vis et écrou Poser des équerres en plastique Raccorder deux panneaux

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Monter une coulisse à galets Ajuster une coulisse à bille Installer une porte coulissante

70 71 72

Matériaux : soudures à l’arc Quel système choisir ? La boîte à outils Utiliser le mode TIG Souder en MIG-MAG Choisir le procédé MMA Reconnaître une bonne soudure

73 74 75 76 77 78 80

REVÊTEMENTS INTÉRIEURS

Peinture : préparation des supports État des lieux : analyser la gravité des fissures La boîte à outils Le travail en hauteur Nettoyage du support Plaques de plâtre Maçonneries enduites Murs abîmés : coller un voile de verre

85 86 87 87 88 89 90 92

Peinture : techniques de base Comment choisir ses pots ? La boîte à outils Peindre un plafond Peindre les murs Laquer une porte Rénover une fenêtre Entretenir le matériel

93 94 95 96 97 98 99 100

Peinture : tout peindre dans la maison Peindre un sol en ciment Peindre un parquet Peindre un carrelage Peindre un radiateur Peindre la tuyauterie Peindre les meubles stratifiés Repeindre un meuble en MDF laqué Peindre au pistolet

101 102 102 103 104 105 106 107 108

Peinture : effets décoratifs Maîtriser les gestes de base Créer une patine à l’ancienne Obtenir un effet nuages Imiter l’aspect béton Reproduire un effet tadelakt Imiter l’enduit à la chaux

109 110 112 113 114 116 116

Revêtements muraux : papier peint Comment choisir ses rouleaux ? La boîte à outils Démarrer son chantier Poser du papier peint Poser de l’intissé Tapisser autour d’un radiateur Traiter les angles Habiller un interrupteur Réaliser l’entourage de porte Réparer une déchirure Enlever les bulles

117 118 119 119 120 121 122 122 123 123 124 124

Revêtements muraux : carrelage Bien choisir son carrelage La boîte à outils Quel calepinage ? Poser un carrelage mural Les coupes droites Les découpes complexes Poser de la mosaïque

125 126 127 127 128 130 131 132

Revêtements de sol : préparation Quel support pour quel revêtement ? Réaliser un ragréage Couler une chape légère Visser des panneaux sur lambourdes Poser des plaques d’OSB sur parquet Coller du carrelage sur du bois Déposer les anciens revêtements

133 134 136 137 138 139 139 140

Revêtements de sol : parquets Parquet ou stratifié ? Préparer la pose Traditionnelle : la pose clouée La pose collée La plus simple : la pose flottante Bien débuter et bien finir

141 142 144 145 146 147 148 567

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Revêtements de sol : entretien des parquets Reconnaître son parquet La boîte à outils Quelle finition choisir ? Retrouver un parquet brut Cirer un parquet Huiler un parquet Vernir un parquet Appliquer une teinte Obtenir un effet cérusé

149 150 151 152 153 154 154 155 156 156

Revêtements de sol : sols souples Quel revêtement choisir ? La boîte à outils Poser une moquette Habiller un escalier Coller du PVC en rouleau Poser des dalles de PVC Raccorder deux lés

157 158 159 160 161 162 163 164

Revêtements de sol : carrelage Quel revêtement choisir ? Élaborer le plan de pose La boîte à outils Les coupes droites Les découpes courbes Poser un carrelage de sol Une alternative : le béton ciré décoratif

165 166 167 168 168 169 170 172

ÉLECTRICITÉ ÉCLAIRAGE & DOMOTIQUE

175

Électricité : éclairage Quel type de lampe choisir ? L’intensité lumineuse Le rendu des couleurs Comment éclairer ? Les chambres et le coin bureau La cuisine Le salon et la salle à manger Les zones de circulation La salle de bains

177 178 180 180 181 182 182 183 183 184

Électricité : tableau de protection 1 Les fonctions du tableau La composition du tableau Poser le cadre support Installer les modules Ajouter les commandes Raccorder à la terre Repérer les circuits Réaliser une extension

185 186 187 188 189 190 191 191 192

Électricité : tableau de protection 2 Vérifier la conformité d’un tableau Comprendre un tableau prééquipé Repérer des circuits existants Remplacer des porte-fusibles Monter les nouveaux modules Ajouter des modules de commande

193 194 195 196 197 198 200

Électricité : distribution des réseaux Quel mode de pose adopter ? La boîte à outils Réaliser une saignée dans un mur Gainer une cloison sur ossature Encastrer une gaine dans une cloison Poser une moulure Poser une plinthe Installer des conduites rigides

201 202 203 204 204 205 206 207 208

Électricité : raccordements Les particularités de la salle de bains La boîte à outils Les fils et les câbles Remplacer un interrupteur Installer un va-et-vient Poser un détecteur de présence Monter une prise et un cache-câble Raccorder un luminaire au plafond Remplacer fiche et interrupteur

209 210 211 211 212 213 213 214 215 216

Électricité : les interrupteurs Quels sont vos besoins ? La boîte à outils Les trois schémas de base Installer un simple allumage Monter un interrupteur crépusculaire Raccorder une minuterie

217 218 219 219 220 220 222

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Poser un variateur Monter un interrupteur automatique

223 224

Électricité : réparations courantes Identifier l’origine d’une panne Vérifier un fusible Tester une pile Réparer un interrupteur Tester une prise de courant Réparer un télérupteur Rétablir un circuit coupé Domotique et réseau VDI Comprendre et adapter les réseaux Monter une prise RJ 45 Poser un coffret de communication Créer un va-et-vient sans câblage Centraliser les commandes Commander des volets roulants

