MOT DE L’ÉDITRICE
Chères amies, chers amis, Une immense fierté m’habite chaque fois que je vous accueille à la Soirée des Grands Bâtisseurs, car il est primordial pour moi que l’on célèbre ensemble les entreprises visionnaires du domaine de la construction, de l’immobilier et de l’architecture. Ces organisations sont constituées d’humains créatifs et dévoués qui laissent leur empreinte dans le paysage urbain.
Cette 5e édition, qui se déroule sous le thème « Toujours en évolution », sera guidée par la talentueuse Anne Boivin, ING., ECC, associée et vice-présidente chez GLT+ services en construction. Son expertise inégalée et son dévouement sans faille font d’elle une maitresse de cérémonie à la hauteur de cette prestigieuse occasion. Nous remettons cette année notre Prix Hommage à une personne exceptionnelle, dont la détermination et le leadership ont marqué notre industrie, Kheng Ly, fondateur, président et chef de la direction de Groupe Brivia. Son parcours inspirant et sa vision novatrice ont contribué ainsi à modeler le visage de nos communautés.
Il est également essentiel de reconnaître les artisans qui ont fait de cet événement une réalité, dont Groupe Geyser, qui a reconstruit l’Espace Paddock, où nous nous réunissons pour cet événement important. Je remercie également toutes les personnes qui assistent à nos événements et lisent nos publications, ainsi que l’ensemble de nos partenaires pour leur précieux apport.
En feuilletant les pages de ce livre de collection, vous découvrirez des histoires captivantes, des projets audacieux et des réalisations inspirantes qui façonnent notre monde en évolution perpétuelle.
Bonne lecture et bonne soirée des Grands Bâtisseurs !
ANNE BOIVIN MAÎTRESSE DE CÉRÉMONIE
Ingénieure-gestionnaire, Anne Boivin s’est bâtie en 30 ans une carrière solidement ancrée dans le domaine de la construction.
Déjà en début de parcours, elle se consacre à sa passion des grands projets : la construction de centrales hydroélectriques. C’est l’occasion d’instaurer sa vision unique de la gestion, créative et rassembleuse. Son audace et ses qualités de précurseur traceront
la suite en lui permettant d’occuper des postes de haute direction en gestion de projets d’envergure pour les secteurs de l’énergie, du transport et du bâtiment institutionnel.
Elle met aujourd’hui ses nombreuses expériences et sa profonde compréhension des enjeux en réalisation de projets complexes au service des donneurs d’ouvrages ainsi qu’au développement de la firme GLT+.
Sa carrière, son engagement et ses actions au quotidien contribuent positivement à la promotion de l’avancement des femmes dans le domaine de la construction, ce qui lui a d’ailleurs valu le prix Femme professionnelle du concours Les Elles reconnaissent 2021.
C’est donc avec grand plaisir que nous lui confions l’animation de la Soirée des Grands Bâtisseurs 2023, aux côtés de France Goyet.
Anne Boivin
Ing., ECC, associée et vice-présidente stratégie de projets, GLT+ Services en construction
UN NOUVEAU PARTENAIRE
POUR LES GRANDS BÂTISSEURS
Cette année, j’ai été très heureuse d’accueillir à mes côtés Alexandre Lemieux, qui assurera la relève d’INNO Magazine et des Grands Bâtisseurs, à titre d’associé et vice-président du Réseau Grands Bâtisseurs.
Alex apporte un vent de fraicheur dans l’entreprise par ses idées nouvelles. Comme moi, il se passionne d’architecture et de design et il aime entrer en relation avec les gens. De plus, nous partageons la même vision de l’industrie, c’est-à-dire de positionner le Québec comme un carrefour international en matière d’immobilier et de construction. Nous avons aussi l’ambition de faire du Réseau Grands Bâtisseurs un outil incontournable pour réseauter et mettre en valeur les leaders du domaine.
Sa fougue entrepreneuriale, son savoir en immobilier et construction ainsi que ses talents de communicateur seront pour moi d’un grand soutien dans le développement de mes projets. Il constitue assurément une relève dynamique et compétente.
Je vous invite donc à faire sa connaissance et à l’accueillir chaleureusement dans votre réseau !
Kheng Ly
Fondateur et président, Chef de la direction, Groupe BRIVIA
Animé par une vision inspirante, M. Kheng Ly a fondé Brivia en 2000, avec le désir de réaliser des projets audacieux et haut de gamme qui bénéficient aux communautés et propulsent le développent urbain des villes où ils s’installent.
Le portfolio de son entreprise témoigne bien de l’expertise profonde et de la compétence de son équipe. Son intégrité et son sens des affaires en font un partenaire de choix dans l’industrie.
INVESTISSEMENTS RAY JUNIOR
Ray Junior Courtemanche
IVANHOÉ CAMBRIDGE
John Rosato
JCB CONSTRUCTION CANADA
Alexandre Stephane Boucher
MAGIL CONSTRUCTION
John Marcovecchio
NORDEV IMMOBILIER
Pierre H. Ali
OMNIA TECHNOLOGIES
Jean-Francois Beaulieu
POMERLEAU
François Tremblay
POMERLEAU
Tim Fitzpatrick
QUO VADIS
RACHEL JULIEN
ROSEFELLOW
MOT DE ROGER PLAMONDON
Le 13 juin dernier, je livrais ma dernière allocution à titre de président du groupe immobilier Broccolini lors des consultations de l’Office de consultation publique de Montréal concernant notre plus récent projet, le Triangle Saint-Patrick, au confluent des quartiers PointeSaint-Charles, Griffintown et Bridge-Bonaventure. Je suis convaincu que cette localisation des plus stratégiques mérite un projet ambitieux qui, évidemment, respectera le patrimoine architectural de Montréal.
Dans le cadre de mes anciennes fonctions, j’ai siégé à plusieurs comités consultatifs, notamment Chantier Montréal abordable auquel je continue de coprésider encore aujourd’hui. Ceux-ci avaient notamment comme mandat de réfléchir sur l’avenir du secteur immobilier à Montréal et d’avancer des pistes de solution en réponse aux enjeux actuels, à savoir l’accessibilité, l’abordabilité et la cohabitation — ou l’intégration — des projets, que nous appelons la mixité. Ces sujets, particulièrement chauds en ce moment, doivent appeler une collaboration des acteurs et une synchronicité des actions.
Le secteur immobilier fait partie de la solution à cette crise et mes anciens collègues et employeurs continueront de jouer un rôle de premier plan afin d’en atténuer les effets négatifs. Pour ma part, à titre de nouveau retraité, je vais poursuivre mon implication l’an prochain au sein du GALOPH, le Groupe d’accélération pour l’optimisation du projet de l’Hippodrome. Mon rôle sera de représenter les grands constructeurs et vous pourrez continuer de miser sur moi : je vous représenterai toujours de manière très efficace et avec la même rigueur !
Alors que j’ai bouclé une carrière de près de 40 ans dans l’immobilier, je veux remercier toutes celles et tous ceux que j’ai croisés au cours de ma carrière, et
ce, dans tous les secteurs dans lesquels j’ai travaillé, notamment dans le commerce de détail. Beaucoup de ces personnes m’ont influencé et m’ont fait grandir. Malheureusement pour eux, je les ai sans doute aussi influencés en retour ! Et que dire que ceux et celles que j’ai mentorés ? J’espère que j’aurai su leur transmettre ma passion, celle de l’immobilier, mais aussi celle du mentorat.
Je veux aussi remercier chaleureusement la grande famille du Groupe Broccolini, avec qui j’aurai passé les 15 dernières années. C’est au sein de cette équipe extraordinaire que j’ai eu la chance de travailler sur des projets marquants qui ont changé le visage de Montréal, la « carte postale » de Montréal, comme j’avais l’habitude de dire. Je suis très fier du travail accompli et je souhaite aux nouveaux présidents, Anthony et Michael Broccolini, le meilleur des succès au cours des prochaines années.
Osons l’immobilier en continuant d’innover et de proposer des projets distinctifs dans cette métropole que nous voulons attractive, originale et aussi chaleureuse pour ses citoyens, comme pour ses touristes.
GROUPE BRIVIA, UNE VISION D’AVENIR
Fondé à Montréal en 2000, Groupe Brivia est une société d’investissement et de développement immobilier en forte croissance menée par la vision de son président et chef de la direction de Kheng Ly. L’entreprise compte à son actif multiples réalisations d’envergure notamment des condominiums, des condos locatifs dans les régions du Grand Montréal, de Québec, de Toronto et de Vancouver ainsi que des résidences de villégiature à Mont-Tremblant.
briviagroup.ca
1425, boul. René-Lévesque Ouest, Bureau 503
Montréal (Québec) H3G 1T7
T 514 728 8889 | info@briviagroup.ca
Totalisant près de 11 000 000 pi² de surface brute constructible, Groupe Brivia compte un portefeuille de plus de 30 projets complétés ou en développement, dont des projets résidentiels récipiendaires de nombreux prix et distinctions. Sa filiale de gestion, BriviaManagement est une société de services professionnels de gestion intégrée du développement.
Parmi ces projets emblématiques, on y retrouve notamment YUL Condominiums (Phase 1 et Phase 2), QuinzeCent, 1 Square Phillips, Mansfield Condos, Stanbrooke ainsi que LB9 à Québec.
La mission du Groupe Brivia est de créer des espaces de vie audacieux et de qualité, tout en répondant aux attentes des investisseurs, des partenaires et des communautés voisines.
Animée par ses valeurs fondamentales : l’intégrité, la transparence, la responsabilité sociale et la création de valeur pour les actionnaires et la responsabilité, Groupe Brivia repose sur ses piliers stratégiques : les humains, la qualité, le partenariat, la croissance, les finances et la communauté.
Vancouver est la toile parfaite pour ce projet visionnaire : CURV — une tour Passive House de luxe de 60 étages réalisée en collaboration avec les renommés Tom Wright et Andres Escobar. Ce projet se dresse comme un hommage à la ville et une nouvelle référence en matière d’excellence, de design et de réalisation environnementale dans le monde entier. Une fois achevée, elle sera également la plus haute tour résidentielle à Vancouver.
En vente maintenant.
thecurv.ca
T 604 960 2878 | info@thecurv.ca
Situé au cœur de la chaîne de montagnes des Laurentides et au sein de la célèbre destination internationale de villégiature 4 saisons de Tremblant, ce site d’aménagement foncier de plus de 14 hectares prévoit un développement de type « ski-in / ski-out ».
Le projet de plusieurs phases reliera le Versant Soleil tout en appuyant l’éventuel agrandissement du domaine skiable de Tremblant.
En vente maintenant.
lhymnedestrembles.ca
T 1 819 681 8989 | info@lhymnedestrembles.ca
À la porte d’entrée du centre-ville, entre fleuve et montagne, ce projet de 36 étages offrira un style de vie sophistiqué et luxueux à tous ses résidents. Les espaces commerciaux situés aux premiers étages embelliront le boulevard René-Lévesque.
Livraison 2023.
1500montreal.ca
1500, boul. René-Lévesque Ouest Montréal (Québec) H3H 1P8
T 514 315 1500 | info@1500montreal.ca
Codéveloppé par Groupe Brivia et Groupe Tianco, le projet YUL se distingue par sa façade unique avec son design en « blocs décalés ». Ce nouvel immeuble emblématique du centre-ville offre des vues exceptionnelles et dégagées sur la ville et se démarque par son jardin intérieur de 23 000 pi2 étant l’un des plus vastes espaces verts intégrés à des condominiums à Montréal. Vivez le meilleur de la vie urbaine de luxe à Montréal.
Phase 1 : livrée en 2018.
Phase 2 : occupation immédiate.
yulcentreville.com
1441, boul. René-Lévesque Ouest
Montréal (Québec) H3G 1T7
T 514 903 8989 | info@yulcentreville.com
Situé en plein cœur du centre-ville de Montréal, au coin des rues Sainte-Catherine et Mansfield, le site a été l’emblématique théâtre Loew’s et le Club Athlétique Mansfield.
Cette nouvelle tour résidentielle d’une hauteur de 19 étages et de 226 unités amènera une offre résidentielle unique et parfaitement intégrée à la trépidante activité commerciale de cette réputée artère de Montréal.
