Portfolio
Paysagiste DPLG MAHOUDO Floriane
STAGE 8 SEMAINES AU SEIN DE L’AGENCE DE PAYSAGE BASE
COLLABORATION A LA CONCEPTION DU PROJET DU PARC ANIMALIER ET BOTANIQUE DE BRANFERE (56) Durant ma dernière année d’étude j’ai souhaité réaliser un stage qui me permettrait d’appréhender les aspects pratiques et technique du métier de paysagiste DPLG. Je souhaitais approfondir mes connaissance concernant les projets de maîtrise d’oeuvre et sur les dernière phase de projet où il faut quantifier, estimer et dessiner tout les élements composant le projet afin qu’il soit réaliser tel que dessiné. Durant mon stage je n’ai travaillé que sur un projet : le parc animalier et botanique de Branféré. Je suis arrivée dans l’agence durant la dernière phase de projet où j’ai pu travailler sur les éléments de conception du projet, de dessins techniques, de quantifications et d’estimations du coût réel de tout les éléments du projet afin de pouvoir alimenter le DCE et le BPU. Durant ce stage j’ai acquis de nouvelles compétences : capacité de projection, connaissances techniques, connaissances graphiques, organisation et méthodologie de travail sur la mise en oeuvre d’un dossier complexe au niveau du projet et des détails constructifs. Je vai présenter dans ce book les planches de détails et les plans associés que j’ai réalisé dans le cadre du projet du parc de Branféré.
DETAIL DE MOBILIER
Exemple d’un planche de détail d’une corbeille à verre. La planche a été réalisée à partir d’une corbeille déjà existante sur laquelle on rajoute un couvercle percé pour accueillir le verre.
Planches de dĂŠtails sur la confection de banc modulaire Ă partir du bois des arbres abattus sur site.
les plantations Beaucoup de plantations arbustives sont prévues au sein du parc : ambiances végétales, camouflage de clôture, bosquets, … Ces différentes plantations sont réparties en module selon différents critères : le domaine dans lequel elle se trouve, la fonction qu’elle occupe, le milieu dans lequel elle se situe. J’ai donc recensé 30 modules différents : - Module A : Domaine de l’entrée et des services // Haie arbustive contre clôture CL1 d’une hauteur de 1m50 // Soleil - Mi-ombre - Module B1 : Domaine des prairies bocagères - Enclos des ânes de Somalie // Haie arbustive contre clôture CL2 d’une hauteur de 1m10 // Soleil - Module B2 : Domaine des prairies bocagères - Enclos des ânes de Somalie // Haie arbustive contre lisière // Ombre - Module B3 : Domaine des prairies bocagères – Ferme pédagogique // Haie arbustive exposée Nord, contre bâtiment // Ombre - Module C1 : Domaine des Archipels – Île des Siamangs // Haie arbustive contre clôture CL2 d’une hauteur de 1m10 // Soleil - Module C2 : Domaine des Archipels – Île des colobes // Haie arbustive entre clôture existante d’une hauteur de 0.80m et d’un bassin // Soleil - Module C3 : Domaine des Archipels – Plan d’eau des Pélicans // Haie arbustive de part et d’autre d’une clôture CL2 d’une hauteur de 1m10 // Mi- ombre - Module C4 : Domaine des Archipels – Île des Capucins // Haie arbustive contre clôture CL1 d’une hauteur d’1m50 // Mi-ombre - Module D : Domaine des Archipels – Île des hurleurs // Massif arbustif // Soleil - Module E1 : Domaine des Archipels // Renforcement de la végétation existante contre clôture CL3 d’une hauteur de 0.80m // Mi-ombre - Module E2 : Domaine des Archipels – Île des Capucins // Renforcement arbustif contre clôture CL3 d’une hauteur de 0.80m // Ombre profonde - Module G : Domaine des Archipels – Plan d’eau des pélicans // Vivaces de berges // Mi-ombre - Module H : Domaine des Archipels – Enclos des hippopotames pygmées // SAS contre CL1 d’une hauteur de 1m50 // Soleil - Module I : Domaine du château – Île des gibbons à favoris blanc // SAS entre les Archipels et le domaine du château // Ombre profonde - Module S : Domaine des Archipels // SAS entre les Archipels et les Lémuriens // Soleil - Module J1 : Domaine de la haie bocagère – Enclos des animaux domestiques // Restauration de la haie bocagère - Module J2 : Domaine du château – Enclos des maras, cerfs hydropotes, wallaby, muntjac de Chine // Haie arbustive contre clôture CL1 d‘une hauteur d’1m50 // Mi-ombre - Module K1 : Domaine du château – Enclos des maras, cerfs hydropotes, wallaby, muntjac de Chine // Massif // Mi-ombre - Module K2 : Domaine du château _ Enclos des chameaux, yacks, mouton du Cameroun // Massif sur butte // Soleil – Mi-ombre - Module L : Domaine du château – Espace alimentation // Massif d’hortensia // Ombre - Module M : Domaine de la vallée Indienne – Espace marin // SAS // Mi-ombre - Module N : Domaine de la vallée Indienne // Renforcement arbustif // Mi-ombre - Module O : Domaine forestier – Enclos des loups à crinière // SAS // Ombre - Module P1 : Domaine forestier – Enclos des loups à crinière // Haie de part et d’autres d’une clôture CPI // Ombre - Module P2 : Domaine forestier – Enclos des loups à crinière et tamarins pinchés // Haie arbustive contre clôture CPI // Ombre - Module Q1 : Domaine de la plaine Africaine – Enclos des hippopotames pygmées // Grimpante et haie contre clôture CL1 d’une hauteur d’1m50 // Ombre - Module Q2 : Domaine de le plaine Africaine – Enclos des zèbres et autruches //Renforcement d’une haie persistante // Soleil - Module R1 : Domaine de la plaine Africaine – Enclos des girafes, grands couodu, darnallisque, gnou bleu, onyx // Massif // Soleil - Module R2 : Domaine de la plaine Africaine - Enclos des girafes, grands couodu, darnallisque, gnou bleu, onyx // Massif // Soleil
Pour chaque module je vais réaliser un détail de plantation type à adapter au terrain. Ces détails vont nous permettre de pouvoir quantifier et chiffrer le nombre de végétaux nécessaires lors de la réalisation des travaux.
Accueil - Entrée de l'ENH Module A Haie arbustive contre clôture CL1 d'un hauteur de 1m50 - Soleil / Mi-ombre
Prairies bocagères - Enclos des ânes de Somalie Module B1 Haie arbustive contre clôture CL2 d'une hauteur de 1m10 - Soleil
Ligustrum vulgare
L.vu
Prunus spinosa
P.sp
Corylus avellana
C.av
Cytisus x praecox 'albus'
C.pr
Cytisus scorapius
C.sc
0,8 m
0,5 m
CL2
L.vu L.vu L.vu L.vu L.vu L.vu L.vu L.vu L.vu L.vu L.vu CL1
0,5 m
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
0,5 m
C.pr
CL1
CL1
C.sc C.sc C.sc P.sp C.sc C.av C.pr C.pr C.pr P.sp P.sp P.sp C.sc C.pr
C.av P.sp C.pr
C.sc 2m
0,8 m
L.vu L.vu L.vu L.vu L.vu L.vu L.vu L.vu L.vu L.vu L.vu
CEL
CEL
CEL
CEL
CEL
CEL
CEL
CEL
CEL
CEL
CEL
CEL
CEL
Prairies bocagères - Enclos des ânes de Somalie Module B2 Haie arbustive contre lisière - Ombre
Corylopsis pauciflora
C.p
CEL
CEL
Ilex x meservae
I.me
CEL
CEL
CEL
Euonymus europeaus
E.eu
CEL
CEL
CEL
CEL
0,8 m 1,92 m
C.p
I.me I.me I.me
DETAIL DE PLANTATION - MODULE A
PHASE Projet
PARC ANIMALIER ET BOTANIQUE DE BRANFÉRÉ
ECHELLE 1/50
Juillet 2017
BASE PAYSAGISTE Mandataire
C.p
C.p
E.eu
0,5 m
PHASE Projet
PARC ANIMALIER ET BOTANIQUE DE BRANFÉRÉ
ECHELLE 1/50
Juillet 2017
BASE PAYSAGISTE Mandataire
Les Archipels - Île des Siamangs Module C1 Haie arbustive contre clôture CL2 d'une hauteur de 1m10 - Soleil
Ilex aquifolium
I.aq
Lonicera nitida
C.p
E.eu E.eu E.eu I.me
DETAIL DE PLANTATION - MODULE B1-B2
Prairies bocagères - Ferme pédagogique Module B3 Haie arbustive exposée Nord, contre bâtiment - Ombre
L.ni
E.eu I.me
Ilex x meservae
I.me
Salix rosmarinifolia
S.ro
Salix irrorata
S.ir
P.op Physocarpus opulifolium
0,8 m
0,5 m
L.ni
L.ni
L.ni
I.aq
L.ni
I.me
I.me
L.ni
I.aq
L.ni
L.ni
F.al I.me
L.ni
Bassin
4,8 m
L.ni
I.aq
I.me
0,8 m
Bâtiments
S.ro
P.op
S.ro
CL2
CL2
Bande 2
P.op
S.ro S.ir
S.ir
CL2
CL2
S.ro
S.ir
CL2
CL2
CL2
S.ro CL2
CL2
P.op S.ro
CL2
CL2
S.ir
S.ro
CL2
La largeur à planter varie entre 0.62m et 1.8m. Entre 0 m et 1 m de largeur : planter la bande 1 Entre 1 m et 1.8 m de largeur : planter la bande 2
Bande 1
S.ir
S.ro
CL2
CL2
1,8 m 1m
0,62 m
CL2
0,8 m
Les Archipels - Île des colobes Module C2 Haie arbustive entre clôture existante d'une hauteur de 0.80 m et d'un bassin - Soleil Fothergilla major
F.ma
Physocarpus opulifolius
P.op
Salix rosmarinifolia
S.ro
S.re Salix repens
0,8 m
S.ro
P.op P.op P.op
0,5 m
S.re
S.ro
P.op
S.ro
F.ma
F.ma P.op
F.ma
F.ma
S.ro
P.op
S.ro
S.re La largeur à planter varie entre 0.75m et 3.3m.
S.re
F.ma F.ma S.ro
F.ma
S.ro
F.ma
0,5 m
F.ma P.op
P.op
P.op
S.re
S.ro
P.op
F.ma S.re F.ma P.op S.ro
S.ro
Bande 1
P.op
1m
Entre 0.75m et 1.m de largeur : planter la bande 1 1,8 m Entre 1m et 1.8m de largeur : planter la bande 2
S.ro
S.re
Bande 2 Bassin
1,6 m
DETAIL DE PLANTATION - MODULE B3
PHASE Projet
PARC ANIMALIER ET BOTANIQUE DE BRANFÉRÉ
ECHELLE 1/50
Juillet 2017
BASE PAYSAGISTE Mandataire
Physocarpus opulifolius
Salix rosmarinifolia
Les Archipels - Île des hurleurs Détail D Massif arbustif - Soleil
CL2
CL2
GC1_ Garde-corps, pieux ronds, filet, cable
S.ir
S.ir
0,7 m
Co.k Co.k Co.k Co.k
CL2
Détail de plantation D A adapter selon végétation existante
P.op
S.ro
Nandou /Cygn
A.gl
GC2_ Garde-corps, pieux ronds hauteur variable filet, cable
GC2
S.ro
CL2
GC2
P.op
CL2
GC2
S.ro
CL2
S.ro
GC2
CL2
S.ro
GC2
S.ro
CL2
S.ir
GC2
P.op S.ro
P.op
CL2
S.ro
P.op
GC2
CL2
P.op S.ro
GC2
P.op
CL2
S.ro
GC2
P.op S.ro
CL2
S.ir
S.ir
GC2
CL2
S.ir
GC2
S.ir
CL2
P.op
GC2
S.ir
CL2
S.ro
GC2
S.ir
S.ro
CL2
S.ir
GC2
CL2
P.op
0,8 m
GC2
CL2
P.op
BASE PAYSAGISTE Mandataire
Mélange de vivace : Amsonia hubritchii Ceratostigma plumbaginoides
Cornus 'kelsey'
Co.k
GC2
P.op
Salix hastata
S.ha
Salix repens
S.re
ECHELLE 1/50
Juillet 2017
GC2
0,8 m
S.ro
Salix rosmarinifolia
S.ro
des hurleurs
Salix irrorata
S.ir
PHASE Projet
PARC ANIMALIER ET BOTANIQUE DE BRANFÉRÉ
GC2
S.ro
7,23 m
DETAIL DE PLANTATION - MODULE C1-C2
Les Archipels - Plan d'eau des Pélicans Module C3 Haie arbustive de part et d'autre d'une clôture CL2 d'une hauteur de 1m10 - Mi-ombre P.op
2,4 m
GC2
GC2 GC2
GC2
S.ro
GC2 GC2
A.gl
GC2
GC3
GC3
S.ir
Coté chemin
PARC ANIMALIER ET BOTANIQUE DE BRANFÉRÉ
PHASE Projet
BASE PAYSAGISTE Mandataire
1 GC 1 GC 1 GC 1 GC 1 GC 1 GC 1 GC 1 GC
Co.k 1
S.ha CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
S.ro CL2
DETAIL DE PLANTATION - MODULE D
1
GC
1
GC 1
Co.k Co.k Co.k S.re
CL2
Co.k GC
A.gl
Co.k CL2
ECHELLE 1/50
1
GC
Co.k S.ro
Co.k Co.k Co.k
Co.k
CL2
CL2
S.ha CL2
CL2
1
S.ha
S.re
Garde-corps, poteaux carrés,
Juillet 2017
S.ha
S. 'we'
Co.k
S.ha
1
GC
S.re
1
GC
Co.k CL2
S.ro CL2
CL2
S.ro CL2
CL2
CL2
Détail D
DETAIL DE PLANTATION - MODULE C3-C4
S.ro S.ro
GC3
1
Co.k Co.k Co.k GC3
GC
GC3
1
GC3
GC
GC3
1
GC3
GC
GC3
GC
Co.k GC3
1
GC3
GC
GC3
GC
P.an
1
S.ir
A8
1
GC
1
GC
1
GC
GC
S.ir
S.ir
Co.k
Co.k
S.ro Co.k Co.kCo.k
S.ro
GC1_Garde-corps, pieux ronds, filet, cable
1
S.ir
S.ro
S.ro
Co.k S.re
A.gl
GC
S.ro
S.re
S.ro
Co.k Co.k Co.k GC3
CL2
S.ro CL2
CL2
CL2
S.ro CL2
S.re Co.k S.ha
Co.k
CL2
CL2
CL2
CL2
1
P.an
GC3
GC
P.an S.ro
CL1
GC3
1
Co.k Co.k Co.k
Co.k CL2
CL2
S.ha CL2
CL2
CL2
GC 1
P.an
CL1
GC3
GC
P.an
CL1
CL1
GC3
S.re S.ro CL2
CL2
CL2
CL2
1
GC
Co.k CL2
CL2
CL2
CL2
1
S.ro
CL1
CL1
CL1
P.an S.ro
GC3
CL2
PARC ANIMALIER ET BOTANIQUE DE BRANFÉRÉ
CL2
GC1
GC
S.ir
P.an S.ir
GC3
CL2
P.an
CL1
CL1
CL1
GC3
GC1
GC1
1
CL1
GC3
GC1
GC
CL1
P.an P.an P.an S.ro
GC3
Co.k
GC2
S.ir
GC3
Co.k
S.re
GC2
S.ro
CL1
CL1
GC3
GC2
CL1
GC3
CL2
S.ro
S.ro
GC3
GC3
CL2
0,8 m
CL1
GC3
CL2
S.ir
P.an
GC3
S.re GC3
Co.k
S.ro
GC2
CL1
CL1
GC3
CL2
Bande 2
CL1
S.ir
GC3
La largeur à planter varie entre 1 m et 1.5334m Entre 0 et 1 m de largeur : planter la bande 1 Entre 1 m et 1.5334m de largeur : planter la bande 2
CL2
1,53 m
CL1
S.ir
Co.k
GC2
La série d'arbuste se renouvelle
Co.k
GC2
Phillyrea angustifolia
GC3
Bande 11 m 0,5 m
Co.k
GC2
P.an
GC2
GC3
Salix rosmarinifolia
S.ro
Co.k Co.k
Co.k Co.k Co.k
Salix irrorata
GC2
S.ro Co.k
Chemin pmr créé
Co.k
S.ir
GC2
S.ro
Archipel - Île des capucins Module C4 Haie arbustive contre clôture CL1 d'une hauteur de 1m50 - Mi-ombre
PHASE Projet
Juillet 2017
ECHELLE 1/100
BASE PAYSAGISTE Mandataire
es c apu
cré é
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
A3
Cornus 'kelsey'
Co.k
Fatsia japonica
ge
F.ja
tela Pla
F.ja
ECHELLE 1/100
Juillet 2017
Mélange de vivaces : Alchemilla mollis (80%) Commelina tuberosa (20%)
CL
1
CL1
CL
1
CL1
CL
1
CL1 CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1 CL1 CL1
CL1 CL1
CL1
1
on rien CL1
Tab le
CL1
F.ja
CL1
H.s
y
Co. k
F.ja Co. Co.k k
H.s
H.s
y
y
k
y H.s
CL1
Co.
