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HIGHTECH - GAMING - SERIES - CINEMA - REPORTAGES - MMO - CONSOLES

LE PREMIER MAGAZINE WEB A HAUTE TENEUR EN GEEK - CONTIENT DE VRAIS MORCEAUX DE GEEKS A L'INTERIEUR - MAG A 101% GEEKETTES...

GEEKETTES et compagnie

NUMERO 10 - GRATUIT

LE SEUL ET UNIQUE WEBZINE 100% REALISE PAR DES GEEKS

LE MEILLEUR JEU JAMAIS REALISE SUR PLAYSTATION 3 ?

QUELQUES ACTUS SUR LA DREAM TEAM ET DES CLES A GAGNER POUR LA BETA !

Les zombies à l'honneur cet été Nephael, modèle de charme Partez à la découverte des tests avec des jeux assez inégaux... nous fait l'honneur de sa visite ! de l'été avec quelques surprises....

EDITORIAL

N°10 - ETE 2013 - GRATUIT Directeur de la publication : Kristen S. Redacteurs : Kristen S., Rédactrice en chef Aurélie B., Graphiste et webdesign Eileen D., Section Gaming Online Camille D., Section Roleplaying Games Juliette E., Section e-Sports Mathilde de C., Sections actualités Marina de S., Jeux en ligne Audrey P., Séries TV Nina G., Cinéma et collectors Laura S., Roleplaying Games Fanny L., Chronique littéraire Lucille B, Cinéma et MMO Samir K., Consoles Marcus N., Hardcore Gaming Johann C., High-tech Nathan P., Hardcore Gaming Ophy du blog Normal/Paranormal Conception graphique & Publicité : Aurélie B. et Eileen D. Illustrations : Aurélie B., Graphiste et webdesign Relecture : On a encore oublié ce mois-ci !

Toutes nos plus sincères excuses !

Avertissement : La rédaction n’est pas responsable des textes, illustrations et photos qui lui sont communiqués par ses différents rédacteurs. La reproduction partielle ou totale du design, des avis ou des publications de ce magazine est strictement interdite sans accord écrit préalable. Les opinions exprimées n’engagent que leurs auteurs.

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EDITORIAL

Un nouveau numéro tardif et placé sur le signe de la canicule ! Après plusieurs mois de pluies intensives on va râler sur la chaleur étouffante qui règne çà et là ! Va-t-on grogner également après l’actualité florissante de ces dernières semaines ? A n’en pas douter ! Avec SONY® qui remonte en force et Microsoft® qui déçoit, il est inutile de préciser que l’E3 de cette année a été riche en informations.

On retiendra le coup de poing du japonais Sony® à son adversaire américain Microsoft®. Rebondissements sans surprise, Microsoft® revient sur la plupart de ses déclarations devant le coup de Jarnac de Sony® ! Reste à voir si la firme américaine s'allignera également au niveau du tarif, 500$ contre 400$ pour la firme nipponne.

Quel match fabuleux !

L’actualité des sorties a été elle aussi très riche. Et comme à notre habitude nous avons décidé de prendre notre temps et surtout de finir nos tests… Je le rappelle, nous terminons les jeux avant d’en écrire l’article. Cette décision nous permet de donner un avis fiable sur le contenu contrairement à cette multitude de blogs qui se targue de sortir des tests 24 heures avant la sortie officielle du jeu !

En marge, ce numéro est particulièrement volumineux car vous devrez tenir tout l’été avec ! Nous avons donc décidé de mettre les bouchées doubles et de vous proposer un contenu plus riche afin de vous faire patienter ! Et pour nous excuser de ce retard (habituel ?) j’ai le plaisir de vous inviter à lire l’interview de la ravissante Nephael, qui est mise à l’honneur dans ce numéro estival !

La rédaction reprendra son travail en septembre ! Dans cette attente, je vous souhaite de très bonnes vacances !

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SOMMAIRE

WEBZINE N°10 EDITO SOMMAIRE INTERVIEW DE LA RAVISSANTE NEPHAEL DÉCOUVERTE UBISOFT MONTREAL

2-3 4-5 6-9 10-12

RUBRIQUE PETITS ET GRANDS ECRANS WORLD WAR Z STAR TREK : INTO DARKNESS SÉRIE : DÉFIANCE

46-49 50-53 54-55

RUBRIQUE ANNONCEURS MLLE GEEKETTE MYIDEVICE

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SOMMAIRE

RUBRIQUE GAMING THE LAST OF US DEAD ISLAND RIPTIDE BIOSHOK INFINITE REMEMBER ME SPACE ORIGIN THE WALKING DEAD : SURVIVAL INSTINCTS CUBE WORLD DOSSIER RÉTROGAMING PAR MR LOACK DOSSIER SEXISME ET JVD ESPACE CONCOURS

14-19 20-23 24-26 28-29 30-31 32-35 36-37 38-39 40-44 45

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INTERVIEW

NEPHAEL

Bonjour Nephael, je suis heureuse que tu aies accepté de jouer le jeu des questions réponses avec moi, cela me fait très plaisir et ce, pour plusieurs raisons. La première c’est que tu es véritablement ravissante, bien dans ton corps et que tu t’assumes, la seconde est que tu sais valoriser avec talent et esthétisme tes charmes au service du sexy avec une délicatesse qui fait ressortir à merveille ta sensualité au service de l’érotisme. Maintenant que j’en ai terminé avec les flatteries, je vais te laisser la parole !

Q : Peux-tu te présenter un petit peu puis nous parler de tes activités ?

Je suis Nephael, j’ai 26 ans. Dans la vie je suis modèle érotique de photos, vidéos mais aussi webcam pour mon site internet de charme. Je suis également animatrice TV au sein d’une production qui réalise des émissions pour Dorcel TV, PlanetNoLimits mais aussi D17.

Q : Comment t’es venue cette idée de faire un site sexy ?

C’est parti de rien, c’est arrivé « comme ça » ! Mon mec regardait un portail webcam sexy il y a de ça plus de 7ans. J’ai eu envie de tenter l’expérience, le lendemain je démarrais. Ensuite on s’est vite pris au jeu de la

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photos, puis de la vidéo et du coup le site en a naturellement découlé, histoire de pouvoir mettre ça à dispo des internautes avec un blog aussi pour qu’ils puissent me connaître un peu plus.

Q : Je ne te cache pas que j’ai visionné quelques vidéos de toi. Je suis émerveillée de voir ce côté à l’aise qui te caractérise, mais n’est-ce pas perturbant de ce dévoiler dans « le vide » ?

Ahah c’est une très bonne question ! Ça peut être perturbant en effet, maintenant que tu me le dis, mais en fait je n’y avait même jamais pensé ! Pour moi la caméra c’est mon ou mes spectateur(s) et j’interagis beaucoup avec eux via le regard ou quelques paroles.

Mais c’est vrai que du coup, je suis assez « isolée » et en fait je suis souvent un peu plus timide quand je danse IRL devant quelques personnes !

Q : De quels moyens logistique disposes-tu dans cette activité sur internet ?

Je dirais plus qu’au départ ça c’est certain ! Un gros serveur Web que je change tous les ans ou tous les deux ans pour du « plus gros » ! Du matériel photos et vidéos, des éclairages divers, webcam, ordinateur, logiciels divers, de la lingerie forcément, dix doigts et aussi, même si ça m’embête de le citer dans la partie

RENCONTRE AVEC... NEPHAEL technique, mon chéri qui prend part à tout ce que je fais et m’aide énormément. On est très complémentaires et ça c’est juste fantastique.

Q : J’ai navigué sur ton site internet. Et je n’ai pu m’empêcher de jouer avec des mini jeux flash, je trouve l’idée très Geek, j’adore ! Cela me rappelle les Doll Kiss d’il y a une dizaine d’année ! Comment as-tu eu cette idée ?

Je suis en perpétuelle recherche d’idées pour mon site, pour le renouveler, pour me faire plaisir aussi. Si je faisais tout le temps la même chose, ça me lasserait forcément. Comme on adore les petits jeux flash mon mec et moi, on a vite eu l’idée d’en mettre en place pour diversifier le site et surtout amuser les gens, qu’ils ne viennent pas uniquement pour mes vidéos ou photos. Et puis ça permet une plus grande liberté ; comme par exemple un jeu dans lequel tu dois me draguer, me séduire, chose qui est un peu plus compliquée « en vrai ». Ça a commencé il y a 6 ans environ avec le jeu « de l’interview » qui consiste à m’envoyer des questions par mail comme un reporter et moi j’y réponds plus tard en vidéo. C’est assez basique mais ça permet aux gens de mieux me connaitre et avec les temps nos connaissances ont suffisamment évoluées pour proposer d’autres types de jeux beaucoup plus interactifs, plus complets, plus geek ou plus addictifs aussi comme Nephael Doll 2 qui a connu un sacré succès !

délires, nos vies etc. Pour être honnête, j’ai vraiment de plus en plus de mal à répondre aux mails que je reçois. Au début je tenais vraiment à répondre à tout le monde mais le « soucis » c’est que les gens à force d’échanges de mails, me faisaient des messages de plus en plus longs pour me raconter leur vie, moi de même pour répondre et je n’en finissais plus. Non pas que je n’aime pas ça, mais je n’ai malheureusement plus le temps de le faire.

Avec les réseaux sociaux c’est court, tu t’amuses bien, tu apprends des choses sur chacun mais c’est rapide, concis et j’adore être proche des gens qui me suivent. Entre nous c’est beaucoup plus facile de répondre à un tweet entre deux arrêts de métro qu’à un mail !

Q : Tu as une magnifique communauté pour ne pas dire une foultitude de fans ! Ce n’est pas trop dur à gérer cette célébrité ? :) Je ne me considère pas comme célèbre mais comme tout vient progressivement, ça me permet de voir venir au fur et à mesure. Mes internautes sont adorables ! Comme tu l’as dit plus haut je suis très proche d’eux, mais il faut savoir poser des limites et le leur faire comprendre. Cela dit je reste la même, et il se rendent bien compte, en partageant autant ma vie sur le net, qu’au final je suis une personne tout ce qu’il y a de plus normal !

Q : A l’inverse, tu n’as pas trop de jaloux/jalouse ?

Franchement, je n’ai pas à me plaindre de ce côté-là. Il y aura toujours un ou deux détracteurs de temps en temps mais au final je n’y prête que peu d’attention. Il y a forcément des gens qui ne m’aiment pas, mais j’ai la chance d’en avoir des intelligents ! lol j’entends par là qu’ils ne me contactent pas. Je dis toujours que pour moi, si tu n’aimes pas une personne, tu passes ton chemin, tu ne vas pas sur son site et tu ne l’insulte pas à longueur de journée !

Q : Nous avons échangé quelques mots sur twitter et j’ai véritablement apprécié ta gentillesse. Je devine que tu es proche des gens, est-ce que je me trompe ?

C’est très sympa déjà, merci ! lol J’essaie oui, j’adore les réseaux sociaux, c’est rapide, concis et ça permet d’échanger avec un maximum de monde sur nos petits

C’est très con mais si je n’aime pas le pain que fais mon boulanger, je change de boulangerie, je ne vais pas dans son magasin chaque jour pour lui hurler dessus que ce qu’il fait est dégueulasse !! c’est un peu le problème avec internet, les gens se permettent des choses qu’ils n’oseraient jamais faire « en vrai » en se

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INTERVIEW cachant derrière une pseudo liberté de penser en sujets, et j’organise mes tournages et oubliant les règles fondamentales de respect. aussi certains où je Q : Je cru lire dans une interview que tu as accordé ne suis pas. J’écris mes sur blog.dorcel.fr que tu étais très casanière et que toutes j’écris tu aimais les jeux vidéo, bien évidemment, je ne chroniques, tous mes pouvais pas passer à coter de cela ! Quels sont les aussi sommaires/lancemen genres de jeu que tu préfères ?

J’adore les RPG, un peu moins les MMORPG mais ça ts d’émission que je dois ensuite m’arrive d’y jouer, les survival horror. enregistrer en studio.

Ecrire également mes Q : Ton jeu préféré ? presse Sans hésiter Diablo II, reportages j’y ai passé des jours et pour le magazine des nuits entières Dorcel. Il y a aussi un peu de travail après durant des mois. les tournages, du Q : A quoi joues-tu surtout relationnel, comme ces temps-ci ?

Malheureusement j’ai récupérer auprès de beaucoup moins de telle compagnie des temps pour jouer, alors images d’illustration en ce moment c’est pour l’interview de plutôt petits jeux flash qui peuvent être mis en pause leur actrice, répondre et repris facilement, qui se terminent vite et qui ne aux questions sur les dates de diffusion de leur créent pas (trop) de dépendance ! comme Learn To Fly, reportage etc.