En construction maintenant. Livraison 2024. mansfieldcondos.com
1228, rue Mansfield, Montréal (Québec) H3B 4G8
T 514 878 1238 | info@mansfieldcondos.com
Situé à deux pas de la rue Sainte-Catherine, avec ses nombreuses boutiques luxueuses et grands restaurants, qui vous guide vers le Quartier des spectacles et son km 2 de pur divertissement, ce terrain
d’approximativement 80 000 pi² sera développé afin de construire l’une des plus hautes tours résidentielles de Montréal. Cet immeuble changera certainement le paysage urbain de Montréal.
Phase 1 : livraison 2024.
Phase 2 : livraison 2025.
1squarephillips.ca
539, rue Sainte-Catherine Ouest
Montréal (Québec) H3B 1B2
T 514 617 9999 | sales@1squarephillips.ca
Situé à Lebourgneuf, à Québec, LB9 est au cœur d’une ville qui se renouvèle. Ces condos locatifs contemporains offriront aux résidents un confort exceptionnel ainsi que des vues dégagées sur la ville de Québec.
Phase 1 : complétée en juin 2020.
Phase 2 : occupation printemps 2023.
Phase 3 : en construction.
condoslb9.ca
7615, rue des Métis
Québec (Québec) G2K 2J6
T 418 210 7615 | info@condoslb9.ca
Situé dans le quadrilatère formé de l’avenue Lincoln, le boulevard de Maisonneuve, la rue Saint-Mathieu et la rue Guy, le projet LINK s’inscrit dans la dynamisation du centre-ville de Montréal.
Les appartements LINK vont au-delà de la simple location, ils incitent les locateurs à vivre une expérience en cohabitation, unique, moderne et clés en main. Une approche sociale qui suscite les interrelations avec les résidents, le milieu du travail, les institutions du savoir et le divertissement.
Occupation immédiate.
linkapartments.ca
1680, av. Lincoln, Montréal (Québec) H3H 1G9
T 514 871 5165 | info@linkapartments.ca
LE SAVOIR-FAIRE AU SERVICE DE L’INNOVATION
L’année dernière, Magil Construction réussissait l’exploit de se hisser à la 15e place du classement Top Contractors in Canada effectué par le magazine On-Site, confirmant sa position d’entrepreneur de premier plan au pays. Filiale du groupe Fayolle, l’entreprise a élargi son portefeuille dans les secteurs industriel, commercial, résidentiel et institutionnel en décrochant des contrats d’envergure dans les grandes villes canadiennes et à l’international, notamment en Afrique, au Brésil, dans les Caraïbes, en Israël et en Chine, où elle exporte son expertise et ses technologies et fait rayonner notre province.
Au fil de ses mandats, Magil maintient les plus hauts standards en matière de qualité et de développement durable, faisant de l’intégrité, de l’innovation et de la créativité ses piliers pour fournir les meilleures solutions aux bâtisseurs lors de la mise en œuvre de projets. Sa vaste expertise en équipes intégrées de même que son approche collaborative lui ont valu sa réputation d’excellence au sein de l’industrie.
Magil a récemment mis à profit son expertise dans les tours de grande hauteur au centre-ville de Montréal par la gestion de la construction du complexe hôtelier Crystal de la Montagne, de la tour multifonctionnelle Aimia Altoria certifiée LEED Argent, des tours d’habitation YUL 1 et 2 sur le boulevard René-Lévesque, et actuellement, de la première phase du 1 Square Phillips.
UN DÉFI DE TAILLE
Situé au cœur de l’effervescence de la métropole, à quelques minutes du quartier des Spectacles, le 1 Square Phillips de Brivia est l’un des projets les plus en vue à Montréal. Sa silhouette distinctive de 61 étages, conçue par la firme d’architecture MSDL, se combine à ses espaces de vie grandioses pour en faire l’une des destinations les plus recherchées par les futurs propriétaires.
La phase 1, qui sera achevée à la fin de 2024, représente un énorme défi de logistique en raison de son environnement urbain, caractérisé par un accès unique plutôt étroit pour la livraison de matériaux ainsi que par la proximité d’un hôtel et de plusieurs bâtiments achalandés. Ces derniers comportant des profondeurs de sols différentes, Magil a dû mettre en place un double mur de soutènement pour éviter d’endommager les structures.
« Nous sommes capables de surmonter les obstacles imposés par la logistique des sites, et nous nous sommes particulièrement surpassés pour celui-ci », affirme John Marcovecchio, chef de la direction chez Magil. « C’est un projet qui a traversé la pandémie et qui s’est concrétisé dans un contexte de marché surchauffé. Malgré ces contraintes et la hausse du coût
des matériaux, nous avons réussi à limiter les dépassements d’échéancier et de budget. Entre autres, nos stratégies d’approvisionnement et de construction nous ont permis de réduire certains coûts pour respecter le budget prévu au départ. Nous sommes très heureux de notre collaboration avec Brivia pour ce projet, avec qui nous avons également réalisé le YUL phases 1 et 2, Le QuinzeCent et Le Mansfield. »
DES ATOUTS CONCURRENTIELS
La gestion d’un chantier en hauteur requiert une connaissance approfondie des enjeux liés à ce type de bâtiment, que ce soit la sécurité des ouvriers, la gestion de la logistique sur et autour du site, les structures souterraines (aqueduc, égout…), ou le respect des lois et des codes municipaux et provinciaux, par exemple.
En outre, chacun des projets de Magil fait l’objet d’une analyse de valeur, qui permet de formuler des recommandations aux promoteurs et concepteurs afin d’optimiser les coûts de construction et la structure du bâtiment. L’entrepreneur a entre autres recours à la modélisation des données d’un bâtiment (BIM) pour en étudier les différents aspects. L’expérience acquise par
les gestionnaires de projets et les contremaîtres de Magil leur permet également de résoudre des problèmes au quotidien et d’atténuer l’impact des situations imprévues.
Ce sont ces avantages concurrentiels qui assurent la fidélité de la clientèle de Magil. Son équipe demeure à l’écoute de ses partenaires, et en retour, ces derniers se fient à l’expérience de l’entrepreneur, créant un esprit de confiance qui l’amène à se dépasser du début d’un projet jusqu’à sa livraison.
« Nous possédons une expérience et une façon de voir les choses qui nous sont propres. Nous sommes des pionniers dans ce type d’ouvrages, puisque nous construisons des immeubles de grande envergure depuis la fin des années 1970. En se promenant au centre-ville et à L’Île-des-Sœurs, on peut voir la cinquantaine de tours sur lesquelles nos équipes ont travaillé. Cela nous procure une immense fierté d’avoir contribué à changer le skyline de Montréal », conclut M. Marcovecchio.
COMPLEXE DES SCIENCES DU CAMPUS MIL
Pierre angulaire du nouveau campus MIL de l’Université de Montréal, le Complexe des sciences constitue un projet phare pour la métropole. Fréquenté quotidiennement par quelque 2400 étudiants, professeurs, chercheurs et employés des départements de chimie, physique, géographie et sciences biologiques, ce complexe scientifique majeur se trouve sur le site de l’ancienne gare de triage Outremont et totalise près de 60 000 m2. Ce lieu unique, dédié à l’enseignement et à la recherche, s’avère le point de départ de la revitalisation de tout un secteur.
L’architecture du Complexe des sciences émane de la volonté de redonner ses qualités de partage au territoire public et de remettre la ville en dialogue. L’ancien usage du lieu avait, en effet, provoqué une rupture dans le paysage urbain, une division entre les quartiers voisins. Le projet contribue significativement à rétablir la relation entre deux arrondissements, notamment par la création de la Promenade bleue. Évoquant, en surface, la ligne bleue du métro qui se trouve sous le projet, cette promenade réunit les quartiers situés de chaque côté des voies ferrées, les espaces verts, les lieux publics et le nouveau pavillon. De l’entrée de la station de métro Acadie à la passerelle, en suivant le pont piétonnier qui franchit les voies ferrées jusqu’à la place publique surplombant
la Bibliothèque des sciences, l’ensemble compose une traversée, un parcours qui connecte les espaces entre eux, à l’image des liens qui se tissent entre les communautés.
Le projet soutient le développement d’un milieu universitaire innovant, en constante évolution. Le design architectural avantage la synergie des différents usagers, le réseautage, l’interconnexion et le partage de ressources. Les espaces communs, de détente et événementiels sont considérés comme de véritables extensions des salles de cours et des laboratoires, et constituent des lieux de convergence animés qui favorisent la collaboration et l’innovation. La principale stratégie du projet fut de réunir les pôles Enseignement et Sciences, deux bâtiments en apparence distincts, par la bibliothèque qui se déploie le long de cours paysagées et se dévoile en paliers multiples, du rez-dechaussée au sous-sol, sous la promenade bleue. La volumétrie de ce parcours génère des espaces ouverts et lumineux qui offrent de larges perspectives visuelles sur les autres composantes du complexe.
La configuration spatiale des circulations est conçue telle une ramification qui s’étend sur tout le site, et qui traverse les espaces publics à différents niveaux. Les salles de classe, les laboratoires, la bibliothèque, l’agora et autres sont ainsi interreliés afin de composer
un ensemble stimulant l’interdisciplinarité et l’interactivité. Ces lieux, en plus d’être dotés des plus récentes technologies, favorisent les échanges, les rencontres formelles et informelles comme autant de catalyseurs de créativité.
Certifié LEED ® Or, le projet se démarque particulièrement par la valorisation des espaces verts sur l’ensemble du site, permettant la revitalisation d’une friche industrielle et le retour de la végétation dans ce secteur de la ville. Les jardins et les deux vastes cours intérieures le long de la promenade bleue sont composés de plantes indigènes choisies pour leur faible besoin d’arrosage, et surtout, parce qu’elles sont présentes sur le mont Royal, lieu intimement lié à l’Université de Montréal. Ainsi, en plus d’unifier les pôles Sciences et Enseignement et d’offrir un espace de contemplation aux usagers, ces jardins rappellent un pan de l’histoire de l’institution.
UN ENGAGEMENT ESG QUI ENRICHIT NOS COMMUNAUTÉS
Depuis plus de 30 ans, le Fonds immobilier de solidarité FTQ contribue au développement économique du Québec en participant financièrement et stratégiquement à la réalisation de projets immobiliers rentables, créateurs d’emplois et socialement responsables en partenariat avec des leaders de l’industrie. Il appuie le démarrage de projets immobiliers de toutes tailles et dans toutes les régions du Québec, dans les secteurs résidentiel, de bureaux, commercial, institutionnel et industriel.
Au 31 décembre 2022, le Fonds immobilier comptait 43 projets en développement ou en construction d’une valeur de 4,8 milliards de dollars, qui créeront à terme 27 150 emplois; 65 immeubles en gestion d’actifs; 3,7 millions de pieds carrés de terrains à développer; et des investissements totalisant 291 millions de dollars pour des projets à vocation sociale ou communautaire.
Soucieux d’avoir un impact sur le mieux-être des collectivités, le Fonds immobilier souhaite agir à titre de catalyseur de changement afin d’assurer la pérennité des bâtiments d’aujourd’hui et de demain.
Dans cette optique, il s’est engagé dans une démarche afin d’accroître la part de son portefeuille en immobilier durable en intégrant les facteurs ESG (environnementaux, sociaux et de gouvernance) dans ses décisions
d’investissement, tout en jouant un rôle d’influenceur dans l’industrie afin que ses partenaires-promoteurs optent pour des constructions plus durables.
DES MILIEUX VERTS ET PLUS INCLUSIFS
Sur le plan environnemental, cela se traduit notamment par un plus grand nombre d’immeubles écoresponsables détenant des certifications (telles que LEED, WELL et BOMA BEST), des projets axés sur le transport en commun et des projets mixtes intégrant plusieurs composantes. Le Fonds immobilier mesure également le bilan carbone de ses actifs sous gestion et de ses projets en construction, de sorte qu’il puisse se fixer des objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre.
