L’ombre s’allonge, on voit au ciel Les étoiles qui étincellent ; Déjà brûlent leurs hautes flammes, Et selon l’ordre intransigeant Tourne, comme astre au firmament, Ton manque dans mon âme. pour anna Attila József, Derniers poèmes. À Clément, El Jefe. 8 9 10 11 12 13 14