CL1
Co. k
CL1
H.s
Co. k Co. kCo. k
y H.s
CL1
C Co. o.k Co. k F.ja k
F.ja
H.s
kCo. Co. k k
CL1
F.ja
GC1
F.ja
GC1
F.ja
GC1
y
GC1
y H.s y yC o.k
GC1
H.s
GC1
H.s
F.ja
GC1
F.ja
yC o.k Co. kC o.k
GC1
y
H.s
GC1
y H.s
k
PORTAIL TYPE C
Co.
k
CL1
Béton
Co.
Co. k Co. k
k Co.k Co.
k
C Co. o.k k Co.
F.ja
Co. Co. k k
Co. Co. k kCo.
F.ja
C Co. o.k kC o.k
H.s
GC1
Co. H.s
y y
H.s y Co. Co.k kC o.k
y
kCo. H.s k y Co. k Co. k H.s y H.s y H.s y
H.s
Co.
H.s
y
F.ja
y H .s
y
H.s y
H.s
H.s H y .sy H.s y Co. k Co.Co.k Co. Ck k o.k
y H.s
F.ja
y
F.ja
H.s F.ja
y
k Co. k Co. k
GC1
Co. k Co. k
F.ja
F.ja
l C.i y H.s y H.s y y H .s
H.s
Co.
GC1
H.s
y
F.ja
F.ja
y
y
H.s
y
H.s
F.ja
y H.s
y
Co. k Co. Co.k k
y H.s
y H.s
Co. k
y
k
H.s y
kCo.
CL1
CL1
CL1
BASE PAYSAGISTE Mandataire
CL1
CL1 CL1
y
CL1 CL1 CL1
CL1 CL1
H.s
CL1
H.s
y y H .sy
A2
H.s
H.s
Co. Co. C k k o.k y
H.s
y H.s
H.s
y
H.s
y H .sy
CL1
H.s y y H.s y
H.s
y
CL1
y H.s
k Co.
y
y
H.s
H.s
H.s
3 ire
Domaine du château - Île des gibbons à favoris blanc Module I SAS entre les Archipels et le domaine du Château - Ombre profonde
PHASE Projet
PARC ANIMALIER ET BOTANIQUE DE BRANFÉRÉ
ECHELLE 1/100
Juillet 2017
BASE PAYSAGISTE Mandataire
Domaine du château - Enclos des animaux domestiques Module J1 Restauration de la haie bocagère - Mi-ombre R.ca
Ilex aquifolium ' castaneifolia'
CL1
CL1 CL1
CL1
CL1 CL1
CL1
CL1
I.'ca'
A
CL1
I.'ca'
S.al
I.'ca'
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
I.'ca'
S.al S.al
CL1 CL1
CL1 CL1 CL1
CL1
CL1
I.'ca'
CL1
CL1 CL1
PE
S.al
CL1 CL1
CL1 CL1 CL1
CL1 CL1
IL
P.py
Pyrus pyraster
O.ca
Ostrya carpinifolia
S.au
Sorbus aucuparia
Q.ro
Quercus robur
Crataegus monogyna
C.mo
Arbre existant
17.5 m
Fossé existant
4.5 m
C.sa
C.mo
C.ma
R.ca
C.ma
R.ca R.ca
C.ma
C.mo
M.ge
C.sa
C.ma
1.5 m
C.sa
M.ge
C.ma
1.0 m
C.ma
C.ma
C.sa
1.2 m
Suppression de la volière (hors marché)
Végétation existante
Ø5,3 m
6.0 m
5.0 m
Végétation existante
Complément arbustif
A
TY
PO
CL1
S.al
CL1
S.al
Acer campestre
Mespilus germanica
M.ge
RTA
I.'ca'
CL1
CL1
I.'ca'
S.al
I.'ca'
I.'ca'
I.'ca' I.'ca'
S.al
S.al
S.al
CL1
S.al
S.al
I.'ca'
A.ca
Cornus mas
C.ma
CL1
I.'ca'
CL1 CL1
I.'ca'
Cornus sanguinea
C.sa
CL1
CL1 CL1
SAS
CL1
CL1
CL1
I.'ca'
CL1 CL1
Module I1
CL1
PE
TY
I.'ca'
I.'ca'
CL1
AIL
RT
PO
CL1
CL1
Symphoricarpos albus
Rosa canina
CL1
CL1 CL1
Couvre-sol : Hedera helix 'bellecour'
y
F.ja
m
.50 ht.1
DETAIL DE PLANTATION H
nc
ECHELLE 1/100
Juillet 2017
mo
Po
dula
CL1 CL1
PHASE Projet
PARC ANIMALIER ET BOTANIQUE DE BRANFÉRÉ
Ba
DETAIL DE PLANTATION - MODULE G
CL1
Détail de plantation G A adapter selon végétation existante
rtail
CL1
S.ro
S.al
CL1
CL1
CL1
PORTAIL TYPE C CL1 CL1
CL1
CL1
y Co. Co. k kC o.k
S.ro S.re
S.ro
I.'ca'
H.s
Co.
Co.
S.ro
kCo. Co. k k
CL1
A23
S.ro
S.re S.re
CL1
H.s
F.ja y
F.ja
H.s y
H.s
GC1 GC1
F.ja
GC1
S.ro
S.re S.reS.re
y
H.s
GC1 GC1
GC1
H.s
y H.s
GC1
GC1
S.ro
S.ro
H.s
S.ro S.re
GC1
GC1
S.ro
S.ro
S.ro
S.ro
GC1
S.ro S.ro
CL1
S.ro
S.ro
y H.s
y
Point de vue créé
GC1 GC1 GC1 GC1
GC1 GC1
S.ro S.ro S.ro
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
y
y
F.ja
GC1
S.ro
GC1 GC1 GC1
GC1
S.ro
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
GC1
H.s
S.ro S.ro
GC1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
F.ja
CL1
CL1
H.s
S.ro
GC1
CL1
CL1
CL1
CL1
S.re S.re S.re
F.ja
S.ro
S.ro
ton
Bé
S.ro
S.ro
S.ro
H.s
S.ro S.ro
CL1
Co. Co.k k Co. k
S.ro S.ro
cs
Ban
CL1
CL1
CL1
d'o
S.ro
H.s
S.re S.re S.reS.re
yCo. Co. k k Co. k
S.ro
S.ro
H.s
S.ro
S.re S.re S.ro
BASE PAYSAGISTE Mandataire
Hibiscus syriacus 'oiseau bleu'
H.sy
tati
marché)
PHASE Projet
PARC ANIMALIER ET BOTANIQUE DE BRANFÉRÉ
Dé ta A a il de exis dapte planta ti tan r se lon on H te vég éta tion
Mélange de vivaces : Juncus effusus Carex morrawii 'mosten' Iris laevigata
GC1_Garde-corps, pieux ronds, filet, cable
CL3 CL3
CL3 CL3 CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
Les Archipels - Enclos des hippopotames pygmées Module H SAS contre CL1 d'une hauteur de 1m50 - Soleil
Salix repens
GC1
GC1
Détail de plantation E3 A adapter selon végétation existante
DETAIL DE PLANTATION - MODULE E3
CL 1 pie _Clô tu u cyc x batt re, lon e,h us, t.1.5 0m
S.re
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
GC1_Garde-corps, pieux ronds,
BASE PAYSAGISTE Mandataire
Les Archipels - Plan d'eau des pélicans Détail G Vivaces de berges - Mi-ombre Salix rosmanifolia
CL3
CL3
GC1
CL
A5
GC 1 pieu _Gard filet, x rond e-corp s, cab s, le
GC 1 pieu _Gard filet, x rond e-corp s, cab s, le
ECHELLE 1/100
Juillet 2017
CL3
CL3
CL3
CL3
CL 3
CL
GC1
GC1
GC1
GC1
GC1
GC1
CL3
CL3
CL3
CL1
CL1
CL1
I.'ca' CL1
CL1 CL1 CL1
CL1 CL1 CL1 CL1 CL1 CL1 CL1 CL1 CL1 CL1 CL1 CL1 CL2
CL1 CL1 CL2
CL1 CL2
CL1 CL1
CL2
CL2 CL2 CL2
CL2 CL2
CL2 CL2
CL2 CL2 CL2
Plantation arbustive le long de la clôture (Module C3)
CL2 CL2
CL2 CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
DETAIL DE PLANTATION I
PHASE Projet
PARC ANIMALIER ET BOTANIQUE DE BRANFÉRÉ
Juillet 2017
ECHELLE 1/100
BASE PAYSAGISTE Mandataire
DETAIL DE PLANTATION - MODULE J1
O.bu
Osmanthus x burkwoodii
L.xy
Lonicera xylosteum
O.su
PHASE Projet
PARC ANIMALIER ET BOTANIQUE DE BRANFÉRÉ
ECHELLE 1/100
Juillet 2017
BASE PAYSAGISTE Mandataire
Domaine du château - Enclos des maras, cerfs hydropotes, wallaby, muntjac de Chine Module K1 Massif - Mi-ombre
Domaine du château - Enclos des maras, cerfs hydropotes, wallaby, muntjac de Chine Module J2 Haie arbustive contre une clôture CL1 d'une hauteur d'1m50 - Mi-ombre
O.bu
Osmanthus suavis
Osmanthus x burkwoodii
O.su
Lonicera xylosteum
L.xy
Osmanthus suavis
Couvre-sol : Hedera helix 'bellecour'
CL
1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL
CL1
L.xy
L.xy
L.xy O.bu O.su L.xy O.su O.su O.su O.bu L.xy O.bu L.xy
L.xy
1 CL
1
L.xy O.su L.xy O.su
1
CL1
GC
CL1
CL
1 CL
1
GC
1
GC
1 GC
1
GC
1
0,79 m
GC
1
GC
1
0,8 m
1
CL1
GC
CL1 0,7 m
CL
1
O.su
O.bu
0,8 m
CL
1
O.bu
CL
O.bu
1
O.su
O.su
CL1
L.xy
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
O.bu 0,5 m
0,8 m 0,98 m
DETAIL DE PLANTATION - MODULE J2
PARC ANIMALIER ET BOTANIQUE DE BRANFÉRÉ
PHASE Projet
Juillet 2017
ECHELLE 1/50
BASE PAYSAGISTE Mandataire
DETAIL DE PLANTATION - MODULE K1
1
GC1 GC1
GC1
GC1 GC1 GC1 GC1
GC1 GC1
GC1 GC1 GC1
GC1
R.ac R.ac R.ac
GC1
PHASE Projet
PARC ANIMALIER ET BOTANIQUE DE BRANFÉRÉ
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3 CL3
R.ac R.ac R.ac
R.ac
R.ac R.ac R.ac CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
3
CL
3
CL 3
CL
3
CL 3
CL
3
CL
3
CL3
R.ac
R.acR.ac R.ac
R.ac R.ac R.ac
R.ac
R.acR.ac R.acR.ac R.ac R.ac CL3
CL3
CL3
R.ac
3
CL
R.ac R.ac R.ac R.acR.ac
CL
GC1
R.ac
S.ro
0
R.ac R.ac
R.ac R.ac
pactée
com grave
DETAIL DE PLANTATION - MODULE E1-E2
.0 3
CL 3
CL 3
CL
R.ac R.ac R.ac R.ac R.ac
R.ac R.ac
6
80
odu lair e
GC1
CL3
CL3 CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
F.ja
CL3
CL3
Ba nc m
S.re
CL3
CL3
R.ac
F.ja
CL3
CL3
R.ac
Co. k
CL3
CL3
R.ac
CL1
CL3
CL3
CL3
k
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
F.ja
CL3
S.re
CL3
P.op P. op
CL3
S.re S. re P.op S.re S.re
P.op
CL3
CL3
P.op
CL3
Ace r
CL3
P.op
CL3
R.ac
Vigilance racine des arbres existants Chemin surélevé
F.ja
GC1
GC1
GC1
CL3
GC1
CL3
GC1
CL3
GC1
CL3
GC1
CL3
R.ac
CL3
CL3
CL3 CL3
CL3 CL3
CL3
R.ac
CL1
GC1 GC1
GC1
GC1
CL3
CL3
CL3
CL3
CL1
vue
Poin t de
CL3
GC1
GC1
80
GC1
GC1
CL3
P.op
CL3
S.re P.op
CL3
S.re
CL3
P.op
CL3
P.op S.re
CL3
GC1
GC1
GC1
CL3
sac Sali charin u x to rtuo m sa
A4 1 il E Déta CL3
S.re S.re
S.re
CL3
S.reS. P. re op S.re
P.op
GC1
CL3
P.op
CL3
P.op
CL3
CL3
F.ja
GC1
CL3
y
GC1
CL3
H.s
GC1
CL3
CL1
GC1
CL3
CL1
GC1
CL3
CL1
GC1
CL3
CL3
CL1
GC1
CL3
P.op S.re
P.op P.op P.op S.re S. S.re re
GC1
CL3
CL1
GC1
CL3
CL3
F.ja
GC1
CL3
F.ja
GC1
CL3
CL3
F.ja
GC1
P.op
S.re S.reS.re GC1
CL3
y
GC1
CL3
H.s
GC1
CL3
CL3
y
GC1
GC1
GC1
CL3
CL3
CL3
H.s
GC1
CL3
Co. kCo.k Co. k
GC1
CL3
GC pie 1_Ga a rd file ux ro e-co t, c able nds, rps,
GC1
CL3
S.re
CL3
P.op
P.op
GC1
CL3
B2
GC1
CL3
69
Ile d
Déta A a il de p d exis apter lantatio selo tan n te n vé E1 géta tion GC1
CL3
R.ac R.ac
R.ac
R.ac
R.ac
R.ac
R.ac R.ac
R.ac R.ac
CL3
CL3
CL3
bois
GC1
CL3
S.re S.re S.re
S.re
P.op
GC1
GC1
CL3
S.re
GC1
P.op
CL3
CL3
CL3
CL3
CL3
S.re
CL3
P.op
CL3
CL3
CL3
S.re
CL3
S.re P. op S.re S.re P.op
CL3
GC1 GC1
GC1
GC1 GC1
CL1
CL3
7
Suppression du chemin et ensemencement
CL1
CL3
Banc
CL3
R.ac Ruscus aculeatus
cyclone,ht.1.50m
CL1
GC1 GC1 GC1
CL3
0 0.0
Ceratostigma plumbaginoides
S.re Salix repens
CL1
Physocarpus opulifolius
P.op
Les Archipels - Île des capucins Module E3 Renforcement arbustif contre clôture CL3 d'une hauteur de 0.80m - Ombre profonde
CL1
GC 1 pieu _Gard filet, x rond e-corp s, cab s, le
Les Archipels Module E1 Renforcement de la végétation existante contre clôture CL3 d'une hauteur de 0.80m - Mi-ombre
PARC ANIMALIER ET BOTANIQUE DE BRANFÉRÉ
PHASE Projet
Juillet 2017
ECHELLE 1/50
BASE PAYSAGISTE Mandataire
Domaine du château - Espace alimentation Module L Massif d'hortensia - Ombre
Domaine du château - Enclos des chameaux, yacks, mouton du Cameroun Module K2 Massif sur butte - Soleil - Mi-ombre
H.qu Hydrangea quercifolia
0,8 m
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
0,5 m
CL2
0,6 m
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2 CL2
CL2
CL2
C.sa
0,6 m
H.qu H.qu H.qu H.qu H.qu H.qu H.qu
CL2
CL2
H.qu H.qu H.qu H.qu H.qu H.qu
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
CL2
Phillyrea angustifolia
P.an
CL2
Osmanthus suavis
O.su
CL2
Cornus mas
C.ma
Bâtiment
O.su
C.ma
Plantation de chataigniers houppier remonté à 3.50m
C.ma P.an
O.su
O.su O.su
P.an
C.sa
O.su
C.ma C.ma
O.su
P.an
P.an
C.ma
C.ma
O.su
O.su
C.ma
O.su
CL1
CL1
C.sa
P.an
CL1
CL1
C.ma
O.su
C.sa
P.an
C.ma
DETAIL DE PLANTATION K2
CL1
O.su CL1
C.ma
CL1
CL1
CL1 CL1
CL1
P.an
O.su
C.sa
CL1
CL1
CL1
O.su
PHASE Projet
PARC ANIMALIER ET BOTANIQUE DE BRANFÉRÉ
CL1
P.an
O.su
CL1
O.su
CL1
CL1
C.ma
CL1
O.su
O.su
CL1
Complément arbustif sur la butte Détail K2 A adapter selon la végétation existante
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
O.su
ECHELLE 1/100
Juillet 2017
BASE PAYSAGISTE Mandataire
DETAIL DE PLANTATION - MODULE L
L.pu
Osmanthus heterophyllus
O.he
65.00
Aucun abattage ou débroussaillage ne sera accepté sans accord préalable du maître d'oeuvre et du maître d'ouvrage.
