La route se poursuit sans fin Descendant de la porte où elle commença. Maintenant, loin en avant, la route s’étire Et je dois la suivre, si je puis, La parcourant d’un pied avide, Jusqu’à ce qu’elle rejoigne quelque voie plus grande Où se joignent maints chemins et maintes courses. Et vers quel lieu alors ? Je ne saurais le dire. J. R. R. TolkIEN
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« C’était la Radioplane Company, et mon travail a d’abord consisté à inspecter les parachutes. C’était avant que je ne travaille dans la salle des “enduits”, une des tâches les plus difficiles que j’aie jamais faites. À l’époque, le fuselage et les différentes parties des navires étaient fabriqués en tissu – aujourd’hui, ils utilisent du métal – et nous devions peindre la toile avec une préparation durcissante. On ne pulvérisait pas la peinture, on l’appliquait au pinceau, c’était à la fois fatigant et difficile… surtout huit heures par jour. En fait, les autres ouvriers travaillaient douze heures, mais moi je n’en faisais que huit car je n’avais pas encore l’âge. » Marilyn Monroe
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« Je me disais en regardant Hollywood, la nuit : “Il doit y avoir des milliers de jeunes filles assises seules comme moi, qui rêvent de devenir star de cinéma. Mais je ne vais pas m’inquiéter de leur sort, c’est moi qui rêve le plus fort.” » Marilyn Monroe
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« Personne ne l’a découverte : elle doit à elle seule le statut de star auquel elle est parvenue. » Darryl Zanuck (président de la Twentieth Century-Fox)
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« Un cordon de policiers séparait la foule des photographes du lieu de tournage. Marilyn conversait paisiblement avec son coach [Natasha Lytess] et avec Billy Wilder. La foule, bien sûr, lançait des “hé, Marilyn” et elle leur répondait en agitant amicalement la main. La scène au-dessus de la grille de métro a donné aux photographes l’occasion de faire leur boulot. Elle jouait pour eux et savait parfaitement s’y prendre. Sa robe était idéalement conçue pour cette scène et ondoyait merveilleusement à chaque mouvement de l’actrice. » GeORGE ZIMBEL (photographe)
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« Marilyn adorait les animaux ; elle était attirée par tout ce qui était vivant. Elle était capable de dépenser des centaines de dollars pour tenter de sauver un arbre endommagé par l’orage, et de pleurer sa mort. Elle accueillait les oiseaux, installant des abris dans les arbres et nourrissant les nombreuses espèces qui visitaient son jardin ; elle s’inquiétait pour eux quand le temps était mauvais. Elle se faisait du souci pour les chiens et les chats. Une fois, elle a eu un chien qui était par nature contemplatif, mais elle était persuadée qu’il était déprimé. Elle faisait de son mieux pour le faire jouer, ce qui avait le don de le déprimer encore plus ; lorsqu’en de rares occasions il réalisait une pirouette maladroite, Marilyn le prenait dans ses bras et l’embrassait, délirante de joie. » Norman Rosten (poète)
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« Marilyn Monroe ! C’était une geisha. Elle était née pour donner du plaisir, pour passer toute sa vie à en donner, et ne connaissait pas autre chose. » DIANA VREELAND
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