CAROLE BOUQUET
BRUNO WOLKOWITCH
RACHIDA BRAKNI
NICOLAS MARIÉ
GRÉGORY FITOUSSI
LAURENT LUCAS
SAISON 3
LISTE ARTISTIQUE FICHE TECHNIQUE
Carole Bouquet Élisabeth Marjorie Bruno Wolkowitch Simon Kapita Nicolas Marié Alain Marjorie Grégory Fitoussi Ludovic Desmeuze Rachida Brakni Clémence Parodi Laurent Lucas Maxime Beaugendre Yves Pignot Robert Palissy Emmanuelle Bach Apolline Vremler Philippe Magnan Philippe Deleuvre Sophie-Charlotte Husson Anne-Marie Carrère LA FICTION
Une série créée par Dan Franck, Frédéric Tellier, Charline de Lépine et Emmanuel Daucé Une saison écrite par Sylvain Saada et Didier Lacoste Réalisée par Fred Garson Musique originale de Pascal Lafa Producteurs délégués Jean-François Boyer, Charline de Lépine et Emmanuel Daucé Conseillères de programmes fiction France 2 : Sophie Exbrayat et Carole Le Berre Directrice de la fiction France 2 : Fanny Rondeau INTERVIEW NICOLAS MARIÉ
6 x 52 min Réalisée par Fred Garson Produite par Macondo / Charline de Lépine et Tetra Media Fiction / Emmanuel Daucé. Avec Bruno Wolkowitch, Nicolas Marié, Carole Bouquet, Grégory Fitoussi, Rachida Brakni, Laurent Lucas, Emmanuelle Bach, Philippe Magnan, Yves Pignot, Sophie-Charlotte Husson, Marianne Fabbro...
À six mois de l’élection présidentielle, le leader du parti d’extrême droite, favori des sondages, est assassiné sous les yeux de Simon Kapita, le plus proche conseiller du président Marjorie. Cet attentat bouleverse totalement l’échiquier politique et lance, dans le sang, la course à l’Élysée. Désormais, à droite comme à gauche, manœuvres politiciennes, coups bas et trahisons rythment la fin de mandat du président alors que, dans l’intimité, le couple qu’il forme avec Élisabeth Marjorie se déchire et devient la proie des tabloïds. Pour Simon Kapita, cette dernière campagne devient celle de tous les dangers… INTERVIEW CAROLE BOUQUET
FRED GARSON RÉALISATEUR L’idée de mettre en scène le dernier chapitre des Hommes de l’ombre m’a immédiatement séduit. Je connaissais la série et j’avais suivi l’écriture de cette dernière saison car mon camarade d’écriture Didier Lacoste, avec qui j’ai déjà fait deux films, était de la partie, au côté de Sylvain Saada. Traiter les coulisses du pouvoir au plus près du réel était très enthousiasmant, avec l’envie forte d’y apporter une dimension de thriller et de spectacle. Cinq ans se sont écoulés depuis la première saison, cinq années qui ont vu la scène politique se déplacer plus encore vers le spectacle. Et c’est bien de cet amalgame politique people / politique spectacle dont la dernière saison des Hommes de l’ombre s’empare. Comment les plus graves sujets de l’exercice de l’État se heurtent aux conflits personnels. Et comment la vie intime des personnages publics devient un show à part entière. En démarrant cette saison, je voulais aller au spectacle, explorer également les personnages. Et c’est précisément ce que permet l’exercice de la série : suivre des êtres qui changent et évoluent d’un épisode à l’autre, qui se
remettent en question et nous surprennent. Sans oublier la dimension de mouvement, l’action. La série envisagée comme du cinéma augmenté en quelque sorte. Il s’agissait pour moi de faire écho à la vraie vie politique tout en bâtissant une réalité de fiction solide et évidente. Une caméra au plus proche des personnages et de leurs tourments pour donner la sensation de vivre leurs affres, leurs choix et leurs émotions. Je ne voulais pas concéder le moindre compromis dans la qualité de la réalisation malgré le temps de tournage resserré qu‘exige l’économie d’une série télé. Comme je cadre, je suis au contact direct et permanent de mes acteurs. Cela me permet d’aller vite, de tourner davantage. Il me semble d’ailleurs que les acteurs travaillent mieux dans ces conditions, lorsque l’on réduit leur temps d’attente. Mais cela a imposé à l’équipe de rester sur le qui-vive, d’autant que j’ai constamment utilisé une seconde caméra.