CL1
CL1
CL1 CL1 CL1 CL1 CL1
CL1
O.he
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
L.pu
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1 CL1 CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
L.pu
L.pu
L.pu CL1
CL1
DETAIL DE PLANTATION M
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
PHASE Projet
PARC ANIMALIER ET BOTANIQUE DE BRANFÉRÉ
Lonicera xylosteum
P.sp
CL1
L.pu O.he
L.pu L.pu L.pu L.pu O.he O.he L.pu L.pu L.pu O.he O.he O.he L.pu L.pu L.pu O.he CL1
1m
0,6 m
CL1
O.he L.pu
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
ECHELLE 1/50
Juillet 2017
P.sp
P.sp
P.sp
CL1
CL1
BASE PAYSAGISTE Mandataire
P.sp
C.av
C.mo
P.sp P.sp
P.sp
P.sp
C.av C.av
C.av
C.mo
C.mo
P.sp
PHASE Projet
PARC ANIMALIER ET BOTANIQUE DE BRANFÉRÉ
ECHELLE 1/50
Juillet 2017
BASE PAYSAGISTE Mandataire
Domaine forestier - Enclos des loups à crinière Module P1 Haie de part et d'autre d'une clôture CPI - Ombre
Ilex aquifolium 'castaneifolia
I.'ca'
I.'ca'
CL1 CL1
CPI
CL1 CL1 CL1 CL1 CL1 CL1
L.xy
Lonicera xylosteum
L.xy
L.xy I.'ca' I.'ca' I.'ca' L.xy
S.al
CPI
CPI
L.xy I.'ca'
S.al
L.xy
L.xy
S.al
CPI
L.xy
C.mo
C.av
P.sp
DETAIL DE PLANTATION - MODULE N
0,5 m
L.xy
P.sp
CL1
0,5 m
L.xy
C.mo
C.av C.mo
P.sp
C.av
4.
Couvre-sol : Hedera helix 'belle cour'
L.xy
C.av
1,47 m
% 06
Domaine forestier - Enclos des loups à crinières Détail O SAS - Ombre L.xy
CL1
L.pu
L.pu
CL1
CL1
CL1
O.he O.he O.he L.pu O.he
CL1
CL1
CL1
O.he
O.he L.pu O.he CL1
CL1
L.pu
L.pu
CL1
D
L.pu O.he
L.pu L.pu
CL1
CL1
CL1
L.pu
CL1
CL1
PORTAIL TYPE
L.pu
CL1
CL1
CL1
L.pu O.he
CL1
CL1
O.he L.pu O.he L.pu O.he L.pu
O.he
Végétation à adapter et intercaler selon la végétation existante.
SAS
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
Corylus avellana
C.av
CL1
CL1
Crataegus monogyna
C.mo
CL1
CL1
BASE PAYSAGISTE Mandataire
CL1
CL1
ECHELLE 1/50
Juillet 2017
CL1
CL1
Prunus spinosa
P.sp
Luzula sylvatica
Lonicera x purpusii fragrantissima
Module M CL1
PHASE Projet
PARC ANIMALIER ET BOTANIQUE DE BRANFÉRÉ
Vallée Indienne Module N Renforcement arbustif - Mi-ombre
Vallée Indienne - Espace marin Module M SAS - Mi-ombre
CPI
S.al
CPI
S.al
CPI
S.al
CPI
CPI
L.xy
L.xy I.'ca'
CPI
CPI
S.al I.'ca' L.xy
L.xy
Symphoricarpos albus
S.al
CPI
L.xy
L.xy
S.al CPI
CPI
S.al CPI
S.al CPI
L.xy I.'ca'
S.al CPI
S.al I.'ca' I.'ca' I.'ca'
L.xy
CPI
CPI
S.al
L.xy
S.al
CPI
CPI
L.xy
S.al
0,8 m
CL1
CL1
L.xy
CL1 CL1 CL1 CL1
L.xy
CL1 CL1
Module O
CL1
1
CL
CPI CPI
1
CL
L.xy
CPI CPI
1
CL
CPI
1
CL
CPI CPI
1
CL
CPI
Domaine forestier - Enclos des loups à crinière et tamarins pinchés Module P2 Haie arbustive contre un clôture CPI - Ombre
CPI
CL 1
CPI
1 1 CL
CPI CPI CPI
CPI
CL 1
TY
1
1
CL CL
AIL
CL
1
CL 1
RT
1
CL
CPI
1
CL
L.xy CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
L.xy
S.al
Symphoricarpos albus
CL1
CL1
CL1
CL1
CPI CPI
L.xy CL1
CL1
CL1
CL1
CL1
CPI
L.xy CL1
CPI CPI CPI
0,5 m
CPI
CL1
CL1
CL1
I.'ca'
CPI
CL1
CPI
ECHELLE 1/50
Juillet 2017
BASE PAYSAGISTE Mandataire
CPI
CPI
CPI
CPI
CPI
CPI
L.xy
L.xy I.'ca'
CPI
CPI
CPI
L.xy
S.al CPI
CPI
S.al CPI
S.al CPI
L.xy I.'ca'
S.al CPI
CPI
CPI
S.al
CPI
CPI
S.co
DETAIL DE PLANTATION - MODULE P1-P2
PARC ANIMALIER ET BOTANIQUE DE BRANFÉRÉ
E. 68.53
PHASE Projet
ECHELLE 1/50
Juillet 2017
La plaine Africaine - Enclos des hippopotames pygmées Module Q1 Grimpante et haie contre clôture CL1 d'une hauteur de 1m50 - Ombre
A.ve A.it
R.ac
Ruscus aculeatus
A.ka
P.tr
P.to
P.to P.to
0,15 m 0,5 m
C.ar CL1
C.ar CL1
C.ar CL1
C.ar CL1
C.ar CL1
C.ar CL1
C.ar CL1
C.ar CL1
C.ar CL1
C.ar CL1
C.ar CL1
C.ar CL1
C.ar CL1
C.ar CL1
C.ar CL1
C.ar CL1
P.to
C.gi
P.to
P.tr
G.tr
P.tr
P.to
A.it
P.tr
A.it
CEL
Côté chemin
G.tr C.gi
P.to
R.ac R.ac R.ac R.ac R.ac R.ac R.ac R.ac R.ac R.ac R.ac R.ac R.ac R.ac R.ac R.ac R.ac R.ac R.ac R.ac R.ac R.ac 0,7 m
C.gi C.gi
P.tr
C.gi
P.to
A.it
P.tr
P.to
CEL
La plaine Africaine - Enclos des zèbres et autruches Module Q2 Renforcement d'une haie persistante - Soleil
A.ka
P.to
G.di
Côté enclos
1m
Détail R1
P.to CEL
C.gi
Détail R1
C.gi
A.ka
A.lo
P.to
C.gi
CEL CEL
C.gi
C.gi
CEL
G.tr
CEL
G.di
Phillyrea angustifolia
P.tr
P.to
CEL
P.an
P.to
La plaine Africaine - Enclos des girafes, grands couodu, damallisque, gnou bleu, oryx Module R1 Massif - Soleil CEL
CEL
P.tr
CEL
P.to
CEL
CEL
P.tr
CEL
CEL
Haie déjà existante
P.tr
0,5 m 1m
C.gi
C.gi P.to
C.gi
P.an P.an P.an P.an P.an P.an P.an P.an P.an P.an P.an P.an P.an P.an P.an P.an P.an P.an P.an P.an P.an P.an
P.tr
Caesalpina giliesii
P.to
Pittosporum tobira
G.tr
A.lo
Poncirus trifoliata
C.gi
P.to
C.gi C.gi
P.to
C.gi
C.gi
CEL
Clematis armandii
C.ar 0,5 m
BASE PAYSAGISTE Mandataire
4%
PHASE Projet
L.xy I.'ca' I.'ca' I.'ca' L.xy
S.al
CPI
3.3
PARC ANIMALIER ET BOTANIQUE DE BRANFÉRÉ
L.xy
S.al
CPI
CL1
0,8 m
DETAIL DE PLANTATION O
Lonicera xylosteum
L.xy
CPI
1
CL1
CPI CPI
CPI
CPI
L.xy
CL
CL1
Ilex aquifolium 'castaneifolia
I.'ca'
CPI CPI CPI CPI
L.xy
PO
1
C
CL
L.xy
PE
CPI
L.xy
CL
SAS
CEL
CEL
CEL
0,8 m
CEL
Prairies fleuries
CEL
CEL
CEL
DETAIL DE PLANTATION - MODULE Q1-Q2
PARC ANIMALIER ET BOTANIQUE DE BRANFÉRÉ
PHASE Projet
Juillet 2017
ECHELLE 1/50
BASE PAYSAGISTE Mandataire
DETAIL DE PLANTATION R1
PARC ANIMALIER ET BOTANIQUE DE BRANFÉRÉ
PHASE Projet
Juillet 2017
ECHELLE 1/100
BASE PAYSAGISTE Mandataire
La plaine Africaine - Enclos des girafes, grands coudou, damallisque, gnou bleu, oryx Module R2 Massif - Soleil
Lonicera xylosteum CL4
CL4
CL4
CL4
CL4
CL5
CL5
CL4
CL4
CL4
CL4
CL4
CL4
CL4
CL4
CL4
CL4
CL4
CL4
CL4 CL4
CL5
CL5
CL4 CL4
CL4
CL5
Pittosporum tobira
Luzula sylvatica CL4
CL5
L.xy
CL5
Caesalpinia giliesii
é nforc
P.to
C.gi
CL5
Caesalpina giliesii
CL5
Poncirus trifoliata on re G az
P.tr
C.gi
Les Archipels - Entrée du SAS des lémuriens Détail S
CL4
CL4
SAS bois couvert CEL
CEL
CEL
CEL
CEL
CEL
CEL
CEL
CEL
CEL
CEL
CEL
CEL
CEL
Plantations arborées et arbustives Détail R2
CEL
CEL
CEL
CEL
CEL
Détail R2
CEL
L.xy L.xy
G. CP
L.xy
CEL
A24
CEL
L.xy
CEL
CEL
CEL
GC3 GC3 GC3 GC3 GC3
GC3 GC3 GC3
C.gi
GC3 GC3
C.gi
GC3 GC3
L.xy
GC3
P.to
C.gi
GC3
C.gi
GC3
L.xy
GC3
L.xy
P.to
GC3_Garde-corps, poteaux carrés, grillage, cable
GC3
G. CP
GC3
C.gi
C.gi
GC3
L.xy C.gi
L.xy
Détail de plantations S
GC3
P.to P.to
C.gi C.gi
C.gi
L.xy
P.to P.to
GC3
P.to
P.tr
GC3
G.tr
GC3
P.to
C.gi
C.gi L.xy
CEL
P.to
C.gi
C.gi
C.gi
L.xy L.xy
CEL
K.pa
GC3
P.to
P.to P.to
P.tr
L.xy
G. CP
L.xy L.xy
Chemin technique
CEL
P.to
CEL
P.to
Clôture éléctrique (hors marché)
CEL
P.tr
P.to
P.to
P.to
P.to
GC3
C.gi
L.xy
CEL
P.to
P.to P.to
P.to P.to
GC3
C.gi
L.xy
P.to
P.tr
GC3
GC3 GC3
GC3
P.to CEL
G.tr
GC3 GC3 GC3 GC3 GC3
GC3 GC3
C.gi
C.gi
GC3
CEL
G.tr
P.to
P.to P.to
P.to
C.gi
L.xy
GC3
C.gi
CEL
P.to
P.to
C.gi
GC3
L.xy
GC3
P.to
K.pa
P.to
G. CP
L.xy
L.xy
CEL
GC3
C.gi
GC3
GC3 GC3 GC3 GC3
Platelage bois sur terrasse existante
GC3 GC3 GC3 GC3
GC3 GC3
GC3 GC3
DETAIL DE PLANTATION - MODULE R2
le domaine du château - Cascade des loutres Détail T
PHASE Projet
PARC ANIMALIER ET BOTANIQUE DE BRANFÉRÉ
S.ro
Salix rosmarinifolia
S.re
Salix repens
Cornus mas
C.ma
ECHELLE 1/100
Juillet 2017
Cornus stolonifera 'flaviramea'
C.st
DETAIL DE PLANTATION S
gibbons blancs PHASE à favoris ECHELLE Juillet 2017
PARC ANIMALIER ET BOTANIQUE DE BRANFÉRÉ
Mélange de vivaces lagune épurative : Typha latifolia (40%) Lythrum salicaria (60%)
Cornus 'kelsey'
Co.k
BASE PAYSAGISTE Mandataire
de lauriers sur 50cm
lagunage C.st C.ma
S.ro
S.ro
C.st
S.ro C.st C.st C.ma
C.st
C.st
C.ma
Engazonnement
C.st
S.ro S.ro
C.st C.ma
GC1 GC1
GC1
GC1
C.st
C.st
S.ro
GC1
GC1 GC1
GC1 GC1
C.st
GC1
S.ro S.reS.ro S.re S.re S.re S.re Co.k Co.k Co.k S.ro Co.k Arrivée Co.k C.st d'eau masquée Co.k Co.k sous une pierre plate S.re C.ma Co.k
GC1
GC1 GC1 GC1
GC1 GC1
GC1 GC1
GC1
GC1
GC1
S.re S.re Co.k
GC1
Détail de plantation T GC1
C.st
GC1
S.ro
S.re
GC1
GC1
Rivière des loutres
GC1
GC1
GC1
GC1
GC1
GC1
GC1
GC1
GC
1
GC1
GC1
GC
1
GC1
GC1
GC1
GC1
GC1
GC1
GC1
GC1
GC1
GC1
C.st Co.k S.re
GC1
S.re
S.re
C.st Co.k S.re Co.k C.st C.st S.ro
GC1
GC1
Loutres
GC1
S.re S.re S.re S.re S.re Co.k Co.k S.re S.ro S.re Co.k C.st
Co.kS.ro
GC1
Echelle
Co.k
S.ro
Co.k
GC1
1,32 m
0,96 m
S.re S.re
GC1
S.ro 1,34 m
1,23 m
1,34 m
GC1
S.reS.re Co.k Co.k S.re S.reS.re Co.k C.st Co.k 1,29 m S.ro
GC1
0,81 m 0,96 m
GC1
C.ma
Co.k S.re
Toboggan béton
cs et rochers existants à conserver
C.st
Canalisation CASCADE DES d'alimentation S.ro S.ro LOUTRES Dépose et comblement du catiche existant
Ø200
PISCINE
Rampe bois
Remplacement de la pompe existante
GC1
1
GC1
GC1
GC1
GC
Ø100
DETAIL DE PLANTATION T
GC1
GC1
GC1
GC1
GC1
PARC ANIMALIER ET BOTANIQUE DE BRANFÉRÉ
GC1
GC1
GC1
GC1
GC1
GC1
GC1
PHASE Projet
GC1
GC1
GC1
GC1
GC1
Juillet 2017
ECHELLE 1/75
BASE PAYSAGISTE Mandataire
Carnet de détails de plantations réalisé dans le cadre du projet du parc animalier et botanique de Branféré
Projet
1/100
BASE PAYSAGISTE Mandataire
les chemins
Carnet de détails techniques VRD réalisé dans le cadre du projet du parc animalier et botanique de Branféré
les ouvrages bois
Carnet de détails techniques des ouvrages bois réalisé dans le cadre du projet du parc animalier et botanique de Branféré
Séminaire d’initiation à la pratique de la recherche en paysage Création d’un observatoire des paysages sur les savanes de la côte Ouest de l’île de la Réunion
Le séminaire « Formation à la pratique de recherche », que nous avions réalisé lors de notre quatrième et dernière année de formation à l’ENSAP Bordeaux et encadré par le laboratoire UMR Passages, vise à nous initier aux méthodologies de la recherche en matière de paysage. Ce séminaire est un passage fortement recommandé si nous souhaitons par la suite poursuivre une formation doctorale. Au-delà de l’aboutissement de la recherche, le séminaire permet de nous pousser à construire une problématique et à élaborer des méthodes d’investigation sur le terrain. La recherche s’articule donc entre une théorisation des données recueillies et une confrontation de ces données sur le terrain. Le séminaire 2016/2017 porte sur la question des observatoires et de l’observation avec pour objectif de trouver des méthodes d’observations innovantes et inédites sur les paysages des savanes sous le vent de l’île de la Réunion. Le projet est encadré par l’équipe des enseignants chercheurs : Bernard Davasse, Serge Briffaud et Rémi Bercovitz et par Morgane Robert, paysagiste diplômée en 2016, entamant un doctorat dont le sujet de thèse porte sur les paysages des savanes et des ravines de la côte ouest de la Réunion. Nous avons la chance d’avoir déjà sur place des contacts actifs dont Quentin Rivière, un étudiant Réunionnais, et deux professeurs en géographie Béatrice Moppert et Christian Germanaz permettant de rester en contact constant avec l’île. Le projet sur les paysages des savanes sous le vent de l’île de la Réunion s’inscrit dans des travaux de recherches antérieurs : le premier en 2001 et 2002 à la demande du Conservatoire du Littoral et le Direction Régionale de l’Environnement ; le second en 2015 commandité par le Conservatoire du Littoral, piloté par l’UMR Passages et coordonnée par Serge Briffaud. Notre travail s’inscrit dans la continuité de ces travaux qui nous ont permis d’acquérir la majorité des connaissances requises sur les paysages de la Réunion avant d’entamer notre travail sur l’observation. La création d’un observatoire des savanes de la côte ouest de la Réunion permettrait d’enrichir les connaissances sur l’histoire des milieux et des paysages, de mieux comprendre les changements de perceptions et d’usages sur la savane et de connaître les pratiques existantes qui permettent d’entretenir ce paysage. La mise en place d’un observatoire n’a pas pour seul but d’enrichir la connaissance, mais surtout la compréhension de ces milieux dans une perspective de projet et de gestion de ceux-ci. Notamment avec l’objectif de mettre en place un plan de gestion sur le Cap la Houssaye dont le conservatoire du Littoral vient d’acquérir une partie du parcellaire. Notre travail s’étend sur l’ensemble des savanes de la côte ouest mais le Cap la Houssaye sera le site d’expérimentation principal pour nos méthodes d’observations.