Les facteurs sociaux sur lesquels le Fonds immobilier agit incluent les investissements dans des projets communautaires ou d’habitations abordables menant à un meilleur accès au logement pour tous. De son côté, la gouvernance se manifeste par les valeurs de respect, d’intégrité et de solidarité.
« Fort du savoir-faire de nos quelque 50 partenairespromoteurs avec qui nous faisons équipe dans nos projets et de notre engagement à intégrer les facteurs ESG dans nos pratiques, le Fonds immobilier atteint des objectifs de performance et d’impact socialement responsables et durables », résume Martin Raymond, président-directeur général du Fonds immobilier de solidarité FTQ. « Notre équipe cumule des expertises multidisciplinaires tant en investissement, en développement, en gestion d’actifs et en gestion immobilière, que dans les domaines des finances, du droit et du marketing qui profitent à tous nos projets. Nous jouons un rôle de catalyseur dans l’industrie et nous innovons en proposant des solutions adaptées aux besoins de notre société et de nos partenaires pour que nos investissements dans des projets, qu’ils soient résidentiels avec des logements sociaux, communautaires ou abordables, industriels, de bureaux et mixtes, bénéficient à l’ensemble de l’économie du Québec. »
DES INVESTISSEMENTS PORTEURS DE SENS
L’investissement dans NOVIA, un projet signé LSR GesDev et situé à Longueuil combinant des espaces de bureaux, un restaurant et des appartements haut de gamme, démontre bien l’engagement ESG du Fonds immobilier. Sa haute efficacité énergétique
Édifice Louis-Laberge — Montréal Propriétaire : Fonds de solidarité FTQ
Gestionnaire : Fonds immobilier de solidarité FTQ
et ses toitures vertes réduisant les ilots de chaleur permettent de minimiser les émissions de gaz à effet de serre, tandis que la gestion optimisée des déchets et de l’eau favorise l’économie de ressources.
Espace Montmorency, un autre projet à usage mixte du Fonds immobilier, avec Montoni et Montez Corporation, se démarque par les processus automatisés de gestion de l’eau, la mise en place d’appareils à faible consommation d’énergie, et l’utilisation de matériaux à contenus recyclés et produits localement ainsi que de bois FSC. Il vise une certification LEED v4 AQ de niveau Or.
En outre, l’édifice Louis-Laberge, qui appartient au Fonds de solidarité FTQ et qui est géré par les équipes de gestion immobilière du Fonds immobilier, est le premier immeuble doublement certifié de niveau platine au Québec, soit BOMA BEST Platine depuis 2019 (renouvelée en 2023) et LEED V.4 O+M Platine.
« Certains promoteurs estiment encore que cela coûte plus cher de construire vert et que les acheteurs ne sont pas sensibles aux atouts d’un bâtiment écoresponsable. Nous voulons démontrer le contraire par des analyses concrètes qui nous donneront des outils pour convaincre les parties prenantes en immobilier que construire mieux et de façon plus durable est rentable et avantageux », souligne Martin Raymond, présidentdirecteur général du Fonds immobilier de solidarité FTQ.
UN PROGRAMME ESG DES
PLUS AMBITIEUX
Depuis que MONTONI a réalisé en 2005 le premier projet LEED ® Or1 au Canada, soit Logistik Unicorp, l’entreprise a livré plus de 50 projets LEED totalisant quelque 4,5 millions de pieds carrés, en plus des 7 millions de pieds carrés qui sont en cours de construction. Les nombreux prix liés au développement durable que le promoteur-constructeur a remportés, dont le prix du Leadership décerné par le Conseil du bâtiment durable du Canada (CBDCa) en 2013 et le prix Leader en transport durable MOBA pour la réduction de l’impact environnemental du siège
social montréalais d’Ericsson en 2016, témoignent de son engagement à adopter des pratiques écoresponsables. MONTONI a également inscrit 2 millions de pieds carrés au programme de la Norme du bâtiment à carbone zéro — Performance (BCZ-Performance) et la Norme du bâtiment à carbone zéro — Design (BCZ-Design).
Après avoir mis sur pied son programme Distinction, qui vise à réduire l’impact environnemental de tous les bâtiments qu’il construit, MONTONI fait à nouveau figure de précurseur avec stratégie ESG « Ambition par Montoni ». Lancé en décembre 2022, cette stratégie s’inscrit dans sa culture de respect du patrimoine naturel et de préservation de l’environnement. Elle a pour but d’optimiser les processus
pour établir de nouvelles ambitions de durabilité, d’efficacité énergétique et d’écoresponsabilité au sein de l’industrie, dans le cadre de la lutte contre les changements climatiques. Cette démarche audacieuse est une des premières dans le domaine de l’immobilier qui se distingue par ses objectifs de carboneutralité dès 2030-2040.
« Notre président, Dario Montoni, insiste toujours pour dire que nous devons être conscients de notre impact. Nous le voyons comme une responsabilité de faire notre part », souligne Geneviève David Watson, responsable en développement durable et ESG, embauchée en 2021 pour mettre en place ce programme. « Ambition se base sur les meilleures pratiques et des standards internationaux connus. Il permet de communiquer nos objectifs à nos partenaires tout en servant d’outil de gestion et de prise de décision. »
LES CINQ AXES DU PROGRAMME
Les cinq axes — ou « ambitions » — du programme s’articulent autour des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). La première ambition, les Changements climatiques, a pour objectif de réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) et d’atteindre la carboneutralité dans les projets et les activités de l’entreprise. L’amélioration de la collecte de données
sur les émissions de GES de MONTONI permettra de diminuer plus efficacement l’impact environnemental des nouvelles constructions, par exemple en faisant évoluer le programme Distinction, en analysant le cycle de vie des projets et en accompagnant les clients dans l’atteinte des normes en vigueur. Concrètement, MONTONI s’engage à réduire de 50 % les émissions de gaz à effet de serre de ses nouveaux bâtiments d’ici 2030 et à atteindre la carboneutralité d’ici 2040.
L’Environnement constitue la deuxième ambition. Elle comprend la saine gestion des chantiers de construction, l’optimisation de l’utilisation de l’eau et la réduction des matières résiduelles générées par la construction. Bref, il s’agit de continuer à concevoir des projets de qualité tout en respectant les ressources.
L’ambition appelée « Talents et culture » mise entre autres sur le développement et la gestion de la relève, la mobilisation et la reconnaissance des employés, la consolidation des valeurs de diversité, d’équité et d’inclusion, ainsi que les pratiques favorisant un mode de vie sain et actif.
La Communauté constitue le quatrième volet et vise à faire de MONTONI un citoyen corporatif exemplaire, notamment par la création de la Fondation MONTONI. Axée sur la prévention, la Fondation MONTONI travail-
lera et soutiendra des organismes de bienfaisance dont les activités sont spécifiquement conçues pour venir en aides aux familles. Elle favorisera aussi l’engagement bénévole de tout son personnel, afin qu’ils soient à leur tour des acteurs de changement. « MONTONI a déjà donné à de nombreux organismes qui sont chers à ses dirigeants, mais nous voulons aller au-delà des dons en développant des projets communautaires », précise Geneviève David Watson.
Enfin, l’ambition Gouvernance permettra à MONTONI de maintenir de hauts standards de transparence et de redevabilité. L’adoption des meilleures pratiques commerciales, la mise au point d’une structure de gouvernance qui reflète son leadership, l’instauration d’une méthodologie ESG transparente et l’atteinte d’une performance exemplaire pour son siège social sont autant de moyens de réaliser cet objectif.
UN LEGS POUR LES GÉNÉRATIONS FUTURES
Pour mettre en place cet ambitieux programme, MONTONI procède d’abord à une collecte de données annuelle sur ses émissions de GES, afin de suivre en temps réel les émissions liées au gaz naturel, aux matériaux de construction et autres sources, puis de faire les choix qui s’imposent pour les réduire. Certains coûts supplémentaires pourront être rentabilisés par
l’économie d’énergie réalisée. Le déménagement du siège social de MONTONI dans Espace Montmorency représente une prochaine étape, dont les caractéristiques lui permettront d’espérer obtenir la certification WELL.
« Le programme Ambition ajoute une valeur aux propriétés que nous léguons aux générations futures. Il s’inscrit en continuité de notre vision, qui fait partie de notre ADN d’innovation et de développement durable depuis toujours. Nous avons une feuille de route pour nous y rendre, avec une perspective à 360 degrés qui inclut nos partenaires et fournisseurs », affirme Geneviève David Watson.
TRANSFORMER DES ESPACES EN LIEUX ÉPANOUISSANTS
On ne peut parler de Harden sans aborder la passion pour l’entrepreneuriat qui s’est transmise de génération en génération. Tout a commencé en 1949, alors que William Harden Senior et Juliette Harden fondaient la bijouterie Harden’s Jewelers à Hawkesbury, en Ontario. En 1975, William Harden Junior, surnommé Bill, se joint à l’entreprise familiale et pilote son expansion en ouvrant six succursales en Ontario et au Québec au cours des 10 années qui suivent.
En 1985, Bill Harden plonge dans l’aventure immobilière en faisant l’acquisition d’un premier centre commer-
cial et en créant la société Harden, dont la mission consiste à offrir des espaces commerciaux de haute qualité aux locataires. Au cours de la deuxième moitié des années 2000, Chris et Tyler Harden, les fils de Bill, intègrent à leur tour la société, contribuant à sa croissance un peu partout au Québec et en Ontario.
L’entreprise continue de gagner en notoriété en immobilier commercial, puis en 2019, grâce à la vision de ses dirigeants, elle marque un tournant dans son histoire en ajoutant des projets résidentiels et industriels à son imposant portfolio. L’an dernier, Bill a officiellement cédé les rênes de Harden à ses fils, qui poursuivent la mission de l’entreprise, c’est-à-dire agir comme des catalyseurs de transformation par le développement, l’acquisition et la revitalisation d’espaces pour
les transformer en lieux où il faut bon vivre, travailler et s’épanouir.
À L’AVANT-GARDE DU MARCHÉ
Aujourd’hui, Harden est une entreprise intégrée qui offre des services de développement, de construction, de location et de gestion de propriétés. La vision de commerçant des dirigeants, jumelée aux valeurs de respect, d’intégrité, de bienveillance et d’esprit de communauté léguées par les fondateurs, se traduit par un excellent service à la clientèle. « Ce qui nous démarque, c’est la qualité de notre équipe », affirme Chris Harden, coprésident-directeur général. « Nous avons des employés dévoués et passionnés qui ont le bien-être de leurs collègues et de l’entreprise à cœur. Nous sommes aussi fiers des relations que nous établissons avec nos locataires, qui sont le moteur de notre entreprise. »
Constamment à l’affût de l’évolution du marché, Harden met à profit la vaste connaissance des différents experts qui composent son équipe afin de choisir stratégiquement l’emplacement de ses propriétés au Québec et en Ontario, n’hésitant pas à questionner leur vocation en prévision de procéder à un redéveloppement, au besoin, pour servir au mieux la communauté environnante. Son portefeuille résidentiel compte pas
moins de 2000 unités en développement, tandis que ses espaces industriels totalisent environ 2 millions de pieds carrés, dont fait partie le centre de distribution Walmart de l’est du Canada, situé à Vaudreuil.
« Nous sommes réputés dans le marché de Toronto, mais notre entreprise est basée dans la grande région de Montréal, alors nous pouvons établir un pont entre les entreprises de la métropole ontarienne qui souhaitent s’implanter ici, avec qui nous entretenons des liens privilégiés. Les investisseurs de l’Ontario constatent que c’est à leur avantage d’avoir un partenaire de confiance au Québec », souligne Chris Harden.
Soucieux de demeurer un joueur compétitif dans l’industrie, Harden a récemment procédé à la transformation numérique et à l’optimisation de son efficacité organisationnelle dans le but d’améliorer sa productivité par des outils de pointe.
TRANSFORMER LES COMMUNAUTÉS
En plus de contribuer à la diversité immobilière des villes, Harden se différencie par le développement d’immeubles verts. Par exemple, l’entreprise réalise des projets pilotes en vue de construire des bâtiments carboneutres et vise l’obtention d’une certification LEED pour plusieurs de ses actifs immobiliers, dont le centre de distribution de Walmart. « Les nouvelles
normes énergétiques relatives aux bâtiments étaient nécessaires, car nous, en tant que promoteurs, avons la responsabilité de développer des projets innovants sur le plan de l’environnement », croit Chris Harden.