Learn To Fly 2, Liquid Measure, Burrito Bizon etc..

Q : J’ai vu à plusieurs reprises une question revenir, Q : Tu es également animatrice sur D7 et pour celle du porno. On te demande souvent si tu Dorcel, peux-tu nous en dire un petit mot ? En quoi franchiras le pas un jour. Sans aller jusque-là, cela consiste-t-il ? Quel travail en amont cela génère- j’aimerai connaitre ton point de vue sur cet autre aspect du divertissement pour adulte. t-il ?

J’ai commencé à travailler en tant qu’animatrice avec J’aime beaucoup ce milieu et j’aime le découvrir ! eux il y a un peu moins de deux ans. Aujourd’hui Malheureusement, en France ça fait des années qu’on j’anime une petite chronique « sexo », sexy et décalée résume le divertissement adulte au porno seul ! Les dans laquelle je fais découvrir des pratiques sexuelles, gens ne comprennent pas qu’on peut participer à cet des lieux sympas, des moyens de pimenter sa libido univers (soit par le biais du charme ou par le côté reporter curieuse) sans faire du porno ! mais pas de manière médicale !

Je présente également Enquête Très Spéciale sur D17 dans laquelle on retrouve cette chronique justement.

Sur DorcelTV je présente diverses émissions, Adult Only l’émission de tous les salons érotiques du monde, JetSexMag, un magazine sexy sur les mondes de l’adulte, JetSexConfidential un magazine qui traite un thème sexy particulier (la photo de charme, le BDSM, les webcam girls…). Et enfin sur PlanetNoLimits j’appose ma voix sur l’émission Libertime.

Cela représente plus ou moins de travail selon les émissions mais de manière générale je cherche des

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RENCONTRE AVEC... NEPHAEL Après tout, ils sont bien fans/consommateurs qui participent donc activement au milieu sans pour autant tous être acteurs et actrices X !! C’est parfois un peu compliqué à leur faire comprendre.

pas franchement envie de me prendre la tête avec elles, en général elles sont plutôt du genre obtus. Les chiennes de garde sont plutôt des Pitbull de garde, quand elles t’ont choppé, elles ne te lâchent plus !!

Mais cela dit, du porno il en faut, j’adore ça et je m’épanouis dans mon travail qui me permet justement d’avoir un œil et un pied dans le biz, de rencontrer des actrices et des gens formidables, assister à des tournages… Tous ces gens travaillent (même s’ils nouent passion et argent et qu’ en France ça reste très mal vu…) pour vous faire plaisir, pour animer vos petits poignets, éveiller votre libido et qu’ils ne sont pas forcément traités et respectés comme ils le devraient. Concernant mon avis en luimême sur le milieu je pense qu’en France il y aurait des choses à améliorer mais je n’ai pas ce pouvoir !

Q : Quel conseil donnerais-tu à une débutante qui voudrait créer un site identique au tien ?

En premier lieu… la PATIENCE !! j’ai vu de nombreuses nana passer et repartir comme elles sont venues parce qu’elles s’imaginent qu’une fois le site en ligne elles vont être riches et célèbres la semaine suivante.

D’ailleurs si c’est pour ça que vous souhaitez le faire, ne le faites pas, tentez la TV réalité, ça ira plus vite !!

Ensuite se faire plaisir, suivre ses envies et s’amuser !

Q : Est-ce que franchir cette étape te fait peur ? Je ne te cache pas que moi cela me terroriserait.

Non, je n’ai pas peur dans le sens ou comme je n’ai pas envie d’en faire, je ne me pose pas la question !

Je te remercie pour le temps que tu nous as accordé ! Bonne continuation à toi et je garderai un œil sur toi, je ne te le cache pas :p.

Merci beaucoup pour cette interview !

Au plaisir ;-)

Q : Tu mets en en avant avec brio le « sexy » et c’est une véritable performance au sens artistique quoiqu’en disent certaines. Si je dis cela ce n’est pas innocent, il y a quelques temps nous nous sommes attiré les foudres des féministes par rapport à une couverture un peu sexy. Quel regard portes-tu sur le féminisme aujourd’hui ?

Je pense qu’il y a de vraies causes dans le féminisme à défendre, dans les pays ou la femme est encore considérée comme… rien du tout. Mais qu’en France, en dehors de deux ou trois sujets de fond, elles en viennent à demander toujours plus, à trouver des problèmes là où il n’y en a pas et à enchainer paradoxe sur paradoxe dans leurs apparitions publiques. Alors un peu de féminisme oui, défendre les droits de la femme, ok mais l’extrémisme non merci. Concernant le divertissement adulte justement, elles n’ont toujours pas compris que personne n’oblige les actrices à tourner, les modèles à poser, qu’on peut parfaitement être maitresse de son corps et de sa vie en l’exposant au reste du monde ; c’est notre corps, nos choix, mais dès lors que ça ne rentre pas dans leur schéma de pensée ça devient inadmissible.

Q : As-tu déjà été confrontée à des réactions violentes (tant par les mots que par les gestes) au nom du féminisme ?

Jamais, et j’espère que ça continuera comme ça ! J’ai

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UBISOFT MONTREAL

Ubisoft Montréal est un nom récurrent qui s'affiche sur les grosses licences que nous avons l'habitude de voir sur nos hardwares depuis de nombreuses années. Depuis plus de 15 ans, Ubisoft génère des millions de dollars avec des franchises telles que Prince of Persia, Assassin's Creed et la franchise Tom Clancy, sans oublier la licence Rayman ?

Aussi, comment passer à Montréal sans s'arrêter devant les bureaux gigantesques de cette société qui compte près de 2000 salariés. Gigantesque car l'espace de travail s'étend sur plus de 23.000 m² !

Vous l'avez donc compris, j'ai eu la chance d'être invitée à découvrir le Studio de production le plus grand du monde. Il était impensable pour moi il y a encore un an imaginer visiter le lieu où a été développé mon jeu fétiche, Assassin's Creed ! Mais comme dans beaucoup de situation, il faut se payer le culot de demander. Et on m'a répondu favorablement. Du coup, je vais vous faire partager cette visite improvisée chez nos cousins d'outre atlantique !

Pour occuper un tel volume, il fallait un batiment contenant de grandes surfaces au sol et quoi de mieux qu'une usine pour remplir cet office. On repère donc immédiatement le magnifique bâtiment de briques rouges que l'on croirait tout droit sorti des sims ! Non, mauvaise référence, j'avoue...

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La visite commence donc par l'étage dédié aux services adminsitratifs, qui vont gérer les ressources humaines, la presse, les achats, les finances, la logistique. Et oui, c'est bel et bien une entreprise !

Et je note que l'on aime beaucoup l'open space ici...

Mais que l'on aime ou pas, on ne peut pas rester de marbre devant ces immenses bureaux baignés dans une luminosité impressionnante, due aux larges fenetres qui tapissent tout le batiment. Les sols de parquet couplés à la brique rouge présente elle aussi à l'intérieur donnent une sensation d'ambiance chaleureuse et de convivialité. Les nombreuses vitrines, mettent en valeur les produits dérivés des productions du studio, on s'émerveillera devant tout le mershandising dédié à Rayman et à Assassin's Creed.

UBISOFT MONTREAL productions du studio, on s'émerveillera devant tout le mershandising dédié à Rayman et à Assassin's Creed.

C'est un plaisir que de naviguer (sous surveillance malgré tout :p) dans les couloirs de l'entreprise, je découvre l'espace de repos qui n'a rien à envier à celui de Blizzard que j'ai eu la chance de visiter l'année dernière. Ceci dit, ici on ne fait pas autant dans la démesure... Figurines, statuettes, statues et autres répliques viennent renforcer l'esprit d'équipe, mobilisant ainsi l'ensemble de l'entreprise autour de valeurs et de réussites communes. C'est véritablement magnifique. Je regrette que la sécurité n'aie pas accepté que je reparte avec une réplique d'Ezzio...

Après un café bien mérité, j'ai échangé quelques mots avec mes guides qui m'ont fait la surprise de me faire assister au travail d'ingénieurs du son pour un prochain titre que je n'ai ni eu le droit de photographier ni de mentionner ici ! Mais je n'en demeure pas moins reconnaissante d'avoir pu assiter à cela. On se croirait sur un studio de cinéma, mais c'est presque cela finalement. En effet, on retrouve la même organisation, les scénaristes, les graphistes, les ingénieurs son et image, la psotprod... bref, un véritable studio de production de cinéma.

Toujours en open space, j'ai pu m'émerveiller devant les alignements presque parfaits d'ordinateurs où chacun occupe sa place telle une fourmi ouvrière qui travaille en symbiose avec l'ensemble du groupe. J'ai pu entrevoir par la porte un autre open space mais le sourire de la guide a suffit à lui tout seul à me faire comprendre que c'était interdit de regarder dans cette direction.

Toujours en open space, j'ai pu m'émerveiller devant les alignements presque parfaits d'ordinateurs où chacun occupe sa place telle une fourmi ouvrière qui travaille en symbiose avec l'ensemble du groupe. J'ai pu entrevoir par la porte un autre open space mais le sourire de la guide a suffit à lui tout seul à me faire comprendre que c'était interdit de regarder dans cette direction.

C'est bien plus tard que je me suis risquée à poser la question, il s'agit du lieu le plus secret du bâtiment, celui où l'on travaille sur Assassin's Creed V m'a t'on répondu en riant ! Je ne savais pas si c'était une blague ou pas mais comme je n'ai pas eu d'interdiction de le mentionner, je le fais ! Peut être que je tiens un scoup !

Me voici donc devant une équipe de plus de 200 fourmis qui travaille d'arrache-pied sur les projets actuellement en production pour la fin d'année.

L'ensemble de ces alignements d'ordinateur ferait dans un premier temps penser à une immense LAN PARTY. Mais ici même si l'ambiance est bon enfant, on se rend vite compte qu'on n'amuse pas la gallerie. Si chacun personnalise son poste de travail

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UBISOFT MONTREAL

avec les commentaires de deux personnes de l'équipe. Privilège absolu, on m'a fait jouer à une version démo. Mais je ne saurais dire le support je jouais et je me suis bien gardée de poser des questions indiscrètes. Je ne cache pas que je nourrissais le secret espoir que ce fut sur une Playstation 4 mais cela ne relève que du fantasme ! Quoiqu'il en soit, si c'était bien le cas, la beauté et la fluidité étaient au rendez-vous.

avec ses petits jouets, figurines et autres post-it le maitre mot reste le travail. Et en équipe s'il vous plait ! Bien entendu, je ne suis pas conviée à me promener librement dans les couloirs dessinés par les plans de travail parfaitement alignés. Alors la tentation de questionner sur le futur Assassin's Creed Black Flag est très grande et tout particulièrement sur sa version Next-Gen. Afin de satisfaire ma curiosité et à mon avis surtout parce que je leur ai tellement fait pitié, j'ai eu la chance d'assister sur grand écran à la présentation des différentes démos et vidéos diffusées depuis plusieurs semaines sur Black Flag

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Ma visite se poursuit sur d'autres espaces commun de créativité et sorte de musée du jeu vidéo, enfin plutôt le reliquaire de la société avec des produits dérivés de nombreux titres d'Ubisoft.

Il ressort de cette aventure que l'équipe est des plus accueillante pour peu que l'on fasse preuve de discrétion et de savoir vivre. J'ai apprécié discuter "technique" avec des gens impliqués au plus près des projets tels que la licence Assassin's Creed. Cela m'a permi de comprendre ce que signifiait le petit mot au lancement du jeu. Ces jeux ont bel et bien été développés par une équipe aux origines et croyances diverse.

Je vais conclure sur un grand merci pour l'accueil qui a été des plus chaleureux.

RECLAME

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THE LAST OF US

"Un jeu fabuleux sans égal qui laisse présager une fin de

En règle générale, plus l'attente des jeux est longue, plus grande est la déception.

Je serais bien en peine de dire que cette réfexion s'applique à The Last of US. Attendu depuis quelques années ce nouveau titre de Naughty Dog nous offre une immersion dans un monde post apocalyptique qui n'est pas sans rappeler celui du très bon "Je suis une légende" avec Will Smith.

Pour celles et ceux qui ne le saurait pas, Naughty Dog a également signé la licence Uncharted, il est donc inutile de s'étendre sur le savoir faire en matière de scénario et de mise en scène de ce studio. Aussi, après nous avoir habitués à des claques graphiques, nous étions en droit d'attendre un titre irréprochable. Est-ce que The Last of Us rempli bien son office ? C'est ce que nous allons voir immédiatement.