Nous avons réalisé des fiches paysages-ateliers permettant la mise en place de l’observatoire des paysages. Ces documents regroupent l’ensemble des problématiques traitées, l’ensemble des points de vue sélectionnés et le protocole d’observation de chacun d’entre-deux.
Nous avons réalisé une méthode de travail détaillée permettant aux chercheurs reprenant le travail de suivre le déroulement du séminaire et la mise en place de l’observatoire des paysages, en vue d’une passation du travail réalisé
Nous avons mis en place un outil nous permettant d’analyser le terrain par unité spatial. Cet outil est le paysage-atelier, il désigne une portion du territoire en lien avec une problématique définie. Pour chaque PA nous avons réalisés des fiches permettant l’observation du paysage par une entrée problématisée
Dans chaque paysages-ateliers, nous avons sélectionné des photos, correspondant à des points d’observations. Chaque photo est détaillée, décrite et interprétée. Les points d’observations ont été géoréférencés afin de faciliter la réitération de photo si nécessaire. Un protocole d’observation a été mis en place pour chaque point
Séminaire d’initiation à la pratique de la recherche en paysage Création d’un observatoire des paysages sur les savanes de la côte Ouest de l’île de la Réunion
Etant donné le peu de temps que nous avions, il fut difficile de mettre en place un observatoire des paysages. Nous avons donc créé un outil donnant toute les clés pour mettre en place l’observatoire des savanes de la côte ouest de l’île de la Réunion directement sur place. Nous avons mis en place des Paysages-Ateliers, portion du territoire sur lequel s’applique majoritairement une problématique à observer. Chaque Paysage-Atelier est décliné sous forme de fiches récapitulant la problématique influant sur le paysage, la description de celui-ci et le protocole d’observation. Certains Paysages-Ateliers sont multi-sites, des problématiques s’exerçant sur plusieurs lieux différents. Sur chaque Paysage-Atelier, nous avons définis des points d’observations où nous avons pris une photographie, permettant d’observer un phénomène précis. Les photos prises sont à reconduire dans le temps, elles débutent une série ou en poursuivent une autre.
«PAYSAGE-ATELIER» 1
Pratiques Pastorales et exPérimentation de brûlage dirigé et défrichage
Cap la Houssaye
Exemple du début d’une fiche PA : première page, cartographie de la côte ouest de l’île de la Réunion avec la position de chaque site concerné par le PA
Chaque paysages-ateliers a été créé pour une problématique. Chaque fiche s’organise de la même manière : une première page avec une cartographie de la côte ouest de l’île de la Réunion, spatialisant le PA ; une page résumé du PA pour faciliter son utilisation sur le terrain ; une ou plusieurs pages en suivant décrivant le PA et détaillant la problématique. Elles sont accompagnées d’éléments graphiques facilitant la compréhension ; une cartographie intermédiaire situant plus précisément le site sur lequel ont été choisis les points d’observations ; une cartographie précise avec les points d’observations géoréférencés ; au moins deux pages détaillant chaque point d’observation avec une fiche d’identité par point, la photographie détaillée et légendée, et les photos réitérées si elles le sont. Certains PA sont soumis à d’autres protocoles d’observations que par la photographie : des relevés botaniques, sociologiques, historiques, météorologiques ...
PA 1 - Pratiques Pastorales et exPérimentation de brûlage dirigé et défrichage
Cap la Houssaye
Objectifs : observer l’impact sur les dynamiques végétales de deux modes de gestions différents, le brûlage dirigé et les défrichages manuel et mécanique au sein de la savane : - Le premier mode de gestion est basé sur l’observation scientifique de l’expérience de brûlage dirigé réalisée le 26 Novembre 2016. Le but est de pouvoir appréhender la reprise et le comportement végétal suite à la gestion par le binôme feu et pâturage. - Le second mode de gestion se base sur l’observation de parcelles gérées et défrichées par l’association des Amis de l’Océan Indien. Problématique : Quels sont les impacts de ces différents modes de gestion sur l’évolution des strates et des faciès végétaux de la savane? Il s’agit pour le brûlage dirigé de confirmer ou d’infirmer de manière scientifique certaines hypothèses faites en matière de gestion de savane par le feu suivi du pâturage. Cette expérience doit être reliée à la future élaboration d’un plan de gestion de la savane du Cap. Pour les parcelles défrichées par l’association des Amis de l’Océan Indien, il s’agit de voir en quoi les initiatives associatives peuvent influer sur les dynamiques végétales et modifier les faciès végétaux de la savane.
Cartographie des incendies accidentels du Cap la Houssaye en 2016
Description du Paysage-Atelier Situé à l’entrée Est de la savane du Cap la Houssaye, ce “paysage-atelier” porte sur une thématique commune d’observation des dynamiques végétales soumises à différentes gestion. Ce “paysage-atelier” se décompose en deux lieux distincts: une parcelle expérimentale de brûlage dirigé et deux parcelles appartenant à une association qui les défrichent manuellement et mécaniquement. Ce “paysage-atelier” est l’occasion de définir et de différencier 3 types de gestion par le feu de la savane: l’incendie accidentel, le feu pastoral et le brûlage dirigé pour comparer leurs impacts sur la végétation de la savane. L’incendie accidentel est à priori involontaire et non maîtrisé. Le feu pastoral, une pratique souvent taboue, est difficile à distinguer du premier mais est combinée au pâturage des troupeaux liée au renouvellement de la ressource fourragère. Ces deux types de feu sont tous les deux courants car ils se développent dans le sens du vent, sont rapides et brûlent partiellement la strate arbustive et arborée. Le brûlage dirigé, lui, consistera en la mise en place d’un feu maîtrisé par les pompiers en contre sens par rapport au vent, combiné ou non avec le pâturage. Ce brûlage dirigé sera réalisé à la fin de la saison sèche pour que la repousse se fasse juste après, lors de la saison humide. Ce contresens permettra un brûlage lent et total des ligneux présents sur l’espace d’expérimentation. Pour plus de maîtrise, 1 hectare sera défriché au préalable tout autour de la parcelle, de manière à constituer une marge de sécurité. Le brûlage se déroulera en deux étapes distinctes, toujours dans un souci de sécurisation et de limitation de la propagation du feu. A la suite de cette mise à feu de la savane, un éleveur de mokas (Ti’Musik) viendra faire pâturer son troupeau sur certaines zones incendiées. La parcelle expérimentale est linéaire et s’étend du chemin Summer et l’hélistation jusqu’au delà de la piste ULM (voir plan parcelle brûlée). La parcelle choisie est aujourd’hui fortement colonisée par des ligneux et de nombreuses chaumes de Panicum Maximum, créant ainsi une importante biomasse qui à la saison sèche peut s’avérer problématique. L’autre espace du “paysage-atelier” correspond aux parcelles débroussaillées par l’association des Amis de l’Océan Indien aux abords de leur nouveau ranch. Leur ancien ranch se trouve sur la zone concernée par le projet de ZAC Renaissance III. Par anticipation, il va se déplacer pour s’implanter à côté de l’hélistation le long du chemin Summer. Les parcelles défrichées sont situées en contrebas par rapport à l’emplacement du futur ranch au niveau de l’entrée Est de la savane du Cap.
Cartographie de la parcelle expérimentale de brûlage dirigé
Carte actualisée au 10/11/2016 Débroussaillement mécanisé de la piste d'ULM servant de lisiére sécurisée
13,2 ha le 18/05/2016
Débroussaillement 5m de large
26,5 ha le 18/10/2016
´ 0
0,325
0,65
1,3 Kilomètres
Zone à bruler: 4,47 ha
¯
Légende Parcelle à bruler Surface débroussaillée 0
Page résumé du PA regroupant une description rapide et la problématique principale
Pages de description graphiques
0,05
0,1
0,2 Kilomètres
du PA regroupant éléments écrits et
Bloc de principe sur les hypothèses d’évolution des paysages de savanes depuis le XVIIIe s. és es es vit n ac es ac es ti p p ac tio es ll es ll s anta es arce s et es arce éan e d d s p p r à e pl à oc ive l’im ié les e l’ iée les ravin d c c o d o , s t ass age, ière ass age des de isan if. s s v v r r e e n e r r u o a ns le le ltu l’é auto ltu l’é en l nté fav exte u u o c c à t à t m e ly ly Re ricol vage Po ués isen s Po ués isen ant afé c n s n n ag l’éle vo rga emi vo rga ver de e o o r e ’ ’ h de l s sc s rs ltuLe troisième site e u e Stella et la pointe au sel, au sud de Saint-Leu. Sur ces savanes dse situe entre le quartier v C
Stella
s’entrecroisent deux pratiques pastorales indépendantes l’une de l’autre. Nous y retrouvons une pratique traditionnelle d’élevage de boeufs moka, de la même manière que sur les savanes du cap la Houssaye et sur celle de Bellevue. Le troupeau pâturant sur la partie basse du versant, autour de la route du littoral et à proximité de la ravine Fond Madiel. Sur la partie haute se pratique un élevage de vaches limousines plus 300m 300m conventionnels et réglementés. Ces deux troupeaux se dirigent de manières différentes : un éleveur pratique un élevage extensif avec une race de boeufs rustiques qui s’accommodent de la ressource fourragère de la savane ; les vaches limousines sont beaucoup plus exigeantes et doivent être dirigées autrement par l’éleveur. La comparaison de ces deux pratiques et de leur impacts sur la savane nous permet d’identifier l’action de chaque troupeau sur les milieux et sur les paysages de la savane ouverte de Stella. 0m
0m
Debut XVIIIe s.
Fin XVIIIe s.
Paysage de polyculture
Augmentation de l’élevage extensif
Schéma de la savane pâturée de Stella
Elevage traditionnel de boeufs moka
élevage contemporain de vaches de race Limousine
traces de piétinements strate herbacée : des troupeaux savane ouverte
r su t e r n c su leme t es s à n n u a an o s e c s re v c r i s n c a u n s su an ba te e ba les au ur lle ière a c au ert eà ’ r l h e v s n u ou de uite an les idu nc ne es ec ne ur rés ve fo sion es s pla ain s a d l b v r ur on sa ora ure se e ten an on de litt sati Ex sav ux an e ré ult i i s v c e e n c Sa mm no les sd’étude ba nd ea ten pa Ur Ex le plus au Nord. Ba chemin pavé de Bellemène. Mo Le site suivant se Es situe autour du coIl s’agit du site de rée idé
Bellemène
Le chemin traverse une savane sèche assez abrupte et relie le quartier Bouillon au quartier Bellemène situé 190 m plus haut. Dans les années 2000 ce chemin a bénéficié d’une campagne de réhabilitation. Le quartier Bouillon s’est formé de manière spontanée et est composé d’habitats dits « informels » qui ont vu le jour 400m 400m sans aucun aval, uniquement par l’initiative des habitants. Ce quartier est désormais au contact du chemin revalorisé qui est pratiqué par des joggeurs et des marcheurs de plus en plus nombreux. Des pratiques pastorales sont généralement associées à ces habitats informels. Ainsi les habitants laissent des cabris pâturer la savanes aux alentours du chemin pavé. De plus, un éleveur de boeuf moka à l’habitude faire pâturer son troupeau aux alentours du chemin. A cette pâture est souvent associés des feux dit “pastoraux”. Ces feux, le plus souvent inavoués, venant jusqu’aux abords du chemins pavés, sont des indices descendant même parfois jusqu’à la 00m 100m fort d’activité pastorale dans le paysage, certains feux 1pastoraux Ravine Divon située au sud du chemin. Cette activité d’élevage influe directement sur la dynamique végétale 0m m site nous intéresse car les pratiques de la savane par le feu, le piétinement, le passage des boeufs … 0Ce pastorales côtoient un chemin patrimonialisé et de plus en plus fréquenté.
Milieux du XIXe s.
Début du XXIe s.
