3
23.03.2010
http://dit.epfl.ch
Ce pictogramme c’est… ?
p/a EPFL - Domaine IT - CP 121 - CH 1015 Lausanne 15 - tél. +41 21 69 322 11
… votre téléphone le sait
Actualités
https://secure-it.epfl.ch
Actualités Secure-IT votre affaire P. Saladino
1
plan.epfl.ch, version Web 2010 P. Mellier
5
Comment faire? Free or busy ? L. Venries
2
Bottin professionnel dans la poche L.Venries
4
Étendre LabVIEW à l’aide de LabVIEW C. Salzmann
troisième épisode
Phishing: ne vous laissez pas piéger Phishing: don’t get caught
10
Cinq tables des matières et un document J. Frey
12
Analyse FlashiPhone: m48 – retour d'une polonaise F. Roulet
6
Mot-croisé: pirate E. Rosales, A. Lavanchy & S. Ghernaouti-Hélie
8
Livres électroniques: les offres de 14
lecture L. Denoréaz
Brèves M.A.O. Mort Assistée par Ordinateur 16
S. Ghernaouti-Hélie
Agenda e-Infrastruture for e-Science 9
P. Mellier
N’envoyez jamais de données confidentielles par e-mail (mot de passe, coordonnées bancaires ...).
Prochaines parutions No Délai de rédaction Parution 4
29.03.10
20.04.10
5
06.05.10
25.05.10
6
03.06.10
22.06.10
tout public public averti expert
Never send confidential data via e-mail (passwords, banking information ...).
Comment faire ?
Free or busy ? Luc.Venries@epfl.ch EPFL – Domaine IT , responsable du service Exchange
How to share my Exchange availabilities with other people ? Marche à suivre pour partage des disponibilités Exchange avec des interlocuteurs.
Trouver une plage disponible avec un correspondant pour fixer un rendez-vous peut se faire très facilement si les intervenants utilisent le même système de calendrier électronique, avec le même outil collaboratif (par exemple, au hasard, Exchange), mais peut devenir vite problématique si l’on interagit avec une personne externe. Heureusement, il y a des outils très pratiques comme doodle (n’oubliez pas d’utiliser epfl.doodle.com). Un des inconvénients de ce genre d’outil est le côté statique des plages horaires mises à disposition. Si on prend un nouveau rendez-vous, alors qu’on avait proposé cette période à son correspondant, il faudrait mettre à jour son doodle en conséquence…
Pour faciliter la vie des personnes qui ont un agenda chargé et qui doivent proposer des plages horaires disponibles à des correspondants, nous avons développé (pour les utilisateurs du calendrier Exchange) un petit outil qui permet de partager la vue de leurs disponibilités. Le principe est simple, on saisit dans un formulaire Web la période que l’on souhaite rendre visible, un lien unique est généré, il suffit alors d’envoyer ce lien à son correspondant qui pourra visualiser sous forme graphique les plages libres et occupées de votre calendrier. Après la théorie, passons à la pratique. Allez sur la page https://ewa.epfl.ch/tools. Après vous être authentifié, sélectionnez le menu Partage des disponibilités (fig.1). Le choix de la langue de cette interface (français ou anglais) est défini à l’aide des préférences linguistiques du navigateur. . Vous obtenez alors le formulaire suiCliquez sur le bouton vant (fig. 2).
fig. 1 – partage des disponibilités
Impressum Les articles ne reflètent que l’opinion de leurs auteurs. Toute reproduction, même partielle, n’est autorisée qu’avec l’accord de la rédaction et des auteurs. Abonnement à la version électronique du FI en envoyant un courrier à: fi-subscribe@listes.epfl.ch
2 flash informatique
Rédacteur en chef: Jacqueline Dousson, fi@epfl.ch Mise en page & graphisme: Appoline Raposo de Barbosa Comité de rédaction: Aristide Boisseau, Paulo de Jesus, Patrice Fumasoli, Jean-Damien Humair, Laurent Kling, Julia Paolini, Vittoria Rezzonico, François Roulet,
Christophe Salzmann, Predrag Viceic & Jacques Virchaux Impression: Atelier de Reprographie EPFL Tirage: 4000 exemplaires Adresse Web: dit.epfl.ch/FI-spip Adresse: Domaine IT EPFL CP 121, CH-1015 Lausanne 15 Téléphone: +4121 69 32246 & 32247
Free or busy ? On y définit la date de début et de fin, ainsi que les heures que l’on souhaite montrer. Il est également possible de ne pas définir d’intervalle. Dans ce cas, il s’agit d’un intervalle glissant de 2 mois à partir de la date du jour. Après insertion, on obtient un lien complexe et unique que l’on peut envoyer à son correspondant en le copiant/collant. On peut aussi utiliser le bouton pour envoyer directement un e-mail pré-écrit mais modifiable contenant le lien (fig. 3). Sur la page d’accueil du partage des disponibilités (fig. 1), il est possible de modifier ou supprimer une plage lorsque celle-ci n’est plus utilisée. Il est également possible de renvoyer un e-mail. En cliquant sur le lien, votre correspondant aura la représentation de votre calendrier (fig. 4). Pour rappel, tout rendez-vous saisi dans son calendrier Exchange ne peut être vu (objet, lieu et détails) que par les personnes que l’on a explicitement autorisées (via partage ou délégation). Par contre, tous les utilisateurs Exchange peuvent voir par défaut toutes les plages occupées par les rendez-vous. Ceux qui le souhaitent peuvent publier leurs disponibilités dans une page Web. Pour cela deux solutions: z
fig. 2 – saisie de la plage de disponibilités
soit en utilisant un lien: <a ref="votre url" target="_blank"> <img src="https://ewa.epfl.ch/freebusy/ freebusy.png" width="250" height="150" border="0"></a>
fig. 3 – envoi du lien par e-mail
z soit en utilisant iframe (attention: certains navigateurs interdisent l’utilisation d’iframe): <iframe src ="votre url" width="100%" height="480"> <p>Your browser does not support iframes.</p> </iframe>
votre url étant le lien généré du type https://ewa.epfl.ch/freebusy/cal2.aspx?id=.... Vous pouvez voir un exemple concret de l’intégration des disponibilités dans une page Web: personnes.epfl.ch/luc.venries. Ne pas oublier qu’il est également possible de publier sur une page Web les disponibilités issues de my.epfl (voir article FI 9/2009). n
fig. 4 – vue des disponibilités
La couleur 2010
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Comment faire ?