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Ce qui frappe en premier dans ce jeu (après un temps de téléchargement proche de l'innaceptable... on croirait à une installation...) c'est la qualité graphique.

Certes la série des Drake nous avait habitué à un rendu magnifique, mais là véritablement on a poussé les limites de la PS3. Ce qui est d'autant plus rageant, de constater de telles capacités techniques sur un hardware en fin de vie. On est en droit de se dire qu'on aurait pu bénéficier de tels graphismes bien avant.

Pour en revenir au rendu visuel, il est bluffant, on pourrait croire à une démo technique ! Les effets de lumieres et d'ombres, les passages de zones lumineuses aux zones sombres sont fabuleux !

GAMING

e vie glorieuse pour la Playstation 3"

Avec un scénario sombre et violent The Last of Us offre un second et peut être dernier souffle à la Playstation 3. Naughty Dog nous plonge dans un monde dévasté où la nature a repris ses droits et où la sauvagerie règne.

L'homme devient le plus dangereux des prédateurs, les infectés ne sont que la métaphore d'une humanité en souffrance voire sur le déclin. Au milieu de cela, un duo improbable évolue envers et contre tous pour le bien et peut être la survie de l'humanité. Mais reste-til réellement une humanité à sauver ? Et surtout, le mérite-telle ? Rien n'est moins certain.

Avertissement Si vous avez aimé la série Uncharted, vous aimerez sans doute The Last of Us. Toutefois, soyez très prudents en achetant ce titre qui n'est pas aussi accessible visuellement que ses petits frères.

La violence est véritablement présente à tous les coins de rue et elle affecte tout le monde même nos deux héros. Ici pas de pitié, les coups sont portés pour faire mal voire pour tuer et le réalisme est telle que certaines scènes peuvent paraitre trop violentes. Cela a été le cas pour plusieurs personnes de la rédaction qui ont donné un avis mitigé sur ce jeu suite à cela !

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THE LAST OF US

"Evoluer dans un monde hostile où la

UN M La prem vient à l'es passé pour en a

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Après une intro trè physiquement que ps si !) on retrouve le p Joël, 20 ans plus tar dévasté où la nature a évolue dans des paysa envahis par la végétat par une nouvelle fa laisserai le soin de déco

Avec son acolyte Tess de nombreux petits trra

GAMING

seule règle existante est survivre"

MONDE DEVASTE mière question qui sprit est "que s'est il arriver là ?"

ès éprouvante tant sychologiquement (si personnage principal, rd dans un monde a repris ses droits. On ages urbains détruits, tion mais également aune que je vous ouvrir.

s, Joël survit grâce à afics lui permettant

d'échanger toutes sortes de choses contre des bons de rationnements. Mais un jour, il se retrouve avec un étrange colis à livrer aux Luciolles, groupe indépendantiste très dangereux. Une jeune fille qui cache un dangereux secret (un peu trop évident pour les fans du genre mais passons...)

Il arpente donc la ville avec Tess et la jeune Elie pour la conduire en sécurité. Arrivé sur place, au QC des Luciolles la véritable histoire commence. Elie et Joël vont aller d'aventures en aventures rencontrant des personnages tout aussi pitoresques les uns

un jeu à couloirs !

Savamment dosé comme les Uncharted avec une pincée de réflexion, une pincée d'action et une pincée d'infiltration, The Last of Us offre une histoire riche dans un univers assez ouvert malgré la petitesse des zones de jeu. Cela vous permet de collecter des ressources (suffissament abondante en mode facile, beaucoup moins en mode difficile) pour pouvoir améliorer votre équipement, recharger vos armes, soigner vos blessures. Attention toutefois, l'économie est de mise surtout au niveau des munitions !

Ici, si les personnages sont hauts en couleurs, on se rend bien compte qu'ils parti

participent eux aussi au rendu de cette ambiance si particulière.

UNE AMBIANCE GLAUQUE L'éclairage, l'atomosphère, les bruitages, l'environnement, les personnages et mêmes les dialogues sont d'autant d'éléments qui rende cet univers crédible, dur et surtout hostile. Les différents ennemis rencontrés sont d'un réalisme tel qu'on se prend au jeu. L'immersion est totale.

que les autres. Le maitre mot ici est la survie, c'est donc sans surprise que vous évoluez dans un monde à couloirs suffisamment vaste et détaillé pour ne pas trop vous laisser voir que c'est bel et bien

Bien entendu, l'ambiance visuelle et sonnore sont quasi parfaites ! Je dis quasi parce qu'on regrettera la présence ça et là de petits défauts visuels comme des objets

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THE LAST OF US "La thématique est simple, entre violence et horreur, l'humanité perd tout

mal placé, des angles de murs au travers desquels ont peut voir... mais cela est tellement discret que l'on ne s'attardera pas là dessus.

L'histoire en elle même est un peu trop proche de cette de "Je suis une légende" mais malgré cela on reste accro à cette aventure jusqu'au bout.

UNE LOURDEUR BIEN GEREE Joël semble peser une tonne, il "sprinte" plutôt à la manière d'un bidasse qui transporte 50 kilo de matériel sur son dos. On sent la fatigue qui lui pèse.

C'est un parti pri de maniabilité assez rare mais qui donne un réalisme intéressant.

On regrettera ses mauvaises aptitudes au tir du début, que fort heureusement on peut améliorer avec le temps. Mais ce n'est plus trop cohérent avec un héros qui a autant roulé sa bosse que lui.

Le jeu en binome est très intéressant même s'il est des plus classique désormais. On se retrouve plus proche néanmoins du binome à la Resident Evil que de celui des Uncharted où le partenaire semble posséder une IA un peu plus performante avec un atout considérable, il ne traine pas constamment dans vos jambes... Ce qui à l'inverse peut être très perturbant surtout lorsque dans une phase d'exploration vous recherchez une issue et que votre acolyte regarde des objets ça et là à l'autre bout de la carte. Fort heureusement après une longue recherche, un indice apparait à l'écran vous

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permet tant de poursuivre votre exploration.

On regrettera la vivacité des ennemis qui peuvent vous liquider en une seule attaque. Certains arrivant à deux, trois ou quatres, il est difficile de survivre. Dès le début, attendez vous à mourir rapidement. Il faut un peu de temps pour s'adapter à ce gameplay "lourd". En outre, certaines phases de tir sont particulièrement fastidieuse entre la position inadaptée et figée, l'imprécision du tireur et la vivacité des créatures. Il arrive que ce soit impossible de tuer ses adversaires.

C'est un peu la faute à "pas de chance" et c'est dommage. Néanmoins, ici, pas d'échec à répétition rendant toute progression impossible sauf cas exceptionnel mais si cela arrive c'est que véritablement le joueur n'a pas choisi la bonne option.

Les options pour aborder les problèmes sont véritablements personnelles, vous pouvez jouer les Bruce Willis avec vos armes chargées à bloc et les Sam Fischer lorsque le décors s'y prète. Mais quelques fois vous n'avez pas le choix et vous devrez endosser tantôt l'habit de l'un, tantôt l'habit de l'autre. Dans tous les cas, évoluer dans cet univers est un pur plaisir pour peu que vous aimiez l'infiltration ! Il faut dire que les aptitudes de Joël aident bien pour cela.

GAMING utt son sens... mérite t'elle d'être sauvée ? Le jeu répond à cette question..."

BILAN On a donc un jeu avec une durée de vie très respectable et une richesse de contenu appréciable.

Le binome fonctionne bien et la relation entre les personnages donne encore plus de coeur et de sensibilité à ce titre exceptionnel.

Les expressions faciales particulièrement réussies renforcent l'attachement que l'on a pour les personnages.

C'est un titre à posséder impérativement !

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DEAD ISLAND RIPTIDE

"On s'attendait à une suite, mais dans les faits ce

Difficile de s'imposer dans le survival horror lorsque l'on fait face à la célébrissime licence Resident Evil. Où Dead Island avait apporté un vent frais avec un trailer étonnant Dead Island Riptide ne fait que nous apporter une suite en demi teinte plus proche d'un gros DLC que d'un jeu à part entière.

Au détour d'une info glanée lors de l'E3, nous avons cru comprendre que Dead Island Riptide n'était qu'une transition marquant la fin de l'épisode sur la génération actuelle de console, avec un nouveau titre pour 2014 mais cette fois sur la nouvelle génération de consoles... Mais voyons plutot ce que nous

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propose ce nouveau titre de Deep Silver.

On prend les mêmes et on recommence... c'est un peu la ligne directrice de cet épisode qui n'apporte quasi aucune nouveauté. Concrètement, si vous n'avez pas aimé le premier vous n'aimerez pas celui ci, mais à l'inverse, si vous avez adoré le précédent titre, celui là s'avère un bon achat.

Le concept est simple, vous commencez l'aventure à la fin du dernier épisode avec pour seul et unique but étriper les zombies que vous croisez sur votre passage. La recette est la même, on garde les mêmes mods, les

mêmes armes ou presque et le même rythme avec une progression tellement entendue qu'on n'y prête carrément pas atttention. Pourquoi cela ? Et bien simplement parce qu'on n'est pas là pour le scénario mec, on veut juste talocher du zombie.

C'est pourquoi les ajouts sont tellement peu intéressant parce que la vraie recette qui marche est celle qui consiste à exploser de la cervelle à coups de tatanes. Bref, c'est à la fois surprenant et décevant car on attendait pas mal d'améliorations il faut bien le reconnaitre.

Ce ne sont pas les quelques armes supplémentaires qui peuvent nous

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n'est qu'un addon en stand alone très décevant" Suite directe de Dead Island, ce jeu de zombie offre une certaine libertée au joueur lui permettant d'évoluer dans des zones de jeux assez vastes afin de collecter des éléments de survies (munitions, pièces détachées, armes et vivres).

Mixte entre RPG et FPS Dead Island n'offrait cependant pas une histoire originale mais avait le mérite d'être prenant et addictif pour les fan des jeux à la première personne.

Si les zombies sont à l'honneur dans ce numéro d'été de Geekettes et Compagnie, malheureusement tous les titres recourant à ce nouveau style de jeu ne sont pas égaux. Dead Island Riptide ne fait pas exception à la règle en nous proposant un jeu bien en deça du niveau que nous étions en droit d'attendre.

Loin d'être graphiquement irréprochable, il demeure très plus que correct et offre au joueur un dépaysement sans égal.

donnent du grain à moudre... par contre, on peut saluer cette intention très louable et parfaitement inutile de nous pondre des phases de Tower Defense à la manière d'un Assassin's Creed... C'est à dire

absolument inintéressant au possible. Le problème c'est que c'est une idée intéressante mais qui n'a pas sa place dans ce genre de jeu...

Bref, un vrai calvaire.

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DEAD ISLAND RIPTIDE

"Un jeu à mi-chemin entre l'addon et

dan s'est in histoire véhicule : le ba un bateau... (Yo Delaware réf.

W Vraiment aucun intérêt là

Avec un mode multijoueur original Dead Island s'est imposé dans la nouvelle génération de jeu de zombies et notamment sur PS3.

Cependant, si vous n'avez pas aimé le premier vous risquez d'être tout aussi déçu par ce deuxième opus dans la meme ligne droite.

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Intéressons nous alors au bien ressortir quelque ch tout cela. Ici encore, on p en zone et à notre plus c'est ni plus ni moins progression que dans le moquerait-on de nous ? S

On retrouve même les qu pénible qui vous font trav long en large pour tuer

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le stand alone... c'est dommage"

Pourtant, tout ne peut pas être mauvais ns ce jeu ! Alors on nterrogé sur cette de nouveau ateau. Youpi, on a oupi, on est au Wayne's World). à encore...

u scénario, il doit hose de positif de progresse de zone grande surprise... s que la même e dernier jeu... Se Sans aucun doute.

uêtes lassantes et verser les zones de pour la millième

termioner ce titre en mode normal. Ce qui est bien en deça de la moyenne actuelle des jeu de ce genre. 20 heures aurait été un bon chiffre.

fois le même troupeau de zombies... réduit au stade de pigeon voyageur zombifié vous sillonez encore et encore des cartes certes magnifiques mais un peu trop récurrentes à notre goût. C'est véritablement gonflant et on n'arrive à trouver un intérêt qu'au travers des parties cooop en multijoueur où on s'éclate véritablement, en oubliant tout ces cotés merdiques.

Enfin en partie car comme dans le premier titre, on meurt quand même un peu trop rapidement. A la manière de The Last of Us, certains coups sont mortels et c'est très frustrant dans un jeu basé sur la progression de votre personnage. A croire que la mort est scriptée...