Mise en place de l’ordre étagé du paysage
Interpénétration des diiférents espaces
Schéma de la savane pâturée de Bellemène
Elevage traditionnel de boeufs moka
élevage domestique de cabris
savane ouverte piquetée d’arbustes
traces de piétinements des troupeaux
gestion par les emplois verts de la commune
feux pastoraux
Exemples de productions graphiques produites pour faciliter la compréhension de la description des Paysages-Ateliers
Problematiques Les gestions en place sur la savane sont multiples mais nous avons peu de connaissances, de recul et de moyens d’observations sur les impacts des modes de gestion sur les dynamiques végétales. On peut partir de l’hypothèse que l’usage du feu pour entretenir les espaces des savanes est une pratique depuis longtemps connue et expérimentée par les éleveurs en vue de fertiliser les sols et de renouveler la ressource fourragère des espaces pâturés par les troupeaux. Cette pratique semble être l’un des moyens de gérer les espaces de savane qui tendent à s’enfricher, notamment à cause du déclin des pratiques pastorales sur ces espaces de savanes. De plus, elle permet de réduire considérablement les risques d’incendie accidentel qui peuvent survenir durant la saison sèche. En effet, les opérations de brûlages dirigés et encadrés par des services compétents en la matière peuvent être de bons moyens d’éviter la propagation de feu sur de grandes surfaces qui sont souvent difficiles à contrôler et nuisent à la fois aux paysages des savanes, mais également aux habitations se trouvant à la frange de ces dernières. Afin d’observer et de comprendre ces phénomènes de feu, une expérimentation de brûlage dirigé est mise en place sur une parcelle située à côté de l’hélistation sur la partie haute de la savane. Cette situation regroupe plusieurs problématiques de gestion du milieu et de protection des habitations se trouvant non loin. L’idée est de réaliser une opération de brûlage dirigé et de pâturage sur une zone bien délimitée afin d’observer par la suite les dynamiques végétales : comment la végétation peut-elle reconquérir l’espace? Quelles espèces se réinstallent après le passage du feu ? Après le pâturage? À quelle vitesse ? En quoi le pâturage des boeufs Moka influence-t-il, ou non, la reprise végétale et la composition des strates végétales qui s’ensuivent ? La question de l’acceptation par les habitants d’une gestion par le feu se pose fortement au moment d’une telle expérimentation. Dans un contexte de réglementation et d’interdiction des feux domestiques ou agricoles par les autorités locales, il est fondamental de s’interroger sur l’intérêt de la communication sur l’expérimentation de brûlage dirigé. En effet, la mise à feu volontaire à caractère scientifique peut être difficilement acceptée par les riverains et les usagers de cette savane. Quand on comprend les tensions existantes, la communication avant feu peut enrayer ou ralentir le bon déroulement de cette expérimentation de brûlage. Une communication post-feu est nécessaire et légitime pour renseigner les usagers sur les objectifs de l’expérimentation. En ce qui concerne les parcelles défrichées par l’association des Amis de l’Océan Indien, il serait intéressant d’étudier leur évolution car elles se situent au contact du futur ranch de cette même association. Il sera donc possible d’y observer un pâturage mené par les chevaux appartenant au Ranch. Or, les équidés ne broutent pas les mêmes espèces végétales que les bovins et laisseront donc derrière eux un paysage pâturé de savane différent par rapport aux boeufs moka. Il sera donc intéressant de comparer l’impact de la sélection d’espèces végétales et le déplacement des troupeaux sur les dynamiques végétales des deux types de pâturage. Le pâturage des chevaux se fait dans des enclos fixes et le pâturage des mokas se basant sur une itinérance à travers la savane. Il sera donc intéressant de comparer les deux espaces en croisant les relevés photographiques, les relevés botaniques et ainsi déduire en quoi le choix d’un troupeau de bovins ou d’équidés peut influer sur les dynamiques de la savane.
Pages de la problématique détaillée du PA
PRoTocoLE d’obSERvATIon Il y a trois protocoles qui sont conduits parallèlement : un protocole de phytosociologie, un protocole d’observation photographique de la parcelle de brûlage dirigé et un protocole d’observation sur la parcelle gérée par les Amis de l’Océan Indien. Ces trois protocoles s’inscrivent dans des temporalités différentes et ont des objectifs distincts.
Brûlage dirigé et pâturage - Relevés phyto-sociologiques L’opération de brûlage dirigé est une commande du Conservatoire du littoral qui a deux grands objectifs principaux. Il vise à réactualiser les connaissances et les données accumulées dans la partie des dynamiques végétales du rapport rédigé par Alexandre Moisset et Serge Briffaud en 2001. Dans un second temps, il permettra de fournir au conservatoire des outils de gestions concrets de la savane. Ces outils seront ainsi basés sur une expérience et sur des faits scientifiquement prouvés. Le brûlage sera donc suivi d’observations biologique et botanique poussées qui seront confiées à des étudiants réunionnais en master de biologie. Le protocole d’observation mobilisera les master II et nécessitera un financement. Il comparera les parcelles brûlées non pâturées et les parcelles brûlées pâturées. Au départ, cet espace linéaire devait être divisé en 5 faciès végétaux déterminés au préalable en fonction des strates végétales. Chacun de ces faciès possédera des « placettes », mesurant 10 m sur 10 m qui sert de zone laboratoire. Les placettes possèdent plusieurs paramètres et pourront ensuite être comparées entre elles. Par exemple, un faciès pourra comporter une placette «Brûlée non pâturée », « Brûlée pâturée », “ Non Brûlée pâturée » ou encore « Non Brûlée Non pâturée ». Si l’on multiplie le nombre de placettes prévues par le nombre de faciès on obtient en tout environ quarante à cinquante placettes placées sur l’ensemble des 4 hectares brûlés. Au final, pour des questions budgétaires, il a été décidé de diviser l’ensemble des 4 hectares à brûler en seulement deux faciès : un faciès herbacé et un faciès arbustif. Chacun de ces deux espaces possèdera cinq parcelles grillagées et cinq parcelles non grillagées ce qui fera vingt parcelles en tout. Des parcelles témoins seront installées en dehors de l’espace brûlé de manière à comparer les placettes impactées par le feu et celle non impactées. Dans ces placettes de 10 m², 1 m² sera consacré à l’observation très fine des plantules afin de déterminer leurs hauteurs, leurs diamètres, et ainsi déterminer le pourcentage de biomasse créée. Des relevés seront faits tous les mois après le brûlage. Ils seront accompagnés de mesures dites abiotiques pour saisir au mieux les conditions dans lesquelles le relevé est effectué (mesure de la température, de l’humidité de l’air, de la qualité du sol etc…). L’impact de l’élevage sera mesuré en pourcentage « d’herbivorie », c’est-à-dire en faisant le rapport entre la quantité de biomasse mangée par les bœufs moka et la quantité de biomasse que les végétaux de la placette auraient dû produire sans bétail. Il est à noter que les placettes « non pâturées » seront encadrées de grillages pour ne pas que les bœufs puissent pénétrer, les autres seront simplement matérialisées par des tiges de fer placées aux quatre angles. Les placettes seront mises en places très rapidement après le feu et la fréquence du suivi sera d’un relevé par mois pendant six mois puis un relevé par an.
Page sur le protocole expérimental
ur im on t
Il est nécessaire de nous adapter au protocole décrit ci-dessus pour mener sur la parcelle de brûlage dirigé un observatoire photographique cohérent et complémentaire avec celui des master en biologie afin d’observer les dynamiques de reprise végétale. Des vues générales seront mises en place tout autour de la future parcelle de brûlage. Dix photos serviront à visualiser l’espace sous différents angles et de décrire les différentes étapes de revégétalisation qui suit la mise à feu. Ces photos devront être reconduites toutes les semaines pendant 1 mois après le brûlage puis une fois par mois pendant un an. Des photos générales devront être croisées avec des vues de détail des futures placettes qui vont être mises en place. La fréquence sera la même que les prises de vue panoramiques.
Parcelle expérimentale de brûlage dirigé
Plateau caillou
Brûlage dirigé et pâturage - Observatoire photographique
Ra v
ine
Fle
Les espaces témoins situés en dehors de la zone de brûlage devront eux aussi être pris en photo à la même fréquence. Il sera nécessaire de se mettre en contact avec les étudiants stagiaires pour connaître l’emplacement exact des placettes de 10 m par 10 et obtenir leurs relevés botaniques pour les associés aux photos. Plateau combaVas
n
Reconduction d’ancien point d’observation
an uc
100
Bo vin e
100
NORD
0
Ra
Cartographie des points d’observations géoréférencés d’un des sites concernés par le PA
Parcelles et nouveau ranch des Amis de l’Océan Indien
200 m
ot an tC
p Sli nt te Pa e vin Ra
Cartographie des points d’observation photographique
Ra
vin
e
Bo
uc
an
tC
an
Ra
Une observation par relevés botaniques devra aussi être mis en place pour évaluer scientifiquement les faciès végétaux et leurs évolutions. Il faudra mettre en place des placettes pour faire un relevé botanique avant le défrichage, un relevé avant le pâturage et un relevé après pâturage et défrichage. Il faudra peut être mettre en place une placette témoin dans l’enclos pâturé par les chevaux pour comparer les relevés botaniques et donc les dynamiques végétales.
ot
vin
e
Fle
ur
im
on
t
L’observation concernant les parcelles gérées par les Amis de l’Océan Indien consistera en un observatoire photographique de deux points de vue à reconduire toutes les semaines le premier mois après l’implantation du ranch et l’arrivée des chevaux puis tous les mois pendant un an et enfin tous les 2 ans. La réitération est identique à l’observatoire du brûlage dirigé pour pouvoir les comparer et pour comparer les dynamiques végétales liées au pâturage des boeufs moka qui seront introduits sur la parcelle expérimentale de brûlage dirigé au pâturage équin.
Nouveau point d’observation
Pâturage équin, défrichage manuel et mécanique - Observatoire photographique et relevés botaniques
io at ist
l he
dYnAmIquES véGéTALES du vERSAnT noRd dE LA RAvInE boucAn cAnoT En LIEn AvEc LE bRûLAGE dIRIGé
PA1_0001.00R3_20161018_97415_FA Numéro sur la carte:
0001.00R3
Lieu: Quartier de l’Eperon Commune: saint-Paul Date: 18/10/2016 Période: Après-midi Coordonées GPS: 40K0318951 ; utm 7672865 n na
Altitude: 268 m Orientation:
ae uc
Le
la
ha
ep
c co
eu al
a
i fol
lis)
a ge riv rou quad nt ua eda Piq em (Th
thi bin
u
him
Sc
ere st
ara
e av ag
am ac
n nta
la
Nord-Est / Est (70°)
Elements repères: Rocher en pointe, replat à droite Protocole de réitération: 1 photo par semaine le premier mois après l’expérimentation du brûlage dirigé puis 1 fois par mois pendant 1 ans et enfin 2 fois par an les années suivantes.
Ra
vin
e
Pa
te
nt
Ra
vin
Sli
p
e
Fle
uri
DESCRIPTION DE LA PHOTO:
m
on
t
Ra
vin
Ra
vin
e
Bo
Ra
uc
vin
an
tC
an
ot
Bo
uc
an
tC
e
Fle
uri
m
on
t
an
ot
Première page d’un point d’observation contenant sa fiche d’identité et son emplacement exact
NORD
100
e
0
100
Le premier plan offre une diversité végétales assez importante donnant à la savane un panel de couleurs passant du bleuté jusqu’au orange en passant par différentes teinte de marron. En effet les agaves bien que peu présente marquent le paysage donnant des repères dans l’espace. Les touffes de piquant rouge (Themeda quadrivalis) couvrent de petites zones dispercées dans la savane. Le second plan, composé d’une strate herbacée et arbustive ( Leucaena leucocephala) dominée Panicum maximun à droite de l’image, et à gauche par le piquant blanc (Aristida adscensionis). Cette opposition dans la composition de la strate herbacé à des conséquence sur l’implantation des ligneux sur la savane qui semble bien plus présent sur la gauche de l’image que sur la droite. Il faut tout de même prendre garde au effet d’optique, la perspective donnant l’impression qu’il y a plus de ligneux dans le fond de l’image. L’intérêt de cette photo est qu’elle permet une vue d’ensemble sur les deux zones expérimentales de brûlage dirigé. L’observation portera donc sur la recolonisation végétales des deux faciès végétaux présentés, et sur les possible migration végétales d’un versant à l’autre, les surfaces brûlée offrant une surface quasi vierge pour l’installation de nouvelles graines.
200 m
Deuxième page d’un point d’observation contenant la photo, la légende et sa description détaillée
SéRIE PhoToGRAPhIquE REconduITE
Deuxième photo de la série - PA1_0001.00R2_201506_97415_MR
PA 1 - 0001 DESCRIPTION DE LA PHOTO: Située au pied d’une habitation faisant partie du quartier de l’éperon, le cliché nous donne une vue d’ensemble sur le versant concerné par l’expérimentation du brûlage dirigé allant de l’hélistation au bord du Chemin Summer jusqu’au chemin sur le versant Nord de la ravine Boucan Cannot. Le premier cliché de cette série diachronique nous donne à voir un espace plutôt homogène, largement dominé par la strate herbacé assez rase laissant apparaître par par endroit des roches qui forme de larges amas dans cette prairie. Seule quelques agaves prennent place au premier plan.
a
na na la ae ha uc ep le coc u le
d isti us Ar c( him Sc lan de ifolia t b nis) n é r th ua sio ur Piq scen Fo ebin ad ter
Le second cliché, prit plus de dix ans nous offre un paysage de savane radicalement différent du premier. En effet on constate un enfrichement du versant Nord de la ravine Boucan Cannot qui c’est largement couvert de Leucaena leucocephala qui donne à la savane une couleur brune lors de la saison sèche. Au premier plan de l’image on voit également un fourré de Lantana camara qui c’est largement développé.
Première photo de la série - PA1_0001.00R1_2001_97415_AM
Troisième photo de la série - PA1_0001.00R3_20161018_97415_FA
A
s ma
de
s
he
roc
es av ag
Exemple d’une photo réitérée
um
nic Pa
m xu ma
Paysage et projet territorial
Les paysages du grand saint-émilionnais par la «petite porte» de tous les patrimoines OBJECTIFS DU MODULE : Ce module propose une approche de la démarche de projet à l’échelle du ‘grand paysage’. Il s’agit, en plaçant les étudiants en situation de commande réelle et de négociation avec les acteurs concernés, de mettre en pratique une forme de conception spécifique à cette échelle d’intervention du paysagiste. Ce dernier n’est en effet pas, dans ce cas, en situation de concevoir directement les formes du paysage : son rôle est plutôt d’en proposer une lecture, d’élaborer des diagnostics, d’identifier des enjeux paysagers et de formuler, sur ces bases, une stratégie d’action visant à infléchir les pratiques de ceux à qui la responsabilité des formes paysagères incombe directement. Le travail des étudiants se concrétise par la remise d’une plaquette reproductible, à partir de laquelle seront extraits des panneaux d’exposition. Cette plaquette et cette exposition sont conçues comme des moyens de présenter des problématiques, des démarches méthodologiques et des outils de représentation. Elles doivent contribue à sensibiliser, à éveiller et à enrichir le regard des acteurs sur les paysages. La plaquette est éditée sous format papier A4 (5 exemplaires) et sous la forme d’un fichier Acrobat (pdf). Elle fait l’objet d’une réflexion et d’un travail commun à tous les étudiants (conception du plan, textes et illustrations d’introduction et de conclusion, jaquette, charte graphique…).
La petite porte, patrimoine bâti et végétal en question Nous partons du constat que le dénominateur commun de ce territoire est la vigne. Certains diront que cette viticulture omniprésente peut être synonyme de monotonie, nous prenons le parti de dire que ce n’est pas le cas. La vigne est un élément commun mais les relations qui existent entre cette monoculture et les éléments autres que la vigne sont diverses et évoluent sur le territoire. Nous avons décidé lors de notre analyse d’étudier plus précisément les interrelations qui existent entre ces éléments et la vigne. C’est ce qu’on appelle entrer “par la petite porte”. Ces éléments quels sont-ils ? Ce sont des éléments paysagers tels que les arbres isolés, les haies, les boisements, les cultures autres que la vigne … Cela peut être aussi des éléments bâtis ponctuels comme les moulins, les pigeonniers, les murets, les clochers, les châteaux, ... Ces éléments sont assez banals en quelques sorte mais constituent des indices essentiels dans l’évolution des paysages qui constituent ce territoire. La présence de la vigne met en valeur ces éléments et, à l’inverse, la vigne est mise en valeur par la proximité de ces éléments. Ainsi, nous avons décidé de parcourir le territoire à la recherche de ces différentes interrelations. Elles évoluent en allant du Sud (au bord de la Dordogne) au Nord (sur le plateau boisé autour de Petit Palais). Nous avons décidé de décomposer ce cheminement en 5 entités paysagères qui sont du Sud au Nord, les abords de la Dordogne, la plaine, les coteaux et les versants jusqu’à la Barbanne, le point haut de Montagne, le plateau disséqué boisé du Nord Est, le territoire Nord Ouest influencé par L’Isle. Ce transect nous a permis de révéler des lieux que nous avons déterminé comme étant clés, possédant des structures paysagères particulières et qui, potentiellement, peuvent être porteurs d’enjeux.
