w w w. g a l e r i e g o l c o n d a . c o m
GALERIE GOLCONDA S A I N T- PA U L - D E - V E N C E
ARCHEOLOGIE MUSÉALE GRANDES CIVILISATIONS
HISTOIRES DE FEMMES Merveilles et surprises de l’art ancien
SHÂLABHANJIKÂ EN GRÈS ROSE INDE Région de Madhya Pradesh (X-XIIe siècle). Depuis la plus haute Antiquité, l’Inde a voué à la femme une dévotion particulière. A l’époque médiévale, les sculpteurs, qu’ils soient bouddhiques ou brahmaniques, n’hésitent pas à représenter une femme sensuelle et dénudée, à la manière naturaliste. Ici la « femme à l’arbre » est une déesse de la fécondité, telle qu’on la voit sur les parois des sanctuaires de Khajuräro (Inde centrale), qui compta à l’époque d’or jusqu’à 85 temples. Cette pièce exceptionnelle de beauté et de conservation mesure 80 centimètres de hauteur.
PETITE HISTOIRE DE FEMMES L’histoire des femmes se déroule comme un long fleuve, pas toujours tranquille, nourri par des milliers de rivières. A chaque époque, à chaque lieu, surgit une image de la femme où la beauté choisit de s’exprimer avec une harmonie et une cohérence surprenantes. En Mésopotamie, quatre mille ans avant Jésus-Christ, émerge la femme « moderne » : une déesse-mère, flancs larges, poitrine opulente, incarne le culte de la fertilité. A l’aube de l’âge du métal, la notion de progrès fait son apparition dans l’histoire de l’humanité. A présent sédentaires, les hommes cultivent les céréales, forgent des outils, des armes et vénèrent leurs morts. La femme assure la descendance de la lignée et participe à la naissance de la vie sociale.Vie et mort sont liées et ritualisées. Non loin de là, en Egypte, les cérémonies funéraires atteignent une dimension culturelle et un degré de sophistication extrêmes. Parée de ses amulettes, la femme momifiée, embaumée dans un sarcophage comme son pharaon et son époux, traverse l’éternité. En Grèce et dans la Rome antique, tout est différent. Les divinités obéissent aux canons d’une beauté clas-
L’éternel féminin
sique. Quotidien et sacré se conjuguent : les déesses prennent forme humaine et les simples mortelles ont parfois accès à l’Olympe. Sous la protection d’Héra, l’épouse de Zeus, la femme idéale reste au gynécée. Sa coiffure, ses robes, ses bijoux témoignent du raffinement des mœurs. En Chine, la femme aime le pouvoir qu’elle détient subtilement grâce à sa séduction ou à son esprit. Artiste ou lettrée, amante toujours, elle recherche la perfection. En Inde, c’est encore une autre femme. L’érotisme s’apprend avec le Kamasutra et la sensualité est magnifiée par des statues aux courbes voluptueuses. Femme passionnée d’archéologie, je n’ai cessé de partir en quête des plus beaux objets de cette histoire universelle. A SaintPaul-de-Vence, au cœur du vieux village, la galerie Golconda vous attend. Vous y verrez, à l’opposé des femmes-objets, les objets de tous vos désirs. Faites entrer l’Histoire dans votre maison ! Beryl Cavallini
L’intérieur de la galerie Golconda, à mi-chemin de la rue Grande au cœur du village. Vous y trouverez une grande variété d’objets dont les valeurs décoratives et historiques ont soigneusement été passées au crible avant de vous être proposées. D’ailleurs, certains musées ne s’y trompent pas y envoyant régulièrement leurs conservateurs à la recherche d’une pièce pour leurs collections.