Bottin professionnel dans la poche Luc.Venries@epfl.ch EPFL – Domaine IT , responsable du service Exchange
How to find a person’s phone number in the EPFL directory from your mobile phone ? Marche à suivre pour obtenir un numéro de téléphone de l’annuaire de l’entreprise depuis son iPhone ou son Windows Mobile. Qui n’a jamais dû téléphoner avec son téléphone portable à un collègue ou à une personne de l’EPFL sans en avoir le numéro dans ces contacts personnels ? Et bien, rien de plus facile pour obtenir ces informations et tout ceci sans rien paramétrer de particulier sur son téléphone…
Avez-vous déjà entendu parler de la GAL ? Non, ce n’est ni une maladie ni le Groupe Antiterroriste de Libération. Il s’agit dans le vocabulaire Exchange de la Globlal Address List ou en français de la Liste d’Adresses Globale . En fait, cela signifie annuaire de l’entreprise. Cet annuaire qui référence différentes données sur les membres de l’EPFL, à savoir l’adresse email, le téléphone, l’adresse, le bureau,… est disponible depuis n’importe quel iPhone ou PDA Windows Mobile qui se synchronise avec Exchange. L’adresse email et le téléphone de tous les collaborateurs de l’EFPL y sont directement disponibles. Malheureusement, les PDA sous Android (qui se synchronisent avec Exchange) ne proposent pas encore cette fonctionnalité. n
depuis son iPhone
1. Aller dans Contacts
2. Sélectionner l’onglet Groupes
4. Entrer le nom, le prénom ou quelques critères de son correspondant
5. Il ne reste plus qu’à cliquer sur son numéro de téléphone
3. Entrer le nom,…
5. Il ne reste plus qu’à cliquer sur son numéro de téléphone
3. Choisir son compte Exchange sans la section Directories
depuis Windows Mobile
1. Aller dans Contacts, si nécessaire aller dans le répertoire puis menu
2. Sélectionner l’onglet
4. Choisir son correspondant
4 flash informatique
Actualités
plan.epfl.ch, version Web 2010 Pierre.Mellier@epfl.ch EPFL – Domaine IT, responsable du KIS
A welcome update of map.epfl.ch. Une mise à jour bienvenue des plans de l’EPFL.
coup d’œil sur la nouvelle application plan.epfl.ch
Alors que Google surprenait le monde entier en annonçant en février 2005 la sortie de Google Maps, l’EPFL disposait déjà depuis l’été 2002 d’un outil de navigation Web lui permettant de visualiser les plans des bâtiments et des locaux, et permettant surtout aux usagers de chercher des locaux ou des personnes et de les localiser sur ces cartes. En septembre 2005, une refonte complète de l’outil permettait d’ajouter un calcul d’itinéraire pour faciliter les parcours dans les méandres des couloirs. En 2008, un relookage améliorait encore la qualité des cartes, mais les technologies utilisées commençaient sérieusement à vieillir face à l’évolution rapide du Web, et il fallait envisager une refonte radicale de l’outil pour tenir compte de nouveaux besoins. Parmi ceux-ci, l’intégration de l’IMT de Neuchâtel &, et la nouvelle antenne de l’EPFL à Ras al-Khaimah & posait la question intéressante de l’intégration des plans de l’EPFL sur un fond de cartes bien plus large que les zones limitrophes de St-Sulpice et d’Ecublens. Nous avons choisi une intégration avec OpenStreetMap, un service de cartes couvrant le monde entier, libre de droits (carte coopérative libre), dont les modifications des données géographiques peuvent être réalisées par n’importe qui. Il a fallu au passage changer de système de projection des plans de l’EPFL pour les adapter à la projection de Mercator & utilisée par OpenStreetMap .
D’autres remarques portaient sur la facilité d’agrandir la carte (pourquoi s’en priver quand on dispose d’un grand écran?), ou sur la vitesse de rafraîchissement de la carte quand on se déplaçait d’un bâtiment à l’autre. Il a fallu pour cela changer les anciennes technologies utilisées sur le serveur de carte au profit de Mapfish, un framework moderne permettant de développer des applications Web pour le géospatial. Mapfish se base sur des technologies que les spécialistes GIS & connaissent bien, comme ExIS, OpenLayers, ou encore GeoExt. Mapfish est développée par la société Camptocamp, spécialisée entre autres dans le GIS. On retrouve d’ailleurs ces mêmes technologies derrière le site Web www.wanderland.ch de la fondation SuisseMobile, que les randonneurs ou autres cyclistes connaissent bien. Finalement, une réflexion sur l’ergonomie de l’outil a été menée, ce qui a permis de simplifier l’interface utilisateur que nous espérons désormais plus proche de certains standards qui se sont imposés de facto comme Google Maps. D’ici quelques semaines, deux importantes fonctionnalités seront encore ajoutées à cette nouvelle version (elles sont actuellement en phase de test), il s’agit d’un composant 3D qui permet de naviguer dans les extérieurs de l’EPFL, et surtout d’une version optimisée pour les smartphones. n GLOSSAIRE
&
GIS (Geographical Information System): système d’information géographique capable d’organiser et de présenter des données alphanumériques spatialement référencées, ainsi que de produire des plans et des cartes. IMT Neuchâtel: depuis janvier 2009, l’Institut de microtechnique de l’EPFL est réparti sur 2 sites: Lausanne et Neuchâtel. Projection de Mercator: projection cylindrique du globe terrestre sur une carte plane; Google Earth comme beaucoup d’autres systèmes cartographiques utilisent ce type de projection simple dans laquelle les méridiens et les parallèles sont des lignes droites équidistantes, avec des intersections à angle droit. Ras al-Khaimah : l’EPFL a décidé en collaboration avec le gouvernement de Ras al-Khaimah la création d’un campus aux Emirats Arabes Unis qui devrait accueillir ses premiers étudiants en 2012.
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Analyse
FlashiPhone – m48 – retour d’une polonaise Francois.Roulet@epfl.ch EPFL - Domaine IT, heureux utilisateur de iPhone
The ultimate RPN Graphing Calculator. L’ultime calculateur graphique RPN.
L’assortiment de calculatrices en notation polonaise inverse (RPN &), disponibles pour iPhone, vous avait été présenté dans La Valse des Polonaises (FI4/09, ditwww.epfl.ch/SIC/SA/SPIP/Publications/spip.php?article1741). Depuis, cette collection s’est enrichie du légendaire HP-48G, lui aussi ayant été gratuitement porté sur iPhone à partir de la distribution GPL originale, Emu48, qui émule son processeur original HP-Saturn. C’est alors l’authentique ROM de Hewlett-Packard qui est chargée et exploitée.
Chronologie 1989, Hewlett-Packard présentait le HP-48SX, premier calculateur doté d’un affichage graphique de 131x64 pixels, avec la volonté d’affirmer sa position de calculateur compact le plus puissant au monde. Sa pile opérationnelle n’est désormais plus limitée à quatre registres numériques, mais uniquement par la capacité mémoire disponible, et peut contenir divers objets (nombre complexe, binaire, tableau, matrice, liste, chaine de caractères, expression algébrique, graphique, objets tagués). Fidèle à la logique en notation polonaise inverse RPN & chère à Hewlett-Packard, il se programme en RPL (Reverse Polish LISP), un langage procédural structuré postfixé, toutefois plus
Majuscules
proche du langage Forth que de LISP. La communication s’effectue soit par interface sérielle (protocole Kermit), soit par interface infrarouge (incompatible IrDA, car antérieur). On pouvait ainsi développer les programmes sur un ordinateur hôte, en RPL, ou directement en langage machine. 1993, Hewlett-Packard présentait son successeur, le HP-48GX, qui, grâce au doublement de capacité de sa mémoire morte à 512 KB, se voit doté d’une impressionnante bibliothèque intégrée d’équations, couvrant notamment les domaines de la mécanique, de l’électricité et du magnétisme, pour constituer l’indispensable compagnon de l’ingénieur. Il comprend les calculs symboliques (intégration et dérivation), complexes, matriciels, ainsi que, les unités SI et constantes universelles, totalisant plus de 2300 fonctions intégrées. Afin de faciliter utilisation et d’améliorer la convivialité de son interface, des boites de dialogue inspirées du Macintosh font leur apparition. Ce modèle GX, d’une richesse prodigieuse, consolidait la position dominante de HP sur le marché des calculateurs scientifiques.