Depuis la première génération, Harden se fait également un devoir de s’impliquer activement dans les communautés qu’elle sert afin de favoriser leur épanouissement. L’entreprise soutient l’Hôpital général de Hawkesbury, son don le plus récent ayant permis à l’Hôpital de faire l’acquisition d’un appareil d’échocardiogramme. De plus, Tyler Harden siège au conseil d’administration de la Fondation Charles-Bruneau à titre de trésorier, tandis que Chris Harden est président de Let’s Bond, une initiative ayant pour mission de dénoncer la stigmatisation liée à la santé mentale et d’encourager les pratiques favorisant une bonne santé mentale en milieu de travail. La société verse aussi des dons à plusieurs organismes locaux.
Cet engagement envers le bien-être des gens se vit au quotidien chez Harden, puisque l’entreprise s’assure de fournir à ses employés un environnement confortable et inspirant, tout comme elle demeure disponible pour ses clients en toutes circonstances.
LE PARTENAIRE-BÂTISSEUR
Groupe GEYSER est fier que les organisateurs de la 5 e édition de la Soirée des Grands Bâtisseurs aient choisi l’Espace Paddock du parc Jean-Drapeau pour la tenue de cet événement annuel, puisque les travaux de réfection ont été effectués par son équipe.
Ce projet d’envergure mondiale réalisé en 2019 a certainement contribué à accroitre la notoriété de Groupe GEYSER au Québec, mais aussi au-delà de nos frontières, en raison des événements internationaux qui y sont organisés.
Le mandat consistait à remplacer les structures temporaires existantes par un bâtiment permanent composé d’un garage, de loges, d’une tour de contrôle
et de terrasses qui s’intègrent harmonieusement à l’écosystème du parc. L’entreprise de construction a réussi à livrer le tout en un délai record de seulement 10 mois, entre les deux Grands Prix, malgré les défis que présentaient l’accès limité au chantier et la présence d’installations sportives, comme une piste cyclable et un bassin d’aviron.
Pour assurer le respect de l’échéancier immuable, les travaux de ce bâtiment au visuel moderne, qui s’étend sur environ 1200 pieds en longueur et 80 pieds en profondeur, plutôt que d’ataquer le projet de façon traditionnelle d’un côté vers l’autre, Groupe GEYSER a déployé deux équipes qui ont démarré du centre pour poursuivre vers les extrémités.
« L’Espace Paddock est un projet charnière qui nous a permis de rayonner et de gagner la confiance de nombreux joueurs de l’industrie », soutient Stephan Giacomin, vice-président. « De plus, il a mis à contribution toute l’équipe, dans les bureaux comme sur le terrain, et son effet mobilisateur a confirmé à quel point nos gens sont le moteur de notre réussite. »
PLACE À LA NOUVELLE GÉNÉRATION
L’expérience acquise lors de ce mandat et de plusieurs autres a fait en sorte que l’entreprise a évolué et est à même de prendre en charge des projets de nature complexe, comme la rénovation de l’Hôpital Santa Cabrini et du Centre hospitalier régional de TroisRivières. Cela a nécessité l’embauche de nombreuses personnes, si bien que son effectif a doublé au cours des trois dernières années pour atteindre plus de 150 employés.
En contexte de pénurie de main-d’œuvre, Groupe GEYSER a misé sur la jeunesse, qui apporte beaucoup de dynamisme et de nouvelles idées. Grâce à du coaching ainsi qu’à la mise en place d’orientations claires pour les chargés de projet et d’outils de contrôle internes, l’entreprise réussit à appliquer sa vision « Qualité et résultats dans un environnement de plaisir » au quotidien. « Tous les outils que nous
utilisons ont été suggérés par nos employés », souligne Tina Fecteau, directrice culture et talents. « La parole des nouveaux comme des anciens est importante et nous tenons des rencontres hebdomadaires pour favoriser le partage de connaissances et d’enjeux afin que tous puissent proposer des solutions. Il existe une proximité et un fort esprit d’équipe entre les personnes, et même si notre organigramme a changé, nous l’avons gardé simple pour éviter les multiples niveaux de hiérarchie et pour que les gens voient qu’ils peuvent grandir et avoir un impact. »
UNE MISSION SIMPLE ET EFFICACE
Parce que la notion de partenariat occupe une place prépondérante dans l’ADN de Groupe GEYSER, les dirigeants ont décidé de faire de ces trois mots leur mission : « Le Partenaire-Bâtisseur ». Celle-ci s’applique à toutes les parties prenantes et se dénote d’abord par la rigueur dont les équipes font preuve afin de livrer un travail d’une qualité irréprochable, peu importe les imprévus qui surviennent en cours de route. Sa philosophie s’accompagne également d’une écoute attentive des besoins, du respect des engagements et de la fierté de contribuer à des projets significatifs pour les communautés.
Pour assurer la mise en place de ses valeurs, Groupe GEYSER s’est doté de nombreux outils numériques et d’une plateforme collaborative en infonuagique, qui lui permet de suivre en temps réel toutes les activités de l’entreprise et d’avoir une vision globale des chantiers. La nomination de Jason Duff au poste de directeur des opérations il y a trois ans a aussi favorisé l’optimisation de la gestion des projets.
En outre, l’intégration de pratiques écoresponsables est au cœur des priorités de Groupe GEYSER, que ce soit par la récupération de matériaux sur les chantiers en vue de les réutiliser, la réduction des déchets à l’interne, la participation à des projets certifiés LEED, l’électrification des véhicules ou l’utilisation de voitures plutôt que de camionnettes.
La société de construction a eu l’occasion de mettre à profit son expertise et son engagement dans une grande variété de réalisations porteuses de sens. « Nos projets, que ce soit une école, un hôpital ou un immeuble de logements sociaux, ont un impact dans les communautés et participent au développement des quartiers, et ce volet de contribution sociale engendre un réel sentiment de fierté chez nos employés », conclut Stéphan Giacomin.
DES BÂTIMENTS INTEMPORELS MARQUÉS PAR LE RAFFINEMENT
Guidée par la passion, l’équipe de Kevlar possède une expérience unique qu’elle a acquise au fil de ses réalisations depuis sa création en 1996. Ancré dans le réel, le promoteur immobilier choisit judicieusement les emplacements de ses projets en procédant à une analyse approfondie du milieu qui tient compte de l’état du marché, du contexte immobilier, du potentiel du site, des orientations municipales et de l’environnement. Aucun détail n’est négligé afin de proposer des projets distinctifs au design intemporel et sophistiqué qui répondent aux objectifs de rendement des
investisseurs, tout en insufflant une vitalité nouvelle au quartier dans lequel ils sont implantés.
Son fondateur et président, René Bellerive, s’implique activement dans toutes les étapes du processus d’affaires. De l’étude de sensibilité aux coûts de construction, en passant par le financement, la conception et la finition, il se fait un devoir de rester au courant de tout et d’intervenir judicieusement, en véritable homme de terrain qu’il est. « Je possède toujours cette même passion de créer et la même fierté de participer à l’édification des villes », affirme-t-il avec conviction.
Monsieur Bellerive est appuyé par une équipe de spécialistes multidisciplinaires, dont fait partie Karl Perto, vice-président, investissements et développement. Le mandat de ce dernier consiste à trouver et à
négocier les meilleures occasions de développement et de déployer les stratégies nécessaires afin de générer les meilleurs rendements pour les investisseurs. Partageant les mêmes valeurs que le fondateur, il veille à concilier les dimensions financières et humaines, sans jamais sacrifier le design.
DES DÉCORS ENVOÛTANTS
Parmi les dernières réalisations à s’ajouter au vaste portfolio de Kevlar figure Gatsby condominiums, dont le décor nous plonge dans l’ambiance festive des années 1920, telle que décrite dans Gatsby le magnifique, un classique de la littérature américaine. Située au 1200, rue Drummond, entre le boulevard RenéLévesque et la rue Sainte-Catherine, à Montréal, cette tour de 18 étages et 152 condominiums se démarque par ses lignes épurées et son esthétisme moderne inspiré des années folles.
Les aires de vie de Gatsby ont été conçues de manière à créer un environnement luxueux et comprennent notamment un hall d’entrée à l’ambiance chic et feutrée, une cour intérieure intime et agrémentée de verdure, ainsi qu’une terrasse équipée d’une piscine et d’une aire de jeux. Les résidents peuvent également profiter du bar Gatsby, un lieu suspendu dans le temps qui offre une ambiance décontractée rehaussée
par son mobilier haut de gamme, et d’une salle de jeux digne de la légende qui a donné son nom à cet immeuble résidentiel.
La conception soignée de Gatsby a d’ailleurs été récompensée par un Grand prix du design Or en 2021 et par le prix Complexe multirésidentiel 2020 du Défi Val-Mar en Architecture de paysage. Son bureau des ventes a de son côté reçu un Grand prix habitat design en 2020.
DES HABITATIONS ENRACINÉES DANS LEUR MILIEU
Arborant un design complètement différent du Gatsby, le complexe d’appartements locatifs Noria démontre la capacité de Kevlar à s’adapter aux besoins du milieu. Situé dans l’arrondissement de Saint-Laurent, à quelques minutes de la station de métro Du Collège, le Noria permet aux personnes ayant un mode de vie actif de bénéficier de la proximité de toutes les commodités, telles que le transport en commun, les épiceries, les restaurants et les autres commerces utiles au quotidien. La formule tout inclus comprend les électroménagers, le Wi-Fi, la câblodistribution, l’électricité, le chauffage, la climatisation et l’habillage des fenêtres. Les 423 unités d’une à trois chambres ainsi que les studios comportent un balcon avec garde-corps vitré de même que l’accès à une cour
centrale végétalisée avec piscine, une salle de sports, des espaces de coworking ainsi qu’un lounge. Réalisé selon les plus hauts standards de qualité, le Noria a obtenu une certification LEED Or.
À l’extérieur de la métropole, Kevlar a eu l’occasion de faire rayonner son savoir-faire avec le projet Bloome, à Gatineau, un complexe immobilier de 380 unités locatives visant une clientèle composée de professionnels, de familles et de retraités. Son emplacement stratégique, à proximité du centre-ville du secteur Hull et d’Ottawa, permet aux locataires de profiter de tous les services, en plus d’espaces verts à profusion. Le cadre de vie chaleureux et propice aux échanges comprend une cour intérieure avec piscine, une salle d’entraînement, un lounge avec foyer, une salle de jeux et une salle de détente à la luminosité enveloppante.
En continuité de Bloome, NÄRA, situé dans le secteur d’Aylmer, s’inscrit dans la suite logique du récent développement commercial du chemin Vanier et dispose d’un lien privilégié entre l’étendue boisée de la forêt Boucher et les pôles commerciaux essentiels du chemin Vanier. Axé sur l’humain, ce projet d’habitation favorise l’art de vivre, en adéquation avec le dynamisme de la vie urbaine et la tranquillité de la nature.
La livraison de ces 420 unités locatives en formule tout inclus est prévue pour 2026.
DES BÂTIMENTS INDUSTRIELS D’ENVERGURE
Salaberry-de-Valleyfield, un secteur en pleine expansion, constituait l’endroit par excellence pour un développement industriel à la hauteur du talent québécois. Situé au 2000, croissant Joseph-ArmandBombardier, un premier bâtiment de 308 700 pi 2 offrant 28 quais de chargement et plus de 150 places de stationnement fut complété au printemps 2023, sur un terrain de 824 530 pi2. Un deuxième bâtiment industriel de 259 600 pi 2 muni de 30 quais de chargement et plus de 150 places de stationnements, situé au 60, rue Marie-Curie, sera livré à l’automne 2023, sur un terrain industriel de 517 804 pi2. Ces deux immeubles industriels permettent de répondre à un vaste éventail de besoins dans ce secteur.
