Projet de synthèse
horizons altérées
Un hĂŠritage a prĂŠserver
Analyse
Le Contexte et l’historique
La Science-Fiction (SF) est un genre qui a apporter une multitude de classique à différents média, notamment la littérature. Pourtant l’image de la SF est souvent bien en deça des qualités du genre. On voit en ce moment de nombreuses rééditions de classiques, notamment des adaptations cinématographiques ( La statégie Ender, Gost in the shell, Jupiter ascending, ...) qui sont reconnu par les fans pour être de mauvaises adaptations de bonnes oeuvres. Mais la littérature n’est pas en reste. La réédition de nombreux livres (Dune, La trilogie de la première fondation, Ravage, ...) utilisent des représentations graphiques très représentative des univers qui sont présentés, très cliché, très premier degré. Les vaisseaux spatiaux, les robots et les lasers sont de nombreux ecceuils qui ne sont que trop rarement éviter. Et cela va au détriment du genre qui devient de plus en plus une parodie de lui même. à force d’user encore et toujours les même clichés. Il existe pourtant une solide base de passionné, qui porte le marché des parutions de science fiction et qui sont frustré de ne pas retrouver une image qui correspond à la valeur du contenu. Et non juste une image qui correspond aux clichés ou qui joue sur la corde de la nostalgie, pour vendre à un public de passionné une image qui correspond à celle que le grand public en a, d’où un décalage entre les besoins du public passionné et l’offre. La SF est un genre assez récent, on situe généralement le commencement avec le Frankeinstein de Mary Shelley en 1818 ou avec le Voyage de la terre à la lune de Jules Verne en 1865 mais le véritable jalon le plus communément admis est celui de 1895 avec la publication de La machine à explorer le temps. Puis dans les années 30, avec l’apparition des pulps, on observe une explosion de l’imaginaire SF. à cette époque les codes graphiques du genre étaient très figuratifs car il fallait familiariser le public avec cette nouveauté. Mais aujourd’hui la SF est connu et les représentations figuratives n’ont plus de raison d’être. Néanmoins elles continuent d’être les représentations principales du genre. La SF utilise encore les codes graphiques des années 30 comme représentation.
Les chiffres de l’édition
Depuis 2015, selon le syndicat national de l’édition, le revenu net des éditeurs est de nouveau en hausse. Mais la cession des droit est en baisse, ce qui signifie que les maisons d’édition laisse de plus en plus les auteurs propriétaires de leurs œuvres mais engrangent d’avantage de bénéfices sur la vente
des livres eux même. La littérature est la catégorie qui se vent le plus. Cependant, on peut remarquer que le livre au format poche se vend de moins en moins. À l’opposé des éditions plus luxueuse, attestant de la qualité des œuvres proposés à la vente. Selon culturecommunication.gouv.fr, le livre est la première industrie culturelle française, contrairement à l’idée reçu. Ainsi dans un marché qui deviens de plus en plus luxueux, il est logique que la SF suivent le pas et laisse de côté son imaginaire cliché pour se tourner vers une image démontrant d’avantage la valeur du contenu par des connotions plus modernes et résolument plus attachées aux idée qu’elles défendent sans pour autant renié les particularité qui font de la SF un genre à part. On a donc un marché qui devient de plus en plus luxueux, prenons par exemple l’explosion du nombre de «romans graphiques» qui sont de plus en plus admiré et vendu comme une classe supérieure à la BD classique, or, le roman graphique n’est qu’un type de format de BD, et non d’un nouveau média, mais cette appellation illustre bien la mutation du secteur vers des codes plus luxueux. L’idée de donner ses lettre de noblesse à la SF s’inscrit alors dans une logique économique autant qu’idéologique.