225 226 228 228 229 230 231 232 233 234 235 236 238 239 240

Sécurité : les systèmes de protections Êtes-vous bien protégé ? Installer un système d’alarme Poser un film auto-adhésif Sceller une grille de protection Poser un détecteur de fumée

241 242 244 246 247 248

SANITAIRES & PLOMBERIE

251

Alimentation en eau : le cuivre Quelques règles à connaître Les deux modèles de tubes Les quatre types de raccords La boîte à outils Souder à l’étain Souder au cuivre Cintrer à la pince Couder au ressort Sectionner au coupe-tube Préparer un collet battu Manchonner un tube Raccords et équipements spécifiques

253 254 255 255 256 257 257 258 258 258 259 259 260

Alimentation en eau : le multicouche Les atouts du tube multicouche Deux systèmes de distribution

261 262 262

Trois types de raccords La boîte à outils Quel raccord utiliser ? Garantir l’étanchéité du circuit Mettre un tube en forme Monter un collecteur Se raccorder sur du cuivre Alimenter un lavabo Installer un robinet extérieur

263 263 264 265 265 266 267 267 268

Alimentation en eau : les tubes PER Quel tube utiliser ? La boîte à outils Équiper un collecteur Alimenter une baignoire Quel raccord choisir ?

269 270 271 272 274 276

Plomberie : évacuations L’organisation des évacuations La boîte à outils Principaux raccords en PVC Raccorder un siphon Repiquer une canalisation Déboucher une canalisation Monter une pompe de relevage

277 278 279 279 280 282 283 284

Plomberie : entretien et dépannage Refaire un joint silicone Déboucher un évier Entretenir un mélangeur Démonter un robinet mitigeur Remplacer une chasse d’eau Réparer une chasse d’eau encastrée

285 286 287 288 289 290 292

Raccordements sanitaires 1 La boîte à outils Les accessoires Les étapes de base Installer un chauffe-eau Poser une vasque Poser un évier de cuisine Raccorder une machine à laver

293 294 294 295 296 297 298 300

Raccordements sanitaires 2 Poser une douche à l’italienne Poser un bac de douche

301 302 303

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Installer une baignoire sur pieds Fixer un W-C suspendu Poser un W-C monobloc

304 306 308

Eau domestique : traitement Les polluants de l’eau Installer un adoucisseur d’eau Poser un filtre sous l’évier Poser un osmoseur

309 310 312 314 316

CHAUFFAGE & CLIMATISATION

319

Chauffage : les règles du confort Les trois clés du confort Quelle orientation pour la maison ? Quel mode de chauffage choisir ? Quels aménagements prévoir ? Comment se protéger de la chaleur ?

321 322 324 326 327 328

Chauffage : quelle source d’énergie ? Le fioul en cuve Le gaz de réseau urbain Le gaz propane en citerne La géothermie par forage Les granulés de bois L’énergie solaire photovoltaïque L’énergie solaire thermique L’énergie électrique

329 330 331 331 332 333 334 335 336

Chauffage : cheminées, poêles et inserts 337 Quel équipement choisir ? 338 Comment concevoir le conduit ? 339 Installer un poêle à bois 340 Le principe d’un insert 341 L’agencement d’un foyer ouvert 341 Poser un foyer fermé 342 Tuber un conduit 344 Chauffage : radiateurs électriques Les différents radiateurs électriques Poser un radiateur Fixer un sèche-serviettes Installer un plancher chauffant Comment réguler son énergie ?

345 346 348 349 350 352

Climatisation et ventilation Diagnostiquer votre habitat La climatisation Les différents systèmes de ventilation Installer une climatisation Poser une VMC double flux Installer un extracteur

353 354 355 356 358 359 360

PORTES, CLOISONS & ISOLATION

363

Isolation acoustique Qu’est-ce qu’un bruit ? Les trois types de bruits Ma maison est-elle bien isolée ? Comment le bruit se propage-t-il ? Une isolation absolue… Isoler les sols Isoler les murs Isoler les fenêtres Les erreurs à éviter

365 366 366 367 368 368 369 370 371 372

Isolation : les combles Les clés du diagnostic Quel isolant choisir ? Aménager des combles Protéger des combles perdus Isoler par l’extérieur

373 374 375 376 379 380

Isolation : doublages thermiques Pourquoi doubler les murs ? Quel système choisir ? Quel isolant sélectionner ? Coller un panneau sandwich Monter une ossature métallique Poser une contre-cloison

381 382 383 384 385 386 388

Cloisons : plâtre ou béton cellulaire ? Quels carreaux pour quelle utilité ? La boîte à outils Réaliser les tracés Monter des carreaux de plâtre Réaliser un angle Raccorder avec le plafond

389 390 391 391 392 394 396

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Cloisons : plaques de plâtre Choisir le bon panneau La boîte à outils Réaliser une cloison sur ossature Créer une séparation courbe Soigner les raccords Poser des panneaux alvéolés

397 398 399 400 402 403 404

Cloisons : faux plafonds suspendus Ce qu’il faut savoir La boîte à outils Poser un faux plafond Réaliser une retombée Encastrer des spots Installer une trappe

405 406 407 408 410 411 412

Menuiseries intérieures : portes Quel modèle pour quelle fonction ? Inverser le sens d’une porte Poser une porte battante Poser une porte à galandage Créer une porte coulissante

