Marine Porte de Sainte-Marie
Marine Porte de Sainte-Marie
DÉBUTANT CONFIRMÉ EXPERT
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e lettering découle de la calligraphie, et la calligraphie est un art qui s’apprend. Oubliez les idées préconçues, calligraphier ne signifie pas seulement tracer des lettres gothiques sur parchemin ! Composer joliment les mots, associer des décors aux lettres, oser la couleur, sont autant de façon créatives de jouer avec l’écriture. Pour que cette écriture soit belle, chaque tracé vous est expliqué avec simplicité. Vous découvrirez l’importance du rythme, du contraste, de la vivacité du trait, en apprenant à tracer l’onciale, la caroline, la chancelière, l’anglaise… mais aussi des lettres inspirées par la typographie. Chacune possède sa particularité, chacune peut être interprétée de façon moderne sur de multiples supports et à l’aide d’outils variés.
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Laissez-vous initier à la calligraphie pour être fantaisiste dans les règles de l’art… tout simplement !
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Cet ouvrage a été imprimé avec des encres végétales.
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Avant-propos de Xavier Dupré ............................................................... 4 Pour commencer ...................................................................... 6 Entre croyances et réalité ......................................................................... 8 Les outils ......................................................................................................... 12 Supports et médiums ................................................................................. 16 Recette de l’encre ferro-gallique ........................................................ 20 Où trouver le matériel ? .......................................................................... 22 Lexique ........................................................................................................... 24 La calligraphie ........................................................................ 26 Premiers pas ................................................................................................. 28 L’angle de plume ........................................................................................ 30 Le trait ........................................................................................................... 34 L’onciale classique ...................................................................................... 36 L’onciale contemporaine ........................................................................ 40 Une capitale contemporaine ................................................................. 46 La caroline ..................................................................................................... 52 La caroline contemporaine ..................................................................... 56 La chancelière ............................................................................................. 58
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La chancelière contemporaine ............................................................. 68 L’anglaise ....................................................................................................... 74 L’anglaise contemporaine ....................................................................... 90 La composition ........................................................................................... 98 Comprendre la couleur ......................................................................... 104 Harmonie des couleurs : faire les bons choix ................................ 108 Exercice pratique ...................................................................................... 112 Le lettering .................................................................................. 116 Les lettres bâtons ...................................................................................... 118 Les styles de lettres ................................................................................. 128 Les éléments séparateurs ...................................................................... 136 Les lettres à la plume palette ............................................................... 142 Lettres gourmandes ................................................................................ 154 Quelques derniers conseils pour la route ........................................ 156
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Le saviez-vous ?
La typographie, au tout début de l’imprimerie, a d’abord cherché à imiter l’écriture manuscrite. C’est ce qu’a fait Gutenberg avec ses lettres gothiques gravées dans des blocs de bois. Puis, dès 1465, attirés par la pureté de la forme de la caroline minuscule, les humanistes italiens gravent les premiers caractères métalliques imitant l’écriture humanistique. « Jenson », « Garamont », « Caslon », « Plantin » ou « Palatino » ne sont pas que des noms de caractères typographiques livrés avec votre logiciel de traitement de texte, ce sont surtout les noms des calligraphes, graveurs, imprimeurs et éditeurs des xv e et xvi e siècles, à l’origine des premiers caractères gravés qui sont utilisés encore aujourd’hui. • 11 •
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Voici les outils que j’utilise au quotidien, testés et approuvés, qui vous seront utiles pour débuter et progresser.
Pour la calligraPhie classique La cagette du marché : l’outil le plus économique et facile à trouver ! On le coupe aux ciseaux. Idéal pour les lettres de grande taille. Variantes : l’anche de clarinette ou de saxo, le bâton de glace. 1
Le porte-plume : tout simple en bois, à levier ou avec un renfort en liège, pour les doigts sensibles. Le coudé sert à tracer l’anglaise. 2
Les plumes biseautées (photo p. 15) : je n’utilise que les Brause Bandzug® (3-1) très précises, mais les Speedball® (3-2), plus souples, sont bien aussi et existent pour les gauchers (3-3). Les plumes durent longtemps si on les nettoie et sèche après chaque utilisation. Ne les laissez pas se fossiliser sous des couches d’encre séchée ! Et contrairement à la légende, on ne passe jamais, JAMAIS une plume neuve dans une flamme ! On enlève juste le gras qui la protège avec un peu de salive ou d’eau savonneuse.