Le commanditaire
Dark Horse équivaut à l’expression mouton noir en français. Mais ce nom est aussi associé à l’idée d’un vainqueur qui n’est pas donné gagnant mais qui créer la surprise. Cela illustre bien les valeurs de la maison d’édition, fortement attaché à la contre-culture, par sa représentation, sa diffusion et son image et cela depuis sa création en 1886. Dark Horse a commencé par publié exclusivement des bandes dessinées et des pulps dans les années 30, mais ce qui à fait le succès de cette maison c’est la liberté qu’elle laissait aux auteurs, même aux prix de nombreux conflits avec les organisme de censure, notamment pendant les guerres avec la commics code authority et «l’obligation» de propagande qui n’était pas respecter par Dark Horse. Mais Dark Horse est aujourd’hui reconnu pour allié des publications de qualité surprenante et original. Ils ont notamment dans leur catalogue les éditions de
- Hellboy, de Mike Mignolia - Usagi yojimbo, Stan Sakai - Sin city, Frank Miller
Dark Horse communique sur ce patrimoine car la volonté de défendre la contre culture et de permettre la reconnaissance d’œuvres considérer par le plus grand nombre comme peu inintéressantes ou franchement stupides est fondamentale dans leur histoire. Cette volonté de diffuser cette aspect de la culture est aussi appuyé par le fait que la Portland State University Library s’est vu offrir la collection complète des œuvres publiées chez Dark Horse gratuitement afin que les étudiants puissent travaillé avec autant de matériel que disponible mais aussi pour faire connaître davantage le travail d’auteurs encore assez peu connu. Cette volonté ne date pas d’hier, car Dark Horse était aussi dans les premiers a importer des mangas aux états- unis. Cherchant ailleurs ce que les auteurs américains ne produisaient pas encore. Dark Horse publie également des art book ou bien même des magazines via la filliale DH Press fournit même des services d’objet de collections, comme des figurines ou des sculptures via Dark Horse speciality retailers. Mais aussi des œuvres en rapport avec l’univers musical via M press, qui s’est doté d’une identité visuelle avec quelque rapport avec celle de Dark Horse mais qui est différente sur bien des points. Dark Horse produit aussi des films ( souvent adapté de leurs BD, comme The Mask ) via Dark Horse entertainement. De plus la volonté de donner ses lettres de noblesse est déjà présente dans la maison d’édition notamment avec la collection Dark Horse Legend qui publie
des édition prenium des commics et des pulps en éditions complètes, retravaillées et recolorisées. Dark Horse possède donc un système de parution, de production et de communication déjà bien installé, polyvalent et plurimédia.
La demande
La demande factuelle est la création d’une ligne éditorial pour une nouvelle collection de romans classiques de la SF via la filliale DH Press. Cette ligne éditoriale devra répondre aux attentes suivantes : • Légitimer la SF en empruntant des codes aux haut de gamme. • Être modulable afin de pouvoir être décliner sur un grand nombre d’oeuvres différentes par leurs contenus. • Être facilement identifiable par une ligne graphique forte. • Mettre en avant la spécificité des messages et des émotions véhiculées par les différents romans. • Apporter un renouveau par une approche non figurative.
La Promesse
La promesse faite aux lecteurs est la suivante. Proposer un contenu reconnu pour sa qualité et le légitimé en lui donnant une représentation dans l’ère du temps. Une représentation qui reposera sur des connotations et un graphisme modernes. Ce graphisme devra mettre en avant les qualités et le message du roman. Toutefois la ligne éditorial ne devra pas renier son patrimoine mais paradoxalement rompre avec la représentation habituelle. Il s’agit donc de faire rentrer la SF dans le 21eme siècle en rompant avec les codes graphiques hérités des années 30.
La Cible
La cible de ce projet est les 25-45 ans avec un cœur de cible 25-35 ans et une cible secondaire 35-45 ans qui ont grandit avec la science fiction mais qui rechigne à s’intéresser ou à racheter les vieux classiques qui les rebutent à cause de leurs aspect vieillot et désuet. Mais aussi, ceux qui s’intéressent de moins au moins à la SF à cause de la mauvaise image qu’elle véhicule. Ainsi, la cible doit déjà posséder la culture requise pour connaitre les classiques et justifié l’investissement dans un livre de qualité prenium, soit par volonté d’officialiser ses goûts en profitant de la légitimité apporter par une belle édition, soit pour faire découvrir à un proche l’univers sans avoir la mauvaise image que le genre véhicule avec, permettant ainsi une découverte sereine.