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Beryl Cavallini a une vraie passion : vivre entourée d’objets rares, anciens et beaux. Il n’est de grande civilisation ou d’époque qu’elle n’étudie avec enthousiasme. D’esprit et de culture éclectique, elle aime confronter les mystères, étudier les matériaux et vous raconter les belles surprises de l’Histoire. Collectionneuse dans l’âme, elle divise son temps entre les voyages, les musées, et… les livres. Ouvrir une galerie à Saint-Paul dont elle adore les vieilles pierres et les jardins cachés était donc pour elle dans l’ordre des choses. A une condition pourtant que son caractère rigoureux, conforté par les meilleures techniques de l’archéologie moderne, soit dans cette entreprise. Ainsi toutes les pièces ont leur dossier d’étude numéroté, leur certificat d’expert spécialisé et, chaque fois que c’est possible, un test de thermoluminescence ou de carbone 14 qui mesure de façon infaillible et précise la radioactivité des matériaux. Ils sont indispensables à la datation exacte des œuvres. Oui, vous pouvez aujourd’hui acheter de l’archéologie scientifiquement contrôlée. Galerie Golconda : une provenance et une datation certaines. Pourquoi devriez-vous y renoncer ? 3
Mésopotamie et Egypte MASQUE EN STUC Egypte ancienne, (30 av.-392 ap. J.-C.) Ce masque égyptien d’époque romaine représente un visage de femme aux traits grecs. A l’origine polychrome, il était plaçé sur la momie à hauteur de visage. Moulé et creux à l’intérieur, alors que les yeux en verre, les oreilles et le nez étaient fabriqués séparément, ce type de masque remplace le masque pharaonique. Exemplaire similaire au musée du Louvre.
Parce qu’elle donne la vie, la femme est éternelle et c’est là son privilège. La Mésopotamie, berceau de la civilisation occidentale, nous a livré il y a déjà plus de sept mille ans des déesses-mères stéatopyges dont la symbolique force l’admiration. Tout y est : la parure dessinée à même le corps, les formes majestueuses de la fertilité et la présence implicite des rites qu’elle
Rites
sous-tend. Comme en complément, la civilisation égyptienne, probablement la plus aboutie
BUSTE IDOLE DU MEHRGARH V Mésopotamie (3000-2600 av. J.-C.) Actuel Balouchistan pakistanais, le Mehrgarh est considéré comme le premier site de fermage dès 7000 ans av. J.-C. Les figurines en terre cuite montrent coiffures et bijoux variés. Fait rare, cette civilisation connaissait la dentisterie.Terre cuite, hauteur : 7 centimètres.
avant notre ère, éton-
ne par la puissance de son code esthétique, la netteté de ses couleurs, la proportion des ses représen-
ISIS ALLAITANT SON FILS HORUS Egypte ancienne, Basse Epoque (1080-400 av. J.-C). Pour cette déesse universelle, guérisseuse et protectrice des enfants, on bâtit le temple de Philae à Assouan. Elle épousa son frère, coutume reprise des pharaons afin de préserver la pureté du sang. Elle protège également le défunt. Bronze à patine de fouille. Haut. : 28,2 centimètres.
tations figuratives : tout ceci au milieu d’un foisonnement hétéroclite de pharaons, de courtisans, d’animaux les plus extravagants et d’habitudes rituelles qui apaisent la peur du passage dans l’au-delà. Nous sommes particulièrement attentifs lors de la sélection de nos pièces pour lesquelles nous faisons systématiquement des recherches iconographiques et des tests scientifiques très poussés.
AMULETTE DE THOUERIS Egypte ancienne, Basse Epoque (1080-400 av. J.-C.) Déeesse hippopotame gravide à queue de crocodile et pieds de lion. Symbole de fécondité provenant des eaux, elle protège lors de l’accouchement les femmes égyptiennes qui la portent autour du cou. Fritte turquoise. Haut : 5,3 centimètres. 4
COLLIERS D’AMULETTES ANTIQUES Egypte ancienne, plus de 2000 ans d’ancienneté. Il était d’usage en Egypte de porter des amulettes, ces représentations le plus souvent animales aux valeurs hautement symboliques pour se protéger des méfaits du quotidien et attirer les bienfaits des dieux. Ici, Pthah, protecteur des architectes et des artisans, une petite grenouille, un lapin, et l’inévitable scarabée où l’on gravait des prières sur sa partie plate.
