Docteur Laure Martinat
MON GUIDE ANTISTRESS
Acupression et huiles essentielles
Les bons gestes, les bons dosages
Sommaire
De la physiologie à la physiopathologie
Le stress est une notion souvent mal définie et confondue avec la notion plus générale d’anxiété. Ainsi, dans le langage courant, le stress désigne à la fois :
La réponse de notre organisme face à une agression,
L’agent stresseur ou facteur de stress,
Le ressenti de la personne stressée.
L’anxiété est un trouble émotionnel défini comme un sentiment d’insécurité et de danger indéterminé, anticipé et associé à une sensation de malaise, d’agitation. C’est un facteur de stress majeur, mais c’est aussi une manifestation de ce dernier.
Le stress est quant à lui un état réactionnel de notre organisme, secondaire à une agression ; l’agression étant le facteur de stress aussi appelé « agent stresseur ». On doit beaucoup à Hans Selye, un célèbre médecin endocrinologue qui a énormément travaillé sur le stress. C’est notamment au cours d’expériences sur l’animal qu’il a pu observer que, face à différents facteurs d’agression, l’organisme réagit de façon similaire. Dans certains cas, ces facteurs d’agression peuvent même entraîner un déséquilibre à l’origine d’une maladie comme la dépression, un ulcère de l’estomac, de l’hypertension artérielle, de l’eczéma, des infections herpétiques à répétition et bien d’autres. Sans oublier les conséquences de ces mêmes maladies : par exemple, l’hypertension artérielle augmente le risque d’infarctus du myocarde (communément appelé crise cardiaque)…
Il définit le stress ainsi : « l’ensemble des moyens physiologiques et psychologiques mis en œuvre par un individu pour s’adapter à un événement donné ». Dit plus simplement, le stress désigne une réaction physiologique non spécifique de notre organisme (c’est-à-dire qui va survenir chez tout le monde de la même façon), initiée en réponse à un ou plusieurs facteurs d’agression.
Ainsi :
Le stress est une réponse physiologique normale à une situation anormale.
La peur désigne une réponse à une menace définie et caractérisée.
L’anxiété est une réponse à une menace non définie et anticipée.
Les facteurs d’agression ou agents stresseurs sont divers et variés : ils peuvent être d’origine familiale (divorce, deuil), professionnelle (licenciement, surcharge de travail), sociale (relation de travail, voisinage), médicale (maladie), liés au mode de vie (drogue, alcool, tabac), etc. Finalement, quel que soit l’agent stresseur, l’organisme réagit toujours de la même façon : c’est le fameux syndrome général d’adaptation (SGA), qui constitue la réponse de l’organisme face à des facteurs d’agression. Le syndrome général d’adaptation désigne donc la façon dont notre organisme réagit lorsqu’il est exposé à des facteurs d’agression. Quand une personne est soumise à une agression (donc à un facteur de stress), cette réponse est toujours la même, quelle que soit la personne. Par contre, certains événements peuvent être considérés comme un facteur d’agression par certains alors que d’autres n’y seront pas sensibles, évidemment.
Pour bien comprendre l’impact du stress sur votre corps, il est important de comprendre ce qu’est le SGA et ce qu’il implique. Mieux comprendre son corps, c’est aussi mieux comprendre son ressenti et être capable de mieux prévenir les conséquences délétères du stress et de l’anxiété afin de mieux les traiter. Par exemple, on voit écrit partout « l’hormone du stress » pour parler du cortisol, mais il y en a en réalité plusieurs et elles ne jouent pas toutes le même rôle ! De nombreuses autres hormones sont libérées, certaines au contraire voient leur taux diminuer et tout ceci contribue aux effets de l’anxiété sur votre corps.
Focus sur le sommeil
Mieux comprendre votre sommeil, c’est apprendre à mieux dormir. Le sommeil évolue au cours de la nuit sous forme de cycles. Le premier cycle est particulier, car il comprend la phase d’endormissement :
Endormissement ou phase 1 : elle correspond à la phase de transition veille/sommeil et dure en général entre 5 et 10 minutes.