Principales caractéristiques matérielles Année
Modèle
ROM
RAM
Horloge
Affichage
1989
48SX
256KB
32KB
2 MHz
131x64
1993
48GX
512KB
128KB
4 MHz
131x64
Minuscules
Grecques
Surface 3D (z = x^3*y - x*y^3)
Equation
ROM originale de HP Pile d’objets
6 flash informatique
FlashiPhone – m48 – retour d’une polonaise Domaines couverts par la bibliothèque d’équations intégrée Electricité Fluides Forces & énergie Gaz Transfert de chaleur
Applications du résolveur Equations Equations différentielles Racines polynomiales Finance Système linéaire Système quadratique
(normale, gauche, droite, alphabétique), et les trois sous-catégories de cette dernière (majuscule, minuscule ou grecque). Ce dernier facilite grandement l'usage des touches quadrifonction, apanage historique des calculatrices de HP, surtout sur une surface tactile réduite à un tiers de celle du calculateur original. Soulignons que cette émulation s’avère sensiblement plus réactive que le modèle original, grâce à la cadence horloge centuplée du iPhone.
Remarque
Magnétisme Mouvement Optique
Bibliothèque de calculs
Oscillations
Constantes universelles
Géométrie plane
Transformée de Fourier
Géométrie solide
Manipulations de matrices
Composants statiques
Algèbre linéaire
Analyse d’effort
Représentation graphique 3D
Ondes
Animation graphique
Dans le contexte de l’époque, un tel calculateur graphique compact était alors à ce moment inégalé, car les étudiants ne pouvaient pas encore aisément glisser d’ordinateur dans leur cartable, situation qui perdura jusqu’à la récente apparition des ultraportables, et des téléphones intelligents (smartphones). Or, ces derniers, justement par l’entremise d’émulations de calculateurs, sonneront probablement le glas de cette génération de calculateurs de poche, dont la surface d’écran est aujourd’hui largement surpassée par celle des smartphones. Cette implémentation m48 pour iPhone, extrêmement raffinée et intelligente, inclut notamment un écran LCD ajustable (couleur, contraste et luminosité), et surtout, un clavier dynamique exclusif, avec étiquetage contextuel des touches multi-facettes, qui met en évidence la fonction présélectionnée parmi les quatre possibles
Pour une information complète, il faut savoir qu’il existe actuellement trois autres rudimentaires portages de Emu48 pour iPhone, qu’il existait aussi depuis longtemps pour PalmOS sous le nom de Power48, ainsi que pour PocketPC, et qu’il vient de sortir pour Android sous le nom de Droid48. n GLOSSAIRE
&
RPN: La notation polonaise inverse, ou Reverse Polish Notation (RPN), est une notation mathématique où chaque opérateur suit l’ensemble de ses opérandes, contrairement à la notation polonaise, qui place l’opérateur en position de préfixe. Elle est également connue comme notation postfixée. Elle nous dispense de recourir à des parenthèses pour modifier l’ordre d’évaluation naturel des expressions algébriques. La dénomination polonaise fait référence à la nationalité du logicien Jan Łukasiewicz, qui a inventé la notation polonaise dans les années 1920. La notation polonaise inverse a été proposée en 1954 par Burks, Warren, et Wright et a été réinventée de manière indépendante par F. L. Bauer et E. W. Dijkstra début des années 1960 pour réduire les accès mémoire de l’ordinateur et utiliser la pile pour évaluer les expressions. La notation et les algorithmes de ce modèle ont été étendus par le philosophe et informaticien australien Charles Hamblin au milieu des années 1950. Durant les années 1970 à 1980, la notation polonaise inverse était assez répandue, même parmi le grand public, car elle a été largement diffusée dans les calculatrices de poche de l’époque - essentiellement les calculatrices scientifiques Hewlett-Packard, mais aussi Sinclair, National Semiconductor et les russes Elektronika.
Source: http://en.wikipedia.org/wiki/Reverse_Polish_notation
+ - x /
ENTER
Flèche à gauche
Fléche à droite
Bobine toroïdale
http://www.mksg.de/m48
t
T
t
z
Z
z
y
Y
y
x
X
x
T y+x
y-x
y.x
y/x
Z Y X
Les quatre opérations dans une pile classique à quatre registres
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Analyse
PIRATE Andrea Lavanchy, lamayon@bluewin.ch Enseignante dans l’établissement de Hautepierre de Morges Solange Ghernaouti-Hélie, sgh@unil.ch UNIL – Ecole des HEC – Professeure et auteure Esteban.Rosales@bluewin.ch Géologue de profession, illustrateur pour le plaisir de dessiner et faire sourire le lecteur
Un mot: pirate — trois regards: enseignante, experte en sécurité informatique et illustrateur.
pirate – AL Le mot pirate vient à la fois du grec (peirates) et du latin (pirata) qui signifie dans les deux langues: celui qui tente sa chance à l’aventure, celui qui entreprend; n’a donc pas au départ la connotation négative de banditisme et de cruauté. La piraterie connut deux périodes fastes, à la fin du 1er siècle av. J.-C en Méditerranée et au XVII siècle, principalement dans les Antilles et l’Océan Indien. De nos jours, la piraterie fait à nouveau parler d’elle, surtout au nord-est de l’Afrique. On peut comptabiliser des centaines d’attaques par année dont plus de 400 en 2009. Pourtant, ces nouveaux pirates ressemblent plus à des preneurs d’otages qu’à des vrais pirates de même que l’on parle de pirates de l’air, déformation du mot d’origine, car il s’agit d’actions terroristes ou politiques et non pas des crimes de droit commun. Mais intéressons-nous à des pirates plus proches de chez nous, ceux qui sévissaient sur notre beau lac Léman. C’est au XVIIIe siècle que l’on trouve des récits de nombreux actes de piraterie sur les routes et sur le lac. Il faut dire qu’à cette époque, le canton de Vaud accueillait de nombreux étrangers persécutés dans leurs pays, des personnes honorables, mais aussi des malfrats. Un de ces fameux pirates fut Dantal, fils d’un amiral savoyard qui mena la vie dure aux banquiers qui convoyaient de l’argent pour l’armée de Vendôme en Italie en traversant le lac. L’attaque la plus connue eut lieu le 19 octobre 1705. Après avoir attendu en vain un convoi près de Coppet, Dantal et ses acolytes décident de traverser le lac et vont à Hermance. Ils pillent le village en plein jour puis s’emparent du château d’Yvoire et font ripaille. Le lendemain, ils retournent à Coppet, se postent en embuscade et réussissent leur coup. Le butin est considérable: vingt mille louis d’or, la solde de l’armée française d’Italie. La police vaudoise (euh non, bernoise à l’époque) n’a jamais levé le petit doigt. Un autre pirate célèbre fut Jean-Pierre Blanchet. Après avoir sauvé une riche demoiselle, Françoise Colomb, sur les routes de Provence, il l’épouse et s’établit au châ-
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teau de Montagny au-dessus de Lutry. Mais il s’ennuie et dilapide le capital. Il devient espion, et fait de nombreuses escroqueries en s’associant avec des bandits. Un jour il apprend qu’une barque en direction de Villeneuve sera chargée très richement: or, étoffes précieuses, argent, etc. Les pirates arrivent sans problème à aborder la barque et à ramasser le butin qu’ils se partagent dans les jardins de Blanchet à Lutry et font la fête. Cette fois, la police bernoise ne fermera pas les yeux. Ils retrouvent Blanchet car il n’avait pas été assez discret. Il sera arrêté, jugé et finalement décapité le 4 janvier 1707. Mais nous ne devons pas oublier qu’il existe aussi des gentils pirates qui sévissent encore sur les bords du lac, ceux-ci sont pacifiques depuis 1934 et forment la confrérie des Pirates d’Ouchy, joyeuse bande de marins œuvrant sur le lac, mais probablement aussi sur les terrasses en plein été. Et plus récemment encore, nous avons le parti des pirates, libéral, fort de 650 membres qui s’intéresse à la sphère privée et qui compte dans ses rangs de nombreux informaticiens. Espérons que ce parti ne deviendra pas féroce et ne nous piratera pas.