413 414 415 416 418 420

Menuiseries intérieures : serrures Les différents types de serrures Comment ça marche ? Blinder une porte existante Poser une porte en rénovation Ajouter un verrou sur une porte Remplacer une serrure de portail

421 422 423 424 426 427 428

FENÊTRES, TOITURE & MAÇONNERIE 431 Maçonnerie : démolitions Quelques règles à connaître La boîte à outils Ouvrir une trémie d’escalier Abattre un mur porteur Déposer une cloison

433 434 435 436 438 440

Maçonnerie : parpaings Quel parpaing pour quel usage ? La boîte à outils Construire un muret Monter un angle de mur Créer une ouverture de fenêtre Poser un linteau préfabriqué

441 442 443 444 446 447 448

Maçonnerie : briques Quel type de pose choisir ? La boîte à outils Monter un muret Créer un poteau en béton armé Monter un poteau plein Maçonnerie : ancrages et scellements Ancrer un garde-corps Encastrer une poutre en bois Sceller un étrier de poteau Arrimer une tige filetée Fixer un anneau Poser un faux limon d’escalier

449 450 451 452 454 456 457 458 459 460 462 463 464

Maçonnerie : réparations Réparer une fissure Renforcer un angle de mur Reconstituer la pierre de taille Rafraîchir une façade en pierre Réparer le béton fissuré Reprendre un solin maçonné Protéger un toit terrasse Restaurer une gouttière Remonter un gond de volet Rénover un appui de fenêtre Réparer un couronnement de muret Recoller une tuile cassée

465 466 466 467 467 468 468 469 469 470 471 472 472

Maçonnerie : mortiers La boîte à outils Les dosages Quel produit utiliser ? Le ciment La chaux Préparer du mortier Enduire au mortier de ciment Finir au mortier bâtard Poser un parement en pierre Jointoyer au mortier Gâcher du béton

473 474 474 475 476 477 477 478 478 479 479 480

Ravalement : travaux préparatoires Comment diagnostiquer les façades ? Tester les supports Nettoyer les supports Préparer et fixer les fonds Quelle solution pour quel désordre ?

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Toiture : tuiles plates, accessoires Les accessoires de couverture Coiffer une ventilation Créer un faîtage scellé à crêtes Réaliser un faîtage à sec Poser des rives débordantes Réaliser une noue ouverte

489 490 491 492 494 495 496

Menuiseries extérieures : fenêtres Les points à connaître Quel matériau choisir ? Poser une fenêtre en rénovation Installer une fenêtre de toit Remplacer une vitre cassée

497 498 499 500 502 504

Menuiseries extérieures : volets Volets et stores : différents systèmes Installer un volet battant Poser un volet roulant Motoriser un volet roulant Poser un store banne Réparer un vantail en bois Rénover des persiennes métalliques

505 506 507 508 509 510 512 512

AMÉNAGEMENTS EXTÉRIEURS

515

Extérieur : portails et automatismes Quel type d’ouverture ? Quel matériau ? Motoriser un portail battant Équiper un portail coulissant Rénover un portillon

517 518 519 520 522 524

Extérieur : allées et cheminements Choisir le matériau Déterminer un tracé Réaliser une allée de pavés Faire une allée en pierre naturelle Réaliser une allée en gravier Poser une dalle alvéolée Installer des pas japonais

525 526 527 528 529 530 531 532

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Arrosage : choisir le bon système L’arrosage de surface La micro-irrigation L’arrosage enterré La récupération de l’eau de pluie

533 534 535 536 538

Éclairage : jardins et façades Comment éclairer les extérieurs ? Poser une applique murale Installer une borne de terrasse Encastrer un spot dans le sol Fixer un projecteur solaire Enterrer une gaine électrique

541 542 544 545 546 547 548

Terrasses : revêtements de sol Quel matériau choisir ? Les caractéristiques à connaître Carreler une terrasse extérieure Garantir la tenue de l’ouvrage

549 550 551 552 554

Terrasses : construire une terrasse en bois Choisir le matériau La boîte à outils Déterminer la bonne implantation Poser des lames sur lambourdes Poser des dalles sur plots Traiter tous les détails Entretenir et protéger le bois

555 556 556 557 558 560 561 562

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Crédits et remerciements TECHNIQUES DE BASE Pp. 9-16/Conseils, trucs et astuces Conception, préparation, rédaction : N. Sallavuard – Phot. : C. Hochet – Illust. : F. Dastot. Remerciements : Franpin (www.franpin.fr) pour l’outillage Pp. 17-24/Outillage : perçages Conception, préparation, rédaction : N. Sallavuard – Préparation : B. Guillou – Phot. : C. Hochet. Remerciements : Cécatre (www. cecatre.com), Makita (www. makita.fr), PSP (www.peugeotmuller.com), Metabo (www. metabo.fr), Tivoly (www.tivoly.fr) et Wolfcraft (www.wolfcraft.fr). Pp. 25-32/Matériaux : collages Conception, préparation, rédaction : N. Sallavuard – Phot. : C. Hochet. Remerciements : Rapid (www. isaberg-rapid.fr) et Wolfcraft (www.wolfcraft.fr) pour l’outillage et les outils de serrage, Bostik (www.abc-coller.com), GEB (www. geb.fr), Henkel (www.toutcoller. com) et Sika (www.sika.fr) pour les produits. Pp. 33-40/Fixations : chevilles Conception, rédaction : N. Sallavuard – Préparation : P. Grégoire – Phot. : C. Hochet. Remerciements : Red Head, Molly et Fischer. Pp. 41-48/Fixations : accrochages Coordination : N. Sallavuard – Conception, rédaction : F. Roebben – Phot. : F. Marre – Préparation : MJ Bâtiment Remerciements : Ikea (www.ikea.fr) pour l’ensemble des objets. Pp. 49-56/Menuiserie : assemblages Coordination : N. Sallavuard – Conception, rédaction : F. Roebben – Préparation : Festool – Phot. : C. Hochet – Illust. : C. Raffaud. Remerciements : Festool (www. festool.fr) et Wolfcraft (www. wolfcraft.de/fr) pour les outils. Pp. 57-64/Matériaux : découpes Coordination : N. Sallavuard – Conception, rédaction : B. Guillou – Préparation :