Cependant, il y a des points positifs, on garde cette ambiance moite, ce coté tropical et le plaisir de jouer à plusieurs. Et ça c'est un véritable bonheur lorsque l'on arrive à toutes et tous se connecter à la même partie... Ben oui sinon ce serait trop simple. De nombreux bugs, déconnexions, lags, problèmes de sauvegarde, kick sauvages etc... viennent trop souvent altérer votre expérience du jeu. C'est vraiment dommage car c'était déjà le cas dans le premier titre... En outre, moins de 15 heures de jeu sont nécessaire pour

En résumé, c'est un peu une sorte de gros DLC avec les mêmes atouts mais aussi les mêmes défauts que le jeu de base. Malgré tout on adore le concept de sandbox avec des zombies partout même si l'ensemble n'est qu'un immense copier/coller du premier titre... En outre, le jeu est techniquement en deça de ce qu'on est en droit d'attendre sur une console en fin de cette génération. On passera sur le scénario très téléphoné mais digne d'une série Z qui s'assume.

Bref, il est difficile de donner une note objective à ce jeu. Si vous avez adoré le premier, vous adorerez celui là et dans ce cas, il mérite un B parce qu'il n'est pas si bon que cela. Beaucoup de bugs subsistent encore... Par contre si vous n'avez pas aimé du tout le premier ou si vous ne le connaisseez pas, alors nous devons lui mettre un D. Aussi, dans un souci de compromis, nous avons décidé de lui mettre un C.

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BIOSHOCK - INFINITE

Licence qu'on ne présente plus Bioshock a fait des émules depuis les dernières années. Le troisème Opus, Bioshock Infinite ne fait pas exception à la règle et propose un voyage magnifique tant sur le niveau graphique que sur le niveau scénaristique. L'histoire nous place dans la peau de Booker Dewitt, qui doit ramener à New York une jeune femme prisonnière de la ville de Columbia.

Après une escapade dans les lieux sombres et humides de Rapture, il fallait que les auteurs apportent son lot de changement à une licence vieillissante. 2K Games nous propose une visite guidée de la magnifique et lumineuse Columbia, la ville flottante aux étendues nuageuses infinies.

Ici vous incarnez une raclure de lavabo qui se trouve à accepter une mission qu'il n'aurait de toutes façons pas pu refuser.

Partir à la recherche d'une poulette disparue avec une mystérieuse ville flotante dans le ciel des Etats Unis de 1912. Oui, c'est du grand délire mais cela marche et c'est tout ce qui importe ! Alors forcément au regard de cet énormissime scénario original (SIC!) on se dit, les développeurs vont frapper fort, modification de moteur, modification d'ambiance, modification de gameplay... Et bien non !

Enfin si, on peut malgré tout se réjouir du mangifique moteur (Unreal Engine 3) et des textures magnifiques ce qui n'a pas

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toujours été le cas dans les précédents titres... L'ensemble donnant une image post coloniale très palisante, vivante et lumineuse, c'est à dire tout ce que l'on n'avait pas dans les précédents opus. La ville apparait comme un immense paradis cachant de bien sombres secrets qu'on se fait un plaisir de découvrir au fil de l'histoire.

Religion, prophécies et propagande sont les maitres mots qui dirigent ce monde aseptisé.

Aussi, on est en droit d'avoir envie d'explorer de font en comble ce nouvel univers qu'on nous offre. Mais on rester quelque peu sur sa faim avec des zones de jeu assez restreintes qui n'arrivent pas à étancher la soif d'exploration qui a été longuement entretenue depuis le début du jeu. On se retrouve d'autant plus frustré que le bac à sable apparait là devant nous mais il nous est accessible. On aurait donc pu espérer un vrai jeu de type sandbox... et ce n'est pas le principe des "collectibles" ça et là qui va rendre l'exploration plus

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Et c'est sincèrement là où le bat blesse.

Pour les acharnées touchées par le virus de la collectionnite aigue comme moi, Bioshock Infinite ne vous occupera qu'à peine 13 heures de jeu... Un comble lorsque l'on voit un jeu aussi attendu sortir avec un tel déballage. On était au moins en droit de bénéficier d'une bonne vingtaine d'heures de jeu rien que pour le scénario sans avoir à trainer dans les recoins de chaque carte pour en apprendre un peu plus sur cette cité extraordinaire. Ce qui sifnifie qu'un joueur acharné qui saventurera sur ce jeu en mode

"rush" ne passera pas plus de 8-10 heures pour en venir à bout.

On a vraiment le sentiment de se faire avoir.

Maintenant reste à savoir si le contenu vaut le détour. Que les amateurs de la série se rassure, on a tout de même gardé le meilleur, c'est à dire la baston. Ca flingue dans tous les coins, c'est un vrai festival, par moment on se croirait même dans un film de John Woo. Avec une variété d'arme assez sympathique, on arrive à tuer avec classe ! On retrouve les concepts du genre, la pillage de cadavre est

indispensable pour se réalimenter en munition et varier les plaisirs en changeant d'arme.

Oui car comme vous n'êtes pas non plus un surhomme, vous ne pouvez pas porter plus de deux armes sur vous ! Le grappin est la belle surprise, vraiment un peu gadget au début on finit par se prendre au jeu car on se rend bien compte que les développeurs ont bien étudié la question afin de rendre la chose encore plus jouissive. On passera rapidement sur les pouvoirs et les interventions de votre acolyte, la fameuse Elisabeth que vous escortez !

En résumé, cela donne une pèche d'enfer à cette licence qui à mon sens avait laissé une image de lourdeur jusqu'à présent. Comme dans beaucoup de jeu, le gameplay en binome est très intéressant et constitue un apport supplémentaire

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BIOSHOCK - INFINITE majeure à cet opus. Contrairement à bon nombre de titres récents Elisabeth bénéficie d'une I.A. particulièrement efficace et appréciable. En effet, il n'est pas rare qu'elle vous sauve les miches au dernier moment... Au début on se dit "ouf !" et par la suite on s'amuse à tenir compte de ses réactions et à optimiser son gameplay grace à elle.

On appréciera également ses intereventions sur certains éléments secondaires de l'histoire qui vous améliore grandement le quotidien ! Ses aptitudes sont également très importantes au regard des nombreux combats que vous devrez mener. Autre fait appréciable, elle ne traine pas dans vos jambes !

Le rève de tout homme certains diront ! Bref, cette femme parfaite est indispensable à la bonne progression dans le jeu. Et maitriser ses aptitudes est synonyme de véritable amusement, à la manière de la maitrise de Corvo dans Dishonnored même si c'est un autre registre.

Alors certes, cela apporte un sérieux plus au gameplay mais d'un autre coté ce qui apparait comme de la complexité dans les premiers combats en binomes devient une réelle facilité par la suite. Et induisant un jeu trop court à cause de cela... en outre, au aurait également apprécié une I.A. aussi performante pour les ennemis que pour l'héroine...

Parce que n'ayont pas peur des mots, les ennemis sont véritablement stupides, on est loin de l'I.A. des méchants de The Last of Us qui passent leur temps à vous encercler. Ici on est plus proche des aliens de Colonial Marines qui vous regardent trois secondes dans les yeux avant de se prendre une décharge de chevrontine dans le derche.

La encore, contrairement à The Last of Us on pourra se plaindre d'une linéarité un peu trop entendu. Si c'est excusé par une trame scénaristique poussée dans TLoU ce n'est pas le cas dans Bioshock Infinite. Et en fin de compte n'eston pas devant un simple jeu de tir amélioré qui

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reprend les codes d'une licence un peu tombée en désuétude ? Pour moi, rien de transcendant à joue rà ce jeu alors que j'ai pourtant adoré les précédents épisodes. Ici, on nous abreuve de belles images mais sans réel contenu très léger ne garantissant pas une durée de vie à la hauteur des espérances des amateurs du genre. Ceci dit cette baisse de durabilité n'est pas liée uniquement à ce titre elle se retrouve dans de nombreux FPS. Maintenant, je serais bien ingrate de dire que Bioshock Infinite n'est pas un bon titre, encore moins un bon investissement.

Je regrette simplement que de petits détails (quoique l'I.A. des mécha nts c'est quand même énorme...) viennent gacher l'expérience du jeu d'autant plus que ce jeu basé sur un vrai travail de fond sur le scénario est bien trop court... Encore un jeu acheté en kit où les DLC viendront étoffer cette coquille vide...

C'est limite se moquer du consommateur, je trouve... mais malgré cela, je ne suis pas rancunière, je trouve qu'il mérite un très bon classement, juste pour le plaisir des yeux et des oreilles avec une mention spéciale pour Columbia qui est assurément une réussite architecturale.

A

RECLAME

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REMEMBER ME

DONTNOD nous invite à visiter un futur pour une fois qui n'a rien de poste apocalyptique mais qui n'en demeure pas moins dérangeant.

Dans le futur, la mémoire est un bien précieux. Elle peut être sauvegardée, piratée, altérée voire détruite... C'est l'histoire de Nilin qui nous est contée ici.

Cette plantureuse jeune femme (eh les devs, arrêtez de fantasmer sur des héroïnes aux coprs de rêve, ça n'existe pas dans la vraie vie !) se retrouve emprisonnée et privée de sa mémoire pour une obscure raison que l'on va découvrir au fil de cette aventure qui prends place dans un Paris futuriste.

Assistée par le mystérieux Edge, aussi étrange que l'Homme Trouble de Mass Effect, Nilin s'engage dans une quête de la vérité particulièrement bien ficelée malgré une aventure très (trop) linéaire. il vous faudra moins de 15 heures pour venir à bout de ce scénario béton ce qui semble honorable au regard de ce qui est sorti dernièrement.

Toutefois, il est important de noter que c'est assez rare de bénéficier d'une aussi longue trame pour un Beat'm All.

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Une fois encore on retrouve la folie des objets à collectionner pour rallonger un peu plus la durée de vie. Mais cela reste raisonnable et surtout honnorable pour un "petit" jeu comme celui-ci. Bienq ue tournant à l'Unreal Engine 3 on retrouve des lourdeurs propres au moteur mais on reste bluffé par une qualité graphique des environnements extérieurs extrêmement poussée.

TROP étroits... c'est assez frustrant dans l'ensemble d'évoluer dans des lieux aussi exigües et ce ne sont pas les quelques portes dérobées qui vont agrémenter le décors... J'ai pu lire dernièrement dans une critique professionnelle que les couloirs ne mesuraient qu'un metre de large. C'est malheureusement à peine exagéré... alors tu m'étonnes que les combats sont rapides...

Ici pas de surprise, on alterne entre baston et exploration. Enfin exploration, on devrait plutôt parler d'escalade. Ce qui n'a pas toujours un grand intérêt...

Comme pour d'autres jeux de cette édition, on regrettera de ne pouvoir jouer librement et d'explorer ce Paris de 2084...

(Référence à 1984 ? Pourquoi pas !)

L'immersion est donc totale entre la musique péchue et les graphismes d'environnement sublimes... On pourra regretter malgré cela de trop nombreux couloirs et surtout des couloirs

Les combats, sont quant à eux très réussi. Bien entendu, beaucoup de QTE au rendez-vous mais ce n'est pas surprenant. Il y a pas mal de combo, mais ne nous mentons pas comme souvent, la plupart ne présentent pas réellement d'intérêt. Une fois que vous tenez votre enchainement fétiche vous ne le lachez plus, sauf pour les mobs particuliers ou pour les boss.

On regrettera une IA au raz-des paquerettes ainsi qu'un manque

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avec la monotonie ambiante. de ces dernières sorties.

Remember Me offre un jeu riche en contenu scénaristique agrémenté d'une bande son agréable rendant le tout à la fois imemrsif et original. Un bon jeu. évident de variété dans les ennemis.

Je n'en ai compté qu'une petit quinzaine en étant généreuse. Ce qui reste honorable sans pour autant être exceptionnel. On a pu en relever davantage dans Star Wars Unleashed jeu qui n'est pas tout jeune...

On pardonnera cependant ces erreurs de "jeunesse" à un titre rafraichissant qui tranche un peu

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PENDANT CE TEMPS LA...

Enfin, une information de taille, l'ensemble des systèmes de classement et donc la façon de gagner des points a été re-développé.

Depuis l'Alpha3 : Dès la fin de l'alpha3, mi Avril, le cycle de développement de SpaceOrigin a repris, après avoir dressé le bilan des retours des testeurs.

Il y a eu une petite période de corrections des bugs ainsi qu'une révision complète du gamedesign et de l'équilibrage. La brique politique, la plus complexe, est encore en cours de développement, de même que les options. De nombreuse améliorations sont également en cours, comme une refonte des rapports de combat, de même que l'intégration et la gestion native des événements (guerre planétaire, pluie de pépites, etc).