Une fois sur le plateau, l’idée était de ne jamais lâcher les acteurs afin de faire émerger les failles de leur personnage. J’aimais beaucoup la distribution des rôles des saisons précédentes, mais j’avais envie de pousser plus loin encore la piste de la crédibilité et d’y convier les sensations du cinéma. Laurent Lucas, que j’avais dirigé dans Qui sème le vent, un film politique, et Rachida Brakni, avec qui j’avais envie de travailler depuis longtemps, me sont tous deux apparus comme des évidences : Laurent, pour interpréter un Premier ministre mû par une énergie d’aujourd’hui ; Rachida, pour incarner cette nouvelle génération de femmes politiques, indépendantes et affûtées à la compétition pour le pouvoir. Très vite, un esprit de troupe s’est imposé. Carole Bouquet, Bruno Wolkowitch, Nicolas Marié et Grégory Fitoussi… ils se sont tous donnés totalement. On avait l’impression d’avoir travaillé ensemble depuis des années.
C’est comme si j’avais eu à diriger un groupe d’amis prêts à me suivre au bout du monde pour obtenir le meilleur. L’aventure s’est révélée aussi exaltante qu’exigeante. Lorsque vous poussez des acteurs de ce gabarit, caméra sur l’épaule, en leur disant : « Vas-y, lâche les chevaux, n’aie pas peur », vous avez l’obligation de ne pas les décevoir. C’est la meilleure des pressions en fait !
INTERVIEW RACHIDA BRAKNI
ÉPISODE 1 À six mois de l’élection présidentielle, le leader d’extrême droite, favori des sondages, est assassiné sous les yeux de Simon Kapita, le conseiller du président Marjorie. En cette fin de mandat déjà difficile, l’Élysée vit sous haute tension. Violemment attaquée par l’opposition, la présidence doit aussi désamorcer un scandale diplomatique après le dérapage de la première dame, Élisabeth Marjorie, dans les Émirats arabes.
ÉPISODE 2 Trahi par son ami et Premier ministre Beaugendre, le président Marjorie est contraint de former un nouveau gouvernement, tandis qu’Apolline Vremler, l’ex-femme de Kapita, s’envole pour le Liban. La journaliste part enquêter sur une affaire de corruption à laquelle Clémence Parodi, rapporteure d’un projet de loi décisif pour l’Élysée, est étroitement mêlée. Mais un autre scandale, plus intime, menace la présidence…
ÉPISODE 3 Apolline est sur le point de faire aboutir son enquête à Beyrouth quand elle est enlevée par un groupe islamiste. Une cellule de crise est mise en place à l’Élysée alors que Kapita et Marjorie doivent par ailleurs parer les coups de l’opposition. La très ambitieuse Anne-Marie Carrère, conseillée par Ludovic Desmeuze, n’hésite pas à utiliser les moyens les plus ignobles pour faire vaciller la présidence et se débarrasser de son rival, Deleuvre.
ÉPISODE 5 Les têtes tombent au gouvernement comme dans l’opposition. Après les révélations d’Apolline, qui a été libérée, Palissy est contraint à la démission. De ÉPISODE 4 Hanté par la mort depuis l’attentat son côté, Anne-Marie Carrère dont il a été témoin, Kapita est suivi s’assure l’investiture de son parti en anéantissant définitivement par un psy. Il semble de plus en plus désabusé par les manœuvres Deleuvre, son principal adversaire. du pouvoir, tandis que le président, L’arrivée en France d’Aïcha, l’une des terroristes qui retenaient pris dans un séisme intime et Apolline captive au Liban, fait politique dévastateur, doit trouver peser sur le pays une nouvelle les ressources indispensables à menace d’attentat… sa survie politique.
ÉPISODE 6 Décidé à se battre pour sa réélection et convaincu de pouvoir reprendre la main, le président Marjorie, galvanisé par l’annonce de sa future paternité, prend des risques en décidant d’un grand référendum. Jouant son va-tout, Marjorie est bien décidé à ne rien lâcher pour l’emporter…
INTERVIEW BRUNO WOLKOWITCH
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