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A.M.C et MJ Bâtiment – Phot. : C. Hochet et F. Marre. Remerciements : Wolfcraft (www. wolfcraft.fr) pour l’outillage manuel et l’ensemble des consommables, HM Diffusion (www.hmdiffusion.com) pour des photos de produits et Peugeot PSP Outillage (www.peugeot-muller. com) pour l’outillage manuel. Pp. 65-72/Menuiserie : quincaillerie d’ameublement Coordination, conception, rédaction : N. Sallavuard – Préparation : Atelier J.-P. Chique – Phot. : C. Hochet et F. Marre – Illust. : F. Dastot. Remerciements : Facom (www. facom.fr) et Wolfcraft (www. wolfcraft.de/fr) pour les outils et Hettich (www.hettich.com) pour la quincaillerie. Pp. 73-80/Matériaux : soudures à l’arc Coordination, conception, rédaction : N. Sallavuard – Phot. : F. Marre – Illust. : C. Raffaud. Remerciements : Gys (www.gys.fr) pour le matériel et l’aide apportée à la réalisation du sujet. REVÊTEMENTS INTÉRIEURS Pp. 85-92/Peinture : préparation des supports Conception, rédaction : N. Sallavuard – Préparation : Sarl Tout Couleur – Phot. : C. Hochet – Illust. : F. Burguière. Remerciements : Franpin (www. franpin.com) et Wagner (www. wagner-france.fr) pour l’outillage, Comabi (www.comabi.com) et Loxam (www.loxam.fr) pour les échafaudages, Domosystem (www. domosystem.fr) pour le détecteur d’humidité, et Saugnac (www. jauges-saugnac.fr) pour les jauges. Pp. 93-100/Peinture : techniques de base Coordination, conception, rédaction : N. Sallavuard – Préparation : Sarl Tout Couleur – Phot. : C. Hochet – Illust. : F. Dastot. Remerciements : Franpin (www. franpin.fr) pour l’outillage et Tollens (www.tollens.com) pour les produits.

Pp. 101-108/Peinture : tout peindre dans la maison Coordination, rédaction : N. Sallavuard – Phot. : A. Fuksa, F. Marre, J. Petit-Jacquin et Y. Robic. Pp. 109-116/Peinture : effets décoratifs Coordination, conception, rédaction : N. Sallavuard – Préparation : Sarl Tout Couleur et Y. Rossignon – Phot. : C. Hochet. Remerciements : Franpin (www. franpin.fr) pour l’outillage ; Boiro (www.boiro.fr), RMD Décoration (http://rmdistribution.fr) et Tollens (www.tollens.com) pour les produits. Pp. 117-124/Revêtements muraux : papier peint Coordination, conception, rédaction : N. Sallavuard – Préparation : F. Paulet – Phot. : C. Hochet. Remerciements : Franpin (www. franpin.fr) pour les outils, Bostik (www.abc–coller.com) pour les colles et l’Association de promotion du papier peint (www.le-papierpeint.com) pour les papiers. Pp. 125-132/Revêtements muraux : carrelage Coordination : N. Sallavuard – Conception et rédaction : F. Roebben – Préparation : G. Petitjean – Phot. : F. Marre – Illust. : F. Dastot. Remerciements : Franpin (www. franpin.com) et Bosch (www.bosch. fr) pour l’outillage, Sika (www. sika.fr) pour les mortiers, Lapeyre (www.lapeyre.fr) et Point P (www. pointp.fr) pour le carrelage. Pp. 133-140/Revêtements de sol : préparation Coordination : N. Sallavuard – Conception, rédaction : F. Roebben – Préparation : MJ Bâtiment – Phot. : F. Marre. Remerciements : Franpin (www. franpin.com) pour l’outillage et Gerflor (www.gerflor.fr) pour les revêtements de sols PVC. Pp. 141-148/Revêtements de sol : parquets Conception, rédaction : N. Sallavuard – Préparation : Atelier J.-P. Chique – Phot. : C. Hochet – Illust. : F. Burguière.