Poursuivant son expansion, Kevlar multiplie les projets immobiliers institutionnels et privés en offrant des services complets en promotion et en gestion immobilière, ainsi qu’en s’entourant de partenaires triés sur le volet qui partagent ses valeurs d’excellence. Sensible à la pérennité des villes, l’entreprise s’applique à penser ses projets en fonction de l’avenir et de l’environnement.
LA NOUVELLE ÈRE DE L’ÉLECTROMÉCANIQUE
Bien loin de s’asseoir sur la notoriété de ses 65 ans qu’elle célèbre cette année, la firme de génie-conseil Dupras Ledoux se réinvente continuellement afin de répondre aux besoins évolutifs du marché. Que ce soit en intégrant des outils de modélisation des données d’un bâtiment comme Revit, en demeurant à l’affût des tendances ou en incitant les acteurs de l’industrie à émettre des normes plus sévères, Dupras Ledoux se démarque par son esprit d’avant-garde et ses idées novatrices.
Toujours à la recherche de défis, l’entreprise a su diversifier son portfolio en travaillant sur de nombreux projets institutionnels et commerciaux, augmentant sa résilience face à une économie en pleine mutation. Dupras Ledoux s’estime choyée de participer aux projets phares de la métropole, notamment ceux de Brivia, un promoteur, qui, malgré son jeune âge, a le vent dans les voiles.
Ses réalisations incluent aussi bien des tours prestigieuses de 50 étages et plus, comme le 1 Square Phillips et le Mæstria, que des complexes mixtes (Espace Montmorency, Îlot Balmoral), des édifices à vocation culturelle ou sportive (TNM, Insectarium, complexe sportif de Boucherville), des immeubles
de bureaux (gare Viger, District Molson), des hôtels (Le Germain, Le Crystal) et des bâtiments institutionnels (Maison Radio-Canada).
UN MARCHÉ EN MUTATION
Au cours des dernières années, le marché immobilier en évolution a fait en sorte que les projets de rénovation se multiplient en vue d’adapter les immeubles aux nouvelles normes réglementaires ou d’obtenir une certification Passive House ou Carbone Zéro. Puisque les émissions de gaz à effet de serre produites par un bâtiment proviennent en grande partie des systèmes électromécaniques, Dupras Ledoux est très sollicitée pour accompagner les concepteurs et les promoteurs dans cette mise à jour, comme elle l’a fait lors de la rénovation de l’édifice Le Phénix, qui a atteint la norme Zéro Carbone.
« Nous avons anticipé ce changement dans le marché et nous nous sommes outillés pour répondre à ce besoin bien avant l’arrivée des normes, sans attendre que cela devienne à la mode », soutient James Gabriel, ingénieur associé et chargé de projets en mécanique du bâtiment. « Nous sensibilisons nos clients aux avantages d’un système électromécanique performant par rapport à l’économie énergétique réalisée à long terme, au confort des occupants et à la protection de
l’environnement. L’efficacité des bâtiments est l’un des facteurs qui contribueront à décarboner la planète. »
Et ce discours porte ses fruits; alors que les décisions relatives à l’électromécanique se basaient principalement sur les coûts auparavant, les experts en génie-conseil de Dupras Ledoux prennent maintenant plus de place dès les premières rencontres de conception. Ils proposent des solutions optimales pour chaque dollar investi, en trouvant le juste équilibre entre la performance du système et l’isolation de l’enveloppe.
La firme a développé une véritable expertise en modélisation énergétique pour aider ses clients à mieux visualiser l’impact des systèmes électromécaniques sur la performance de leurs édifices, un outil qui s’avère précieux pour l’obtention d’une subvention gouvernementale en soutien à l’efficacité énergétique des bâtiments.
L’ÉNERGIE AU PREMIER PLAN
Avec la multiplication des véhicules électriques sur les routes du Québec, de nombreux propriétaires souhaitant proposer des bornes de recharge à leurs locataires doivent procéder à une mise à niveau des systèmes électriques de leurs immeubles. L’intervention d’un maitre-électricien ne suffit pas dans le cas d’une grande quantité de bornes, puisque cet ajout aura un impact sur l’ensemble de la distribution électrique, et parfois même sur les autres systèmes mécaniques. Par exemple, certains stationnements intérieurs sont munis d’un système de ventilation activé par la présence de monoxyde de carbone, alors cela nécessite la mise en place d’une autre technologie d’automatisation de l’aération.
« En mettant l’accent sur le volet énergétique et la lutte contre les changements climatiques, nous avons remarqué que nous attirons des employés des jeunes
générations, pour qui les projets visant l’implantation de solutions durables pour l’environnement sont une source de motivation et de fierté », explique James Gabriel. D’ailleurs, les plus jeunes ont la chance de recevoir du mentorat de la part des employés plus expérimentés, créant une dynamique de partage des connaissances profitable à tous.
Pour M. Gabriel, la recherche de solutions plus efficaces en matière de rendement-coût représente un défi intéressant qui requiert de repenser l’ingénierie et la définition même d’un bâtiment haut de gamme. « C’est une tout autre réalité et je trouve stimulant que notre société soit rendue là. Les nouvelles normes nécessitent toujours une période d’adaptation, mais ce sont des obligations sociétales, et elles évolueront encore dans les années à venir. »
UN INCUBATEUR D’INNOVATION
Reconnue comme étant la référence dans l’industrie de l’éclairage au Québec, edp cumule plus de 30 ans d’histoire et contribue à plus de 1000 projets annuellement dans la métropole, grâce à son partenariat avec quelque 80 fabricants réputés mondialement. Pour souligner cet anniversaire, edp a réuni environ 1100 clients, employés et partenaires dans le cadre d’un événement festif tenu en avril 2023, qui fut aussi l’occasion de remettre un don de 10 000 $ à la Fondation du CHUM et ainsi qu’un don de 10 000 $ à la Fondation Le Chaînon.
L’année 2023 marque un autre jalon important pour edp, alors que son président et fondateur, Serge Le Myre, a annoncé qu’il passait le flambeau à Simon Lévesque, actuellement vice-président des ventes et associé, qui s’est joint à l’entreprise il y a déjà neuf ans. Sa soif d’apprendre, son désir de croissance et son investissement dans les valeurs et la culture de l’entreprise lui ont permis de passer de représentant à la spécification à directeur de la spécification, puis à vice-président des ventes.
« Simon est prêt à relever le prochain défi », estime Serge Le Myre. « De mon côté, après plus de 30 ans dans une carrière au rythme effréné, il est temps pour moi de ralentir. C’est donc avec beaucoup d’en -
thousiasme que nous annonçons que Simon Lévesque deviendra président d’edp à compter du 1er février 2024. »
Cette décision mûrement réfléchie permet de faire place à la nouvelle génération. « Je suis vraiment heureux d’accepter ce poste et de diriger une équipe aussi talentueuse », affirme Simon Lévesque. « Montréal est une ville qui bouge, qui a le vent dans les voiles et qui présente de multiples occasions d’affaires. edp a connu des débuts modestes pour ensuite devenir le plus grand agent manufacturier en éclairage au Québec, et nous sommes déterminés à rendre hommage au legs de notre fondateur. »
DES DIVISIONS EN EXPANSION
En plus de ce changement de taille, edp a doublé son effectif pour le contrôle intégré de bâtiments au cours de la dernière année pour faire face à la demande croissante. Ce segment de marché inclut notamment l’intégration aux systèmes de contrôle du bâtiment de la détection de la lumière naturelle et de la détection du mouvement, ceci dans un objectif d’économie d’énergie et de réduction de l’empreinte écologique. L’équipe d’edp s’efforce d’imaginer à quoi pourrait ressembler l’édifice de demain afin de maintenir une longueur d’avance dans le marché des technologies de détection.
Non seulement edp fournit tous les équipements requis, mais la firme constitue aussi une ressource pour les électriciens, les ingénieurs, les architectes et les designers d’intérieur qui requièrent un soutien technique lors de la sélection des produits les mieux adaptés à leurs besoins.
Depuis 2022, les électriciens et distributeurs électriques peuvent compter sur la division edp électrique, qui offre des solutions novatrices en matière de matériel électrique. Dans le souci de fournir des solutions complémentaires à sa clientèle soucieuse d’adopter le virage vert, cette division propose également des bornes de recharge de véhicules électriques, grâce à une entente de distribution exclusive au Québec avec Wallbox. Ce manufacturier, sélectionné en raison de ses solutions techniques de pointe qui répondent à toutes les exigences pratiques et réglementaires, offre des produits adaptés aux secteurs résidentiel et commercial.
UN AVENIR PROMETTEUR
Toujours à l’affût des technologies les plus poussées, l’équipe d’edp est prête à relever le défi de maintenir sa position de chef de file dans l’industrie au cours des 30 prochaines années. « La dernière décennie a fait en sorte que le travail et les projets ont changé,
et on se transforme pour s’adapter à ces réalités. L’important demeure nos clients, alors on veut leur proposer une offre adaptée à leurs besoins évolutifs », souligne Simon Lévesque.
Pour y arriver, edp continue à mettre l’accent sur son équipe de 60 employés, ce qui en fait la plus grosse agence en solutions d’éclairage au Québec. Mais pour M. Lévesque, « edp n’a jamais été l’affaire d’une seule personne, c’est plutôt un travail d’équipe au quotidien.
Et nous sommes encore en pleine expansion, entre autres parce que nous avons le privilège de travailler dans une ville possédant une très forte communauté de design, qui est un bassin économique et d’innovation important, tant dans le domaine de l’énergie que de la technologie. »
« L’avenir s’annonce brillant, plein de possibilités, mais surtout, les valeurs et la culture d’entreprise d’edp seront entre de bonnes mains avec Simon, et je n’ai pas de doute que l’entreprise s’épanouira avec l’équipe la plus extraordinaire de l’industrie », conclut Serge Le Myre.
COMPLICES CRÉATIFS POUR L’AMÉNAGEMENT DE BUREAUX
En août dernier, Groupe Focus célébrait son 30e anniversaire, marqué par un vent de renouveau dans son approche des espaces intérieurs. Pour le distributeur de mobilier de bureau et de cloisons architecturales, le ralentissement imposé par la pandémie fut un véritable tournant qui a forcé son équipe à une introspection grâce à laquelle ils ont réussi à forger une meilleure version de l’entreprise.
« Auparavant, on proposait des postes de travail; aujourd’hui, on optimise des espaces d’affaires, des environnements collaboratifs, des milieux de vie »,
résume Véronique Bouchard, vice-présidente, marketing, développement corporatif et cloisons architecturales.
« Notre axe a changé, nous savons qu’avec l’avènement du télétravail, le bureau doit devenir un lieu stimulant, plus attrayant que la maison pour attirer les travailleurs et favoriser la synergie. »
Si le budget alloué au mobilier par la clientèle est aussi important qu’il y a deux ou trois ans, il est distribué de manière différente, notamment en cloisons architecturales.
UNE SOLUTION EN FORTE DEMANDE
La division des cloisons architecturales de Groupe Focus s’est particulièrement bien développée au cours des deux dernières années, doublant son chiffre
d’affaires et son effectif pour répondre à la demande croissante de ce secteur.
Afin d’optimiser l’efficacité de cette division, Groupe Focus s’est inspiré du milieu de la construction pour transformer sa structure en établissant une équipe d’avant-projet et une équipe d’exécution. Anciennement, le projet était supervisé par un seul représentant, alors que maintenant l’entreprise favorise une collaboration d’équipe qui optimise la répartition des forces et assure un meilleur accompagnement des clients tout au long du projet.
Actuellement, l’équipe avant-projet assiste le client dans la sélection de la meilleure solution pour répondre à ses besoins tout en respectant son budget. Une fois la stratégie établie et le devis accepté, l’équipe d’exécution prend alors la relève. « Nous pouvons ainsi offrir un meilleur soutien à nos clients au cours des différentes étapes du projet, en plus d’accroitre notre présence sur les chantiers. L’équipe ainsi divisée nous permet également de travailler en maximisant les compétences de chacun, d’avoir un meilleur partage des connaissances et une plus grande coopération », explique Véronique Bouchard.