Puis les 3 phases suivantes s’enchaînent, alternent et se répètent :
Sommeil lent léger ou phase 2 : on observe alors une chute de la température, une diminution de la fréquence cardiaque, une absence de mouvement oculaire. Cette phase dure environ 20 minutes.
Sommeil lent profond ou phase 3 : on observe une diminution du tonus musculaire, un approfondissement du sommeil.
Sommeil paradoxal ou phase 4, aussi appelée REM sleep (pour Rapid eye movement car les yeux sont en mouvement sous les paupières) : on observe une abolition du tonus musculaire, des mouvements oculaires intenses, une augmentation de la fréquence cardiaque. C’est le sommeil des rêves intenses, ceux dont on se souvient en général. Il dure environ 20 à 40 minutes.
Chaque phase correspond à une activité cérébrale spécifique identifiable sur l’électroencéphalogramme (un enregistrement de l’activité cérébrale via des capteurs collés sur la tête).
Une nuit de sommeil comprend trois à six cycles successifs d’une durée chacun d’environ 90 minutes en moyenne (mais pouvant aller jusqu’à 120 minutes). Le sommeil se modifie également au cours de la vie : durant la croissance et jusqu’à l’âge de 20 ans, le sommeil lent est plus profond. Lorsque l’on avance en âge, le sommeil lent profond diminue progressivement et devient minoritaire. C’est alors le sommeil lent léger qui prend le dessus, ce qui explique en partie l’augmentation des troubles du sommeil liés à l’âge avancé. De même, la durée du sommeil paradoxal diminue lorsque l’on devient adulte.
Le sommeil est un temps de repos pour notre organisme, mais pas que ! En effet, au cours du sommeil lent en première partie de la nuit, l’organisme travaille à l’assimilation des nutriments et à l’élimination des déchets. C’est aussi le moment de la sécrétion de l’hormone de croissance. En deuxième partie de nuit, mais toujours au cours du sommeil lent, les tissus se construisent, l’immunité se renforce. Le sommeil paradoxal est un temps privilégié pour la consolidation des apprentissages, le travail de mémorisation.
La durée habituelle de sommeil est de 6 à 9 heures en continu, survenant principalement la nuit. La moyenne de temps total de sommeil est de 7 h 30. Il existe ainsi de courts dormeurs et de longs dormeurs. On définit également des chronotypes :
Le chronotype du matin : l’individu se couche tôt et est en forme tôt le matin,
Le chronotype du soir : l’individu se couche tard et se sent plus en forme le soir.
La régulation du sommeil d’un individu se fait selon deux mécanismes principaux :
La régulation dite homéostatique : plus le temps passé éveillé augmente, plus la propension à s’endormir est forte. Tout épisode de sommeil intercurrent permet de repousser cette propension à s’endormir : cela signifie que si vous avez travaillé la nuit (donc vous n’avez pas dormi) et qu’au matin vous faites une petite sieste même de 30 minutes, cela permet de recharger un peu les batteries et de repousser le moment de l’endormissement.
Le rythme circadien, qui régule l’alternance veille le jour et sommeil la nuit et qui est sous le contrôle d’une sorte d’horloge centrale localisée dans le cerveau. La mélatonine est la principale hormone de régulation du sommeil : elle a des effets hypnotiques, c’est-à-dire qu’elle induit l’endormissement. C’est pour cela qu’on la surnomme l’hormone du sommeil. Elle est synthétisée par la glande pinéale située dans le cerveau. La lumière joue un rôle très important dans la régulation
HUILES ESSENTIELLES ET CRITÈRES DE QUALITÉ
Quand vous achetez un flacon d’HE, il y a quelques critères à respecter afin d’être certain d’avoir en main à la fois la bonne HE, mais aussi une HE de qualité. Évidemment, le choix éclairé du laboratoire ou du producteur de l’HE est déjà la première étape, c’est un gage de qualité.