pirate informatique – SGH Dans son acceptation courante, le pirate informatique & est la traduction française du terme anglo-saxon hacker qui désigne une personne qui pénètre virtuellement dans un système informatique, alors qu’elle n’en a pas le droit, a priori. Le mot hacking trouve son origine dans le vocabulaire de cuisine, signifiant le hachage menu-menu des aliments. Par extrapolation, il qualifie désormais les activités qui consistent à découper très
Agenda
e-Infrastruture for e-Science Pierre.Mellier@epfl.ch EPFL – Domaine IT, responsable du KIS
finement le mode de fonctionnement d’un ordinateur, afin d’en comprendre tous les rouages et éventuellement les détourner. Il réside toujours une différence entre le fait de comprendre les limites des protections, de rechercher des failles et celui de les exploiter à des fins malveillantes. La limite peut être ténue ou parfois la tentation grande. Toutefois, le hacking possède aujourd’hui, une connotation négative et représente généralement l’ensemble des opérations permettant de s’introduire sans autorisation et donc de manière illégale, dans un système appartenant à un tiers. Ainsi sur cette base, l’intrusion éthique (ethical hacking) est un oxymore, car il allie deux mots opposés sémantiquement. Dans la majorité des cas, il s’agit de tests d’intrusion réalisés, dans un cadre de démarche sécuritaire par des personnes mandatées, pour tester la robustesse des accès à des environnements informatiques, ce qui n’est alors pas illégal, mais autorisé par les mandants. Il ne faut pas croire qu’il faille toujours posséder un haut niveau de compétences informatique pour cela. En effet, généralement il est plus simple et plus rapide d’exploiter la crédulité ou de leurrer des employés pour les inciter à livrer leurs paramètres de connexion et ainsi obtenir des droits d’accès au système informatique pour s’y introduire. En principe, les hackeurs (hackers) sont le plus souvent de véritables experts en informatique, en réseaux et télécommunication ainsi qu’en sécurité informatique et en cryptographie. La motivation qui les anime, pas toujours louable, peut varier en fonction de leurs milieux socioculturels ou socioprofessionnels. Selon l’usage licite ou illicite qu’ils font de leurs connaissances, il est courant de qualifier les hackeurs par la couleur d’un chapeau, en référence au chapeau que portaient traditionnellement les détectives privés. Le chapeau blanc (white hat), est associé aux gentils, c’est-à-dire à ceux qui œuvrent pour une meilleure sécurité alors que le noir est réservé aux méchants (black hat) et le gris à ceux qui, en fonction des circonstances sont tantôt blancs, tantôt noirs. Par extension, il existe des chapeaux bleus (blue hats) pour les personnes spécialisées dans le hacking de Windows et des chapeaux rouges (red hats) pour les spécialistes d’UNIX. n
GLOSSAIRE
&
Pirate informatique: définition adaptée de l’ouvrage de Solange Ghernaouti-Hélie La cybercriminalité: le visible et l’invisible. Collection Le savoir suisse, PPUR, 2009.
Projets AAA de Switch pour la période 2008 - 2011 Suite aux projets AAI, la Fondation SWITCH a démarré au printemps 2008 une nouvelle phase de projets AAA appelée e-Infrastruture for e-Science pour la période 2008-2011. Les unités de recherche, les services informatiques centraux et les unités d’elearning peuvent soumettre deux fois par année des propositions de projets. L’objectif de ces projets est d’améliorer le partage des prestations informatiques entre les différentes institutions, dans les domaines du Grid (optimisation de l’usage des ressources), du e-learning (améliorer l’accessibilité et le partage), et des organisations virtuelles (meilleurs supports informatiques aux projets de recherche interinstitutionnels). Pour la cinquième étape, les projets doivent être soumis jusqu’au 31 mars 2010. Ces projets doivent être centrés sur des aspects coopératifs et doivent impliquer au moins un autre partenaire institutionnel. Le soumissionnaire doit également apporter 50% des fonds du projet. Les projets seront évalués en fonction des bénéfices pour l’utilisateur final, des aspects coopératifs, du caractère d’innovation, de la pérennité de la solution, de la qualité de la gestion du projet. Plus d’informations: www.switch.ch/aaa ou pierre.mellier@epfl.ch.
New phase for the 2008-2011 period on AAA projects After the first phase of realization of the infrastructures for authentication and autorization (AAI), SWITCH Foundation has started a new phase for the 2008-2011 period on AAA projects, called e-Infrastructure for e-Science. The research units, the central computing services and the e-learning units can participate twice a year by submitting project proposal. The objectif of these projects is to improve the sharing of computing resources between different institutions in the domains of Grid (optimization of the use of resources), of e-learning (to improve access and sharing) and of virtual organizations (better computing support to inter-institutional research projects). For the fifth deadline, the projects must be submitted for March 31, 2010. These projects must focus on cooperative aspects, and involved an other institutional partner. These projects must be realized within a matching fund framework (50% from SWITCH and 50% from the institution). Their evaluation will be based on end user benefits, cooperative aspects, innovative aspect, sustainability, and quality of the project management. More information: www.switch.ch/aaa or pierre.mellier@epfl.ch.n
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Comment faire ?
Étendre LabVIEW à l’aide de LabVIEW Christophe.Salzmann@epfl.ch EPFL – Faculté STI – Responsable du User Group LabVIEW de l’EPFL
LabVIEW is a graphical programming environment for data acquisition and data processing. It is widely used among scientists and in industries. Until recently LabVIEW could not be user enhanced. National Instruments decided to open LabVIEW APIs to external developers to allow them to craft LabVIEW to their needs. LabVIEW est un environnement de programmation graphique pour l’acquisition et le traitement de données. Son usage est très répandu dans les milieux scientifiques et industriels. Jusqu’à récemment, il n’était pas possible de l’étendre. National Instruments a décidé d’ouvrir les API de LabVIEW aux développeurs externes afin de leur permettre de façonner le logiciel à leurs besoins.