UN PARTENAIRE AUX SOLUTIONS CLÉS EN MAIN
La popularité des cloisons architecturales s’explique aisément : un produit tendance qui s’adapte à tout type d’environnement, facile et rapide à installer. Elles présentent un haut niveau d’esthétisme avec leur grande luminosité, une insonorisation importante, ainsi qu’un excellent rapport qualité-prix.
De plus, Groupe Focus bénéficie d’un partenariat avec Teknion, un manufacturier canadien possédant cinq usines au Québec, dont celle de Montmagny, exclusivement consacrée aux cloisons architecturales.
Teknion est le premier manufacturier à posséder sa propre usine de transformation de verre, ce qui constitue un net avantage pour l’approvisionnement et le contrôle de qualité. Ce fournisseur propose également un programme de traçabilité des produits, la plupart des matières premières provenant d’ici, afin d’aider ses clients à atteindre un objectif zéro déchet. Le fait d’avoir recours à un partenaire local favorise le développement durable, tout en se collant à la réalité et aux problématiques de notre marché. Cette proximité permet à Groupe Focus de respecter de courts échéanciers et de s’adapter à la réalité actuelle des chantiers.
Parmi les plus récents projets réalisés par Groupe Focus, notons entre autres l’aménagement des cloisons architecturales et du mobilier pour le cabinet d’avocats Loranger Marcoux, ainsi que du tout nouveau concept d’espaces de bureaux et de salles de réunions flexibles offerts exclusivement à la communauté de PVM, le Flex — un univers Ivanhoé Cambridge.
« Les clients se tournent vers nous pour faire briller leur entreprise. En travaillant en collaboration avec les architectes et les firmes de design d’intérieur, nous trouvons des solutions novatrices et créatives, peu importe la nature du défi à relever. Nous mettons de l’avant la culture d’entreprise des organisations et leurs valeurs pour que chaque projet soit unique à eux. Nous avons toujours eu comme mission de répondre aux besoins de nos clients, d’être des partenaires. Leurs besoins ont évolué au cours des années et nous nous sommes efforcés de demeurer à l’affût des dernières tendances pour maintenir notre promesse d’affaires », affirme Véronique Bouchard.
« Nous ne sommes pas seulement un distributeur de mobilier de bureau : nous apportons une valeur ajoutée au désir d’innovation dans les entreprises. Nous accompagnons nos clients dans l’aménagement de leurs espaces d’affaires aussi bien que dans l’installation, l’entreposage de mobilier et la reconfiguration de leurs aires de travail. Nous offrons des services intelligents qui propulsent les projets vers l’avant et permettent aux organisations d’avancer vers leurs objectifs avec confiance et précision », ajoute Stéphane Lemieux, président et associé.
Crédits LORANGER MARCOUX | A&D : Les Réalisations Conceptum | Entrepreneur : P&R Desjardins construction inc.
UNE GRANDE FAMILLE PASSIONNÉE PAR L’INNOVATION
En octobre 2022, le Groupe Atwill-Morin se dotait d’une nouvelle image de marque afin de refléter l’ampleur de son expertise et de regrouper l’ensemble de ses filiales (Impact Échafaudage, Béton Concept A.M. et Maçonnerie USC) sous une même bannière, soit Atwill-Morin, un nom reconnu dans l’industrie de la construction. L’énoncé de sa mission, « Garants du passé, bâtisseurs de l’avenir », traduit parfaitement le respect que le spécialiste en maçonnerie, en structures de béton et en échafaudage accorde aux richesses du patrimoine bâti.
L’entreprise familiale est dirigée depuis le début des années 2000 par les frères Mark, Jonathan et Matthew Atwill-Morin, héritiers de l’expertise des deux générations précédentes. Leur énergie combinée a apporté un vent de fraicheur à l’entreprise, accélérant sa croissance. Puis, en 2004, grâce à sa bannière ontarienne, Atwill-Morin réalise un premier mandat d’envergure dans la région d’Ottawa, soit la réfection de la maçonnerie de l’Hôtel de la Monnaie royale canadienne. En 2014, afin de s’affranchir de la sous-traitance et de garder la mainmise sur tous les aspects de ses projets, l’entreprise crée une division d’échafaudage qui subvient à ses propres besoins. La même année, Nicolas Croteau se joint à l’équipe pour développer les services de réfection de béton et de structure, avant de
devenir responsable de l’acquisition et de l’intégration de nouvelles entreprises. En 2018, l’entreprise perce le marché de la maçonnerie neuve, en se portant acquéreur de Maçonnerie USC. En 2021, l’acquisition des Carrières Ducharme lui permet de sécuriser sa chaine d’approvisionnement en matériaux.
UN MILIEU PROFESSIONNEL ÉPANOUISSANT
Les différentes acquisitions et phases d’expansion des deux dernières décennies ont fait passer l’effectif d’Atwill-Morin de 30 à 1000 employés, ce qui aurait été impossible sans une forte culture interne et une stratégie de rétention rigoureuse. « Nous nous sommes questionnés sur notre processus de recrutement et sur les stratégies pour conserver les meilleurs talents à l’interne afin d’éviter le roulement de personnel », affirme Matthew Atwill-Morin, président.
Parmi les mesures instaurées pour soutenir le bienêtre physique et mental, notons la mise en place d’une salle d’entrainement et l’embauche d’une entraineusemassothérapeute à temps plein pour inciter les employés à adopter de saines habitudes de vie. Les bureaux sont également équipés d’une table de soccer et d’une table de billard pour agrémenter les pauses et favoriser les interactions sociales.
Depuis 2008, l’Université Atwill-Morin offre à certains employés de recevoir du perfectionnement à l’interne de la part des contremaîtres les plus expérimentés dans chacune des sphères d’expertise et chacun des bureaux de l’entreprise. « On voit une chimie qui s’installe entre les mentors et les mentorés. Cela permet de mettre en pratique deux valeurs qui nous sont chères, la famille et la passion », ajoute Matthew Atwill-Morin. En outre, un congrès rassemble annuellement les quelque 115 contremaîtres d’Atwill-Morin, de Toronto à Québec, dans le but de présenter les réussites des différents bureaux, mais aussi d’assister à des conférences de haut niveau et d’inspirer les contremaîtres à se dépasser par l’innovation et la créativité.
La sécurité des ouvriers occupe également une place prépondérante dans les pratiques quotidiennes et l’entreprise se dote des meilleurs outils pour limiter l’impact de la poussière et éviter les accidents de travail, comme les exobras et les exosquelettes, qui réduisent l’effort physique requis par les maçons.
PARTICIPATION À DES CHANTIERS D’ENVERGURE
La diversification des activités d’Atwill-Morin et sa vaste expertise font en sorte que l’entreprise est appelée à répondre à des besoins de plus en plus complexes. On a pu apercevoir ses équipes dans de nombreux chantiers prestigieux un peu partout au Québec et en Ontario, notamment au Château Frontenac, où elle a procédé à la restauration de la maçonnerie structurale, des briques de pierre et des poutres d’acier de la tour principale. L’entreprise a aussi été mandatée pour effectuer la réfection du béton sous le pont de l’Île-aux-Tourtes, qui doit demeurer sécuritaire jusqu’à la mise en service du nouveau pont, prévue pour la fin de 2027. Elle doit notamment proposer un design de renforcement et pallier les failles dans la structure.
Aux tours Mæstria condominiums, qui dominent le Quartier des spectacles de Montréal, l’équipe d’AtwillMorin y érige une structure d’échafaudage et de plateformes suspendues autour de la passerelle reliant les deux tours de 58 et 61 étages afin que les vitriers et les ferblantiers puissent effectuer leur travail.
Cette structure inédite — parmi les plus complexes réalisées par ses experts — fut hissée à plus de 200 pieds, après avoir été assemblée à partir du sol, les différentes pièces étant montées à l’aide de câbles et de poulies électriques. Cette opération délicate a nécessité une planification méticuleuse d’ingénierie et devait tenir compte des charges de vent.
Ces réalisations viennent couronner les efforts déployés par l’entreprise au fil des années pour se hisser au sommet de son industrie. Son leadership lui a aussi permis de faire partie du Club Platine des Sociétés les mieux gérées au Canada en 2023.
RECYCLER LES ESPACES POUR MIEUX BÂTIR
En 25 ans d’histoire, le Groupe Demospec est passé d’une modeste entreprise de dégarnissage de bâtiments industriels et institutionnels à un entrepreneur spécialisé reconnu pour son expertise aux quatre coins du Québec. Ses trois divisions complémentaires, soit Déconstruction, Décontamination et Sciage et forage, lui permettent de prendre en charge une grande variété de projets et de participer à des chantiers d’envergure qui contribuent à reconstruire les villes.
C’est en 2011 qu’un changement majeur s’amorce au sein de l’entreprise, alors qu’elle investit dans
l’acquisition d’équipements lourds afin d’optimiser ses opérations, une décision qui lui donnera accès à des mandats plus importants et propulsera le service de déconstruction.
Elle modifie également de manière innovante sa méthode d’évaluation du coût d’un projet. Alors que l’estimation se faisait selon le nombre de pieds carrés de l’espace à déconstruire, Demospec met au point un logiciel qui utilise plutôt le poids de chaque matière pour déterminer le coût d’un projet, ce qui l’amène à devenir très compétitive dans ses prix et à remporter de nombreux appels d’offres.
DES PROJETS PORTEURS
En 2015, Demospec décroche un contrat pour la déconstruction de l’usine de Merck Frosst située à Kirkland, qui s’échelonnera sur environ un an. En plus de rehausser la notoriété de l’entrepreneur, ce mandat est l’occasion d’investir à nouveau dans de l’équipement de pointe supplémentaire et dans l’embauche de personnel.
Quelque temps plus tard, Demospec s’adjoint de deux associés, dont André Clairoux, un pionnier de la décontamination au Québec, afin de mettre sur pied la division Demospec Décontamination. Celle-ci se spécialise dans le retrait de contaminants tels que l’amiante, le plomb, les moisissures, la vermiculite et le chrysotile, dans le respect des normes d’enfouissement réglementaires. Ce service bonifie l’offre et la portée des activités de l’entreprise, qui est alors en mesure de proposer des solutions clés en main à sa clientèle.
En 2018, Demospec crée la division Sciage et forage afin de faciliter sa gestion interne. L’entreprise saisit cette occasion pour se doter d’une nouvelle image de marque, dans laquelle un logo à trois points représente les trois divisions. La même année, Demospec est mandatée par la Ville de Montréal pour effectuer la
déconstruction de l’Hippodrome de Montréal, un projet s’élevant à environ 15 millions de dollars qui a nécessité l’intervention de ses trois services. Cette opération permettra non seulement de propulser l’entreprise, mais aussi de laisser la place à de nouveaux espaces qui succéderont à ce lieu mythique ayant marqué l’histoire de Montréal.
Sa renommée gagne du terrain, de sorte qu’on fait appel à son expertise pour la déconstruction d’imposantes usines à Thetford Mines, dans le Nord-duQuébec et même à l’extérieur de la province. Demospec a entre autres effectué le dégarnissage du 800 Square
Victoria et de la Tour de la Bourse, qui a nécessité l’acquisition de mini-pelles électriques robotisées, les pelles traditionnelles étant trop lourdes pour être transportées dans ces gratte-ciels. Actuellement, l’entreprise travaille au démantèlement du pont-tunnel
Louis-H.-La Fontaine, ainsi qu’au dégarnissage d’une partie du stade olympique et de l’hôpital de Saint-Jérôme.
UN CHEF DE FILE INSPIRANT
Aujourd’hui, Demospec compte environ 300 employés et participe à une trentaine de chantiers simultanément chaque année, ce qui en fait sans contredit un des joueurs les plus importants dans l’industrie. Ses
dirigeants se sont toujours souciés de demeurer à la fine pointe de l’industrie en assistant à des conférences internationales, notamment à Las Vegas et en Europe, où les avancées sur le plan technologique les inspirent à optimiser leurs processus.