Remerciements : Franpin (www. franpin.fr) et Wolfcraft (www. wolfcraft.fr) pour l’outillage, Bemart parquet (www.bemart.com) pour les parquets et les sous-couches, et Marty (www.parquets-marty.fr) pour les photos. Pp. 149-156/Revêtements de sol : entretien des parquets Coordination, rédaction : N. Sallavuard – Préparation : L. Abdelmoula (ADR) – Phot. : F. Marre. Remerciements : V33 (www.v33.fr) et Libéron (www.liberon.fr) pour les produits, AEG (www.aeg-powertools.fr) pour la ponceuse excentrique. Pp. 157-164/Revêtements de sol : sols souples Coordination : N. Sallavuard – Conception, rédaction : F. Roebben – Préparation : MJ Bâtiment – Phot. : C. Hochet. Remerciements : Domus (www. domus.fr) pour les maroufleurs. Pp. 165-172/Revêtements de sol : carrelage Coordination : N. Sallavuard – Rédaction : F. Roebben – Préparation : C. Petitjean – Phot. : F. Marre. Remerciements : Bosch (www.bosch.fr) et Franpin (www. franpin.com) pour l’outillage, Sika (www.sika.fr) pour les mortiers, Moderne méthode (www.moderne-methode.com) pour le béton, Lapeyre (www.lapeyre.fr) et Point P (www.pointp.fr) pour le carrelage. ÉLECTRICITÉ, ÉCLAIRAGE & DOMOTIQUE Pp. 177-184/Électricité : éclairage Conception, rédaction : N. Sallavuard – Images 3D : F. Roebben – Phot. : C. Hochet. Remerciements : Osram (www. osram.fr) et Philips (www.philips.fr) pour les produits et les images. Pp. 185-192/Électricité : tableau de protection 1 Coordination, conception, rédaction : N. Sallavuard – Préparation : MJ Bâtiment – Phot. : F. Marre et C. Hochet. Remerciements : Legrand (www. legrand.fr) pour l’équipement électrique et Franpin (www.franpin. com) pour l’outillage à main.

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Pp. 193-200/Électricité : tableau de protection 2 Coordination, rédaction : N. Sallavuard – Illust. : F. Burguière – Phot. : F. Marre et C. Hochet.

Conception, rédaction : F. Roebben – Préparation : MJ Bâtiment – Phot. : C. Hochet – Illust. : F. Dastot, Zarza. Remerciements : Delta Dore (www. deltadore.com) pour les alarmes.

Pp. 201-208/Électricité : distribution des réseaux Coordination, conception, rédaction : N. Sallavuard – Préparation : MJ Bâtiment – Phot. : F. Marre et C. Hochet – Illust. : F. Dastot. Remerciements : Franpin (www. franpin.com), Legrand (www. legrand.fr) pour l’équipement électrique et Wolfcraft (www. wolfcraft.fr) pour l’outillage à main, Bosch (www.bosch.fr) et Makita (www.makita.fr) pour l’outillage électroportatif.

SANITAIRES & PLOMBERIE

Pp. 209-216/Électricité : raccordements Conception, rédaction : N. Sallavuard – Préparation : P. Grégoire – Phot. : C. Hochet – Illust. : C. Raffaud. Remerciements : Arnould (www. arnould.com) pour l’appareillage électrique et Distrame (www. distrame.fr) pour le multimètre et les détecteurs câbles. Pp. 217-224/Électricité : interrupteurs Conception et rédaction : N. Sallavuard – Préparation : M. Ecunha (MJ Bâtiment) – Illust. : F. Dastot – Phot. : C. Hochet. Remerciements : Delta Dore (www.deltadore.com) et Hager (www.hager.com) Pp. 225-232/Électricité : réparations courantes Illust. : F. Burguière. Pp. 233-240/Domotique et réseau VDI Conception, rédaction : N. Sallavuard – Préparation : MJ Bâtiment – Phot. : C. Hochet – Illust. : F. Dastot. Remerciements : Delta Dore (www.deltadore.com) pour les modules de domotique et Hager (www.hager.fr) pour le tableau de communication. Pp. 241-248/Sécurité : les systèmes de protection Coordination : N. Sallavuard –

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Pp. 253-260/Alimentation en eau : le cuivre Coordination, conception, rédaction : N. Sallavuard – Préparation : MJ Bâtiment – Phot. : C. Hochet – Illust. : C. Raffaud. Remerciements : Butagaz (www. butagaz.fr) pour les outils. Pp. 261-268/Alimentation en eau : le multicouche Coordination, conception, rédaction : N. Sallavuard – Phot. : F. Marre – Illust. : F. Dastot. Remerciements : Dipra (www. dipra.fr) et Nicoll (www.nicoll.fr) pour le matériel, Facom (www. facom.com), Milwaukee (www. milwaukee.fr) et PSP Outillage (www.peugeot-muller.com) pour les outils. Pp. 269-276/Alimentation en eau : les tubes PER Coordination, conception, rédaction : N. Sallavuard – Préparation : MJ Bâtiment – Phot. : F. Marre – Illust. : F. Dastot. Remerciements : Dipra (www. dipra.fr) pour le matériel, Facom (www.facom.fr), PRCI (www.prci. fr) et PSP Outillage (www.peugeotmuller.com) pour les outils. Pp. 277-284/Plomberie : évacuations Coordination : N. Sallavuard – Conception, rédaction : F. Roebben – Préparation : MJ Bâtiment – Phot. : F. Marre – Illust. : F. Dastot. Remerciements : SFA (www.sfa.fr) pour la pompe de relevage. Pp. 285-292/Plomberie : entretien et dépannage Conception et rédaction : N. Sallavuard – Préparation : M. Ecunha (MJ Bâtiment) – Phot. : C. Hochet et N. Sallavuard. Remerciements : GEB (www.geb.fr) pour les produits.