LE Positionnement
La collection se placera sur un segment prenium afin que la suivre la tendance du marché et de légitimer le rupture graphique grâce à un positionnement plus haut de gamme que ce à quoi le public est habitué. Cherchant alors aussi a faire découvrir la SF à ceux qui ne s’intéressent qu’aux livres avec une légitimité graphique.
Les objectifs
Vu la variété des productions Dark Horse, les objectifs sont de définir un univers visuel assez vaste pour pouvoir accueillir des roman des tout les sousgenres de la SF.. Il faudra donc créer une ligne éditorial qui doit s’appuyer sur les particularité du romans, tant en guise du nombres de pages , que du format ou même du rythmes en chapitres) afin de bien délimiter graphiquement la collection du reste de l’univers Dark Horse. Cette variété permettra de combler les attentes des fans de SF qui n’ont pas de support à la hauteur de leur passion. Mais aussi de rallier un public plus large en se dotant d’une légitimité qui ouvre la porte au reste de la SF, notamment ce qui sont publié chez Dark Horse. Mais la création de cette nouvelle collection est possible car : -Le marché du livre est en hausse -Le marché devient plus luxueux -Promouvoir la contre culture est dans les habitudes de Dark Horse -Dark Horse a la renommé et la fanbase pour se permettre de lancé une nouveauté -Le réseau d’impression et de distribution est en place depuis longtemps -La ligne éditoriale répondra à la demande d’un public -La valorisation du patrimoine est dans l’air du temps.
Les Problématiques de communication
Les principaux problèmes qui vont être rencontrés dans ce projet sont les suivants : • Rendre cohérent une collection qui pourra comporter une grande variété de contenu différents et donc de connotation différentes. • Créer une rupture avec les représentations classiques de la SF mais être affiliable à la SF malgré cette rupture. • Ne pas donner la sensation au fans d’être trahit par une transformation
en matériel trop haut de gamme (la SF a traditionnellement un aspect assez cheap). La difficulté majeur sera donc de trouver un équilibre entre tradition et renouveau.
Les Contraintes (charte graphique)
Puisque les univers graphiques des différentes filiales de Dark Horse sont très variés entre eux, et même au sein des différentes filiales, il n’y a pas la nécessité de ce conformer à une charte graphique existante. La parenté entre Dark Horse et Horizons Altérés n’est donc pas a formuler de façon graphique. Néanmoins, certaines exigences sont nécessaires à la création de cette ligne éditoriale. Notamment la création d’invariants qui devront marqués la parentés des oeuvres dans la collection mais qui devront laissé assez de place à l’expression graphique des différents contenus. De plus, les romans auront un nombre de pages variants énormément, il ne faudra pas trop se reposer sur la tranche pour exprimer le contenu. Elle devra être le prolongement logique des couvertures. Les codes du haut de gamme passeront aussi probablement par des marges importantes.
L’Analyse de l‘existant :
L’image de Dark Horse n’est que très peu figé et très différentes selon les supports et les lignes éditoriales. Puisqu’il n’y a que peu d’éléments récurrents, alors une variation du logo propre à l’édition peut être envisagé, voir même la création d’un logo et d’invariants bien différents afin de différencier Horizons Altérés du reste des parutions. Les éléments que l’on retrouve de façon récurrentes dans l’identité de Dark Horse sont les suivants : • L’utilisation d’aplats de couleurs vives • La couleur de fond du logo toujours utiliser pour répondre à la typo de titrage • La typo peut être utilisé en blanc sur des aplats de couleur • Les fonds sont assez neutres pour ne pas empiéter sur les visuels. • L’utilisation massive de l’illustration (c’est cela qui sera combattu afin de donner un côté moins bas de gamme à la SF, et de tendre vers le prenium) • Les couleurs noir, blanc, et rouge sont majoritaires, mais le jaune et le bleu sont aussi présents
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Le logo est discret La mise en page varie très souvent, aucune grille n’est commune L’inspiration des vieux pulp des années 30 est très marqué Le contraste entre le blanc et les couleurs vives est très utilisé également Les filets sont aussi récurrents Typo la plus proche de ce qu’il utilise est helvetica black condensed pour le logo. • L’helvetica est aussi utilisé pour la typo de labeur.