LabVIEW est un environnement de développement spécialisé dans l’acquisition et le traitement des données. La grande force de LabVIEW est de proposer en standard une interface logicielle au matériel connecté à votre ordinateur. En résumé, vous insérez votre carte d’acquisition sur le bus interne de votre machine (p. ex. PCIe) ou sur un bus externe (p. ex. USB). Vous installez l’environnement multiplateforme LabVIEW fourni sur plusieurs DVD. Après le redémarrage de votre machine, vous êtes prêt à faire votre première mesure. LabVIEW est un environnement graphique qui se programme à l’aide d’icônes représentant des fonctions de base (p. ex. addition) ou des fonctions complexes (p. ex. FFT). Toutes les structures d’un langage de programmation sont disponibles dans LabVIEW, y compris la récursivité et la programmation orientée objet. La principale différence avec un langage textuel est la manière dont le code est exécuté: ce n’est pas l’ordre dans lequel les icônes sont assemblées qui définit l’exécution, mais la disponibilité des données à l’entrée de celles-ci. Dans un premier temps, cette manière de programmer est souvent déconcertante. C’est pourquoi LabVIEW propose des Assistants ou Wizards. Un Wizard est une application qui vous guide dans les étapes successives d’une opération complexe. Une fois la séquence d’opérations définie, le Wizard génère le code LabVIEW prêt à l’emploi. Il est ensuite possible de modifier le code généré pour personnaliser votre application. Les figures ci-contre illustrent en trois étapes comment employer un Wizard pour générer une application qui va lire en continu une entrée de votre carte d’acquisition. Jusqu’à récemment, la création de Wizards était réservée à National Instruments & car les outils et API nécessaires n’étaient pas disponibles pour les développeurs externes. Les raisons de la nondisponibilité de cette option sont multiples. Parmi les principales, citons le manque de documentation et la relative complexité du
10 flash informatique
Configurez votre tâche d’acquisition à l’aide du wizard
Ouvrez votre tâche dans LabVIEW et générez le code
Le code et l’interface sont générés automatiquement, il ne reste qu’à l’exécuter
Étendre LabVIEW à l’aide de LabVIEW
Le Diagram du VI généré
Génère un VI avec une sortie qui correspond à la somme des deux entrées
processus de création. Néanmoins, de gros projets ont fait appel de manière importante à la possibilité de scripter LabVIEW, le plus important est probablement l’environnement de développement pour les LEGO Mindstorms . L’éditeur a été écrit entièrement en LabVIEW de même que le cross-compilateur qui génère du code pour les boitiers Lego NXT.
de VI. Vous avez la possibilité de coder ces extensions vous-même, mais l’opération peut prendre un certain temps… Vous pouvez aussi employer un framework existant, à savoir JKI Right-Click Framework &. Jim Kring et son équipe proposent un outil qui s’active lorsque l’on clique sur le bouton droit de la souris. Vous pouvez alors sélectionner une opération prédéfinie à effectuer. Plusieurs opérations sont fournies de base sous la forme de plugins écrits en LabVIEW. Vous avez la possibilité d’écrire et d’ajouter vos propres plugins qui contrôlent LabVIEW au travers de scripts. Il est, par exemple, possible d’automatiser la connexion de tous les tunnels d’une Case Structure non encore connectés et ainsi de vous faire gagner un temps significatif durant l’édition de votre diagram.
LabVIEW déguisé en éditeur LEGO Mindstorms
Depuis peu, National Instruments propose officiellement un installer pour scripter LabVIEW 8.6 et 2009. Une fois installé, il est possible de contrôler LabVIEW dans les moindres détails. La communauté des développeurs, qui attendait une telle solution depuis plusieurs années, a rapidement montré son enthousiasme. L’attrait de scripter LabVIEW n’est pas uniquement la génération de code de manière automatique, mais également la possibilité d’étendre les fonctions de LabVIEW durant l’édition. LabVIEW expose les API de script interne au travers du VI & server de la même manière que le contrôle des Instrument Virtuels (VI: applications LabVIEW). La seule manière de les différencier est la couleur bleue des API de scripts. Une fois que vous avez obtenu une référence sur un objet désiré, vous pouvez le modifier ou le paramétrer à l’aide de l’une des très nombreuses propriétés ou méthodes relatives à l’objet considéré. L’exemple ci-après génère un nouveau VI qui effectue l’addition de deux nombres. Pour des raisons de clarté, la gestion des erreurs et la fermeture de référence aux objets ont été omises. La première étape est la création du VI et l’ouverture de celui-ci, puis la fonction Add est ajoutée au Diagram. Deux contrôleurs et un indicateur sont ensuite ajoutés au Front Panel. Il ne reste qu’à obtenir une référence sur chaque terminal et à les connecter entre eux. En regardant le Diagram, il est facile de se rendre compte de la complexité de telles opérations même pour des opérations simples. Cette possibilité sera donc réservée momentanément à des opérations bien précises et surtout répétitives. La deuxième utilité de scripter LabVIEW est d’étendre les fonctionnalités de LabVIEW principalement durant la phase d’édition
L’action sélectionnée va connecter automatiquement tous les tunnels non connectés
De la même manière vous pouvez écrire des plugins pour les actions QuickDrop &. Elles ont été introduites avec LabVIEW 8.6 et vous permettent d’associer un raccourci clavier à un objet à placer sur le diagram ou le front panel. Pour conclure, la possibilité de scripter LabVIEW permet de l’étendre d’une manière qui n’était pas possible précédemment, tout particulièrement lors de l’édition. Toutefois, dans sa version actuelle, cette possibilité est relativement lourde à mettre en œuvre et l’installation d’extensions de parties tierces permet d’avoir un point de départ solide. Vous trouverez plus d’information sur le site de National Instruments ainsi que sur les forums du users group LAVA &. n GLOSSAIRE
&
JKI Right-Click Framework: decibel.ni.com/content/groups/jkiright-click-framework-for-labview/ LAVA: lavag.org/forum/17-vi-scripting/ National Instruments: decibel.ni.com/content/groups/labviewapis QuickDrop: labviewartisan.blogspot.com/2009/08/write-your-ownquick-drop-keyboard.html VI: Virtual Instrument, programme de Labview qui modélise l’apparence et les fonctionnalités d’un appareil physique.
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Comment faire ?
Cinq tables des matières et un document Jacqueline Frey, arobasque, formatrice en bureautique frey@arobasque.com
How to insert multiple tables of contents in a document Word. Insérer plusieurs tables des matières dans un document Word.
Situation Imaginons un long document Word contenant cinq chapitres rédigés par cinq contributeurs différents; vous souhaitez insérer une table des matières par contributeur (par ex. chaque chapitre commence par la table des matières du contributeur en question). Vous avez sans doute constaté qu’à l’insertion d’une 2ème table des matières, Word propose de remplacer la 1ère table insérée, autrement dit il semble à première vue impossible de faire cohabiter dans un même document plusieurs tables des matières. À la fin de cet article, notre long document Word n’aura pas deux ou trois tables des matières, mais cinq !... ou plus si affinités. Si nous creusons cette idée de tables des matières multiples, un autre élément est à considérer: l’apparence des différents chapitres.