A l’approche de la vallée de l’Isle
Un boisement qui rytme et séquence le paysage
Un paysage comme trait d’union entre deux logiques
Les coteaux : un géographie propice à la viticulture
Une plaine tourné vers les coteaux
Un rapport au fleuve réduit
Carte de définition des entités paysagères Château, élément fixe
Cabane de vigne, élément non pérenne
Arbres isolés, éléments non pérennes
Boisement, élément non pérenne
Ripisylve, élément non pérenne
Panorama des éléments singuliers mis en valeur par la vigne et qui mettent en valeur la vigne
OBJECTIFS DU PROJET : Le projet territorial porte sur les paysages du grand Saint-Emilionnais dans le cadre de la mise en place de la nouvelle intercommunalité regroupant 22 communes. L’objectif du projet était de réincarner la Valeur Universelle Exceptionnelle de Saint-Emilion, classé à l’UNESCO pour son patrimoine culturel. Les enjeux ne sont pas les mêmes sur l’intercommunalité en fonction des communes, en effet, les communes classée à l’UNESCO, très viticoles et touristiques, n’ont pas les mêmes problématiques que les communes en périphéries, plus agricoles. Nous avons constaté que ce qui faisait le lien entre toute ces communes étaient les éléments singuliers, ponctuels, indices, omniprésents dans tous ces paysages. Il s’agit pour nous d’une entrée par la petite porte du paysage qui nous a permis de localiser des lieux stratégiques sur le territoire. Nous passons de la petite échelle à une échelle plus large, du micro-détail au grand territoire. Nous avons choisi ces lieux car pour nous ils représentent les diversités d’éléments paysagers structurant en lien avec la vigne mis en valeur par la vigne et qui mettent en valeur la vigne.
Petit Palais et Cornemps, des ambiances forestières qui influent sur la perception du paysage Eglises classées, patrimoine bâti lié à l’eau, arbres isolés, prairie, boisement, haie, ripisylve ... Saint-Philippe D’aiguille, des ambiances forestières qui influent sur la perception du paysage Elements repères : clocher, antenne ; patrimoine bâti lié à l’eau, verger, boisement, moulin, ... Montagne, un paysage de crète ouvert créant du lien entre paysage viticole et polyculture Elements repères : clocher, moulins ; cabanes de vignes, arbres isolés, petits boisements, ripisylve... La combe du Barde, la valorisation des microdétails ponctuels soulignés par la vigne Elements repères : clocher, châteaux ; bosquets, arbres isolé, résidus de ripisylve, terrasse, muret, ... Saint Pey d’Armens, les franges des bourgs, des lisières paysagères emblématiques Elements repères : clocher, châteaux ; bosquets, arbres isolé, résidus de ripisylve, jardins, ... Les rives de la Dordogne, à la rencontre de la vigne, de la polyculture et du fleuve Bosquets, arbres isolé, résidus de ripisylve, jardins, fleuve, quai, ... Carte des lieux stratégiques identifiés sur le territoire Arbre isolé, borne d’ancienne parcelle
Lavoir, marqueur de pratiques anciennes
Moulin réhabilité, marqueur dans le paysage
Vergers, témoin d’anciennes pratiques agricoles
Notre parcours montre la diversité que l’on retrouve dans ces paysages : au niveau de la Dordogne on retrouve un paysage de polyculture tourné vers l’eau avec une assez grande diversité de formes et d’éléments singuliers. Plus on se rapproche de la Barbanne et plus la diversité diminue, jusqu’à ne trouver plus que des reliques d’éléments singuliers les rendant encore plus précieux. En continuant vers Petit Palais, la diversité ré-augmente pour passer d’un paysage ouvert à un paysage plus fermé L’entrée par la petite porte de ce territoire nous a permis de localiser des lieux stratégiques sur le territoire. On passe de la petite échelle à une échelle plus large, du micro-détail au grand territoire. Nous avons choisi ces lieux car pour nous ils représentent les diversités d’éléments paysagers structurant en lien avec la vigne mis en valeur par la vigne et qui mettent en valeur la vigne. Pour conclure notre démarche est basée sur l’observation fine de la complémentarité entre la vigne et les éléments singuliers propres aux territoires du grand Saint-Emilionnais. Ces éléments singuliers peuvent être divers : masses végétales, petits patrimoines architecturals ou éléments repères dans le paysage, allant jusqu’aux éléments banals du paysage. Partant de cela on divise en deux catégories les éléments singuliers : d’une part les éléments repères qui sont comme des amers dans le paysage qui permettent de le lire et de le comprendre ; d’autre part, les éléments comme indices qui disent quelques choses du paysage, révélateurs de pratiques, de dynamiques passées. Ces éléments singuliers comme indices sont pour nous porteurs d’appropriation par les habitants car ils représentent le paysage du quotidien. Ce que l’on souhaite mettre en avant dans notre démarche, c’est le caractère complémentaire de la vigne avec ces éléments singuliers, de l’ordre du patrimoine (végétal et architectural), qui composent et constituent le paysage actuel du grand Saint-Emilion. La question se pose alors de la place de ces éléments dans le paysage ? Leur rôle ? Leur légitimité ? Notre objectif est donc de révéler ces indices comme patrimoine du territoire et de s’appuyer sur ces derniers pour permettre la réappropriation par les habitants de leur territoire.
Plaquette de l’approche territoriale que nous avons appliquée sur le territoire du grand Saint-Emilionnais
Favoriser la réappropriation par le patrimoine Se saisir du territoire
Identifier le patrimoine
Notre stratégie se base sur deux constats, d’une part que les paysages du Grand Saint-Emilionais sont certes fait principalement de vignes mais aussi d’indices, que nous définirons plus tard, qui en émergent et qui sont complémentaires ; et d’autres part que la réappropriation de ce territoire par les habitants peut se faire au moyen du patrimoine végétal ou bâti présent sur le territoire. Ce qui selon nous fait la spécificité des paysage du Saint-Emilionais c’est justement la complémentarité entre vigne et éléments indices et patrimoniaux qui en émergent. Il s’agit alors de relever, sensibiliser et révéler ces éléments indices et patrimoniaux que sont, pour nous, la ripisylve, la haie, l’arbre isolé, la prairie, le lavoir, la fontaine, le puit, le moulin, etc… Ces éléments font pour nous patrimoine car ils représentent des indices de l’histoire, de pratiques anciennes ou actuelles et révèlent en quelques sortes les paysages du Grand Saint-Emilionais. Nous cherchons dès lors à identifier ces indices, les repérer dans le paysage mais aussi à comprendre le
Deux objectifs émergent, le premier est que la rénovation, la réhabilitation ou la gestion de ces éléments patrimoniaux et des leurs abords permettent la réappropriation de l’ensemble du territoire par les habitants ; le second est que la compréhension des systèmes auxquels appartiennent ce patrimoine, bâti et végétal, permette aux habitants de réinvestir ces systèmes, en faire émerger de nouveaux d’où vont découler de nouveaux usages et donc une réappropriation. Dans le premier cas, nous partons de l’hypothèse que la réappropriation d’une partie peut permettre la réappropriation de l’ensemble du territoire dans le sens où elle appartient à un système interconnecté. Par exemple, les lavoirs et fontaines ou sources adjacentes sont des éléments patrimoniaux à part entière qui révèlent des pratiques sociales anciennes de chaque entité urbaines mais font aussi partie d’un système hydrographique global qui peut permettre une mise en réseaux de ces éléments sur l’ensemble de la communauté de commune.
Pour répondre à ces objectifs, nous souhaitons faire des actions ponctuelles de réhabilitation de patrimoine bâti ou végétal, mais aussi de pratiques anciennes encore visibles ponctuellement, telles que les jouales ou les vergers, des opérations de gestion, de sensibilisation mais aussi de mise en réseaux de ces éléments patrimoniaux. Cette mise en réseaux peut s’effectuer en s’appuyant sur des trames anciennes telles que les chemins de charette ou la création de nouvelles continuités pour révéler ou mettre en valeur des éléments peu valorisés ou abandonnés. Il s’agit alors de créer des parcours qui permettent de mettre en relation des éléments aujourd’hui déconnectés et de remettre à jour des systèmes peu lisibles.
système agricole, paysager ou culturel dans lequel ils font sens.
ENSAPBX / Le Barde du Label / Mairie de Saint-Christophe-des-Bardes
1
Localisation des fiches actions
N
1
fiche 1 : Réhabiliter le patrimoine bâti lié à l’eau comme potentiel lieux de rencontre fiche 3 : Préserver les prairies comme patrimoine à part entière du système vitico-pastoral
3 6
1
fiche 1 : Réhabiliter le patrimoine bâti lié à l’eau comme potentiel lieux de rencontre
fiche 6 : Créer des franges épaisses, appropriables par les habitants
5
2
fiche 2 : Réhabiliter les terrasses du Château Laroque en créant un espace de verger
4
fiche 5 : Redécouvrir le relief de la combe du Barde
fiche 4 : Redécouvrir le cours d’eau pour redonner une qualité paysagère au fond de combe
2
La « V.U.E. » en projet ou le patrimoine mondial à l’épreuve de la médiation paysagère. Contribution à l’élaboration d’un projet de territoire partagé dans le grand Saint-Emilionnais.
Plaquettes de fiches actions réalisées sur la thématique de l’entrée dans le paysage par la petite porte du patrimoine
Agir localement Pour répondre aux problématiques multiples du Grand SaintEmilionnais, nous avons cherché des situations géographiques très distinctes mais ayant parfois des enjeux communs. Suite à notre session de terrain deux stations en sont ressorties. La première au coeur de la juridiction de Saint-Emilion sur la combe du Barde, située à cheval sur 3 communes : SaintChristophe des bardes, Saint-Hippolyte et Saint-Laurent des combes. Celle-ci, en plus de regrouper une grande partie des enjeux de la juridiction, illustre nombre des dynamiques actuelles. Dès lors, elle semble s’approprier parfaitement à l’étude des éléments indices et patrimoniaux. Le rapport entre la vigne et le patrimoine, bâti et végétal, y est clairement inégale, avec des éléments patrimoniaux à l’état de reliques et d’indices peu perceptibles. Ce rapport pose directement la question de la périnité d’éléments tels que les cours d’eau, les boisements ou encore les cabanes de vigne ou les murets.
La seconde quant à elle, extérieure à la juridiction, située tout au Nord de la communauté de commune, est la commune de Petit Palais. Ayant pour principale caractéristique d’être la commune la plus boisée du Grand Saint-emilionnais. Elle offre alors un paysage très diversifié où se mèle élevage, cultures et vignes. Elle répond à des enjeux et problématiques différentes de celles de juridiction mais complémentaires. En effet, le rapport entre la vigne et les éléments patrimoniaux est plus équitable. Ces patrimoines, batis et végétaux, tels que les prairies et les cultures qui témoignent d’une polyculture passées et qui perdure, les lavoirs, fontaines et puits qui traduisent quant à eux la présence de l’eau et les pratiques anciennes, sont nombreux à Petit Palais. Ces derniers permettent de mettre en lumière à la fois les pratiques anciennes et les dynamiques actuelles mais aussi l’importance du cadre de vie en comparaison avec les bourgs et hameaux de la juridiction.
ENSAPBX / Le Barde du Label / Mairie de Saint-Christophe-des-Bardes
3
1
Réhabiliter le patrimoine bâti lié à l’eau comme potentiel lieux de rencontre Lavoirs
Contexte Le village de Petit-Palais se compose d’un centre bourg et de hameaux qui gravitent tout autour. Chaque hameau avait un fonctionnement propre et indépendant au bourg avec des équipements adaptés à la vie du hameau. Il y avait donc un lavoir par hameau. Aujourd’hui les pratiques ont évolué et le patrimoine bâti associé à l’eau n’est plus utile et est laissé à l’abandon. C’était pourtant à l’époque un lieu de création de lien social, où la vie du hameau s’animait. Maintenant, tous les lieux de rencontre se situent au niveau du centre bourg du village et les habitants des hameaux n’ont aucun endroit pour se retrouver.
Sources
Fontaines
Puits Anciens chemins encore existants
Exemple 1
Exemple 2
N
Action sur la commune de Petit Palais
Objectifs - La réappropriation par les habitants - Création de lieu de rencontre autour de la notion de patrimoine
4
Carte des éléments singuliers liés à l’eau sur la commune de Petit Palais
La « V.U.E. » en projet ou le patrimoine mondial à l’épreuve de la médiation paysagère. Contribution à l’élaboration d’un projet de territoire partagé dans le grand Saint-Emilionnais.
UN LAVOIR QUI STRUCTURE L’ESPACE PUBLIC
Lavoir du hameau de la motte
Le lavoir de la Motte Le lavoir se situe en plein coeur du Hameau de La Motte placé sur le plateau calcaire. Il est positionné à coté d’une source. Le hameau s’est certainement développé tout autour de cette source qui approvisionnait les habitants en eau. Le lavoir était donc un élément moteur à la vie du hameau, lieux de rencontre et d’échange. Sa position en coeur de hameau, en bord de route le rend stratégique pour créer un nouvel espace public en dehors du centre bourg et à proximité des habitions du hameau. Ici l’objectif n’est pas seulement le réaménagement du lavoir, mais aussi de ses abords afin de le rendre visible de plus loin, de l’inscrire dans le système du hameau notamment en aménageant le système viaire adjacent pour révéler le chemin de l’eau. Croquis d’ambiance du lavoir de La Motte réaménagé en lieu de rencontre et intégré dans le hameau. Lavoir réhabilité - Abords aménagé - Création d’un fil d’eau qui connecte le lavoir au hameau
6
La « V.U.E. » en projet ou le patrimoine mondial à l’épreuve de la médiation paysagère. Contribution à l’élaboration d’un projet de territoire partagé dans le grand Saint-Emilionnais.
L’action en quelques points consiste à : - Réhabiliter les éléments patrimoniaux hydrauliques et leurs abords pour permettre leurs réappropriations par les habitants - Mettre en réseaux ces éléments en s’appuyant sur les chemins historiques qui sont eux-mêmes des éléments patrimoniaux à valoriser - Créer des lieux de rencontre dans les hameaux, s’extraire du centre bourg - Sensibiliser sur l’appartenance de ces éléments à un système hydrographique plus vaste
- Impulser de nouveaux usages autour de ces éléments patrimoniaux
La réhabilitations de lavoirs en coeur de bourg révèle des pratiques anciennes aujourd’hui plus ou moins disparues et générent de nouvelles pratiques touristiques et/ou communales. Ci-contre, le réaménagement du couderc de Chalinargues (15) a permis la création d’un espace central qui accueille aujourd’hui les évènements communaux et met à l’honneur la pratique pastorale omniprésente encore aujourd’hui ainsi que les pratiques anciennes liées au lavoir. Ci-contre, l’aménagement lui même du lavoir permet la sauvegarde de patrimoine mais aussi de pratiques culturelles comme ici à Auray (56) ou à Niort (79).
Outils & Partenaires - Utilisation d’un classement au titre de l’article LI23 - I - 5,7° du code de l’urbanisme, dans le PLUi pour la réhabilitation des patrimoines liés à l’eau - La création d’une association chargée de l’entretien et de l’animation autour des éléments patrimoniaux - La création d’une cartographie des chemins dans le but d’une remise en circulation de ces anciens chemins - La mise en place d’un balisage des sentiers anciens entre les éléments patrimoniaux - Le sensibilisation autour de l’interdépendance entre tout les éléments patrimoniaux hydraulique et le système hydraugraphique - La mairie de Petit-Palais - Le Conseil Général - Les habitants - L’association “Les petit pas de Petit-Palais” - L’association à créer autour des éléments patrimoniaux.
ENSAPBX / Le Barde du Label / Mairie de Saint-Christophe-des-Bardes
5
REDÉCOUVRIR UN PATRIMOINE DELAISSÉ
Lavoir du hameau des Huguets
Le lavoir des Huguets Le hameau des Huguets est moins développé que celui de La Motte. Le lavoir se situe dans son coeur mais il est caché dans les boisements et est beaucoup moins visible. Il a été moins moteur dans le développement du hameau, il n’en reste pas moins un lieu d’échange et de rencontre. Sa position dans les bois lui confère un caractère intime bien adapté au bourg. Sa proximité avec la route le rend idéal pour créer un nouvel espace public au sein du hameau.