Pour commencer...
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Les plumes d’anglaise (photo p. 15) : on utilise une plume droite sur un porte-plume coudé OU une plume coudée sur un porte-plume droit. Les Mitchell® ou Nikko G® se trouvent facilement mais les brocantes recèlent aussi d’excellents modèles… testez-les. Évitez les Sergent Major®, trop raides ! 4
La plume d’oiseau : c’est authentique, plaisant, mais si elle n’est pas bien taillée, elle ne vous sera pas d’une grande utilité… 5
Le calame : comme la plume d’oiseau, ce roseau (ou bambou) taillé est très agréable, mais doit être vraiment bien taillé. 6
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une belle calligraphie, c’est avant tout un beau trait. il doit être souple sans être mou, et tendu sans être raide. c’est une question d’équilibre.
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La caLLIgraPhIe
n trait tendu semble tiré de chaque côté par des forces opposées. Il est stable, bien campé sur la ligne, et légèrement cintré : on appuie plus fort pour démarrer et pour finir le trait, on relâche la pression au milieu. Il est ainsi plus vivant qu’un trait uniforme. Cela demande de l’entraînement et vous n’y arriverez pas tout de suite, mais le fait d’y penser sera déjà une aide précieuse. Jouer sur la pression aide aussi à aller droit, comme si la plume était sur des rails.
À gauche, un trait sans vie ; à droite, un trait tendu.
Le Miam de gauche est à la fois raide, mou et sans vie ; à droite, il est souple et tendu.
Q
uand vous tracez un trait, mettez-y toute votre énergie, soyez vraiment centré, pleinement dans l’instant présent et à l’écoute de vos sensations. Au début, vos traits ne seront pas très beaux, et ce n’est pas grave ! Continuez à vous entraîner, votre geste deviendra plus sûr et vos traits s’amélioreront.
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Avec les outils contemporains, c’est surtout l’énergie du trait qui importe :
mou ! mou ! Voyez la différence entre les traits mous et les traits énergiques et tendus.
le rYthme Si en musique, le rythme est perçu par nos oreilles, en calligraphie, il l’est par nos yeux. Il est primordial car il donne le tempo. Le rythme est l’alternance entre les blancs et les noirs, les espaces entre vos lettres, vos mots ou vos lignes, ce qui fait que vos yeux voient une trame serrée ou lâche… Des lettres trop serrées gênent la lisibilité ; trop espacées, elles donnent des mots flottants, sans force ; un mélange des deux donne un rythme irrégulier et une sensation d’inconfort. Votre arme secrète, c’est votre œil ! Il voit tout, relevant avec une précision bionique les moindres différences entre les blancs et les noirs.
En calligraphie contemporaine, c’est en jouant avec le rythme que vous aurez du contraste et donc une écriture vivante. Observez les exemples de rythmes abstraits ci-dessous : il n’y a aucune lettre, et pourtant on dirait déjà de l’écriture ! Il y a des rythmes cadencés et d’autres, plus contrastés, dans lesquels ont été intégrées des ruptures.
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Nous l’appelons « anglaise », les Anglais la nomment « Copperplate » (qui signifie « cuivre », peut-être en référence aux plaques de cuivre où étaient gravés les modèles de cette écriture aux xviie et xviiie siècles avant d’être imprimés). Seule écriture historique tracée à la plume pointue, l’anglaise est fascinante de finesse et de sensibilité.
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ée de l’évolution de la bâtarde italienne (elle-même issue de la chancelière), elle a commencé à se différencier au xviie siècle sous l’influence de calligraphes anglais, français et hollandais et devient très en vogue en Europe dès le xviiie siècle. Je ne vais pas vous mentir : l’anglaise est une écriture exigeante. Elle demande de la patience et du travail pour acquérir équilibre et régularité. Vos premiers essais seront probablement décevants (comme l’ont été les miens !) mais c’est normal. Persévérez ! Vous verrez vos efforts récompensés et tirerez de votre progression une immense satisfaction. L’anglaise a un petit côté précieux et désuet, et pourtant elle trouve pleinement sa place dans le monde moderne où elle connaît un regain d’intérêt, en apportant une touche de raffinement et de légèreté plutôt apaisante. C’est pourquoi, malgré sa difficulté, je tenais à la proposer dans cet ouvrage.