Côté graphisme, les fonds de carte des bases planétaires ont été revus, suite aux remarques des testeurs, les couleurs des planètes ont été ajustées, et de nouvelles maps ont fait leur apparition, grâce, entre autre, aux soutiens Ulule.

On pourra noter que les races ont enfin leurs spécificités propres. Le choix de la race va vraiment orienter le style de jeu, en proposant divers boost sur les caractéristiques déjà présentes.

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Le but est d'avoir un système de points plus clair et transparent, avec des valeurs comparables. Le classement fera l'objet d'un sujet spécial dans la prochaine web tv de septembre, juste avant l'ouverture de la Bêta.

Le pilote de l'émission SO NEWS : L'équipe de CastleProd a réquisitionné le garage de la colocation dans laquelle vit la plupart de ses membres, pour mettre en place un plateau de Web TV, avec fond bleu pour incrustation. Heureusement les 2 stagiaires motivés et travailleurs ont aussi été sur le coup.

...DU COTE DE SPACE ORIGIN

Le pilote de l'émission, qui s'appellera SO NEWS, a été tourné en conditions de live, pour présenter le jeu à ceux qui ne le connaissent pas, pour montrer les améliorations qui ont été faites sur le jeu depuis l'alpha3, les intégrations des remarques des testeurs, l'équilibrage des combats, une surprise cachée dans la vidéo, en plusieurs morceaux, et enfin, les interviews de deux testeurs d'importance qui seront sur la Bêta fermée.

Le trailer : Le trailer de SpaceOrigin a été finalisé. Il est le fruit du travail de toute l'équipe et du stagiaire Vincent, qui a travaillé un mois et demi dessus.

Sa sortie est annoncée dans le pilote de l'émission SO NEWS qui débarque sur youtube le week-end du 20 Juillet.

Le mot de Kristen Pour celles et ceux qui n'auraient pas lu le numéro précédent, notre équipe a eu l'honneur de participer à l'alpha 3 de ce merveilleux projet. Bien entendu nous avons sympathisé avec plusieurs participants et nous ne vous cacherons pas que nous nous sommes attachés à cette Dream Team de talent.

A titre personnel, je souhaite saluer le travail de qualité qui est effectué par cette "bande" de professionnels (si si, n'ayons pas peur des mots) qui travaille d'arrache-pied sur un projet collossal (oui, y'a une référence au jeu là :D) et d'une profondeur incroyable. Je n'écris dis pas cela simplement pour faire la publicité d'un projet quelconque, j'écris cela parce que notre équipe croit en ce jeu qui aura à mon humble avis un grand avenir dans le panorama des RTS web.

Si vous aimez la stratégie et les jeux bien pensés alors SO est fait pour vous. Je ne vous cache pas mon impatience quant à la sortie de la première émission SO News et je partage l'excitation de toute l'équipe ! Aussi, ne manquez cet évènement sous aucun prétexte !

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THE WALKING DEAD : SURVIVAL INSTINCT

"Y'A BIEN UN JEU DE ZOMBIE À ACHETER, MAIS CE N'EST PAS CELUI-CI !"

La ligne directrice du magazine est de conduire les tests jusqu’au bout, à fond et dans les moindres détails. Certains/certaines d’entre nous s’attachent même à obtenir les trophées les plus improbables !

Néanmoins parfois, il est des jeux que l’on peut classer dans la catégorie « attendus mais pourris ».

C’est encore la loi de Murphy qui veut qu’un blockbuster transcrit en jeu vidéo soit une daube sans nom !

Après le succès planétaire (bien qu’encore en VO pour certaines versions) du très réussi The Walking Dead premier du nom on était très impatients de shooter du zombie. Alors l’annonce de la sortie prochaine d’un TWD FPS nous avait mis l’eau à la bouche. Quoi de plus naturel que de se précipiter sur ce titre sorti sur console next-gen et sur PC. (NDLR : Il faudra qu’on arrête de dire Next-Gen sinon avec la XB1 et la PS4 ça va devenir n’importe quoi !)

Bref, nous avons effectué dans un premier temps un test sur PS3 puis sur PC. Les temps de chargement sur la PS3 devenant tellement insupportables que nous avons décidé de tester la bête de course de la rédac chef qui était absente ces derniers jours.

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L’ambiance ? Mais y’a pas d’ambiance !

Dès le lancement, on est sur les nerfs attendant la petite musique angoissante du générique… on attend cette image pâle, presque angoissante, nous permettant à peine de distinguer le zombie putréfié qui se cache dans les broussailles prêt à nous mordre le mollet tel un pitbull enragé !

L’ensemble de l’interface est d’une sobriété sans nom, presque comme si la putréfaction propre aux rodeurs s’était jetée sur le jeu et l’avait contaminé lui-même ! C’est cheap, même très cheap… à croire que les développeurs ont bossé barricadés au fond d’un garage de peur d’attirer l’attention. Ils ont réussi ce pari ! L’interface n’attirera donc aucune autre attention que sa sobriété qui frise l’insulte surtout pour un jeu à ce prix-là !

Bon après tout, on s’en fiche ce qui importe c’est d’avoir un bon jeu à se mettre sous la dent, au diable l’interface ! Du moment qu’on a de bons graphismes ! Mais le problème c’est que l’on n’a pas de bons graphismes. La modélisation est particulièrement douloureuse pour les yeux et ce décor propre à la série en semi sépia et dégradés de gris est rigoureusement immonde dans un jeu !

Mais comment cela est-il possible ?

GAMING Le précédent opus (qui n’a strictement rien à voir) réussi avec brio où Survival Instint échoue lamentablement. Comment peut-on créer un FPS digne de la période pré-Half-Life avec les technologies actuelles… L’utilisation de filtres aurait été plus pertinente que cette fadeur ambiante.

Je passerai sous silence la phase d’introduction sans saveur et sans surprise qui n’aura réussi à nous effrayer que par la médiocrité du scénario et l’atrocité des modélisations 3D. Donc inutile de dire que coté ambiance, l’immersion n’est absolument pas au rendez-vous ! Ce défaut (il faut bien le reconnaitre) donne une apparence de médiocrité à ce titre qui pourtant s’avérait prometteur !

Entre le screenshot de présentation et le screenshot ingame, il y a une petite différence... Encore un Bullshot (contraction de bullshit et screenshot, merci à Gamekult pour cet nouveau mot !) pour nous faire miroiter un designe sympatoche. En prime on a même des bugs de collision ! Bref, c'est vraiment moche... vraiment dommage...

La majeure difficulté tient également à la jouabilité assez médiocre qui est accentuée par notre fameuse interface ! On s’y perd dans les commandes (sur PC) et le temps de réponse est si rapide dans les mouvements que nous avons dû régler au minimum la sensibilité du hardware.

Difficile d’imaginer que ce jeu utilise un moteur 3D récent. On croirait jouer à Unreal premier du nom avec un PC de Gamer actuel ! Pire encore, les pseudos cinématiques viennent enfonce le clou du cercueil !

L’introduction terminée, j’avoue que je me suis demandé si je devais continuer… ce pseudo didacticiel ne m’ayant conduite qu’à me demander si ce jeu était fini ou pas. Prenant mon courage à deux mains, j’ai décidé de poursuivre l’expérience en prolongeant mon agonie de quelques heures.

L’introduction terminée vous arrivée à une première prise de décision, vous devez choisir votre route. C’est alors que je me suis dit… « Ça c’est cool, on peut refaire le jeu plusieurs fois sans avoir les mêmes situations… ». Grave erreur… Avant d’aller plus loin, je vous explique le contexte. Vous fuyez une ville infestée de zombie pour aller vers une autre ville infestée de zombie. Quoi de plus normal !

Une fois cette trame scénaristique posée, le jeu vous donne le choix entre deux grands trajets et au fil de ces trajets vous propose soit de passer en pleine cambrousse, en pleine ville ou sur autoroute.

Entre chacune de ces étapes, vous aurez la

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THE WALKING DEAD : SURVIVAL INSTINCT possibilité gérer les ressources et les survivants trouvés au fil de vos aventures. Le concept est très sympa, plaisant pour en pas dire génial. Allier le coté FPS à la gestion d’équipe est franchement bien trouvée. Malheureusement une fois encore, l’interface est tellement moisie qu’on préfère passer directement à la partie action plutôt que de perdre du temps dans une lourdeur supplémentaire.

Bref, on en arrive au cœur du jeu, les points étapes.

Lieux dans lesquels vous devrez vous arrêtez pour trouver de l’essence, des munitions et de la nourriture. Et, pour je ne sais quelle raison vous aurez des missions annexés confiées par des gens sans intérêt. Je dis sans intérêt car lorsque vous rencontrez l’adjoint du sheriff armé jusqu’aux dents qui vous demande d’aller lui chercher des piles au commissariat et que dans le commissariat vous croisez un mec enfermé dans une cellule et qui luimême vous demande d’aller lui chercher des provisions parce qu’il ne veut surtout pas qu’on le libère, vous pouvez vous dire que ces deux-là peuvent crever, l’espèce humaine n’a rien à attendre d’eux deux ! Et le pire c’est que je ne caricature même pas. Enfin passons… les déplacements restent assez fluides dans les villes assiégées de rodeurs. Les périmètres de jeu sont assez restreints mais suffisamment ouvert pour ne pas que l’on se rende compte qu’on reste finalement dans un couloir…

La réussite de la mission n’est pas sujette à plusieurs options, il n’y a qu’une seule façon de réussir. Les munitions étant limitées, il faut rester prudent et les utiliser avec parcimonie. Ce qui induit une prudence forcée. Ici, impossible de tirer dans tous les sens, et chaque balle doit faire mouche ! N’ayez pas de regret, car même en arrivant à faire le plein de munitions, vous ne parviendrez pas à tuer tous les rodeurs qui arrivent par vagues récurrentes dans une boucle magnifiquement scriptée.

En résumé, à chaque fois que vous terminez la mission principale de la zone vous êtes encerclé et poursuivi, il est inutile de chercher à tous les tuer… peu importe le nombre, il en viendra toujours plus.

C’est un peu frustrant ! Moralité, vous pouvez très bien être furtif ou tireur d’élite, dans tous les cas, il faut courir comme un malade, et ne cherchez pas à

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vous cacher, les zombies savent déjà où vous êtes… cette répétitivité est toute aussi lourde qu’absurde !

Bref, difficile d’avoir une ambiance satisfaisante dans ces conditions. Le level design n’est pas digne du travail d’un stagiaire, qui aurait sans aucun mal fait mieux. Il est pénible d’évoluer dans des niveaux à couloir aussi basiques. L’agréable surprise restera le fait de pouvoir détruire des portes en bois avec ses armes, fait étonnant lorsque l’on voit qu’on ne peut pas casser les vitres… mais passons, ce n’est pas le pire. En effet, je crois que le pire de tout reste le saut… Pour faire simple, le jeu est tellement orienté couloir que lorsque vous êtes devant un obstacle qui est à hauteur des genoux, vous ne pouvez même pas l’enjamber, bien que ce soit possible d’aller de l’autre côté de cet obstacle. Très frustrant lorsque vous êtes à la sortie de la zone et qu’une horde de zombies scriptés vous poursuit.

Du coup, au début on se fait allègrement bouffer pour ce genre d’erreur qui n’est pas acceptable dans un jeu tel que celui-ci !

GAMING Mais d’un autre côté, peut-être que les attentes étaient trop grandes. Mais à mon sens, la part FPS est en deçà de ce qui existe aujourd’hui. Eu égard à la petite taille des zones de jeu, pour ne pas dire mini-jeu, on aurait été en droit d’attendre une qualité particulièrement soignée dans les modélisations, les textures et surtout dans le jeu des lumières. Ici, ce n’est pas le dégradé sépia qui est à l’honneur mais la fadeur du design… ce qui est fort regrettable.

En termes de durée de vie, je suis tentée de dire… le moins longtemps possible… En effet, jouer est un tel calvaire à la longue qu’on prie pour que cela finisse vite. Malheureusement de ce point de vue, le jeu est assez long… même trop long avec son principe de course au collectibles. En outre, le fait de devoir se la jouer Sam Fischer ne rend pas les choses plus faciles, bien au contraire. Votre progression est donc artificiellement lente, rendant le jeu encore plus chiant qu’à l’origine. L’utilisation d’un « trainer » pourra paraitre la seule issue pour les accros à la licence désireux de finir ce jeu.