Cas N° 1: Si vous souhaitez que les titres des différents chapitres aient la même apparence dans tout le document quel que soit le contributeur. Dans ce cas, la mise en forme des titres des chapitres sera faite à l’aide des styles intégrés Titre1, Titre2, Titre3…
Insérer un signet 1. Sélectionnez le texte du chapitre du premier contributeur. Je rappelle que les titres de tous les chapitres du document ont été mis en forme à l’aide des styles de titres intégrés, comme indiqué plus haut. Aidez-vous du mode Plan pour faciliter la sélection d’un bloc de texte sur plusieurs pages. 2. Insertion > Signet > donnez un nom au signet. Par ex. contributeur1; notez qu’il est important de ne pas mettre d’espace dans le nom du signet.
3. Sélectionnez ensuite le chapitre du 2ème contributeur et insérez un signet. Faites de même pour les textes de chaque contributeur. A la fin du travail, vous devez alors obtenir cinq noms de signets différents:
Trois raccourcis clavier à mémoriser pour la suite des opérations Ctrl + F9: ce raccourci permet d’insérer un champ à l’endroit où se trouve le curseur; Alt + F9: permet de basculer de l’affichage code de champs à l’affichage résultat du code de champs et inversement; F9 ce raccourci permet de mettre à jour un champ (il est parfois nécessaire d’utiliser la touche F9 si rien n’apparaît à l’endroit où vous avez inséré un champ; par défaut le champ est vide avant sa 1ère mise à jour).
Insérer plusieurs tables des matières solution au cas No 1 Afin que Word sache où commence et où se termine un chapitre, le texte du chapitre doit être désigné par un signet; ce qui revient, autrement dit, à donner un nom à une partie de texte. Je peux d’ores et déjà vous affirmer que cette méthode est plus simple que celle qui sera proposée pour la résolution du cas No 2.
12 flash informatique
Insérer les champs des tables des matières 4. Placez-vous au début du chapitre écrit par le premier contributeur; 5. Appuyez sur les touches CTRL + F9 pour insérer un champ. Vous obtenez alors des { };
Cinq tables des matières et un document 6. À l’intérieur du champ soit entre les { }, tapez les paramètres suivants: TOC \b contributeur1\o "1-3", sachant que: w TOC: indique un champ de table des matières; il faut insérer un espace blanc après TOC; w \b contributeur1: ce commutateur va rechercher uniquement les styles de titre de la partie du document désignée par le signet contributeur1; w \o: ce commutateur indique que les styles de titres intégrés de Word (Titre1, Titre2, Titre3, etc.) seront utilisés pour générer la table des matières; w "1-3": indique les niveaux de styles de titres qui seront pris en compte pour créer la table des matières (en règle générale, les trois premiers niveaux de titres sont suffisants). Ces niveaux doivent être saisis entre guillemets dans le champ.
11. Une fois les cinq champs insérés, mettez-les à jour en sélectionnant la totalité du document et en appuyant sur la touche F9. Il nous vous reste plus qu’à admirer le résultat, soit 5 tables des matières dans un seul et même document Word ! Cas N° 2: Si vous souhaitez que les titres des différents chapitres n’aient pas la même apparence, chaque contributeur souhaitant mettre en forme son chapitre avec des styles perso. Dans ce cas, il est nécessaire de créer des styles de titre personnalisés pour chaque contributeur. Je me ferai un plaisir de le traiter dans un second article dans le prochain Flash informatique.n
Le DIT vous forme
7. Mettez à jour le champ à l’aide de la touche F9 ; vous obtenez alors ceci: {TOC \b contributeur1\o "1-3"}.
Les astuces décrites dans cet article, et beaucoup d’autres, vous sont enseignées lors des formations Word. Le Domaine IT organise des cours en informatique dans des domaines variés, allant de la gestion optimisée d’un poste de travail à l’apprentissage d’un langage de programmation. Nous vous rappelons que le programme complet du premier semestre est à votre disposition sur notre site Web: dit.epfl.ch/formation. Pour réserver votre place: cours.dit@epfl.ch. Pour vous inscrire: cours-dit.epfl.ch/aspz/inscription.asp.
8. Il est nécessaire de répéter les étapes 4 à 7 pour chaque contributeur. Toutefois, pour ne pas avoir à réécrire manuellement le champ, affichez les champs en appuyant sur les touches Alt + F9 et copiez le champ {TOC \b contributeur1\o "1-3"}. 9. Placez ensuite votre curseur au début du texte rédigé par le deuxième contributeur . 10. Collez le champ {TOC \b contributeur1\o "1-3"}; remplacez simplement le 1 de contributeur1 par 2 et procédez, ainsi de suite jusqu’au cinquième contributeur.
Erratum Une erreur s’est glissée dans les figures de l’article: Backup 2009-2010, l’intégration du backup sur disque, d’Aristide Boisseau, paru dans le FI 2/2010. C’est cette figure qu’il aurait fallu mettre en page 3, elle représente la situation début 2009.
LAN - 100/1000 Mb/s Master server SunFire 280R Ultrasparc 900 Mhz 2GB RAM
1*1 Gb/s
2*1 Gb/s
3*2*1 Gb/s
2*1 Gb/s
EMC2 filer NDMP media server
2*1 Gb/s
ACLS server SunSparc T1000 1Ghz -8GB RAM Catalog disk array 3310 700 GB
Les lecteurs attentifs auront rectifié d’eux-mêmes, toutes nos excuses aux autres et à l’auteur!
2*1 Gb/s
3 media servers Sunfire v240 Ultra Sparc IIIi 1Ghz - 2GB RAM
3*4 Gb/s
3*4 Gb/s
3*4 Gb/s 4*4 Gb/s
SAN - 1/2/4 Gb/s
Local MA B0 466
1 Gb/s 4*2 Gb/s
4*2 Gb/s
2 Gb/s
2 Gb/s
BLUE GENE drives
4 Gb/s
4 Gb/s
ACLS controlled SL8500 library 3200 tape slots
Drive T9940B 30MB/s 200GB / tape NETBACKUP drives
NETBACKUP drives
Drive T10000A 120 MB/s 500GB / tape
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Analyse
Livres électroniques les offres de lecture Laurence.Denoreaz@epfl.ch EPFL - Domaine IT et étudiante ID à HEG-Carouge
Ebooks: where and how to get them. Livres électroniques: en complément à l’article paru le mois dernier sur ce sujet, voici quelques pistes sur l'offre disponible. En parallèle de la sortie des nombreux appareils de lecture, l’offre de livres électroniques n’a cessé de s’étoffer ces derniers mois. Il faut bien réaliser, et ceci est un inconvénient, que les ebooks ne sont pas vraiment moins chers que les livres traditionnels (coût auquel il faut encore ajouter le prix d’une liseuse, d’un ordinateur ou d’un téléphone intelligent). De plus, on ne les possède pas toujours complètement et on ne peut pas les prêter, ou alors seulement un certain nombre de fois et à certaines conditions. Tout comme pour le téléchargement de morceaux de musique, les éditeurs et de nombreux sites Web proposent un vaste choix de livres accessibles sur la toile. Dans cet article, nous allons aborder quelques-unes des offres actuelles. Voici une liste non exhaustive de ressources en ligne pour se procurer des ebooks.