Pp. 293-300/Raccordements sanitaires 1 Conception, rédaction : N. Sallavuard – Préparation : MJ Bâtiment – Phot. : F. Marre – Illust. : F. Dastot. Remerciements : Espace Aubade (www.espace-aubade.fr) pour les appareils et les équipements sanitaires. Pp. 301-308/Raccordements sanitaires 2 Coordination, conception, rédaction : N. Sallavuard – Préparation : MJ Bâtiment – Phot. : F. Marre – Illust. : F. Dastot. Remerciements : Espace Aubade (www.espace-aubade.fr) pour les appareils sanitaires. Pp. 309-316/Eau domestique : traitement Coordination, conception, rédaction : N. Sallavuard – Préparation : MJ Bâtiment – Phot. : C. Hochet. CHAUFFAGE & CLIMATISATION Pp. 321-328/Chauffage : les règles du confort Coordination, conception, rédaction : N. Sallavuard – Illust. : F. Dastot. Pp. 329-336/Chauffage : quelle source d’énergie ? Coordination, conception, rédaction : N. Sallavuard – Illust. : F. Dastot. Pp. 337-344/Chauffage : cheminées, poêles et inserts Coordination : N. Sallavuard – Conception, rédaction : F. Roebben – Phot. : F. Marre – Illust. : F. Dastot Pp. 345-352/Chauffage : radiateurs électriques Coordination, conception, rédaction : N. Sallavuard – Préparation : MJ Bâtiment – Phot. : C. Hochet – Illust. : F. Dastot. Remerciements : Thermor (www. thermor.fr) pour le matériel. Pp. 353-360/Climatisation et ventilation Coordination : N. Sallavuard – Conception, rédaction : F. Roebben – Préparation : MJ Bâtiment – Phot. : C. Hochet – Illust. : F. Dastot.

Remerciements : Autogyre (www. autogyre.fr) pour la VMC monobloc et l’aérateur, Provence climatisation (www.climshop.com) pour la pose du monosplit. PORTES, CLOISONS & ISOLATION Pp. 365-372/Isolation acoustique Coordination, conception, rédaction : N. Sallavuard – Illust. : F. Burguière. Pp. 373-380/Isolation : les combles Coordination : N. Sallavuard – Conception, rédaction : B. Guillou et N. Sallavuard – Préparation : B. Guillou – Phot. : C. Hochet et F. Marre – Illust. : F. Dastot. Remerciements : Franpin (www. franpin.fr) pour l’outillage manuel, Kress France (www.kress-elektrik. com) pour l’outillage électroportatif, Isover (www.isover.fr), Rockwool (www.rockwool.fr) et Actis (www. actis-isolation.com) pour le matériel d’isolation. Pp. 381-388/Isolation : doublages thermiques Conception, rédaction : N. Sallavuard – Préparation : MJ Bâtiment – Phot. : C. Hochet. Remerciements : Franpin (www. franpin.fr) et Wolfcraft (www. wolfcraft.fr) pour l’outillage, Domosystem (www.domosystem. fr) pour le détecteur d’humidité et Skill (www.skileurope.com) pour le laser rotatif. Pp. 389-396/Cloisons : plâtre ou béton cellulaire ? Coordination : N. Sallavuard – Conception, rédaction : B. Guillou – Phot. : F. Marre – Illust. : F. Dastot. Remerciements : Bosch (www. bosch-do-it.fr), Franpin (www. franpin.com), Milwaukee (www. milwaukeetool.fr) et Stanley (www.stanleyoutillage.fr) pour l’outillage, Xella Thermopierre (www.siporex.fr) pour le béton cellulaire et les accessoires de montage. Pp. 397-404/Cloisons : plaques de plâtre Coordination : N. Sallavuard –

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Conception, rédaction : B. Guillou – Préparation : MJ Bâtiment – Phot. : C. Hochet et F. Marre. Remerciements : Franpin (www. franpin.fr) pour l’outillage manuel ; Kress France (www.kress-elektrik. com), Makita (www.makita. fr) pour l’outillage électrique et électroportatif et Placo® (www. placo.fr) pour les plaques de plâtres, les panneaux alvéolés, les ossatures et les accessoires de cloison. Pp. 405-412/Cloisons : plafonds suspendus Coordination : N. Sallavuard – Conception, rédaction : B. Guillou – Préparation : MJ Bâtiment – Phot. : F. Marre – Illust. : F. Dastot. Remerciements : Makita (www. makita.fr), PSP outillage (www. peugeot-muller.com), Stanley (www.stanleyoutillage.fr) pour l’outillage et Knauf (www.knaufbatiment.fr) pour les produits constituant le faux plafond. Pp. 413-420/Menuiseries intérieures : portes Coordination, conception, rédaction : N. Sallavuard – Préparation : MJ Bâtiment et Atelier J.-P. Chique – Phot. : C. Hochet et F. Marre – Illust. : F. Dastot. Remerciements : Bosch (www. bosch.fr), Facom (www.facom.com) et Peugeot (www.peugeot–muller. com) pour les outils. Pp. 421-428/Menuiseries intérieures : serrures Coordination, conception, rédaction : N. Sallavuard – Préparation : MJ Bâtiment – Phot. : C. Hochet et F. Marre – Illust. : F. Dastot. Remerciements : Picard Serrures (www.picard-serrures.com) pour les produits, Wolfcraft (www. wolfcraft.de/fr), Kress (www.kresselektrik.com) et Facom (www. facom.com) pour l’outillage. FENÊTRES, TOITURE & MAÇONNERIE Pp. 433-440/Maçonnerie : démolitions Coordination : N. Sallavuard –