PEIGNE DE TISSAGE COPTE (337-641 ap. J.-C.) Très rare par sa beauté, ce peigne était utilisé par les Egyptiennes de confession chrétienne pour tisser le lin mais aussi des fibres de palmiers et des herbes, et rarement la laine. Les motifs de couleurs vives, surtout jaune, rouge et noir, étaient très élaborés et variés. Quand l’Islam imposa la représentation abstraite des humains et des animaux, on eut recours aux symboles chrétiens.
DÉESSE STÉATOPYGE DU NÉOLITHIQUE Syrie et Mésopotamie, culture tell el Halaf (5000 ans avant J.-C.) Les idoles stylisées « stéatopyges » (aux grosses Représentée nue, le visage à peine ébauché, sans fesses) et aux seins proéminents sont une pied ni main, elle est garante du cycle de la vie manière d’exprimer la sacralisation de la fertilité. dans une société sédentaire qui prend conscience Modelée en argile, cette statuette est décorée de de sa postérité. Exemplaire similaire, mais sans barres brunes sur le corps, probablement des tête, présent au Metropolitan Museum of Art. La taille de 11 centimètres est très rare. tatouages en signe magique de protection.
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Grèce et Rome antiques EPICHYSIS STYLE DE GNATHIA Grande Grèce, Apulie, (IVe s. av. J.-C.) Terre cuite rouge, vernissée de noir et rehaussée de frises de rameaux d’oliviers et de grecques sur plusieurs registres. L’épichysis est en fait une petite cruche dont la forme du col permettait de verser l’huile dans les lampes. Haut. :19,2 cm.
CANTHARE Grande Grèce,Apulie (IVe s. av. J.-C.). Coupe à boire dont la forme sera très en vogue en Etrurie classique et dans l’Empire romain. Le portrait de femme de profil, parée de ses bijoux, se retrouve sur le plat de même origine. On y voit les détails de la coiffe en résille, les boucles d’oreilles en pendentif et le collier de perles. Haut. : 16,5 cm.
A l’époque gréco-romaine, les bijoux, porteurs de symbole, sont à la mode. Ornés d’attributs divins ou de têtes de bélier, comme ce bracelet en argent (VIe-IVe s. av. J.-C.) ou ce collier serti d’une monnaie de la ville de Sybaris à emblème de taureau, ils ont un rôle protecteur.Tout comme les clés des maisons à décor de lion.
Avec la Grèce ancienne apparaît le grand Panthéon des divinités toutes puissantes. On
Divin
en voit partout : Homère nous raconte leurs histoires mais il n’est pas que les temples, les statues et
les vases pour nous enchanter sur leurs habitudes quotidiennes et sacrées. Cette période est évidemment fascinante pour qui aime l’archéologie. Les BOUCLES D’OREILLES EN OR À TETE DE LION Epoque héllenistique, environ 2000 ans. Bijoux portables, ce qui est très rare en archéologie !
plus beaux musées du monde, du British Museum au Louvre, regorgent de ces merveilles si raffinées et
CRATÈRE À VOLUTES À FIGURES ROUGES Grande Grèce (5400 ans av. J.-C.) Ancienne collection Bernard Buffet, ce splendide cratère est digne des plus beaux musées. A l’intérieur d’un Naïskos (édicule funéraire), le jeune défunt, dans sa nudité héroïque, fait face à une femme assise. Sur le vase se trouvent des femmes avec des miroirs, entourées de petits Eros ailés, qui font référence au culte des morts. Haut. : 77 centimètres.
sophistiquées quant à l’image de la femme qu’elles nous présentent. Les objets de notre collection sont
600 pièces de collection et tous les prix sur www.galeriegolconda.com MINERVE EN MARBRE BLANC Epoque romaine (30 av.-337 ap. J.-C) Minerve (Athéna chez les Grecs) est célèbre pour son différent avec Neptune (Poseïdon). Elle donne son nom à la ville d’Athènes, où elle est révérée. Chaste, c’est la déesse de la sagesse, des techniques de guerre, des sciences et des arts. Elle protège également les artisans. Sa beauté simple et modeste, est empreinte de force, de gravité et de majesté.
si nombreux et leur pedigree si prestigieux que choisir pour vous ces quelques pièces peut sembler arbitraire. En effet, comment parcourir mille ans d’Histoire en deux pages ?