Mon conse i l La pente de l’anglaise est très importante (environ 55 degrés), les pleins sont obtenus par la pression exercée sur la plume et non par la largeur du bec de l’outil, comme pour les autres écritures. La hauteur d’écriture est donc variable. Vous trouverez celle qui vous convient le mieux. Commencez par 9 mm à 1 cm et attendez d’avoir un peu d’expérience pour la tracer plus petite, car cela vous demandera encore plus de délicatesse.
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Procédez exactement comme pour le a, hormis le trait 3 qui commence de plus haut. Dans cette variante, il suffit de remonter délicatement en délié en restant parallèle et le plus proche possible du plein.
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Théoriquement, les hampes ont une longueur valant deux fois le corps de lettre. Mais j’aime assez les faire plus longues, je trouve cela plus élégant. À vous de trouver la longueur qui vous correspond.
Comme pour le g.
Le trait 3 n’est pas tendu, mais souple : ce n’est pas une hampe droite, comme dans les lettres q et p, mais une boucle. Celle-ci ne doit pas être raide, sous peine de donner un air très scolaire à votre anglaise. Attention, elle ne doit pas non plus ressembler à un spaghetti trop cuit : souple, mais pas mou !
Exactement comme pour le r, hormis pour le trait 2, qui n’a pas un plein en fuseau. Il finit en plein, avant de repartir en délié pour le trait 3.
Exactement comme pour le n.
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Théoriquement, les hastes ont une hauteur valant deux fois le corps de lettre.
L’attaque doit être souple et monter jusqu’au trait supérieur de la portée. Le L ressemble à un e, deux fois plus grand et plus étroit.
Exactement comme pour le v et le w, le trait 3 descend bien dans la pente, avant de décrocher vers la droite.
Pas de panique pour le f ! Décomposez tous les traits et il vous paraîtra plus simple.
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Matériel : • Papier aquarelle de qualité : ici, de l’Ingres d’Arches MBM® (si vous travaillez au drawing-gum, faites un test : certains papiers vont mal réagir au moment du frottage et arracher l’écriture). • Drawing-gum • Porte-plume + plume de 2 mm + plume fine • Gouache ou aquarelle extra-fine • Pinceau à lavis • Palette + pot d’eau • Règle + crayon 2H
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2 Avant tout, faites un mini croquis pour choisir le format, l’orientation, et la disposition de la phrase. C’est le moment de la réflexion : faites plusieurs essais, jusqu’à trouver la bonne composition. Puis faites un brouillon à taille réelle. Vous n’avez pas le rendu des couleurs, mais vous l’imaginez. Si vous avez besoin de visualiser, vous pouvez effectuer un essai en couleur.
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3 Sur votre beau papier, reportez les mesures du brouillon et tracez des lignes au crayon (très légères !). Écrivez votre phrase au drawing-gum et à la plume et laissez sécher. Si vous utilisez le sèche-cheveux, faites-le de loin, pour ne pas « cuire » le drawing-gum, qui arracherait le papier. Rincez votre plume, elle ne doit pas sécher avec le produit !
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4 Tendez votre feuille pour éviter l’effet « tôle ondulée » après séchage (humidifiez-la au dos, retournez-la et fixez-la à la table) et commencez le fond. Appliquez la couleur sur papier sec ou sur papier mouillé (plus facile). Gagnez en intensité en réalisant plusieurs couches. Ici, on réalise une zone foncée en haut de la feuille et une autre plus claire en bas : le sombre révèlera l’écriture blanche ; le clair apaisera la composition, amènera du contraste et fera ressortir la gestuelle fine. Réalisez plusieurs couleurs pour éviter un résultat trop uniforme.
6 Tracez de légères lignes au crayon, récupérez un peu de votre teinte la plus foncée sur la palette pour charger votre plume fine et écrivez la fin de votre phrase en gestuelle (ici, j’ai décidé d’en changer la fin… rien n’est jamais figé !).