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Conception, rédaction : B. Guillou – Préparation : MJ Bâtiment – Phot. : C. Hochet et F. Marre – Illust. : F. Dastot. Remerciements : Bosch (www. bosch.fr) et Franpin (www.franpin. com) pour l’outillage. Pp. 441-448/Maçonnerie : parpaings Coordination : N. Sallavuard – Conception, rédaction : B. Guillou – Préparation : Le Val Bâti – Phot. : F. Marre – Illust. : F. Dastot. Remerciements : La plateforme du bâtiment (www.laplateforme. com) d’Argenteuil pour la mise à disposition des locaux. Pp. 449-456/Maçonnerie : briques Coordination : N. Sallavuard – Conception, rédaction : B. Guillou – Préparation : MJ Bâtiment – Phot. : F. Marre – Illust. : F. Dastot. Remerciements : MJ Bâtiment pour le prêt de ses locaux. Pp. 457-464/Maçonnerie : ancrages et scellements Coordination : N. Sallavuard – Conception, rédaction : B. Guillou – Préparation : Atelier J.-P. Chique, Entreprise Sapa, MJ Bâtiment – Phot. : C. Hochet et F. Marre. Pp 465-472/Maçonnerie : réparations Coordination : N. Sallavuard – Conception, rédaction : B. Guillou – Préparation : G. Artus (www.guy-artus.fr) – Phot. : F. Marre. Remerciements : Soloplast (www. soloplast-vosschemie.fr), Toupret (www.toupret.fr) et Weber (www. weber.fr) pour les produits. Pp. 473-480/Maçonnerie : mortiers Coordination : N. Sallavuard – Conception, rédaction : B. Guillou – Phot. : C. Hochet et F. Marre. Remerciements : Franpin (www. franpin.fr) pour l’outillage ; VM Matériaux (www.vm-materiaux. fr/) pour les parpaings de béton ; Calcia (www.ciments-calcia.fr), GSM (www.gsm-granulats.fr),

Lafarge (www.lafarge-ciments.fr) et Sika (www.sika.fr) pour les ciments, chaux, mortiers et granulats ; Rocamat (www. rocamat.com) pour la pierre naturelle de parement. Pp 481-488/Ravalement : travaux préparatoires Coordination : N. Sallavuard – Conception, rédaction : B. Guillou – Préparation : Amonit – Phot. : C. Hochet. Remerciements : Amonit (www. amonit.fr) pour les produits de nettoyage et de traitement de la pierre. Pp. 489-496/Toiture : tuiles plates, accessoires Coordination : N. Sallavuard – Conception, rédaction : B. Guillou – Préparation : G. Artus (www.guy-artus.fr) – Phot. : F. Marre. Remerciements : Koramic (www. koramic.fr) et Terreal (www. terrealcouverture.com). Pp. 497-504/Menuiseries extérieures : fenêtres Coordination : N. Sallavuard – Conception, rédaction : B. Guillou – Phot. : C. Hochet – Illust. : F. Dastot. Remerciements : Toupret (www. toupret.fr) pour les produits, Franpin (www.franpin.com) et PSP Outillage (www.peugeot-muller. com) pour l’outillage. Pp. 505-512/Menuiseries extérieures : volets Coordination : N. Sallavuard – Conception, rédaction : B. Guillou – Préparation : MJ Bâtiment – Phot. : C. Hochet et F. Marre – Illust. : F. Dastot. Remerciements : Bubendorff (www. bubendorff.fr) pour le volet roulant, Leroy Merlin (www.leroymerlin.fr) pour le store banne Naterial, Bosch (www.bosch-do-it.fr) et Facom (www.facom.com) pour l’outillage. AMÉNAGEMENTS EXTÉRIEURS Pp. 517-524/Extérieur : portails et automatismes Coordination : N. Sallavuard – Conception, rédaction : N. Vidal et N. Sallavuard – Illust. : F. Dastot.

Remerciements : Somfy (www. somfy.fr) pour les systèmes de motorisation. Pp. 525-532/Extérieur : allées et cheminements Coordination : N. Sallavuard – Rédaction, préparation et phot. : F. Couillaud – Illust. : N. Idiri. Remerciements : Wolf (www.outilswolf.com) et Fiskars (www.fiskars. fr) pour les outils. Pp. 533-540/Arrosage : choisir le bon système Coordination, conception, rédaction : N. Sallavuard – Préparation : G. Morel (Abscisse Jardin) – Phot. : F. Marre. Remerciements aux sociétés Gardena (www.gardena.com) et Aqua Flow (www.aquaflow.fr) pour les produits d’arrosage, GRAF (www.graf.fr) et Gardena pour les cuves de récupération d’eau de pluie. Pp. 541-548/Éclairage : jardins et façades Coordination : N. Sallavuard – Conception, rédaction : N. Vidal – Préparation : MJ Bâtiment – Phot. : C. Hochet – Illust. : F. Dastot. Pp. 549-554/Terrasses : revêtements de sol Coordination : N. Sallavuard – Conception, rédaction : F. Roebben – Préparation : MJ Bâtiment – Phot. : C. Hochet – Illust. : F. Dastot. Pp. 555-562/Terrasses : construire une terrasse en bois Conception et rédaction : N. Sallavuard – Préparation : M. Ecunha (MJ Bâtiment) – Illust. : C. Delétra – Phot. : C. Hochet. Remerciements : Ryobi (http:// fr.ryobytools.eu) et AEG (www. aeg-powertools.fr) COUVERTURE Photo en bas à droite : istock © monkey business images