Eclaircissement des abords pour améliorer la visibilité de l’ouvrage
Mise en place d’un revêtement minéral autour du lavoir pour le mettre en valleur
ENSAPBX / Le Barde du Label / Mairie de Saint-Christophe-des-Bardes
7
6
Créer des franges épaisses, appropriables par les habitants
Contexte Petit Palais bénéficie d’une situation particulière dans un fond de vallon et de franges urbaines très diversifiées. Au Nord, une frange épaisse composée de prairies et au Sud et à l’Ouest une frange au contact de la vigne. Nous sommes partis de la comparaison entre ces franges qui amenaient à s’interroger sur le rapport direct ou non à la vigne aini que sur l’aspect positif d’une mise à distance. Cette mise à distance permet la création d’espaces public et favorise la qualité de cadre de vie. Ce système est largement transposable aux autres communes du Grand SaintEmilionais. D’autre part, le traitement de la vigne avec des produits phytosanitaires invite à s’interroger sur les nuisances d’une proximité entre habitations et parcelles traitées qui peut être néfastes pour la population locale.
LES FRANGES URBAINES COMME NOUVEL ESPACE PUBLIC L’action en quelques point consiste à : - Créer ou maintenir des franges urbaines épaisses composées de prairies, de jardins voire de vergers et de «saltus» - S’appuyer sur les opportunités existantes telles que des jardins privées ou des prairies déjà en place - Favoriser les espaces publics sur les franges urbaines comme lieu appropriable par les associations et plus largement par les habitants - Planifier et réglementer par anticipation l’implantation des habitations par rapport à la dynamique de progression de la vigne
Franges urbaines du bourg
N
Action sur la commune de Petit Palais
Objectifs - La mise à disposition d’espaces publics appropriables par les habitants - La mise à distance de la vigne par rapport aux lieux de vie - La revitalisation des centres bourgs - La mise en place d’un espace de type «saltus» pour épaissir les franges urbaine et accueillir de nouveaux usages
18
Progression de la vigne aux abords du centre bourg depuis 1959
La « V.U.E. » en projet ou le patrimoine mondial à l’épreuve de la médiation paysagère. Contribution à l’élaboration d’un projet de territoire partagé dans le grand Saint-Emilionnais.
FRANGES AU CONTACT DE LA VIGNE
Habitation au contact de la vigne
Création d’une haie large entre les deux parcelles
On met la vigne à distance des habitations en mettant en place une haie large perméable voire d’un fossé ponctuellement en eau. Cette haie va permettre de protéger l’habitation des produits utilisés pour la vigne par phytoépuration.
20
Habitation séparée de la vigne par une bande enherbée
Maintien de la frange végétale par la mise en place d’un espace de brousaille (saltus) ouvert au public
On maintient la frange végétale par une gestion et un entretien régulier qui permet aux habitants de s’approprier cette espace en lui donnant de nouveaux usages.
Parcelle urbanisable au contact de la vigne
Planification de l’extension urbaine par rapport à la vigne
On préconise ici l’implantation du jardin en limite de la vigne pour mettre à distance l’habitation par rapport à la vigne. Un espace entretenu de type «saltus» vient s’ajouter dans cette lisière épaisse. Ces espaces de frange sont des espaces qui restent perméable pour favoiser les échanges.
La « V.U.E. » en projet ou le patrimoine mondial à l’épreuve de la médiation paysagère. Contribution à l’élaboration d’un projet de territoire partagé dans le grand Saint-Emilionnais.
Jardiins Prairies Boisements
Brouissailles
Champs Vignes
Habitation au contact des prairies
Habitation séparée de la vigne par une bande enherbée
Habitation au contact de la vigne
Parcellle urbanisable au contact de la vigne Carte des franges urbaines de Petit Palais
ENSAPBX / Le Barde du Label / Mairie de Saint-Christophe-des-Bardes
19
FRANGES ÉPAISSES D’ÉLEVAGE
Structures hydraulique Remise en état du cours d’eau par curage pour éviter les inondations Entretien de la ripisylve Gestion du bois mort pour éviter de bloquer le cours d’eau
Habitation au contact des prairies
Outils & Partenaires - La gestion des prairies, des masses végétales, des jardins, voire des vergers à proximité des bourgs - La mise en place d’un article dans le PLUi pour favoriser la création de franges végétales entre la vigne et les habitations - La planification et la réglementation de l’extension urbaine et viticole - La sensibilisation de l’intérêt des franges épaisses autour du bourg
Prairie - Espaces Ouverts Maintien de l’élevage Implantation d’éleveur Gestion de la prairie Favorisation d’implantation de prairies naturelles
Haie - Cadrage Préservation des cadrages Maintien des différents plans hiérarchisés
- Habitants - Viticulteurs - Associations - Éleveurs
ENSAPBX / Le Barde du Label / Mairie de Saint-Christophe-des-Bardes
21
Projet de paysage sur un territoire fragile
Capbreton avec et contre les eaux Faire cohabiter la ville, l’Océan et le Boudigau BENOIT Gaël, CATHALIFAUD Coralie, MAHOUDO Floriane, RAYNAUD Tiffany.
OBJECTIFS DU MODULE : Ce module porte sur la définition et la formalisation de démarches de projets de paysage appliquées aux problématiques du littoral aquitain. L’étudiant est confronté à des paysages qui se caractérisent par des dynamiques naturelles fortes (érosion, dynamique dunaire, dynamiques aquatiques et forestières, prégnance du vent, etc.) et par des équilibres fragiles. Ces territoires font l’objet de pressions d’occupation par l’homme qui se sont accentuées à la fin du XX° siècle. Ces pressions sont de deux ordres : tourisme (occupation saisonnière) et urbanisation à caractère général (occupation permanente). A la fin de la mission de la MIACA – Mission Interministérielle pour l’Aménagement de la Côte Aquitaine – dans les années 80 et à la suite des lois de décentralisation, les communes (urbanisme) et les départements (routes) ont exercé sur le territoire des compétences majeures en terme de planification et en termes opérationnels. Jusqu’à une époque récente aucun dispositif stratégique à l’échelle territoriale n’avait été mis en place à l’exception de quelques rares SCOT et de l’application de la loi « littoral » dans une logique de protection. L’objectif au regard de la progression pédagogique de la formation paysage est de mettre l’étudiant en position d’expérimenter l’ensemble du processus de projet de paysage et de le confronter à une situation concrète complexe, caractérisée par la nature du territoire et sa dynamique et par la complexité de la problématique (conflits entre fragilités du territoire et enjeux de développement). L’étudiant doit mettre ses savoirs et savoir-faire acquis au service d’une démarche personnelle de projet, inscrite dans une problématique réelle et dans un dialogue avec des décideurs et acteurs de l’aménagement (élus, administration, etc) Les étudiants du Master 2 PEEPUT associés à la conception du projet de paysage et de territoire développent les démarches et les outils d’une stratégie d’aménagement centrée sur la valorisation des ressources environnementales de leur site de projet. Attentifs à l’identification de ses logiques écosystémiques, ils doivent veiller à ce que les orientations du projet de paysage participent pleinement, et de façon opératoire, au développement de ses qualités environnementales, sociales et économiques. OBJECTIFS DU PROJET : Le projet concerne la ville de Capbreton sur les 50 prochaines années, en lien avec les risques d’inondations et de submersions. La ville n’a cessé de se développer contre l’océan, sa façade sur la mer étant un de ces principaux atouts. L’un des enjeux majeurs du projet est de faire en sorte que les problèmes de submersions et d’inondations de la ville n’en soient plus mais deviennent ses atouts. En pensant un développement urbain avec l’eau et non plus contre. Les phénomènes d’inondations et de submersions deviendraient l’atout de la ville, la rendant unique.
CAPBRETON - La dynamique urbaine et touristique
Le port : coeur urbain à l’origine du développement de la ville
La ville balnéaire : la façade de Capbreton sur l’océan
Le centre bourg historique : ancien village de pêcheur
CAPBRETON - La dynamique des eaux
Le mini golf fréquemment inondé
La plage et al dune au niveau du domaine du Sers s’érode
Le quartier face au Boudigau canalisé est soumis au risque d’inondation
CAPBRETON - Les enjeux Relation du trait de côte // station balnéaire Comment faire de l’accentuation de la dynamique érosive au niveau du CERS un atout pour le renouvellement de la station balnéaire ?
Relation centre bourg // Boudigau // Forêt Comment associer la centralité du bourg à celle du Boudigau de part et d’autre de ses berges ? Comment conserver l’ambiance forestière de Capbreton dans un contexte de transition agricole des pins aux champs ouvert ? Comment penser le développement urbain en lien avec les risques d’inondation ?
Relation Port // Submersion, Inondation Comment faire de la dynamique submersible au niveau du port un atout de développement pour la ville ?
Trois lieux d’expérimentations : faire le lien Comment faire un réseau efficient entre les rives du Boudigau, l’Avenue du Maréchal de Tassigny et les nombreuses venelles de la ville pour relier le centre bourg, le port et le Front de mer ? Quelle hiérarchie entre circulation douces et quelle place pour la voiture ?
s t e
LA CRIQUE
L’ESCALE
s
CAPBRETON - La stratégie d’action
LE QUARTIER DU BOUDIGAU Nous devons répondre à des problématiques liées aux différentes dynamiques naturelles telles que l’érosion, la submersion marine, la sénescence des arbres… tout en répondant également à des problématiques plus urbaines de densification, de création d’espaces publics de qualité etc.
LA CRIQUE
L’ESCALE
En lien avec les objectifs présentés ci-avant et la localisation des différentes dynamiques, trois lieux d’expérimentation ont été identifiés :
-
La crique L’escale Le quartier du Boudigau
LE QUARTIER DU BOUDIGAU
LE QUARTIER DU BOUDIGAU
.
a
s
n
CAPBRETON - Les objectifs Remettre le Boudigau au centre de la ville comme axe structurant.
Densifier la ville autour de trois pôles stratégiques. Penser le renouvellement urbain et végétal en lien avec les problématiques liées à l’eau : submersion, inondation et ruissellement. Fortifier une position urbaine sur l’eau au niveau des façades de la ville : sur l’océan et sur le Boudigau. Créer une relation à l’eau.
Relier les différents quartiers par un système de promenades le long du Boudigau et de venelles dans la ville qui favorise les modes de circulation doux. Renforcer l’axe du Maréchal Lattre de Tassigny comme axe urbain structurant.
CAPBRETON - Le plan projet La crique On anticipe le recul de la plage sur le front de mer créer une crique est le moyen de conserver et peut-être même recréer une plage que de redonner la place aux bains de mer. La nouvelle façade touristique de Capbreton offre un autre rapport urbain à l’eau.
La quartier du Boudigau On remet le Boudigau au centre en créant un nouveau quartier boisé en lien avec le vieux centre ville. On pense le développement avec les risques d’inondation en créant un autre rapport à l’eau grâce à un parc inondable inscrit dans le quartier.
L’escale On accepte le risque de submersion et on fait rentrer l’eau dans la ville en reculant la digue. Ceci nous permet de créer une extension du port et un parc submersible qui accueille les eaux. On créer un nouveau rapport au port.
L’ESCALE - Schéma directeur Faire rentrer l’eau dans la ville en créant une extension du port et un parc submersible Reculer la digue pour permettre l'extension du port Favoriser les circulations piétonnes et les modes de circulations doux Îlots urbains bénéficiant d’un nouveau rapport au port et à densifier en premier - Le parcellaire change de statut Façade à créer sur le port - parcelle à densifier en première Extension de la densification urbaine Croisement stratégique, entre le port, le parc et les habitations
L’ESCALE - Projet
A
B D
C
A’
B’
D’
C’
Niveau actuel
Recul de la digue derrière la zone submersible
Création d’un port et d’un parc submersible
Coupe CD des niveaux actuel Digue Coupe C’D’ des niveaux remaniés Coupe AB des niveaux actuel Digue Coupe A’B’ des niveaux remaniés
L’ESCALE - P
Façade tournée vers la rue et vers le port
Ruelle Quai piéton sur le port. piétonne Caractère urbain marqué qui crée le par le quinconce d’arbre lien avec la et permettant des ville rassemblements pour des évènements ponctuels comme un marché par exemple.
Promenade plantée bord du parc agrémen d'alcôves intimes où l peut se poser.
- Plan zoomé
ntée au Passerelle surplombant Extension Île du parc crée à partir grémenté l’eau qui permet l’accès du port des reliefs préexistants et s où l’on sur les îles du parc et qui non submersible créant crée des points de vue sur un point de vue unique sur l’eau le port de Capbreton
L’ESCALE - Le port - Le port L’ESCALE
L’ESCALE - Le port
Le recul de la digue permet à l'eau de s’infiltrer dans la villede et la dedigue créer une nouvelle extension du Le recul permet à l'eau de s’infiltrer port. Face à celui on crée quai encadré pardu dans la ville et decicréer uneun nouvelle extension une façade à on l’eau permettant d’intégrer port. Facefrontale à celui ci crée un quai encadré par le une portfaçade dans frontale la ville. On crée un nouveld’intégrer accès à l’eau permettant piéton favorisant un rapport plus doux et plus lent le port dans la ville. On crée un nouvel accès sur le port et permettant la déambulation. On lent a piéton favorisant un rapport plus doux et plus ainsi unport autre rapport au la port de Capbreton, sur le et permettant déambulation. On a inédit ville, rapport mettant en celui-ci. ainsidans un la autre au valeur port de Capbreton,
L’ESCALE - Le pa
inédit dans la ville, mettant en valeur celui-ci. Photomontage de la vue sur le port depuis la ruelle
er du ar er ès nt a n,
Photomontage de la vue sur le port depuis la ruelle
Photomontage de la vue sur le port depuis la ruelle
Vue actuelle
Photomontage de la vue depuis l’île centrale du parc
A p r h t L a L C c
L’ESCALE - La promenade sur la digue
Sur la digue on crée deux aménagements :
Jardin existant
parc submersible -
Une promenade plantée sur le parc avec un caractère plus intimes et rurale qui crée la transition avec les fonds de jardin. Cette promenade permet l’accueil des cyclistes et des piétons et est agrémentée de petites alcôves intimes aménagées avec des bancs.
-
Un quai plus urbain sur le port cadré par une façade bâti. Ce quai est planté d’un quinconce d’arbres permettant le rassemblement pour des évènements ponctuels tels que le marché, des fêtes annuelles, … Le bâtiment pourrait accueillir des commerces en rez de chaussé afin de créer une animation sur le quai.
Alcôves intimes
Promenade
Passerelle
Coupe de la promenade sur le parc Bâti créant une façade sur le quai
Quinconce d’arbres
Port
Coupe des quais sur le port
Après le recul de la digue l’eau pourra s’infiltrer au fil des marées dans le parc. Par accentuation des reliefs existant on va créer des îles qui resteront en dehors de l’eau où une végétation s’installera. Une strate L’ESCALE - Le ou parc herbacée s’installera sur les points l’eausubmersible ne recouvrera la terre que de temps en temps et une strate arborée sur les point les plus hauts. L'accès aux îles du parc se fera par des passerelles, les points bas n’étant Après le recul de la digue l’eau pourra s’infiltrer au fil des marées dans le parc. Par accentuation des reliefs existant on va créer des îles qui accessible que lorsque la marrée est basse. resteront en dehors de l’eau où une végétation s’installera. Une strate herbacée sur les points ou l’eau ne recouvrera la terre que L’île centrale du parc permet de créer uns’installera nouveau rapport à l’eau à de temps en temps et une strate arborée sur les point les plus hauts. aux îles se fera de par desvue passerelles, les points bas n’étant Capbreton. Sa centralité dans le portL'accès crée undu parc point unique sur accessible que lorsque la marrée est basse. L’île centrale du parc permet de créer un nouveau rapport à l’eau à celui-ci et sur la ville. Vue actuelle
Photomontage de la vue depuis l’île centrale du parc
Capbreton. Sa centralité dans le port crée un point de vue unique sur celui-ci et sur la ville.