Quelques bugs visuels mais rien de bloquant réellement, c’est déjà ça ! Mais vraiment devant une médiocrité pareille, je ne peux que recommander au joueur lambda de passer son chemin. Gardons un petit mot encouragement pour le fan inconditionnel qui se devra de souffrir pour terminer ce titre. Pour ce qui est de l’idée, malgré tout, il convient de la saluer, espérons que le concept « évolution FPS » couplé à la « gestion des troupes » sera reprise plus tard dans un meilleur titre au service de la licence.

Notre note :

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CUBE WORLD

Cube world c'est quoi ?

Cube world est un jeu indépendant développé par Wollay. Son développement a commencé vers la fin du mois de mai 2011, et il est disponible depuis la seconde motié de l'année 2013.

Cubeworld est un rpg d'action et d'exploration inspiré par des jeux tels que Monster Hunter, Zelda, Diablo mais aussi Minecraft.

Mais plus précisément, qu'est-ce qui caractérise Cube world ?

Cubeworld se caractérise par un monde infini généré aléatoirement et composé de voxels (de petits cubes).

Le but du jeu est principalement d'explorer ce monde fantastique, de combattre des monstres, prendre du niveau et faire des quêtes. Le jeu est

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cl aire ment conçu pour être joué en multijoueurs, avec une équipe composée idéalement de 4 joueurs. Mais ce n'est pas une obligation, il peut aussi être joué en solo.

Ce monde crée aléatoirement propose différents biomes tel que les plaines, les montagnes, les zones enneigées, les déserts, les jungle, etc..

Chaque biome dispose de ses propres caractéristiques et monstres. Il existe aussi de nombreuses structures dépendant des biomes tel que les villages, les châteaux, les ruines, les donjons, les forteresses et les pyramides.

Chaque structure dispose de ses propres avantages, par exemple, c'est dans les villages que l'on trouve des tavernes et des marchands. Ou dans les donjons, on trouve des coffres/trésors et des boss ennemis.

GAMING INDE

Peut-on construire dans Cube world de la même manière que sur Minecraft ?

Oui et non. Il est effectivement possible de construire, mais les bâtiments se construisent par "morceaux". Afin de construire ces morceaux, il faut tout d'abord trouver le plan correspondant et récolter les ressources nécessaires.

Les races disponibles sont les Humains, les Elfes, les Nains, les Orcs, les Hommesgrenouilles, les Morts-vivants et les Hommeslézards.

Chaque personnage, indépendament de la race choisie, peut faire parti d'une de ces quatres classes: les guerriers, les archers, les mages et les voleurs. En plus de cela, chaque classe dispose de deux spécialisations. Le joueur doit choisir parmi l'une d'entre elle mais il pourra la changer par la suite dans une ville.

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RETROGAMING

Cela fait quelques temps que je m’intéresse au monde du retrogaming sans hélas avoir les moyens de vraiment investir dans des consoles ou jeux. Je ne fais donc que baver sur internet. Mais je remarque que ce marché est très lucratif. Le retrogaming marche très bien ! Et j’en viens donc à me demander pourquoi ?

Pourquoi d’anciennes consoles ont toujours autant de succès alors que celles d’aujourd’hui nous permettent des performances bien plus impressionnantes ?

Pourquoi investir dans des jeux qui ne sont absolument plus d’actualité ?

Un effet de mode ?

On pourrait effectivement penser que le succès du retrogaming repose en partie sur un effet de mode. Et d’ailleurs beaucoup le pensent. Il est vrai que certains pensent se donner un style en adoptant les éléments d’une époque révolue (bonjour Messieurs les hipsters !) non pas parce qu’ils apprécient ceux-ci mais tout simplement pour se donner une sensation d’appartenance à un groupe. Donc pourquoi le retrogaming ne serait pas concerné ?

Et à l’heure ou le terme « Geek » est utilisé de manière incorrecte par 96,4% (à peu près) de la population et qu’il est synonyme de « gamer » mais aussi de « cool » dans la tête de pas mal, il est légitime de penser que oui, il existe bel et bien un effet de mode vis-à-vis du retrogaming.

Mais, les personnes pensant que seule la mode est

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derrière tout ça semblent oublier que les consoles et anciens jeux sont très couteux, et que, juste pour être à la mode, ça représente un investissement. Alors, même si certains dépensent des fortunes pour être vraiment à la pointe de la mode, même si certains ont les moyens financiers de se permettre de telles folies, le succès intégral ou même principal du retrogaming ne peut être imputé à une telle raison.

Les vraies raisons de ce succès Alors, si ce n’est grâce à la mode, à quoi doit-on de pareilles ventes ? Ben je ne sais pas moi, pourquoi pas aux passionnés, aux gamers, ceux qui sont susceptibles d’acheter de tels objets en fait ? Comme dit plus haut, le retrogaming n’est pas permis à tout le monde, car les prix pratiqués sont parfois très élevés, selon la rareté du jeu comme vous le savez.

Cela peut aller de plusieurs centaines de dollars à des milliers. Des personnes prêtes à investir de telles sommes sont donc forcément passionnés, parce que cela représente beaucoup de sacrifices (à moins d’être extrêmement riche je vous l’accorde, mais ce n’est pas le cas de tous les acheteurs). « Ba ui mé si c ca la vré réson, pk lé vantes exploz ke maintenan ?! » Ba ouai, c’est triste mais c’est le genre d’argument que j’ai pu lire à droite à gauche… Pensons-y cinq minutes.

Le retrogaming n’est que très récent. Les jeux vidéo eux même le sont relativement, et pour qu’il y ait

GAMING retrogaming, il faut une avancée temporelle telle que des consoles ou des jeux soient considérés assez anciens pour rentrer dans cette catégorie. Les tout premiers jeux n’ont pas été produits en masse comme c’est le cas aujourd’hui, le marché du retrogaming était donc encore discret il y a quelques années, parce que les barrières à l’entrée étaient trop importantes : rareté des objets qui implique donc des prix élevés. Mais aujourd’hui, on commence à être assez avancé dans le temps pour que les premiers jeux produits en masse rentrent dans cette catégorie.

Une telle production permet un marché plus facile d’accès car moins couteux mais aussi moins rare. Une NES ou même SNES, par exemple, sont ainsi considérées comme des consoles rétro, et donc tous les jeux parus dessus aussi. D’où l’explosion aujourd’hui.

Qui achète ?

On peut observer plusieurs profils d’acheteurs. Le premier, ce sont les vrais, purs, passionnés de l’univers du jeu vidéo et qui souhaitent tout posséder. Selon leur âge et moyens, ils peuvent avoir pratiqué le retrogaming depuis ses tout débuts. Ils s’offrent ainsi les consoles et jeux qui sont à leur portée. Un côté collectionneur donc, qui va de pair avec cette activité, sinon les émulateurs qui sont aujourd’hui à notre disposition seraient suffisants. On constate également de plus en plus de quadragénaires, pas particulièrement passionnés de l’univers vidéoludique, qui achètent d’anciennes consoles et jeux vidéo.

vidéo. Le concept reste identique, seuls les objets changent.

Enfin, toute une partie de la jeune génération, dont je fais parti, qui n’a pas connu une partie de l’histoire du jeu vidéo, n’étant tout simplement pas née à l’époque, souhaite se rattraper et s’intéresse donc aux anciennes consoles. Comme souligné plus haut, ces jeunes ont également ce côté collectionneur, sans quoi ils se contenteraient de la quantité d’émulateurs et de jeux qui sont gratuitement à leur disposition. Ici c’est donc l’expérience vidéoludique même qui motive l’achat.

Que ça soit pour se remémorer des souvenirs d’enfance, découvrir des nouvelles expériences ou simplement collectionner, les raisons du succès du rétrogmaing sont différentes. Mais la principale, c’est son accessibilité qui s’est grandement améliorée grâce à une avancée temporelle tout simplement.

Et vous ? Ca vous attire le retrogaming ?

Mr_Loack Follow @Mr_Loack sur Twitter !

Pourquoi ?

Eh bien tout simplement parce que ce sont les premières consoles sur lesquelles ils ont joué, et qu’ils espèrent retrouver leurs souvenirs d’enfance. Avant, on retrouvait des collections de voitures miniatures ou soldats en plomb, à présent ce sont des consoles et jeux

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SEXISME ET JEUX VIDEO

Depuis plusieurs mois le sexisme est « à l’honneur » dans les échanges de la rédaction. Non pas que nous ayons à nous plaindre de comportement déplacés où que nous soyons dans une mouvance revendicatrice. Mais les nombreux propos relayés par une certaine caste qui se veut défenderesse des droits des femmes et geekettes nous ont contraintes à nous interroger sur ce monde qu’elles dépeignent avec tant de véhémence. En outre, il m’apparait important de préciser que cet article aurait du paraitre dans un numéro précédent, mais nous y avons renoncé au regard d’un climat trop tendu autour du sexisme.

Loin de nous l’envie de lancer un interminable débat ou encore une lutte acharnée pour imposer des idées, quelles que soient leurs provenances. Dès lors, une seule chose restait à faire… peut être la plus pertinente de toute, c’est-à-dire vérifier nousmême ce qu’il en est.

CONTEXTE DE L’ETUDE Bien entendu, afin de garder une certaine forme d’impartialité nous avons décidé de procéder à un échange de comptes de jeu. En effet, chaque personne impliquée dans cette expérience joue à un jeu en ligne de type différent avec une

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communauté totalement différente. Plus encore, chacune d’entre nous est intégrée dans cette communauté. Aussi, afin d’être le plus objectives possibles nous avons décidé que pendant un mois nous jouerions au jeu de quelqu’un d’autre, sur un autre serveur y apportant ainsi notre propre sensibilité, notre propre expérience et surtout notre propre caractère.

LE PERIMETRE La rédaction a donc mobilisé 8 personnes pour effectuer un test sur 30 jours. Cela vaut ce que cela vaut, beaucoup diront à raison d’ailleurs que 30 jours n’est peut-être pas assez suffisant pour évaluer des situations quotidiennes. Néanmoins les avis des testeuses ont été confrontés par moi-même sous la surveillance d’un œil extérieur (par ailleurs collègue de travail) afin de nous assurer des concordances et des discordances entre les différentes situations. Au terme de ces 30 premiers jours nos testeuses ont récupéré leurs comptes et ont procédé à 30 nouveaux jours d’observation, sans pour autant connaitre les résultats précédents.

Ces tests croisés donnent simplement un aperçu et ne sont bien entendu pas assez nombreux pour décrire une généralité. C’est simplement un constat à l’instant T d’une équipe qui se veut objective. Ne

SEXISME ET JEUX VIDEO nous mentons pas non plus, lorsque nous utilisons le terme « objective » cela signifie davantage que nous avons chacune notre vision de la chose.

L’ensemble des opinions ici rassemblé tient donc compte à la fois de nos propres tendances mais aussi de résultats qui ne sont pas forcément ceux que nous attendions.

noter que nous avons à quelques exceptions près été confrontées à des joueurs étrangers, il n'a donc tenu compte que des résultats impliquants des joueurs francophones partagteant un vocabulaire commun. Ce qui dans notre expérience a toute son importance.

Jeux de tir à la première personne (5) • CALL OF DUTY • COUNTERSTRIKE • KILLZONE • DEAD ISLAND RIPTIDE • BORDERLANDS 2 Jeux de stratégie (2) • COMMAND AND CONQUER 3 • STARCRAFT 2

LES JEUX Difficile de comparer des jeux entre eux aussi nous avons décidé de ce qui était comparable. Notre sélection s'est portée sur des jeux bine installés en mode en ligne, autant sur des titres récents que des titres moins récents.

Jeux de sports (4) • FORZA MOTORSPORTS • VIRTUAL TENNIS 4 • BURNOUT : PARADISE CITY • GRAN TURISMO Jeux massivement multijoueurs (3) • THE SECRET WORLD • STAR WARS THE OLD REPUBLIC • WORLD OF WARCRAFT

Nous avons retenu 4 grandes familles, les jeux de tir (FPS/TPS) les jeux de stratégies en temps réel, les jeux de rôles en ligne massivement multijoueurs (MMORPG) les jeux de sports, les jeux de combat et nous avons inclu également un jeu indépendant (INDE). Bien entendu, cela sous entend également une pluralité des supports de jeux, aussi nous avons joué sur PS3, XBOX et PC. Nous ne pensions pas que cela puisse avoir un intérêt particulier pourtant, au regard des résultats ils s'avère que les publics ne sont pas les mêmes et ne réagissent pas de la même façon.