L’HE a quelques propriétés physico-chimiques :
L’HE est liquide à température ambiante, mais il y a des exceptions comme l’HE de rose de Damas,
L’HE est incolore ou jaune pâle en général, mais il y a une certaine diversité de couleur comme le bleu profond de la tanaisie annuelle en raison de sa forte teneur en chamazulène,
L’HE a une densité en général inférieure à 1, mais il y a des exceptions telles que l’HE de clou de girofle,
L’HE est soluble dans les solvants organiques, les huiles végétales, mais non soluble dans l’eau,
L’HE est sensible à l’oxydation.
Il existe une grande variabilité de rendements selon les HE, ce qui impacte les coûts et donc le prix de vente. Ainsi, une HE de rose de Damas ou de mélisse vendue à un prix qui défierait toute concurrence doit vous mettre la puce à l’oreille. L’HE de rose de Damas ou de mélisse a un prix en lien avec son rendement, un prix très bas ne peut être que le reflet d’une fraude. Vous trouverez ci-contre un tableau avec quelques exemples caractéristiques.
PLANTE DISTILLÉE
Clou de girofle, Eugenia caryophyllus (bouton floral)
Lavande officinale, Lavandula angustifolia (sommité fleurie)
Thym vulgaire, Thymus vulgaris (sommité fleurie)
Camomille romaine, Chamaemelum nobile (sommité fleurie)
Rose de Damas, Rosa Damascena (fleur)
Mélisse, Melissa officinalis (partie aérienne)
QUANTITÉ D’HE OBTENUE À PARTIR DE 1 TONNE DE PLANTES FRAÎCHES
160 kg
6 kg
1 kg
0,2 kg
0,150 kg
0,08 kg
La carte d’identité d’une HE ou d’une essence répond à certains critères qui doivent être obligatoirement présents sur le flacon lors de l’achat.
Nom français : genre et espèce
Nom latin : genre et espèce
Chémotype
Partie de la plante utilisée
Mode d’obtention
Origine géographique
Mode de culture
Label(s) éventuel(s)
Prenons l’exemple de l’HE de thym à linalol.
Thym vulgaire
Thymus vulgaris
CT (chémotype) linalol
Sommités fleuries
Distillation à la vapeur d’eau
Espagne
Culture biologique
AB, certification Ecocert, Nature&Progrès, (HECT, HEBBD)
Camomille romaine
- Chamaemelum nobile -
Partie utilisée : Méthode d’obtention : Prix :
Obtenue par distillation des sommités fleuries de la camomille romaine, appartenant à la famille des Astéracées, l’HE de camomille romaine se caractérise par sa très grande richesse en esters (environ 89 %) sous forme principalement d’angélates d’isobutyle et d’isoamyle, qui lui confèrent une très grande propriété antispasmodique avec un effet calmant sur le système nerveux central. C’est l’HE des chocs émotionnels, des individus hypersensibles. Préanesthésiante, elle est souvent proposée en préopératoire, mais son parfum particulier est assez clivant : en général, on adore ou on déteste.
Dans une étude de Wilkinson et al., 103 patients atteints d’un cancer et pris en charge en soins palliatifs ont bénéficié d’un massage à base d’huile végétale avec ou sans HE de camomille romaine. Chaque patient bénéficie d’un massage corporel complet une fois par semaine pendant trois semaines consécutives. Les niveaux d’anxiété sont évalués avant et après les trois semaines. Les résultats montrent une réduction significative des niveaux d’anxiété (échelle STAI) dans le groupe ayant reçu le massage à base d’HE de camomille romaine19.
L’HE de camomille romaine a aussi été utilisée en inhalation versus placebo sur 22 personnes qui ont ensuite été invitées à visualiser des phrases positives et négatives. Le groupe ayant bénéficié de l’inhalation de camomille romaine a montré une humeur plus positive de façon significative20.
Libératrice, la camomille romaine calme immédiatement les émotions excessives. Elle est salvatrice en cas d’hyperémotivité, d’hypersensibilité émotionnelle.
Harmonisante du plexus solaire, elle rayonne dans tout l’organisme : les tensions disparaissent, l’angoisse se dissipe. Elle apaise la psyché et nous enveloppe d’un doux réconfort : c’est le calme après la tempête, le soleil après l’orage.