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Liens des vidéos TECHNIQUES DE BASE p. 20 : www.systemed.fr/video1543 p. 26 : www.systemed.fr/video3465 p. 36 : www.systemed.fr/video1544 p. 43 : www.systemed.fr/video1686 p. 44 : www.systemed.fr/video1669 p. 52 : www.systemed.fr/video2069 p. 61 : www.systemed.fr/video1531 p. 62 : www.systemed.fr/video3078 p. 64 : www.systemed.fr/video3842 REVÊTEMENTS INTÉRIEURS p. 96 : www.systemed.fr/video1664 p. 97 : www.systemed.fr/video1571 p. 103 : www.systemed.fr/video3841 p. 108 : www.systemed.fr/video1781 p. 108 : www.systemed.fr/video1782 p. 128 : www.systemed.fr/video1526 p. 130 : www.systemed.fr/video1530 p. 132 : www.systemed.fr/video1668 p. 136 : www.systemed.fr/video3209

p. 147 : www.systemed.fr/video1528 p. 160 : www.systemed.fr/video1810 p. 162 : www.systemed.fr/video1811 p. 168 : www.systemed.fr/video1531 p. 169 : www.systemed.fr/video1530 p. 170 : www.systemed.fr/video1566 ÉLECTRICITÉ, ÉCLAIRAGE ET DOMOTIQUE p. 195 : www.systemed.fr/video3412 p. 206 : www.systemed.fr/video1666 p. 208 : www.systemed.fr/video1679 p. 213 : www.systemed.fr/video1584 p. 215 : www.systemed.fr/video2899 p. 216 : www.systemed.fr/video1775 p. 220 : www.systemed.fr/video1672 p. 238 : www.systemed.fr/video3210 p. 244 : www.systemed.fr/video1423 p. 248 : www.systemed.fr/video1896 SANITAIRES ET PLOMBERIE p. 255 : www.systemed.fr/video1540 p. 257 : www.systemed.fr/video1780

p. 258 : www.systemed.fr/video1683 p. 258 : www.systemed.fr/video1673 p. 259 : www.systemed.fr/video1676 p. 267 : www.systemed.fr/video1538 p. 274 : www.systemed.fr/video1546 p. 280 : www.systemed.fr/video1536 p. 286 : www.systemed.fr/video3449 p. 288 : www.systemed.fr/video1545 p. 290 : www.systemed.fr/video3221 p. 291 : www.systemed.fr/video3220 p. 295 : www.systemed.fr/video1814 p. 296 : www.systemed.fr/video1533 p. 299 : www.systemed.fr/video1813 p. 308 : www.systemed.fr/video3448 p. 314 : www.systemed.fr/video1569

p. 386 : www.systemed.fr/video2731 p. 387 : www.systemed.fr/video2726 p. 400 : www.systemed.fr/video2812 p. 411 : www.systemed.fr/video3467 p. 416 : www.systemed.fr/video3211 p. 418 : www.systemed.fr/video3215 p. 424 : www.systemed.fr/video3840 p. 427 : www.systemed.fr/video3466

CHAUFFAGE ET CLIMATISATION p. 348 : www.systemed.fr/video1547

AMÉNAGEMENTS EXTÉRIEURS p. 528 : www.systemed.fr/video1718 p. 530 : www.systemed.fr/video1714 p. 532 : www.systemed.fr/video1711 p. 538 : www.systemed.fr/video1710 p. 562 : www.systemed.fr/video2525

PORTES, CLOISONS ET ISOLATION p. 376 : www.systemed.fr/video2730 p. 379 : www.systemed.fr/video2729

FENÊTRES, TOITURE ET MAÇONNERIE p. 459 : www.systemed.fr/video1938 p. 478 : www.systemed.fr/video1947 p. 486 : www.systemed.fr/video3741 p. 500 : www.systemed.fr/video1943

Direction éditoriale : Guillaume Pô et Benoît Pollet Coordination éditoriale : Frédéric Burguière, Agnès Busière (assistée de Julie Comte et de Juliette Magro) et Iris Dion Conception ouvrage : Nicolas Sallavuard, Jacques Loupias et Christine Brambilla Coordination auteurs : Nicolas Sallavuard Auteurs : Florian Couillaud, Bruno Guillou, François Roebben, Nicolas Vidal et Nicolas Sallavuard Photographes : Florian Couillaud, Alain Fuksa, Christian Hochet et Frédéric Marre, Bernard Petit-Falaize, Josiane Petit-Jacquin, Yves Robic Réalisateurs vidéos : Bricolo.Factory, Image verte et Christian Pessey Illustrateurs : Frédéric Burguière, Antoine Dagan, Franck Dastot, Corine Delétraz, Nadir Idiri, Christian Raffaud, François Roebben et Zarza Illustration du poster : Franck Dastot Secrétariat de rédaction : Laurence Bresnu, Cathy Chasseignaux et Françoise Le Breton, Pierre-André Orillard, Gaëlle Cazaban Conception graphique intérieure : Jean-Pierre Marche Coordination graphique : Laure Koehler Réalisation graphique : Charlotte Abélanet, Véronique Beuvignon, Isabelle Bidaut, Emmanuelle Guerret et Laure Koehler Adaptation graphique : Isabelle Mayer, Laurent Quellet et Chloé Eve Adaptation de la mise en pages : Valérie Roland Création graphique couverture : Isabelle Mayer et Chloé Eve Fabrication : Thierry Dubus et Axelle Hosten Photogravure : Red & Colors SRLS (Italie) et Amalthéa N° d’édition : M18001 ISBN : 9782317013041 MDS : 591455N2 Achevé d’imprimer en octobre 2017 par Toppan Leefung en Chine © Système D/Fleurus Editions, Paris, 2017. © Système D/Fleurus Editions, Paris, 2014. www.systemed.fr www.fleuruseditions.com www.mangoeditions.com

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