ALL OVER - Au risque de l’architecture et du paysage
Le projet All Over était pour nous un moyen de faire connaitre le métier de paysagiste à des élèves qui commencent à se poser des questions sur leur avenir, mais également à nous confronter à une situation très concrète de projet sur un temps court. Nous voulions créer un projet partagé avec les collégiens, qu’ils ne soient pas simplement spectateurs mais aussi acteurs. Nous avons donc décidé au fil des séances de leur montrer et de les faire participer à toute les phases du processus de projet : de l’analyse à la réalisation en passant par le maximum d’outils qu’on utilise pour finir sur une construction à échelle humaine et spatialisée. Le thème du risque paraissait très compliqué, très ouvert et surtout très dangereux dans le contexte actuel. Nous avons donc décidé de le modifier en un sujet plus facile à appréhender mais non moins complexe et intéressant : le refuge. Comment se protège-t-on du risque ? Quel refuge pour quel risque ? Où se protège-t-on ? De quoi se protège-t-on ? Tant de question auxquels ont essayé de répondre les élèves par des réponses assez inattendues. Les collégiens associent plus la notion de refuge avec des sensations, des odeurs qu’avec une structure bâti. Nous avons tenté de rester sur cette thématique de la sensation très présente aussi dans le métier de paysagiste par une sortie au jardin botanique où nous leur avons fait faire un travail photographique. Le premier travail sur les limites, devait faire en sorte que les élèves aient un autre regard, plus attentif que celui qu’ils ont habituellement sur le jardin. Lors du deuxième exercice il devait photographier un endroit où ils se sentent bien, qui pouvait leur servir de refuge. Celui-ci devait leur permettre de faire des choix, et de trouver par la suite les raison de ce choix. Durant le troisième exercice il devait photographier des éléments en macro afin de récolter des couleurs, des textures, des micros détail personnel qui justifie pourquoi ils se sentent bien dans le refuge. Les dernières photos sont totalement subjectives et relèvent des sensations. Nous avons réintégré ces sensations à la notion de refuge lors des exercices suivant. Les élèves ont réalisé à partir des photos et de leurs observations au jardin botanique des maquettes de leur refuge idéal et des constructions qui mettent en scène les photos qu’ils ont préféré du jardin botanique. Chaque collégien a réalisé une maquette très personnelle et subjective de son refuge. Il a été difficile, de par la subjectivité et du coté très personnel des réalisations de crée un projet commun par la suite. Pourtant il a simplement fallu amener du matériel inspiré de par le travail des étudiants pour qu’ils s’en saisissent et qu’ils construisent une structure à taille humaine en lien avec le refuge. Leur travail avait été basé sur les sensations, la douceur et la couleur. C’est pourquoi nous avons mis à leur disposition des cerceaux coloré afin de crée les modules qu’ils souhaitaient, du tissus pour la couleur et la texture, des bambous pour créer des structures et du grillage pour modeler et habiller. Les collégiens ont réussi à créer un projet commun, autour du thème du refuge à partir des matériaux que nous leur avons fourni. Durant ces séances notre rôle a été d’impulser un mouvement plus que de diriger, ce sont ici les collégiens qui ont tout réalisé, nous avons simplement encadré et accompagné leur travail.
Stratégie territoriale et projet en milieu urbain
PROJET BEGLES PROJET BèglesGARONNE GARONNE [EURATLANTIQUE] Floriane MAHOUDO Gaël BENOIT Marc DELAUNAY
Le projet Bègles Garonne fait partie de l’OIN Bordeaux Euratlantique lancé dans le cadre de la construction de la ligne LGV reliant Bordeaux à Paris. Il s’agit de la plus grande opération urbaine en France, hors région Parisienne. Le quartier de Bègles fait partie des 5 quartiers concernés par Bordeaux Euratlantique. C’est la dernière phase de l’opération. Bordeaux métropole a fait appel aux étudiants en paysage et en architecture de l’ENSAP Bx afin qu’ils réalisent un projet urbain innovant sur ce quartier. Le quartier de Bègles se situe en bord de Garonne, le long de la rocade sur berge permettant l’accès à la ville de Bordeaux. Il s’agit donc d’un quartier stratégique puisqu’il se situe en entrée de ville. Pourtant c’est un quartier délaissé, qui s’est façonné de manière anarchique et aléatoire au fur et à mesure des opportunités. Il existe un fort potentiel sur ce lieu, avec énormément de trace du passé. La forme anarchique du quartier s’explique par la présence de nombreuses voies ferrées, signes du passé industriel du lieu, et elle pourrait devenir le potentiel de devenir de ce quartier. Notre démarche de travail a été de recenser ces accroches et de s’en servir comme levier de projet.
Carte des points d’intérêt et des accroches du territoire
ANALYSE LEGENDE Bâtiments d’intérêt et d’accroche Zone potentiellement mutable Zone d’intérêt non mutable Liaison avec un fort potentiel
D’anciennes voies ferrées strient le territoire à de nombreux endroits
La papeterie , un patrimoine industriel à mettre en valeur
Le tracé de l’ancien estey est totalement inacessible au public
ENJEUX LEGENDE Relier la ville à la Garonne.
Relier Bordeaux et Bègles.
Décloisonner les quartiers.
Mettre en valeur le patrimoine industriel.
Faire cohabiter les activités industrio-artisanale avec le résidentiel.
Reconquérir le front de Garonne
Créer une entrée de ville
OBJECTIFS LEGENDE Relier Bègles à la Garonne tout en soulignant les tracés des anciens esteys et des voies ferrées Décloisonner les quartiers par des venelles piétonnes Réorganiser le réseau routier afin de diversifier les moyens de circulation Mettre en avant le patrimoine industriel en créant un parc expérimental et associatif autour de la papeterie Faire muter la zone d’activité au fur et à mesure du temps et des opportunités Créer une façade d’entrée de ville sur le fleuve en aménageant un parc sur berges totalement piéton en créant un tunnel routier spectaculaire qui créé l’évenement lors de sa traversé. Densifier la ville autour de la papeterie et au niveau des parcelles mutables rapidement.
MASTER PLAN Ilot mixte peu dense car éloigné du centre ville, qui fait la liaison entre la Garonne, le projet de la Gare (à travers le quartier Marcel Sambat), l’Est de Bègles et la papeterie. Papeterie mise en valeur par un parc ouvert, mélange entre une prairie humide et une grande place propice aux évènements. Au niveau de la Garonne elle sera aménagée en esplanade des arts, également ouverte pour être visible depuis l’autre rive. Autour des cuves de la papeterie sera mis en place un boisement mettant en scène cette architecture bien particulière. Ilot urbain dense en prolongement de la zone d’activité qui s’étend sur la parcelle de la papeterie. Quartier au croisement des deux axes routiers majeurs du projet. Il s’agit du carrefour entre les ilots qu’on aménage, les nouveaux quartiers, la papeterie et le boisement. Ilot urbain trés dense à proximité du centre ville de Bègles. Il fait la laison entre l’Est et le Sud de Bègles, avec le tram et le boisement.
PROJET AUTOUR DE LA ZONE D’ACTIVITE
Ce quartier dense est au croisement des nouveaux quartiers, de la papeterie, de la zone d’activité et du parc boisé. Ce quartier est positionné idéalement pour devenir un nouveau lieu attractif de Bègles et notamment pour la mise en place de commerces de proximité manquants aujourd’hui sur ce territoire. On apportera un traitement tout particulier aux rues pour favoriser différents modes de déplacement et intensifier la liaison entre les différents quartiers et différents espaces publics.
1 2
PROJET AUTOUR DE PROJET AUTOUR DE PROJET AUTOUR DE LA ZONE D’ACTIVITE LA ZONE D’ACTIVITE LA ZONE D’ACTIVITE
majeur Unaxe axe majeur UnUn axe majeur
La ruerue de de la la zone d’activité estest prolongée, mettant en en valeur unun zone d’activité prolongée, mettant valeur La rueLa de la zone d’activité est prolongée, mettant en valeur un lieulieu quiqui fonctionne économiquement. Cette rue sera large, marfonctionne économiquement. Cette ruelarge, sera large, lieu qui fonctionne économiquement. Cette rue sera mar- marquée parpar unun alignement d’arbre et et desdes trottoirs de de grandes enverquée alignement trottoirs grandes quée par un alignement d’arbred’arbre et des trottoirs de grandes enver-envergures propice à l’accueil de commerces, terrasses, restaurants, en en gures propice à l’accueil de commerces, terrasses, restaurants, gures propice à l’accueil de commerces, terrasses, restaurants, en prolongement d’une activité local. Une bande de stationnement prolongement local.bande Une bande de stationnement prolongement d’une d’une activitéactivité local. Une de stationnement sera mise en en place le long de de l’axe afin de de favoriser l’implantation sera mise place le long l’axe afin favoriser l’implantation sera mise en place le long de l’axe afin de favoriser l’implantation de de sesses activités. activités. de ses activités.
Le Le quartier se dessine donc autour de de cette rue, quartier se dessine donc autour cette rue, Le quartier se dessine donc autour de cette rue, en en ilots découpés par des ruelles piétonnes perilots découpés des ruelles piétonnes en ilots découpés par despar ruelles piétonnes per- permettant desdes liaisons entre les les nouveaux quarmettant liaisons entre nouveaux mettant des liaisons entre les nouveaux quar- quartiers de Bègles Ouest et la papeterie, ainsi que de Bègles Ouest et la papeterie, ainsi que tiers detiers Bègles Ouest et la papeterie, ainsi que la liaison entre l’ilot culturelle et l’hotel de ville. la liaison entre l’ilot culturelle et l’hotel la liaison entre l’ilot culturelle et l’hotel de ville.de ville. LesLes coeurs d’ilots sont privés mais accessible coeurs sont privés mais accessible Les coeurs d’ilots d’ilots sont privés mais accessible auau public avec un traitement boisé du même avec un traitement boisé du même au public public avec un traitement boisé du même type qu’au bois habité à Lille permettant ainsi type bois qu’au bois habité à Lille permettant type qu’au habité à Lille permettant ainsi ainsi de de créer desdes espaces traversants, accessibles auau créer espaces traversants, accessibles de créer des espaces traversants, accessibles au public mais assez intimes par le couvert végémaisintimes assez intimes par le couvert public public mais assez par le couvert végé- végétal. tal. tal.
Coupe de de la rue principale. Commerces de de proximité et terrasses la rue principale. Commerces proximité et terrasses CoupeCoupe de la rue principale. Commerces de proximité et terrasses
LA ZONE D’ACTIVITE
Des ruelles piétonnes étroites PROJET AUTOUR DE
LA ZONE D’ACTIVITE
Des ruelles piétonnes étroites
sés par des ruelles piébles qui depar des ruelles piéLes permettent ilots sont divisés ntre lestonnes différents quar-qui permettent de et cyclables faire laet liaison entre les différents quarront étroites minérales tiers. Ces ruelles seront le caractère urbain etétroites et minérales afin de retrouver le caractère urbain et on peut retrouver dans l’ambiance que l’on peut retrouver dans lle ouun dans quartiers vieuxlescentre ville ou dans les quartiers oitessed’échoppes. des rues L’étroitesse permet des rues permet de créer l’on des surprises rises lorsque tombe lorsque l’on tombe sur des espaces publiques plus ouverts publiques plus ouverts comme les placettes ou les coeurs d’ilot, ttes ou les coeurs d’ilot, rytmant ainsi le cheminement au sein du heminement quartier. au sein du
Ruelle piétonne qui relie la Garonne à la mairie
Ruelle piétonne qui relie la Garonne à la mairie
PROJET AUTOUR DE LA ZONE D’ACTIVITE
Une diagonale PROJETdestructurante AUTOUR DE
LA ZONE D’ACTIVITE
Une diagonale destructurante
agonale traversera le quartructurer l’espace mais surUne ruelle en diagonale traversera le quarparc du quartier Lacoste au tier afin de destructurer l’espace mais surde la Papeterie manière tout de relierde le parc du quartier Lacoste au t axe nouveau va créerparc unedeperspecla Papeterie de manière plus directe. Cet axe croiva créer une perspecent réinvesti. A chaque tive sur le batiment réinvesti. agonale avec les ilots nou al- A chaque croisement de la diagonale avec les ilots nou alacettes de différentes tailles lons créer des placettes de différentes tailles ont permettre de vont rytmer les de rytmer les et formes qui permettre et derues, créerlesdes espaces pu- des espaces puusages et de créer bliques mixtes. Diagonale qui destructure la linéarité de la- rue lien avec la papeterie Diagonale qui destructure la linéarité de la rue lien- avec la papeterie
Les ruelles piétonnes la lia PROJETpemettent AUTOUR DE la papeterie etLAleZONE boisement qui peut é D’ACTIVITE Une mutation dans le temps Ces ruelles ont donc un caractère beau de petites allées pavées et des pieds d pour apporter un cadre plus champêtr tente. Chaque batiment possède une t des haies champêtres de chaque coté d très intimes à celle-ci. Ces rues peuvent par la suite être pr sement jusqu’à la ZAC de la mairie a centre ville à la papeterie par un résea dins. La zone d’activité va subir une mutation dans le temps avec un changement de fonction, passant d’une activité industrielle à une activité artisanale, de petits commerces ou de terrasses, et d’un changement d’organisation spatiale. L’idée est qu’au fil des opportunités, les parcelles soient rachetées afin de les rediviser et de les réduire. Les accès au batiments ne se feraient plus par la rue de la Moulinatte, mais par de nouvelles rues orientées vers la papeterie, créant le lien entre le nouveau parc et le boisement. Ces rues, de chaque coté des batiments auraient des fonctions différentes : l’une permettant l’accès des livraisons ou des employés, et l’autre piétonne permettant l’accès du public, des clients, ...
Coupe des différentes rues qui structurent le projet : boulevard urbain - rue de livraison - ruelle piétonne commerçante
PROJET AUTOUR DE LA ZONE D’ACTIVITE Les ruelles piétonnes pemettent la liaison entre le parc de la papeterie et le boisement qui peut évoluer dans le futur. Ces ruelles ont donc un caractère beaucoup plus rural, avec de petites allées pavées et des pieds de batiments plantés pour apporter un cadre plus champêtre et propice à la détente. Chaque batiment possède une terrasse intimisée par des haies champêtres de chaque coté donnant un caractère très intimes à celle-ci. Ces rues peuvent par la suite être prolongée dans le boisement jusqu’à la ZAC de la mairie afin de reconnecter le centre ville à la papeterie par un réseau de parcs et de jardins.
ommerces, d’artisanat et de restaurants qui relie la pape Rue de commerces, d’artisanat et de restaurants qui relie la papeterie au parc boisé
a liaison entre le parc de eut évoluer dans le futur. beaucoup plus rural, avec eds de batiments plantés mpêtre et propice à la déune terrasse intimisée par oté donnant un caractère
e prolongée dans le boirie afin de reconnecter le réseau de parcs et de jar-
PROJET AUTOUR DE LA ZONE D’ACTIVITE Rue de co Les ruelles piétonnes pemettent la liaison entre le parc de la papeterie et le boisement qui peut évoluer dans le futur. Ces ruelles ont donc un caractère beaucoup plus rural, avec de petites allées pavées et des pieds de batiments plantés pour apporter un cadre plus champêtre et propice à la détente. Chaque batiment possède une terrasse intimisée par des haies champêtres de chaque coté donnant un caractère très intimes à celle-ci. Ces rues peuvent par la suite être prolongée dans le boisement jusqu’à la ZAC de la mairie afin de reconnecter le centre ville à la papeterie par un réseau de parcs et de jardins.
Rue de commerces, d’artisanat et de restaurants qui relie la papeterie au parc boisé
papeterie au parc boisé
Croquis réalisé à la main, directement sur le terrain J’aime beaucoup dessiner et c’est pour moi le moyen d’avoir un premier contact approfondi avec le territoire que j’appréhende. J’affectionne tout particulièrement de dessiner avec des stylos à encre noire ou des feutres, permettant d’allier différentes mines, différents types de traits et différents noirs. J’ai sélectionné quelques croquis réalisés par moi-même, directement sur le terrain avec des stylos à encre noires.
Croquis sur les paysages d'élevages intensif de Bretagne centrale
Croquis du jardin de la villa Cetinal Ă proximitĂŠ de la ville de Sienne Croquis d'un arbre se dessinant sur un muret de schiste dans l'Arboretum de la ville d'Angers
Croquis des paysages de la campagne de Toscane
Croquis de la plaza della Signoria Ă Florence