Let Dark Horse create a custom publishing program for you! How it works A comic book begins with a story idea, which is turned into a script by an established comics writer. Once the script is approved, the penciller breaks down the story into a series of images. After the pages have been initially drawn, they’re sent to an inker and letterer. The inker covers the pencil lines in black ink to add depth and texture while the letterer adds word balloons and text into the drawings. The colorist determines what
colors will be added, considering each shade and nuance needed. Finally, the editor oversees the entire production process, ensuring each stage is done properly and on time. Average timeline for a custom comic is five months, depending upon page count and trim size.
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Ink
— Paul Olshan, Manager Retail Marketing, Fox Home Entertainment
Color
Typical Formats Standard | 32 pages, full color, the basic comic book size.
Digest | 16 pages, full color, 5" x 8". Sized for a DVD box.
Slim | 16 pages, full color, 6" x 10"
Mini | 8 or 16 pages, full color, 4" x 4.5". Fits inside a CD case.
For more information about Dark Horse Comics, custom publications, or products: Dark Horse Comics | Custom Publishing 10956 SE Main Street Milwaukie, OR USA 97222 Phone: 503.652.8815 | Fax: 503.654.9440 darkhorse.com | dhpressbooks.com | mpressbooks.com
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In addition to publishing comics from top talent such as Frank Miller, Mike Mignola, Sergio Aragonés, Neil Gaiman, and comics legend Will Eisner, Dark Horse is also recognized as the world’s leading publisher of
licensed comics. Our highly successful line of comics based on popular properties includes Star Wars, Shrek, AVP, and The Incredibles.
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Examples of Dark Horse’s custom publications • Motorola | We created a series of five comics based on SpyBoy, a popular Dark Horse property. These 16page comics were handed out at Motorola-sponsored snowboarding events throughout the world. • TV Guide | Original comics based on Buffy the Vampire Slayer and Angel ran inside the publication as a treat for readers. • General Mills | Customized Jonny Quest comics were available through a mail-in offer on boxes of Honey Nut Cheerios. • AG Edwards Foundation | Original anti-smoking comics were distributed to thousands of school students throughout New York. • Vivendi Universal Games | Created original 16-page comics based on their hit game FEAR. The books were packaged in the game’s director’s cut edition available at all major retailers. • Playmates Toys | Exclusively for Target, an original King Kong comic was created as an on-pack item for thousands of Playmates King Kong action figures.
• Twentieth Century Fox | As a pre-order incentive, we produced a new Star Wars art comic book that collected some of our favorite Star Wars art from the last five years. The comics were available exclusively at Transworld’s mall stores. We also made AVP custom mini-comics for Fox that were in-packed in the director’s cut edition DVDs. • Sony | To promote the movie The Fog, Sony had us create a custom 80-page graphic novel that was sold through regular distribution channels and eventually offered as a free gift with purchase of the DVD exclusively at Circuit City. • Kellogg’s | Custom Star Wars comics were available through a mail-in offer on boxes of Apple Jacks. • Buena Vista Entertainment | Customized Sin City comics were offered to consumers exclusively at Best Buy stores when the initial DVD released. In addition, a re-purposed 208-page graphic novel was created to go in hundreds of thousands of special edition DVDs. • Milwaukee Brewers | Original comics series given away at baseball games and schools showcased Brewers players fighting against spit tobacco addiction.
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Site principal
Site pour le marchandising Couleur majoritaire bleu
M Press Site pour la musique, les adaptation de film et les interview Un logo différent connotant l’élégance, notamment avec l’utilisation d’une Elzévir en base line. La couleur rouge est dominante dans les publication mais l’identité visuelle se fait la aussi très discrète sur les publication.
Dark Horse Entertainement Pour le cinéma Le logo passe en gris métallisé pour le texte, Le noir est beaucoup plus présent sur ce site, les affiche sont variés et sans réel lien les unes avec les autres.
Collection legend Elle légitimise les BD en les portant par un aspect plus haut de gamme. Jouant sur les niveaux de gris, les marges importantes et un style assez épuré.
Édition périodique Elle s’adapte à chaque fois au contenu qui est présenté. Rien n’est fixe d’un périodique à l’autre.
Quelque publicités qui sont très marqué dans leur références et dans le temps.
Quelques vielles éditions