Indépendant (1) • MINECRAFT

Bien entendu, nous aurions pu aller beaucoup plus loin dans la liste de titres, mais 21 titres dont un indépendant joués par 2 personnes différentes sur deux périodes de 30 jours nous a paru être un échantillon assez représentatif pour cette mini étude. Ceci étant, nous admettons que les résultats ne sont pas réprésentatifs de l'entière communauté de joueurs qui existent en France, et par ailleurs à

En outre, il est important de préciser que le jeu indépendant est le seul à avoir été joué par tout le monde. C'est sans doute celui qui aura reçu le plus d'observations.

Jeux de combat (3) • STREET FIGHTERS 4 • SOULCALIBUR 5 • DEAD OR ALIVE 5 Jeux de tir à la troisième personne (3) • RESIDENT EVIL 6 • RED DEAD REDEMPTION • THE LAST OF US

A noter également que pour une objectivisation de nos tests nous avons alterné personnages/pseudos masculins et féminins.

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SEXISME ET JEUX VIDEO LES OUTILS Pour évaluer l’ambiance ces jeux et surtout pour les comparer il nous a fallu travailler sur une grille de notation cohérente et surtout uniforme. Car il est difficile de comparer un jeu de rôle en ligne avec un jeu de tir.

Comment identifier un comportement sexiste ?

Vaste problème car nous n’avons pas la même conception du problème, pas la même culture, pas les mêmes valeurs, pas les mêmes repaires et surtout nous ne sommes pas de la même génération. C’est ce qui fait la richesse de notre expérience et qui donne le résultat hétérogène que vous pourrez observer plus loin dans cet article.

Aussi nous avons établi plusieurs critères mais aussi plusieurs « lieux » d’évaluation, c’est-à-dire, le jeu en lui-même, le chat de guilde, le serveur vocal de la guilde, le forum de la guilde/team et le forum officiel de la communauté s'il existe. Ces critères ont été insérés dans un tableau reprenant l'ensemble des observations.

LE CONSTAT Dans un premier temps nous avons relevé un lélément peu flateur qui consiste néanmoins à dire que l'agressivité est une des composantes propre des jeux en ligne qui intègrent des affrontements entre joueurs que ce soit en équipe ou non...

Ceci étant, il n'est pas surprenant que l'agressivité en tant que telle soit le moteur même de la compétition. Cela ne veut pas pour autant dire que c'est la conséquence de cette compétition. Mais dans la majorité des cas nous devons reconnaitre que certains types de jeu sont basés sur un comportement violent et donc il n'est pas surprenant que la réponse émotionnelle devant une défaite soit la violence. C'est particulièrement le cas pour les jeux de baston. Par contre à l'inverse pour les

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jeux de stratégie, nous avons pu clairement isoler des comportements déplacés lié simplement au pseudo ou à la voix (féminine) sur serveur vocal. C'est tout particulièrement le cas des FPS mais surtout et par dessus tout le cas des jeux de stratégie en ligne pour ne pas dire celui de Starcraft 2 qui décroche la palme dans la catégorie des comportements déplacés... que ce soit en cas de victoire ou en cas de défaite.

Globalement la palme du jeu où l'on se fait le plus draguer reste World of Warcraft, malgré une Kevinisation Kikoulolesque constante. Pas mal de drague aussi sur The Secret World, placant ainsi les

SEXISME ET JEUX VIDEO MMORPG au sommet de cette catégorie. Avec une mention spéciale pour Red Dead Redemption pour une raison qui nous dépasse. Nous avons constaté de manière constante des contacts (PS3) après chaque partie... Et uniquement sur des personnages féminins.

assorties de remarques sexistes toutes liées à un "rôle féminin" aux propos de leurs auteurs. De même on constatera que dans ces critiques, beaucoup sont orienté sur le fait que nos testeurs n'ont pas choisi le rôle qui leur convient.

L'autre point analysé porte sur les critiques inhérentes au gameplay de nos testeurs. Il resssort de manière constente mais pas pour autant prononcée que l'utilsation d'un personnage ou d'un pseudo féminin attire davantage de critique qu'avec un pseudo ou un personnage masculin. En outre, ces critiques sont souvent pour ne pas dire à constamment (plus de 95%)

Globalement on retrouvera un cliché vieux comme World of Warcraft (si je puis dire) qui tend à démontrer que la seule classe viable pour une femme est celle de soigneur ! Point de vue que nous ne partageons pas bien entendu ! Néanmoins il ressort de notre test que si on ne joue pas soigneur on joue mal. A l'inverse en jouant un personnage masculin dans un rôle de faiseur

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SEXISME ET JEUX VIDEO

dégats aucun problème. C'est plus pregnant dans World of Worcraft sans pour autant être une règle absolu, nous le répétons, notre échantillon est trop faible pour être représentatif. C'est moins vrai dans The Secret World où chacun peut jouer la classe qu'il le souhaite pour peu d'avoir développé la branche correspondante.

En marge, on constate que dans les situations "de pseudo crise" comme la perte d'un match (d'arène notamment) la perte d'une partie en équipe, un wipe ou un loot perdu/gagné, les critiques vont bon train. par critique, nous entendons des remarques sur la

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chance, le fait de mériter où non le loot/la victoire... Cette situation n'aurait rien d'anormale si elle n'était pas assortie trop régulièrement de remarque sur le fait d'être une joueuse. Le constat est véritablement flagrant dans les jeux à affrontement direct, comme les RTS où il n'est pas rare d'être "pourrie" à la fin d'une partie !

Ensuite, nous avons des bizarreries, comme pour Dead Island Riptide. Nous n'avons pas pu définir avec certitudes si les joueurs quittaient les parties parce qu'ils faisaient équipe avec des joueuses ou parce qu'ils faisaient équipe avec des françaises. Là aussi, un travail de plus grand

ampleur serait nécessaire pour pouvoir commenter avec certitude les résultats...

En conclusion, tous ces résultats sont à prendre avec des pincettes ils restent liés intrinsèquement à la sensibilité de chacun. Cependant ils témoignent malgré tout d'une réalité sur certains comportements. fort heureusement, ils ne sont pas non plus une généralité. Une enquête bien plus sérieuse pourrait apporter des réponses bien plus précises et surtout des conclusiosn bien plus professionnelles que notre simple constat d'amateurs !

ESPACE CONCOURS GAGNER DES CLES POUR LA BETA DE SPACE ORIGIN Vous voulez gagner des clés pour la béta ? Alors répondez à ces questions ! Toutes les réponses sont dans le précédent numéro !

Envoyez vos réponses à : concours@geekettes.fr

Quel est le prénom d'Actarus ?

Quel est son âge ? (y'a un piège) Quand est réllement né le projet ?

Que boit le bisounours ?

Quel outil de modélisation 3D utilise William, le modélisateur et travailleur acharné ?

Combien d'alpha testeurs ont été invités initialement ?

Attends, ce n'est pas tout ! Il y a plus encore !

Mais ce n'est pas tout. La rédaction souhaitait également écrire quelques lignes sur ces gens sympathiques du net qui animent des sites internet avec un passion incroyable !

Mais plus encore, ils vous font gagner des tonnes de cadeaux, des codes iTunes, des cartes de crédtis iTunes, des s Apple TV (oui oui, je sais c'est énorme !) et tout un tas d'autres gentillesses toutes aussi utiles qu'indispensable pour tout fan de la pomme qui se respecte. En cette période de vacances c'est un véritable festival de cadeaux qui s'offre à vous donc n'hésitez pas à en profiter et allez rendre viste à ces sites de passionnés qui animent le net !!!

MyiDevice : http://www.myidevice.fr Animé par notre ami ibo_the_sky qui nous accompagne depuis les débuts du webzine sans oublier toute son équipe. iPhone Concept : http://iphoneconcept.com Animé par Thibaut Capelle récemment rencontré sur Twitter grâce à l'un de ses concours.

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WORLD WAR Z

finalement qui ne dépasse pas les deux heures. J'en suis presque arrivée à me dire que c'était dommage pour un film de cette trempe. Qu'a-t-il bien pu se passer pour que je revois ma copie ?

Une histoire accessible D'entrée de jeu, on comprend ce qui se passe. Bien entenud si vous allez voir ce film c'est pour voir un film de zombies, mais malgré tout, j'ai apprécié le fait de pouvoir intégrer rapidement le contexte, l'infection qui se propage.

Lorsque la rédactrice en chef m'a demandé d'écrire un papier sur un film de zombies, j'ai tout de suite fait la grimace. Les cadavres putréfiés qui cherchent à vous boulotter la cervelle c'est vraiment pas mon truc... Aussi, je me suis lancée dans cette épopée zombiesque aux images chocs.

Difficile pour moi donc de me lancer dans cette fiction sans idées préconçues. Je m'attendais à trouver de l'horreur à l'état pur, rappelant les instants primaux des hommes. Cependant quelle ne fut pas ma surprise de découvrir un film à grand spectacle assez rapide

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L'histoire est celle de Gerry Lane, ancine observateur des Nations Unies en retraite anticipée. Alors qu'il est en voiture avec sa femme et ses deux filles une vague de contagion se déclare et l'oblige à renouer de anciens contacts pour le faire évacuer lui et sa famille..

Une incroyable course poursuite le conduit sur une zone franche des nations unies où il va rempiler pour partir en quête de vérité. Au fil de ses aventures, il va tenter de remonter jusqu'au patien zéro avec comme objectif de trouver un vaccin contre ce fléau qui menace l'humanité.

CINEMA Libre inspiration du livre Avant tout, World War Z est un livre de Max Brooks (Fils de Mel Brooks) qui n'a jamais caché sa fascination pour les zombies. Il a d'ailleurs commis plusieurs ouvrages tout aussi intéressants les uns que les autres (pour peu qu'on aime le genre). Cependant on notera quelques libertés scénaristiques, rendant ce film un peu trop "rapide" (on y revient). Ceci étant, quand on connait la portée du bouquin, on sait très bien qu'il n'aurait pas été possible de l'adapter en un seul et unique film...

Ceci dit, on se doute bien qu'il y aura une ou deux suite. Certains sites parlent même d'une trilogie.

Après Harry Potter, il fallait bien que la Warner trouve une nouvelle mane

source àd'inspiration. C'est alors qu'on peut se demander si le concept même des films à zombies et le bon filon ? Difficile de faire mieux que la série nanaresque des Resident Evil sur le terrain du film d'action au scénario écrit au fil des épisodes... Et à l'inverse, difficile de faire dans l'horreur à outrance où explosent les cervelles à tour de bras. Ici, World War Z trouve le bon compromis entre les deux en

offrant au public un film d'action à un rythme raisonné avec des scènes stressantes sans pour autant être effrayantes ou abominables....

Action oui, horreur non Certains critiques affirment que le scénario tient sur un timbre poste.

Je ne serai pas aussi critique. Je pense au contraire que le scénario est bien plus détaillé qu'il n'y parait.

De nombreux signes anodins, des images sans importances fourmillent dans ce film, donnant au spectataur la faculté de s'interroger sur certains faits. Le plus flagrant étant celui que certains humains qui ne se font pas attaquer par les zombies. Dès le début cette question est présente et n'apparait explicitement que dans la dernière moitiée

dans la dernière moitié du film.

Alors certes, on peut se dire que c'est un peu gros, on appelle le héros juste pour sauver le monde ?

Mais nous ne sommes pas dans un Die Hard avec une immense scène d'action qui sert de prétexte à un film sans intérêt. Ici, rien que le fait d'offrir au spectateur un film de zombie sans bidoche est à lui seul un argument pour réconcilier le

public

public sensible avec le style horrifique d'antant où tout était suggeré et non montrés. Ce qui est bien souvent plus efficace que le genre Gore qui a envahi nos écrans depuis les dix dernières années.

Des scènes incroyables L'une des scènes les plus incroyables restera celle de l'assaut du mur en Israël où des zombies se montent dessus les uns les autres pour attendre le sommet d'une immense muraille jusqu'alors imprenable. On se rappelera également cette déferlante de zombies dans les ruelles tels une vague déferlente, courant sur les murs...

Certes, le film ne sera pas primé à Cannes mais il rempli son office, il divertit. C'est clairement ce que l'on attend de lui finalement. Exit les scènes de combats interminables où l'on explose du mort-vivant dans des effets aussi répugnants les uns que les autres, ici, on mise sur la rapidité (encore) faisant ainsi ressortir le caractère vain des affrontements contre cette horde sauvage.

Encore un DE-PAR-POUR Malheureusement, on peut s'interroger sur le résultat final de ce film. A la manière des films d'acteurs produits par des acteurs pour des acteurs, l'histoire ne tourne qu'autour du seul héros

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WORLD WAR Z

laissant derrière lui, femme et enfants afin de sauver le monde dans un élan de courage surrumain.