Précautions d’emploi et contre-indications
La camomille romaine est une HE relativement onéreuse du fait d’un rendement faible (entre 0,4 et 1 %). Son coût limite donc son usage, mais si son parfum vous plaît, elle est d’une efficacité redoutable. Elle ne doit pas être confondue avec la camomille allemande, aussi appelée matricaire, dont la composition est bien différente et qui nécessite des précautions d’emploi beaucoup plus étroites que la camomille romaine.
L’HE de camomille romaine peut être utilisée chez l’adulte, la femme enceinte après 3 mois, l’enfant après 3 mois à condition d’être bien certain d’avoir une HE de camomille romaine de grande qualité qui garantit sa très faible teneur en pinocarvone, une cétone neurotoxique (toxique pour le système nerveux). Idéalement, la teneur en pinocarvone ne devrait pas dépasser les 4 %. Une HE de mauvaise qualité peut atteindre les 10 %… Soyez donc vigilant et tournez-vous vers des producteurs de confiance.
Elle ne doit pas être utilisée en cas d’intolérance ou d’allergie. Les personnes souffrant d’asthme et celles à risque d’épilepsie doivent demander l’avis de leur médecin traitant avant utilisation.
Les points sur le corps
Les points d’acupuncture/acupression sont classés en deux catégories, les points généraux et les points spécifiques :
Les points généraux sont systématiques : c’est le socle d’ancrage dans la sérénité retrouvée,
Les points spécifiques portent bien leur nom : ils sont à associer au cas par cas en fonction du contexte, des besoins.
LES POINTS GÉNÉRAUX
Le point Yin Tang ou « point du troisième œil » se situe au niveau de la glabelle, à mi-distance entre l’extrémité médiale des sourcils. Grand point anxiolytique qui calme l’esprit, c’est le point de la sérénité retrouvée.
Le point MC6 (Nei Guan, ou « porte interne ») se situe sur la face interne de l’avant-bras, à 2 cun du pli de flexion du poignet, entre le tendon du muscle long palmaire et le tendon du muscle fléchisseur radial du carpe. C’est un point bilatéral (MC6 droit et MC6 gauche).
La mesure en cun
En acupuncture, le corps humain est mesuré selon des unités proportionnelles qui portent le nom de cun et qui permettent de localiser sans erreur et de façon précise tous les points d’acupuncture.
On utilise ainsi les dimensions de la main du patient pour déterminer les distances et localiser les points. Ainsi, en théorie :
La largeur de l’index et du majeur serré l’un contre l’autre au niveau du pli cutané formé au niveau de l’articulation interphalangienne proximale est de 1,5 cun.
La largeur de l’articulation interphalangienne du pouce est de 1 cun.
La largeur des 4 doigts (sauf le pouce) serrés l’un contre l’autre au niveau du pli cutané dorsal de l’articulation interphalangienne proximale du majeur est de 3 cun.
La distance entre l’articulation interphalangienne proximale et l’extrémité de l’index est de 2 cun.
En pratique, le praticien utilise sa propre main pour réaliser les mesures et trouver les points, mais il doit tenir compte de la taille de la main du patient et ajuster ses mesures en conséquence. Par exemple, la distance entre les deux mamelons est de 8 cun, la distance entre l’angle sterno-costal et le nombril est de 8 cun, la distance entre le nombril et la symphyse pubienne est de 5 cun, la hauteur de la rotule est de 2 cun.
Acupression : technique sans aiguilles d’acupuncture
L’acupression désigne la stimulation des points d’acupuncture non pas par des aiguilles, mais par une simple pression, un appui soit avec son doigt soit avec un support tel qu’un bâtonnet de verre de stimulation, qui s’achète dans les magasins ou les sites internet spécialisés dans le matériel d’acupuncture.
L’acupression offre plusieurs avantages :
Elle peut être utilisée par tous. L’apprentissage des points est facile grâce à leur description et aux schémas associés. Aucun outil n’est obligatoire, vos simples doigts suffisent.