La situation à l’EPFL En tant qu’étudiant ou collaborateur de l’EPFL, vous avez accès aux livres électroniques disponibles sur l’intranet de l’Ecole library.epfl.ch/ebooks. D’ailleurs, le site de la bibliothèque centrale vous recommande de chercher si le livre demandé est éventuellement disponible sous forme électronique. La bibliothèque de l’EPFL propose un large éventail de collections en ligne allant des livres techniques et scientifiques, aux ouvrages anciens, en passant par les dictionnaires et encyclopédies. Pour accéder à ces collections: library.epfl.ch/ebooks/?pg=collections.
Quelques sites donnant des informations sur le monde des livres électroniques
www.educnet.education.fr/dossier/livrelec
L’offre gratuite L’offre gratuite concerne en général les grands classiques, libres de droit. Elle répertorie un certain nombre de livres en français, mais on trouve des titres dans d’autres langues, et surtout en anglais. www.gratuibook.fr
Site français créé en 2009 qui répond aux questions sur l’actualité de la lecture numérique en général et qui nous propose de découvrir ensemble le futur de la lecture. Ce site donne en particulier une liste des fournisseurs de livres électroniques gratuits et payants en anglais et en français. En prime et amusante à découvrir, une catégorie Insolite fait le tour des diverses facettes du livre en général.
Donne des informations sur les différents logiciels disponibles pour télécharger des livres électroniques, avec une appréciation de chaque outil. En général, il s’agit de logiciels gratuits ou shareware.
14 flash informatique
Site animé par un groupe de personnes francophones aimant la littérature et souhaitant partager leurs lectures sur des ordinateurs ou d’autres appareils. Ils mettent à disposition des textes libres de droit. Ce site est un lieu d’échanges et de débats concernant les livres électroniques.
beq.ebooksgratuits.com
Depuis 12 ans, la bibliothèque électronique du Québec, partenaire du site ci-dessus, nous permet d’accéder à des ouvrages appartenant au domaine public. Actuellement, sa collection atteint 1157 volumes. En priorité des œuvres québécoises en français et en anglais, mais on pourra aussi télécharger les grands classiques de la littérature française. Très pratiques, les dictionnaires en ligne (TLFi et XMLittré) sont également accessibles depuis ce site.
gallica.bnf.fr
La Bibliothèque Nationale Française propose son service de livres en ligne, avec à disposition plus d’un million de documents, dont 156’885 livres.
www.feedbooks.com
À nouveau des livres tombés dans le domaine public. Facilement accessibles sous différents formats, dont Adobe pdf pour les télécharger sur un ordinateur.
www.numilog.com/ebookgratuit.asp
Une recherche par titre, auteur, thème et éditeur est disponible. Attention, car au cours de la recherche, on arrive facilement sur des titres payants.
www.epubbooks.com/books
www.01net.com
Il suffit de s’inscrire en envoyant son adresse email. Facile et rapide. Chaque semaine, un message électronique contenant le lien sur un e-book gratuit et libre de droit (en pdf) vous sera envoyé. Gros inconvénient: on ne peut pas choisir ses livres, par contre on télécharge uniquement ceux qui nous intéressent.
www.ebooksgratuits.com/ebooks.php
www.ebouquin.fr
Pour un dossier complet sur les livres électroniques. Avec de nombreux liens sur des documents officiels français.
Large offre de livres en anglais à télécharger au format ePub. Avec une redirection sur des sites offrant les mêmes titres, mais payants.
www.inlibroveritas.net
Maison d’édition fondée en 2005 qui permet l’accès, le partage et l’échange démocratique, universel et fraternel du sa-
Livres électroniques: les offres de lecture voir et la culture. Créateur de la Littérature Équitable, InLibroVeritas permet à tous de lire, d’écrire et de publier librement et gratuitement toute littérature sous licences libres ou ouvertes. Et les Classiques des Sciences Sociales (livres et documents, en format word, pdf et rtf), Livres Pour Tous (environ 5’000 livres gratuits, de nombreuses catégories), Projet Gutenberg, FeedBooks (trouver, publier et distribuer des livres dans plusieurs langues et de multiples formats), ManyBooks (choix considérable de livres en de nombreuses langues et plein de formats à disposition), Planet eBook (assortiment de romans et livres, site qui encourage à la diffusion), Snee (livres pour enfants en anglais) …
L’offre payante Le business des ebooks aiguise l’appétit de plus en plus d’éditeurs et librairies virtuels ou non. En voici quelques-uns, dont certains proposent un choix en français, à vous d’y trouver votre bonheur: Alphabet de l’Espace, Ancre de Marine, Archambault, Bibliosurf, Didactibook, Digitbook, Dialogues, Dunod, ePagine, Eyrolles, Fnac, Gibert Jeune, Harmattan, iKiosque, Immatériel, InLibroVeritas, Leezam, Le Kiosque, Les Echos, Mobipocket, Numilog, Publie.net, Place des Editeurs, Relay, UbiBooks, Amazon, Baen, Barnes & Noble, Blackwell, Books On Board, CoolerBooks, Diesel eBook Store, eBook.com, eBooks.com, eReader.com, Fictionwise, FT Press, Kobo Books, MacMillan, Mobipocket, Mills & Boon, O’Reilly, Penguin, RBooks, Safari Books Online, Sony eBook Store, UbiBooks, Waterstones …
Les principaux moteurs de recherche books.google.com
Sur le même mode de fonctionnement que le moteur de recherche de Google, ce site permet de trouver le livre dont vous avez besoin et d’en découvrir d’autres apparentés, classés par thèmes. Il est possible de visualiser un extrait du livre ou même de télécharger les textes libres de droit. On trouve également des pages de référence pour chaque livre, permettant d’accéder à des critiques, des pages Web connexes, des cartes géographiques ... ainsi que les possibilités d’emprunt ou d’achat.
inkmesh.com
Permet de faciliter la recherche d’ebooks gratuits et de comparer les prix sur différents appareils de lecture (Kindle, iPhone, Sony Reader, Nook,...).
www.neotake.com/index.php
Moteur qui indexe les livres électroniques, propose un choix en fonction des dates d’indexation et restitue les résultats d’une recherche. À disposition, 173308 fichiers de livres indexés.
openlibrary.org/
Propose une page Web par livre. Catalogue enrichi grâce à la récolte de millions de références de livres et à la bonne volonté de bénévoles. Il s’agit d’un projet issu de la bibliothèque en ligne: Internet Archive, d’une subvention de la California State Library et de la fondation Kahle/Austin. Fonctionne sur le même modèle que Google livres.