Ca ressemble à du Tom Cruise quand ont le dit... Et c'est peut être ce qui pèche un peu dans ce film que l'on pourra effectivement à bien des points de vue juger comme trop court ! (Enfin !)

Si l'image reste centrée sur le héros avec quelques focus par-ci par-là sur des protagonistes secondaires, on se rend bien compte que ce qui importe c'est de montrer le brushing de Brad...

C'est vrai quoi ! Pourquoi nous infliger les scènes familiales dépourvues de toute émotion, à croire que les acteurs composant la famille Lane ne peuvent pas se sentir... Je crois que le plus flagrant reste cette scène ou le héros se réveille après trois jours d'inconscience (il doit avoir une sacré dalle...). Et là, il appelle son pote des Nations Unies qui lui dit qu'il a fait déporter sa femme et ses deux filles dans un camps de réfugiés exposés aux attaques zombies... On croit rêver quand ce "meilleur pote" lui disait une heure avant qu'ils déploierait tout les moyens nécessaires pour lui sauver la peau. Même chose avec cette scène où Gerry Lane coupe le bras d'un soldat qui vient de se faire mordre (d'ailleurs plus tard c'est seulement la main qui est

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co upée) il faudra m'expliquer l'intérêt de cette absence de dialogue entre les deux personnages pour foir crever le même soldat quelques minutes après dans un crash d'avion... De deux choses l'une, soit le film a été coupé et monté à la vacomme-je-te-pousse, soit il y a de véritables scènes coupées réservée à la version DVD/Bluray.

Des effets spéciaux pas si spéciaux Beaucoup de critiques disent que les plus beaux effets spéciaux sont ceux que l'on ne voit pas. Je suis assez d'accord. Ici, on ne pourra pas parler d'effets à outrance car bien souvent ils sont invisibles et pourtant, il y en a. La horde de zombies qui déferle dans les rues telles un raz-de-marée où les coureurs chutent et se piétinent, s'entassent, s'escaladent les un les autres... C'est une scène à couper le souffle qui est d'un réalisme tel qu'il la rend fortement probable.

Même coté zombie, on pourrait s'attendre à voir des abominations, des machoires arrachées, des visages décomposés... Non, rien de toute cela, disons que les infectés sont plus proches des Marcheurs Blancs de The Game of Thrones que des monstres hideux qu'on nous inflige depuis une décénie.

CINEMA

divertissant qui n'est certes pas parfait. La libre adaptation fera grincer peut être quelques dents mais malgré tout, il y a de nombreux clins d'oeil aux livres de Brooks un peu partout, il suffit d'ouvrir les yeux.

En conclusion, faut il aller voir World War Z ou pas ?

Si vous aimez les films d'horreur, où le zombie est roi, je serais tentée de dire non. Ou alors juste par curiosité.

Par contre si vous aimez les films d'action où il n'est pas nécessaire de réfléchir pour passer un bon moment, c'est clairement oui. Si vous êtes faché(e)s avec les films de zombies, c'est également oui, car World War Z vous réconciliera assurément avec le genre. Maintenant, cela reste un très bon moment

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STAR TREK II

Les fans de la première série et bien entendu des productions cinématographiques (bien qu'elles soient véritablement inégales...) ont accueilli avec une certaine appréhention le Star Trek de J. J. Abrams sorti en 2009.

Cependant l'essai a été transformé même si les puristes ont crié au scandale devant un tel carnage au niveau de la trame générale de l'histoire. Mais finalement, lorsque l'on étudie les différents ouvrages et les différentes séries basées sur l'univers de Star Trek on ne peut pas passer à coté des innombrables incohérences... aussi, pourquoi un paradoxe temporel ne serait-il pas à l'origine de cette nouvelle saga ?

On en arrive à cette production 2013 qui nous offre du grand spectacle et, bien que ne reprenant pas réellement la trame de l'histoire de Star Trek II, s'en inspire assez largement. Vous l'aurez compris, ici on va parler de Khan !

De

nouveau

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victime

de

son

insubordination

compulsive Kirk se trouve mis à pied pour une mission qui a mal tourné. Mais dans sa chance légendaire, Kirk échappe à un attentat. Cette non mise à pied lui vaut de repartir au combat à la poursuite du mystérieux terroriste qui n'est autre que Khan. Combattant hors pair, génétiquement modifié pour être un survivant, Khan n'en demeure pas moins un psychopathe qui est fermement décidé à anéantir les races inférieures qui selon lui ne m'érite pas de survivre.

Mais c'est sans compter sur la fine équipe de l'enterprise où l'on retrouve avec joie le franchouillard Scotty, Bones et quelques nouvelles

CINEMA

Ce second Star Trek a été réalisé par J. J. Abrams connu pour plusieurs séries comme Lost notamment.

Cette suite directe au précédent Star Trek offre de nouveau les rôles principaux à Chris Pine et Zachary Quinto qui campent le rôle du duo de choc Kirk / Spock.

C'est avec un budget de plus de 180 millions de dollars qu'on nous offre une nouvelle super production. Tourné à 99% sur fond vert Star Trek n'en demeure pas moins visuellement l'une des plus splendides sorties du moment avec plus de deux heures de divertissement.

On en vient presque à aimer les reboots !

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STAR TREK II

nouvelles têtes pour le plus grand plaisir des yeux diront certains ! L'arrivée d'un nouveau médecin semble vraiment tomber comme un hceveux sur la soupe. Quelques scènes curieuses semblent donner une importance à ce personnage qui finalement se révèle en avoir un intérêt stratégique ! Enfin stratégique est peut être un bien grand mot !

L'image par d'elle même ! On devine également une future relation sérieuse entre elle et Kirk mais cela n'est qu'une intuition !

Bref, Into the Darkness nous plonge effectivement dans les ténèbres d'un complot incroyable, mais qui reste infiniment plus intéressant que le Star Trek II d'origine. Khan est un personnage monstrueux qui n'a d'humain que l'apparence. Ce nouveau bad guy promet d'avoir un avenir retentissant dans la nouvelle saga. Et si J. J. Abrams n'y a pas pensé (ce qui me

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semblerait fort improbable) gageons qu'il utilisera le potentiel du personnage.

Dans tous les cas, on retrouve les codes du précédents avec le duo improbable du capitaine indiscipliné et de l'officier rigide. On retrouve avec plaisir les autres seconds rôles qui alternent entre comiques de service et héros de la dernière minute pour le plus grand plaisir des yeux.

De même, on retrouve le décors très dépouillé de l'Enterprise avec un coté très high tech aseptisé. C'est également avec plaisir qu'on va retrouver Mr Spock (Léonard Nimoy) qui fait une apparition éclair afin d'aider son alter ego à comprendre à la fois qui est réellement Khan et comment coexister avec son capitaine inssuportable ! Oui n'ayons pas peur des mots, Kirk comme dans le premier opus est puant d'orgueil et d'arrogance. Mais finalement cela passe...

Limite on préfère ce Kirk en coureur de jupons que le

CINEMA précédent Kirk qui campait un rôle tout particulièrement sexiste. O tempora o mores diront certain(e)s... (Autres temps autres moeurs) ce qui expliquera sans doute cette évolution.

alterne entre action, bavardages pour aboutir à un final grandiose et peut être pas aussi inattendu que cela. Maintenant, pour les puristes qui n'ont pas digéré la destruction de Vulcain, peut être ne digèreront-il pas cette nouvelle version de la "précolère" de Khan... qui comporte elle aussi son lot de sacrifice sur le buchet de la nouvelle ligne temporelle créée par J. J. Abrams...

Pour peu que vous consédériez que la Colère de Khan est LE meilleur film de la série, peut être serez vous désarçonné par cette version quelque peu libre de l'histoire. Mais si l'on se base sur la nouvelle ligne temporelle

On sent également la relation entre les deux officiers évoluer malgré des divergences encore trop forte.

Mais on sent que le coté humain de Spock fait son chemin. Le cri de Spock dans les dernières minutes du film est une référence direct au cri de Krik à l'attention de Khan. Ce clin d'oeil n'aura pas échappé aux fans inconditionnels.

On appréciera... ou pas... le tribule qui lui aussi est une référence très célèbre. Le recours à cette supercherie pour éviter de copier directement "A la recherche de Spock" (qui aurait pu s'appeler à la recherche de Kirk) laisse un petit arrirère goût étrange. Mais qu'importe, ne cherchons pas la cohérence, nous sommes dans un Star Trek !

temporelle créer à l'occasion du dernier Star Trek celui-ci est véritablement dans la lignée, une réussite esthétique et scénaristique.

A

Bref, un bon moment. Et si vous ne connaissez pas Star Trek mais que vous aimez la S.F. c'est le moment de faire connaissance avec la série !

Bref, tout cela fait-il de "Into the Darkness" un bon film et a fortiori un bon Star Trek ?

Si la réponse à la première question est aisée, il n'en est pas de même pour la seconde.

On nous sert ici un très bons film de S.F. qui

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DEFIANCE

Le 16 avril dernier SYFY diffusait une nouvelle série "évènement" racontant les aventures d'un pseudo survivant qui s'installe un peu contraint et forcé dans le ville de Defiance (Boston) avec sa fille adoptive turbulente alienne. Il en deviendra le sheriff. Si le début n'est pas sans rappeler Euréka, la comparaison s'arrête là... En effet, ici ne cherchez pas de beaux effets spéciaux comme les nombreux traileurs nous les ont vendus ! Ne cherchez pas non plus les personnages charismatiques et originaux. On fait dans le cliché pur et dur ! Oui madame !

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Même si la série peut sembler téléphonée, on imagine cependant que les scénaristes nous ont prévu de nombreux rebondissements ! Et bien non... l'histoire reste aussi monotone

monotone que les décors de chaque épisode... On croirait même

par moment que cela a été tourné par une bande d'ados dans un garage tellement c'est kitch.

Certes, c'est un monde apocalyptique ravagé par des décénies de guerres avec des aliens pour uen obscure raison dont tout le monde se fiche visiblement... Le plus terrible dans tout cela c'est qu'on nous promet une deuxième saison qui s'annonce, à mon sens aussi douloureuse que la première.

Il faudra attendre à la manière du très médiocre Skyline, les 5 dernières minutes pour que l'histoire devienne intéressante.

C'est tout bonnement navrant. Mais le plus navrant restera sans doute le méchant de l'histoire qui est aussi fade que sa décoloration. Manipulé par sa femme (SIC!) il apparait plus comme le bouffon de service que comme un véritable méchant.

SERIE TV

Cette triste première saison est sortie en DVD, si vous souhaitez vous faire peur et souffrir un peu devant la pauvreté des effets spéciaux et le jeu navrant des acteurs dépourvus de tout charisme, ce coffret est pour vous !

Par un jeu de malchance assez incroyable il faut que la fille adoptive du héros trimbale une casserole intergalactique avec un artefact dans le

planqué dans le corps... (désolée du spoiler). Et là on se rend compte qu'il y a des complots et des luttes de pouvoir pour la possession d'une ville minière qui n'a aucun intérêt économique ou géopolitique. Bref, les voies des aliens sont impénétrables (les pauvres !) aussi on fera comme si on ne comprend rien au schéma de

pensée des extraterrestres.

D'ailleurs quite à aller sur ce terrain là, pourquoi ne pas s'interroger sur cette fameuse guerre... Crotte, elle aurait pu faire l'objet d'un pilote non ? C'est quoi cette blague... Ils se la jouent comme Falling Skies avec un démarrage cannon mais le problème c'est que contrairement à Falling Skies, ici, les acteurs ne vallent pas tripette, leurs personnages sont des coquilles vides et les effets spéciaux sont d'un niveau inférieur à un Babylon 5 ou encore Farscape... vous l'aurez compris, cette première saison aura été pour nous une déception incroyable.

Beaucoup de bruits circules sur une seconde saison fortement improbable... Le produit final étant la sortie d'un MMO basé sur cet univers. il faudra malheureusement regretter que la série n'aie pas

atteint le niveau attendu, il est vrai que lorsque l'on connait quelques noms au génériques on ne peut s'empêcher de se demander pourquoi Kevin Murphy et Michael Taylor ne nous ont pas offert un chef d'oeuvre comme à leur habitude. Pour mémoire Murphy a travaillé sur Caprica et Desperate housewives et Taylor sur Galactica !

Bref, espérons que cette univers connaitra une évolution radicale qui sait peut être que tout le monde va mourir et qu'une nouvelle brouette d'acteurs et d'aliens va faire son apparition.

Après tout, les Klingons de Star Trek ont bien évolué au fil des séries, pourquoi pas les aliens de Defiance ? Comment ça je rève ?

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