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5 Un petit coup de sèche-cheveux (de loin !) accélère le séchage. Une fois le fond bien sec, enlevez le drawinggum en frottant doucement avec le doigt. L’écriture apparaît.
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Effet de relief dessiné Commencez sur une lettre assez grosse et droite, si possible, comme le i.
a a
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Notez tous les sommets extérieurs de votre lettre.
Prolongez les sommets par un petit trait vers le haut à droite (c’est le sens le plus simple pour commencer). Le sommet en pointillés sur l’illustration est celui qui n’est pas visible. Les trois petits traits doivent tous être parallèles et de même longueur. b
c
Rejoignez les extrémités des traits en restant bien parallèle à la lettre.
d
Vous avez obtenu un joli parallélépipède, ou un i en relief.
Ajoutez des hachures ou de la couleur sur cette épaisseur pour la différencier du premier plan. Cela aura aussi l’avantage de mettre en valeur la lettre. Essayez de faire partir vos petits traits de départ dans d’autres directions (vers le haut à gauche OU vers le bas à gauche OU vers le bas à droite) pour donner l’impression de voir la lettre sous un autre angle ; amusez-vous !
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e
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g
f Avec le i c’était trop facile, essayons le L : procédez de la même manière, sans oublier le petit trait dans l’angle (noté en rouge). Si vous tracez des petits traits bien parallèles, vous n’aurez pas de problème pour la connexion. g
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Avec le T c’est la même chose car les formes sont quasiment identiques. La seule différence : dans l’exemple suivant, l’angle que vous voyez en rouge sur le L est caché. Vous le verriez si vous traciez le T sous un autre angle.
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Avec les lettres obliques, ça se complique un peu ! Vous pourrez vous demander parfois où placer le relief. Voyons avec le N :
h
i
h
Placez vos petits traits au niveau des différents sommets.
i
Rejoignez-les en restant bien parallèle à la lettre.
j Pour les lettres présentant des parties obliques qui montent, comme le K ou le Z, selon l’angle que vous donnez à vos petits traits de départ, vous pourrez ne plus voir, ou voir très peu l’épaisseur de la lettre. Même si vous trouvez l’effet bizarre, la perspective est normale.
j
k Vous pouvez atténuer cette sensation en choisissant pour vos petits traits de départ un angle inférieur à 45 degrés.
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Composition facile Un lettrage, une fois fini, a toujours l’air compliqué, alors qu’en réalité, chaque étape est simple à réaliser. C’est l’ensemble de tous les petits éléments en présence et une bonne composition qui sont la clé de la réussite. Suivez-moi…
Cette disposition, simple mais efficace, se prêtera à tout mot ou phrase courte. Voici le croquis préliminaire et le matériel dont vous aurez besoin : une plume palette (ici, d’un diamètre de 1,5 mm) avec un porteplume et de l’encre noire, un crayon à papier, une gomme et une règle souple (si vous n’en avez pas, vous pouvez aussi tracer votre courbe à la main, mais c’est plus long).
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Déterminez la hauteur d’écriture, puis tracez les lignes courbes. Repérez le milieu de votre ligne. Comptez le nombre de lettres (chaque espace compte pour une lettre). Répartissez la moitié des lettres de chaque côté. Enfin, tracez légèrement la phrase au crayon et placez la ligne courbe en-dessous. (Avez-vous remarqué que je l’ai légèrement modifiée sous le L de départ ?) 2
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3 Une fois que tout est positionné et centré (il faut parfois s’y reprendre à plusieurs fois, n’appuyez pas trop sur le crayon pour pouvoir gommer), écrivez votre phrase à la plume, en prenant pour repère votre brouillon.
4 Tracez la courbe soulignant la phrase. Allez doucement pour avoir un joli trait, plein et régulier.
5 À l’aide d’un petit compas ou d’une règle à trous, tracez un rond au centre de la phrase.
6 Tracez des rayons qui partent du centre du rond mais ne sont visibles qu’à l’extérieur de ce dernier. Les rayons ne forment pas un cercle complet et s’arrêtent bien avant les lettres, pour ne pas nuire à la lisibilité.
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