Elle ne nécessite pas d’aiguilles. Si celles-ci vous effraient, aucun problème, vous n’aurez pas besoin d’être « piqué » !
Elle ne nécessite pas d’outils ni de matériels. Vous pouvez réaliser une séance n’importe quand et n’importe où en cas de besoin.
Elle est aussi efficace que l’acupuncture avec aiguilles.
Elle peut être réalisée par un professionnel de santé au cours d’une consultation si vous ne souhaitez pas avoir recours aux aiguilles, mais aussi chez vous, par vous-même en cas de besoin.
Elle peut être réalisée autant de fois que nécessaire sans aucun risque.
Il n’y a aucune contre-indication si ce n’est celles propres aux huiles essentielles.
Si vous ne souhaitez pas utiliser d’huiles essentielles, vous pouvez réaliser la séance d’acupression seule. Par expérience, c’est toutefois un peu moins efficace.
UN ENVIRONNEMENT CALME ET RASSURANT
OU N’IMPORTE OÙ EN URGENCE !
La séance peut être réalisée n’importe où si vous en ressentez le besoin. Idéalement, je vous conseille tout de même de préparer votre séance à l’avance, c’est-à-dire de programmer un moment où vous êtes tranquille, où vous ne risquez pas d’être dérangé et dans un environnement calme et rassurant. Cela peut être votre chambre, la véranda, le salon, mais aussi le jardin par une belle journée ensoleillée par exemple. Il faut avoir la possibilité de vous asseoir confortablement et idéalement de vous allonger quelques minutes : une chaise, un fauteuil, un canapé ou bien un plaid, une couverture à installer dans l’herbe du jardin font parfaitement l’affaire.
Si vous le souhaitez, vous pouvez mettre un peu de musique, plutôt douce, qui vous apaise et vous calme : le bruit des vagues, le chant des oiseaux, les sons d’une forêt, la vie dans votre jardin… Il n’y a pas de règle, aucune obligation, il faut simplement choisir un environnement où vous vous sentez bien.
Évidemment, en cas d’urgence, vous n’avez pas forcément la possibilité de vous installer confortablement, une simple chaise suffira.
ACUPRESSION ET HUILES ESSENTIELLES :
WARRIOR-SPIRIT®AROMACUPRESSURE EN PRATIQUE
Étape 1
Le premier temps est dédié au choix de l’huile essentielle (HE) ou de la synergie d’HE : choisissez celle qui vous convient. Pour cela, aidez-vous du chapitre sur les HE de ce livre (voir p. 37). Les présentations des HE vont vous parler, vous orienter dans votre choix. Vous allez ensuite sentir les HE et affiner votre sélection. Peut-être y a-t-il déjà une HE que vous utilisez habituellement en cas d’anxiété, qui vous rassure : dans ce cas, privilégiez celle-ci.
Si ce n’est pas le cas, après avoir réalisé une présélection, ouvrez les flacons choisis un par un. Inspirez calmement par le nez, puis expirez par la bouche. Laissez-vous porter quelques secondes par le parfum et analysez votre ressenti.
Saviez-vous que plus d’un Français sur deux considère être très stressé et que 40 % de la population a vu son niveau de stress augmenter ces trois dernières années ?
Médecin et experte en phyto-aromathérapie, micronutrition et acupuncture, le docteur Laure Martinat présente dans ce guide pratique son protocole Warrior-Spirit®Aromacupressure, basé sur l’acupression et les huiles essentielles. Créé pour lutter, au jour le jour et en douceur, contre le stress, ce programme est conçu pour s’adapter aux besoins de chacun et chacune.
Des explications concrètes ponctuées d’études scientifiques vous permettront en outre de comprendre les causes et le fonctionnement de votre stress, ainsi que ses effets sur votre santé et votre quotidien.
Découvrez le monde de l’acupression ainsi que les fiches d’identité de nombreuses huiles essentielles afin de construire votre parcours personnalisé.
Prenez soin de votre santé mentale et retrouvez un quotidien calme et apaisé grâce à ce guide indispensable, pensé pour vous accompagner partout.