« Depuis huit ans, nous sommes devenus la référence et je vois parfois nos compétiteurs nous imiter », relève Simon Lacasse, vice-président exécutif et associé. « Année après année, nous maintenons notre vision d’innovation et réinvestissons une partie de nos profits pour que l’entreprise aille ailleurs, que ce soit par la mécanisation du dégarnissage, le déploiement du volet de décontamination et de forage, ou l’informatisation de la gestion. »
En 2019, à la suite d’une croissance soutenue et de l’augmentation du nombre d’employés et d’équipements, Demospec a fait l’acquisition des terrains et des bâtisses adjacents, portant la superficie de ses terrains à 300 000 pieds carrés et celle de ses bureaux à 22 000 pieds carrés. Pour favoriser le bienêtre au travail, la direction a investi dans l’aménagement d’une salle d’entrainement, de vestiaires, d’un bistro avec chef sur place et de salles de conférence.
De plus, l’embauche de quatre personnes aux ressources humaines et la sélection de candidats habitant près des bureaux ont porté leurs fruits pour contrer le roulement de personnel.
Désirant redonner à la communauté, Demospec a créé sa propre fondation pour venir en aide aux personnes dans le besoin, par exemple en collectant des fonds pour Le 2159, un organisme qui intervient auprès des jeunes à risque de 15 à 25 ans afin de prévenir et contrer l’itinérance, la délinquance et les impacts liés aux enjeux de santé mentale.
METTRE EN RELATION
LES MEILLEURS PROFESSIONNELS
Recrutement Performance, une compagnie du Groupe RP soutient les entreprises de l’industrie de l’immobilier, de l’architecture et de la construction en répondant à tous leurs besoins de recrutement d’employés à travers le Québec et l’ensemble du Canada.
L’histoire du Groupe RP débute en 2008 avec la création de Recrutement Précision spécialisé en Comptabilité, Finance, et Juridique. Rapidement, leur
succès prend de l’ampleur, et la division Recrutement Prestige, axée sur la Mode et le Commerce de détail, voit le jour. C’est ensuite Recrutement 4iT — désormais connue sous le nom de Recrutement Performance, et finalement Recrutement Propulsion, qui se concentre sur le recrutement en Pharmacie et Santé.
Regroupement de ces quatre entités spécialisées, Groupe RP s’impose aujourd’hui comme la référence en chasse de tête avec près de 70 chasseurs de têtes spécialisés à Montréal, Québec, Ottawa et Toronto. Ces quatre divisions travaillent en collaboration afin de pourvoir les postes des différents services et métiers de leurs clients.
UNE ÉQUIPE D’EXPÉRIENCE
Recrutement Performance dénombre 28 personnes dévouées et expérimentées qui accompagnent ses clients et les candidats tout au long du processus de recrutement. Elle réunit le leadership de trois directeurs de comptes sénior spécialisés dans le bâtiment et plus précisément en construction (Julie Bourgeois), en architecture & design (Olivier Cousin) et en immobilier (Éric Bernard). Ils possèdent tous une expérience démontrée dans leur industrie respective et dans le recrutement.
La firme ne se contente pas d’une chasse exclusive et de l’envoi d’une liste de candidats potentiels. Après avoir reçu une demande de recrutement, un directeur de comptes rencontre le client pour obtenir le descriptif complet du poste en question et le profil de la personne idéale, ce qui lui permet de saisir l’ADN de l’organisation. En s’adaptant au processus d’embauche de l’entreprise, les directeurs de comptes et les recruteurs effectue ensuite des recherches parmi les bases de données de Groupe RP et sollicitent directement l’intérêt de candidats potentiels. Les candidats rencontrés et pré-qualifiés sont ensuite présentés au client. L’entreprise coordonnera ensuite les différentes étapes (entrevues, tests, offres, etc.) entre les parties jusqu’à l’embauche.
La garantie post-placement de Groupe RP offre au client l’assurance qu’on lui trouvera un remplaçant sans frais au cours de la période couverte si la personne embauchée ne convient pas. De plus, les frais sont facturés seulement à l’embauche. « Notre taux de succès, c’est-à-dire le nombre de candidats qui sont encore en poste trois mois après l’embauche, avoisine les 95 %, entre autres parce que nous connaissons très bien le marché », affirme Éric Bernard qui possède 30 ans d’expertise en immobilier commercial.
LA FORCE DU RÉSEAU
Pour bien répondre aux défis de la pénurie de main d’œuvre l’entreprise compte sur sa capacité à valoriser un ensemble d’éléments lui permettant d’impressionner ses clients.
Recrutement Performance est fier de contribuer au succès des Grands Bâtisseurs de Montréal. Leurs nombreux clients et candidats ont un impact quotidien sur la conception, le financement, la construction et l’exploitation d’une multitude de projets et bâtiments au Québec et ailleurs.
DES SOLUTIONS TECHNOLOGIQUES POUR PASSER AU NIVEAU SUPÉRIEUR
Née de l’union de quatre entreprises québécoises, soit Noxent, HelpOX, MS Geslam et dernièrement Luminet, ited cumule plus de 35 années d’expérience dans le domaine de l’informatique et des communications unifiées. Ce regroupement a permis à chacune des entités de bonifier leur offre de services tout en poursuivant leur engagement en matière d’intégrité, de
sécurité informatique, de qualité de services TI et d’investissement en recherche et formation continue. Ited est elle-même membre d’Alan Allman Associates, un écosystème de sociétés-conseils réparties aux quatre coins de l’Amérique du Nord, de l’Europe et de l’Asie qui se spécialisent entre autres dans la transformation numérique des entreprises.
L’équipe d’ited rassemble plus de 220 experts et propose à ses clients des solutions TI adaptées à leurs besoins particuliers qui contribuent à leur croissance et qui tiennent compte de l’évolution rapide des technologies. Toujours disponibles pour répondre aux demandes, les équipes livrent plus de 300 projets annuellement un peu partout au Québec et au Canada.
Forte de cette expérience cumulée, ited est en mesure de maximiser la performance des PME et des grandes entreprises grâce à des partenariats établis avec des sociétés réputées telles que Commscope, Azure et Amazon. Elle agit comme un guichet unique en ce qui concerne les besoins informatiques.
INSTALLATION DE CÂBLAGE STRUCTURÉ CLÉS EN MAIN
L’installation de systèmes de câblage structuré (incluant la fibre optique ainsi que toutes les gammes de produits de communications Cat-6, Cat-6A et Cat-7) au sein des bâtiments neufs ou en réfection constitue l’un des grands services d’ited. Entrepreneur en règle, ited travail sur la Division 27 de tous les types de chantiers.
Ses équipes de professionnels prend en charge toutes les étapes des projets, de l’analyse des besoins jusqu’au soutien technique après l’installation. Après avoir déterminé les besoins de l’entreprise avec précision en fonction de ses besoins d’affaires (Câblage, réseau informatique, système de cybersécurité etc.), ited propose les meilleures options possibles afin que le réseau soit fiable et puissant dans tout le bâtiment.
Pour demeurer à l’affût des dernières normes, les techniciens participent régulièrement à des programmes de formation continue et à certaines certifications de manufacturiers, ce qui se perçoit dans la qualité de leurs installations et se traduit par des infrastructures réseau sans failles. En outre, ited offre une garantie de 25 ans sur ses installations.
« Dans notre domaine, certaines entreprises manquent de rigueur et n’offrent pas de certifications ou de cartes de compétences à leurs employés. Chez iTed, nos techniciens sont triés sur le volet et sont reconnus par une multitude d’organisations des plus notoires. C’est pourquoi les entrepreneurs généraux apprécient notre expertise et notre valeur ajoutée sur les chantiers », explique Frederic Michaud, directeur du développement des affaires de la division de câblage.
UNE OFFRE INTÉGRÉE
Outre le câblage structuré, les services d’ited incluent également l’implantation de solutions infonuagiques, c’est-à-dire des technologies permettant aux utilisateurs d’accéder à des fichiers, à des logiciels et à des serveurs à partir de leurs appareils mobiles connectés à Internet. L’entreprise peut aussi mettre en place des systèmes de téléphonie IP et de vidéoconférence ainsi que des outils de collaboration,
aujourd’hui essentiels au succès du travail à distance et à la productivité des employés. Ited se spécialise notamment dans la mise en place de l’interface voix sur IP (VOIP) 3CX, qui comprend la téléphonie web et mobile, la vidéoconférence, le clavardage en temps réel, la messagerie instantanée, un logiciel de gestion de la relation client et Microsoft 365. Cette solution économique et flexible est totalement sécuritaire et s’installe n’importe où.
Ited déploie aussi des systèmes de masquage sonore, un procédé d’atténuation des bruits ambiants qui permet d’améliorer la productivité des employés et de favoriser la confidentialité des conversations. Le spécialiste en TI propose aux PME pour qui la sécurité est un enjeu un service de cybersécurité qui protège l’entreprise à tous les niveaux, de la périphérie au cœur du réseau, en décelant les menaces et en analysant les comportements malicieux grâce à des technologies de surveillance de qualité supérieure,
ce qui outille le client pour réagir rapidement en cas d’attaque et protéger ses informations. Enfin, pour permettre aux employés de ses clients de s’adapter au rythme effréné des avancées technologiques, ited propose de la formation continue en vue de minimiser les pertes de temps liées à l’apprentissage d’une nouvelle technologie et de maximiser leur efficacité avec l’utilisation de nouveaux outils.
« Nos services sont les leviers nécessaires aux entreprises pour passer au niveau supérieur et demeurer un chef de file dans leur domaine », estime Alain Meloche, le directeur de la division de communications unifiées.
notamment augmenter fortement sa présence sur le marché en ajoutant de nouveaux services, qui seront dévoilés prochainement.
CHEF DE FILE EN SERVICES
D’INTERVENTIONS MOBILES SPÉCIALISÉES
Connaissant une forte croissance depuis les trois dernières années, le Groupe MGC a certainement le vent dans les voiles. L’entreprise, qui a célébré son 11e anniversaire cette année, a inauguré en 2022 son nouveau siège social à Bois-des-Filion sur un terrain de 155 000 pieds carrés en vue de répondre à la demande accrue pour ses services spécialisés.
« L’innovation fait partie de nos valeurs et nous continuons de croître en proposant une offre globale à
laquelle se greffent des services complémentaires, entre autres par l’acquisition d’entreprises », souligne Carl Henri, président et fondateur. La direction est toujours à l’affût de nouvelles occasions d’affaires et demeure très impliquée dans les marchés pour connaître les tendances et les grands changements à venir.
L’ENVIRONNEMENT À L’AVANT-PLAN
La protection de l’environnement occupe une place privilégiée dans les valeurs du Groupe MGC. En effet, le chef de file en services mobiles spécialisés axe la plupart de ses décisions en fonction de l’environnement. « Comment réduire les émissions de gaz à effet de serre produites par les véhicules et les techniques
utilisées ? Comment limiter la quantité de résidus que nous envoyons dans l’air lors de nos interventions ? Comment vérifier que chaque centre de traitement des matériaux est conforme, qu’on pompe et qu’on récupère les résidus avant de s’en débarrasser de façon sécuritaire pour l’environnement ? Voilà le genre de questions sur lesquelles on se penche en vue d’améliorer nos pratiques », soutient Carl Henri.
La mission même du Groupe MGC, soit la valorisation responsable du bâti, fait aussi en sorte que l’environnement est au cœur de chacune de ses actions. Que ce soit par la remise à neuf du revêtement d’un immeuble, le pompage et le nettoyage d’un déversement ou l’application d’un scellant ou d’un enduit de protection pour assurer la pérennité d’un endroit public, ses différents services visent à prolonger la durée de vie des surfaces et des bâtiments.
Le Groupe MGC se fait également un devoir d’utiliser des produits écoresponsables dans toutes ses activités. Par exemple, pour son service de sablage au jet, le spécialiste en valorisation a recours à des produits entièrement recyclés, l’abrasif étant remplacé par du verre recyclé, tout aussi efficace que le sable.
De même, on préconise l’emploi d’autres matières écologiques pour les travaux de sablage, comme le grain biologique et les écailles de maïs.
L’INTÉGRATION DE TECHNOLOGIES DE POINTE
Le désir d’innover, une autre valeur phare du Groupe MGC, pousse ses dirigeants à investir constamment dans le développement et le déploiement de technologies d’avant-garde qui permettent d’optimiser ses pratiques. Par exemple, pour appuyer les employés qui effectuent des tâches exigeantes physiquement, comme la décontamination du sol ou le nettoyage d’un vieil édifice, on bonifie les équipements afin d’éviter les risques de blessures. Pour Monsieur Henri, il s’agit d’une priorité pour redonner un titre plus noble aux emplois qui comportent des défis.