Expériences et conseils Première règle, il faut toujours respecter les conditions d’utilisation et de reproduction (fair-use &) des livres à disposition. En général, ces livres sont disponibles pour un usage personnel et non commercial. La rediffusion des textes téléchargés demande une autorisation. La législation en vigueur peut être celle du pays où le site est hébergé ou encore celle du pays à partir duquel on télécharge le fichier. Soyez prudent et respectez bien les règles d’utilisation accessibles sur chaque site, ainsi que le droit d’auteur. Souvent des dons ou de l’aide sont sollicités pour les sites de téléchargement gratuits, car ces sites sont non lucratifs et fonctionnent grâce au bénévolat. Depuis un iPhone, je conseille d’utiliser l’application gratuite Stanza de la société Lexcycle qui permet de télécharger plus de 100’000 livres et périodiques. Ce logiciel permet aussi de surfer, de partager, de lire, d’organiser et d’annoter ses livres. Sur la plupart des sites, une interface de recherche, parfois avancée, permet de cibler puis d’affiner sa recherche pour trouver aisément, selon l’auteur ou le titre, le livre souhaité. Des widgets & se trouvent au bas des pages et permettent d’accéder facilement à des applications Web de partage (Imprimer, Email, Favoris, Facebook, AOL, Google,…). À partir de ces sites, vous trouverez des explications détaillées sur les différents formats de livres électroniques, ainsi que la possibilité de s’abonner à des flux RSS & et parfois à une lettre d’informations, moyens qui vous permettront de suivre l’activité de ce domaine.
Sources z M, Clément. Ebouquin.fr: Toute l’actualité sur la lecture numérique. [en ligne]. www.ebouquin.fr (consulté le 7 mars 2010). z Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne. Information scientifique et Bibliothèques. [en ligne]. library.epfl.ch/ (consulté le 8 mars 2010). z Lebert, Marie. Études françaises de l’université de Toronto. Une courte histoire de l'ebook. 2009. [en ligne]. www.etudes-francaises.net/dossiers/ebookFR.pdf (consulté le 7 mars 2010).
Lire aussi z Livres électroniques à l’EPFL de Lionel Walter, ditwww.epfl.ch/ SIC/SA/SPIP/Publications/spip.php?article1812. n GLOSSAIRE
&
flux RSS: fichier dont le contenu est produit automatiquement en fonction des mises à jour d’un site Web. Les flux RSS sont souvent utilisés par les sites d’actualité ou les blogs pour présenter les titres des dernières informations consultables en ligne. usage loyal (fair use): ensemble de règles de droit définissant les usages que l’on peut faire des œuvres d’un auteur. Pour plus d’informations, consulter: fr.wikipedia.org/wiki/Fair_use. widget: gadget Web qui permet à l’utilisateur d’agir d’une manière ludique avec un site Web et aussi composant d’une interface graphique (bouton, ascenseur, liste déroulante, etc.).
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Brèves
M.A.O. Mort Assistée par Ordinateur Solange Ghernaouti-Hélie, sgh@unil.ch UNIL-HEC – Présidente des Commissions Sociale et Égalité des Chances de l’Université
Les yeux grands ouverts sur le néant, j’attends la mort. Elle s’insinue en moi tout doucement goutte après goutte. Je la reçois sereinement, presque avec volupté. Sur mon lit d’hôpital, je suis branchée. Non pas connectée comme à mon habitude sur le Net, juste ficelée par le goutte-à-goutte, celui-là même qui me promet la délivrance. Le pur plaisir d’exister, depuis combien de temps ne l’ai-je pas ressenti aussi intensément ? Certainement depuis le jour où j’ai réalisé que cette tumeur me rongera tout entière. Impossible de me résigner à cette vision de décomposition que me réserve la maladie. Accepter l’inacceptable, conjurer la mort pour mieux l’accepter; peut-être, à condition que l’on puisse choisir sa mort «On ne choisit pas sa mort» disent-ils. Pourquoi pas ? Ce pourquoi pas est devenu ma raison de lutter, jusqu’au jour où cela m’est devenu évident: programmer ma mort. Une mort assistée par ordinateur. Une mort par procuration tout simplement. La machine, l’interface idéale entre la réalité et moi-même. L’ordinateur devenu ordonnateur, divinité suprême qui se substitue à la volonté des Hommes. Ceux-là même, qui veulent à tout prix me faire durer ou plutôt endurer ma déchéance. Maintenant, paisiblement, je leur souris. Je souris à cette agitation autour de moi, à leur questionnement, à leur incompréhension face à la vie qui me quitte. Ils ne comprennent pas. Pourquoi maintenant ? Pourquoi si tôt ? Tout allait bien pour eux. Tout était sous contrôle. Tout ? Non, pas tout à fait. Leur plan thérapeutique est certainement très bon, pour qui est intéressé à finir lentement et à l’état de larve ectoplasmique, mais pas pour moi. Moi qui suis en rupture d’avenir, je fais un dernier pied de nez, à ceux qui ont une confiance aveugle dans la technologie. Toutes ces belles données sur mon état, mon traitement, ces informations qui me réduisent à un double immatériel symbolisé par un numéro de dossier informatique, et bien moi ces données, je les ai modifiées. Pénétrer dans le bureau vide de la surveillante, accéder à son poste de travail informatique, récupérer le mot de passe d’accès au fichier qui me concerne, modifier les dosages de ma perfusion: un jeu d’enfant ! Je me revois la veille, tranquillement assise à son bureau, trouvant collé sur le fond de son premier tiroir, le post-it sur lequel ses mots de passe étaient écrits, quelques clics de souris plus tard et le tour était joué. Et dire que l’intranet de l’hôpital est sans doute bien protégé des accès externes non autorisés par un firewall dernier cri ! Maintenant ils paniquent vraiment, je dérive. Ils vérifient leur listing, courent de l’ordinateur à ma perfusion et s’étonnent. «C’est bien ça, il n’y a pas d’erreur» disent-ils, ce sont bien les dosages prescrits par le médecin en chef. Pas une seconde ils ne remettent en question sa prescription, encore moins son authenticité. Je les ai leurrés, c’était si simple et c’est si efficace. Entre deux néants, je m’égare et cette comptine enfantine m’accompagne: «La fanfare fanfaronne sur un air court et condensé, pendant que la baronne fait un pied de nez au roi sur son trône qui s’imagine majesté, en vérité il trône sur une e armée de pieds nickelés, mais moi sans couronne, avec mes base d es de p i c é souliers dorés je danse et je rayonne, car j’ai un s n i r on t des p rfois des c c e p s e bien-aimé». e ce -r pa montr Le non matique a : e r l d e N été m Le médecin-chef s’interrogea longtemps sur ce or s, com ôpital avait s té inf i e r u u d c n é s l’h tte cas. Se serait-il trompé ? Y-a-t-il eu un accès illirée es ina nte de ques suggé quenc la surveilla ut i t cite aux données confidentielles qu’il croyait cora r .ch, to i s p fl S e p . n .e e n t t i o x te rectement protégées ? S’agit-il d’une erreur ou d’une aux b ttps://secure h entive t rivé! e t r n a a g sans malveillance ? d’un meurtre ou d’un suicide ? Il ne le pas mpa e a r c t ê a visitez l t , r u d a r e p a p t ilisasaura jamais. En revanche, il a acquis la certitude que p erait sensib as tro p e ci ne s d t e s c e ’e n st à ce formidable outil qu’est l’ordinateur peut également s? il n ampag IT, elle en e n u c o a v l t e E d eD re être une arme redoutable.n le site r par l couvri tarder ée en janvie ouvez le dé sp nc tion laème pisode, vou rnal. é ce jou e d son 3 e g ère pa premi ISSN 1420-7192