PLINE L’ANCIEN (Naturalis historica, an 77) décrit comment, par le hasard des caprices du feu, des marins phéniciens découvrirent sur une plage de la Méditerranée que des blocs de soude chauffés sur du sable pouvaient se vitrifier. Les premiers objets en verre semblent avoir été des perles égyptiennes remontant à 2500 avant notre ère. Le soufflage du verre a été inventé par les Babyloniens vers 250 avant J.-C. et n’évolua que peu jusqu’au XVIIIe siècle. 6
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Chine ancienne
Etre une femme accomplie dans la Chine des Tang n’était pas une mince affaire : il fallait être belle, évidemment, bien née, de préférence, et en plus cultivée. On bandait ses pieds au mépris de la souffrance pour qu’ils soient
TETE DE KWANIN EN PIERRE Epoque Song (960-1279) Cette salvatrice compatissante est la « madone du bouddhisme ». Dans toute la Chine, des autels sont consacrés à cette porteuse de lumière, qui a renoncé au Nirvana pour sauver les enfants de Dieu. Souvent en robe blanche, un lotus symbole de pureté dans la main gauche, elle est l’idéal féminin. Kwanin apparaît fréquemment dans le ciel ou sur les vagues afin de sauver ceux qui sont en danger. Haut. : 34 cm.
minuscules, on acceptait les diktats de la hiérarchie masculine et même la polygamie.Aucun homme n’aurait été séduit par une femme qui n’aurait pas su chanter, danser, peindre et écrire des poèmes. Mais il fallait aussi savoir bien fixer son chignon, et manier à cheval le maillet de polo aussi bien que l’aiguille à broder. Les hommes voulaient des mères soumises, ce qu’elles étaient, mais elles savaient aussi devenir des impératrices à la main de fer, telles Wu Zetian qui fonda en 690 la dynastie Zhou. A l’époque, la femme gère ses terres, peut divorcer, se
Pouvoir remarier, et fréquenter les tavernes pour y boire du vin,
MIROIR ET PEIGNE DE MARIAGE TANG (475-221 av. J.C.) La scène décrit le char de la mariée suivi par les danseuses, les musiciennes et les invités qui apportent les présents. Il était d’usage que le conjoint survivant casse le miroir et dépose le plus grand morceau dans la tombe du défunt. Diam. : 22 cm. Les objets rituels étaient souvent en bronze doré à la feuille, comme le montrent ce peigne décoré et ce miroir en forme de disque. Peigne, époque des royaumes combattants. Long. : 18,4 cm.
ou secourir avec courage son père sur le champ de
bataille comme le fit la princesse Pingyang. Nous exposons plus de 200 pièces d’archéologie chinoise, dont la grande qualité plastique et l’aboutissement technique en font pour certaines d’entre elles des pièces de qualité musée.
JOUEUSE DE POLO Vêtue à la mode des barbares de l’Ouest, la cavalière monte un cheval bien particulier, le croisement d’un poney tarpan de Mongolie, robuste et rapide, avec un cheval arabe, réputé pour son élégance. Haut. : 37 centimètres.
PAIRE DE BOUCLES D’OREILLES MIAO Ethnie de l’ouest du Yunnan, XIXe siècle. Haut. : 6,5 centimètres.