L’entreprise travaille actuellement à la préparation de l’agrandissement de ses installations de Bois-des-Filion, où 20 000 pieds carrés seront ajoutés au bâtiment d’ici 2025. Cette expansion lui permettra aussi de concrétiser sa vision, de servir au mieux sa clientèle tous les mois de l’année et d’élargir la portée de ses quatre champs d’expertise : la restauration du paysage bâti, la préparation des ouvrages de génie civil, le nettoyage et l’assainissement des infrastructures industrielles ainsi que la gestion des urgences environnementales, telles que les déversements. L’ajout d’un service de déglaçage présente en outre l’avantage de fournir de l’emploi à sa main-d’œuvre en toutes saisons.
DES SERVICES RECHERCHÉS À L’EXTÉRIEUR DE LA PROVINCE
Depuis sa création, le Groupe MGC a effectué plus de 50 000 interventions un peu partout au Québec, et au cours des dernières années, l’entreprise a été à l’œuvre en Ontario. Parmi ses réalisations, notons le nettoyage des surfaces du stade olympique par jet d’abrasif et aérogommage, le lavage à haute pression et l’application d’un enduit de protection pour le CHUM, le nettoyage de la maçonnerie de l’emblématique édifice Birks, ainsi que le nettoyage par jet d’abrasif du tunnel McGill dans le cadre de l’aménagement du REM.
L’entreprise a également développé une grande expertise en gestion de déversements et en traitement des sols et des eaux contaminés en vue de leur réhabilitation. Son service clés en main inclut l’excavation, le pompage, l’élimination sécuritaire et la remise à neuf du site. Ses équipements de pointe, son importante flotte de camions et sa main-d’œuvre hautement qualifiée lui permettent d’intervenir rapidement en cas d’urgence et d’être un partenaire de confiance pour sa clientèle.
TROIS GÉNÉRATIONS D’INNOVATION
Fondée il y a plus de 65 ans, Lefebvre & Benoit est l’un des plus importants distributeurs de matériaux de construction au Québec. Chaque année, quelque 550 employés spécialisés dans la distribution de matériaux de construction s’affairent à appliquer avec cœur la mission de l’entreprise et à offrir à sa clientèle un service de qualité supérieure et une expertise de pointe. Reconnue dans l’industrie, Lefebvre & Benoit a contribué avec brio à de multiples projets de construction et de rénovation dans les secteurs résidentiel, commercial, industriel et institutionnel, partout au Québec et au
Canada, agissant comme un guichet unique pour les entrepreneurs en construction. Au fil des années, son équipe a constamment repoussé les limites de l’industrie, que ce soit en développant son savoir-faire pour les livraisons allant jusqu’à 200 pieds de hauteur ou en se dotant d’un centre de formation.
UNE ASCENSION IMPRESSIONNANTE
Les débuts de l’entreprise remontent au 2 juin 1958, alors que Bernard Lefebvre et Bernard Carrière réalisent leur rêve en fondant Carrière & Lefebvre, à L’Assomption. Deux ans plus tard, un deuxième site est ouvert à Laval. À l’époque, les principaux produits offerts sont le plâtre et le ciment en sac. Peu de temps après, monsieur Carrière quitte l’entreprise et Bernard Lefebvre poursuit son ascension.
En 1968, l’acquisition d’un camion-flèche lui permet de livrer les produits aux étages supérieurs des immeubles en construction, faisant ainsi figure de pionnier parmi les fournisseurs de matériaux. En 1978, ses fils Pierre, André et Bernard Jr, déjà très actifs dans l’organisation, deviennent les principaux actionnaires pour assurer la continuité de l’entreprise. Quelques années plus tard, ils procèdent à une première acquisition en achetant Louis Lefebvre ltée, l’entreprise de leur oncle, ce qui permet d’accroître la surface d’entreposage et d’élargir leurs champs d’activités, notamment avec le bois d’épinette et le contreplaqué. L’entreprise voit ainsi sa clientèle se multiplier sur le marché résidentiel.
Malgré la conjoncture économique défavorable de la première moitié des années 1980, Carrière & Lefebvre ne cesse d’augmenter sa part de marché, tant dans le secteur commercial que résidentiel. Les trois visionnaires font l’acquisition de deux entités d’un important concurrent : Marcel Benoit ltée et Les Distributions BMB s.e.c. (1985). Toujours à l’affût des nouvelles occasions d’affaires, les frères Lefebvre font ensuite l’acquisition de Bois Laurier et de la cour à bois Val Royal en 1994.
UN NOUVEL ÉLAN
L’année 2008 marque une nouvelle ère avec la fusion de Carrière & Lefebvre et Marcel Benoit pour créer une entité à Laval, nommée Lefebvre & Benoit. L’année suivante, une troisième génération prend les rênes de l’entreprise, alors que les trois enfants d’André Lefebvre, soit Caroline, Marc-André et Alexandre, entrent en scène, apportant une vision et un savoir-faire unique qui contribueront à l’essor soutenu de l’entreprise.
En 2016, le fournisseur perce le marché de l’Ontario grâce à l’ouverture de Distributions BMB, à Concord. En 2022, pour répondre à la demande croissante et poursuivre son expansion dans l’est du Québec, Lefebvre & Benoit se dote d’un nouveau centre de distribution de plus de 220 000 pieds carrés à SaintAugustin-de-Desmaures, qui s’ajoute aux sites de Laval, Saint-Jean-sur-Richelieu et Terrebonne. En juin 2023, les Distributions BMB ouvrent une nouvelle succursale à Saint-Augustin-de-Desmaures. L’entreprise dispose donc au total de plus d’un million de pieds carrés d’entrepôts sur près de trois millions de pieds carrés de terrain, ce qui lui permet de fournir des matériaux secs et en bon état en toutes saisons aux quatre coins de la province.
« Voilà plus de 65 ans que Lefebvre & Benoit existe. Cette expansion marque le début d’un nouveau chapitre alors que nous nous donnons les moyens de réaliser notre plan de croissance. C’est un emplacement stratégique, facile d’accès, qui se prête bien à nos activités de logistique et de distribution », mentionne Marc-André Lefebvre, président.
TOUJOURS À L’AVANT-GARDE
Loin de s’asseoir sur ses succès, Lefebvre & Benoit s’efforce de rester à l’affût des meilleures pratiques dans son domaine afin de demeurer un chef de file à tous points de vue, par exemple en informatisant la gestion d’inventaire, en favorisant la parité au sein de son effectif et en facilitant la conciliation travail-famille.
L’entreprise a également mis en place des mesures pour réduire son empreinte environnementale, notamment le recyclage des matières résiduelles, l’électrification de sa flotte de chariots élévateurs ainsi que plusieurs autres initiatives de développement durable. Très impliquée auprès de la relève, Lefebvre & Benoit possède son propre centre de formation au sein de son siège social de Laval, ce qui lui permet de délivrer des certifications pour la conduite de différents équipements. L’entreprise fait aussi des dons à des écoles proposant des métiers liés à la construction.
Soucieux de bâtir des relations durables avec ses partenaires, l’équipe continue à miser sur le progrès, mais en plaçant toujours l’humain au centre de ses priorités — une philosophie à la base de son succès.
L’ART DE VERDIR LES VILLES
Comme chaque année depuis 10 ans, le carnet de commandes d’Alain Carrier Paysagiste atteint un nouveau record, et ce, malgré un départ au ralenti en début d’année en raison du report de plusieurs projets. L’écoute attentive des besoins du client, le respect des échéanciers, la formation continue des employés et l’exécution minutieuse démontrent le savoir-faire de l’entrepreneur paysager et son engagement à offrir un service hautement professionnel à tous ses partenaires.
L’expert en paysagement se hisse aujourd’hui parmi les plus importantes entreprises de son domaine au Québec. Son impressionnant portfolio de réalisations compte une grande variété d’aménagements, de la plantation d’arbres et de vivaces à la création de jardins avec plantes exotiques, en passant par l’installation de produits de béton et la pose de pavé et de systèmes d’irrigation.
Sa vaste expertise lui permet de mener des projets de grande envergure partout au Québec, de même qu’en Ontario et au Nouveau-Brunswick, et de faire face aux multiples imprévus qui surviennent sur un chantier. Ses plus récentes réussites en aménage -
ment paysager comprennent le projet de réfection du boulevard Pie-IX, la Maison Radio-Canada ainsi que de nombreux entrepôts et centres de distribution.
L’ACHÈVEMENT D’UN PROJET D’ENVERGURE
L’année 2023 marquera la fin du plus important projet de l’histoire d’Alain Carrier Paysagiste : la réfection du parvis et du jardin de l’oratoire Saint-Joseph. Ce réaménagement vise à éliminer des zones asphaltées pour laisser une plus grande place à la verdure et aux piétons, afin de rehausser l’expérience des visiteurs et de permettre aux piétons de se réapproprier le site.
Dans cet imposant chantier qui s’est échelonné sur quatre saisons estivales, l’équipe de l’entrepreneur paysager a notamment posé 150 000 pieds carrés de pavé à emboitement et effectué le placage des quelque 280 marches en granit menant à la porte principale de la basilique. Elle s’est également chargée de l’installation d’une bordure de granit qui s’étend sur 1,2 km et de la construction du plus gros muret de gabion en Amérique du Nord totalisant 10 000 pieds carrés, dans lequel chacune des roches a été placée à la main. L’aménagement incluait aussi la plantation de vivaces, d’arbustes et de verdure qui mettront en
valeur ce joyau patrimonial. Il s’agit d’un projet visant une certification LEED auquel l’équipe est très fière d’avoir contribué.
Alain Carrier Paysagiste est très actif dans les villes de Pointe-Claire et de Kirkland, où il effectue l’aménagement paysager autour de nombreux bâtiments industriels et commerciaux ainsi que de centres de distribution. Son partenariat avec des promoteurs de renom tels que Broccolini et Montoni et de constructeurs réputés comme Divco et Roxboro lui permet de réaliser une gamme variée de projets. Le chef de file en aménagement paysager commercial travaille également sur plusieurs chantiers dans la ville de Québec, un marché qu’il souhaite développer au cours des prochaines années. « Nous pouvons suivre nos clients partout en leur offrant la même efficacité, car nous réussissons à nous procurer les matériaux et la maind’œuvre nécessaires, peu importe la région », soulève Jonathan Carrier, président.
VI S ER L’EXCELLENCE AU QUOTIDIEN
Grâce à la présence de deux architectes paysagistes expérimentés à temps plein au sein de son effectif, Alain Carrier Paysagiste est en mesure d’offrir un service clés en main à ses clients, incluant l’obtention des permis municipaux requis et la préparation de
plans. Leur savoir-faire amène également une expertise en aménagement de plans d’eau et en restauration écologique de sites, une division en pleine expansion depuis une dizaine d’années que la clientèle apprécie.
Malgré sa croissance soutenue, Alain Carrier Paysagiste a su adapter sa structure et ses processus internes de manière à optimiser son efficacité sur le terrain.
« Notre expansion nous force à changer les choses, parce que nos façons de faire antérieures deviennent désuètes au fur et à mesure que nous évoluons. Mon but n’est pas de grossir à tout prix, mais de continuer à peaufiner nos méthodes et nos équipements afin que nous surpassions la concurrence par notre service hors pair, que ce soit sur le plan de la machinerie, de la gestion de projets ou de la présentation de devis », souligne Jonathan Carrier.
Préconisant l’amélioration continue, M. Carrier a en outre mandaté une firme d’évaluation d’entreprises afin d’optimiser les processus à l’interne, notamment par la redistribution des tâches. Fier de perpétuer la passion familiale pour l’horticulture en prenant les rênes de l’entreprise fondée par ses parents, il espère un jour pouvoir léguer cet héritage à son tour : « Mon but ultime, c’est que mes enfants assurent la pérennité de l’entreprise familiale d’ici 10 à 15 ans ! »