JEUNE FAT LADY À L’OISEAU Durant cette période, l’Empereur aimait les femmes « grassouillettes », vêtues d’amples robes, rivalisant d’ingéniosité pour leur coiffure. Les oiseaux sont depuis toujours les amis des Chinois, qui n’hésitent pas, encore aujourd’hui à les amener en promenade en bicyclette. Haut. : 31 centimètres. 8
JOUEUSE DE TAMBOUR TANG L’époque Tang (618-907), est probablement l’âge d’or de l’archéologie chinoise. Les Mingki, personnages qui ornent les tombes et remplacent les cérémonies sacrificielles, sont alors fabriqués dans une argile très fine, souvent polychromée. Ils représentent la vie des femmes de l’époque qui jouent de la musique ou du polo avec une élégance rare.Attention ! Commencer à les aimer veut quelquefois dire devenir collectionneurs impénitents… Haut. :16,5 centimètres.
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Inde précieuse
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OR ETHNIQUE ANCIEN, INDE Bracelet du Gujarat utilisé comme arme de défense ! Collier torque du Rajasthan. Paires de boucles d’oreilles, or, turquoise et corail.
Quand on lit le Mahâbhârata (IV siècle avant J.-C. - IV siècle après J.-C.), on reste pantois devant la sexualité triomphante de tous les dieux. On s’aime, on se marie, on se multiplie et on se sépare dans une allé-
TÊTE DE FEMME EN STUC DU GANDHARA L’art gréco-bouddhique nait au Gandhara (actuel Afghanistan/Pakistan). Issu de la rencontre des soldats de Macédoine, accompagnant Alexandre le Grand, et des Indiennes de culture bouddhiste, c’est un art de frontière. On y trouve l’association de la technique grecque (le drapé et la sculpture en ronde bosse) et de l’iconographie de Bouddha, représenté pour la première fois sous les traits d’un humain. Haut. : 12 cm.
gresse peu commune. Le Kamasutra à côté fait pâle figure. Ce n’est que de l’érotisme ! Les statues de l’Inde médiévale sont bien plus que cela. Elles envoûtent par leur sensualité, par leur grâce incantatoire et par les détails de leur parure.Aucun bijou n’est assez beau, aucune perle assez grosse, aucune soierie
Amour
assez chamarrée pour rendre hommage à la beauté féminine. Vous trouverez à la galerie
Gol-
conda une ample sélection de bijoux anciens tout à fait portables et des chefs-d’œuvre de la Péninsule indienne depuis les gorges de l’Afghanistan et son art du Gandhara, en passant par le Népal et le Tibet, pour finir avec la culture du Madhya-Pradesh. Nous apportons le plus grand soin à notre sélection de bijoux très anciens ou provenant de fouilles. Quoi de plus merveilleux que ces bijoux ethniques, anoblis par le temps ? Toutes nos pièces sont accompagnées d’un certificat de gemmologue.
BAGUES AVEC INTAILLES D’ÉPOQUE ROMAINE, ET PARTHES SASSANIDES A partir de 750 €, vendues avec certificats.
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NÉPAL ET TIBET Argent ethnique, coraux et turquoise. Une rare sélection de bijoux provenant de vieilles familles nobles.
DEESSE HARITI EN SHISTE GRIS DU GANDHARA Très importante déesse de la fécondité vénérée dans toute l’Inde. Sorte d’ogresse cannibale, ayant eu des centaines d’enfants qu’elle adorait, elle cherchait à dévorer ceux des autres pour nourrir les siens. Puis, grâce à l’enseignement de Bouddha, le repentir succèda à la cruauté. Haut. : 44 cm.
Regarder droit dans les yeux un masque No, A cheter une jarre chinoise qu’aurait pu voir Marco Polo, Trouver une amulette égyptienne qualité musée du Louvre, Porter des bijoux de l’époque de Périclès, Offrir une statue pré-colombienne, autrefois collection de Nelson Rockefeller, ou rester tout simplement à se pâmer devant la paire de vases étrusques qu’adorait Bernard Buffet… Vous n’avez jamais vu une galerie comme celle-là !
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Place de la Grande-Fontaine - 06570 Saint-Paul-de-Vence info@galeriegolconda.com Ouvert tous les jours de 10h30 à 19h30 Tél./fax +33 (0)4 93 32 51 73
© SMC - Photos : Andreotta
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